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LE PATIO
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Référence 16SPB657
Indice A
LE PATIO Rédacteur LT
Date Janvier 2017
GENERALITES
1. GENERALITE .......................................................................................................................................... 5
1.1 OBJET DU PRÉSENT DOCUMENT...................................................................................................................... 5
1.2 PRÉSENTATION DE L’OPÉRATION .................................................................................................................... 5
1.3 CLASSEMENT DE L’ÉTABLISSEMENT ................................................................................................................. 6
1.4 OBJECTIF THERMIQUE ET CERTIFICATION .......................................................................................................... 6
1.5 DÉFINITION DES TRAVAUX ............................................................................................................................. 6
1.6 ESSAIS DE PERMÉABILITÉ À L’AIR ..................................................................................................................... 7
1.7 LIMITES DU DOSSIER TECHNIQUE .................................................................................................................... 7
1.8 PRESTATIONS DUES PAR L’ENTREPRISE............................................................................................................. 8
1.9 ORGANISATION DU CHANTIER ........................................................................................................................ 8
1.10 NETTOYAGE ET PROTECTION ........................................................................................................................ 10
1.11 RÉCEPTION ET GARANTIE ............................................................................................................................ 10
1.12 OPÉRATIONS PRÉALABLES À LA RÉCEPTION (OPR)........................................................................................... 11
1.13 PÉRIODE DE LEVÉE DE RÉSERVES ................................................................................................................... 12
1.14 LEVÉE DES RÉSERVES .................................................................................................................................. 12
1.15 PÉRIODE DE GARANTIE ............................................................................................................................... 12
1.16 NATURE DE LA GARANTIE ............................................................................................................................ 12
1.17 DOSSIER DES OUVRAGES EXÉCUTÉS ............................................................................................................... 13
1.18 NORMES, RÈGLEMENTS ET DOCUMENTS DE RÉFÉRENCE..................................................................................... 14
1.19 RAPPORTS AVEC LES CONCESSIONNAIRES ET LES OPÉRATEURS ............................................................................. 15
1.20 MISE AU COURANT DU PERSONNEL ............................................................................................................... 15
1.21 QUALITÉ ‐ AUTOCONTRÔLES ....................................................................................................................... 16
1.22 D.I.U.O. ET DOSSIER DE MAINTENANCE ET D’EXPLOITATION .............................................................................. 17
1.23 LIMITES DE PRESTATIONS ............................................................................................................................ 18
PLOMBERIE
CHAUFFAGE
VENTILATION
ESSAIS
GENERALITES
1. GENERALITE
1.1 Objet du présent document
Le présent document a pour objet de définir les charges techniques nécessaires à l'étude et à la
réalisation des travaux du Lot plomberie – chauffage – ventilation pour la construction de 111
logements à Toulouse.
Les éléments contenus dans le dossier permettront à l’entreprise d’avoir une connaissance détaillée
de l’installation à réaliser, sans pour autant avoir à en assumer immédiatement l’intégralité des calculs
pour la remise de son offre.
En aucune façon une utilisation aveugle des éléments contenus dans le dossier technique ne saurait
expliquer le moment venu :
Les difficultés de réglage et de mise au point
La non‐conformité avec les normes, règlements en vigueur et les règles de l’art
Le projet consiste en la construction d’une résidence composé de deux bâtiments collectifs sur un
sous‐sol commun.
Les logements sont répartis comme suit :
Total
Désignation
T1 T2 T3 T4
Niveau R+2 2 17 18 2
Niveau R+1 2 19 18 2
Niveau RDC 2 12 14 3
6 48 50 7
TOTAL
111
D’une manière générale, l’entreprise devra l’ensemble des travaux et des fournitures nécessaires à la
réalisation d’installations capables de répondre aux besoins exprimés en fonctionnement normal et
dans toutes les conditions de sécurité et de régularité, sans qu’elle puisse se prévaloir d’une erreur ou
d’une omission dans le présent document ou sur les documents graphiques annexes.
Autant qu'il soit possible, le présent dossier d'appel d'offres est rédigé de la façon la plus détaillée afin
de fixer les limites de fournitures et l'étendue des prestations dues par l'Entreprise.
Il est fait usage souvent de symboles repérés qui permettent de représenter graphiquement une plus
grande étendue de données.
L'Entreprise ne pourra se prévaloir d'une interprétation tendancieuse ou erronée d'un détail pour
prétendre ne pas devoir une fourniture nécessaire à la bonne réalisation de l'ouvrage ou de son
fonctionnement performant.
De plus, les emplacements de certains équipements, apparaissant sur les plans du présent dossier
d’appel d’offre, ne sont pas obligatoirement ceux qui seront finalement choisis au cours des réunions
de coordination de chantier. L'Entreprise ne pourra présenter de devis de travaux supplémentaires
consécutifs à ces ajustements.
De même, certaines dispositions architecturales et certains équipements peuvent être modifiés et, par
conséquent, être différents de ceux prévus par le Maître d'Œuvre. L'Entreprise devra donc refaire tous
les plans et calculs, en prenant à la source tous les renseignements qui lui seront nécessaires.
L’offre remise par l’Entreprise devra être conforme au présent CCTP et répondre à la solution
technique de base.
L’offre comprendra au minimum :
Le D.P.G.F complété entièrement en quantité et prix unitaire,
Un mémoire technique,
Un dossier de présentation de l’Entreprise (moyens, références, chiffre d’affaires,…).
Le présent dossier d’appel d’offres correspond à un ensemble de documents destinés à aider le
soumissionnaire à remettre son prix dans les meilleures conditions.
S’il estime qu’il y a dans le dossier d’appel d’offres des omissions, des erreurs ou des non‐conformités
avec la réglementation en vigueur qui le conduisent à modifier ou à compléter les dispositions prévues
dans ce dossier, il devra en tenir compte dans l’établissement de son prix et le signifier à la remise de
son offre.
Outre les obligations définis au C.C.A.P, l’Entreprise doit, au titre de son marché, l’ensemble des
prestations suivantes :
Les notes de calculs,
Les plans (atelier et chantier, exécution, synthèse, réservations….),
Les schémas (aérauliques, électriques...),
Les échantillons,
Les prototypes,
L’analyse fonctionnelle,
Les fiches techniques des matériels,
Les procès‐verbaux (épreuves, essais, réglages,…),
Les autocontrôles,
Le repérage et l’étiquetage,
Le nettoyage de chantier.
L’Entreprise doit les travaux de son Marché, conforme aux normes en vigueur et aux règles de l’Art.
L’Entreprise doit les travaux nécessaires à la bonne réalisation de l’installation et à son fonctionnement
performant.
L'Entreprise devra nommer un responsable de projet et un adjoint qui seront tous les deux au courant
de toutes les phases des travaux, ceci en vue de ne pas interrompre ou retarder le chantier en cas de
maladie, vacances, etc. de l'un d'eux.
En outre, l’Entreprise désignera un responsable du chantier qui assistera à toutes les réunions de
chantier concernant son lot et autres réunions spécifiques.
Le responsable de chantier sera continuellement présent sur le chantier, au minimum pendant
l’exécution de ces travaux.
Le Maître d'Ouvrage se réserve le droit de demander le remplacement de ces trois personnes, s'il
estime que leur travail ne donne pas satisfaction.
Le personnel responsable devra faciliter la visite du chantier par le Maître d'Ouvrage ou le Maître
d’Œuvre.
Tous les matériels faisant partie de la fourniture doivent être neufs. L'Entreprise est responsable du
bon état de conservation de ceux‐ci.
Matériel
Il est demandé aux Entreprises de répondre à la solution de base en utilisant les matériels décrits au
présent document.
En cours d'exécution, l'Entreprise aura également la possibilité de proposer en variante tel ou tel
matériel qui lui semblera plus adapté.
Toute approbation d'un matériel proposé en variante pourra être subordonnée à des inspections de
matériels similaires en service.
Le coût de ces visites d'inspection auxquelles participent le représentant du Maître d'Ouvrage et le
Maître d'Œuvre seront totalement à la charge de l'Entreprise.
Avant de proposer en variante un matériel, ou un arrangement différent de celui préconisé au présent
appel d'offres, l'Entreprise devra bien examiner toutes les conséquences sur les autres matériels de ce
lot ainsi que toutes les conséquences éventuelles sur tous les autres lots.
Si ces conséquences ne sont pas clairement indiquées par écrit dans la proposition de variante,
l'Entreprise chargée de ce lot sera supposée les avoir prises totalement à sa charge et accepter par
avance toutes conséquences. Chaque matériel sera accompagné de sa fiche technique.
L'Entreprise sera responsable de la protection du matériel stocké sur le chantier ou déjà installé.
L’Entreprise devra stocker les matériels dans des endroits appropriés.
Les tuyauteries, en cours de montage, auront les extrémités bouchées, les vannes en attente seront
munies de leur obturateur si elles sont taraudées ou de disques tôle si elles sont à brides.
Les gaines en cours de montage, auront les extrémités bouchées par film plastique pour éviter
l’introduction de poussières. Les gaines seront dégraissées.
Les vannes de régulation seront enveloppées dans un film plastique autour des tuyauteries.
L'Entreprise doit prévoir tous les dispositifs de protection :
Mécanique,
Contre la corrosion ou les éclats de soudure,
De peinture, du calorifugeage et de son revêtement,
De la planéité des gaines ou des panneaux.
Ces protections seront maintenues jusqu'à la fin du chantier.
Tous les équipements endommagés seront réparés à neuf ou remplacés par l'Entreprise à ses frais.
A la terminaison des travaux l'Entreprise doit nettoyer autant de fois que nécessaire jusqu'à la prise en
main de l'installation par l'exploitation de tout son matériel, ainsi que les locaux techniques, gaines
techniques, plénums, etc.
Si ces précautions élémentaires n'étaient pas respectées, le Maître d'Œuvre ou le Maître d'Ouvrage
pourraient refuser le montage des matériels et demander leur retour en usine pour vérification et
réparation ou remplacement total ou partiel, cela aux frais de l'Entreprise.
L'Entreprise ne pourra refuser la mise en service de certains de ses matériels avant la période d'essai
si, pour des raisons de nettoyage des locaux, de remplissage et d'essais de la climatisation, cette mise
en service était nécessaire.
Tous les frais des fournitures et remise en état après les essais seront dus par l'Entreprise du présent
lot.
Dans ce cas, seul le personnel de l'Entreprise aura le droit de mettre en marche ses matériels.
Le coût des produits de traitement d'eau pour le remplissage des installations de climatisation est à la
charge du présent lot.
Il sera prévu autant de remplissage, de rinçage et de vidange que nécessaire, afin d’obtenir des
canalisations parfaitement propres.
Une procédure de rinçage sera mise en place par l’Entreprise et validée par le Maître d’Ouvrage et le
Maître d’Œuvre.
Aussitôt après la terminaison des travaux, commencera une période d'essais durant laquelle
l'Entreprise procédera à tous les essais nécessaires aux réglages des installations.
Pendant ces essais, les installations seront conduites par le personnel de l'Entreprise qui assurera
toutes les opérations d'entretien, de nettoyage et de remplacement nécessaires.
Pendant cette période, l'Entreprise devra apporter sa contribution à tous les essais communs servant
à la mise au point des asservissements aux matériels des autres lots.
A la fin de cette période, les installations devront être laissées en parfait état de propreté, et après
visite, le Maître d'Œuvre pourra proposer la réception.
Si des installations n'étaient pas en état de fonctionner, ou si un matériel quelconque ne se présentait
pas en conformité avec ce qui est demandé, la réception serait reportée, ce qui retarderait également
les dates des fins de périodes suivantes.
