GfFEM9dpQDapXwILp8Y0 - Doc Accompagnement Sos - Nancy Un Mot de Trop

DOCUMENT D'ACCOMPAGNEMENT
UN MOT DE TROP!
Encadrer sans humilier, blesser ou faire peur
Par Nancy Doyon
Un mot de trop
Document d'accompagnement
par Nancy Doyon
ÉCHELLE DE LA VIOLENCE ÉDUCATIVE
pas assez sévère juste milieu trop sévère
FERMETÉ
BIENVEILLANTE
douceur fermeté
cadre insuffisant et irritation
liberté excessive agressivité
surprotection
méthodes
négligence inadéquates
négligence violence
grave violence
grave
1
Propriété exclusive de Nancy Doyon, de SOS Nancy et de son équipe. Besoin d’un coach familial? Pour nos formations en ligne :
Aucune reproduction permise. SOSNANCY.COM INSTITUTCOACHINGFAMILIAL.COM
Un mot de trop
par Nancy Doyon
TABLEAU DES IMPACTS DE LA VIOLENCE ÉDUCATIVE
interventions parentales résultats possibles chez l'enfant
NÉGLIGENCE :
Blessures ou troubles de l’attachement :l’enfant ne se
Absence ou insuffisance importante de
sent pas aimé et n’arrive pas à créer des liens sains
surveillance, de règles et d’encadrement en regard
avec son entourage.
des besoins de l’enfant (selon son âge et ses
comportements).
Anxiété et stress chronique.
Ne pas répondre adéquatement aux besoins

Opposition et troubles du comportement : l’enfant
affectifs et physiques de l’enfant (ex: n’est pas
n’intègre pas les règles sociales, ne sait pas ce qui est
habillé selon la saison, se couche trop tard pour
bien ou mal. Il se perçoit comme méchant, indésirable
son âge, pas de réconfort lorsqu’il a peur ou est
et se forme une carapace pour se protéger. Il rejette
triste, etc.).
l’affection et sabote le positif dans sa vie.
Acheter la paix en cédant aux demandes de

Certains enfants ou adolescents auront des
l’enfant même si on sait qu’on ne devrait pas parce
comportements délinquants afin de faire réagir leurs
qu’on « n’a pas envie de se battre » (ex: laisser
parents ou d’aller chercher le cadre dont ils ont besoin
l’enfant jouer toute la journée à des jeux vidéo
(loi, police).
pour avoir la paix ou pour s’éviter une crise).
2
Un mot de trop
par Nancy Doyon
« MOLESSE » (SURPROTECTION, CADRE INSUFFISANT)

Prendre un ton doucereux devant des Possibilité de créer un « enfant-roi » qui croit que
comportements inacceptables. tout lui est dû et qu’il ne devrait jamais vivre de
Supplier l’enfant d’obéir. désagrément.
Ne pas réagir ou réagir en victime quand l’enfant
frappe ou manque de respect. Fréquente crises de colère quand l’enfant reçoit un
Être dans la plainte. non ou vit une frustration.
Laisser tomber la consigne devant la résistance de
l’enfant. L’enfant peut se sentir insécure puisque le cadre
Être sous-réactif par rapport à la gravité du geste. n’est pas clair ou instable.
Tout faire pour éviter à l’enfant d’être frustré.
Acheter la paix. L’absence de « chef de meute » et de leadership de
Répéter les consignes, « avertir » sans jamais les l’adulte peut soit créer de l’anxiété et\ou de
faire respecter. l’opposition.
Surprotection.
Menacer de conséquences qui n’arrivent jamais. Impolitesse, manque de respect, mépris de l’autorité
etc. et même de ses parents.
3
Un mot de trop
par Nancy Doyon
L’enfant se sent aimé, accueilli, respecté et le climat

DOUCEUR : familial reste calme, chaleureux et agréable.
Expliquer calmement nos attentes.

