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Bulletin
d'étude 2e année Lien au programme-cadre
B1.3 estimer le nombre d’objets dans ***poursuivre tout au long de l'année au travers de diverses activités afin d'assurer le dé
des ensembles comprenant jusqu’à
200 objets et vérifier son estimation - l’estimation est une approximation de quantités qui sont trop grandes pour être subitis
en utilisant des stratégies de - estimation du nombre d'objets dans des ensembles ayant des tailles semblables, et de
dénombrement. - reconnaissance globale en regroupant mentalement les objets en petits groupes ou u
- arrondissement (B1.2, B2.3)
- ordre stable (B1.2 et B1.4)
- correspondance un à un (B1.4, D1.3)
B1.4 compter jusqu’à 200, y compris ***poursuivre tout au long de l'année au travers de diverses activités afin d'assurer le dé
par intervalles de 20, 25 et 50, à
l’aide d’une variété d’outils et de - dénombrement par intervalles en tenant compte de :
stratégies. - ordre stable (B1.2 et B1.3)
- correspondance un à un (B1.3, D1.3)
- regroupements d'objets (en fonction de la base 10 ou en groupe de 2, 5, 20, 25 ou
- non-pertinence de l'ordre lorsqu'on compte des objets
- cardinal de l'ensemble
- activités authentiques pour compter à partir d'un nombre donné ou pour compter à reb
- observation des régularités du système de valeur de position (C1.4)
- utilisation d'une même pièce de monnaie ou d'un même billet de dollars pour compter
B1.5 décrire les caractéristiques des - les régularités (0, 2, 4, 6, 8 à la position unité) (C1.4)
nombres pairs et impairs. - un ensemble divisé en deux groupes de même grandeur
ou en plusieurs groupes de 2, sans reste, est un nombre
pair
Fractions
B1.6 utiliser des schémas pour
représenter et résoudre des
problèmes de partage équitable d’un
tout pouvant comprendre jusqu’à 10
éléments entre 2, 3, 4 et 6
personnes, y compris des problèmes
dont le résultat est un nombre
naturel, un nombre fractionnaire ou
une fraction, et comparer les
résultats.
Faits numériques
B2.2 se rappeler les faits d’addition et
de soustraction de nombres jusqu’à
20 et les faits de la soustraction
associés, et démontrer sa
compréhension de ces faits.
Calcul mental
B2.3 utiliser des stratégies de calcul
mental, y compris l’estimation, pour
additionner des nombres naturels
dont la somme est égale ou inférieure
à 50 et pour soustraire des nombres
égaux ou inférieurs à 50, et expliquer
les stratégies utilisées.
Addition et soustraction
B2.4 utiliser des objets, des schémas
et des équations pour représenter,
décrire et résoudre des situations
relatives à l’addition de nombres
naturels dont la somme est égale ou
inférieure à 100 et à la soustraction
de nombres égaux ou inférieurs à
100.
Multiplication et division
B2.5 représenter et résoudre des
problèmes relatifs à la multiplication
en tant qu’addition répétée de
groupes égaux, y compris des
groupes de un demi et de un quart, à
l’aide d’une variété d’outils et de
schémas.
E. Sens de l'espace
E1. (22
Raisonnement
%) Raisonnement géométrique
géométrique et spatial
décrire et représenter
la forme, la position et
le déplacement en se
servant de propriétés
géométriques et de
relations spatiales
pour s’orienter dans le
monde qui l’entoure.
E. Sens de l'espace
E1. (22
Raisonnement
%)
géométrique et spatial
décrire et représenter E1.1 classer et identifier des figures - classement de figures planes selon des propriétés
la forme, la position et planes en comparant le nombre de géométriques
le déplacement en se côtés, la longueur des côtés, les - reconnaissance de certaines propriétés communes et
servant de propriétés angles et le nombre d’axes de distinctes par l’observation, la manipulation et l’exploration
géométriques et de symétrie. (mesure, pliage, dessin) (D1.2)
relations spatiales - attributs géométriques (ex: figures planes, sommets,
pour s’orienter dans le arrêtes, angles congrus, côtés congrus, axes de symétrie
monde qui l’entoure. (D1.1 et C1.1)
- attributs mesurables (angles, longueurs des côtés avec
matériel non conventionnel) (D1.1)
Position et déplacement
E1.4 créer et interpréter des cartes
simples représentant des lieux
familiers.
