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Année

Bulletin
d'étude 2e année Lien au programme-cadre

Domaine Attentes Contenus Septembre


A. Apprentissage socioémotionnel en mathématiques et processus mathématiques
Tout au long de cette année d’études, afin de développer une identité positive en tant qu’apprenante ou apprenant des mathématiques, et de favoriser son bien-être ainsi que sa cap
B. Nombres (30 %) B1. Sens du nombre Nombres naturels
démontrer sa
compréhension des B1.1 lire, représenter, composer et ***poursuivre tout au long de l'année au travers de diverses activités afin d'assurer le dé
nombres et établir des décomposer les nombres naturels de
liens avec leur 0 jusqu’à 200, à l’aide d’une variété - lecture-écriture en chiffres des nombres naturels (D1.5 et F1.1)
utilisation dans la vie d’outils et de stratégies, dans divers - lecture-écriture en lettres des nombres naturels
quotidienne. contextes, et décrire de quelles - représentation d'un nombre par une quantité (F1.1); un nombre est décomposé puis re
façons ils sont utilisés dans la vie - invariance numérique: un même nombre peut avoir des représentations variées (F1.1)
quotidienne. - conservation du nombre peu importe la disposition (F1.1)
- reconnaissance globale grâce à la disposition des objets
- valeur de position repose sur des régularités (x 1, x 10, x 100) (C1.4) la séquence de
- identification de la valeur d'un chiffre dans un nombre naturel avec matériel ou illustrat
- décomposition d'un nombre naturel et représentation de ce nombre à l'aide de matérie
B1.2 comparer et ordonner les ***poursuivre tout au long de l'année au travers de diverses activités afin d'assurer le dé
nombres naturels jusqu’à 200, dans
divers contextes. - utilisation d'une droite numérique et de la grille de 1 à 100
- utilisation de points d'ancrage (5 ou 10)
- utilisation de nombres repères: nombres utilisés pour évaluer une quantité ( p. ex., 5
- arrondissement (B1.3, B2.3)
- placer les nombres en ordre croissant et décroissant
- valeurs de position repose sur des régularités dans le système de numération en base
- utilisation des nombres ordinaux (C1.4)
- plus grand que, plus petit que, égal à
- comparaison de données de nombres naturels (D1.5)
- les nombres avec les mêmes éléments peuvent être comparés directement (p. ex., 5 c
- éléments sous-jacents du dénombrement :
- conservation du nombre
- cardinal d'un ensemble
- invariance numérique
- ordre stable (B1.3 et B1.4)
- non-pertinence de l'ordre
- un de plus, un de moins
- correspondance de un à un
- regroupement en fonction de la base dix

B1.3 estimer le nombre d’objets dans ***poursuivre tout au long de l'année au travers de diverses activités afin d'assurer le dé
des ensembles comprenant jusqu’à
200 objets et vérifier son estimation - l’estimation est une approximation de quantités qui sont trop grandes pour être subitis
en utilisant des stratégies de - estimation du nombre d'objets dans des ensembles ayant des tailles semblables, et de
dénombrement. - reconnaissance globale en regroupant mentalement les objets en petits groupes ou u
- arrondissement (B1.2, B2.3)
- ordre stable (B1.2 et B1.4)
- correspondance un à un (B1.4, D1.3)
B1.4 compter jusqu’à 200, y compris ***poursuivre tout au long de l'année au travers de diverses activités afin d'assurer le dé
par intervalles de 20, 25 et 50, à
l’aide d’une variété d’outils et de - dénombrement par intervalles en tenant compte de :
stratégies. - ordre stable (B1.2 et B1.3)
- correspondance un à un (B1.3, D1.3)
- regroupements d'objets (en fonction de la base 10 ou en groupe de 2, 5, 20, 25 ou
- non-pertinence de l'ordre lorsqu'on compte des objets
- cardinal de l'ensemble
- activités authentiques pour compter à partir d'un nombre donné ou pour compter à reb
- observation des régularités du système de valeur de position (C1.4)
- utilisation d'une même pièce de monnaie ou d'un même billet de dollars pour compter

B1.5 décrire les caractéristiques des - les régularités (0, 2, 4, 6, 8 à la position unité) (C1.4)
nombres pairs et impairs. - un ensemble divisé en deux groupes de même grandeur
ou en plusieurs groupes de 2, sans reste, est un nombre
pair

Fractions
B1.6 utiliser des schémas pour
représenter et résoudre des
problèmes de partage équitable d’un
tout pouvant comprendre jusqu’à 10
éléments entre 2, 3, 4 et 6
personnes, y compris des problèmes
dont le résultat est un nombre
naturel, un nombre fractionnaire ou
une fraction, et comparer les
résultats.

B1.7 reconnaître l’équivalence entre


un tiers et deux sixièmes d’un même
tout, dans des contextes de partage
équitable d’une quantité.
B2. Sens des Propriétés et relations
opérations
utiliser ses
connaissances des
nombres et des
opérations pour
résoudre des
problèmes
mathématiques de la
vie quotidienne.
B2. Sens des
opérations
utiliser ses B2.1 utiliser les propriétés de
connaissances des l’addition et de la soustraction, et les
nombres et des relations entre l’addition et la
opérations pour multiplication ainsi qu’entre la
résoudre des soustraction et la division pour
problèmes résoudre des problèmes et vérifier la
mathématiques de la vraisemblance des calculs.
vie quotidienne.

Faits numériques
B2.2 se rappeler les faits d’addition et
de soustraction de nombres jusqu’à
20 et les faits de la soustraction
associés, et démontrer sa
compréhension de ces faits.

Calcul mental
B2.3 utiliser des stratégies de calcul
mental, y compris l’estimation, pour
additionner des nombres naturels
dont la somme est égale ou inférieure
à 50 et pour soustraire des nombres
égaux ou inférieurs à 50, et expliquer
les stratégies utilisées.
Addition et soustraction
B2.4 utiliser des objets, des schémas
et des équations pour représenter,
décrire et résoudre des situations
relatives à l’addition de nombres
naturels dont la somme est égale ou
inférieure à 100 et à la soustraction
de nombres égaux ou inférieurs à
100.

Multiplication et division
B2.5 représenter et résoudre des
problèmes relatifs à la multiplication
en tant qu’addition répétée de
groupes égaux, y compris des
groupes de un demi et de un quart, à
l’aide d’une variété d’outils et de
schémas.