À adopter quand? Attitude qui est, la plupart du
temps, adéquate et efficace avec l'enfant sensible et
Demander à l’enfant ce qui ne va pas.
de tempérament introverti.
S’informer sur le pourquoi du comportement.

Méthode également adéquate avec l'enfant au
tempérament plus fort, surtout dans les cas de
Se montrer emphatique.
désobéissances mineures ou lorsque vient le temps de
donner des consignes usuelles.
Utiliser l’humour et le jeu.
À éviter quand? L’attitude de douceur n’est

généralement pas appropriée devant des
comportements violents de l’enfant, dans le cas de
manque de respect important ou lorsqu’il met sa
sécurité ou celle de quelqu’un d’autre en jeu.
Dans ces cas, l’enfant aura généralement besoin

d’un cadre plus ferme.
4
Un mot de trop
par Nancy Doyon
FERMETÉ BIENVEILLANTE : C’est le « juste milieu » en intervention. Cette attitude

permet généralement à l’enfant de se sentir encadré,
S’approcher et se mettre à la hauteur de l’enfant. guidé, rassuré par le leadership d’un adulte solide,
respectueux et bienveillant.
Mettre la règle ou l’interdit clair et non négociable.
Les enfants qui grandissent avec des adules qui ont
Prendre un ton ferme mais chaleureux. souvent ce type d’attitude deviennent généralement
des personnes responsables, résilientes, respectueuses
Chercher la cause du comportement tout en des autres mais aussi capables de s’affirmer pour
interdisant les manques de respect. imposer le respect des autres à leur égard.
Annoncer et appliquer une conséquence logique. À adopter quand? Quand l’enfant adopte des
comportements dérangeants, quand il fait de la
Un regard ferme qui veut dire: « stop mon grand ». « surdité sélective », quand la consigne doit
être très claire.
À éviter quand? Quand ce n’est pas nécessaire parce

que la douceur suffit ou que l’enfant sait ce qu’il a à
faire sans besoin de support.
5
Un mot de trop
par Nancy Doyon
FERMETÉ :
Cette attitude, plus sévère et cadrante, devrait être
Hausser le ton avec fermeté. réservée pour « les grandes occasions » et ne pas être
la principale façon d’intervenir sur l’enfant.
Regard sévère.
À adopter quand?
Attitude ferme et un peu plus distante. Dans les cas de manquements importants : quand
l’enfant nargue l’adulte, qu’il manque de respect,
Appliquer une conséquence proportionnelle à pose des gestes de violence, intimide frère, sœur ou
l’acte. ami, met sa sécurité ou celle de quelqu’un d’autre en
danger, etc.
Accompagner physiquement l’enfant vers le retrait
ou la tâche à accomplir en veillant à ne pas lui faire À éviter quand?
mal. Avec l’enfant qui est déjà sur le point d’exploser (cela
risque de mettre le feu aux poudres), au moment où
Lui enlever quelque chose des mains. l’enfant est bouleversé et aurait besoin de réconfort,
pour des babioles du quotidien, quand ce n’est pas
nécessaire.
6
Un mot de trop
par Nancy Doyon
L’enfant risque de répliquer sur le même ton, ce qui

IRRITATION : pourrait entraîner une escalade de la mauvaise
humeur et mener tout droit vers une crise.
Soupirs exaspérés.
À la longue, il va possiblement adopter le même type

Yeux au ciel.
d’attitude avec son entourage. C’est tout le climat
familial qui risque d’en souffrir.
Hausser le ton avec plainte.
L’enfant pourrait aussi développer une perception

Dire qu’on est fatigué de… qu’on en a marre de…
négative de lui-même. Il risque d’avoir l’impression
de « taper sur les nerfs » de ses parents.
« Voyons! Tu n’es pas capable de … parfois? »
Si l’attitude est récurrente, il pourrait se sentir

Critiques et reproches répétés.
indésirable et rejeté.
Rappelons qu’il arrive à tous les parents d’être irrités.