L’Entreprise sera alors responsable de ce retard.
Il est à noter que ces essais ont pour objet la vérification des performances des équipements, en vue
de la réception.
Lorsqu'une partie fonctionnelle de l'installation a donné les résultats satisfaisants, l'Entreprise pourra,
sous réserve de l'accord du Maître d'Ouvrage, demander l'arrêt des essais de cette partie d'installation.
Toutefois, après l'obtention des résultats satisfaisants sur chaque circuit, l'Entreprise doit assurer le
fonctionnement de l'ensemble des équipements durant au moins deux semaines afin de lui permettre
d'établir les performances et un fonctionnement en configuration normale.
Pendant les essais, l'Entreprise doit prévoir tous les dispositifs ou personnel nécessaires pour
conserver en permanence en bon état ses propres équipements ou les équipements des autres corps
d'état.
En principe, le Maître d'Œuvre pourra accepter de procéder aux OPR, si les conditions suivantes sont
satisfaisantes:
Tous les réseaux de tuyauteries sont terminés, éprouvés, rincés, purgés remplis avec l'eau
définitive, calorifugés et équilibrés
Toutes les machines tournantes ont été essayées et sont en permanence en état de
fonctionnement, toutes leurs sécurités ayant été essayées et reconnues opérationnelles
Tous les systèmes de régulation, d'asservissement, commande ou télécommande,
signalisation, alarmes, délestage, relestage, etc. ont été vérifiés et donneront satisfaction
Tous les autocontrôles ont été fournis 10 jours auparavant.
Les réserves seront de deux sortes :
Réserves statiques
Les réserves statiques concernent des systèmes ou matériels sur lesquels des remarques auront été
formulées au sujet de la conformité aux documents contractuels et aux règles de l'art.
Réserves dynamiques
Les réserves dynamiques concernent soit les défauts de fonctionnement qui auront été décelés au
cours des essais soit les réserves quant au bon fonctionnement qui reste à prouver par le respect des
températures, niveaux sonores, etc. précisés dans les bases de calcul.
A la fin des OPR, le Maître d’Ouvrage pourra, s’il le désire, procéder à une réception avec réserve ou
demander la levée de l’intégralité des réserves avant la réception définitive.
Aussitôt après la réception avec réserves, commencera une période de levée de réserves d'une durée
de un mois.
Pendant cette période, l'Entreprise aura à sa charge les prestations suivantes :
La mise en marche et l'arrêt des matériels suivant les instructions des occupants, depuis
chaque armoire de commande
La participation à tous les contrôles, mises au point et vérifications (s'il y a asservissement ou
fonctionnement liés)
En bref, tout ce qui sera recommandé dans les notices d'entretien et en particulier :
L'instruction du personnel d'exploitation sur la conduite des installations, les réglages de la
régulation et les opérations d'entretien
L'exécution de tous les travaux répertoriés dans les listes des réserves statiques et dynamiques
La remise au Maître d'Ouvrage suivant le CCTP, du Dossier des Ouvrages Exécutés complet,
mis à jour après les modifications éventuelles intervenues au moment des essais et des
réceptions avec réserves
A la fin de cette période l'Entreprise remplacera à sa charge tous les filtres à air par un jeu de filtres
neuf, et procédera au nettoyage des cartouches de tous les filtres à eau et des pots à boue.
Après la période de levée des réserves quand l’Entreprise aura levée l’intégralité de ces réserves, elle
proposera par lettre recommandée une date de levée de réserves au Maître d’Ouvrage et Maître
d’Œuvre.
Le coût des visites complémentaires sera à la charge de l’Entreprise.
La période de garantie sera conforme aux clauses du C.C.A.G, elle débutera le jour de la réception.
Cela concerne tous les matériels y compris ceux ayant servi lors de la mise en marche prématurée.
Tout matériel qui au cours de la période de garantie ne pourrait plus fonctionner correctement devra
être remplacé. Le coût de remplacement sera totalement à la charge de l'Entreprise (matériel et main
d'œuvre), c'est à dire, entre autres :
La dépose et l'enlèvement du matériel défectueux
Les réfections des travaux aux autres corps d'état
La manutention, la mise en place, le raccordement, etc. du nouveau matériel
Les nouveaux essais nécessaires.
A la fin des travaux, l'Entreprise devra fournir le Dossier des Ouvrages Exécutés, constitué des
documents suivants:
Notice explicative avec les descriptions simplifiées de l'ensemble des installations, système par
système.
Pour chaque système : explication du fonctionnement et de la régulation avec schéma
simplifié, fiches techniques du matériel concerné et fiches d'essais.
Fiches techniques de tout le matériel commun aux divers systèmes
Autocontrôles de l’entreprise, essais COPREC, essais de l'Entreprise avec fiches de réglage et
procès‐verbaux du matériel
Adresses de tous les fabricants à jour
Notice d'entretien ‐ matériel par matériel avec planning détaillé d'intervention (journalière,
hebdomadaire, mensuelle, etc...).
Schémas de régulation complète
Schémas électriques avec précision :
o du calibre et du type de tous les dispositifs de protection
o des intensités de court‐circuit de chaque armoire
o des sections de câbles de puissance
o des puissances des appareils et leur localisation
Schémas aérauliques généraux et par système
Plans de récolement conformes aux Ouvrages Exécutés avec la mention "tels que construits"
Les notes de calcul.
Guide de conduite
Guide d’entretien.
Un mois avant la date de réception de l'ouvrage, chaque entreprise remettra au maître d'œuvre ou
BET concerné un exemplaire provisoire de son dossier complet de DOE pour approbation. Ensuite,
l'entreprise devra remettre :
Plans papier + documents PV, AT, avis de chantier, échanges courriers bureau de contrôle,
notices en 5 exemplaires
CD en format .dwg, .pdf, .doc des éléments papier ci‐dessus + plans, détails, synthèse etc....
Ce dossier doit comprendre le DIUO.
Les ouvrages exécutés seront conformes aux règlements en vigueur, aux normes européennes et
françaises, aux D.T.U. et aux règles de l'Art de la profession (édition en vigueur au moment de
l'exécution des travaux).
Cette liste est donnée à titre indicatif et n’a pas un caractère exhaustif.
Ils respectent en particulier :
Code de la construction et de l'habitation
Décret n° 2000‐1153 du 29 novembre 2000 relatif aux caractéristiques thermiques des
constructions
Arrêté du 19 juillet 2006 relatif à l’approbation des méthodes de calcul Th‐CE, prévues aux
articles 4 et 5 du 24 mai 2006
Règles Th‐CE, Th‐I, Th‐S, TH‐U et Th‐bât RT2012 dans leurs dernières éditions
Décret du 14 novembre 1962 concernant la protection des travailleurs
Code du travail
Règlement sanitaire départemental et municipal, dans leur dernière édition
Circulaire du 09 mai 1985 et décrets n°84.1093 et n°84.1094 du 7 décembre 84 concernant
l'aération et l'assainissement des lieux de travail
Arrêté du 25 juillet 1977 fixant la température intérieure
Décret n° 88.523 du 05 mai 1988 pris pour l'application de l'article L.1 du Code de la Santé
Publique et relatif aux règles propres à préserver la santé de l'homme contre les bruits de
voisinage
Arrêté du 5 mai 1988 et circulaire du 07 juin 1989 relatifs aux bruits de voisinage
Instruction technique (annexée à l'arrêté du 20 août 1985) relative aux bruits aériens émis
dans l'environnement par les installations classées
Règles de normalisation et instruction publiées par l'Association Française de Normalisation et
l'Union Technique de l'électricité
Règlements relatifs à la pollution atmosphérique (loi du 2 août 1961, décret du 17 septembre
1963, arrêté du 20 juin 1975)
Dispositions d'ordre technique des Documents Techniques Unifiés publiés par le Centre
Scientifique et Technique du Bâtiment
Consignes de montage données par les constructeurs
Règles de normalisation, utiles à l'établissement et à l'exécution des projets et marchés de
bâtiments en France (REEF) éditées par le Centre Scientifique et Technique du Bâtiment
Prescriptions des décrets, arrêtés, règlements et normalisation complétant ou modifiant les
documents ci‐dessus en vigueur à la date de l'offre.
La mise en œuvre des techniques nouvelles non couvertes par un D.T.U. doit se faire en suivant les
prescriptions d'un avis technique du CSTB ou d'un avis motivé d'un bureau de contrôle agréé auprès
de la section "Construction" de l'assemblée générale des compagnies d'assurances.
L'entrepreneur doit se mettre en rapport avec les concessionnaires et les opérateurs pour se procurer
tous les renseignements utiles à l'exécution de ses travaux.
Il doit se soumettre à toutes vérifications et visites des agents de ces concessionnaires et opérateurs
et fournir tous les documents et pièces justificatives demandées.
Il doit transmettre au Maître de l'Ouvrage tous les renseignements qu'il a recueillis au cours de ses
contacts et qui concernent soit la construction, soit l'exécution des travaux qui ne sont pas à sa charge.
L'entrepreneur doit, au moment opportun, effectuer toutes les démarches nécessaires auprès des
Services compétents, afin d'obtenir en temps voulu, la mise en service des installations notamment le
concessionnaire gaz GDF.
Il doit, à cet effet, se procurer et remplir les formulaires nécessaires, les faire signer par le Maître de
l'Ouvrage et les remettre aux Services intéressés.
A une date fixée par le Maître d'Ouvrage, l'Entrepreneur déléguera un représentant qualifié capable
de mettre le personnel technique au courant de toute l'installation.
Il sera exécuté un programme de visite validé par le Maître d’Œuvre, de mise en marche,
fonctionnement, essais à vide et en charge et d'arrêt des installations, régulation et GTC des
installations.
Ce programme se poursuivra jusqu'à la formation complète du personnel du Maître d'Ouvrage, ou des
sociétés de maintenance devant prendre en charge les installations.
Il sera prévu le nombre nécessaire de jours de formation jusqu’à la maîtrise parfaite des installations
par le personnel formé.
En fin de formation, il sera délivré un procès‐verbal visé par tous les participants.
Au début de chantier, l'Entrepreneur doit désigner une personne chargée d'assurer le contrôle de ses
prestations.
Ce contrôle interne auquel sont assujetties les Entreprises doit être réalisé à différents niveaux :
Au niveau des fournitures, quel que soit leur degré de finition, l'Entrepreneur doit s'assurer
que les produits commandés et livrés sont conformes aux normes et aux spécifications
complémentaires éventuelles du marché.
Au niveau du stockage, l'Entrepreneur doit s'assurer que les fournitures qui sont sensibles aux
agressions des agents atmosphériques et aux déformations mécaniques sont convenablement
protégées.
Au niveau de la fabrication et de la mise en œuvre, le responsable des contrôles internes de
l'Entreprise doit vérifier que la réalisation est faite conformément aux D.T.U, aux règles de l'Art
et aux normes.
Au niveau des essais, l'Entrepreneur doit réaliser les vérifications ou essais imposés par les
D.T.U, les règles professionnelles, les normes et les essais particuliers supplémentaires exigés
par les pièces écrites.
Un dossier d'essais et d'autocontrôles doit être remis à la Maîtrise d’Œuvre au moins 10 jours avant
les opérations préalables à la réception des ouvrages.
En début de chantier, l’entreprise fournira au Maître d’œuvre pour validation la liste de tous les
autocontrôles et des fiches associés
En fin de travaux chaque entrepreneur concerné devra fournir en nombre suffisant au coordonnateur
S.P.S de l’opération tous les plans, notes techniques, notices d’entretien et d’utilisation des ouvrages
réalisés.