B2.6 représenter et résoudre des


problèmes relatifs à la division de 12
éléments ou moins en tant que
partage égal d’une quantité, à l’aide
d’une variété d’outils et de schémas.

C. Algèbre (23 %)C1. Suites et relations Suites


reconnaître, décrire,
prolonger et créer une
variété de suites, y
compris des suites
trouvées dans la vie
quotidienne, et faire
des prédictions à leur
sujet.
C. Algèbre (23 %)C1. Suites et relations
reconnaître, décrire,
prolonger et créer une C1.1 reconnaître et décrire une
variété de suites, y variété de suites non numériques, y
compris des suites compris des suites trouvées dans la
trouvées dans la vie vie quotidienne."
quotidienne, et faire
des prédictions à leur
sujet.

C1.2 créer des suites à l’aide d’une


variété de représentations, y compris
des nombres et des formes
géométriques, et établir des liens
entre les différentes représentations.

C1.3 déterminer et utiliser les règles


pour prolonger des suites, faire et
justifier des prédictions, et trouver des
termes manquants dans des suites
représentées à l’aide de formes
géométriques et de nombres (suites
numériques et non numériques).

C1.4 créer et décrire des suites


comprenant des nombres naturels
jusqu’à 100, et représenter des
relations entre ces nombres.
C2. Équations et Variables
inégalités
démontrer sa C2.1 décrire des façons et des
compréhension des situations où des symboles sont
variables, des utilisés comme variables.
expressions, des
égalités et des
inégalités et mettre en
application cette
compréhension dans
divers contextes.

Relations d’égalité et d’inégalité


C2.2 déterminer ce qui doit être
ajouté ou soustrait pour que des
expressions comportant des additions
et des soustractions deviennent
équivalentes.

C2.3 déterminer et utiliser des


relations d’équivalence comprenant
des nombres naturels jusqu’à 100,
dans divers contextes.

C3. Codage Habiletés en codage


mettre en application
ses habiletés en
codage pour résoudre
des problèmes et
créer des
représentations de
situations
mathématiques de
façons
C3. Codage
mettre en application
ses habiletés en C3.1 résoudre des problèmes et créer - reconnaissance des attributs ainsi que des caractéristiques décrivant ces attributs- attr
codage pour résoudre des représentations de situations
des problèmes et mathématiques de façons
créer des computationnelles en écrivant et
représentations de exécutant des codes, y compris des
situations codes comprenant des événements
mathématiques de séquentiels et des événements
façons simultanés.
computationnelles, à
l’aide de concepts et
d’habiletés en codage.

C3.2 lire et modifier des codes


donnés, y compris des codes
comprenant des événements
séquentiels et des événements
simultanés, et décrire l’incidence de
ces changements sur les résultats
dans divers contextes.

C4. Modélisation mathématique


mettre en application le processus de modélisation mathématique pour représenter et analyser des situations de la vie quotidienne, ainsi que pour faire des prédictions et fournir des
D. Données (15 %) D1. Littératie Collecte et organisation des données
statistique
traiter, analyser et
utiliser des données
pour formuler des
arguments persuasifs
et prendre des
décisions éclairées
dans divers contextes
de la vie quotidienne.
D. Données (15 %)
D1. Littératie
statistique
traiter, analyser et D1.1 trier et classer des ensembles
utiliser des données de données portant sur des
pour formuler des personnes ou des objets en fonction
arguments persuasifs de deux attributs, en utilisant des
et prendre des tableaux et des logigrammes, y
décisions éclairées compris des diagrammes de Venn et
dans divers contextes de Carroll.
de la vie quotidienne.
D1.2 collecter des données au moyen
d’observations, d’expériences et
d’entrevues pour répondre à des
questions d’intérêt concernant deux
éléments d’information, et organiser
ces données à l’aide de tableaux de
dénombrement à double entrée.

Visualisation des données


D1.3 représenter des ensembles de
données, en utilisant la
correspondance un à un, à l’aide de
diagrammes concrets, de
diagrammes à pictogrammes, de
lignes de dénombrement et de
diagrammes à bandes, comprenant
des sources, des titres et des
étiquettes appropriés.

Analyse des données


D1.4 déterminer le ou les modes de
divers ensembles de données
présentées dans des diagrammes
concrets, des diagrammes à
pictogrammes, des lignes de
dénombrement, des diagrammes à
bandes et des tableaux, et expliquer
ce que ces valeurs indiquent au sujet
des données.
D1.5 analyser divers ensembles de
données présentées de différentes
façons, y compris dans des
logigrammes, des lignes de
dénombrement et des diagrammes à
bandes, en se posant des questions
au sujet des données, en y répondant
et en tirant des conclusions, et
ensuite formuler des arguments
persuasifs et prendre des décisions
éclairées.

D2. Probabilité Probabilité


décrire la probabilité
que des événements D2.1 utiliser le vocabulaire
se produisent et mathématique, y compris des termes
utiliser cette comme « impossible », « possible »
information pour faire et « certain » pour exprimer la
des prédictions. probabilité que des événements
complémentaires se produisent et
s’appuyer sur cette probabilité pour
faire des prédictions et prendre des
décisions éclairées.

D2.2 formuler et vérifier des


prédictions sur la probabilité que le
ou les modes d’un ensemble de
données reste le même si les
données sont collectées auprès d’une
population différente.

E. Sens de l'espace
E1. (22
Raisonnement
%) Raisonnement géométrique
géométrique et spatial
décrire et représenter
la forme, la position et
le déplacement en se
servant de propriétés
géométriques et de
relations spatiales
pour s’orienter dans le
monde qui l’entoure.
E. Sens de l'espace
E1. (22
Raisonnement
%)
géométrique et spatial
décrire et représenter E1.1 classer et identifier des figures - classement de figures planes selon des propriétés
la forme, la position et planes en comparant le nombre de géométriques
le déplacement en se côtés, la longueur des côtés, les - reconnaissance de certaines propriétés communes et
servant de propriétés angles et le nombre d’axes de distinctes par l’observation, la manipulation et l’exploration
géométriques et de symétrie. (mesure, pliage, dessin) (D1.2)
relations spatiales - attributs géométriques (ex: figures planes, sommets,
pour s’orienter dans le arrêtes, angles congrus, côtés congrus, axes de symétrie
monde qui l’entoure. (D1.1 et C1.1)
- attributs mesurables (angles, longueurs des côtés avec
matériel non conventionnel) (D1.1)

