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THEME
ORIGINE DE LA TERRE
Présenté par :
SEKOUBAOU Jean-Paul
Sous la supervision de :
Mr TOSSA Valentin
Conclusion
Références
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INTRODUCTION
La biologie est une science qui étudie les êtres vivants. De nombreux exploits
ont été acquis par les chercheurs dans ce domaine depuis les siècles antérieurs.
Parmi ces exploits, figure la transgénèse. Il s’agit d’une expérience d’étude des
cellules à travers ses organites. Mais dans la réalité des choses, comment se
réalise la transgénèse ? Après avoir clarifié de façon syntagmatique le concept
de transgénèse, nous essayerons de parler de la transgénèse chez les
agrobacterium ; des gènes ; du clonage et nous finirons par donner quelques
impacts de la transgénèse.
I. Clarification conceptuelle
Transgénèse
La transgénèse est le fait d’incorporer un ou plusieurs gènes
dans le génome d’un organisme vivant. Ce transgène pourra être
exprimé dans l’organisme transformé. La transgenèse consiste à
ajouter, remplacer ou inactiver un gène particulier.
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embryonnaire est ensuite transféré
dans un ovocyte énucléé.
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d’intérêt peut provenir de tout organisme vivant, bactérie,
animal ou plante puisque le code génétique est universel. Ce
gène doit être isolé de l’organisme donneur. Il est intégré dans
une construction génétique associant souvent un gène marqueur.
Ce dernier permet de sélectionner les cellules qui ont intégré le
gène d’intérêt. La construction est ensuite multipliée (clonage)
afin d’en disposer d’une quantité suffisante d’ADN pour son
introduction dans les cellules animales que l’on veut
transformer.
Etape 2 : Transférer le gène
La transgénèse par micro-injection de gènes dans les embryons (
technique mécanique qui consiste à utiliser des micro-
instruments pour introduire le gène d’intérêt).
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La fabrication des substances médicale commence par la constitution d’une
banque de germes, obtenue par la mise en culture d’un agent infectieux, avec
des règles d’asepsie très rigoureuses et dans des conditions (température, milieu
de culture…) strictement constantes, de manière à obtenir une grande quantité
de germes en tout point identiques. Le choix de la souche cultivée dépend du
type de substances médicales. Les substances médicales peuvent être obtenus à
partir d’organismes spontanément inoffensifs. C’est le cas du vaccin contre la
variole qui contient le virus de la vaccine, non pathogène pour l’homme, mais
suffisamment proche du virus de la variole pour entraîner une réaction
immunitaire efficace. Mais pour la plupart des substances médicales, les souches
sont atténuées, soit par un passage par des cultures successives, soit en s’aidant
de différentes techniques chimiques permettant de limiter leur pouvoir
infectieux. Parmi les vaccins bactériens couramment utilisés, seul le BCG est
réalisé à partir de bactéries vivantes atténuées. Une autre voie, en cours de
développement, consiste à produire par génie génétique des souches dépourvues
des gènes responsables de la virulence. Ce procédé a l’avantage d’être moins
onéreux. En revanche, il existe toujours un risque que le germe retrouve sa
virulence.
Pour fabriquer un médicament, il faut d’abord isoler une substance active, puis,
à l’aide d’excipients, lui conférer une forme galénique, par exemple comprimé
ou pommade. Enfin, le médicament est conditionné mécaniquement, c’est-à-dire
placé dans un emballage spécialement conçu à cet effet. Les médicaments sont
fabriqués par lots. Des mesures de contrôle et d’assurance qualité assurent que
seuls des médicaments de qualité irréprochable soient mis en vente. Si jamais un
lot de médicaments présente un défaut, le numéro de lot permet de rappeler les
médicaments en cause. Le consommateur doit avoir la garantie que la sécurité
des médicaments est irréprochable. C’est pourquoi la fabrication est soumise à
des contrôles officiels sévères. C’est Swissmedic qui en est responsable. Les
cantons participent à cette mission de contrôle.
DANS L’ALIMENTATION
Comme vous le savez, les microbes sont impliqués dans
l’altération des aliments et les intoxications alimentaires. Ces
derniers rajoutent de la saveur et de la variété à notre
alimentation. En effet, en plus d’aider notre digestion (l’intestin
humain est le foyer de plusieurs milliards de microbes utiles), ils
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occupent aussi une place importante dans notre alimentation
quotidienne. Les aliments ou les boissons fermentés sont
obtenus par fermentation du produit alimentaire jusqu’à un
niveau d’exigence souhaité. La fermentation est issue des
microorganismes telles que des bactéries, des levures ou des
moisissures. Plus de 3 500 aliments fermentés existent dans le
monde entier. Les plus connus sont les pains, les yaourts et les
fromages en Europe, en Afrique et en Amérique du Nord. Ils
constituent une partie importante du régime alimentaire local.
Nous avons aussi des boissons fermentées. Ce sont non
seulement des boissons alcoolisées mais aussi du thé, du café ou
du cacao : dans ce cas les feuilles ou les fèves sont fermentées
après la récolte. Grâce à la fermentation, les aliments sont plus
nutritifs, plus savoureux et plus faciles à digérer. De plus, cette
fermentation améliore la sécurité alimentaire, en aidant à
conserver les aliments et à augmenter leur durée de vie,
réduisant ainsi le besoin de réfrigération ou d’autres méthodes
énergivores. En résumé, les micro-organismes sont des éléments
importants de la transformation alimentaire. Sans eux, notre
alimentation perdrait à la fois la saveur, la variété et serait
moins.
DANS L’AGRICULTURE
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final pour l’agriculteur, une meilleure nutrition en éléments
essentiels – eau, éléments minéraux notamment – et une
croissance optimisée de la plante. C’est notamment le rôle des
mycorhizes, qui améliorent la prospection racinaire des
cultures : grâce à leur propre réseau racinaire joint à celui de la
culture, elles peuvent permettre jusqu’au doublement du volume
du système racinaire de la plante.
DANS LA MÉDECINE
CONCLUSION
Pour conclure, on obtient un animal transgénique à la suite d'une
série de méthodes scientifiques : on fait d'abord subir aux souris
donneuses et porteuses d'embryons un traitement aux hormones,
on micro-injecte ensuite le gène dans la cellule-oeuf que l'on
réimplante finallement dans une souris pseudo-gestante.