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1.1. Le message
• Sentiments d'ennui inconfortable
• Impatience
• Inconfort
• Détresse
• Légère confusion
2. Peur
Terreur, affolement, graves inquiétudes, appréhension, légers accès
de souci, préoccupation. La peur existe à un niveau émotionnel profond.
Le schéma est d'abord physique, puis mental (contrairement au sentiment
où le schéma est d'abord mental).
2.1. Le message
Un événement futur exige une meilleure préparation que celle dont
on dispose en ce moment. Élever notre niveau de préparation par rapport
à la situation future. On n’est pas suffisamment préparé pour la situation.
Dans le cas de la peur, on sait pourquoi on a peur, dans le cas de
l'angoisse, pas toujours. « toujours prêts » : des mesures de protection
doivent être prises. Aiguise les sens. Tout est prêt, en place pour fuir ou
vaincre le danger. Excessive ou déplacée, elle nous joue des tours, elle
nous paralyse à l'heure de prendre la parole en public, elle nous fait courir
le soir dans les couloirs déserts du métro.
3. L’Angoisse
Sensation d'étouffement, palpitations cardiaques, bouffées de chaud
et froid, fourmillements, tête vide, transpiration, mains moites, peur de
mourir...
Son objet est vague et inconsistant. Ce n'est plus tant une émotion
avec un déclencheur : un début, un déroulement et une fin, qu'une
humeur qui s'installe et colore le vécu. La disparition du danger calme
l'anxiété mais pas l'angoisse. L'angoisse est un mélange d'émotions. Elle
se développe lorsqu'il y a opposition entre deux parties de soi, l'une tente
de se conformer pour être aimée, et l'autre cherche l'autonomie. Le conflit
s'installe devant l'impossibilité de satisfaire simultanément les besoins de
sécurité et de liberté, de protection et de création. En d'autres termes,
l'angoisse est le reflet d'une ambivalence ingérable : une peur et un désir,
une peur et une colère ou encore deux désirs contradictoires. L’angoisse
est plus liée à une notion de danger, de survie.
4. Peine
4.1. Le message
Émotion dominante dans les relations humaines, personnelles et
professionnelles. Nous éprouvons de la peine quand une personne en qui
nous avions placé notre confiance a manqué de discrétion (même s'il
n'avait pas été mentionné de ne rien divulguer). Nous avons alors
l'impression d'avoir perdu une relation intime, peut-être avons-nous perdu
confiance en cette personne.
Être dans le sentiment d'abandon, de perte.
Distinguer :
• je sais que j'ai quelque chose à abandonner (sous forme de deuil)
• et la notion de trahison
5. Tristesse
Sentiment de tristesse et de vide en réaction à une perte ; perte d'une
personne aimée après un décès ou une rupture. Cela peut aussi être la
perte d'une illusion, d'un rêve ou tout autre objet chargé d'affect, d'une
activité comme une retraite par exemple. Cascade de substances
chimiques accompagnant le travail de deuil. Suscité par une perte, par
une séparation, elle nous invite à nous retirer du monde pour pleurer
l'être cher. Elle souligne le vide et le manque. Elle nous dit combien nous
aimions et nous permet de prendre le temps de dire au revoir. Tristesse
n'est pas dépression. Les pleurs d'une vraie tristesse sont brefs et ils
soulagent. Les larmes de la dépression entretiennent l'état morbide. La
vraie tristesse a une fonction positive, la dépression nous enferme dans
une spirale négative. La tristesse est l'émotion naturelle devant la perte
ou la déception. Un échec, un deuil, un déménagement, une situation qui
éveille le sentiment de ne pas être aimé... Les couleurs de la tristesse sont
variées, nostalgie, découragement, consternation, désespoir...
La racine latine comporte l'idée de serrer. Districtus, resserré de partout.
Districtum en latin a donné districtia, étroitesse, qui a abouti à détresse.
