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Stage professionnel à
( Soft Étude et Développement )
Du 03/04/2023 au 02/06/2023
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RESUME
Le présent rapport expose la démarche que j’ai suivi dans mon travail, j’ai étudié la les
différentes cas pour la structure du réservoir avec les feuilles de calcul Excel et La
modélisation sur le logiciel Robot a complété cette étude statique.
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LISTE DES FIGURES
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Figure 25:La répartition trapézoïdale de la réaction du sol cas réservoir vide avec
remblai...........................................................................................................................40
Figure 26:La répartition triangulaire de la réaction du sol cas réservoir vide avec
remblai...........................................................................................................................40
Figure 27:Les efforts appliqués sur le mur ; cas réservoir plein sans remblai..............41
Figure 28:La répartition trapézoïdale de la réaction du sol cas réservoir plein sans
remblai...........................................................................................................................42
Figure 29:La répartition triangulaire de la réaction du sol cas réservoir plein sans
remblai...........................................................................................................................42
Figure 30:Réservoir plein soumis à les charges du remblais et l’eau ..........................43
Figure 31:La répartition trapézoïdale de la réaction du sol cas réservoir plein avec
remblai...........................................................................................................................44
Figure 32:La répartition triangulaire de la réaction du sol cas réservoir plein avec
remblai...........................................................................................................................44
Figure 33: Les sections critiques dans les parois..........................................................45
Figure 34:Le plan de coffrage du réservoir...................................................................50
Figure 35:schéma de l’escalier......................................................................................59
Figure 36:Les dimensions du lanterneaux.....................................................................62
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LISTE DES TABLEAUX
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REPERTOIRE DES SIGLES &ABREVIATIONS
BA:Béton armée
TV:Toile de verre
BP:Béton précontrainte
FP:Fissuration préjudiciable
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Table des Matières
Introduction…………………………..…………………………………………...................10
1) Présentation de l’entreprise ………………………………………………………….............11
2) Fiche signalétique de l’entreprise…....…...………………………….............…....................11
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9-f) Plancher champignon …………………………………………………………….......................24
9-g) Planchers nervurés ……………………………………………………………….......................24
9-h) Plancher-dalle caissonné ………………………………………………………..........................24
9-i) Plancher-caisson ………………………………………………………………….......................24
9-j )Étude comparative des différentes types des plancher ………………………….........................25
9-k) Chicanes ou Murs intérieurs ………………………………….………………….......................26
9-l) Fond du réservoir …………………………………………….…………..…...............................26
9-m) Radier ………………………………………………………………………..............................26
9-n) Système dallage semelles-longrines ……………………………………………........................27
9-o) Dallage …………………………….…………………………………..………………..…........27
9-p) Longrines …………………………………………….………………..………..……..……......27
9-q) Solidarité Couverture-Paroi-fond ……………………………………………………................28
9-q-1) Liaison entre la dalle de couverture et parois ……………………………………..................28
9-q-2) Liaison entre les parois et le fond du réservoir …………………………………....................28
9-r) Les Joints.................................…………………………………………………………………..28
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7) Le Dimensionnement des escaliers..............................................................................................58
7-a) La Méthode de calcul....................................................................................................................58
7-b) Le Ferraillage des escaliers...........................................................................................................59
8) Le Dimensionnement de l’acrotère...............................................................................................59
8-a) La Méthode de calcul....................................................................................................................59
8-b) Le Ferraillage de l’acrotère...........................................................................................................60
9) Le Dimensionnent des lanterneaux...............................................................................................61
9-a)La méthode de calcul ....................................................................................................................61
9-b)Le ferraillage des lanterneaux .......................................................................................................62
10) les dispositifs sismiques pour le réservoir..................................................................................62
Conclusion.................................................................................................................................86
Annexes........................................................................................................................................87
1)Les plans de coffrage du réservoir......................................................................................87
2)Les feuilles de calcul des trois combinaisons...................................................................88
I)La première combinaison (Réservoir vide avec Remblai).................................................88
II)La deuxième combinaison (Réservoir plein sans Remblai).............................................90
III)La troisième combinaison (Réservoir plein avec Remblai)............................................92
3)Les feuilles de calcul de ferraillage des sections.............................................................94
4)Les plans d’exécutions sur ROBOT..................................................................................100
Réferences................................................................................................................................109
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INTRODUCTION
Vue le progrès qu’a connu le Maroc dans le domaine de gestion des ressources en
eaux afin d’accompagner la grande demande en eau due à la croissance
démographique, de l’industrie et de l’agriculture ; Il y a jour après jour création des
grands projets, soient d’alimentation en eau potable des zones urbaines ou rurales, soit
de traitement des eaux usées ou dessalement des eaux de mer.
Une recherche thématique sur les réservoirs en détaillant leurs types, leurs formes,
leurs dimensions, leurs équipements, leurs dispositifs particuliers,et leurs fonctions,
ainsi que les différentes méthodes de calcul.
Une étude de conception qui répond aux exigences liées à ce type de réservoirs, à
savoir, la résistance, l’étanchéité et la durabilité.
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1/ Présentation de l’Entreprise
Créé en 2008, SOFT ETUDE ET DEVELOPPEMENT est une société d'ingénierie pluridisciplinaire
intervenant dans les projets de génie Civil, des bâtiments et des travaux publics, d'aménagement
VRD et d'hydraulique.
Son environnement :
-Principaux clients : LA RADEEM /AL OMRANE /LA RAMSA etc...
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Chapitre I :Données Générales sur le projet
1- Présentation générale du projet:
Le projet consiste à l’étude d’un réservoir destiné au stockage d’eau potable de la ville de
‘’Ouislane’’ à Sidi Slimane moule Elkifane. C’est un réservoir rectangulaire, semi enterré, et d’une
capacité de 12 000 m3 répartie sur 2 cuves symétrique.
2- Définition
On appelle réservoir une capacité destinée à contenir un fluide, ils peuvent être construits découverts
ou au contraire munis d'une couverture en coupole ou en dalle plate.
Les réservoirs peuvent être simples ou complexes et formés de plusieurs cellules mêmes superposées.
La forme en plan peut être quelconque, carrée, rectangulaire, tronconique, cylindriques ou cylindra-
tronconique.
Ils peuvent être réalisés selon le cas, en maçonnerie ou en acier pour de petites capacités; mais de nos
jours, la plupart des réservoirs sont réalisés en béton armé ou en béton précontraint.
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4) Classification d’un réservoir
Les réservoirs peuvent être classés de différentes façons selon le critère retenu :
Par rapport au sol :
Réservoirs posés sur le sol.
Réservoir légèrement enterrés (semi-enterré).
Réservoirs surélevés (château d’eau).
Réservoirs souterrains.
Par leur forme :
Circulaire : le plus économique.
Rectangulaire carré, ou de forme irrégulière : si la considération d’encombrement
est prépondérante (ex: nécessité de loger le volume maximal dans la surface
disponible.
Par les matériaux de construction utilisés :
Maçonnerie
Béton armé
Béton précontraint
Acier
Plastiques
Situation par rapport à la distribution :
Réservoir en charge sur le réseau
Réservoir nécessitant une surpression
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Figure 1: l’emplacement du réservoir surléve
Il faut éviter le mauvis emplacement comme indiquer le schéma ci dessus:
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��
�������é �� = + ��� ��
�
Qm : Distribution moyenne journalière en m3
-Il faut noter aussi que le réservoir peut avoir une structure complexe, où les cuves sont superposée.
