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Il faut préciser ces questions d’opposition entre éthique et esthétique qui ne sont pas

vraiment traitées.
Peut être que dans la conclusion tu pourrais par exemple revenir plus longuement sur le
lien entre performance qui demande l’action du public et enjeux éthique dans cette
participation proposées.

L’éthique et l’esthétique : Les considérations morales soulevées par Marina Abramovic


dans ses performances.

Les performances de l’artiste Marina Abramovic permettent d’explorer les questions


éthiques de l’art et de la société. En utilisant son corps, l’artiste interroge notre capacité à
infliger comme à résister à la douleur. Elle nous pousse également à nous interroger sur la
manière dont nous pouvons nous laisser emporter par l’esthétique d’une oeuvre d’art en
oublient les problématiques politique qu’elle soulève.
Nous sommes en 1997, lors de la «47» édition de la Biennale de Venise. Une artiste
serbe présentée comme “nomade” (ne représentant aucun état) est installée dans le sous-sol du
pavillon international des Giardini. L’odeur du lieu est infecte, on voit des os sur le sol, du
sang autour de la salle et une jeune femme avec une brosse métallique, chante des chansons
populaires de son enfance pendant qu’elle lave les os.
Il s’agit de Marina Abramovic dans son œuvre Balkan Baroque (1997) La
performance confronte les horreurs qui avaient lieu en ex-Yougoslavie, l’impossibilité de
guérir complètement les blessures physiques et psychologiques des conflits armés. “Balkan
Baroque” fait référence à l’expression “laver sa conscience”( source ? je ne comprends pas
bien cette traduction de l’expression « balkan baroque »), métaphore selon laquelle on ne peut
envisager le futur sans accepter de voir et de surmonter le passé et le présent, et d’en assumer
les conséquences.

Marina Abramovic, Balkan Baroque, XLVII Biennale Venise, June, 1997. Performance, 4 jours, 6 heures.
© Marina Abramovic. Courtesy of the Marina Abramovic Archives. Photo: Attilio Maranzano.

I. L’importance du public dans la performance.


La performance est une action revendiquée comme artistique dans un espace-temps,
une forme d’expression artistique qui met l’accent sur l’action et le processus plutôt que sur le
produit fini, qui se déroule en impliquant le corps, la présence de l’artiste ou des autres
participants, et qui crée une relation, un dialogue, entre le créateur et le public. L’art de la
performance a des origines diverses et complexes, qui remontent aux avant-gardes du début
du XXe siècle, comme le futurisme, le dadaïsme, le surréalisme, le situationnisme ou l’art
conceptuel. Certains des pionniers et des pionnières de l’art de la performance sont Marcel
Duchamp, Yves Klein, Allan Kaprow, Carolee
Schneemann, Marina Abramovic, Joseph Beuys,
Nam June Paik, Vito Acconci, etc.

Marina Abramovic, Enter Marina Abramović’s virtual reality,


Vogue, courtesy AcuteArt, 2018
Marina Abramovic nous partage dans sa
bibliographie des mémoires de ses études d’arts
“Elle (Une de ses professeure) m’avait enseigné
que le processus était plus important que le
résultat, de même que la performance représente
pour moi davantage que l’objet. J’avais observé le
processus de création puis le processus de
dissolution. Tout cela n’avait ni durée ni stabilité. Tout était pur processus.” 1 On peut dire
que l’art de la performance permet aux artistes créer des espaces qui remettent en question les
conventions de la représentation et les frontières entre les disciplines artistiques en parlent de
l’éphémère des choses. C’est une invitation au public d’être présent dans ce moment de la vie,
et admirer ce qui se présente sous leurs yeux.
L’art de la performance peut avoir lieu en direct, être documenté, spontané ou
préalablement composé. Une performance peut avoir lieu dans n’importe quel contexte ou
lieu. Elle peut avoir une dimension politique, sociale, critique ou esthétique, selon les
intentions de l’artiste et la réception du public. Il est d’ailleurs important de noter
l’importance cruciale de la participation du public : Sans public, il n’existe pas de
performance.
Dans L’Ontologie de la Performance, Alexis Anne-Braun nous explique que : “Dans
la tradition de l’esthétique analytique, on a accordé peu d’attention au fait que l’art puisse
justement produire certains effets sur le spectateur et que cette production d’effet puisse faire
partie aussi de ce qui constitue l’identité d’une œuvre.” 2 Selon l’auteur, l’art donc n’est pas
seulement une affaire de forme, de style ou de concept, mais aussi une affaire d’effet, c’est-à-
dire de la manière dont l’art affecte le spectateur, le fait ressentir, penser ou agir
différemment. L’esthétique analytique, qui s’intéresse surtout à la définition et à
l’identification de l’art, a souvent négligé cette dimension de l’art, qui relève plutôt de
l’expérience esthétique ou de la critique artistique. Cette pensée suggère donc qu’il faut
prendre en compte l’effet de l’art sur le spectateur pour comprendre ce qu’est l’art et ce qu’il
fait.