E1.2 composer et décomposer des - utilisation de matériaux non conventionnels


figures planes, et montrer que l’aire - composition, construction et décomposition de figures
d’une figure reste constante, quelle planes à l'aide de matériel concret ( mosaïques
que soit la façon dont ses parties sont géométriques, tangram, pentominos, géoplan ) en
organisées. assemblant, transformant et nommant les diverses figures
- aire désigne la grandeur d’une surface ou d’un espace à
deux dimensions (la superficie)
- exploration avec les mosaïques géométriques: création
d'une nouvelle figure avec les mêmes mosaïques
- l'aire d’une surface demeure la même, que la surface soit
déplacée, transformée ou décomposée
- concepts fondamentaux : itération, transitivité,
conservation, additivité, structure associée aux unités de
mesure
de l’aire d’un rectangle, relation inverse (GEEM 1 à
3e_Mesure_Attribut Aire)
- attributs mesurables (aires et longueurs) (D1.1)

E1.3 identifier des longueurs et des


angles congrus dans des figures
planes en les superposant
mentalement et concrètement, et
déterminer si les figures planes sont
congruentes.

Position et déplacement
E1.4 créer et interpréter des cartes
simples représentant des lieux
familiers.

E1.5 décrire la position relative


d’objets divers et les déplacements
nécessaires pour passer d’un objet à
l’autre.

E2. Sens de la mesure Longueur


comparer, estimer et
déterminer des
mesures dans divers
contextes.
E2. Sens de la mesure
comparer, estimer et
déterminer des E2.1 utiliser des unités de mesure
mesures dans divers non conventionnelles de façon
contextes. appropriée pour mesurer des
longueurs, et décrire la relation
inverse entre la taille de l’unité et le
nombre d’unités nécessaire.

E2.2 expliquer la relation entre les


centimètres et les mètres comme
unités de mesure de longueur, et
utiliser des repères représentant ces
unités pour estimer des longueurs.
E2.3 mesurer et tracer des longueurs
en centimètres et en mètres en
utilisant un instrument de mesure, et
reconnaître les conséquences du
choix d’un point de départ autre que
zéro.

Temps
E2.4 utiliser des unités de mesure de ***poursuivre tout au long de l'année au travers de diverses activités afin d'assurer le dé
temps, y compris des secondes, des
minutes, des heures ainsi que des - mesure du temps : lecture de l'heure et durée du temps écoulé
unités de mesure non - unités de temps : secondes, minutes, heures, (connaissances antérieures : jours, sem
conventionnelles, pour décrire la - lire, écrire et dire l'heure pile, à la demi-heure et aux quarts d'heure près (B1.6)
durée d’une gamme d’activités. - plus l’unité de temps est petite, plus la mesure sera exacte (résultats d'une course)
- compter par intervalles (p.ex., minutes, jours, ...) (B1.4)
- concepts fondamentaux : relation entre les unités de mesure conventionnelles de temp
- régularités trouvées dans la vie quotidienne. C1.1

F. Littératie financière
F1. Argent
(10 %)
et finances Concepts monétaires
démontrer les
connaissances et les F1.1 déterminer différentes façons ***poursuivre tout au long de l'année au travers de diverses activités afin d'assurer le dé
habiletés nécessaires d’arriver au même montant d’argent
pour prendre des en monnaie canadienne jusqu’à 200 - représentation d'un nombre par une quantité, un nom ou un symbole (B1.1)
décisions financières ¢ avec diverses combinaisons de - invariance numérique: un même nombre peut avoir plusieurs représentations variées (
éclairées. pièces de monnaie, et jusqu’à 200 $ - regroupement d'objets (de pièces de monnaie et de billets) en fonction de la base 10 (
avec différentes combinaisons de - conservation du nombre peu importe la disposition (B1.1)
pièces de 1 $ et de 2 $ et de billets - utilisation d'une même pièce de monnaie ou d'un même billet de dollars pour compter
de 5 $, 10 $, 20 $, 50 $ et 100 $. - explication orale du raisonnement ou de la stratégie utilisée lorsqu'on calcule des pièc
- utilisation de pièces de monnaie et billets pour représenter, décrire et résoudre des situ
Bulletin de progrès
Bulletin scolaire 1
Octobre Novembre
de favoriser son bien-être ainsi que sa capacité d’apprendre, d’améliorer sa résilience et de s’épanouir, l’élève doit pouvoir : mettre en application, au mieux de ses capacités, diverses habiletés soc

e diverses activités afin d'assurer le développement de bases solides chez les élèves

s (D1.5 et F1.1)

1.1); un nombre est décomposé puis recomposé: la quantité reste inchangée


voir des représentations variées (F1.1) (matériel concret ou modèles -rekenrek, cadre à dix cases, grille de 1 à 100, droite numérique)
on (F1.1)
es objets
1, x 10, x 100) (C1.4) la séquence de 0 à 9 se répète à chaque dizaine; après 9, commence la dizaine suivante; après 9 dizaines, commence la centaine suivante
ombre naturel avec matériel ou illustration
ation de ce nombre à l'aide de matériel, d'illustrations ou la forme développée utilisant le symbole d'égalité (p. ex., 187 = 100 + 80 + 7) et travaillant la pensée algébrique. (C2.2)
e diverses activités afin d'assurer le développement de bases solides chez les élèves

de 1 à 100

és pour évaluer une quantité ( p. ex., 55 c'est 5 de plus que 50, 50 étant ainsi un nombre repère) (B1.3)

ssant
ans le système de numération en base dix (C1.4)

D1.5)
être comparés directement (p. ex., 5 cents et 20 cents, 12 oiseaux et 16 oiseaux

e diverses activités afin d'assurer le développement de bases solides chez les élèves

qui sont trop grandes pour être subitisées conceptuellement


bles ayant des tailles semblables, et des formes, des tailles et des orientations différentes
ment les objets en petits groupes ou unités (unitisation d'une quantité) nombres repères pour aider à l'estimation (B1.2)
e diverses activités afin d'assurer le développement de bases solides chez les élèves

e de :

se 10 ou en groupe de 2, 5, 20, 25 ou 50) (B1.1)


es objets

n nombre donné ou pour compter à rebours, comptage par bonds (B2.5) en faisant des liens (C1.4) et dans les diagrammes (D1.3)
ur de position (C1.4)
n même billet de dollars pour compter par bonds et représenter des montants jusqu'à 200¢ ou 200$ ( F1.1)
***poursuivre tout au long de l'année au travers de diverses activités afin d'assurer le développement de bases solides chez les élèves