Temps
E2.4 utiliser des unités de mesure de ***poursuivre tout au long de l'année au travers de diverses activités afin d'assurer le dé
temps, y compris des secondes, des
minutes, des heures ainsi que des - mesure du temps : lecture de l'heure et durée du temps écoulé
unités de mesure non - unités de temps : secondes, minutes, heures, (connaissances antérieures : jours, sem
conventionnelles, pour décrire la - lire, écrire et dire l'heure pile, à la demi-heure et aux quarts d'heure près (B1.6)
durée d’une gamme d’activités. - plus l’unité de temps est petite, plus la mesure sera exacte (résultats d'une course)
- compter par intervalles (p.ex., minutes, jours, ...) (B1.4)
- concepts fondamentaux : relation entre les unités de mesure conventionnelles de temp
- régularités trouvées dans la vie quotidienne. C1.1
F. Littératie financière
F1. Argent
(10 %)
et finances Concepts monétaires
démontrer les
connaissances et les F1.1 déterminer différentes façons ***poursuivre tout au long de l'année au travers de diverses activités afin d'assurer le dé
habiletés nécessaires d’arriver au même montant d’argent
pour prendre des en monnaie canadienne jusqu’à 200 - représentation d'un nombre par une quantité, un nom ou un symbole (B1.1)
décisions financières ¢ avec diverses combinaisons de - invariance numérique: un même nombre peut avoir plusieurs représentations variées (
éclairées. pièces de monnaie, et jusqu’à 200 $ - regroupement d'objets (de pièces de monnaie et de billets) en fonction de la base 10 (
avec différentes combinaisons de - conservation du nombre peu importe la disposition (B1.1)
pièces de 1 $ et de 2 $ et de billets - utilisation d'une même pièce de monnaie ou d'un même billet de dollars pour compter
de 5 $, 10 $, 20 $, 50 $ et 100 $. - explication orale du raisonnement ou de la stratégie utilisée lorsqu'on calcule des pièc
- utilisation de pièces de monnaie et billets pour représenter, décrire et résoudre des situ
Bulletin de progrès
Bulletin scolaire 1
Octobre Novembre
de favoriser son bien-être ainsi que sa capacité d’apprendre, d’améliorer sa résilience et de s’épanouir, l’élève doit pouvoir : mettre en application, au mieux de ses capacités, diverses habiletés soc
e diverses activités afin d'assurer le développement de bases solides chez les élèves
s (D1.5 et F1.1)
de 1 à 100
és pour évaluer une quantité ( p. ex., 55 c'est 5 de plus que 50, 50 étant ainsi un nombre repère) (B1.3)
ssant
ans le système de numération en base dix (C1.4)
D1.5)
être comparés directement (p. ex., 5 cents et 20 cents, 12 oiseaux et 16 oiseaux
e diverses activités afin d'assurer le développement de bases solides chez les élèves
e de :
n nombre donné ou pour compter à rebours, comptage par bonds (B2.5) en faisant des liens (C1.4) et dans les diagrammes (D1.3)
ur de position (C1.4)
n même billet de dollars pour compter par bonds et représenter des montants jusqu'à 200¢ ou 200$ ( F1.1)
***poursuivre tout au long de l'année au travers de diverses activités afin d'assurer le développement de bases solides chez les élèves
- l'addition et la soustraction s'annulent l'une l'autre, ce sont des opérations inverses. Les élèves n'ont pas besoin d'apprendre les faits numériques de soustraction sépa
ex., pour effectuer une soustraction, utiliser le fait numérique de l'addition correspondant) (B2.2)
- commutativité de l'addition mais pas de la soustraction (B2.2) .Lien possible avec le codage (C2.2, C3.1, C3.2). Créer une séquence de codes dans laquelle le lutin ou
déplace le long d'une droite numérique. Tester ce qui se passe lorsqu'on change l'ordre pour l'addition et pour la soustraction
- pour additionner deux nombres, on peut soustraire une quantité de l'un des nombres pour l'ajouter à l'autre sans changer la somme (associativité) (B2.2, B2.3 et C2.2
- additionner ou soustraire des nombres par étape ou par décomposition (par exemple, 12 + 5 = 10 + 5 + 2 = 15 + 2 = 17 ) (B2.2)
- commutativité et associativité de l'addition (C2.2)
- équation : équivalence de chaque côté du signe d'égalité (C2.3) Lien possible avec le codage (C2.3, C3.1, C3.2). Deux équipes programment une séquence d'opérat
lutins ou leurs robots le long d'une droite numérique. Ils comparent la distance parcourue. Si la distance n'est pas la même, ils tentent d'équilibrer le tout.