5-f) L’altitude
L’altitude, ou la charge, du réservoir nécessaire pour assurer la distribution, est fournie par le
calcul du réseau. Il doit être situé le plus proche de l’agglomération à alimenter. En effet, en
éloignant le réservoir de l’agglomération, on est conduit à augmenter, soit son altitude, soit le
diamètre de la conduite de liaison entre le réservoir et l’agglomération.
Enfin, le contact avec le béton du parement intérieur du réservoir ne doit pas altérer les qualités du
liquide emmagasiné. Le revêtement intérieur, s’il protège le béton sous-jacent doit aussi protéger le
liquide de l’influence du béton.
6) Équipements du réservoir
Chacun des compartiments d’un réservoir doit être muni d’une conduite d’alimentation, d’une
conduite de distribution, d’une conduite de vidange et enfin, d’une conduite de trop-plein. Les
dispositions spéciales qui peuvent être prises pour constituer la réserve incendie ne modifient en rien
ces principes ; ce ne sont que des aménagements de détail.
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A noter que les traversées des parois des réservoirs par les diverses canalisations s’effectuent à l’aide
des gaines étanches.
Pour les installations de taille modérée, il est préférable d'automatiser l'arrêt de la pompe lorsque le
réservoir est plein afin d'éviter une surveillance constante. Une option est d'utiliser un contact à
flotteur qui coupe l'alimentation électrique de la pompe via un relais, mais cela nécessite une ligne de
transmission électrique entre le réservoir et la pompe.
Pour les petites installations, une solution élégante consiste à utiliser un robinet à flotteur et à utiliser
la conduite elle-même comme ligne de transmission. Lorsque le réservoir est plein, le flotteur ferme
le robinet, arrêtant ainsi le débit dans toute la canalisation. En plaçant un relais sensible à la vitesse
de l'eau près de la pompe, l'arrêt du débit permet au relais de couper l'alimentation de la pompe.
Cette approche offre une automatisation simple et efficace pour arrêter le pompage lorsque
nécessaire
6-c) Trop-plein
Le trop-plein a pour but d’assurer sans déversement du réservoir l’évacuation du débit d’adduction,
pour le cas où la pompe d’alimentation ne se serait pas arrêtée. Il doit donc être dimensionné pour ce
débit, et conduire l’eau à l’égout en tenant compte des pertes de charge t en limitant la vitesse dans la
conduit de trop-plein à 3 ou 4m/s
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6-d) Vidange
Pour permettre l’inspection et le nettoyage du réservoir, ainsi que d’éventuelles réparations, il est
nécessaire de pouvoir le vidanger, au moyen d’une conduite généralement raccordée à la conduite de
trop-plein. Cette conduite peut utilement comporter un siphon servant de garde d’eau, pour éviter les
émanations gazeuses désagréables en provenance de l’égout. Bien entendu, sauf en cas d’urgence, on
a intérêt à n’effectuer cette vidange que sur un réservoir préalablement presque vide en exploitation.
6-f) Comptage
A la sortie de la conduite de distribution, un compteur doit être ménagé pour pouvoir effectuer des
relevés périodiques de la consommation totale.
6-g) Robinets-vannes
Dans chaque canalisation (arrivée, départ, vidange…) un robinet-vanne doit être prévu pour pouvoir
effectuer le sectionnement de chacune de ces conduites en cas de besoin.
6-h) Tuyauterie
Pour la protection de la tuyauterie contre la corrosion, celle-ci doit être galvanisée
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on accédera à la cuve elle-même, tout accès direct par le dessus, par exemple, étant ainsi éliminé. On
peut y faire des prélèvements d’eau dans de bonnes conditions sanitaires, y installer un dispositif de
comptage ou de chloration.
7) Dispositions particulières
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7-d) Conditions d’exploitation
Un soin particulier doit être apporté au dimensionnement et à la réalisation des ouvrages et
équipements destinés à permettre toutes commodités à l’exploitation et à l’entretien de l’ouvrage.
Les conditions de nettoyage notamment doivent être étudiées en détail.
Les ouvrages doivent comporter de larges trappes d’accès pour le matériel, et en tant que de
besoin, des escaliers et passerelles de service.
Les conditions de sécurité lors des interventions d’exploitation ou d’entretien doivent faire l’objet
d’études toutes particulières s’appuyant sur les normes et la réglementation : échelles à crinoline,
mise en place de paliers sur les échelles de grande hauteur, ancrages pour harnais de sécurité, garde-
corps autour des trappes…).
Pour faciliter l’exécution des prélèvements nécessaires au contrôle des eaux, des robinets de
puisage doivent être piqués directement sur les conduites d’adduction et de distribution à proximité
du réservoir.
8) Étanchéité
Les structures en béton assurant le rôle de barrière étanche (stockage intérieur de liquides, barrière
contre l'eau extérieure) sont soumises à de multiples sollicitations simultanées d'origine externe ou
interne (pression de liquide, pression du sol, température, retrait, tassements, ...).
Le matériau le plus couramment utilisé pour remplir cette fonction est le béton armé. Comme ce
dernier n'est pas à proprement parler étanche aux liquides, on lui associe bien souvent une deuxième
enveloppe (cuvelage secondaire pour garantir l'étanchéité aux substances dangereuses) ou un
revêtement externe ou interne.
Il existe trois sources de percolation à travers une structure en béton armé :
La porosité du béton lui-même ;
Les fissures éventuelles, lorsque les sollicitations de la structure sont telles que les contraintes
de traction générées sont supérieures à la résistance en traction du béton ;
Les éventuels joints incorporés dans la structure afin de limiter les risques de fissuration.
En voulant résoudre le phénomène de fissuration par la création de joints, on augmente les risques
de fuite. On estime que le débit de fuite est 10.000 fois plus grand au droit d'une fissure, voire même
10.000.000 fois au droit d'un joint fonctionnant mal, par rapport au débit de fuite susceptible de se
produire au travers d'une structure en béton. Il est dès lors conseillé d'agir graduellement lors de la
conception de la structure (formulation, calcul, conception et exécution des joints) en fonction de
l'étanchéité (relative) souhaitée.
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NB : un délai de séchage de 8 jours à 3 semaines doit être observé entre le coulage des formes de
pente et la pose de l’étanchéité.
Le recouvrement des feuilles d’étanchéité d’une même couche (bitume armé) est de 10cm au
minimum. La pose se fait à lits croisés.
a. Les voiles :
Le revêtement comprend trois couches :
i. Une couche d’accrochage : d’une épaisseur de 8 mm de mortier de ciment dosé à
600 Kg/m3, auquel on ajoute un hydrofuge de masse, est appliquée sur la paroi
interne du voile en béton armé traitée et humidifiée ; ce qui permet l’accrochage
du revêtement d’étanchéité.
ii. Une couche de dressage : d’une épaisseur de 8 à 10 mm de mortier de ciment
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hydrofugé dosé à 600 Kg/m3 permet d’homogénéiser la surface du voile pour
l’application de la couche de finition.
iii. Une couche de finition : couche étanche hydrofugée dosée à 500 Kg du ciment, a
une épaisseur de 8 à 10 mm. Le dosage des adjuvants est fonction de leur type de
l’imperméabilité recherchée, ils sont sous forme liquide ou poudre et peuvent être
incorporés aux sables et au ciment, mais de préférence à l’eau de gâchage afin de
permettre une bonne répartition.
b.Le radier :
Le mortier hydrofugé est appliqué en deux couches épaisses, dosées à 700 et 600 Kg par m3 de
sable, respectivement, formant ainsi une chape étanche d’une épaisseur minimale de 30 mm ;
appliquée au dessus d’une couche de barbotine de ciment dosée à 1000 Kg par m3 de sable et étalée
à la brosse métallique.