C’est tout à fait normal, dans la mesure où ce n’est
pas courant. En effet, si ces situation sont rarissimes
et bien reprises par la suite, elles ne devraient pas
créer de séquelles à long terme.
7
Un mot de trop
par Nancy Doyon

L’agressivité, même sans violence, génère de la peur chez l’enfant.
AGRESSIVITÉ : Son cerveau se met alors en alerte et déclenche des réflexes primitifs
de défense : figer, fuir ou attaquer.
Serrer les mâchoires. Figer: L’enfant cesse son comportement, ce qui donne un faux
Sacrer (blasphémer) lors de l’intervention. sentiment d’efficacité au parent agressif. Mais au fond, il se
Prendre un regard menaçant ou intimidant. déconnecte alors de ses émotions et n’arrive plus à réfléchir.
Crier. Fuir: L’enfant pourra soit carrément se sauver ou se cacher, mentir

Menacer: « Obéis sinon… », « Continue comme ça et pour éviter les réprimandes ou rapporter la faute sur autrui. À la
tu vas le regretter! ». longue, il pourrait s’éloigner de son parent agressif, couper les liens
affectifs, chercher à rester loin de la maison, se réfugier dans des jeux
Claquer une porte. vidéo, etc.
Donner une claque ou un coup de poing sur la
table. Attaquer: L’enfant a alors le réflexe de contre-attaquer en criant lui
aussi, en frappant, insultant ou en narguant l’adulte, ce qui met
Serrer les poings. encore davantage le feu aux poudres.
Se lever brusquement et faire tomber la chaise.
Agir avec brusquerie. L’enfant reçoit de fortes charges émotionnelles négatives qu’il risque
d’emmagasiner. Il pourra alors soit refouler ces émotions, devenir
Donner des punitions démesurées: « Il va me le
apathique, éteint ou développer des problèmes somatiques (sommeil,
payer! ». alimentation, maux de tête et de ventre) ou encore de les décharger à
Enjoindre l’enfant à se taire. travers des crises de colère.
Menacer ou faire semblant de jeter ses jouets.
De plus, l’enfant souvent exposé à de l’agressivité parentale risque
Lui arracher brusquement quelque chose des d’avoir peu d’empathie, être impulsif et développer lui-même des
mains. comportements agressifs avec ses pairs.
8
Un mot de trop
par Nancy Doyon
L’enfant se met vite à douter de lui-même et de sa valeur. Il

MÉTHODES ÉDUCATIVES INADÉQUATES : comprend qu’il n’est aimé que s’il se conforme aux exigences
des adultes. Il peut alors développer de « l’anxiété de
Utiliser l’ironie et le sarcasme: « Bravo champion! Tu conformisme » , c’est à dire une crainte démesurée de
peux être fier de toi là…! ». décevoir.
Taquineries répétées et surnoms négatifs: « Tien! Voilà
D’autres enfants vont se bâtir une carapace afin d’éviter d’être
Miss Caprice! », « Lui c’est notre tornade! ».
atteint émotionnellement par les remarques blessante. On
Manipulation et chantage affectif.
parlera alors « d’enfant téflon », sur qui tout glisse, qui ne
Multiplier les menaces et les punitions, parfois s’attachent pas et semblent insensibles aux conséquences, aux
démesurées. récompenses, à la valorisation et aux réprimandes.
Culpabilisation : « Tu as gâché la journée de tout le
monde! ». Manque d’empathie. Difficulté à aimer et à faire confiance.
Bouder l’enfant ou refuser de lui répondre.
Ne pas donner suffisamment d’affection à l’enfant. Faible estime de soi, impression de ne pas mériter l’affection
Ne pas reconnaître ses efforts et réussites: « Tu aurais ou la réussite. Sentiment de honte et de culpabilité. L’enfant
croit souvent mériter ce qui lui arrive.
pu faire mieux si tu t’étais forcé un peu! ».
Nier les émotions de l’enfant ou se montrer indifférent
Anxiété et stress chronique.
à ses pleurs.
Critiques et reproches répétés. Opposition, confrontation et provocation.
Comparer l’enfant : « Que tu es lent! Ton frère a fini
lui! ». Difficultés dans la reconnaissance et la compréhension des
Imiter l’enfant qui fait une crise ou se moquer de lui. émotions.
9
Un mot de trop
par Nancy Doyon