Ces éléments compléteront le D.I.U.O établi par le coordonnateur dès la phase conception de
l’opération et nécessaire à l’établissement du dossier de maintenance prévu à l’article R 235‐5 du Code
du travail qui comporte une partie commune avec le D.I.U.O prévu à l’article L 235.‐15 et R 238‐37 à
R238‐39 du Code du travail.
Il sera fourni une notice d’exploitation comprenant pour chaque installation :
qui joindre en cas de problème
le rappel des principes de fonctionnement des circuits et les références des schémas généraux
et synoptiques
l’ensemble des procédures marche/arrêt (manuel, automatique, normal, secours, urgence)
avec l’ordre des enclenchements, écarts limite de fonctionnement (seuils, dysfonctionnement,
alarmes)
la liste des défauts amenant la coupure
les procédures de modification des réglages et des points de consigne (abaque de
fonctionnement et de réglage)
l’ensemble des positions des organes de manœuvre
l’ensemble des indications des appareils indicateurs et des appareils de mesure pour un
fonctionnement normal.
Les procédures de manœuvre détailleront les points suivants :
consigne de sécurité
conditions préliminaires à la manœuvre
description de la manœuvre et commentaires
description des moyens de contrôle du bon déroulement de la manœuvre.
Remarque importante : Cette notice d’exploitation ne se limite pas à la notice écrite par chaque
constructeur, mais se doit d’être complétée des renseignements techniques propres à l’opération. Il
sera fourni une notice de maintenance comprenant :
qui joindre en cas de problème
aide au diagnostic en cas de panne ou de fonctionnement hors des conditions normales
liste des outils non standards nécessaire à une intervention sur le site
liste des consommables et des pièces de rechange indispensables sur le site (y compris
quantité pour stock)
les gammes d’intervention par ordre de priorité :
o les conditions de sécurité
o les conditions d’accessibilité
o le rappel des visites et leur périodicité
o les gammes de travaux
o les modes opératoires et démontage / remontage.
Toutes les fournitures et travaux nécessaires au parfait achèvement des ouvrages seront prévus, ce
descriptif n’étant pas limitatif.
D’une manière générale, tous les travaux entraînés par une modification apportée par le titulaire du
présent lot seront obligatoirement exécutés par les titulaires des lots spécialisés sous la responsabilité
et à la charge du titulaire du présent lot.
Sans objet
Sans objet
Sans objet
Sans objet
Présent lot
Sans objet
Sans objet
Sans objet
Lot 15 : Peinture
Lot 17 : Automatismes
Sans objet
Lot 19 : Ascenseurs
Sans objet
PLOMBERIE ‐ SANITAIRE
1. BASES DE CALCULS
1.1 Normes, règlements et documents de référence
Les ouvrages exécutés seront conformes aux règlements, aux normes européennes et françaises, aux
D.T.U. et aux règles de l'Art de la profession (édition en vigueur au moment de l'exécution des travaux).
Cette liste est donnée à titre indicatif et n’a pas un caractère exhaustif.
Règlements
D.T.U.
DTU 60.1
DTU 60.2
DTU 60.31
DTU 60.32
DTU 60.33
DTU 60.11 (NF P40‐202) « règles de calcul des installations de Plomberie sanitaire pour
bâtiments à usage d’habitation » pour la distribution individuelle de l’eau chaude sanitaire
dans les logements
Normes
NF C 12.100 relative à la protection des travailleurs dans les établissements mettant en œuvre
des courants électriques (décret du 14 novembre 1988)
NF C 15.100 relative aux installations électriques
NF S 30.009 relative aux courbes NR d'évaluation du bruit
NF S 31.010 relative aux mesures du bruit dans une zone habitée en vue de l'évaluation de la
gêne de la population
NF X 08.100 relative aux teintes conventionnelles des réseaux.
Norme NF EN 13203‐1 « Classification en fonction du facteur global de confort – Performance
de l’eau chaude sanitaire puisé »
Les diamètres des différents réseaux d'eau froide, d'eau chaude et d'assainissement sont calculés
suivant les indications du D.T.U. 60.11 d'octobre 1988, compte tenu des précisions qui suivent.
Coefficient de simultanéité
,
√
La pression résiduelle en amont de chaque point de puisage ne sera pas inférieure à 1,5 bar et jamais
supérieure à 3 bars; au‐delà, il sera prévu des détendeurs.
Alimentations
Lorsque la production d’eau chaude est individuelle, ces débits servent de base au calcul des diamètres des
canalisations d’eau froide à usage collectif et des canalisations intérieures jusqu’au piquage alimentant l’appareil de
production d’eau chaude
Évacuations
Débits de base
Ils seront conformes au D.T.U. 60.11 (référence AFNOR, D.T.U.P. 40‐202) pour la détermination des
diamètres pour les eaux pluviales ; le débit à prendre en considération sera de 3 l/mn/m².
Débits probables dans les tuyauteries (EU / EV / EP)
Ils seront calculés selon les indications du D.T.U. nº 60.11 (référence AFNOR, D.T.U.P. 40‐202).
Calcul des sections de tuyauteries
Tuyauteries verticales : elles seront calculées à partir de la norme "Diamètres des tuyaux de chute et
des tuyaux de descente", sans ventilation secondaire.
Les entrées d'eau à prendre en compte pour les eaux pluviales correspondront aux entrées avec
moignon conique.
Le diamètre réel de la tuyauterie ne devra pas être inférieur au diamètre théorique calculé à partir de
l'abaque ; le diamètre des pluviales ne sera pas inférieur à 80 mm.
Pour les sorties en ventilation primaire, le diamètre doit être identique à celui de la chute. Toutefois,
il est possible de regrouper plusieurs chutes en une seule, immédiatement au‐dessus du dernier
branchement.
Le diamètre de cette sortie étant le diamètre immédiatement supérieur au diamètre de la plus grande
des ventilations avant le regroupement.
Tuyauteries horizontales : leurs sections découleront de la formule de Bazin. Le rapport H/D (hauteur
de remplissage du collecteur sur diamètre en mm) sera le suivant :
Eaux usées et eaux vannes : 5/10ème,
Eaux pluviales : 7/10ème.
Diamètres
WC 1 ou plusieurs 90 mm
4 à 10 appareils 65 mm
11 appareils et au‐delà 90 mm
Débit de base
Appareils
Par minute Par seconde
Électricité :
cf lot électricité (monophasé 230 V, 50Hz à déterminer en phase EXE)
Eau de ville :
Estimée 3 bars ‐ A confirmer en phase exécution par le concessionnaire
Tous les appareils et canalisations devant être mis à la terre seront munis d'un dispositif permettant
leur connexion (colliers), la ligne étant tirée par l'électricien, et le raccordement fait par le présent lot
Le fonctionnement des équipements techniques ne générera pas de nuisance acoustique pour les
personnes en tiers environnants sur leur lieu de travail, d’activité ou de résidence. Pour ce faire, les
matériels mis en œuvre seront équipés de protections acoustiques adaptées.
L'isolation des équipements susceptibles de produire et de transmettre des bruits devra être
particulièrement soignée pour répondre aux spécifications fixées par les arrêtés en vigueur et, par le
bureau d'étude acoustique compte tenu des exigences imposées par prescriptions dans la Notice
Acoustique Projet.
Les matériaux isolants seront de marque GAINOJAC de CREPY ou équivalent.
L'Entrepreneur devra également se reporter au D.T.U, notices techniques du C.S.T.B, qui précisent les
dispositions d'ordre technique concernant la conception ou la mise en œuvre des installations pour
éviter la transmission du bruit.
Les prescriptions à respecter concernent notamment :
La vitesse de circulation des fluides dans les canalisations qui devra être telle qu'elle ne soit pas
génératrice de bruit, les coudes et raccordements conçus en fonction de cette vitesse pour éviter les
turbulences et cavitations.
Les canalisations qui seront désolidarisées des supports ou colliers par interposition d'un matériau
isolant phonique, bague DOMANGE ou équivalent.
Toutes les traversées des parois par des canalisations qui seront fourreautées, le vide existant entre
les fourreaux et les canalisations sera obturé à l'aide d'un isolant phonique.
Garantie du fabricant sur le niveau sonore imposé.
Les matériaux utilisés pour la réalisation des travaux d'isolation seront à préciser dans l'offre de
l'Entreprise et seront à soumettre à l'agrément du Maître d'œuvre et, le cas échéant, aux bureaux de
contrôle et bureaux d'études spécialistes.
Il en sera de même pour ce qui concerne les caractéristiques des installations, vitesse de circulation
des fluides, vitesse de rotation des moteurs etc.
Pour les niveaux sonores et prescriptions particulières, se reporter à la notice Acoustique Générale.
Les exigences à respecter sont LnAT 30 dB (A) en pièces principales et LnAT 35 dB (A) en cuisines
fermées par interphonie ou par bruit reçu en provenance des chutes d’eau, le niveau requis sera
maintenu entre logements et en réception dans la pièce principale.
Les trémies seront rebouchées à chaque niveau par un matériau de même performance acoustique
que le plancher.
Les traversées de planchers, des murs intérieurs du logement étudié et/ou de cloisons s’effectueront
au moyen d’un fourreau constitué par un matériau résilient (ex : manchon de laine minérale d’une
épaisseur ≥ 5mm). De plus, les fourreaux dépasseront largement (100 mm) de part et d’autre de la
paroi concernée.
Les canalisations seront fixées uniquement aux parois lourdes de masse ms 200 kg/m² avec des
colliers isophoniques (interposition d’un joint souple).
Le raccordement des cuvettes de WC à la chute sera désolidarisé au niveau de la cloison verticale par
la pose d’un matériau résilient d’une épaisseur ≥ 5 mm et dépassant largement (≥ 100 mm) de part et
d’autre de la paroi concernée.
L'alimentation générale en eau froide du bâtiment est à prévoir au présent lot depuis le compteur
général par tube PEHD débouchant dans le parking.
La prestation de l’entreprise commence après compteur concessionnaire et l’ensemble des réseaux
disposés en parking sont à la charge du présent lot.
L’entreprise doit réaliser les démarches auprès du concessionnaire afin de s’assurer de la conformité
du branchement et de la pression de livraison.
Jusqu’à la gaine palière d’eau froide où se trouve la panoplie hydraulique, la distribution générale
d’eau froide sera réalisée par des canalisations principales installées en plancher haut du parking.
Réseau de distributions et dérivations exécuté en tube de polychlorure de vinyle non plastifié (PVC‐pression)
conforme à la NF T 54.003 et à la NT 54.016 pour les tubes et raccords (conduits de liquides avec pressions –
spécifications).
Les épaisseurs des tubes seront conformes au tableau de la norme, en fonction des pressions nominales.
Les canalisations et robinetteries seront de type PN 16.
Calorifugeage Armaflex antigel des canalisations sur tout le parcours en parking 19mm
Vitesse de circulation d’eau : 1.5 m / seconde.
Robinets de décharge à carré aux points bas.
Fixation en plafond par colliers à deux boulons et contreparties avec système anti‐vibratile. Colliers et suspente
réglables en acier galvanisé. Fourreaux à toutes les traversées de murs et cloisons.