En ancien français, le mot signifiait à la fois passage étroit et au sens
moral, sévérité, contrainte judiciaire. Il a acquis par la suite le sens de
situation désespérée. La détresse est déclenchée par la nécessaire
soumission à une contrainte inéluctable. C'est la réaction du deuil. On ne
peut rien changer. Impuissant devant l'adversité, on ne peut plus que
pleurer. On se rétrécit de partout. On voudrait ne plus exister. Tristesse
n'est pas dépression.
La dépression marque un échec au deuil. La tristesse en est une étape,
elle est signe d'accomplissement du deuil. Elle permet à la fois de
progresser vers l'acceptation de la réalité et de se retrouver, de se
reconstruire dans son identité propre. L'énergie est tournée vers
l'intériorité. Soyez égoïste, ou plutôt égotiste quand vous êtes triste.
Préoccupez-vous de vous, de vos besoins. Laissez les autres s'amuser, ne
cherchez pas à les suivre, ce n'est pas le moment pour vous. Une période
de tristesse est un moment de désinvestissement de l'extérieur et
d'investissement de soi.
6.1. Le message
Le message de la frustration : nous pensons pouvoir faire mieux que ce
que nous faisons actuellement et nous savons que la solution est à notre
portée (ou nous pensons savoir).
Utilisation d'un moyen inadapté à l'objectif visé, des solutions différentes
doivent être envisagées. Le message de la frustration est un signal assez
intéressant : notre cerveau croit que nous pourrions faire mieux. La
frustration est très différente de la déception, qui est le sentiment de ne
pas avoir obtenu et de ne jamais obtenir une chose qui nous tient à cœur.
La frustration, au contraire, donne un signal très positif. Elle signifie qu'il y
a une solution à notre portée, que nous n'agissons pas de la bonne façon
et que nous devons aborder les choses différemment. C'est un signal qui
nous indique que nous devons être souple. Comment pouvons-nous
composer avec nos sentiments de frustration ?
Colère
Rage, fureur, ressentiment, accès de colère, légère irritation
6.4. Le message
Le message de la colère est qu'une personne, peut-être nous-même, a
violé une règle ou une norme importante qui guide notre vie (cela peut
être un mode de fonctionnement, une valeur, un modèle éducatif…). Nos
critères les plus valorisés ont été transgressés. Cette émotion peut-être
modifiée instantanément.
Réaction à la frustration ou à l'injustice. Elle offre l'énergie de l'affirmation
de soi. Elle sert au maintien des frontières corporelles, psychologiques ou
sociales et à la défense de nos droits. Surgissant au moindre non respect
de notre intégrité, elle nous alerte sur nos besoins tant physiques que
psychiques et nous permet d'harmoniser nos relations aux autres. La
déesse HARMONIE est fille de Mars, dieu de la guerre et du conflit et de
Vénus, déesse de l'amour et de la beauté ! Vénus dans la tradition
astrologique, est le symbole de la relation à l'autre, de l'échange et de la
communication. L'harmonie est un équilibre trouvé entre deux êtres qui se
confrontent l'un à l'autre.
Ne pas confondre colère, violence et prise de pouvoir sur l'autre.
L'expression de la colère est fondamentale pour construire son identité,
pour avoir confiance en soi, en son jugement et devenir autonome.
6.6. Coaching
3 questions à poser
• Quel est l'apprentissage ou quels sont les apprentissages à tirer de
cette situation ?
• Quelles sont les actions à mener afin d'exprimer le mieux possible
cette règle, à moi-même ou à mon environnement ?
• Toujours faire poser une action à votre coaché : quelle est l'action
immédiate à poser afin d'exprimer des limites claires à mon
environnement ?
7. Déception
Découragement, désespoir, abandon
La déception peut devenir une émotion très destructrice si nous tardons à
nous en occuper. La déception est le sentiment intolérable d'avoir été
abandonné par quelqu'un ou de n'avoir pas atteint un objectif. Nous
éprouvons de la déception lorsque nous nous sentons triste ou vaincu
parce que nos attentes demeurent insatisfaites.
7.1. Le message
Un de nos espoirs, une de nos attentes ne va pas se concrétiser.