II. L’étique et l’esthétique dans l’art de la performance.

L’éthique et l’esthétique sont deux notions qui se rapportent à la valeur et au sens de


l’art. L’éthique concerne la dimension morale, sociale et politique de l’art, tandis que
l’esthétique concerne la dimension sensible, formelle et expressive de l’art. Ces deux notions
sont souvent considérées comme opposées ou indépendantes, mais elles sont en réalité
inhérentes l’une à l’autre, comme elles le sont à l’artiste, à la performance, à l’art et à la vie.
L’art de la performance met en évidence la relation étroite entre l’éthique et
l’esthétique, car il implique une prise de risque, une transgression, une provocation, une
remise en question, une réflexion, une émotion... Mais est-ce que l’auteurice d’une
performance dispose d’une liberté plaine de création ? Où se trouve la limite dans la
possibilité que nous avons de représenter un sujet dans la performance ?
Imaginez-vous dans une galerie, et dans l’entrée il y a une jeune femme debout au
milieu de la salle, avec des vêtements noires et une visage sans émotions: simplement une
1
ABRAMOVIC, Marina, Traverser les murs : mémoires, France : Fayard, 2017, p. 43
2
ANNE-BRAUN, Alexis, L’ontologie de la Performance, 2021, p. 129
statue vivante. Mais il y a une table devant elle avec 72 objets différents (Une rose, un verre
avec de l’eau, une plume, un pistolet chargé d’un seule balle, etc...) et un signe qui dit «
Instructions. Il y a 72 objets sur la table que n'importe qui peut utiliser sur moi comme il le
désire. Performance. Je suis l'objet. Pendant cette période, je prends l'intégralité de la
responsabilité. Durée: 6 heures (20h – 2h)»...C’est une mise en scène qui permet analyser
profondément comme on traite au personnes qui nous ne connaissons pas bien, ou de manière
générale, est-ce que nous traitons des personnes comme un objet? C’est que Marina
Abramovic veut questionner dans sa performance Rhythm 0 (1974).

Marina Abramovic, Rhythm 0, acquisition de Tate Gallery, Present à Tate Americas Foundation 2017, © Marina
Abramovic. Courtesy of the Marina Abramovic Archives.

A. L’étique kantienne.

L’éthique kantienne est basée sur les théories de la moralité d’Emmanuel Kant, un
philosophe du XVIIIe siècle. La pensée de Kant est fondée sur la morale, une somme de
principes rationnels et universels, qui s’imposent à tout être humain doté de raison. Il
distingue ainsi «la légalité, qui consiste à respecter les lois civiles ou naturelles, de la
moralité, qui consiste à respecter la loi morale, qui est l’expression de la liberté.» 3
La loi morale, selon Kant, est formulée par l’impératif catégorique, qui est un
commandement inconditionnel et absolu, qui ne dépend pas des circonstances, des
conséquences ou des désirs. L’impératif catégorique se décline en plusieurs formules, dont la
plus célèbre est : "Agis de telle sorte que la maxime de ton action puisse être érigée en loi
universelle"4. Autrement dit, il faut agir de manière à ce que notre action puisse être
généralisée à tous les êtres rationnels, sans contradiction ni exception.
L’impératif catégorique implique donc de respecter la dignité et l’autonomie de soi-
même et des autres, de ne pas les traiter comme des moyens, mais comme des fins, de ne pas
mentir, de ne pas voler, de ne pas tuer, etc. Il implique aussi de se conformer au devoir, qui
est la nécessité d’agir par respect pour la loi morale, et non par inclination, par intérêt ou par
crainte. «Le devoir est la seule source de la morale, selon Kant, qui rejette toute considération
de bonheur, de vertu ou de conséquence dans son étique.»5