La panoplie de raccordement en eau sera située dans la gaine palière eau froide au rez‐de‐chaussée
du bâtiment B et sera équipée de :
Un clapet anti‐pollution ou un disconnecteur à zone de pression contrôlable (suivant la
réglementation de la compagnie des eaux de la ville de TOULOUSE),
Un robinet de purge/vidange,
Un manomètre,
Un filtre à tamis,
Un réducteur‐stabilisateur de pression,
Une vanne de barrage,
À partir de la panoplie dans la gaine palière la distribution générale d’eau froide sera réalisée par des
canalisations principales installées en plancher haut du parking.
Réseau de distributions et dérivations exécuté en tube de polychlorure de vinyle non plastifié (PVC‐
pression) conforme à la NF T 54.003 et à la NT 54.016 pour les tubes et raccords (conduits de liquides
avec pressions – spécifications).
Les épaisseurs des tubes seront conformes au tableau de la norme, en fonction des pressions nominales.
Les canalisations et robinetteries seront de type PN 16.
Les raccords et assemblages seront compatibles avec les tubes utilisés.
La robinetterie en laiton suivant les diamètres sera montée avec raccords spéciaux – type PVC.
Calorifugeage Armaflex anti condensation des canalisations sur tout le parcours en gaines palières 9mm
Calorifugeage Armaflex antigel des canalisations sur tout le parcours en parking 19mm
Vitesse de circulation d’eau : 1.5 m / seconde. Robinets de décharge à carré aux points bas.
Fixation en plafond par colliers à deux boulons et contreparties avec système antivibratile. Colliers et suspente
réglables en acier galvanisé.
Fourreaux à toutes les traversées de murs et cloisons.
Toutes les dérivations de la canalisation principale sont isolables et vidangeables par des vannes d’ensemble de
protection de type «EA» installées dans les parties communes.
À partir de la distribution horizontale en sous‐sol, la distribution verticale sera réalisée dans les gaines
techniques palières intérieures aux bâtiments.
Colonnes montantes en tube polychlorure de vinyle non plastifié (PVC‐pression) dans les mêmes
conditions d’utilisation et de pose que la distribution générale horizontale.
Les traversées de planchers seront réalisées par percement tronconique, fourreau souple isophonique
et bourrage entre le fourreau et le plancher.
Chaque colonne sera équipé de :
Une vanne d’isolement en pied de colonne accessible
Une vanne de vidange en pied de colonne accessible
Un anti‐bélier à membrane en tête de colonne
Les colonnes seront conformes aux recommandations du concessionnaire.
Raccordements privatifs
L’alimentation privative de chaque logement est issue depuis la colonne montante des gaines palières
extérieures et comprend :
Une vanne d’isolement avec écrou prisonnier plombable NF
Un clapet anti‐pollution NF de classe A, type EA (EN 13959)
Un détendeur de pression NF (EN 1567) (éventuellement)
Une plaque de repérage en dylophane gravée
Rail inox avec manchette conforme concessionnaire
Les détendeurs seront disposés afin de limiter à 3 bars maximums la pression aux points d’utilisation.
Les raccordements en gaines palières seront obligatoirement en tube PVC pression ou cuivre isolé.
Les canalisations depuis les colonnes montantes situées en gaines palières seront réalisées par tube
polyéthylène haute densité réticulés encastrés sous fourreaux cannelés permettant le remplacement
éventuel des canalisations (jeu 30%).
Aucun raccord, piquage n’est autorisé en encastré.
Les réseaux cheminent jusqu’aux nourrices collecteurs/distributeurs individuelles logements, disposés
dans les placards techniques (cf plans), facilement accessibles.
Chaque nourrice est équipée de :
Une vanne d’isolement générale
Un support collecteur
Une vanne d’isolement par départ.
Chaque traversée de plancher ou de paroi se fera sous fourreau plastique arasé au nu des parois ou
plancher.
Le raccordement des appareils sanitaires sera réalisé tube polyéthylène haute densité réticulés
encastrés sous fourreaux cannelés permettant le remplacement éventuel des canalisations (jeu 30%).
Le raccordement terminal des appareils sanitaires pourra être réalisé par flexible inox.
L’entreprise du présent lot doit la fourniture pose d’un robinet à clé DN 15 avec raccord au nez et
clapet anti‐pollution et vanne de vidange, alimentant les emplacements suivants :
Local OM
L’attente est raccordée sur le départ service généraux et est équipée de :
Une vanne d’isolement,
Un clapet anti‐pollution,
Un compteur volumétrique à impulsions de classe C (C02)
Une vanne d’isolement.
L’entreprise du présent lot prévoit la mise à disposition d’une attente eau froide brute à 1m du
bâtiment (lot VRD), issue des gaines palières AEP
L’attente est équipée de :
Une vanne d’isolement,
Un clapet anti‐pollution,
Un compteur volumétrique à impulsions de classe C (C03)
Une vanne d’isolement.
L’entreprise du présent lot prévoit la mise à disposition d’une attente eau froide en toiture terrasse
L’attente est équipée de :
Une vanne d’isolement,
Un clapet anti‐pollution,
Un compteur volumétrique à impulsions de classe C (C04)
Une vanne d’isolement.
Pour les logements électriques (Type T1) la production d’ECS dans les logements sera assurée par une
production de type accumulée électrique y compris groupe de sécurité, raccordement électrique et
tous accessoires de fixation.
Les ballons d’eau chaude seront estampillés NF – Électricité Performance. Ils seront horizontaux et
disposés en partie haute des placards dans les logements. Sortie eau chaude anti‐brûlures à une
température comprise entre 40°C et 45 °C au point de puisage
La cuve devra bénéficier d'une garantie complète de 10 ans.
Marque : THERMOR
Type : DURALIS ‐ 100 L ‐ Constante de refroidissement : 0,24 Wh/l.K.j
Les canalisations depuis les ballons d’eau chaude sanitaire seront réalisées par tube polyéthylène
haute densité réticulés encastrés sous fourreaux cannelés permettant le remplacement éventuel des
canalisations (jeu 30%).
Aucun raccord, piquage n’est autorisé en encastré.
Les réseaux cheminent jusqu’aux nourrices collecteurs/distributeurs individuelles logements, disposés
dans les placards techniques (cf plans), facilement accessibles.
Chaque nourrice est équipée de :
Une vanne d’isolement générale
Un purgeur automatique isolable
Un support collecteur
Chaque traversée de plancher ou de paroi se fera sous fourreau plastique arasé au nu des parois ou
plancher.
Le raccordement des appareils sanitaires sera réalisé en tube polyéthylène haute densité réticulés
encastrés sous fourreaux cannelés permettant le remplacement éventuel des canalisations (jeu 30%)
ou en cuivre apparent et en plinthes sur de courtes distances après approbation de l’architecte.
Le raccordement terminal des appareils sanitaires pourra être réalisé par flexible inox.
Tous les appareils sanitaires seront en porcelaine vitrifiée de couleur blanche. Ils devront être
complètement équipés et mis en place après présentation aux emplacements désignés.
Un robinet d’arrêt inox est prévu sur chaque appareil.
Tous les appareils devront être protégés efficacement pendant toute la durée des travaux jusqu’à la
mise en service du bâtiment, par tous les moyens appropriés laissés au choix de l’Entrepreneur.
Tout appareil endommagé, même de façon minime, sera remplacé aux frais de l’Entreprise sur simple
demande du Maître d’œuvre.
La visserie utilisée sera, soit en acier inoxydable soit en laiton. Les chevilles seront imputrescibles et
adaptées aux matériaux rencontrés.
Les têtes seront isolées de la céramique (ou autre nature des matériaux) par des rondelles en plomb
ou en plastique.
La fixation des appareils et leur scellement seront assurés par l’Entrepreneur du présent lot quel que
soit la nature des matériaux rencontrés et le type d’appareils. Les scellements au plâtre sont prohibés.
L’étanchéité de tous les appareils adossés sera assurée par un joint plastique étanche à base de silicone
traité anti‐moisissure.
Le raccordement des tuyauteries aux canalisations d’alimentation se fera obligatoirement par de
raccords démontables. La robinetterie sanitaire devra posséder l’estampille NF.
Les marques et références indiquées dans le présent descriptif représentent un niveau de qualité des
prestations à obtenir. L’Entreprise devra fournir en accord avec le Maître d’œuvre les prestations au
moins équivalente.
Spécificités
a. Robinetterie
Pour tous les appareils sanitaires, prévoir une robinetterie de type mitigeur mécanique avec un
classement ECAU disposant d’une butée escamotable ou d’un bouton ECO pour le débit dont la classe
de confort est C2.
Pour les baignoires et les douches, possibilité de prévoir une robinetterie de type mitigeur avec un
classement ECAU disposant d’un bouton ECO pour le débit et d’un bouton stop dont la classe de
confort est C2
La robinetterie sera marquée NF. Les indices A et U sont au minimum égaux aux valeurs suivantes. Le
classement E sera strictement égal aux valeurs suivantes :
Pour le lave‐mains situés en WC une robinetterie non mélangeuse raccordée à l’eau froide est admise.
Douche :
E1 A2 (ou A3) U3 (1A ou 1S si mitigeur thermostatique).
Baignoire :
E3 A2 (ou A3) U3 (1C ou 1D si mitigeur thermostatique).
Le robinet flotteur des WC sera de classement NF I.
b. Cuvette WC
L’ensemble cuvette, réservoir, mécanisme de vidage et robinet d’alimentation sera certifié NF‐
Appareils sanitaires. Le réservoir de WC aura une capacité ≤ 6 litres, disposant d’un mécanisme à
double action 3 / 6 litres. Robinet d’arrêt de réservoir de chasse de classe NF.
L’alimentation des WC ne sera pas visible et réalisée obligatoirement en cuivre pour les parties visibles.
c. Baignoire
Il sera mis en place sous la baignoire au niveau du Té de chute deux attentes évacuations. Une servant
à évacuer les eaux usées de la baignoire et une seconde bouchonnée pour une éventuelle future mise
en place de receveur PMR.
d. Receveur de douche
Les receveurs de douche auront un ressaut inférieur à 2cm par rapport au sol fini. Le présent lot devra
donc fournir au lot gros œuvre les cotes de décaissés de dalle à prévoir.
a. WC
Ensemble WC
Suivant plans
Réservoir attenant
double chasse 3/6L à PORCHER NOE P948001 Blanc
WC
mécanisme silencieux
Avec abattant double
b. Salles de bains
Douche
Robinetterie mitigeur
douche monotrou à
Suivant plans
Salle d’eau
inverseur automatique
PORCHER OLYOS D1160AA Chromé
disque céramique et
limiteur de
température.
IDEAL
Bonde de douche R6102AA Chromé
STANDARD
Robinetterie mitigeur
Salle de bains
monotrou à disque
céramique et limiteur PORCHER OLYOS D1114AA Chromé
de débit et
température
Baignoire
Baignoire en acier
ROCA CONTESA A2358K000 Blanc
émaillé de 170 x 70
Robinetterie mitigeur
bain‐douche à
inverseur automatique
PORCHER OLYOS D1145AA Chromé
Suivant plans
disque céramique et
Salle d’eau
limiteur de
température.
IDEAL
Vidage de baignoire Vidage R6075AA
STANDARD
c. Cuisine
Robinetterie mitigeur
monotrou à cartouche
à disques céramique à
PORCHER OLYOS D1191AA Chromé
bec mobile et limiteur
de débit et
température
Robinetterie mitigeur
monotrou à cartouche
à disques céramique à
PORCHER OLYOS D1191AA Chromé
bec mobile et limiteur
de débit et
température
2.5 Évacuations EU / EV
Chutes et collecteurs
L’Entrepreneur devra prévoir toutes les colonnes et collecteurs d’évacuation des eaux usées et eaux
vannes en PVC M1 posés en élévation jusqu’aux raccordements sur les réseaux enterrés mis à
disposition sur attentes par le lot Gros‐Œuvre et/ou le lot VRD.
