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2
Présentation de l’ouvrage
(biaise)
=> 3 travées
=> Largeur 12,4m
=> Dalle d’épaisseur 60cm
3
Présentation de l’ouvrage
Démarche de calcul
=> la RDM ne s’applique qu’aux poutres, on doit donc « transformer »
notre ouvrage en poutre
=> calcul sur une tranche de 1m de large (la plus sollicitée)
4
Charges permanentes
5
Charges permanentes
6
Surcharges
=> Surcharges Eurocodes : LM1 en classe 2
7
Surcharges
=> Surcharges Eurocodes : LM1 en classe 2
8
Surcharges
=> LM1 : exemples de positionnement, mais celui-ci dépend de la tranche
calculée et de la répartition transversale
L L
3,00 3,00 3,00 L-3,3m 3,00 3,00 3,00 L-3,3m
Voie 1 Voie 2 Voie 3 Aire résiduelle Voie 2 Voie 1 Voie 3 Aire résiduelle
2 x 270kN
2 x 270kN
TS 2 x 160kN TS
2 x 80kN 2 x 160kN 2 x 80kN
9
Surcharges : application
Lignes d'influence du coefficient de Guyon-Massonnet K(e)
3.000
2.500
cofficient de Guyon-Massonnet K
2.000
1.500
1.000
0.500
0.000
-7 -6 -5 -4 -3 -2 -1 0 1 2 3 4 5 6 7
Position de la charge (e) en m
10
Surcharges : application
2.800
2.700
2.600
Largeur chargeable
2.500 de l’ouvrage
(entre les dispositifs
2.400 de sécurité)
2.300
2.200
2.100
2.000
cofficient de Guyon-Massonnet K
1.900
1.800
1.700
1.600
1.500
1.400
1.300
1.200
1.100
1.000
0.900
0.800
Voie 1 Voie 2
0.700 Voie 3 AR
0.600
0.500
0.400
0.300
0.200
0.100
0.000
-7 -6.5 -6 -5.5 -5 -4.5 -4 -3.5 -3 -2.5 -2 -1.5 -1 -0.5 0 0.5 1 1.5 2 2.5 3 3.5 4 4.5 5 5.5 6 6.5 7
Position de la charge (e) en m
Master M1 génie civil – Février-Mars 2017
11
Surcharges : application
2.800
2.700
Largeur chargeable
2.600 de l’ouvrage
(entre les dispositifs
2.500 de sécurité)
2.400
2.300
2.200
2.100
2.000
cofficient de Guyon-Massonnet K
1.900
1.800
1.700
1.600
1.500
1.400
1.300
1.200
1.100
1.000
0.900
0.800
Voie 1 Voie 2
0.700 Voie 3 AR
0.600
0.500
0.400
0.300
0.200
0.100
0.000
-7 -6.5 -6 -5.5 -5 -4.5 -4 -3.5 -3 -2.5 -2 -1.5 -1 -0.5 0 0.5 1 1.5 2 2.5 3 3.5 4 4.5 5 5.5 6 6.5 7
Position de la charge (e) en m
Master M1 génie civil – Février-Mars 2017
12
Surcharges : application
=> TS : charge s’appliquant sur la tranche de 1m au bord :
voie 1 : 270kN x 1,95 / 12,4m + 270kN x 1,3 / 12,4m
voie 2 : 160kN x 1,05 / 12,4 m + 160kN x 0,7 /12,4m
voie 3 : 80kN x 0,55 / 12,4 m + 80kN x 0,4 /12,4m
-> 99,5 kN (pour 1 tranche de 1m)
13
Surcharges : application
1.600
1.500
1.400
1.300
1.200
1.100
cofficient de Guyon-Massonnet K
1.000
0.900
0.800
0.700
0.600
0.500
0.400
0.300
0.200
0.100
0.000
-7 -6.5 -6 -5.5 -5 -4.5 -4 -3.5 -3 -2.5 -2 -1.5 -1 -0.5 0 0.5 1 1.5 2 2.5 3 3.5 4 4.5 5 5.5 6 6.5 7
Position de la charge (e) en m
14
Surcharges : application
Largeur chargeable de l’ouvrage
(entre les dispositifs de sécurité)