Les mortiers doivent être bien composés avec des sables propres de granulométrie convenable :
0.1 mm à 2 mm ou 0.1 à 3 mm.
Tableau 2:Les classe des réservoirs selon le fascicule 74
Note : Les fuites ne doivent pas dépasser 500 cm3 par jour et par mètre carré de paroi
mouillée (en dehors des variations de volume liées à l’évaporation) pour les ouvrages de
classe A et 250 cm3 par jour et par mètre carré pour les autres. Pour les bassins non enterrés,
on considère cette condition remplie si l’on ne constate pas de fuite. Une simple tache n’est
pas considérée comme une fuite.
Pour chaque élément, il existe plusieurs conceptions. Ce chapitre a pour but d’étudier les
avantages et les inconvénients de chacune de ces conceptions.
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9-a) Parois du réservoir
Dans un premier temps, la paroi est conçue comme un mur de soutènement. On choisit à cet effet le
type « mur cantilever », ou en «T renversé». C’est la forme classique pour un mur en béton armé. Il
peut être réalisé sur un sol de qualités mécaniques peu élevées. En effet, par rapport à un mur-poids
de même hauteur, il engendre des contraintes sur le sol plus faibles pour une même largeur de
semelle.
Le mur cantilever en béton armé qui, doté d’une base élargie et encastrée à la partie supérieure du
sol de fondation, fonctionne en faisant participer à l’action de soutènement une partie du poids du
remblai. Les murs cantilevers en béton armé sont également des ouvrages rigides.
Selon le fascicule 74, l´épaisseur minimale de la paroi est de 15 cm pour les ouvrages de classe A.
Elle est de 12 cm pour les ouvrages des classes B et C.
Dans le cas de coffrages glissants, cette valeur est portée à 15 cm, et les trous laissés par les tiges
de vérins doivent être injectés.
Il est à noter que, les parois adoptées sont d’épaisseur variable, c’est la solution la plus
économique.
Jonction des parois :
Les encastrements des parois en angle sont soumis à des sollicitations qui tendent à ouvrir les
angles (effet de bord). Il convient donc de disposer, dans les angles, des armatures permettant de
reprendre les efforts de traction en diagonale.
Forme du remblai :
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Figure 7:Forme du remblai
Le remblai de notre cas a la forme ci-dessus. Par mesure de sécurité, et de peur d’un éventuel
prolongement du remblai dans des projets de l’avenir, nous avons choisi de faire nos calculs pour un
remblai horizontal. Nous pouvons justifier l’aspect sécuritaire de notre choix par le fait que ça
augmente la poussée du calcul.
9-b) Couverture
La couverture peut être constituée par un véritable plancher : dalle mince ou épaisse, plancher à
nervures parallèles, à nervures orthogonales, plancher à corps creux, plancher champignon, plancher
dalle, plancher préfabriqué.
9-c) Poutres-dalles
Ce sont des dalles particulières qui ne portent que dans une seule direction. Elles sont constituées
d’une dalle pleine et de poutres dans un seul sens.
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9-f) Plancher champignon
Le plancher-champignon correspond au cas où les piliers sont munis à leur partie supérieure de
chapiteaux.
Il est constitué d'une dalle fortement armée reposant sur des piliers par l'intermédiaire d'un
chapiteau, conférant à l'ensemble la forme de "champignon". Ce sont des têtes épanouies, en forme
générale de troncs de cônes ou de pyramides renversés,
On peut également disposer d'une retombée locale au droit du poteau pour accroître sa résistance à
la flexion et à l'effort tranchant.
Les planchers champignons sont réservés à des cas particuliers, de fortes charges ou de grandes
portées.
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9-j ) Étude comparative des différentes Types de plancher
Dans l’étude comparative on compare les différentes types de plancher selon leur avantages et leur
inconvénient :
Tableau 3: Étude comparatif des différentes types de plancher
Types de plancher Avantages Inconvénients
Calculs longs
Coffrage simple et Exécution délicate du
économique ferraillage
Absence de retombées déformable
Economie possible de pas de préfabrication
Plancher-dalle
faux-plafond possible.
isolation acoustique Armatures importantes
inertie thermique au niveau des colonnes
Relativement lourd
Plus coûteux
Plus léger ferraillage délicat
Grandes portées Difficultés de disposer
Plancher-dalle caissonné
Sans retombées. des trémies près des
appuis.
Facile à calculer et à
mettre en œuvre
Economique Retombée de poutre.
Poutre-dalle
Longue portée
Épaisseur réduite
Facile à calculer et à
Retombées dans les
Dalle pleine sur 4 mettre en œuvre
deux directions
Peu déformable
Préfabrication difficile.
appuis Grandes portées,
Facile à calculer
Facile à mettre en œuvre Retombées dans 2
Peu déformable directions
Dalle pleine sur 4 appuis
Grandes portées Préfabrication difficile.
Isolation acoustique
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9-k) Chicanes ou Murs intérieurs
Pour éviter la stagnation de l’eau dans les réservoirs, il faut cloisonner le réservoir en mettant des
murs entre les poteaux. Ces murs intérieurs sont appelés « chicanes ».
Plusieurs conceptions sont possibles pour les chicanes :
On peut réaliser ces chicanes en maçonnerie, leur rôle dans ce cas est limité au cloisonnement du
réservoir. Ils n’atteignent d’ailleurs pas la couverture. En cas de séisme, on admet que ces murs vont
être cassés, et on peut les reconstruire. Cependant, après le séisme, on est obligé de vider le réservoir
pour les reconstruire, ce qui revient un peu cher pour les réservoirs de grande capacité.
Ces murs peuvent être en béton armé, on les conçoit pour résister à la poussée hydrodynamique.
Ils n’atteignent pas dans ce cas la couverture.
Il y a un autre cas où ces chicanes sont en béton armé, et sont conçus pour assurer à la fois le
contreventement du réservoir et résister à la poussée dynamique de l’eau. Dans ce cas, les chicanes
atteignent la couverture
Le fond du réservoir peut être constitué soit d’un radier général supportant toute la structure en
plus du poids de l’eau, soit d’un système dallage-semelles-longrines. Il est caractérisé par l’addition
d’autres couches :
Couche d’asphalte de 2 cm d’épaisseur, pour assurer une bonne étanchéité,
Couche drainante en béton poreux de 10 cm d’épaisseur, coulée avec une pente de 2%
vers un caniveau périphérique au bout duquel sont placés deux regards, qui permettent de
détecter les fuites éventuelles du dallage.
9-m) Radier
Dans le cas d’un fond constitué d’un radier, ce dernier sera sollicité par :
Des charges réparties sous les parois extérieures et les chicanes,
Des charges localisées sous poteaux,
Poids de l’eau.