- l'addition et la soustraction s'annulent l'une l'autre, ce sont des opérations inverses. Les élèves n'ont pas besoin d'apprendre les faits numériques de soustraction sépa
ex., pour effectuer une soustraction, utiliser le fait numérique de l'addition correspondant) (B2.2)
- commutativité de l'addition mais pas de la soustraction (B2.2) .Lien possible avec le codage (C2.2, C3.1, C3.2). Créer une séquence de codes dans laquelle le lutin ou
déplace le long d'une droite numérique. Tester ce qui se passe lorsqu'on change l'ordre pour l'addition et pour la soustraction
- pour additionner deux nombres, on peut soustraire une quantité de l'un des nombres pour l'ajouter à l'autre sans changer la somme (associativité) (B2.2, B2.3 et C2.2
- additionner ou soustraire des nombres par étape ou par décomposition (par exemple, 12 + 5 = 10 + 5 + 2 = 15 + 2 = 17 ) (B2.2)
- commutativité et associativité de l'addition (C2.2)
- équation : équivalence de chaque côté du signe d'égalité (C2.3) Lien possible avec le codage (C2.3, C3.1, C3.2). Deux équipes programment une séquence d'opérat
lutins ou leurs robots le long d'une droite numérique. Ils comparent la distance parcourue. Si la distance n'est pas la même, ils tentent d'équilibrer le tout.
- essais systématiques, inspection, décomposition, comparaison de termes (C2.3)
- relations entre l'addition et la multiplication (addition répétée ou la somme de 4 + 4 + 4 ou 3 bonds de 4 ou 3 groupes de 4)
- relations entre la soustraction et la division (soustraction répétée 8 - 2 - 2 - 2 - 2 ou sur une droite numérique 8 divisé en 4 bonds de 2)
- créer une séquence de code pour que le lutin ou le robot avance et recule de la même distance; inclure des séquences composées de plus d'une opération de chaque
exemple, avance de 10, recule de 7, recule de 3. (C3.1, C3.2)

*** Ce contenu en lien avec les faits d'additions et de soustractions doit se poursuivre selon les besoins collectifs et individuels des élèves (différenciation pédagogique

- l'addition et la soustraction s'annulent l'une l'autre, ce sont des opérations inverses. (Les élèves n'ont pas besoin d'apprendre les faits numériques de la soustraction s
- pour additionner deux nombres, on peut soustraire une quantité de l'un des nombres pour l'ajouter à l'autre sans changer la somme (associativité) (B2.1)
- enseignement explicite de stratégies variées: l'effet du nombre 0, un de plus, deux de plus, les doubles, doubles +1, doubles -1, un de moins, 2 de moins, les moitiés,
-explication orale du raisonnement ou de la stratégie utilisée (F1.1)
-équation : équivalence de chaque côté du signe d'égalité (C2.3)
-essais systématiques, inspection, décomposition, comparaison de termes (C2.3)

***poursuivre tout au long de l'année au travers de diverses activités afin d'assurer le développement de bases solides chez les élèves

- l'addition et la soustraction s'annulent l'une l'autre, ce sont des opérations inverses. Les élèves n'ont pas besoin d'apprendre les faits numériques de soustraction sépa
- commutativité de l'addition mais pas de la soustraction (B2.2) .Lien possible avec le codage (C2.2, C3.1, C3.2). Créer une séquence de codes dans laquelle le lutin ou
- pour additionner deux nombres, on peut soustraire une quantité de l'un des nombres pour l'ajouter à l'autre sans changer la somme (associativité) (B2.2, B2.3 et C2.2
- additionner ou soustraire des nombres par étape ou par décomposition (par exemple, 12 + 5 = 10 + 5 + 2 = 15 + 2 = 17 ) (B2.2)
- commutativité et associativité de l'addition (C2.2)
- équation : équivalence de chaque côté du signe d'égalité (C2.3) Lien possible avec le codage (C2.3, C3.1, C3.2). Deux équipes programment une séquence d'opérat
- essais systématiques, inspection, décomposition, comparaison de termes (C2.3)
- relations entre l'addition et la multiplication (addition répétée ou la somme de 4 + 4 + 4 ou 3 bonds de 4 ou 3 groupes de 4)
- relations entre la soustraction et la division (soustraction répétée 8 - 2 - 2 - 2 - 2 ou sur une droite numérique 8 divisé en 4 bonds de 2)
- créer une séquence de code pour que le lutin ou le robot avance et recule de la même distance; inclure des séquences composées de plus d'une opération de chaque
***poursuivre tout au long de l'année au travers de diverses activités afin d'assurer le développement de bases solides chez les élèves

- terminologie : terme manquant, valeur de l'inconnue, phrase mathématique, signes (=, +, -), équation, situation d'égalité, symbole de l'égalité
(C2.2)
- utilisation du matériel concret (p. ex., Rekenrek, balance à plateaux, balance à nombres, grille de nombres, droite numérique, matériel de base dix, (C2.2) pièces de m
- problèmes d'ajout, de retrait, de réunion et de comparaison
- variétés de situations :
- situations d'ajout et situations de partie-partie-tout où le terme manquant est soit la somme, soit le terme à additionner ou soit le terme de départ
- situations de retrait et situations de comparaison où le terme manquant est soit la différence, soit le terme à soustraire ou soit le terme de départ
- explications orales (lors d'utilisation d'objets) et explications écrites (dessins, schémas et équations C2.2) pour laisser des traces du raisonnement
- essais systématiques, inspection, décomposition, comparaison de terme (C2.3)
Suites numériques comprenant des nombres naturels :
- choix de la régularité d'addition ou soustraction à l'aide de matériel concret (p. ex., grille de 100, cadres à
droite numérique) (B2.5), composition de la suite (au moins trois termes)
- compter par bonds/intervalles (B1.4)
- différentes représentations permettent de comprendre la structure de la suite : mots, dessins, matériel co
transformer une suite d’un mode de représentation à un autre— concret, symbolique ou imagé — à un aut
- liens avec le codage (C3.1, C3.2) L'élève peut programmer des séquences de code pour créer des suites
et des suites à motif croissant. L'élève peut créer des séquences de codes « simultanées » pour créer plus
la fois.