- essais systématiques, inspection, décomposition, comparaison de termes (C2.3)
- relations entre l'addition et la multiplication (addition répétée ou la somme de 4 + 4 + 4 ou 3 bonds de 4 ou 3 groupes de 4)
- relations entre la soustraction et la division (soustraction répétée 8 - 2 - 2 - 2 - 2 ou sur une droite numérique 8 divisé en 4 bonds de 2)
- créer une séquence de code pour que le lutin ou le robot avance et recule de la même distance; inclure des séquences composées de plus d'une opération de chaque
exemple, avance de 10, recule de 7, recule de 3. (C3.1, C3.2)
*** Ce contenu en lien avec les faits d'additions et de soustractions doit se poursuivre selon les besoins collectifs et individuels des élèves (différenciation pédagogique
- l'addition et la soustraction s'annulent l'une l'autre, ce sont des opérations inverses. (Les élèves n'ont pas besoin d'apprendre les faits numériques de la soustraction s
- pour additionner deux nombres, on peut soustraire une quantité de l'un des nombres pour l'ajouter à l'autre sans changer la somme (associativité) (B2.1)
- enseignement explicite de stratégies variées: l'effet du nombre 0, un de plus, deux de plus, les doubles, doubles +1, doubles -1, un de moins, 2 de moins, les moitiés,
-explication orale du raisonnement ou de la stratégie utilisée (F1.1)
-équation : équivalence de chaque côté du signe d'égalité (C2.3)
-essais systématiques, inspection, décomposition, comparaison de termes (C2.3)
***poursuivre tout au long de l'année au travers de diverses activités afin d'assurer le développement de bases solides chez les élèves
- l'addition et la soustraction s'annulent l'une l'autre, ce sont des opérations inverses. Les élèves n'ont pas besoin d'apprendre les faits numériques de soustraction sépa
- commutativité de l'addition mais pas de la soustraction (B2.2) .Lien possible avec le codage (C2.2, C3.1, C3.2). Créer une séquence de codes dans laquelle le lutin ou
- pour additionner deux nombres, on peut soustraire une quantité de l'un des nombres pour l'ajouter à l'autre sans changer la somme (associativité) (B2.2, B2.3 et C2.2
- additionner ou soustraire des nombres par étape ou par décomposition (par exemple, 12 + 5 = 10 + 5 + 2 = 15 + 2 = 17 ) (B2.2)
- commutativité et associativité de l'addition (C2.2)
- équation : équivalence de chaque côté du signe d'égalité (C2.3) Lien possible avec le codage (C2.3, C3.1, C3.2). Deux équipes programment une séquence d'opérat
- essais systématiques, inspection, décomposition, comparaison de termes (C2.3)
- relations entre l'addition et la multiplication (addition répétée ou la somme de 4 + 4 + 4 ou 3 bonds de 4 ou 3 groupes de 4)
- relations entre la soustraction et la division (soustraction répétée 8 - 2 - 2 - 2 - 2 ou sur une droite numérique 8 divisé en 4 bonds de 2)
- créer une séquence de code pour que le lutin ou le robot avance et recule de la même distance; inclure des séquences composées de plus d'une opération de chaque
***poursuivre tout au long de l'année au travers de diverses activités afin d'assurer le développement de bases solides chez les élèves
- terminologie : terme manquant, valeur de l'inconnue, phrase mathématique, signes (=, +, -), équation, situation d'égalité, symbole de l'égalité
(C2.2)
- utilisation du matériel concret (p. ex., Rekenrek, balance à plateaux, balance à nombres, grille de nombres, droite numérique, matériel de base dix, (C2.2) pièces de m