Le radier est épaissi au niveau des poteaux et chicanes. Ceci est effectué pour vérifier le non
poinçonnement du radier.
i. Les radiers rigides : qui sont dimensionnés comme des planchers inversés portés par les
voiles et les poteaux. Ils sont peu utilisés en ouvrage de rétention du fait d’un équarrissage
important. Ce type de fondation est plus spécifiquement adapté aux bâtiments ;
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ii. Les radiers souples : qui sont des dalles appuyées élastiquement sur le sol. Ce sont ces
radies qui sont le plus souvent utilisés en réservoir.
9-o) Dallage
Un dallage est un ouvrage en béton de grandes dimensions par rapport à son épaisseur,
éventuellement découpé par des joints, et reposant sur un sol auquel il transmet les actions qui lui
sont directement appliquées. Il peut intégrer une couche d'usure ou recevoir un revêtement.
Pour un réservoir, il est important de soigner l’étude de dallage tant au niveau du support que du
corps du dallage sans négliger aucun paramètre tels que les joints divers, le choix du type de finition
ou de revêtement. Les désordres liés au dallage peuvent perturber sinon arrêter complètement
l’exploitation de l’ouvrage. Il faut savoir que si la réparation d’un dallage n’est pas impossible, elle
entraîne un coût important ; de plus, les remèdes expéditifs de type injection de résine en cas de
fissuration ne permettent de résoudre que des cas limités.
� = �. �� × � × � × � / ��
Où :
g: est le poids du radier par unité de surface ;
L: est la longueur entre joints ;
μ: est un coefficient de frottement pris égal à 1,5 dans le cas général et à 0,2 en présence d´un
film de polyéthylène sur lit de sable ;
fe : est la limite élastique de l´acier utilisé.
9-p) Longrines
Tous les codes parasismiques imposent que les semelles isolées soient reliées entre elles par des
longrines(poutre de redressement) qui ont pour but d’empêcher des déplacements relatifs
dommageables des appuis de la construction. En effet, les points d’appuis des constructions subissent
des déplacements absolus non synchrones sous séisme, déplacements d’autant plus grands que le sol
est plus meuble.
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9-q) Solidarité Couverture-Paroi-fond
Analysons les différentes liaisons entre les éléments du réservoir :
Cependant, si le risque du glissement existe, il faut encastrer les parois dans un radier. Ce dernier
est dimensionné de telle façon qu’il équilibre les efforts engendrés à la base du réservoir par le
glissement.
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l'armature minimale.
L’espacement des joints : on veillera à utiliser du béton armé de manière appropriée afin
de limiter l'ouverture des fissures. En fonction de la classe d'étanchéité souhaitée et de
l'ouverture de fissure admissible, on calculera la section d'armatures nécessaire. Il convient
néanmoins de prévoir des joints de structure en fonction de la géométrie de celle-ci, de
façon à reprendre les éventuels tassements différentiels et les importantes déformations
thermiques ou de retrait.
On espaçait couramment autrefois les joints de retrait de 20 à 25 cm, la tendance est de réduire ces
chiffres à 15 cm et 12 cm environ.
Un autre type de joints existe, il s’agit des joints de désolidarisation, ou d’isolement. Ils sont
réalisés pour dissocier les dallages de certains éléments de construction (poteaux, longrines, murs,
massifs,…) en cas de besoin dont les déformations verticales et/ou horizontales diffèrent de celles du
dallage. Ils doivent être francs sur toute l’épaisseur du dallage avec une largeur minimale de 10 mm.
Toutefois, ce type de joints n’est pas envisageable pour les réservoirs de grande capacité. En effet, de
grandes dimensions en plan nécessitent la mise en place de plusieurs poteaux, et les joints de
désolidarisation deviennent dans ce cas une contrainte à l’exécution et une telle configuration revient
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plus chère.
Conformément aux règles BAEL 91 Modifié 99 :
Dans les calculs relatifs aux « constructions courantes » et aux « constructions industrielles », on
peut ne pas tenir compte des effets du retrait et des variations de température pour les éléments de
construction compris entre joints distants au maximum de :
25 m dans les régions sèches et à forte opposition de température ;
50 m dans les régions humides et tempérées.
Les joints doivent être du type ’’water stop’’. Cela signifie que la coupure (joint) du béton doit
comporter en dehors d’un bourrage en produits noirs, une membrane étanche, souple et déformable,
scellée dans les deux abouts du béton. Différentes matières peuvent être utilisées pour réaliser cette
membrane: cuivre, caoutchouc, matière plastique.
Dans les grands ouvrages de travaux publics, dont le réservoir, on emploie des bandes d’arrêt
d’eau en PVC ou autre élastomère.
Ces bandes sont mises en place lors du coulage du béton : elles présentent des renflements sur les
bords et un tube de section circulaire au centre. Les renflements sont destinés à assurer le calage dans
la masse du béton et l’ovoïde la souplesse, l’élasticité centrale.
Le retrait ultérieur des deux parties jointes en béton met la bande en tension, ce qui assure alors
l’étanchéité.
30
Chapitre II :Principe de la réglementation et Matériaux De
Construction et l’hypothèse de calcul
1) Règlements de calcul
Compte tenu de la nature du liquide contenue et les conditions d’étanchéité à satisfaire, les épaisseurs
de béton et le ferraillage à disposer sont définies dans les deux règlements de calcul :
Le fascicule 74
Le DTU14.1 pour le calcul des cuvelages et réservoirs.
Le fascicule 74 est le plus complet et plus récent(1996) Ainsi pour effectuer cette étude on va utiliser
les règlements suivants :
les règles BAEL 91 révisé 99 : Pour le calcul de béton armé ;
le fascicule 74 relatif aux réservoirs d’eaux : pour les règles et dispositions constructives.
31
E = 3700(f c28)1/3 (MPa)
I : moment d´inertie, par unité de hauteur ou de largeur de la paroi.
h0 : épaisseur de la paroi.
Il est rappelé que le gradient thermique crée des moments dans chaque direction (les armatures
correspondantes doivent être disposées du côté de la face la plus froide de la paroi).
Les actions variables, non définies par des textes réglementaires, sont précisées dans le CCTP. A
défaut d´une telle précision pour les charges d´entretien sur les planchers, passerelles et couvertures,
les valeurs suivantes sont adoptées :
- 2 kN/m2 pour les planchers et passerelles ;
- 1 kN/m2 pour les couvertures.
Les actions accidentelles :
- Le séisme : on applique le RPSM 2011
- chocs, avalanches, etc.
Les éléments techniques à prendre en compte sont définis dans le CCTP.
C4=G+Q+Fa+0.6 x T
Avec : FA action accidentelle.
Vis-à-vis des états limites de service (ELS) :
C5=G+Q+T
C6=G+Q+0.6x T
Les effets de la température T sont calculés conformément à l´annexe B contractuelle au présent
fascicule.
Les sollicitations sont calculées à partir des combinaisons d’actions par les méthodes appropriées de
la résistance des matériaux ;
32
Les sections des différents éléments de la structure sont justifiées par application des règles BAEL en
vigueur.
Les éléments en ambiance humide sont vérifiés vis-à-vis de l´état limite de service de fissuration
dans les conditions définies par les règles BAEL pour le cas de la « fissuration très préjudiciable ».