- terminologie : symboles, variables


- une variable dans une équation ou une inéquation peut
être remplacée par plusieurs valeurs (quantité qui change)
- inconnue représentée par une case ou un+F29 trait, un
dessin ou un symbole et par la suite une lettre
- interprétation du problème en mots, identification des
données, création de l'expression ou égalité avec symboles
ctéristiques décrivant ces attributs- attributs généraux (p. ex., couleur, texture)- attributs géométriques (p. ex., figures planes, sommets, arrêtes, solides, faces, angles congrus, côté

e pour faire des prédictions et fournir des renseignements à leur sujet.


- reconnaissance de figures planes congruentes et d'angles
congrus en utilisant divers moyens (p. ex., calquage,
superposition directe ou indirecte, mosaïques géométriques,
géoplans)
- lien avec visualisation spatiale - visualisation et rotation
mentale
- attributs mesurables (angles, longueur) (D1.1)
e diverses activités afin d'assurer le développement de bases solides chez les élèves

u temps écoulé
onnaissances antérieures : jours, semaines, mois, les saisons, les fêtes)
aux quarts d'heure près (B1.6)
sera exacte (résultats d'une course)
) (B1.4)
és de mesure conventionnelles de temps, transitivité, additivité (GEEM 1à 3e_Mesure_Attribut temps)
.1

e diverses activités afin d'assurer le développement de bases solides chez les élèves

n nom ou un symbole (B1.1)


voir plusieurs représentations variées (B1.1) (plus ou moins de pièces)
t de billets) en fonction de la base 10 (B1.1)
on (B1.1)
n même billet de dollars pour compter par bonds et représenter des montants. jusqu'à 200¢ ou 200$ (B1.4)
égie utilisée lorsqu'on calcule des pièces de monnaie ou des billets (B2.1)
eprésenter, décrire et résoudre des situations relatives à l'addition et à la soustraction (B2.3, B2.4)
Décembre Janvier
n application, au mieux de ses capacités, diverses habiletés socioémotionnelles pour appuyer son utilisation des processus mathématiques et son apprentissage lié aux attentes et aux contenus d’a

numérique)

dizaines, commence la centaine suivante

100 + 80 + 7) et travaillant la pensée algébrique. (C2.2)


s (D1.3)
s solides chez les élèves ***poursuivre tout au long de l'année au travers de diverses activités afin d'assurer le développement de b

oin d'apprendre les faits numériques de soustraction séparément. (p. - l’addition et la soustraction sont des opérations inverses , lien avec le codage. C2.2, C3.1, C3.2 : créer un
- les modèles partie-tout mettent en évidence le fait que l’addition et la soustraction sont des opérations inv
2). Créer une séquence de codes dans laquelle le lutin ou le robot se - la relation inverse peut être utilisée pour vérifier qu’une solution est juste
la soustraction - propriétés de l'addition: commutativité, associativité, rôle du zéro
ans changer la somme (associativité) (B2.2, B2.3 et C2.2) - propriété de la soustraction: rôle du zéro
5 + 2 = 17 ) (B2.2) - commutativité et associativité de la multiplication (C2.2)
- relations entre l'addition et la multiplication (addition répétée ou la somme de 4 + 4 + 4 ou 3 bonds de 4
C3.2). Deux équipes programment une séquence d'opérations avec leurs - relations entre la soustraction et la division (soustraction répétée 8 -2-2-2-2 ou sur une droite numérique
pas la même, ils tentent d'équilibrer le tout. - l’addition répétée est souvent utilisée comme stratégie de multiplication : on additionne des groupes égau
- la soustraction répétée est souvent utilisée comme stratégie de division : on soustrait des groupes égaux
3 groupes de 4)
ue 8 divisé en 4 bonds de 2)
séquences composées de plus d'une opération de chaque type, par

tifs et individuels des élèves (différenciation pédagogique)

soin d'apprendre les faits numériques de la soustraction séparément. Pour faire une soustraction, ils peuvent utiliser le fait numérique de l'addition correspondant) (B2.1)
ans changer la somme (associativité) (B2.1)
bles +1, doubles -1, un de moins, 2 de moins, les moitiés, groupe de 10, décomposition (B2.1), commutativité de l'addition (B2.1) , utilisation de faits connus, former des dizaines

s solides chez les élèves

oin d'apprendre les faits numériques de soustraction séparément. (p. ex., pour effectuer une soustraction, utiliser le fait numérique de l'addition correspondant) ( B2.2)
2). Créer une séquence de codes dans laquelle le lutin ou le robot se déplace le long d'une droite numérique. Tester ce qui se passe lorsqu'on change l'ordre pour l'addition et pour
ans changer la somme (associativité) (B2.2, B2.3 et C2.2)
5 + 2 = 17 ) (B2.2)

C3.2). Deux équipes programment une séquence d'opérations avec leurs lutins ou leurs robots le long d'une droite numérique. Ils comparent la distance parcourue. Si la distance n'e

3 groupes de 4)
ue 8 divisé en 4 bonds de 2)
séquences composées de plus d'une opération de chaque type, par exemple, avance de 10, recule de 7, recule de 3. (C3.1, C3.2)
s solides chez les élèves

on d'égalité, symbole de l'égalité

roite numérique, matériel de base dix, (C2.2) pièces de monnaie et billets (F1.1)

à additionner ou soit le terme de départ


e à soustraire ou soit le terme de départ
ur laisser des traces du raisonnement

***poursuivre tout au long de l'année au travers de diverses activités afin d'assurer le développement de b

- interprétation du problème (B1.6, B2.6)


- reconnaissance des données utiles pour résoudre un problème(B1.6, B2.6) : dans une multiplication, un
- comptage par bonds de 1/2, 1/4, 2, 5, 10, 20, 25 et 50. (B1.4, ), lien avec le codage (C1.2, C3.1, C3.2).
- groupes équivalents (B2.6) ou disposition rectangulaire
- multiplication permet de trouver un résultat inconnu lorsqu’on connaît le nombre de groupes et la taille de
- division permet de trouver soit un nombre de groupes inconnu, soit la taille des groupes lorsqu’on connaî
- utilisation de pièces de monnaie et de billets (F1.1)
naturels :
à l'aide de matériel concret (p. ex., grille de 100, cadres à 10 cases,
(au moins trois termes)

rendre la structure de la suite : mots, dessins, matériel concret,


on à un autre— concret, symbolique ou imagé — à un autre
rogrammer des séquences de code pour créer des suites à motif répété
des séquences de codes « simultanées » pour créer plus d'une suite à