B. La performance dans les yeux de l’étique kantienne.

Peut-on dire que l’art de la performance est moral ou immoral, selon les critères de
Kant ? Il n’existe pas de réponse simple et univoque à ces questions, mais nous pouvons
3
COVA, Florian, La Morale, Emmanuel Kant et l’étique des principes, 2012, p. 90
4
Ibidem.
5
Ibidem.
essayer de les aborder sous différents angles. D’un côté, on peut considérer que l’art de la
performance est un acte de liberté, qui exprime la volonté et la créativité de l’artiste, qui se
donne sa propre loi et qui ne se soumet pas aux lois extérieures. On peut alors voir dans l’art
de la performance une forme d’autonomie, qui est une valeur centrale de l’éthique kantienne.
L’artiste de performance serait alors un «superhomme», qui crée ses propres valeurs, qui
assume sa responsabilité (comme fait Abramovic dans les instructions du «Rythm 0») mais
qui signifie être un superhomme? C’est «l’homme qui accepte le changement et le devenir,
qui dit oui à la vie».6
Mais d’une autre côté, on peut considérer que l’art de la performance est un acte qui
défie la loi morale, qui défie le pensée du spectateur et veut créer une controverse: Balkan
Baroque, l’oeuvre de Marina Abramovic peut être observée sous cet aspect. Il y a un désir de
confronter le public aux problèmes de la guerre, à la douleur des familles qui sont séparés...
Marina Abramovic est au milieu d’une montagne d’ossements tandis qu’elle chante des
chansons de son enfance. La guerre a pris le dessus sur ses souvenirs d’enfance, signifié par la
présence d’un enregistrement de la la voix de ses parents au fond de la salle d’exposition,
alors qu’elle semble prise dans une scene post-apocalyptique, seule entourée d’ossement
ensanglantés de laquelle s’échape une odeur associée à la putriéfaction et à la mort... Cette
œuvre est-elle immorale ? On peut au contraire considéré l’œuvre d’Abramovic, malgré la
violence apparente qu’elle dégage, comme une expression de la moralité Kantienne qui
dénonce ce qu’elle trouve injuste : La décision de tuer les habitant.e.s d’un pays au gré de la
volonté de dirigeants.
Entre ces deux extrêmes, on peut aussi envisager des positions plus nuancées, qui
tiennent compte du contexte, du contenu, de la forme, de l’intention, de la réception et de
l’interprétation de l’art de la performance. On peut alors reconnaître que l’art de la
performance n’est pas un bloc homogène, mais une diversité de pratiques, qui peuvent être
plus ou moins compatibles avec l’éthique kantienne, selon les cas. On peut aussi admettre que
l’art de la performance n’est pas seulement un acte, mais aussi une œuvre, qui peut être
appréciée et jugée selon des critères esthétiques, qui ne se réduisent pas aux critères éthiques.
On peut enfin accepter que l’art de la performance ne soit pas seulement une œuvre, mais
aussi une expérience, qui peut être vécue et partagée selon des modalités affectives,
émotionnelles, cognitives, sociales, culturelles, qui ne se limitent pas aux modalités
rationnelles.

III. La réponse du public.

Lors d’une performance, le public et l’artiste vivent l’oeuvre simultanément, ils ne


sont pas simples spectateurs passifs. Le public est acteur, il influence et est influencé par la
performance. Il participe ainsi à la création de l’œuvre de différentes manières, selon le degré
et la modalité d’interaction proposés par l’artiste : être présent ou absent, attentif ou distrait,
silencieux ou bruyant, intervient directement ou indirectement dans la mise en scène proposé
par l’artiste.

Imaginez-vous dans une galerie : dans l’entrée se trouve une jeune femme debout au
milieu de la salle. Elle porte des vêtements noirs et son visage n’exprime aucune émotion :
elle est telle une statue vivante. Devant elle, se trouve une table surlaquelle sont disposés 72
objets différents (Une rose, un verre avec de l’eau, une plume, un pistolet chargé d’un seule
balle, etc...) ainsi qu’un écriteau sur lequel est écrit : « Instructions. Il y a 72 objets sur la
table que n'importe qui peut utiliser sur moi comme il le désire. Performance. Je suis l'objet.
Pendant cette période, je prends l'intégralité de la responsabilité. Durée : 6 heures (20h –
2h)»...Cette mise en scène dans laquelle réside la performance Rhythm 0 (1974) de Marina
Abramovic et qui questionne notre rapport à la violence.