Les éléments de la structure constituant les parois (Les parois sont les éléments de la structure en
contact direct ou indirect (présence d´un revêtement) avec le liquide contenu.) des réservoirs des
classes A, B et C, avec revêtement d´étanchéité adhérent, respectent de plus les conditions suivantes :
Pour toutes les armatures des sections entièrement tendues et pour les armatures proches de la
face mouillée des sections partiellement tendues, la contrainte de traction, exprimée en MPa et
calculée vis-à-vis de l´état limite de service, est limitée à le minimum des deux valeurs:
ƞ � ����
�� = � � √( ) + �ƞ
�
et celle donnée par les règles BAEL en cas de fissurations très préjudiciables :
Pour les armatures proches de la face non mouillée des sections partiellement tendues, la
contrainte de traction, calculée vis-à-vis de l´état limite de service, est limitée aux valeurs fixées par
les règles BAEL pour les cas de la « fissuration préjudiciable » ou « très préjudiciable »
Les contraintes de traction du béton dans les sections entièrement tendues et celles développées
sur la face mouillée des parois, calculées vis-à-vis de l´état
limite de service et en section homogénéisée, ne peuvent excéder la valeur :
Épaisseur minimale :
L´épaisseur minimale de la paroi est de 15 cm pour les ouvrages de la classe A. Elle est de 12 cm
pour les ouvrages des classes B et C, dans le cas de coffrages glissants, cette valeur est portée à 15
cm, et les trous laissés par les tiges de vérins doivent être injectés.
33
Dispositions et écartement des armatures :
- Pour des parois de plus de 15 cm d´épaisseur, elles sont obligatoirement réparties en deux nappes.
- Le diamètre des aciers est au plus égal à ho/10 (ho épaisseur de la paroi) et au moins égal à 8 mm
- L´espacement est limité, pour les parois au contact du liquide, à la plus petite des deux valeurs
1,5eh et 20 cm.
Pourcentage minimal :
Le pourcentage d´armatures par rapport à la section totale de béton respecte le pourcentage minimal
correspondant à l´application de la condition de non fragilité des règles BAEL (l´article A.4.2.1.).
Par ailleurs, le pourcentage mis en œuvre sur chaque face et pour chaque direction ne peut être
inférieur à :
- 0,125 % pour les armatures à haute adhérence ;
- 0,25 % pour les armatures lisses.
Dans la partie courante de la paroi, le rapport de la section totale des armatures de chaque direction à
la section de la paroi est inférieur à 2 % Cas particulier des radiers reposant sur le sol :
- l´épaisseur minimale est de 10 cm ;
- pour les radiers désolidarisés des parois, les armatures sont dimensionnées pour équilibrer les
sollicitations dues au retrait :
A défaut de justifications particulières, la section d´armature par unité de largeur peut être prise égale
à:
A=0.75x(µxgxL)/fe
Avec :
- g est le poids du radier par unité de surface ;
- L est la longueur entre joints ;
- μ est un coefficient de frottement pris égal à 1,5 dans le cas général et à 0,2 en
présence d´un film de polyéthylène sur lit de sable ;
- fe est la limite élastique de l´acier utilisé.
2) Matériaux de construction
2-a) Le béton
34
a) Fabrication des bétons :
Résistance caractéristique :
La résistance caractéristique du béton est choisie parmi les classes B 25 à B 60 incluses.
Dosage :
Le dosage minimal en ciment du béton est : 350 kg/m3 L´expérience prouve que pour l´étanchéité et
la durabilité du béton, ce dosage minimum est une précaution nécessaire et qu´il convient d´être
circonspect quand on s´en écarte.
Maniabilité :
Le béton mis en œuvre présente un affaissement au plus égal, avant incorporation de plastifiants, à la
valeur fixée dans le CCTP pour les parois horizontales et/ou radiers et les parois verticales Pour les
parois horizontales (couverture et radier) l´affaissement préconisé peut être compris entre 6 et 8 cm.
Et pour les parois verticales l´affaissement préconisé peut être compris entre 8 et 10 cm.
Ciments :
Seuls peuvent être utilisés les ciments conformes aux normes en vigueurs.
Granulats :
Les dimensions des plus gros grains utilisés ne dépassent pas 25 mm pour du béton coulé en place et
15 mm pour du béton projeté.
Le sable ne présente pas un module de finesse supérieur à 2,5.
L´équivalent de sable est supérieur à 75.
Le rapport granulats/sable (G/S) n´est pas supérieur à 2,20.
Pour les bétons projetés, la proportion des fines du sable est telle que :
- (fines + ciments)/ (granulats + ciment) > 0,17.
Eau de gâchage :
Le rapport eau/ciment (E/C) n´excède pas 0.55 pour les bétons coulés en place et 0,40 pour les
bétons projetés.
Ce rapport peut être limité en utilisant des adjuvants plastifiants réducteurs d´eau.
35
adopte des dispositions proches de celles indiquées ci-dessus. Cet incident de chantier doit être
signalé sans délai au maître d´œuvre.
Cure du béton :
L´entrepreneur s´assure de la compatibilité des produits de cure avec les revêtements d´étanchéité à
mettre en œuvre ultérieurement. L´arrosage intermittent est à proscrire.
Il est interdit d´utiliser dans un même ouvrage des ronds lisses de même diamètre et de
nuances différentes.
3) Hypothèses de calcul
Tableau 4: Les paramètres de calcul
Paramètre Valeur
limite d’élasticité des aciers fe 500 MPa
résistance caractéristique à la compression du béton à 28 jours fc28 25 MPa
contrainte limite de compression du béton σbc (ELU) 14.16
contrainte limite de compression du béton σbc (ELS) 15
Résistance à la traction du béton ft28 2.1
module d’élasticité de l’acier E 2 x 105 MPa
Fissuration très préjudiciable
Sans
200 MPa
fascicule 74
Limite de contrainte de traction des armatures
Application du
169 MPa
fascicule 74
Limite de contrainte de traction dans le béton (F74) 3.85 MPa
Enrobage pour les parties en contact avec l’eau 4 cm
Enrobage pour les autres parties 3 cm
36
Chapitre III : Étude Statique du Réservoir
1) Calcul de dimensionnement des parois
Les parois sont des murs voiles fondés sur des semelles filantes, ils ont un comportement d’un mur
de soutènement. Pour leur dimensionnement, on néglige les déformations dans le sens longitudinal,
ce qui suppose un état de déformation planaire, ainsi on étude un mètre de longueur de mur.
Pendant le fonctionnement normal : le réservoir est plein avec poussée des terres, dans ce cas la
poussée des terres et celle d’eau agissent simultanément. Ainsi on va calculer les parois pour trois
combinaisons fondamentales :
- Réservoir vide avec remblai.
- Réservoir plein sans remblai.
- Réservoir plein avec remblai.
1-a) Pré-dimensionnement des parois
On va adopter pour les parois la géométrie représentée sur la figure.
Le guide pour l’étude et la réalisation des soutènements donne quelques règles simples pour les
murs-cantilever «courants» en béton armée .
37
1-b) Étude des cas
La stabilité externe des parois permet de trouver les dimensionnes minimales des parois qui vérifient
la stabilité, vis-à-vis de renversement, et de poinçonnement, sous l’effet des charges extérieurs,
durant toute la durée de vie prévisible de l’ouvrage.
Les dimensionnes retenues pour les parois sont celles qui vérifient, à la fois, les trois combinaisons
fondamentales :
38
P2=Ht x q x tan²(п/4-φ/2)
Calcul des efforts stabilisateurs :
Soit γs le poids volumique total du sol en remblai.