Suite non numérique : identification du motif de base et de


la structure pour trouver le terme manquant
- visualisation de la relation entre le rang et le terme
(nombre d'éléments) pour prédire le nombre d'éléments
dans les prochaines figures ou les prochains termes
(proches et lointains) à partir de la régularité identifiée
- formulation de conjectures et de généralisations pour
trouver le terme manquant - terme proche ou terme
éloigné

- valeur de position repose sur des régularités (x1, x10,


x100) (B1.1)
- exploration des régularités dans une grille de nombres en
comptant par intervalles (B1.4) et en faisant des liens
d’addition.(B2.1)
- nombres ordinaux (B1.2)
- création de suites : choix du premier terme, choix de la
régularité, composition de la suite (au moins 3 termes)
es, sommets, arrêtes, solides, faces, angles congrus, côtés congrus, axes de symétrie (E1.1)- attributs mesurables (p. ex., aires et longueurs) (E1.2, E1.3, E2.1)- tri et classement d
- reconnaissance des attributs ainsi que des
caractéristiques décrivant ces attributs
- attributs généraux (p. ex., couleur, texture)
- attributs géométriques (ex: figures planes, sommets,
arrêtes, solides, faces, angles congrus, côtés congrus, axes
de symétrie (E1.1)
- attributs mesurables ( aires et longueurs) (E1.2, E1.3,
E2.1)
- tri et classement deux habiletés complémentaires
- tri : grouper des objets qui présentent une
caractéristique commune et écarter ceux qui ne la
présentent pas
- classement : concevoir des catégories sous lesquelles
il est possible de grouper des objets qui se différencient les
uns des autres
- tableaux : série de données disposées en lignes et en
colonnes pour faciliter la consultation
- logigramme : outil visuel qui permet d'organiser l'ensemble
des données de façon séquentielle
- diagramme de Venn : met en évidence la réunion et
l’intersection d’éléments de différents ensembles
- diagramme de Caroll : met en évidence une partie de
l’ensemble de référence et son complément, les éléments
d'un ensemble sont classifiés en sous-ensembles de
l'ensemble de référence
- lien avec le codage C2.3 : utiliser les capteurs (p. ex.,
capteur de couleurs, capteur d'inclinaison, capteur de
distance, etc.) pour trier des objets à partir des attributs.
- capacité de choisir des sujets, de poser de bonnes
questions et de déterminer de bonnes catégories pour la
collecte de données
- classement selon la reconnaissance de certaines
propriétés communes et distinctes par l’observation, la
manipulation et l’exploration (mesure, pliage, dessin) (E1.1)
- compilation de données (B1.4) dans un tableau de
dénombrement à double entrée (sport préféré des
garçons et filles)
- tableaux des effectifs permet de compiler l'effectif de
chaque catégorie

- correspondance un à un (B1.3, B1.4)


- terminologie :
- diagramme concret : données représentées à l'aide
d'objets ou de personnes
- diagramme à pictogramme : données représentées par
un même pictogramme selon une correspondance de un à
un ou plusieurs
- ligne de dénombrement : façon de collecter, organiser
et présenter des données par des catégories numériques
- diagramme à bandes : données représentées par des
bandes rectangulaires dont la longueur correspond au
nombre de données
- titre, échelle graduée, intervalle (B1.4) , axes, bandes
horizontales ou verticales

- choix autonome du type de diagramme à utiliser selon la


nature des données
- destinataire à considérer
- signification du mode (valeur la plus souvent présente)
- explication du mode dans les diagrammes et lien avec le
quotidien
- interprétation des diagrammes au premier coup d'oeil
- trois niveaux de compréhension d'un ensemble de
données
niveau 1 : lecture des données qui sont clairement
indiquées dans le diagramme (B1.1)
niveau 2 : lecture entre les données qui permettent la
comparaison (B1.2, B2.1) pour tirer des conclusions
niveau 3 : lecture au-delà des données (inférences,
prédictions ) (D1.1, D2.2)
***poursuivre tout au long de l'année au travers de diverses activités afin d'assurer le développement de b
- utilisation de pièces de monnaie et billets pour représenter, décrire et résoudre des situations relatives à
Bulletin scolaire 2
Février Mars
tiques et son apprentissage lié aux attentes et aux contenus d’apprentissage des cinq autres domaines d’étude du programme-cadre de mathématiques.
***poursuivre jusqu'à la fin de l'année scolaire par le biais de diverses activités afin d'assurer le développement de bases solides chez les élèves

- interprétation du problème (B2.5, B2.6)


- reconnaissance des données utiles pour résoudre le problème (B2.5, B2.6)
- correspondance multivoque (B2.6) - les demis (ou la moitié), les tiers, les quarts, les sixièmes (B2.6)
- une fraction n'a un sens que si l'on connaît la nature du tout (B2.6)
- une fraction implique toujours une deuxième fraction : celle qui représente le reste du tout
- fraction propre, utilisation de formes géométriques pour représenter des fractions (E1.1)
- représentation variée des fractions selon la nature du tout
- lorsqu’un tout est divisé en parties équivalentes, le nombre de parties détermine le nom de la fraction, 1/4 est une partie d'un tout divisé en quatre, c'est la fraction unit
- un tout est partagé en trois ou six parties, les fractions un tiers et 2 un sixième (deux sixièmes) sont équivalentes, et 2 un tiers (deux tiers) et 4 un sixième (quatre sixiè
- fraction unitaire : comparer et ordonner à l'aide de matériel concret (cubes emboîtables, bandes fractionnaires, réglettes Cuisenaire)
e diverses activités afin d'assurer le développement de bases solides chez les élèves

inverses , lien avec le codage. C2.2, C3.1, C3.2 : créer une séquence de codes pour que le lutin ou le robot avance et recule de la même distance; inclure des séquences composé
ait que l’addition et la soustraction sont des opérations inverses ( B2.4)
qu’une solution est juste
vité, rôle du zéro

n (C2.2)
tion répétée ou la somme de 4 + 4 + 4 ou 3 bonds de 4 ou 3 groupes de 4)
ustraction répétée 8 -2-2-2-2 ou sur une droite numérique 8 divisé en 4 bonds de 2)
ratégie de multiplication : on additionne des groupes égaux pour obtenir le total
me stratégie de division : on soustrait des groupes égaux d’un nombre donné pour arriver à la solution

numérique de l'addition correspondant) (B2.1)

(B2.1) , utilisation de faits connus, former des dizaines

mérique de l'addition correspondant) ( B2.2)


i se passe lorsqu'on change l'ordre pour l'addition et pour la soustraction

ue. Ils comparent la distance parcourue. Si la distance n'est pas la même, ils tentent d'équilibrer le tout.