Il est précisé que les chutes et collecteurs verticaux généraux EU, EV seront séparatifs.
Le raccordement sur attentes y compris joint d’étanchéité est à la charge du présent lot.
La mise en œuvre sera réalisée selon les DTU 60.33 et 60.11.
Tout dévoiement en soffite ou faux plafond de logement est équipé d’une protection anti‐condensation et
permettant de respecter les niveaux sonores établis par le label Qualitel. Mise en place d’un calorifuge de laine
minérale finition PVC.
A la traversée des parois coupe‐feu (planchers et voiles), la chute sera protégée, de part et d’autre de la paroi,
par un manchon coupe‐feu ; ce dernier sera prévu en fonction de l’importance du degré coupe‐feu de la paroi
traversée et ce, pour toutes les tuyauteries le nécessitant. Les manchons coupe‐feu seront du type rétractable,
marque DELMO ou équivalent. Chaque pied de chute est équipé d’un tampon de visite facilement accessible.
La pente des réseaux d’évacuations sera au minimum de 2cm/m
Les études d’exécution à faire valider par le BET et l’architecte, devront respecter les altimétries et arases
inférieures réglementaires pour ne pas gêner les véhicules.
Il sera prévu au présent lot pour l’ensemble des chutes un alourdissement réalisé par l’adjonction d’un
matériau viscoélastique par collage et ligature avec ms ≥ 5 kg/m², sur 1 m de part et d’autre des coudes
et dévoiements.
Les canalisations de vidange des appareils seront exécutées en tube PVC M1 jusqu’aux raccordements
sur les descentes ou collecteurs.
Les évacuations des WC seront exécutées avec pipe de raccordement PVC M1 sur l’appareil.
Les diamètres miniums intérieurs de raccordement des appareils seront les suivants :
WC 100
Douche, évier 50
Vasque 40
Il sera prévu pour chaque logement, 2 attentes EU avec manchette à joint pour évacuation du LL, et
LV. Position à proximité des alimentations en cuisine et/ou SDB à valider par l’Architecte.
Siphons de sol
Ventilations primaires
Les ventilations primaires des collecteurs, chutes, descentes, seront à la charge de l’Entrepreneur du
présent lot. Celles‐ci sortiront en terrasse ou toiture.
Les chutes sont obligatoirement prolongées en ventilation primaire par un tuyau de diamètre
supérieur de la chute.
2.6 Évacuations EP
A partir des moignons tronconiques laissés par le lot étanchéité, le présent lot doit les chutes d’eaux
pluviales intérieures en sous‐sol en tube PVC M1 (Descentes EP extérieures au lot étanchéité).
Il sera prévu un té de visite à chaque changement de direction et en pied de chaque chute.
A la traversée des parois coupe‐feu (planchers et voiles), la chute sera protégée, de part et d’autre de
la paroi, par un manchon coupe‐feu ; ce dernier sera prévu en fonction de l’importance du degré
coupe‐feu de la paroi traversée et ce, pour toutes les tuyauteries le nécessitant.
L’Entrepreneur devra prévoir toutes les colonnes et collecteurs d’évacuation des eaux pluviales en PVC M1 posés
en élévation jusqu’aux raccordements sur les réseaux enterrés mis à disposition sur attentes par le lot Gros‐Œuvre
et/ou le lot VRD.
Le raccordement sur les attentes du lot Gros‐Œuvre et/ou le lot VRD y compris joint d’étanchéité est à la charge
du présent lot.
La pente des réseaux d’évacuations sera au minimum de 2cm/m
Les études d’exécution à faire valider par le BET et l’architecte, devront respecter les altimétries et arases
inférieures réglementaires pour ne pas gêner les véhicules.
Les tranchées, les remblais et les réseaux enterrés sont au lot Gros‐Œuvre et/ou le lot VRD.
Le présent lot doit la fourniture et la pose d’un ensemble de pompe de relevage pour les eaux du sous‐
sol.
Les eaux seront évacuées via un réseau en PVC‐pression aérien vers le collecteur principal.
Les pompes pourront fonctionner en secours / alternance ou simultanément.
Cet ensemble comprendra :
ensemble d’électropompe centrifuge
Système de fixation et de dépose pour un éventuel entretien
Système de régulation (flotteur 3 niveaux, alarme de trop plein, interrupteur manuel)
Système de protection (disjoncteur)
Vanne d’isolement
Clapet anti retour en aval de la pompe
un sectionneur général extérieur avec contact auxiliaire interdisant la coupure en charge,
un disjoncteur par pompe,
le système de permutation de l’ordre de marche des pompes,
les relais temporisateurs d’interdiction de démarrage simultané des pompes après un incident
sur le réseau,
les voyants lumineux de marche, arrêt et défaut :
o 2 voyants arrêt monté en façade,
o 2 voyants marche monté en façade,
o 2 voyants défaut monté en façade,
o 1 voyant d’alarme niveau trop‐plein,
o 1 voyant sous tension monté en façade,
les commutateurs de marche automatique, manuelle et arrêt
l’alarme trop‐plein (contact à placer dans la chambre à 0,30 m au‐dessous du sol) ;
les compteurs horaires (un compteur par pompe en armoire)
Marque : SALMSON
Type : SUBSON
Débit : 5 m3/jour
2.8 Électricité
Le lot électricité amènera une ligne de puissance au droit de chaque équipement nécessitant une
alimentation électrique.
Le présent lot devra se raccorder sur les attentes mises à disposition avec mise en place d’un
commutateur de proximité local.
Toutes les liaisons équipotentielles sont à la charge du présent lot.
Alimentation
Attente Matériel Localisation Puissance (KW)
(V‐ph‐Hz)
Pompe de relevage EP
AEL PB01 Sous‐sol R‐2 4 230 – 1 ‐ 50
sous‐sol R‐2
Le parking en sous‐sol des bâtiments devra être doté d’extincteurs portatifs pour permettre au public,
d'intervenir sur un début d'incendie.
Ces appareils devront être conformes aux normes françaises, et appropriés aux classes de feux
rencontrables.
Ce sont des appareils homologués qui permettent de projeter un agent extincteur sous l'effet d'une
pression, ayant les caractéristiques suivantes :
Extincteur Caractéristiques
Technologie Poudre
Distance 4à6m
Durée 10 s
Action étouffement
Marque : SICLI
Bac à sable
Il devra être mis en place un bac à sable avec couvercle réalisé en tôle d’acier traitée, avec pelle à sable,
plaque de signalisation ainsi qu’un seau à fond rond
Volume 100 L
Dimensions 450x468x565
Marque : SICLI
Plans de sécurité
1. BASES DE CALCUL
1.1 Situation des lieux
ETÉ HIVER
‐ Température 32 °C ‐6°C
‐ Hygrométrie 40 % 90 %
‐ Zone climatique H2c
Les conditions intérieures données dans le tableau ci‐après sont à considérer en période d’occupation.
Désignation du
Séjour Chambres Cuisine Entrée dégagement Salle de bains
local
Système de
Radiateur Radiateur Radiateur Radiateur Radiateur
traitement
T°C 19°C +/‐1 19°C +/‐1 19°C 19°C +/‐1 22°C +/‐1
HIVER
H% NC NC NC NC NC
T°C NC NC NC NC NC
ETE
H% NC NC NC NC NC
Les valeurs indiquées ci‐après doivent être vérifiées par l'Entreprise à partir des plans d'exécution
fournis pour les autres corps d'état.
Coefficient de transmission thermique U
Pour information le calcul RT2012 est joint au dossier intégrant les coefficients thermiques U et les
systèmes de production énergétique décrits dans la suite du document font apparaître les résultats
qui seront à minima respectés en phase exécution.
Les résultats de l’étude thermique n’ont pour but que de renseigner l’entreprise pour son chiffrage et
de ce fait n’ont pas un caractère contractuel et devront être confirmés par une étude thermique
détaillée à la charge de l’entreprise.
Le calcul des coefficients de déperditions calorifiques selon les Règles RT 2012 et à la norme NF EN
12831. Les déperditions devront être recalculées par l’entreprise en fonction des caractéristiques
réelles des parois mises en œuvre dans la phase travaux et dans les conditions de fonctionnement
maximales du système de ventilation.
Acoustique
Les équipements et installations du présent lot sont sélectionnés et réalisés de manière à ne pas
dépasser les niveaux de bruit définis par la notice acoustique du projet.
Le niveau de pression acoustique normalisé engendré dans des conditions normales de
fonctionnement par un équipement collectif du bâtiment ne doit pas dépasser dans chaque logement :
30 dB(A) dans les pièces principales
35 dB(A) dans la cuisine fermée de ce logement
L'Entreprise se conformera aux indications énumérées ci‐après, tout cas particulier sera soumis à
l'approbation de la maîtrise d'œuvre.
Réseaux de chauffage
Pompes hydrauliques
Corps de chauffe
Les corps de chauffe seront calculés en fonction des courbes d’émission établies par l’AFNOR.
Les corps de chauffes seront obligatoirement déterminés selon un temps de relance fixé à 3h et la
chute de température à 3°C pour un débit de ventilation maximal.
La production de chaleur pour le chauffage et l’eau chaude sanitaire sera assurée par des chaudières
individuelles murales à condensation disposées en cuisine dans des placards dédiés selon plans.
Les chaudières seront alimentées en eau froide et en gaz depuis les attentes à proximité.
Les émetteurs de chauffe seront de type radiateurs avec une distribution bitube.
Les bâtiments seront raccordés sur le réseau public gaz à moyenne pression de GRDF.
Toutes les démarches auprès du concessionnaire sont à la charge du présent lot.
Il est prévu au présent lot la pose d’un coffret de détente/coupure devant le bâtiment. Le
raccordement et la mise à la terre est à la charge du présent lot.
L’ensemble du cheminement du réseau gaz à l’intérieur du domaine privé sera à faire valider sur plans
avant travaux par le bureau de contrôle et GRDF.
La pression de service gaz sera en tout point inférieure à 400 mb
Distribution générale
Depuis le coffret de coupure en limite de propriété départ aérien en faux plafond vers les gaines
palières par un réseau gaz en tube PEHD ou tube acier tarif 10 conforme aux spécifications ATG.
Les 2 pénétrations dans l’immeuble se feront sous fourreau métallique, l’espace annulaire compris
entre la conduite et le fourreau sera rendu étanche à l’aide d’un matériau inerte.
A l’intérieur de l’immeuble la canalisation gaz empruntera les parties communes ventilées.
Toute traversée exceptionnelle de locaux privatifs ou de sas se fera sous fourreau acier continu
rectiligne débouchant dans des parties communes ventilées.
Tout cheminement en faux plafond du hall sera réalisé sous gaine coupe‐feu 2H ventilé sur l’extérieur.
Toute traversée de murs ou de cloisons se fera sous fourreau de résistance mécanique suffisante.
Les tubes seront en acier ou en cuivre avec dispositif de protection mécanique.
Les jonctions entre les tubes seront réalisées conformément aux normes et spécifications en vigueur
soit :
Acier/Acier Par soudure autogène ou soudure à l’arc
Colonne montante
Les gaines prévues seront conformes à la réglementation en vigueur. Leurs portes seront munies d’un
loqueteau et d’un bec de cane à ressort modèle GDF.
À chaque traversée de plancher, le passage d’air libre autour de la tuyauterie sera d’au minimum 100
cm².