Soit γb le poids volumique du béton armé (γb = 25KN/m3)
Les efforts stabilisateurs appliqués sur le mur sont :
- le poids propre des terres au-dessus de la semelle arrière du mur : N1 (voir figure 24)
- le poids propre des parois (y compris la semelle) :N2+N3+N4+N5. (voir figure 24)
D’après la géométrie des parois, on a :
Le poids propre des terres N1 est donné par:
(��−��)(��−��)²)
N1=γs.(�(�� − ��) + ��
)
- N1 est appliquée à une distance x1 du point A (voir la figure 24)
�²+�.�+�² (Ht−Sa)(e2−e1)
x1 =(a+b+c)- 3(�+�)
avec l=a+ h
(�+��)(�−��) (��−��)(��−��)
N2= �
. �� avec c=e2+
�
39
Le coefficient de sécurité vis-à-vis de renversement :
��(�������������) ����+����+����+����+����
F= = �� ��
��(����������) ��� +���
� �
Pour que la stabilité au renversement soit vérifiée, soit en ELS ou ELU, il faut que ce
coefficient de sécurité soit supérieur à 1.5.
Soit adm est la contrainte admissible du sol de fondation sur laquelle est fondé le mur.
On distingue deux cas :
��� � ��� �
Soit σa=�+�+� (� + �. �+�+� ) et σa=�+�+� (� − �. �+�+� )
Pour vérifier le non poinçonnement de la semelle des parois, On doit vérifier que :
�.��+��
�
<4
Si a+b+c/6 <e<a+b+c/2
dans ce cas on a une répartition triangulaire de la réaction du sol, et s’étend sur une distance de 3e.
40
����
�adm= �+�+�
�.( � −�)
�.����
Pour vérifier le non poinçonnement de la semelle, On doit vérifier que :
�
<�adm
On veillera toujours à ce que la répartition de la réaction du sol sur la semelle soit trapézoïdale, c’est
à dire que :0<e<a+b+c/6
1-b-2) deuxième combinaison : réservoir plein sans remblai
Les parois sont semis aux efforts extérieurs suivants :
- La poussée de l’eau : Pe
- Le poids d’eau au-dessus du talon : Ne
- Leur poids propre : N2+N3+N4+N5
Ces efforts sont représentées sur la figure27 suivant :
Figure 27: les efforts appliqués sur le mur ; cas réservoir plein sans remblai
��� +�−��
Ne= �
. �. ��
Appliquée à une distance xe du point O :
�ℎ�+�(�−��)
Xe=a+b+c--�(�ℎ�+�−��) ��
N2, N3, N4 et N5 se calculent comme la première combinaison, et les distances de leurs
points d’application sont calculées par rapport au point O.
41
Le moment des efforts renverseurs par rapport au point O :
ℎ�+�−��
Mo(renverseur)=Pe.( �
+e2)
Figure 28: La répartition trapeizoidale de la réaction du sol ; cas réservoir plein sans remblais
��� � ��� �
Soit σa=�+�+� (� + �. �+�+� ) et σa=�+�+� (� − �. �+�+� )
Pour vérifier le non poinçonnement de la semelle des parois, On doit vérifier que :
�.��+��
�
<4
Si a+b+c/6 <e<a+b+c/2
dans ce cas on a une répartition triangulaire de la réaction du sol, et s’étend sur une distance de 3e.
Figure 29: Répartition triangulaire de la réaction du sol ; cas réservoir plein sans remblai
42
Soit la contrainte maximale due à l’action du sol sur la semelle des parois.
����
�adm= �+�+�
�.( −�)
�
�.����
Pour vérifier le non poinçonnement de la semelle, On doit vérifier que :
�
<�adm
1-b-3) troisième combinaison : réservoir plein avec remblai
Les parois sont semis aux efforts extérieurs suivants :
- La poussée de l’eau : Pe
- La poussée des terres : P1
- La poussée du à la charge d’exploitation: P2
- Le poids d’eau au-dessus du talon : Ne
- Le poids des terres au-dessus de la semelle arrière : N1
- Leur poids propre : N2+N3+N4+N5
Ces efforts sont représentées sur la figure 28 suivant :
Figure 30:Les efforts appliqués sur le mur ; cas réservoir plein avec remblai
43
et Ni=Nv=N1+N2+N3+N4+N5
Soit � adm est la contrainte admissible du sol de fondation sur laquelle est fondé le mur.
On distingue deux cas :
Figure 31:Lla répartition de la réaction du sol ; cas réservoir plein avec remblai
��� � ��� �
Soit σa=�+�+� × (� + � × �+�+� ) et σa=�+�+� × (� − � × �+�+� )
Pour vérifier le non poinçonnement de la semelle des parois, On doit vérifier que :
�.��+��
�
<4
Si a+b+c/6 <e<a+b+c/2
dans ce cas on a une répartition triangulaire de la réaction du sol, et s’étend sur une distance de 3e.
Figure 32:La répartition triangulaire de la réaction du sol ; cas réservoir plein avec
remblai.
Soit la contrainte maximale due à l’action du sol sur la semelle des parois.
����
�adm= �+�+�
�.( � −�)
�.����
Pour vérifier le non poinçonnement de la semelle, On doit vérifier que :
�
<�adm
1-c) Stabilité interne des parois et calcul des armature
Calcul des sollicitations :
Pour le calcul des sollicitations et les sections d’armatures, on va étudier des sections
critiques de calcul, jugées nécessaires et suffisantes pour déterminer le ferraillage
complet du mur.
Ces sections de calcul sont choisies par l’utilisateur, pour notre projet nous avons choisi
les sections suivantes :
44
On définit les sections critiques comme suit :
S1 = encastrement du voile sur la semelle section d’acier A1
S2 = encastrement du patin sur le voile section d’acier A2
S3 = encastrement du talon sur le voile section d’acier A3
S 4 = section du voile au tiers de sa hauteur section d’acier A4
S 5 = section du voile à la moitié de sa hauteur section d’acier A5
S 6 = section du voile aux deux tiers de sa hauteur section d’acier A 6
Ces sections de calcul sont représentées sur la figure suivante :
Tableau 6: Localisation des sections par rapport au terrain naturel -effort normal dans les sections de fût
sections S1 S2 S3 S4
45
Les efforts extérieurs exerces sur le talon :
- Le poids propre du talon : est une charge trapézoïdale
(�2−�)
P(x)=γb.e2-γb. � �
- Le revêtement : qr
- La réaction du sol.
Les sollicitations au niveau des sections S2 et S3 sont montrées sur les tableaux suivant:
Tableau 7: les sollicitations dans les sections définies dans la semelle ;cas réservoir vide avec remblai
Avec:
σA−σB σA−σB
σa = σB + a × a+b+c Et σb = σB + (a + c) × �+�+�
b) Deuxième combinaison : réservoir plein sans remblai
Pour le fut:
Pour calculer les sollicitations dans les sections définies dans le fut on détermine d’abord la position
de ces sections par rapport au niveau d’eau dans le réservoir ; ces positions sont montrées sur le
tableau suivant :
Tableau 8: localisation les sections définies dans le fut -cas réservoir plein sans remblai
46
Les sollicitations, effort tranchant T et moment M, sont calculées par les formules
montrées sur le tableau suivant :
Tableau 9: les sollicitations dans les section définies dans la semelle - cas réservoir plein sans remblai
σA−σB σA−σB
σa = σB + a × a+b+c Et σb = σB + (a + c) × �+�+�
c) Troisième combinaison : réservoir plein avec remblais
Pour le fut:
Les sollicitations au niveau des sections de calcul se calculent comme la première et la
deuxième combinaison.