.1, C3.2)
e diverses activités afin d'assurer le développement de bases solides chez les élèves

re un problème(B1.6, B2.6) : dans une multiplication, un des nombres représente le nombre d’objets, mais l’autre nombre représente le nombre de groupes
5 et 50. (B1.4, ), lien avec le codage (C1.2, C3.1, C3.2). L'élève peut programmer des séquences de codes pour compter « automatiquement » par bonds
ngulaire
nnu lorsqu’on connaît le nombre de groupes et la taille des groupes
oupes inconnu, soit la taille des groupes lorsqu’on connaît le résultat
1.1)

***poursuivre tout au long de l'année au travers de diverses activités afin d'assurer le développement de bases solides chez les élèves

- interprétation du problème (B1.6, B2.5)


- reconnaissance des données utiles pour résoudre un problème (B1.6, B2.5)
- deux types de problèmes de division : groupement et partage
- groupement :
***poursuivre tout au long de l'année au travers de diverses
activités afin d'assurer le développement de bases solides
chez les élèves

- terminologie : terme manquant, valeur de l'inconnue,


phrase mathématique, signes (=, +, -), équation, situation
d'égalité, symbole de l'égalité
(C2.2)
- utilisation du matériel concret (p. ex., Rekenrek, balance à
plateaux, balance à nombres, grille de nombres, droite
numérique, matériel de base dix, (C2.2) pièces de monnaie
et billets (F1.1)
- problèmes d'ajout, de retrait, de réunion et de comparaison
- variétés de situations :
- situations d'ajout et situations de partie-partie-tout où le
terme manquant est soit la somme, soit le terme à
additionner ou soit le terme de départ
- situations de retrait et situations de comparaison où le
terme manquant est soit la différence, soit le terme à
soustraire ou soit le terme de départ
- explications orales (lors d'utilisation d'objets) et
explications écrites (dessins, schémas et équations C2.2)
pour laisser des traces du raisonnement
- essais systématiques, inspection, décomposition,
comparaison de terme (C2.3)
- terminologie : terme manquant, valeur de l'inconnue,
phrase mathématique, signes (=, +, -), équation, situation
d'égalité, symbole de l'égalité (B1.1, B1.2, B2.4)
- utilisation de matériel concret (p. ex., Rekenrek, balance à
plateaux, balance mathématique, grille de nombres, droite
numérique)
- explication du lien entre la représentation concrète et
symbolique d'une équation (B2.4) : explications orales
( utilisation d'objets) et explications écrites (dessins,
schémas et équations B2.4) pour laisser des traces du
raisonnement
- commutativité et associativité de l'addition (B2.1 et B2.3)
- l'addition et la soustraction s'annulent l'une l'autre, ce sont
des opérations inverses (B2.1 et B2.2)
- commutativité de l'addition mais pas de la soustraction
(B2.1 et B2.2)
- pour additionner deux nombres, soustraire une quantité
de l'un des nombres pour l'ajouter à l'autre sans changer la
somme (associativité) (B2.1, B2.2, B2.3)
- additionner ou soustraire des nombres par étape ou par
décomposition (par exemple, 12 + 5 = 10 + 5 + 2 = 15 + 2 =
17) (B2.2)
- stratégies : essais systématiques, inspection,
décomposition, comparaison de termes (B2.1, B2.2, B2.3,
B2.4 et C2.3)
- équation : équivalence de chaque côté du signe d'égalité
(B2.1, B2.2, B2.3, B2.4)
aires et longueurs) (E1.2, E1.3, E2.1)- tri et classement deux habiletés complémentaires - tri : grouper des objets qui présentent une caractéristique commune et écarter ceux q
- unités de mesure non conventionnelles (p. ex., une paille,
un pied, un crayon)
- objet étalon: l'objet de mesure non conventionnelle choisi
- mesure de longueur : la hauteur, la largeur, la profondeur,
le périmètre, l'épaisseur, la taille, la distance entre deux
points dans n'importe quelle direction
- relation inverse : plus l’unité de mesure utilisée est petite,
plus le nombre d’unités requis pour déterminer la mesure de
l’attribut est grand; plus l’unité de mesure utilisée est
grande, plus le nombre d’unités est petit
- concepts fondamentaux : itération, transitivité,
conservation, structure associée aux unités de mesure,
additivité (GEEM_Mesure 1 à 3e : Attribut longueur)
- attributs mesurables (E1.2 E2.3, D1.1)
- Lien avec le codage : les élèves peuvent programmer des
séquences de codes pour parcourir certaines distances en
estimant combien de « pas » (unité non conventionnelle) le
robot doit parcourir. (p. ex., combien de « pas » de BeeBot
sont nécessaires pour se rendre jusqu'à l'avant de la classe)

- unités de mesure conventionnelles permettent de donner


des mesures fiables
- plus l’unité de mesure utilisée est petite, plus la mesure
sera exacte, 100 centimètres = 1 mètre, centimètre (cm) et
mètre (m)
- point de départ supérieur à zéro : la mesure est
déterminée par la différence entre les deux lignes qui sont
aux deux extrémités de l’objets.
- objet est plus long que l’instrument : déplacement de la
règle à répétition le long de l’objet ou la distance entre deux
points
- identification de repères ou d'un objet étalon
- activités d'estimation à l'aide de repères
- relation entre les nombres (p. ex., 100 centimètres = 1
mètre) (B1.1, B1.2)
- utilisation de différents instruments de mesure : règle,
cubes de 1 cm, ruban à mesurer
- unités de mesure : centimètres (cm) et mètre (m)
- mesure à partir d'un point de départ autre que zéro
(relation entre les nombres) (B1.1, B1.2)

e diverses activités afin d'assurer le développement de bases solides chez les élèves
eprésenter, décrire et résoudre des situations relatives à l'addition et à la soustraction (B2.3, B2.4) à la multiplication en tant qu’addition répétée (B2.5)
Bulletin scolaire 2
Avril Mai
de mathématiques.
t de bases solides chez les élèves