- problèmes d'ajout, de retrait, de réunion et de comparaison
- variétés de situations :
- situations d'ajout et situations de partie-partie-tout où le terme manquant est soit la somme, soit le terme à additionner ou soit le terme de départ
- situations de retrait et situations de comparaison où le terme manquant est soit la différence, soit le terme à soustraire ou soit le terme de départ
- explications orales (lors d'utilisation d'objets) et explications écrites (dessins, schémas et équations C2.2) pour laisser des traces du raisonnement
- essais systématiques, inspection, décomposition, comparaison de terme (C2.3)
Suites numériques comprenant des nombres naturels :
- choix de la régularité d'addition ou soustraction à l'aide de matériel concret (p. ex., grille de 100, cadres à
droite numérique) (B2.5), composition de la suite (au moins trois termes)
- compter par bonds/intervalles (B1.4)
- différentes représentations permettent de comprendre la structure de la suite : mots, dessins, matériel co
transformer une suite d’un mode de représentation à un autre— concret, symbolique ou imagé — à un aut
- liens avec le codage (C3.1, C3.2) L'élève peut programmer des séquences de code pour créer des suites
et des suites à motif croissant. L'élève peut créer des séquences de codes « simultanées » pour créer plus
la fois.
u temps écoulé
onnaissances antérieures : jours, semaines, mois, les saisons, les fêtes)
aux quarts d'heure près (B1.6)
sera exacte (résultats d'une course)
) (B1.4)
és de mesure conventionnelles de temps, transitivité, additivité (GEEM 1à 3e_Mesure_Attribut temps)
.1
e diverses activités afin d'assurer le développement de bases solides chez les élèves
numérique)
oin d'apprendre les faits numériques de soustraction séparément. (p. - l’addition et la soustraction sont des opérations inverses , lien avec le codage. C2.2, C3.1, C3.2 : créer un
- les modèles partie-tout mettent en évidence le fait que l’addition et la soustraction sont des opérations inv
2). Créer une séquence de codes dans laquelle le lutin ou le robot se - la relation inverse peut être utilisée pour vérifier qu’une solution est juste
la soustraction - propriétés de l'addition: commutativité, associativité, rôle du zéro
ans changer la somme (associativité) (B2.2, B2.3 et C2.2) - propriété de la soustraction: rôle du zéro
5 + 2 = 17 ) (B2.2) - commutativité et associativité de la multiplication (C2.2)
- relations entre l'addition et la multiplication (addition répétée ou la somme de 4 + 4 + 4 ou 3 bonds de 4
C3.2). Deux équipes programment une séquence d'opérations avec leurs - relations entre la soustraction et la division (soustraction répétée 8 -2-2-2-2 ou sur une droite numérique
pas la même, ils tentent d'équilibrer le tout. - l’addition répétée est souvent utilisée comme stratégie de multiplication : on additionne des groupes égau
- la soustraction répétée est souvent utilisée comme stratégie de division : on soustrait des groupes égaux
3 groupes de 4)
ue 8 divisé en 4 bonds de 2)
séquences composées de plus d'une opération de chaque type, par
soin d'apprendre les faits numériques de la soustraction séparément. Pour faire une soustraction, ils peuvent utiliser le fait numérique de l'addition correspondant) (B2.1)
ans changer la somme (associativité) (B2.1)
bles +1, doubles -1, un de moins, 2 de moins, les moitiés, groupe de 10, décomposition (B2.1), commutativité de l'addition (B2.1) , utilisation de faits connus, former des dizaines