Mais dans ce cas l’eau agit dans un sens inverse par rapport à la poussée des terres :
La sollicitation totale résultante dans une section donnée sera : St=Spt-Spe
Avec Spt : la sollicitation due à la poussée des terres et la charge q.
Spe : la sollicitation due à la poussée d’eau.
Pour le patin et talon :
Les sollicitations sont données par le tableau suivant:
Tableau 10 : les sollicitations dans les section définies dans la semelle - cas réservoir plein avec remblai
σA−σB σA−σB
σa = σB + a × a+b+c Et σb = σB + (a + c) × �+�+�
Calcul des armatures longitudinales :
Le fut des parois est sollicité en flexion composée : flexion simple due à la poussée
d’eau et de remblai, et compression simple due au poids propre du fut.
Tandis que le patin et le talon sont sollicités en flexion simple.
a-1) Cas de flexion composée :
Pour la flexion composée on suit la méthode suivante :
47
A l’état limite de service : ELS
L’excentricité de l’effort normal Ns s’écrit : e=es=Ms/Ns.
On a une section rectangulaire : on fait le calcul comme il s’agit d’une flexion simple
puis on diminue la valeur de la section de :
�
On a une section rectangulaire ; on fait le calcul comme puis on diminue la valeur de la section de
σs
.
Soit d’=0.9d
eh
Mls=Ns× (es + d − )
2
Par itération successif on cherche α tel que:
90×Mts 1−α 15×��
α=√( bd²σs × 3−α ) sinon on utilise la relation pratique: αs =15×��+��
� ��
Puis on calcul z=d(1- 3) ou z=zb=d(1- 3 )
���
−��
La section d’armatures sera:As= � �� sinon Mls>Mrb=μbd²�b
Il faut ajouter une section d’armature comprimée pour diminuer la contrainte de
compression dans le béton.
soit c’=0.1.eh
�� 15��
Mrb=μrb.b.d²σb avec μrb=0.5.αs(1- 3
) et αs =15×��+��
���−��� ��� �� ���−��� ��×�−�'
As= (�−�')σs + ��.σs − σs et A’s= (�−�')σ's ave� σ’s=15. σb × ��×�
48
��� ��
Et μl =0.8.αl.(1-0.4.αl) si μu<μl Alors Au= �� − �� Avec Zu=d(1-0.4αu)
���� ��
Sinon:
��� ���−��� �� ���−���
Au=(�(1−0.4.αl) + (�−�') - Nu).�� et A’s= (�−�')σ's Avec Mbl=μl.b.d².fbu
αl.�−�' ��
Σ’s=1000.�.αl ..3.5 si Σ’s<Σes alors σ's=Es.Σ’s et si Σ’s>Σes alors σ's = ��
Cas flexion simple :
Pour la flexion simple on suit la méthode suivante :
A l’état limite de service: ELS
Soit Mser le moment sollicitant la section à l’ELS :
Soit :Mrb=μrb.b.d².�b le moment résistant du béton si Mser<Mrb:
15�� �
αs =15×��+�� et z=zb=d(1- 3)
��
Donc As=�×�� sinon on calcul du moment résistant du béton par:
�� 15��
Mrb=μrb.b.d².�b avec μrb=0.5.αs(1- 3
) et αs =15×��+��
���−��� ��� �� ���−��� ��×�−�'
As= (�−�')σs + ��.σs − σs et A’s= (�−�')σ's ave� σ’s=15. σb × ��×�
A l’etat limites ultime :ELU
Soit le moment sollicitant la section a l’état limite ultime
�� ��� 3.5
Soit μ=��²��� et αu=1.25(1-√(1-2μu)) et Σes=��.�� et αl=3.5+1000 Σes
��
Etμl =0.8.αl.(1-0.4.αl) si μu<μl Alors Au= �� Avec Zu=d(1-0.4αu)
Sinon:
��� ��−��� �� ���−���
As=(�(1−0.4.αs) + (�−�') - Nu).�� et A’s= (�−�')σ's Avec Mbl=μl.b.d².fbu
αl.�−�' ��
Σ’s=1000.�.αl .3.5 si Σ’s<Σes alors σ's=Es.Σ’s et si Σ’s>Σes alors σ's = ��
49
2) Calcul de la couverture
2-a) Caractéristiques de la couverture.
50
4-c)Calcul de ferraillage
Selon Lx Selon Ly
ELU 8 T12 3 T12
ELS 6 T12 3 T12
51
3) Calcul des poutres
3-a) La Méthode de calcul
52
53
4) Calcul des poteaux
4-a) La Méthode de calcul des poteaux
54
5-b) Le Ferraillage des poteaux
Tableau 12: La section du poteau
Secrtion (a x b)/ cm m
a 0.25 25
b 0.25 25
h 5 500
Poids propre du poteau 0.781
55
5) Calcul des semelles
5-a) La Méthode de calcul
56
6) Le Calcul des voiles
6-a) Les données de calcul
D’après la plan de coffrage on distingue 2 types de voile :
I) de 15 cm ii) de 20 cm
57
6-b) Le ferraillage des voiles
I)de 15 cm ii) de 20 cm
58
7-b) Le Ferraillage des escaliers
8) Le Dimensionnement de l’acrotère
8-a) La Méthode de calcul
Le rôle de l’acrotère est d’assurer la sécurité totale au niveau de la terrasse est inaccessible
0.05×0.2
S= 2 + (0.1 × 0.2) + (0.5 × 0.15)
S=0.1 m²
Tableau 13:Géométrie de acrotère
Géometrie
La hauteur 60 cm
L’épaisseur 15cm
L’enrobage 2cm
La surface 0.1 m²
L’enrobage c=c’ 2cm
Matériaux
Fc28 25 MPa
Fe 500 MPa
59
Sollicitation
L’acrotère est assimilé à une console encastrée au niveau du plancher soumis au poids propre et la
surcharge d’exploitation. le calcul se fait par 1 m.
Selon R.P.A on a :
WP : Le Poids Propre de l’Acrotère.
A : Coefficient d’Accélération «Groupe d’Usage 2 ;
Zone IIa» ⇒ A = 0,15
CP : Facteur de Force Horizontale Variant entre 0,3 et 0,8 ;
CP = 0,8.
WP = 25 × 0,1= 2,5 KN/ml.
FP = 4 × 0,15 × 0,8 × 2,5 ⇒ FP = 1,2KN/ml.
60
9) Le dimensionnement des lanterneaux
9-a) la méthode de calcul
Le lanterneau est un élément standard qui sert à l’aération de la cuve. Situé au-dessus de la coupole
supérieure, il est constitué d’une dalle de couverture et d’un voile circulaire qui est percé de fenêtres
comme représenté sur la figure suivante:
61
existe plusieurs méthodes de calculs des voiles en Béton Armé. Dans notre cas précis,. La méthode
de calcul du voile en béton armé doit satisfaire aux conditions ci-après (THONIER III, 1995) :
• Longueur (lw) du voile doit être supérieure ou égale à 5 fois son épaisseur (Iw>5ev)
• Épaisseur minimale doit être supérieure ou égale 10 cm (ev>10cm)
• Élancement doit être inférieur ou égal à 80 (λ<80).
Dans cette méthode, il s’agit de comparer la contrainte normale de compression (σu) à la contrainte
limite ultime (σu,lim). Si σu < σu.lim, ainsi le calcul d’acier se fera aux armatures minimales de
construction (THONIER III, 1995). Le tableau ci-après résume les formules de calculs des
contraintes ainsi que celle des sections d’acier.