une partie d'un tout divisé en quatre, c'est la fraction unitaire; il y a 4 quarts dans le tout
ntes, et 2 un tiers (deux tiers) et 4 un sixième (quatre sixièmes) sont équivalentes
s, réglettes Cuisenaire)
ule de la même distance; inclure des séquences composées de plus d'une opération de chaque type, par exemple, avance de 10, recule de 7, recule de 3
représente le nombre de groupes
« automatiquement » par bonds

s solides chez les élèves


résentent une caractéristique commune et écarter ceux qui ne la présentent pas - classement : concevoir des catégories sous lesquelles il est possible de grouper des objets q
- reconnaissance des attributs ainsi que des
caractéristiques décrivant ces attributs
- attributs généraux (p. ex., couleur, texture)
- attributs géométriques (p. ex., figures planes, polygones,
sommets, arrêtes, solides, faces, angles, côtés congrus,
axes de symétrie (E1.1)
- attributs mesurables ( aires et longueurs) E1.2, E1.3, E2.1
- tri et classement deux habiletés complémentaires, décrire
la règle de tri
- tableaux : série de données disposées en lignes et en
colonnes pour faciliter la consultation
- logigramme : outil visuel qui permet d'organiser l'ensemble
des données de façon séquentielle
- diagramme de Venn : met en évidence la réunion et
l’intersection d’éléments de différents ensembles
- diagramme de Caroll : met en évidence une partie de
l’ensemble de référence et son complément, les éléments
d'un ensemble sont classifiés en sous-ensembles de
l'ensemble de référence
- lien avec le codage (C2.3, C3.1, C3.2) : utiliser les
capteurs (p. ex., capteur de couleurs, capteur d'inclinaison,
capteur de distance, etc.) pour trier des objets à partir des
attributs.
- capacité de choisir des sujets et de poser de bonnes
questions pour la collecte de données
- classement selon la reconnaissance de certaines
propriétés communes et distinctes par l’observation, la
manipulation et l’exploration (mesure, pliage, dessin) (E1.1)
- compilation de données (B1.4) dans un tableau de
dénombrement à double entrée (sport préféré des
garçons et filles)
- tableaux des effectifs permet de compiler l'effectif de
chaque catégorie

- correspondance un à un (B1.3, B1.4)


- terminologie :
- diagramme concret: données représentées à l'aide
d'objets ou de personnes
- diagramme à pictogramme : données représentées par
un même pictogramme selon une correspondance de un à
un ou plusieurs,
- ligne de dénombrement : façon de collecter, organiser
et présenter des données par catégories numériques
- diagramme à bandes : données représentées par des
bandes rectangulaires
dont la longueur correspond au nombre de données,
- titre, échelle graduée, intervalle (B1.4) , axes, bandes
horizontales ou verticales

- choix autonome du type de diagramme à utiliser selon la


nature des données
- destinataire à considérer
- signification du mode (valeur la plus souvent présente)
- explication du mode dans les diagrammes et lien avec le
quotidien
- interprétation des diagrammes au premier coup d'oeil
- trois niveaux de compréhension d'un ensemble de
données :
niveau 1 : lecture des données qui sont clairement
indiquées dans le diagramme (B1.1)
niveau 2 : lecture entre les données qui permettent la
comparaison (B1.2, B2.1) pour tirer des conclusions
niveau 3 : lecture au-delà des données (inférences et
prédictions )(D1.1, D2.2)

- événement simple de la vie quotidienne vs événements complémentaires (D1.5) (Événements complém


une probabilité opposée; c’est-à-dire que si un événement est certain, l’autre événement sera impossible)
- jeux de roulettes, de dés, de pièces de monnaie, de cartes, de société) et expériences concrètes (matérie
manipulation comme blocs de couleurs)
- ligne de certitude : impossible, possible, certain; ligne de fréquence : jamais, quelquefois, toujours
- ligne indiquant les probabilités qu'un évènement se produise : impossible, peu probable, équiprobable, trè
certain
- événement dont la probabilité est supérieure à 1/2 est plus probable et aide à faire des prédictions ou pre
décisions éclairées
- collecte et organisation de données (D1.2), les données peuvent différer d’une population à l’autre
- représentation des ensembles de données(D1.3)
- correspondance un à un (B1.3, B1.4)
- mode le plus rencontré lors des expériences (D1.4)
- analyse des données pour faire des prédictions (D1.5)
- lien avec le codage (C3.1, C3.2) L'élève pourrait utiliser les blocs de programmation de type « aléatoire »
des expériences de probabilité. (p. ex, choisir un nombre au hasard de ... à .... , choisir une couleur au has
- relations spatiales: à côté de, à la droite de, à gauche, au-
dessus, en dessous, entre, région extérieure, région
intérieure, frontières
- description de l'emplacement d'objets par rapport à un
autre sur une carte simple, une grille
- lien avec le codage (C3.1, C3.2)

- terminologie : à côté de, à la droite de, au-dessus, en


dessous, grille, case, colonne, rangée
- effectuer des déplacements vers la gauche, vers la droite,
vers le bas, vers le haut sur une grille
- position et déplacement d’un objet sont décrits en fonction
d’un point repère ou d’un
système de repérage
-communiquer les déplacements en utilisant les termes
justes (p. ex., dans un jeu de dames ou d'échecs)
- lien avec le codage (C3.1, C3.2), l'élève peut programmer
son lutin ou son robot pour représenter la position relative
par rapport à un autre objet sur l'écran ou dans un espace
physique.
nt qu’addition répétée (B2.5)
Juin
e de 10, recule de 7, recule de 3
es sous lesquelles il est possible de grouper des objets qui se différencient les uns des autres- tableaux : série de données disposées en lignes et en colonnes pour faciliter la cons
nements complémentaires (D1.5) (Événements complémentaires ont
énement est certain, l’autre événement sera impossible)
, de cartes, de société) et expériences concrètes (matériel de

; ligne de fréquence : jamais, quelquefois, toujours


t se produise : impossible, peu probable, équiprobable, très probable,

1/2 est plus probable et aide à faire des prédictions ou prendre des

données peuvent différer d’une population à l’autre


3)

1.4)
(D1.5)
t utiliser les blocs de programmation de type « aléatoire » pour coder
nombre au hasard de ... à .... , choisir une couleur au hasard)

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