1.600
1.500
1.400
1.300
1.200
1.100
cofficient de Guyon-Massonnet K
1.000
0.900
0.800
0.700
0.600
0.500
0.400
Voie 2 Voie 1 Voie 3 AR
0.300
0.200
0.100
0.000
-7 -6.5 -6 -5.5 -5 -4.5 -4 -3.5 -3 -2.5 -2 -1.5 -1 -0.5 0 0.5 1 1.5 2 2.5 3 3.5 4 4.5 5 5.5 6 6.5 7
Position de la charge (e) en m
15
Surcharges : application
Largeur chargeable de l’ouvrage
(entre les dispositifs de sécurité)
1.600
1.500
1.400
1.300
1.200
1.100
cofficient de Guyon-Massonnet K
1.000
0.900
0.800
0.700
0.600
0.500
0.400
Voie 2 Voie 1 Voie 3 AR
0.300
0.200
0.100
0.000
-7 -6.5 -6 -5.5 -5 -4.5 -4 -3.5 -3 -2.5 -2 -1.5 -1 -0.5 0 0.5 1 1.5 2 2.5 3 3.5 4 4.5 5 5.5 6 6.5 7
Position de la charge (e) en m
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Surcharges : application
=> TS : charge s’appliquant sur la tranche de 1m au centre :
voie 1 : 270kN x 1,15 / 12,4m + 270kN x 1,2 / 12,4m
voie 2 : 160kN x 0,9 / 12,4 m + 160kN x1,05/12,4m
voie 3 : 80kN x 1,12 / 12,4 m + 80kN x 0,95 /12,4m
-> 89,88 kN (pour 1 tranche de 1m)
17
Surcharges : autres surcharges
D’autres charges sont prévues par les Eurocodes (on les néglige ou on les
ignore ici…)
18
Surcharges : autres surcharges
Le modèle LM2 : vérifications locales
Q = Q1
19
Surcharges : autres surcharges
Le modèle LM3 : véhicules spéciaux
⚫ Convois exceptionnels ;
⚫ Convois militaires…
L’ensemble des véhicules spéciaux définis par l’EN 1991-2 sont abrogés par
l’annexe nationale qui renvoie aux convois qui étaient utilisés au règlement
français.
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Surcharges : autres surcharges
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Surcharges : autres efforts
=> Négligés dans notre exemple
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Modèle longitudinal
=> La tranche de dalle étudiée, de 1m de large, est assimilée à une poutre
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Modèle longitudinal
sous poids propre : 25x0,6x12,4 =186 kN /m ;
P pp = 186/12,4 = 15kN/ml pour tranche de 1m
sous superstructures :
5,6 kN/ml pour tranche de 1m
=> sans pondération et avec la prise en compte des
répartitions transversale de Guyon –Massonet k(e))
P ss = 6,72 kN/ml pour tranche de 1m
=> Avec les pondérations des eurocodes et k(e)
Poids propre
et
superstructures
Travée
centrale
UDL (LM1)
Pile
Ts
:Tandem
(LM1)
a
Master M1 génie civil – 1/8 Février 2013
Application de l'Eurocode 2
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Modèle longitudinal
=> Récupération des efforts dans les sections critiques :
moments en travée centrale :
sous poids propre : M2 = 0,025x15x14²= 73,5 kN.m / tranche de 1m
sous superstructures : M2 = 0,025x6,72x14²=32,93 kN.m / tranche de 1m