6
Ibid. P.2
Cette performance Rythm 0 de Marina Abramovic permet particulièrement d’évoquer
la question du public. Il s’agit d’une oeuvre controversée, en particulier parce qu’elle est
interprétée par une femme : « Il s’agissait pour Marina Abramovic de mettre pendant six
heures son corps à la disposition du public. Cette action fut l’occasion de vérifier le peu
d’imagination des spectateurs quant aux représentations (vierge, femme-enfant, maîtresse,
esclave, maman, putain...) de la femme »7.

Marina Abramovic, Rhythm 0, 1974 © Marina Abramovic. Courtesy of the Marina Abramovic Archives.

Dans cette performance, le public est alors libre d’utiliser les objets mise à disposition
sur l’artiste, sans aucune limite. C’est lui qui contrôle l’oeuvre et l’artiste. Au début, les gens
sont timides et respectueux, mais progressivement, ils deviennent plus violents et cruels. Ils
lui coupent les vêtements, lui griffent la peau, lui plantent des épines de rose dans le ventre,
lui mettent le pistolet chargé dans la main, etc. À la fin de la performance, Marina Abramovic
reprend son statut d’être humain, et elle se lève pour affronter le public, qui fuit en silence.
Cette performance montre comment le public peut être impliqué dans la création de l’œuvre
de performance, et comment il peut révéler sa part d’ombre, de violence, de cruauté, ou de
lâcheté.

A. La perception kantienne sur la performance Rhythm 0 de Marina Abramovic

Cette performance peut être elle-aussi analysée selon les principes de l’éthique
kantienne, qui se base sur la raison, la loi et le devoir. Selon Kant, la moralité d’une action
dépend de son respect de l’impératif catégorique, qui est un commandement universel et
inconditionnel, qui s’exprime par la formule : “Agis de telle sorte que la maxime de ton action
puisse être érigée en loi universelle” 8. Ainsi, pour Kant, il faut agir de manière à ce que notre
action puisse être généralisée à tous les êtres rationnels, sans contradiction ni exception.
À partir de ce point de vue, on peut considérer que la performance Rhythm 0 de
Marina Abramovic est contraire à l’éthique kantienne, car elle viole la loi morale, la dignité et
l’autonomie de l’artiste et du public. En effet, l’artiste se place dans une situation de

7
LEVY, Clara et QUEMIN, Alain, stéréotypes genrés dans l’oeuvre, reconnaissance esthétique et succès marchand
d’une artiste plasticienne: Le cas de Marina Abramovic, 2011, p. 60
8
Ibid, p. 2
vulnérabilité et de passivité, où elle se livre entièrement au public. Elle se traite donc comme
un objet, et non comme un sujet, ce qui est contraire à l’impératif catégorique. Elle se met
aussi en danger, et expose son corps à la violence, à la douleur, à l’humiliation, voire à la
mort, ce qui est contraire à la dignité humaine. Elle renonce aussi à sa liberté, à sa
responsabilité, à sa volonté, ce qui est contraire à l’autonomie rationnelle. De même, le public
se place dans une situation de pouvoir et d’impunité, où il peut faire ce qu’il veut du corps de
l’artiste, sans aucune limite ni conséquence.

B. La perception personnelle de l’artiste.

Initialement, Rhythm 0 n’avait pas pour but d’amener le public à la lacérer et à sucer
son sang mais la performance a fini par prendre, bien malheureusement, cette tournure.
Rhythm 0 a fini par faire ressortir toute la malveillance et la malfaisance humaine qui se
manifeste face à un corps vulnérable. Marina Abramovic parle ainsi de cette expérience : « Ce
que j’ai appris, c’est que si vous laissez le public décider, il peut vous tuer. Je me suis sentie
vraiment violée : ils ont découpé mes vêtements, planté des épines de rose dans mon ventre,
une personne a pointé le pistolet sur ma tête et un autre lui a retiré. Cela a créé une
atmosphère agressive »9. Est-ce alors la fin de la pensée morale dans l’histoire de l’humanité ?