Dans la mesure où les attentes que nous entretenons – comme le but que
nous poursuivons intensément – ont très peu de chance de se concrétiser,
il est temps que nous changions d'attitude pour passer à l'action ; c'est-
à¬dire qu'il faut que nous changions nos attentes et que nous prenions les
mesures voulues pour qu'elles se réalisent. C'est la seule chose que nous
puissions faire !
7.3. Coaching
Avoir la tête dans les nuages et les pieds sur terre. Plus nous avons un
projet ambitieux à 5 ans et plus nous devons avoir des actions efficaces à
5 secondes. À projet ambitieux stratégie rigoureuse, sinon cela ne restera
qu'un rêve inatteignable. Différence entre le rêve et le projet : le projet a
été projeté, on en a fait une représentation mentale, on connaît les
différentes actions à mener. Le sentiment de déception pointe une attente
du projet qui n'a pas fonctionné, ce n’est pas pour autant qu’il faut
abandonner le projet mais plutôt poser des actions différentes. Rester
dans une stratégie de mouvement permanent. En bloquant le système on
bloque le rouage et on n'atteint pas son rêve. Les différentes actions à
poser ne sont qu'une multitude de batailles pour gagner une guerre, celle
de notre liberté et de notre épanouissement personnel.
Le sentiment de déception est mauvais à partir du moment où il va inhiber
les actions futures. S’il permet de se poser de nouvelles questions,
d'avancer, de changer de stratégie, le sentiment de déception est utile et
invite à changer. Plutôt que de faire plus de la même chose pour obtenir
plus du même résultat, regardons ce que nous voulons faire de différent.
8. Culpabilité
Les sentiments de culpabilité, les regrets et les remords font partie des
émotions que les êtres humains s'efforcent d'éviter le plus et ce, en dépit
du fait qu'ils puissent nous enseigner de précieuses leçons. Ce sont des
émotions douloureuses à vivre, mais elles remplissent un rôle important
dès que nous en saisissons le message.
Les sentiments de culpabilité sont consécutifs à une mauvaise réaction, un
manquement au devoir, ou un méfait.
8.1. Le message
Des critères personnels ou appartenant à quelqu'un d'autre ont été violés
et l'on a besoin de s'assurer de ne pas recommencer. J'ai violé une de mes
valeurs, un de mes standards et cela me pose problème (conflit de
valeurs). Différence avec la colère où c'est l'environnement qui a enfreint
un de mes critères.
La culpabilité signifie que nous avons manqué à l'une des normes qui nous
importe le plus et que nous devons immédiatement faire quelque chose
pour ne plus jamais recommencer. Si un comportement nous fait
suffisamment souffrir, changeons-le. En fait la motivation la plus forte est
la souffrance que nous nous infligeons. Pour de nombreuses personnes, la
culpabilité est l'ultime motivation qui les incite à modifier leur
comportement. D'autres personnes essaient de surmonter leur culpabilité
en la niant ou en la réprimant. Hélas, ce comportement est rarement
efficace. La culpabilité ne cède pas, elle ne fait que revenir avec plus de
force.
Enfin, à l'autre extrême, il y a des gens qui s'avouent vaincus et se
complaisent dans la culpabilité. Ces personnes acceptent tout simplement
leurs souffrances et nourrissent des sentiments d'impuissance acquise. Ce
n'est pas là la véritable fonction de la culpabilité. Elle vise, au contraire, à
nous pousser à agir et à changer les choses. Les gens qui ne saisissent
pas cela finissent souvent par éprouver tant de remords à cause d'une
faute passée qu'ils développent un sentiment d'infériorité pour le reste de
leur vie ! Ce n'est pas là le message de la culpabilité. La culpabilité a pour
but de nous amener à éviter tout comportement qui nous entraîne vers un
tel sentiment, et à nous infliger suffisamment de souffrance pour que nous
nous engagions à respecter des règles plus strictes encore, si nous avons
manqué à l'une des nôtres. En nous conformant aux comportements qui
nous inspirent des sentiments de culpabilité, montrons-nous sincère et
conséquent, puis nous pourrons passer à autre chose.