Si sa section est supérieure à 400 dm², elle sera protégée par un dispositif pouvant supporter le poids
d’un homme.
La GTP comportera :
Une amenée d’air frais directe ou indirecte, d’une section minimum de 100 cm² située en
partie basse de la gaine
Une ventilation haute débouchant hors combles avec chapeau, d’une section de 150 cm²
minimum.
Branchement particulier
Distribution terminale
Depuis le robinet d’arrêt en GTP la distribution gaz est réalisée jusqu’à l’alimentation de chaque
chaudière par tube cuivre sous fourreau encastrés en dalle.
Tous les tubes cuivres seront marqués de la NF EN 1057 et les raccords cuivre seront conformes à la
norme NF EN 29‐591. L’assemblage des tubes en cuivre ne pourra être réalisé que par brasage
capillaire.
Dans chaque cuisine, pour la remontée de la canalisation vers la chaudière, deux cas se distinguent :
Si la paroi d’appui de la chaudière est un voile béton ou un mur plein, la remontée
s’effectuera en encastrement dans la paroi,
Si la paroi d’appui est creuse, la remontée s’effectuera en applique en apparent,
Le socle 32 A pour le raccordement d’un appareil de cuisson de chaque logement ne sera pas situé
sous un générateur de chauffage ou ECS.
Pour le raccordement de la chaudière, la tuyauterie devra être filetée pour pouvoir recevoir un
bouchon vissé de type Banides et Debeaurain n°2303 pour dépose ultérieure de la chaudière.
Essais qualigaz
L’entreprise doit prévoir les essais et la remise des PV de l’ensemble des réseaux gaz. L’entreprise qui
devra être qualifiée PGN (Professionnel Gaz Naturel) devra effectuer auprès de GDF toutes les
démarches nécessaires à :
Obtenir l’approbation sur les dispositions retenues pour le raccordement de l’installation et
la distribution du gaz dans les parties communes des logements
Réaliser les travaux préliminaires à la mise en service des installations
Fournir à GDF le certificat de conformité QUALIGAZ en vue de la mise en pression définitive
des installations
La production de chaleur sera assurée dans chaque appartement par une chaudière murale gaz à
condensation assurant le chauffage et l’eau chaude sanitaire,
Marque CHAFFOTEAUX
Les chaudières seront estampillées NF, de type 3 étoiles CE conformément à la norme NF EN 13203‐1
« Classification en fonction du facteur global de confort – Performance de l’eau chaude sanitaire
puisé ».
Elles seront de type étanche avec évacuation de fumées par ventouse individuelle horizontale ou
verticale suivant les appartements.
Elles respecteront les préconisations de l’étude thermique réglementaire RT2012 et seront adaptées
à chaque type de logement.
Elles ne seront pas adossées à une paroi mitoyenne avec une pièce principale de masse surfacique
inférieure à 150 kg/m². Le cas échéant, celles‐ci seront fixées via support au plafond.
Marque : CHAFFOTEAUX
Type : 25FF
L’entreprise du présent lot doit tous les raccordements hydrauliques, gaz, électrique, évacuation de
fumées et notamment :
Raccordement sur attente eau froide mise à disposition par le lot plomberie, avec mise en
place d’une vanne d’isolement et d’un clapet anti‐pollution,
Raccordement en gaz avec vanne d’arrêt,
Évacuation de la soupape de sûreté/vidange circuit chauffage par tube cuivre,
Raccordement électrique de la chaudière depuis la boîte de raccordement située à proximité
Les chaudières seront raccordées au conduit d’évacuation type ventouse étanche qui débouchera soit
directement à l’extérieur en façade soit dans un conduit collectif 3CEP selon plans.
L’orifice de prise d’air et d’évacuation des gaz brûlés doit être placé à 0,40m au moins de toute baie
ouvrante et 0,60m de tout orifice d’entrée d’air de ventilation. Si l’évacuation s’effectue vers une voie
publique ou privée, il doit déboucher au moins à 1,80m au‐dessus du sol et protégé de toute
intervention extérieure susceptible de nuire à leur fonctionnement normal.
Le diamètre des tubes d’évacuation des gaz brûlés et tube d’amenée d’air sera dimensionné selon la
longueur de ventouse à installer.
Marque CHAFFOTEAUX
Type Kit ventouse concentrique C13‐C33
Les gaines techniques (cf plans) sont à équiper de conduit métallique concentrique collectif
comprenant le terminal de toiture, le kit d’étanchéité toiture, le siphon pour les condensats, les coudes
et rallonges. Le diamètre des conduits est déterminé selon la longueur du conduit. Le système de
conduit sera titulaire du marquage CE selon la norme NF EN 1856‐1 et d’un Document Technique
d’Application définissant les prescriptions d’utilisation et de mise en œuvre.
Marque POUJOULAT ou équivalent
Type 3CEP MULTI +
Kit de raccordement chaudière sur conduit 3 CEP :
Marque CHAFFOTEAUX
Type Kit adaptation 3CE
Tube PER encastré spécial distribution de chauffage température de fonctionnement de 90°C, pression
de service 4 bars.
La distribution sera de type bi‐tube (système « pieuvre ») avec canalisations encastrées sous fourreaux
dans les chapes ou les dalles et parois en béton ou dissimulées dans les cloisons.
Les canalisations sont réalisées en tube cuivre sous fourreaux, permettant la libre dilatation des
réseaux et le remplacement des tubes.
Aucun joint ni raccordement n’est autorisé dans les parties encastrées.
Les nourrices aller et retours seront placées dans les placards techniques en accord avec l’architecte.
Un seul tube à l’intérieur du fourreau, et mise en place du tube dans le fourreau après coulage, le taux
de remplissage du fourreau sera au maximum de 60%.
Tube DN 12 extérieur dans un fourreau DN 15,6 intérieur
Tube DN 16 extérieur dans un fourreau DN 20,8 intérieur
Équipement des nourrices aller et retour :
Une vanne d’isolement générale avec té de réglage quitus sur le retour pour l’équilibrage
Un purgeur automatique avec isolement
Support des collecteurs
Nombre de piquage avec raccord et robinet d’isolement (suivant nombre de radiateurs)
Raccordement vers gaine technique
Chaque traversée de plancher ou de paroi se fera sous fourreau plastique arasé au nu des
parois et en sous face des planchers et débordant en partie supérieure des planchers de 3 cm
pour les pièces humides.
Interposition entre le tube et le fourreau d’un matériau résilient.
Une bague en matériau isolant du type néoprène sera placée entre le tube et le collier ou le
support.
Nota : Les collecteurs chauffage devront être mis en place dans les placards d’entrée des logements.
(cf plans)
Le dimensionnement des corps de chauffe devra être conforme aux règles en vigueur.
Le dimensionnement des radiateurs devra être compatible avec un fonctionnement condensation de
la chaudière.
Un radiateur est à prévoir dans chacune des pièces (sauf WC) y compris dans l’entrée suivant le calcul
des déperditions.
Radiateur à calculer pour une température de départ chauffage inférieure ou égale à 70°C maximum
(régime 70/50°C).
Séjour, chambre, cuisine, entrées et dégagements
Radiateur panneaux en acier
Marque : KERMI
Type : FKO
Couleur : Blanc (au choix de l’architecte)
Pression éprouvée à 6 bars (selon NF EN 442)
Température maximale : 110 °C
La finition des pieds de radiateurs sera assurée par un enjoliveur :
Marque : DECOTUB
L‘installation d’un radiateur est nécessaire dans les entrées et les dégagements lorsque les déperditions sont
supérieures à 200 W.
La finition des raccordements des radiateurs devra être proposée et validée par la maitrise d’œuvre et la
maitrise d’ouvrage.
Pour les salles de bains, il sera chiffré un radiateur sèche‐serviette en acier.
Marque : KERMI
Type : B24S
Couleur : Blanc (au choix de l’architecte)
Pression éprouvée à 6 bars (selon NF EN 442)
Température maximale : 110 °C
Nota : La finition des raccordements des radiateurs devra être proposée et validée par la maitrise
d’œuvre et la maitrise d’ouvrage.
Nota : Les raccordements des sèches serviettes devront être encastrés dans la cloison sauf dans le cas
des voiles BA où il sera mis en place un radiateur sèche serviette de 1000W pour diminuer la hauteur
entre le raccord et le sol.
Chaque radiateur sera équipé de :
D’un robinet thermostatique certifié NF NF certifiés KEYMARK classe de variation temporelle
(θΔvt = 0,14) et classe de variation spatiale C dans les chambres, cuisine et salle de bains.
Marque DANFOSS ou équivalent
Type RAW
D’un robinet simple réglage dans le séjour
D’un purgeur à clé
D’un té de réglage sur le retour
Les radiateurs seront fixés sur des consoles anti‐soulèvement. Les supports sont en nombre suffisant
pour que le radiateur soit parfaitement stable et demeure horizontal. Ils seront fixés sur la paroi béton
et non dans le doublage.
2.8 Régulation/Programmation
Les canalisations apparentes depuis les chaudières seront réalisées en cuivre SANCO ou équivalent,
puis les raccordements jusqu’aux appareils sanitaires en PER encastré sous fourreau
Aucun raccord, piquage n’est autorisé en encastré.
Les réseaux cheminent jusqu’aux nourrices collecteurs/distributeurs individuelles logements, disposés
dans les placards techniques (cf plans), facilement accessibles.
Chaque nourrice est équipée de :
Une vanne d’isolement générale
Un purgeur automatique isolable
Un support collecteur
Chaque traversée de plancher ou de paroi se fera sous fourreau plastique arasé au nu des parois ou
plancher.
Le raccordement des appareils sanitaires sera réalisé en tube polyéthylène haute densité réticulés
encastrés sous fourreaux cannelés permettant le remplacement éventuel des canalisations (jeu 30%)
ou en cuivre apparent et en plinthes sur de courtes distances après approbation de l’architecte.
Le raccordement terminal des appareils sanitaires pourra être réalisé par flexible inox.
L’entreprise doit prévoir le remplissage en eau de l’installation. Afin de protéger celles‐ci, l’entreprise
prévoie :
Avant la première mise en service, le lessivage des circuits à l’aide d’une solution de type
PERMO PRO DSB,
Une passivation puis vidange et rinçage de l’installation,
Un remplissage définitif avec de l’eau contenant un produit inhibiteur de corrosion de
marque PERMO type PERMOCALOX
Mise en service
L’entreprise doit la mise en service de l’ensemble des équipements. La mise en service des chaudières
sera réalisée par le fabricant. Le coût sera supporté par le présent lot.
Il doit si cette livraison intervient en période hors chauffage, revenir sur les lieux pour la mise en service
hiver.
L’ensemble des radiateurs sera purgé par l’entreprise.
Réglages
Les réglages d’équilibrages seront réalisés en fonction des puissances des radiateurs et selon la
méthode des 1 mCE.
Essais
2.11 Électricité
Bilan des attentes électriques dues par le lot électricité :
Alimentation
Attente Matériel Localisation Puissance (KW)
(V‐ph‐Hz)
Liaison thermostat
LEL PB 03 d’ambiance – chaudière Thermostat / chaudière 2 x 0,5mm²
individuelle
Le présent lot aura à sa charge une solution permettant de respecter l’article 23 de la RT2012 et la
fiche d’application Systèmes de mesure ou d’estimation des consommations en logement du
30/05/2013.