9-b) le ferraillage des lanterneaux.
1)Fondation renforcée : Une fondation solide et bien dimensionnée est essentielle pour la stabilité du
réservoir pendant un séisme. Des techniques de renforcement peuvent être utilisées, telles que des
pieux profonds ou des renforcements en béton armé pour améliorer la capacité de la fondation à
résister aux forces sismiques.
2)Parois renforcées : Les parois du réservoir doivent être suffisamment robustes pour résister aux
contraintes sismiques. Des méthodes de renforcement, telles que l'utilisation de barres d'armature ou
de renforts en acier, peuvent être utilisées pour augmenter la résistance et la rigidité des parois.
3)Joints sismiques : Les joints sismiques sont des dispositifs conçus pour permettre le mouvement
relatif entre différentes parties du réservoir pendant un séisme, réduisant ainsi les contraintes et les
forces induites. Les joints de dilatation, les joints de cisaillement et les joints à rotule sont des
exemples de joints sismiques utilisés pour les réservoirs.
4)Isolation sismique : L'isolation sismique consiste à introduire des dispositifs d'isolation entre le
réservoir et sa fondation ou entre les différentes parties du réservoir pour réduire les forces sismiques
transmises à la structure. Les isolateurs sismiques, tels que les amortisseurs à base de caoutchouc ou
les isolateurs à friction, sont utilisés pour absorber l'énergie sismique et réduire les vibrations.
6) Renforcement des connexions : Les connexions entre les différents éléments structuraux du
réservoir doivent être renforcées pour assurer une intégrité structurelle pendant un séisme. Des
62
méthodes de renforcement, telles que l'utilisation de plaques de renfort, de boulons à haute résistance
ou de soudures renforcées, peuvent être utilisées pour améliorer la résistance des connexions.
Il convient de noter que les dispositifs sismiques spécifiques utilisés pour un réservoir dépendent de
nombreux facteurs, tels que la zone sismique, la capacité du réservoir, le type de matériau de
construction, etc. Les normes de conception sismique, telles que les codes parasismiques locaux,
doivent être suivies pour garantir la sécurité et la résilience des réservoirs lors d'un séisme.
b) Le dessin du radier:
On clique sur l’élément dalle et on choisit l’épaisseur de la dalle et on le dessine sur la vue XY
63
c) Le dessin des poteaux
On clique sur l’élément poteaux et on choisit la section et la hauteur et on le dessine sur la vue XY
f) Le dessin du plancher
On clique sur l’élément dalle et on choisit l’épaisseur de la dalle et on le dessine sur la vue XY
64
g) Le symétrie axiale
On clique sur édition dans la barre des tâches et on choisit transformer et on clique sur symétrie
verticale et donc on a crée une symétrie de notre forme.
b) Le revêtement et imperméabilisation
65
c) Le poussée de la terre
d) Le surcharge de la couverture
66
4) La combinaison des charges et leur résultat sur la structure
a) La première combinaison et le résultat
Pour inséré les combinaisons on clique sur chargements qui se trouve sur la barre des tâches et on
choisit combinaison manuelle et on insère les combinaison des charges qu’on a
67
c) La troisième combinaison et le résultat
68
5) Le calcul de déformation et la génération du maillage
On clique sur l’option calculer dans la barre des taches et aprés on clique sur option de maillage et on
génère le modèle de calcul
b) général
69
c) Les caractéristiques du béton
On choisit le type de béton souhaité
d) Acier longitudinales
On choisit les types des sections souhaité
e) Acier transversales
On choisit les types des sections souhaité
70
g) Le disposition du ferraillage
71
i)l’élément à ferraillé
i)l’élément à ferraillé
72
ii) la cartographie de la dalle 3
ii)feraillege du voile 4
73
Pour les plans d’exécution voir les annexes
i)l’élément à ferraillé.
ii)feraillege du voile 6
74
i)l’élément à ferraillé
ii)feraillege du voile 8
i)l’élément à ferraillé
75
c) Les voiles intérieurs(chicanes)
i)l’élément à ferraillé
i)l’élément à ferraillé
76
d) Les semelles
i)l’élément à ferraillé
77
f) Les poutres
i)l’élément à ferraillé
g) Les escalieres
i)l’élément à ferraillé
78
La charge permanates G
La charge d’exploitation Q
79
v)le ferraillage de l’élement
80
iv) le ferraillage inférieure de la couverture
Vérification de la structure:
Et pour vérifier la structure on clique sur structure dans la barre des taches après sur vérifie la
structure.
Après avoir effectué des calculs à l'aide des feuilles Excel et réalisé une modélisation sur le logiciel
ROBOT, il est possible de conclure que chacune de ces méthodes présente des avantages et des
inconvénients. En général, les résultats obtenus sont similaires, bien que le calcul avec ROBOT
puisse varier en fonction des paramètres sélectionnés tels que le type d'acier, les matériaux, les
normes et réglementations spécifiques, ainsi que les paramètres utilisateur. Par contre, le calcul à
l'aide des feuilles Excel offre une plus grande flexibilité et adaptabilité aux différents scénarios réels,
bien qu'il puisse nécessiter plus de temps pour les calculs. Il convient de noter que la modélisation
sur ROBOT est plus avancée et fournit une analyse plus détaillée, tandis que les feuilles Excel
peuvent être ajustées et personnalisées en fonction des besoins spécifiques. Dans l'ensemble, il est
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important de prendre en compte les caractéristiques et les contraintes propres à chaque méthode lors
du choix de l'approche de calcul la plus appropriée pour le dimensionnement des réservoirs.
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2) L’estimation financière du projet
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CONCLUSION
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ANNEXES
1)le plans de coffrage du réservoir
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2)les feuilles de calcul des trois combinaison
I) La première combinaison (Réservoir vide avec remblai)
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89
II)La deuxième combinaison (Réservoir plein sans remblai)
90
91
III)La troisième combinaison (Réservoir plein avec remblai)
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93
3)Les feuilles de calcul de ferraillage des sections
I)Le ferraillage de section S1
94
II)Le ferraillage de section S2
95
III)Le ferraillage de section S3
96
IV)Le ferraillage de section S4
97
V)Le ferraillage de section S5
98
VI)Le ferraillage de section S6
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4)Les plans d’exécution sur ROBOT
I) Les plans d’exécution des dalles
1) Les plans d’exécution du Radier dalle 1
100
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2) Les plans d’exécution du Radier dalle 2
102
II) Les plans d’exécution des voiles extérieurs
1) Les plans d’exécution du voile 4
103
3) Les plans d’exécution du voile 5 et 7
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5) Les plans d’exécution du voile 9 et 118
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IV) Les plans d’exécution des semelles
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VII) Les plans d’exécution de l’escalier
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REFERENCES
[2] https://www.egfbtp.com/programmes-de-calcul-2/
[3] https://btp-cours.com/feuille-de-calcul-excel-p7/
[4] https://www.africmemoire.com/part.7-construction-des-reservoirs-792.html
[5] CCTG-AEP-ONEE-BrancheEau-Tome3GenieCivil-V
[6] https://trid.trb.org/view/1043342
[7] https://geniecivilpdf.com/les-reservoirs-deau-potable/
[10] https://ma.linkedin.com/company/soft-etude-developpement
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