9. Jalousie
Crainte de perdre ce que l'on aime suscitant des sentiments agressifs à
l'égard du rival réel ou supposé.
Ce sentiment n'a pas que des aspects négatifs. Le sentiment de
convoitise, d'irritation que nous ressentons à la vue du bonheur ou du bien
d'autrui et que l'on nomme « envie », s'il reste modéré, incite à l'action et
à la compétition pour faire aussi bien. Appliquée au sentiment amoureux,
la jalousie est une sauvegarde contre les tentations d'infidélité du
partenaire, ce qui permet l'union monogame du couple exigée dans notre
culture. Elle implique un aménagement des vanités et des concessions
réciproques. Réaction de défense de la personnalité, la jalousie peut être
aussi un facteur de progression. Mais l'aspect positif de ce sentiment
s'arrête où commence la perturbation des relations avec les autres.
La jalousie est un sentiment naturel, mélange de peur, de douleur et de
colère. Lorsqu'elle est tue trop longtemps, elle peut exploser en un flot
émotionnel ingérable, mêlant amour et colère d'être ainsi traité, envie et
jalousie parce que l'aimé donne son affection à quelqu’un d’autre,
humiliation et impuissance, rage et déception. La jalousie est un racket
quand elle surgit en dehors de toute tromperie, ou persiste sans raison
objective.
9.1. Le message
Je dois valider mes règles du jeu et travailler sur mes représentations
mentales.
9.2. Solutions
• Travailler sur le changement de croyances (voir même document).
• Mener également une réflexion sur l’estime de soi (Voir doc Estime
de soi).
10. Médiocrité
Ce sentiment de ne pas être à la hauteur d'une situation nous assaille
chaque fois que nous n'arrivons pas à faire ce que nous devrions pouvoir
faire. Le problème, bien entendu, est que nous avons souvent des règles
totalement injustes pour déterminer notre médiocrité.
Dévalorisation, humiliation personnelle, situation embarrassante (vérifier
s'il y a une dépression derrière).
10.1. Le message
Le message véhiculé est que nous ne possédons pas à présent la
compétence nécessaire pour effectuer la tâche qui nous attend : nous
avons besoin de plus d'information, de compréhension, de stratégies,
d'outils et de confiance en nous-même et d'estime de soi (nous n'avons
pas le niveau et nous le savons, c'est ce qui déclenche ce sentiment de
médiocrité. Nous ne sommes pas à la hauteur).
11.1. Le message
Nos sentiments d'accablement signifient que nous devons réévaluer ce qui
compte le plus pour nous, et en particulier, dans la situation où nous nous
trouvons. On est accablé et dépassé parce qu’on s’occupe de trop de
choses en même temps, et qu’on veut tout changer du jour au lendemain.
Les sentiments d'accablement perturbent et détruisent plus de vies que
toute autre émotion.
Être prudent sur ce sur quoi on porte notre attention. FOCUS : c'est
l'attention qui détermine notre réalité. Nous renforçons ce sur quoi nous
nous centrons. Il y a souvent une notion de sur-responsabilité, nous avons
trop chargé la mule.
11.2. Les solutions
• Identifier ce qui est le plus important dans notre vie actuellement.
Hiérarchiser, prioriser.
• Identifier nos grandes responsabilités en tant qu'être humain, nos
grandes responsabilités en tant que manager : pour identifier ce qui
nous appartient vraiment et ce qu’il convient de déléguer, sous-
traiter.
• Développer rapidement le sentiment qu’il est en notre pouvoir
d’exercer un certain contrôle sur notre vie.
• Parmi toutes nos occupations, décidons sur quoi nous avons à nous
concentrer le plus.
• Noter ensuite toutes les choses les plus importantes à réaliser, puis
les classer par ordre de priorité. Le simple fait de noter cela sur un
bout de papier donnera le sentiment d’avoir un certain contrôle sur
ce qui se passe dans notre vie.