Le principe de comptage par appartement sera le suivant :
Refroidissement
Réseau prise
Logiciel type ECONAUTE
électrique
Autres usages
VENTILATION
1. BASES DE CALCULS
1.1 Normes, règlements et documents de référence
Les ouvrages exécutés seront conformes aux règlements, aux normes européennes et françaises, aux
D.T.U. et aux règles de l'Art de la profession (édition en vigueur au moment de l'exécution des travaux).
Cette liste est donnée à titre indicatif et n’a pas un caractère exhaustif.
Règlements
D.T.U.
Normes
1.2 Débits
L’installation sera réalisée conformément à une note de calcul réalisée par l’entreprise selon les
dispositions prévues dans le DTU 68‐3, et l’avis technique « Ventilation hygroréglable BAHIA » N°14/13
‐ 1909
Dans tous les cas les cabinets d’aisance seront équipés de bouches d’extraction 30 m3/h.
Nbre de
Cuisine Nbre entrée
pièces WC (m3/h) SDB (m3/h) 2 WC (m3/h) 2 SDB (m3/h)
(m3/h) d’air
principales
Il sera précisé, dans les pièces écrites du dossier marché, que l’installation de VMC, en immeuble
collectif, sera réalisée conformément à la note de calcul du dimensionnement de celle‐ci (selon les
dispositions prévues dans le DTU 68‐3), établie par l’entreprise titulaire du lot.
L’ensemble des équipements sera conforme à la notice acoustique dans le cas où une notice a été
établie par un bureau d’études acoustique.
L’entrepreneur devra dans tous les cas prendre toutes précautions en vue d’éviter la production et la
propagation des bruits provoqués par le fonctionnement des divers appareils de son installation.
Il devra en conséquence s’attacher à n’installer que des appareils aussi silencieux que possible et à les
monter en les isolant du gros œuvre au moyen de dispositifs anti‐vibratiles.
Il fera son affaire de tout support, de tous revêtements, de toutes manchettes souples, raccords anti‐
vibratiles et pièges à sons qui seraient nécessaires, notamment la fourniture de plots anti‐vibratiles qui
devront être mis en place sous les caissons d’extractions VMC.
L’ensemble de ces dispositifs devra permettre d’obtenir une installation silencieuse ne pouvant gêner
en rien les occupants, même ceux immédiatement voisins des locaux où fonctionnent les équipements
à machines tournantes.
Le type de ventilateur, le choix du point de fonctionnement du ventilateur à débit maximal, la
constitution du réseau, le type de bouches utilisées et les réglages de l'installation seront réalisés afin
que le niveau de bruit reçu ne dépasse pas :
LnAT 30 dB(A) en pièces principales
LnAT 35 dB(A) en cuisines fermées
Avec une dalle BA de 18 cm entre logement Avec une dalle BA de 20 cm entre logement
Enfin les installations devront respecter la réglementation des bruits d’émergence vis‐à‐vis du
voisinage (décret 95 408).
Réseaux
Les valeurs indiquées ci‐après doivent être vérifiées par l'Entreprise à partir de ses études d’exécutions
à réaliser conformément au DTU 68.3.
Pour respecter les niveaux sonores dans les locaux, les vitesses d'air dans les gaines devront être au
plus égales à celles indiquées ci‐dessous :
Pertes de charges
SYSTEME EMPLACEMENT Vitesse Maximale (m/s)
maxi.(Pa/ml)
1.4 Extracteurs
Les logements seront ventilés suivant un système simple flux hygroréglable B défini par les résultats
de l’étude thermique, afin de respecter l’objectif énergétique fixé.
Marque : ALDES
Le principe de ventilation repose sur une extraction de tous les locaux «humides» avec entrées d’air
sur les menuiseries ou en maçonnerie des pièces principales (suivant classement acoustique).
Le principe retenu pour respect du label thermique RT2012 est la VMC simple flux.
Les extracteurs de chaque bâtiment collectif seront disposés en toiture
Les gaines seront réalisées en acier galvanisé rigide et/ou souple.
Les entrées d’air sont conformes au classement acoustique.
Entrées d’air
La détermination du type d’entrée d’air est réalisée en fonction des résultats de l’étude thermique annexée au
présent dossier.
Les bouches permettront le respect du classement acoustique de chaque façade.
Les bouches d’entrée d’air seront de type hygroréglables, avec volet mobile et capteur d’humidité, modèle du
commerce à débit 22 ou 30m3/h, de couleur au choix de l’Architecte.
Le présent lot fourni l’emplacement de chaque entrée d’air au lot Menuiseries Extérieures qui en assure la pose
dans les coffres de volets roulants ou en partie haute des menuiseries.
La fourniture des entrées d’air et le contrôle de la mise en œuvre est à la charge du présent lot.
Chaque pièce principale (chambre et séjour) sera équipée d’au moins une entrée d’air placée
conformément au DTU 68.3
Marque : ALDES
Type : hygroréglable BAHIA
La répartition des entrées d’air doit être conforme à l’étude acoustique
Les dispositifs d’occultation (volets roulants, etc.) des fenêtres en position fermée ne doivent pas
empêcher le bon fonctionnement des entrées d’air.
Bouches d’extraction
La détermination du type de bouche d’extraction est réalisée en fonction des résultats de l’étude
thermique annexée au présent dossier.
Le débit d’extraction sera fonction du type de logement, à double débit dans les cuisines, et à simple
ou double débit dans les pièces humides.
Les bouches d’extractions seront de type hygroréglables, en PVC en applique comprenant un élément
de régulation à membrane, un élément de commande comportant le détecteur d’humidité, le système
d’amplification, les filtres et pour les bouches des cuisines un volet assurant l’obturation du débit
additionnel.
Cuisine : bouche à commande manuelle par interrupteur type Hygroréglable bahia PUSH
Cuisine sur pile
Bain : bouche type Hygroréglable bahia SDB
WC : bouche à commande par présence type Hygroréglable bahia PUSH sur pile
Bain/WC : bouche à commande manuelle par présence type Hygroréglable bahia PUSH sur
pile
Le débit de chaque bouche est conforme l’avis technique « Ventilation hygroréglable BAHIA » Avis Technique
14/13‐1909
Marque : ALDES
Type : hygroréglable BAHIA CURVE
Le nettoyage du module d’extraction des bouches ne nécessitera pas le démontage de la liaison
bouche / conduit et pourra être effectué facilement par l’usager, y compris pour accéder à la bouche.
Réseaux d’extraction
Tous les conduits collectifs seront réalisés en matériau rigide circulaire de type gaine acier galvanisé, à
l’exception des piquages individuels (vers les bouches d’extraction) situés dans une gaine technique
ou un plénum qui peuvent être réalisés en matériau métallique flexible.
Le réseau collectif et les piquages individuels disposeront de tous les éléments (trappe de visite,
bouchon de pied de colonne, etc.) pour réaliser leur nettoyage sans devoir démonter les liaisons entre
les gaines.
Les réseaux verticaux cheminent jusqu’en combles ou en toiture terrasse pour être collectés avant rejet.
Les collecteurs d’extraction d’air sont réalisés en gaines métalliques spiralées de tôle d’acier galvanisé non
calorifugé, implantés dans les gaines techniques individuelles des logements. Ils devront être ramonables
facilement.
Leur dimensionnement est conforme aux règles définies dans les bases de calculs.
Les gaines d’extraction sont équipées de :
Fourreautage antivibratile à chaque traversée de planchers ou murs,
Tampons de visite en partie haute et basse,
Souche insonorisée en tête de colonne
Les registres et autres systèmes de réglage en tête de colonne sont proscrits compte tenu de la variation de débit.
Le raccordement entre les gaines verticales et bouches d’extraction est réalisé par gaines flexibles métalliques,
manchette et d’un cadre de fixation.
Chaque traversée de plancher sera rebouchée soigneusement après le passage des conduits de VMC avec
interposition d’une gaine souple type TAMISOL.
Les gaines traversant les locaux communs (circulation d’étage, parkings ou hall) seront protégées par un
revêtement coupe‐feu 2H floqué, ou protégées par des gaines CF 2H de type DAGSTAFF.
Une ou plusieurs bouches d’extraction pourront être raccordées sur une même gaine à chaque niveau à la
condition impérative que ces bouches desservent un même appartement.
A partir des tés acoustiques des souches en tête de chaque gaine verticale, les réseaux horizontaux en toiture
terrasse seront constitués de gaines circulaires en tôle d’acier galvanisé agrafées en spirale, fixées par colliers sur
des piétements disposés au long du parcours.
Les piétements supports de gaines seront métalliques en acier galvanisé. Les piétements seront fournis et posés
par le présent lot.
Des trappes de visite seront prévues sur les parcours trop accidentés et en particulier aux coudes.
Les débits de fuites du réseau ne devront pas dépasser 12 % des débits maximums.
Extracteurs
Les groupes moto ventilateurs seront facilement accessibles, et dans le cas de groupes non situés en
combles, les dimensions des passages d’accès seront suffisantes pour assurer les interventions de
vérification, d’entretien et de maintenance dans de bonnes conditions de sécurité.
Le démontage des extracteurs, sera réalisable sans nécessiter la déconnexion du réseau aéraulique,
afin d’effectuer facilement les interventions courantes d’entretien et de maintenance.
Les réseaux seront raccordés sur des extracteurs de type 400° C – ½ h classés C4 basse consommation
électrique, conformément à l’étude thermique.
Marque : ALDES
EasyVEC micro‐watt +
VEX 01 Combles bat A 41 276 / 1483 m3/h
1500
Les extracteurs sont installés en toiture terrasse accessible sur plots antivibratiles à ressorts.
L’ensemble est disposé sur plots béton avec résilient réalisé par le gros œuvre.
Chaque extracteur sera équipé de :
Une manchette souple aspiration/refoulement
Un piège à son aspiration et refoulement
Marque ALDES
Type OCTA
Un pressostat de contrôle de fonctionnement pour renvoi d’alarme par le lot électricité
Un commutateur de proximité
Des plots antivibratiles à ressorts
2.2 Électricité
L’alimentation électrique est réalisée depuis le TGBT en câble CR1 sans coupure par le lot électricité.
Le fonctionnement est permanent, et le raccordement est à la charge du présent lot.
L’entreprise titulaire du présent lot devra réaliser un autocontrôle de l’ensemble de l’installation basé
sur la méthode DIAGVENT de niveau 2, validant la conformité et le bon fonctionnement des ouvrages.
Il sera fourni un rapport d’autocontrôle dans lequel figure le détail des différents points vérifiés.
ESSAIS
1. ESSAIS PLOMBERIE
1.1 Généralités
D'une manière générale, les conditions de réception des installations ainsi que les garanties de bon
fonctionnement et de parfait achèvement des travaux seront conformes à la loi du 4 janvier 1978
relative à la responsabilité et à l'assurance de la construction.
Il appartient à l'Entreprise d'effectuer les essais et réglages complets de ses installations. Les essais
sont effectués par l'Entreprise avant tout contrôle de réception.
Les résultats des essais seront consignés dans un procès‐verbal qui sera adressé au Maître d'Ouvrage
avec la demande de la réception des travaux.
La réception des installations électriques (afin d'obtenir le permis de courant) par un organisme agréé
sera à la charge du présent lot.
L'Entreprise disposera d'un délai de 10 jours pour remédier aux défectuosités éventuelles ou pour
mettre son installation en conformité avec les documents du Marché ou les règles de l'art.
A compter du jour où un fonctionnement normal et une exécution satisfaisante des installations seront
constatés par la Maîtrise d'Œuvre, la période de garantie sera déclenchée.
Les essais seront classés en 3 catégories :
Les essais qui seront effectués par l'Entreprise, sous sa propre responsabilité, et pour lesquels
l'Entreprise fournira des procès‐verbaux.