sous TS : M2 = 0,3216x99,5x14 = 448 kN.m / tranche de 1m
sous UDL : M2 = 0,075x3,5x14²= 51,45 kN.m / tranche de 1m
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Modèle longitudinal
=> Récupération des efforts dans les sections critiques :
effort tranchant sur pile :
sous poids propre : RB =1,1 x15x14= 231 kN / tranche de 1m
sous superstructures : RB = 1,1x6,72x14 = 103,49 kN / tranche de 1m
sous TS : RB = -1,9748 x 99,5 = -196,5 kN / tranche de 1m
sous UDL : RB = -1,2 x3,5 x 14 = -58,5 kN / tranche de 1m
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Efforts
=> Combinaisons
-> ELS caractéristique
( remb ( ))
gr1a (TS + UDL ) + TROT q fk ,comb ( 0, 6.FWk ,trafic ;0, 6.Tk )
gr1b( LM 2)
(
gr 2 FH ( QLK ) + ( 0.75TS + 0.4UDL )remb ) 0, 6.Tk
( ( )
gr 3 TROT q fk ; QSERV ; QFWK
Pk ( Gk sup ; Gk inf ) ( Gwcara ) Gtp Gta
) 0, 6.Tk
gr 4( LM 4) remb 0, 6.Tk
gr 5 (VS .1,1. dyn + 0, 75.TS + 0, 4.UDL )remb + (0,3.VS FREIN .1,1) 0, 6.Tk
( (
Tk 0, 75.TS + 0, 4.UDL + 0, 4.TROT q fk ,comb
))
FWk
-> Ici :
Sur pile : MELS,cara = 294+131,71+286,54+80 = 792,25 kN.m/ml
En travée centrale : MELS,cara = 73,5 + 32,93 + 448 + 51,45 = 605,88 kN.m/ml
29
Efforts
=> Combinaisons
-> ELS fréquent
30
Efforts
=> Combinaisons
-> ELU fondamental
( ( ))
1,35.gr1a (TS + UDL ) + TROT q fk ,comb 1,5. ( 0, 6.FWk ,trafic ;(*)0, 6.Tk )
remb
1,35 Gk sup 1,35.gr1b( LM 2)
Pm
; G k inf (
1,35.gr 2 FH QLK + 0, 75.TS + 0, 4.UDL
( ) ( )¨remb ) (*)1,5.0, 6.Tk
1, 2 G
wcara sup
( ( )
1,35.gr 3 TROT q fk ; QSERV ; QFWK
) (*)1,5.0, 6.Tk
; Gwcara inf
1,35.gr 4( LM 4) remb (*)1,5.0, 6.Tk
1, 2 G
1,35.gr 5 (VS .1,1. dyn + 0, 75.TS + 0, 4.UDL ) + 1,35.(0,3.VS FREIN .1,1) (*)1, 5.0, 6.Tk
*
tp
; Gtp
remb
(
(*)1,50.T 1,35. 0, 75.TS + 0, 4.UDL + 0, 4.TROT q
k (
fk ,comb ))
1,50.FWk
-> Ici : Sur pile : MELU = 1.35x 294+ 1.35x 131,71+ 1.35x (286,54+80)
= 1069,54 kN.m/ml
En travée centrale : MELU = 1.35x (73,5 + 32,93) + 1.35x( 448 + 51,45) = 817,94 kN.m/ml
Sur pile : TELU = 1.35x (231+ 103,49) + 1.35x( 196,5 + 58,5) = 795,81 kN
31
Hypothèses de calcul
=> Matériaux
32
Hypothèses de calcul
=> Matériaux
• résistance caractéristique à la compression sur cylindre : f ck = 35 MPa
33
Hypothèses de calcul
=> Classes d’exposition : Suivant le lieu ou l’on construit l’ouvrage
l’environnement ne sera pas le même.
Par exemple un ouvrage en mer connaîtra plus d’agression par les sels de mer
qu’un ouvrage en plaine. Une couche de béton protégé par une couche
d’étanchéité et d’asphalte est plus protégé qu’un béton en prise directe avec
l’air.
L’Eurocodes II prend en compte ses différences notamment pour l’enrobage
des armatures. Plusieurs classe d’environnement sont définies suivant le type
d’agression, et le niveau d’agression.