• Noter ce qui nous appartient et ce qui ne nous appartient pas (faire
le tri dans les responsabilités). Exemple : un manager qui va tout
faire à la place de ses assistants. Lui faire mettre en place des
situations lui permettant d'apprendre, de déléguer certaines tâches,
de reconnaître où sont les responsabilités et le faire grandir dans
son leadership.
• Aborder le premier élément inscrit sur notre liste puis continuer ainsi
jusqu'au dernier. Dès que, dans un domaine particulier, le point aura
été fait, un certain rythme sera adopté. Notre cerveau se rendra
compte que nous avons la situation en main, que nous ne nous
sentons plus complètement dépassé, que notre problème n'est pas
permanent et que nous saurons toujours trouver une solution.
• Lorsque le moment sera venu d'évacuer une émotion accablante, le
chagrin par exemple, concentrons-nous sur ce que nous pouvons
contrôler et prenons conscience qu'il doit bien y avoir une
signification dynamisante quelque part, même si nous ne la voyons
pas encore.
• Bâtir un véritable plan d'action où nous allons pouvoir vivre les
priorités qui sont les nôtres.
Notre estime de soi est liée au contrôle que nous exerçons sur notre
environnement. Se sentir accablé ou dépassé provient de ce que nous
avons crée un environnement psychologique qui nous submerge de trop
de demandes intenses ou simultanées. Cependant, nous avons le pouvoir
de changer la situation en nous concentrant sur ce que nous pouvons
contrôler et en procédant par étapes.
12. Solitude
Tout ce qui nous donne le sentiment d'être seul, isolé et coupé des autres
est synonyme de solitude.
12.1. Le message
Je me sens isolé, et cela me dérange. Nous avons besoin de liens, de
relations avec les autres. Mais que signifie ce message ? Le gens tiennent
souvent pour acquis qu'il s'agit de rapports sexuels ou d'un sentiment
instantané d'intimité avec quelqu'un. Par la suite, ces personnes sont
frustrées parce qu'elles se sentent encore seules, même lorsqu'elles vivent
une relation intime.
À distinguer de l'envie d'être seul pour se
ressourcer (cf. modèle d'Hudson où les personnes ont besoin de moment
de ressourcement et de travail sur soi). Tant que cela reste positif, source
d'enrichissement, c'est OK, malgré le sentiment de malaise lié au fait
d’être seul.
13. Honte
De la timidité au gros dénigrement de soi
Qu'est-ce qui provoque le sentiment de honte ? Le sentiment que les
valeurs sont bafouées. Cela peut-être des valeurs que l'on partage ou pas.
Ces sentiments ne sont pas forcément à soi. Au fond, on peut avoir honte
d'un comportement, mais si à ce moment-là il n'y avait pas eu les autres,
cela ne m'aurait pas gêné particulièrement (référence externe).
13.1. Le message
Travailler sur l'estime de soi. Se débarrasser d'apprentissages du passé
qui sont inadaptés. Quels sont les types d'apprentissages qui dans notre
passé nous ont permis d’arriver jusqu'ici.
Distinguer l'élément déclencheur (qui peut être chez les autres) et le
message. La honte qui revient (équivalent d’un traumatisme) nous
empêche de faire des choses, par exemple : ne plus aller à un endroit. On
peut avoir honte pour soi, ou pour quelqu'un d'autre. Problème d'image de
soi. Dévalorisation de soi.
La honte, on peut choisir d'être dedans ou pas.
Dans le modèle d'Hudson, on revisitera :
• des paradigmes du passé,
• certaines croyances,
• des règles de vie (comme dehors/dedans où l'environnement
conditionne qui je suis à l'intérieur et toutes les relations que j'ai
avec lui. But de l'accompagnement avec le modèle d'Hudson : créer
un nouveau paradigme "dedans/dehors", je décide qui je suis et de
l'impact que je vais avoir sur mon environnement. Travail sur la pro-
activité, dans lequel on replacera l'estime de soi).