oin d'apprendre les faits numériques de soustraction séparément. (p. ex., pour effectuer une soustraction, utiliser le fait numérique de l'addition correspondant) ( B2.2)
2). Créer une séquence de codes dans laquelle le lutin ou le robot se déplace le long d'une droite numérique. Tester ce qui se passe lorsqu'on change l'ordre pour l'addition et pour
ans changer la somme (associativité) (B2.2, B2.3 et C2.2)
5 + 2 = 17 ) (B2.2)
C3.2). Deux équipes programment une séquence d'opérations avec leurs lutins ou leurs robots le long d'une droite numérique. Ils comparent la distance parcourue. Si la distance n'e
3 groupes de 4)
ue 8 divisé en 4 bonds de 2)
séquences composées de plus d'une opération de chaque type, par exemple, avance de 10, recule de 7, recule de 3. (C3.1, C3.2)
s solides chez les élèves
roite numérique, matériel de base dix, (C2.2) pièces de monnaie et billets (F1.1)
***poursuivre tout au long de l'année au travers de diverses activités afin d'assurer le développement de b
inverses , lien avec le codage. C2.2, C3.1, C3.2 : créer une séquence de codes pour que le lutin ou le robot avance et recule de la même distance; inclure des séquences composé
ait que l’addition et la soustraction sont des opérations inverses ( B2.4)
qu’une solution est juste
vité, rôle du zéro
n (C2.2)
tion répétée ou la somme de 4 + 4 + 4 ou 3 bonds de 4 ou 3 groupes de 4)
ustraction répétée 8 -2-2-2-2 ou sur une droite numérique 8 divisé en 4 bonds de 2)
ratégie de multiplication : on additionne des groupes égaux pour obtenir le total
me stratégie de division : on soustrait des groupes égaux d’un nombre donné pour arriver à la solution
ue. Ils comparent la distance parcourue. Si la distance n'est pas la même, ils tentent d'équilibrer le tout.
.1, C3.2)
e diverses activités afin d'assurer le développement de bases solides chez les élèves
re un problème(B1.6, B2.6) : dans une multiplication, un des nombres représente le nombre d’objets, mais l’autre nombre représente le nombre de groupes
5 et 50. (B1.4, ), lien avec le codage (C1.2, C3.1, C3.2). L'élève peut programmer des séquences de codes pour compter « automatiquement » par bonds
ngulaire
nnu lorsqu’on connaît le nombre de groupes et la taille des groupes
oupes inconnu, soit la taille des groupes lorsqu’on connaît le résultat
1.1)
***poursuivre tout au long de l'année au travers de diverses activités afin d'assurer le développement de bases solides chez les élèves
e diverses activités afin d'assurer le développement de bases solides chez les élèves
eprésenter, décrire et résoudre des situations relatives à l'addition et à la soustraction (B2.3, B2.4) à la multiplication en tant qu’addition répétée (B2.5)
Bulletin scolaire 2
Avril Mai
de mathématiques.
t de bases solides chez les élèves
une partie d'un tout divisé en quatre, c'est la fraction unitaire; il y a 4 quarts dans le tout
ntes, et 2 un tiers (deux tiers) et 4 un sixième (quatre sixièmes) sont équivalentes
s, réglettes Cuisenaire)
ule de la même distance; inclure des séquences composées de plus d'une opération de chaque type, par exemple, avance de 10, recule de 7, recule de 3
représente le nombre de groupes
« automatiquement » par bonds
1/2 est plus probable et aide à faire des prédictions ou prendre des
1.4)
(D1.5)
t utiliser les blocs de programmation de type « aléatoire » pour coder
nombre au hasard de ... à .... , choisir une couleur au hasard)