En ouvrage d’art, les plus souvent l’agression considéré est la corrosion par
carbonatation (XC) et son niveau est soit 3 soit 4 (XC 3 ou XC 4)
____ (XC3)
étanchéité
____ (XC4)
34
Hypothèses de calcul
35
Enrobage
Enrobage minimum (art 4.4.1.2)
Objectifs:
✓ Bonne transmission des forces d’adhérence
✓ Protection de l’acier contre la corrosion
✓ Une résistance au feu convenable
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Enrobage
=> Détermination de cmin,b :
37
Enrobage
=> Pour la détermination de cmin,dur, il faut connaître la classe structurale
=> Classe structurale : au départ, classe S4, modifiée (majoration et
minoration) par le tableau de la page suivante
38
Enrobage
=> Pour la détermination de cmin,dur, il faut connaître la classe structurale
=> Classe structurale : au départ, classe S4, modifiée par le tableau suivant
39
Enrobage
=> Classe structurale nappe supérieure
____XC3_____________ => S3
=> Classe structurale nappe inférieure
_____XC4____________ => S4
=> Cmin,dur est déterminé par la lecture du tableau 4.4N de l’Eurocode :
40
Enrobage
=> Au final
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Vérification à faire
=> pour la flexion :
- ELS caractéristique
- ELS fréquent
- ferraillage minimal de non fragilité
- ELU
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Vérification flexion ELS
=> Hypothèse
domaine élastique
section plane
calcul long terme n=15
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Flexion ELS caractéristique
=> flexion ELS (pour un élément de 1m de large)
=
h
d
=
= =
=
44
Flexion ELS caractéristique
=> flexion ELS :
En divisant (2) par (1), on obtient x2=2* As* n*(d-x)
45
Flexion ELS caractéristique
Avec M = MELS,cara, on a : - sur pile : σc, ELScara = ____ MPa
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Flexion ELS fréquent
=> l’ELS fréquent vise à limiter la fissuration
=> Plusieurs méthodes de calcul d’ouverture de fissures existent
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Flexion ELS fréquent
c) Méthode 3 (la plus simple) pour les sections de forme complexe :
La section est justifiée :
=> si l'espacement des armatures est inférieur à 5(c+f/2)
=> et si la contrainte s dans les aciers passifs ne dépasse pas les valeurs
suivantes sous la combinaison d'action considérée :
s < 1000 wk pour des éléments ou parties d'éléments fléchis (c'est-à-dire
ayant une face comprimée et une face tendue, cas de la flexion simple)
s < 600 wk pour des éléments ou parties d'éléments tendus (c'est-à-dire
présentant uniquement des contraintes de traction sur toute leur hauteur)
Dans ces expressions, s est la contrainte dans les aciers tendus en MPa et
« wk » l'ouverture de fissure demandée en mm
48
Flexion ELS fréquent
=> Ici, utilisation de la « méthode simplifiée » (EN 1992-2 NA clause 7.3.3)
- la plus sécuritaire
- sous ELS fréquent, on vérifie : σs < σsmax =1000.wk (MPa)
- wk selon classe d’exposition : (AN 1992-2 clause 7.3.1)
- vérification supplémentaire : espacement s < 5(c+Φ/2)
49
Flexion ELS fréquent
=> Le calcul est donc le même que pour l’ELS caractéristique (programmation
sous Excel / Calc)
=> Seules les limitations de contrainte sont différentes
Ici s,max = 0,3x1000 =300 MPa
50
Flexion en fatigue
=> Plusieurs méthodes dont une simplifiée et d’autres plus complexes…
=> Méthodes compliquées :
-> passage d’un convoi de fatigue sur l’ouvrage (FLM3 en général mais
d’autres convois sont possibles, FLM1 à FLM5…)
-> étude des cycles de contraintes
sous ce convoi à partir d’un état
à vide
-> vérification que ces cycles
(modulo des coefficients d’
ajustement et de sécurité)
sont inférieurs à l’« Etendue
de contrainte pour N cycles,
donnée par les courbes S-N concernées » (ou courbe de Wohler)
Rsk ( N *)
g F , fat s ,equ ( N *) = s s , EC
g S , fat
Master M1 génie civil – Février-Mars 2017
51
Flexion en fatigue
=> Plusieurs méthodes dont une simplifiée et d’autres plus complexes…
=> Méthode compliquée :
-> courbe de Wohler :
52
Flexion en fatigue
-> le calcul est le même que celui exposé à l’ELS caractéristique et que celui
exposé à l’ELS fréquent
53
Ferraillage de non-fragilité
=> But : éviter tout risque de rupture fragile
=> Quantité minimale d'aciers dans toutes les zones susceptibles d'être tendues
Formule issue des règles particulières pour les dalles pleines en (EC2-1-1 9.3.1.1),
qui renvoient à (EC2-1-1 9.2.1.1) pour les poutres
54
Flexion ELU
=> Principe :
On doit vérifier, sous la combinaison fondamentale de l’ELU, que le
moment sollicitant est inférieur au moment résistant ultime.