Conclusion.

L’éthique et l’esthétique son inhérentes l’une à l’autre, comme elles le sont à l’artiste,
à la performance, à l’art et à la vie. Il existe une bataille entre le goût personnel de l’artiste et
le goût du public. L’art de la performance ne peut pas être élaboré sans la perception et
participation du public, est l’expérience personnelle laquelle fait de la performance une œuvre
artistique qui peut être exposé dans les musées et galléries.
La relation entre le public et l’œuvre de performance est une question centrale de
l’esthétique de la performance, qui s’intéresse à l’art qui implique le corps, le temps, l’espace
et la relation avec le public. Le public participe à la création, à la réception et à la
signification de l’œuvre de performance, qui est un art éphémère, qui ne se répète pas à
l’identique, et qui met en jeu des questions de forme, de sens, de valeur et de fonction. La
relation entre le public et l’œuvre de performance est donc une relation dynamique,
interactive, et interprétative, qui contribue à la compréhension et à l’appréciation de l’art de la
performance, qui est un art qui interpelle, qui questionne, qui dérange, qui émerveille, qui
émeut, qui inspire.

9
Ibid, p. 1
Marina Abramovic, Rhythm 0, 1974 © Marina Abramovic. Courtesy of the Marina Abramovic Archives.

Bibliographie.

1.
PAVIS Patrice, La mise en scène contemporaine. Armand Colin, « Hors collection », 2019,
ISBN : 9782200623746. [Consulté le 18 octobre 2023] Disponible à l’adresse :
https://www.cairn.info/la-mise-en-scene-contemporaine--9782200623746.htm
2.
CASSAGNES-BROUQUET Sophi, Marina Abramovic, créatrice en Art corporel. Eléments
d’une biographie, Clio [en ligne]. 30 | 2009, mis en ligne le 15 décembre 2012 [consulté le 18
octobre 2023] Disponible à l’adresse : http://journals.openedition.org/clio/9469
3.
WESTCOTT James, Marina Abramovic: Performances éternelles, Genève : Galerie Guy
Bärtschi, 2005. Pages 19-27.
4.
ABRAMOVIC Marina et KAPLAN James, Traverser les murs : mémoires, France : Fayard,
2017.
5.
DE KANIV Nathalie, Le non-conformisme yougoslave : l’art derrière le mur de Berlin,
Revue Défense Nationale, 2022/5 (N° 850), p. 79-82. DOI : 10.3917/rdna.850.0079.
[Consulté le 18 octobre 2023] Disponible à l’adresse : https://www.cairn.info/revue-defense-
nationale-2022-5-page-79.htm
6.
RéJOUIS Rose, Comment il faut pleurer, Esprit, 2017/6 (Juin), p. 24-27. DOI :
10.3917/espri.1706.0024. [Consulté le 18 octobre 2023] Disponible à l’adresse :
https://www.cairn.info/revue-esprit-2017-6-page-24.htm
7.
LEBAILLY Alice, Performeuses : limites du corps et corps de l'autre. Réflexions sur l'œuvre
de Marina Abramovic et Gina Pane, Perspectives Psy, 2011/2 (Vol. 50), p. 110-116.
[Consulté le 18 octobre 2023] Disponible à l’adresse : https://www.cairn.info/revue-
perspectives-psy-2011-2-page-110.htm
8.
ANNE-BRAUN Alexis, Ontologie de la performance artistique, Nouvelle revue d’esthétique,
2021/1 (n° 27), p. 121-130. DOI : 10.3917/nre.027.0121. [Consulté le 18 octobre 2023]
Disponible à l’adresse : https://www.cairn.info/revue-nouvelle-revue-d-esthetique-2021-1-
page-121.htm
9.
COVA Florian, Emmanuel Kant et l’éthique des principes, dans : Nicolas Journet éd., La
Morale. Éthique et sciences humaines. Auxerre, Éditions Sciences Humaines, « Synthèse »,
2012, p. 85-95. DOI : 10.3917/sh.journ.2012.01.0085. [Consulté le 18 octobre 2023]
Disponible à l’adresse : https://www.cairn.info/la-morale--9782361060312-page-85.htm

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