Les essais et vérifications de bons résultats qui seront effectués par l'Entreprise sous le contrôle du
Maître d'Œuvre.
Les essais et vérifications de bon fonctionnement qui seront effectués par l'Entreprise à la demande
du Contrôleur Technique et qui seront supervisés par celui‐ci.
Dans tous les cas, l'Entreprise devra prévoir la présence d'un Ingénieur ou Technicien qualifié assisté
d'un ou plusieurs Metteurs au point, munis des instruments de mesure nécessaires à la vérification
des résultats à atteindre, que ce soit les températures des locaux, aux niveaux sonores,
fonctionnement de la régulation, asservissements etc.
1.2 Analyse traitement de l’eau
Après travaux et rinçage, une analyse de l’eau sera effectuée en amont du réseau de distribution en
local AEP et une seconde après robinetterie dans le logement le plus éloigné du local AEP.
Les analyses porteront sur les mêmes points y compris dureté et seront transmises à la maitrise
d’ouvrage. Si un écart est constaté, le présent lot aura à sa charge les actions nécessaires pour
supprimer celui‐ci.
Pour l’analyse individuelle, un taux d’échantillonnage de 5% sera retenu.
Il sera procédé, à une date qui sera précisée ultérieurement, mais qui sera au moins 1 mois avant le
début de la période d'essais et avant la finition du calorifugeage, mais après rebouchage des
réservations, au jour fixé par le Maître d'Œuvre en présence de l'Entreprise ou de son représentant
qualifié, à une vérification générale et détaillée des installations ayant pour but de constater la bonne
exécution des dispositions réalisées selon les règles de l'art et les spécifications techniques.
Seront notamment vérifiés :
La qualité et la mise en œuvre du matériel
Si les équipements sanitaires sont correctement posés
Si tous les matériels installés sont conformes à ce qui a été approuvé
Les emplacements et le bon raccordement des appareils de contrôle et de sécurité
Si les dispositions anti‐vibratiles insonorisantes et de désolidarisation sont en bonne place
Vérification d'accessibilité et de démontabilité des composants
Si les dispositions de protection contre l'incendie sont conformes au règlement de sécurité et
aux spécifications techniques
De la conformité aux normes du montage général des appareillages en armoire électrique
De la mise à la terre de tous les matériels
De la bonne exécution des raccordements en provenance des autres lots
Cette vérification sera effectuée tout d'abord par le responsable de l'Entreprise et si elle est
concluante, elle sera refaite en présence du responsable de la sécurité du chantier et d'un
représentant du Maître d'Œuvre.
1.4 Essais statiques
Ces essais seront réalisés par sondages, avant les mises en service et sous contrôle du Maître d'Œuvre
et consisteront‐en :
Réseaux Eau Froide Sanitaire / Eau Chaude Sanitaire :
Vérification de l’état du calorifuge
possibilités d’accessibilité et de manœuvre des vannes et accessoires hydrauliques
accessibilité des thermostats de cordon chauffant
bon alignement des réseaux intérieurs
Equipements sanitaires
désolidarisation des baignoires
raccordement des protections ipsothermiques
propreté intérieure
1.5 Essais de fonctionnement
Ces essais seront tout d'abord intégrés plusieurs mois à l'avance dans un planning général d'essais qui
sera défini en fonction des obligations ou impossibilités de réaliser simultanément les essais des divers
matériels.
Vu la très grande quantité d'essais qui seront nécessaires certains devront être effectués en dehors
des heures normales de travail afin de ne pas perturber les travaux de finition qui pourraient être
rendus difficiles par la présence (ou le bruit) des ouvriers des autres Entreprises.
En temps voulu et pour l'établissement du planning des essais, l'Entreprise chargée de ce lot devra
donner la liste de tous ses essais et leur durée approximative.
A ces essais viendront s'ajouter, sur leur demande, les essais sous contrôle du Maître d'Œuvre ou du
contrôleur technique.
La liste qui suit n'est pas limitative, elle a pour unique but de préciser quels genres d'essais auront lieu
et ce que l'Entreprise devra prévoir pour les mener à bien.
L'Entreprise devra fournir au début des essais un certain nombre d'instruments de mesure portatifs,
qui serviront au Maître d'Œuvre et au responsable de l'exploitation, à contrôler certains paramètres
pendant les essais :
Ces instruments seront :
Un thermomètre
Un ampèremètre
Un sonomètre
La garde de ces instruments incombera à l'Entreprise jusqu'au jour de la réception.
Pour les mesures de niveau sonore, l'Entreprise devra s'assurer de l'assistance d'un Ingénieur
Acousticien, qui sera soit indépendant soit employé par l'Entreprise.
Réseaux et robinetteries
Température ECS en sortie de robinetterie
1.6 Essais COPREC
Indépendamment des essais réalisés par l’entreprise pour mise au point et réglage de ses ouvrages, le
présent lot devra prévoir les frais afférents à la réalisation par des organismes agrées des essais définis
dans les documents techniques n°1 et n°2 de COPREC ainsi que la fourniture des procès‐verbaux qui y
sont mentionnés.
2. ESSAIS VENTILATION
2.1 Généralités
D'une manière générale, les conditions de réception des installations ainsi que les garanties de bon
fonctionnement et de parfait achèvement des travaux seront conformes à la loi du 4 janvier 1978
relative à la responsabilité et à l'assurance de la construction.
Il appartient à l'Entreprise d'effectuer les essais et réglages complets de ses installations. Les essais
sont effectués par l'Entreprise avant tout contrôle de réception.
Les résultats des essais seront consignés dans un procès‐verbal qui sera adressé au Maître d'Ouvrage
avec la demande de la réception des travaux.
La réception des installations électriques (afin d'obtenir le permis de courant) par un organisme agréé
sera à la charge du présent lot.
L'Entreprise disposera d'un délai de 10 jours pour remédier aux défectuosités éventuelles ou pour
mettre son installation en conformité avec les documents du Marché ou les règles de l'art.
A compter du jour où un fonctionnement normal et une exécution satisfaisante des installations seront
constatés par la Maîtrise d'Œuvre, la période de garantie sera déclenchée.
Les essais seront classés en 3 catégories :
Les essais qui seront effectués par l'Entreprise, sous sa propre responsabilité, et pour lesquels
l'Entreprise fournira des procès‐verbaux.
Les essais et vérifications de bons résultats qui seront effectués par l'Entreprise sous le
contrôle du Maître d'Œuvre.
Les essais et vérifications de bon fonctionnement qui seront effectués par l'Entreprise à la
demande du Contrôleur Technique et qui seront supervisés par celui‐ci.
Dans tous les cas, l'Entreprise devra prévoir la présence d'un Ingénieur ou Technicien qualifié assisté
d'un ou plusieurs Metteurs au point, munis des instruments de mesure nécessaires à la vérification
des résultats à atteindre, que ce soit les températures des locaux, aux niveaux sonores,
fonctionnement de la régulation, asservissements etc.
2.2 Vérification générale
Il sera procédé, à une date qui sera précisée ultérieurement, mais qui sera au moins 1 mois avant le
début de la période d'essais et avant la finition du calorifugeage, mais après rebouchage des
réservations, au jour fixé par le Maître d'Œuvre en présence de l'Entreprise ou de son représentant
qualifié, à une vérification générale et détaillée des installations ayant pour but de constater la bonne
exécution des dispositions réalisées selon les règles de l'art et les spécifications techniques.
Seront notamment vérifiés :
La qualité et la mise en œuvre du matériel
Si les réseaux de gaines sont conformes aux plans
Si tous les matériels installés sont conformes à ce qui a été approuvé
Les emplacements et le bon raccordement des appareils de contrôle et de sécurité
Si les dispositions anti‐vibratiles insonorisantes et de désolidarisation sont en bonne place
Vérification d'accessibilité et de démontabilité des composants
Si les dispositions de protection contre l'incendie sont conformes au règlement de sécurité et
aux spécifications techniques
De la conformité aux normes du montage général des appareillages en armoire électrique
De la mise à la terre de tous les matériels
De la bonne exécution des raccordements en provenance des autres lots
Cette vérification sera effectuée tout d'abord par le responsable de l'Entreprise et si elle est
concluante, elle sera refaite en présence du responsable de la sécurité du chantier et d'un représentant
du Maître d'Œuvre.
2.3 Essais statiques
Ces essais seront réalisés par sondages, avant les mises en service et sous contrôle du Maître d'Œuvre
et consisteront‐en :
Réseaux de gaines
o bon montage des bouches d’extraction
o possibilités de manœuvre des registres
o accès aux organes de manœuvres des clapets coupe‐feu
o accessibilité aux fusibles pour remplacement
o fixation du calorifuge s'il y a lieu.
Ventilateurs
o mise en place des carters de sécurité sur les ventilateurs
o désolidarisation des gaines (manchettes)
o bon alignement des transmissions
o raccordement des protections isothermiques
o fermetures et verrouillages des portes de caisson
o propreté intérieure
o mise en place des interrupteurs de sécurité
o raccordement électrique
Armoires électriques
o mise en place des organes de sécurité.
2.4 Essais de fonctionnement
Ces essais seront tout d'abord intégrés plusieurs mois à l'avance dans un planning général d'essais qui
sera défini en fonction des obligations ou impossibilités de réaliser simultanément les essais des divers
matériels.
Vu la très grande quantité d'essais qui seront nécessaires certains devront être effectués en dehors
des heures normales de travail afin de ne pas perturber les travaux de finition qui pourraient être
rendus difficiles par la présence (ou le bruit) des ouvriers des autres Entreprises.
En temps voulu et pour l'établissement du planning des essais, l'Entreprise chargée de ce lot devra
donner la liste de tous ses essais et leur durée approximative.
A ces essais viendront s'ajouter, sur leur demande, les essais sous contrôle du Maître d'Œuvre ou du
contrôleur technique.
La liste qui suit n'est pas limitative, elle a pour unique but de préciser quels genres d'essais auront lieu
et ce que l'Entreprise devra prévoir pour les mener à bien.
L'Entreprise devra fournir au début des essais un certain nombre d'instruments de mesure portatifs,
qui serviront au Maître d'Œuvre et au responsable de l'exploitation, à contrôler certains paramètres
pendant les essais :
Ces instruments seront :
Un thermomètre
Un ampèremètre
Un sonomètre
La garde de ces instruments incombera à l'Entreprise jusqu'au jour de la réception.
Pour les mesures de niveau sonore, l'Entreprise devra s'assurer de l'assistance d'un Ingénieur
Acousticien, qui sera soit indépendant soit employé par l'Entreprise.
Ventilateurs
o mesure de débit
o mesure d'intensité absorbée
o essai de registres
o mesure des niveaux sonores
o essai de mise en marche manuelle
o essai de mise en marche par asservissement
o essai de commande d'arrêt par asservissement
o essai de commande d'arrêt par asservissement,
Réseaux de gaines
o vérification de l'équilibrage
o mesure de débit aux extracteurs
o vérification des portées et vitesses terminales (fumigènes)
o essais des régulations terminales
o mesures des niveaux sonores
o essais de déclenchement et signalisation des fins de course, des clapets coupe‐feu
o essais des registres.
Indépendamment des essais réalisés par l’entreprise pour mise au point et réglage de ses ouvrages, le
présent lot devra prévoir les frais afférents à la réalisation par des organismes agrées des essais définis
dans les documents techniques n°1 et n°2 de COPREC ainsi que la fourniture des procès‐verbaux qui y
sont mentionnés.