55
Flexion ELU
=> Plusieurs lois de comportement pour le béton et pour les aciers
fck = 35 MPa
cc = 1
gc = 1,5
c2 = 2 ‰
cu2 = 3,5 ‰
56
Flexion ELU
=> Béton : loi bilinéaire
57
Flexion ELU
=> Béton : diagramme rectangulaire ( =0,8 et h = 1)
58
Flexion ELU
=> Acier : Loi bilinéaire à palier horizontal infini
gs = 1,15
Es = 200000 MPa
59
Flexion ELU
=> ELU : schéma de calcul
60
Flexion ELU ELU
1.00 m
u
h
d
FS = As,inf * fyd
FC = xp*fcd + (x-xp)*fcd*2/3
61
Flexion ELU
Hypothèse 2 : la section reste plane, le théorème de Thalès donne :
62
Flexion ELU
63
Flexion : la formule magique…
Pour vérifier une quantité d’acier sur un ouvrage d’art, il y a plus simple…
64
Effort tranchant
Vérification 1 : nécessité d’armature d’effort tranchant
Avec :
CRd,c = 0,18/gc = 0,12
k = 1 + (200/d)0,5 = ____ ≤ 2,0 avec d exprimé en mm
ρl = Asl/(bw.d) = _____ ≤ 0,02
Avec Asl la section d'armatures longitudinales
σcp = 0 MPa en béton armé
D’où VRd,c = _____ (MN)
65
Effort tranchant
Finalement VRd,c = ____ MN
VEd = ____ MN
=> OUI pas besoin d’aciers (autres que les aciers minimaux)
66
Effort tranchant
Vérification 2 : si besoin d’aciers d’effort tranchant
deux étapes :
67
Effort tranchant
=> vérification du critère de compression des bielles
Avec :
αcw = 1 en béton armé (coeff. qui tient compte de l'état de contrainte dans la
membrure comprimée).
z = 0,9.d en béton armé (bras de levier des forces internes dues au moment
fléchissant)
ν1 = 0,6*(1-fck/250) = 0,52, coefficient qui tient compte de la résistance du béton
fissuré à l'effort tranchant.
α = 90° angle d'inclinaison des aciers
θ = 45° par exemple (34°< θ < 45° en BA) angle d'inclinaison des bielles de béton
(on peux descendre à 21,8°, mais il faut alors une vérification en fatigue)
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Effort tranchant
=> calcul de la section d’aciers à mettre en oeuvre
L'effort repris par les aciers vaut : VRd,s = z.fywd. cotθ *Asw /s
Avec une valeur plafond : Asw/s < Asw,max /s = 0,5.αcw.bw.ν1.fcd. / (fywd .sin
α) qui correspond au cas d'égalité de Vrd,s et Vrd,max, et qui permet la
ductilité du comportement.
Asw,max /s = ____ cm²/m
69