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1.

Présentation de l’auteur et de l’article

Le document présenté est un article issu de « la revue de l’in rmière » dans le dossier « digité et
soins ». L’article s’intitule « La barrière culturelle dans le soin ». La revue a été rédigée par Lisa
Djadaoudjee, une in rmière en admission psychiatrique qui travaille dans le centre hospitalier
Guillaume-Regnier à Rennes. Elle a également publié un article nommé « La proximité du cadre de
santé, un outil de reconnaissance et de qualité des soins » qui parle de l’impact sur la qualité de
vie au travail pour les cadre de santé suite à la diminution du nombre de ceux-ci écrit en 2019.
L’article a été publié en novembre 2013 dans la revue numéro 195. Cet article est disponible de la
page 37 à la page 39, il a une longueur de 3 pages
La revue est publiée par l’éditeur Elsevier Masson.
L’article à été consulté le 30/11/23 pour la première fois.

2- résumé synthétique de l’article

Le document est une ré exion de l’auteur sur les problèmes de communication dut à la diversité
culturelle dans le hôpitaux. Elle se base sur des cas qu’elle a vécus pour se poser la question
suivante:
Comment prendre en compte la barrière culturelle pour prodiguer des soins de meilleur qualité?

Lisa Djadaoudjee nous présente dans un premier temps ce qu’elle veut dire par une « barrière
culturelle » qui est en l’occurence les langues parlées. En e et, les di érentes langues parlées ont
un impact sur la compréhension entre le patient et le soignant à cause du dialogue compliqué.
Vient ensuite le sujet d’autre moyens de communication autre que la parole comme le langage
non-verbale comme les mimes, qui sont universels. Cependant, il n’y a aucun moyen d’être sûr
que les interlocuteurs comprennent ou sont compris.
Elle donne comme solution l’utilisation d’interprètes pour résoudre ces problèmes de
communications. Si l’interprète est un membre de la famille cela peut nous permettre d’apprendre
à connaître mieux le patient et de créer un lieu de con ance avec celui ci. Or si c’est un interprète
professionnel, créer un lieu de con ance avec le patient sera plus compliqué et il faudra poser
des questions très précises pour obtenir les information dont le soignant a besoin.
Puis un mot clé est dé nit: l’empathie. Celle ci est dé nie comme « l’ensemble des e orts fournis
pour accueillir autrui dans sa singularité ». Un soignant doit faire l’e ort de faire un pas en avant
vers le patient pour ne créer un mur à cause de la « di érence ». C’est grâce à l’e ort du soignant
que le lien de con ance va se créer entre lui et son patient et la compréhension et communication
sera plus facile.
En n l’auteur nous propose comme solution en plus de l’interprète, la découverte de l’autre.
Découvrir en quoi la personne en face est di érente, apprendre à la connaître et la comprendre
pour pouvoir mieux s’adapter à ses besoins. Cela peut aussi permettre au soignant d’apprendre
sur les cultures et les croyances, connaître l’histoire et la géographie, il s’enrichit
intellectuellement parlant. S’intéresser permet aussi de s’ouvrir et faire un pas vers l’autre et
prendre conscience de l’autre.

3- Analyse critique de l’article

Cet article expose les problèmes que les soignants peuvent rencontrer dans la communication
avec leurs patients. L’auteur prend comme référence ces expériences professionnelles en tant
qu’in rmière. Elle nous donne comme contexte le fait que la France est un pays qui regroupe de
nombreuses diversités, notamment en terme de cultures et de langues. Cette diversité peut
parfois rendre la communication compliquée et impacter les soins donnés par le soignant mais
avant tout elle impacte la relation entre le patient et le soignant, notamment au niveau de
l’empathie et de la con ance. Il peut alors être di cile pour le soignant de rester dèle à ses
valeurs lorsque que le soin est e ectué sans qu’il y ait de lien qui se crée et surtout sans qu’il y ait
de la con ance ou de l’empathie entre les deux individus
L’autrice met un point d’honneur dans l’apprentissage et l’e ort du soignant envers le patient. Se
renseigner sur les cultures est selon elle un des solutions les plus e caces avec l’utilisation d’un
interprète. La langue n’est pas la seule barrière dans un soin et il est impossible d’apprendre
toutes les langues du monde mais apprendre les di érences cultures permet au soignant de
mieux comprendre le patient et si le patient se sent compris, il se sentira plus en con ance.
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4- commentaire personnel du lecteur

En tant que futur soignante, j’ai trouvé cet lecture très intéressante car c’est un problème dont
j’entend de plus en plus parler. Les problèmes de communication dus aux di érences feront sans
aucun doute quelque chose que je rencontrerai dans ma carrière et l’article m’a permis de
ré échir à comment agir et réagir lorsque cela arrivera.
Il est vrai que le langage n’est pas la seule manière de communiquer, comme j’ai pu le découvrir
dans mon stage. En Maison d’Accueil Spécialisée dans le polyhandicap lourd, très peu de
résidents communiquent par la parole mais savent très bien se faire comprendre. Recourir à un
interprète étant inutile, j’ai pu observer l’utilisation d’autres moyens pour établir la communication
comme l’utilisation de pictogrammes, qui sont des images que la patient peut monter s’il veut
quelque chose comme de l’eau où aller aux toilettes. J’ai également observé les soignants
demander aux patients de faire des choix en montrant leur mains (par exemple la main droite veut
dire « oui » et la main gauche « non ») et leur demande de regarder ou montrer la main qu’il
veulent pour exprimer ce qu’ils veulent.
Les solutions que Lisa Djadaoudjee propose sont des solutions auxquelles je n’avais pas
forcément pensée mais je que je retiendrais

Bibliographie:

https://crd.hopital-novo.fr/index.php?lvl=notice_display&id=26515
Consulté le 11/12/23
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