Mêmes mécanismes de défense que devant l’agressivité : figer,
VIOLENCE : attaquer ou fuir.
L’enfant obéit parce qu’il a peur, non pas parce qu’il a intégré la
Hurler.
règle ou la valeur liée à la situation.
Jeter son doudou ou son jouet préféré.
Dire des paroles qui peuvent blesser l’enfant. À la longue, si la violence est régulière, il en vient souvent à
Menacer de rejet: « Tu vas aller en famille d’accueil ». n’obéir qu’aux adultes de qui il a peur et à mépriser les adultes
Lancer des objets. bienveillants avec lui.
Menacer ou faire semblant de frapper.
Ignorer l’enfant, faire comme s’il n’existait pas. Il intègre peur = respect. Il ne respectera donc que les gens qu’il
craint et cherchera à imposer « le respect » autour de lui par la
Faire semblant de partir en abandonnant l’enfant.
crainte.
Utiliser la douleur comme punition : tape sur les
fesses ou les mains, gifle, tirer l’oreille, serrer un bras, Plusieurs deviennent donc de « petits caïds » et sont de bons
pincer, etc. candidats pour les gangs de rue et le milieu criminalisé.
Priver un enfant d’un repas.
L’obliger à rester à table plusieurs heures, tant qu’il Développement de comportements agressifs et violents,
désobéissance, opposition, provocation, recherche de
n’a pas mangé ce qu’il y a dans son assiette.
confrontation avec les adultes et les pairs.
Priver volontairement un enfant de sommeil en guise
de punition. La violence répétée laisse aussi de profondes blessures à l’enfant
Dire ou faire des choses pour humilier l’enfant, lui qui risque de développer une faible estime personnelle et
faire honte. l’impression qu’il est une mauvaise personne et ne mérite pas
l’amour.
10
Un mot de trop
par Nancy Doyon
Les recherches ont démontré que les enfants ayant

VIOLENCE ET MALTRAITANCE GRAVE : grandit dans un milieu où la violence est importante
Rejeter l’enfant : « Je ne veux plus te voir! », « Je et récurrente développent davantage de troubles de
n’aurais pas du avoir d’enfant! ». comportement et portent des blessures pouvant
entraver toute leur vie. Voici quelques problèmes
Insulter ou dénigrer l’enfant : « Tu es stupide! », « Tu es courants liés à la violence familiale:
un sale menteur! ».
Faible estime de soi.
Faire volontairement mal à l’enfant : pousser dans un
mur, tordre un bras, frapper à coup de poing ou de Sidération, déconnexion émotionnelle.
pied, infliger des blessures.
Problèmes d'apprentissage liés au stress chronique.
Frapper avec un objet (ex : tapette à mouche).
Délinquance, consommation de drogue ou d’alcool.

Dénigrer régulièrement l’enfant, se moquer de lui.
Priver régulièrement l’enfant de nourriture. Auto-mutilation.
Attacher l’enfant. Agressivité et violence.
Secouer ou pousser l’enfant. Anxiété, dépression et replis sur soi.
11
Un mot de trop
par Nancy Doyon
SOURCES
Laforest, J., Maurice, P. et Bouchard, L M. (dir.). (2018). Rapport québécois sur la violence et la santé. Montréal : Institut
national de santé publique du Québec. https://www.inspq.qc.ca/rapport-quebecois-sur-la-violence-et-la-sante
Marie-Ève Clément, Marie-Hélène Gagné, Sonia Hélie, ( 2018) La violence et la maltraitance envers les enfants.
https://www.inspq.qc.ca/rapport-quebecois-sur-la-violence-et-la-sante/la-violence-et-la-maltraitance-envers-les-enfants
Santé Canada. Étude canadienne sur l’incidence des signalements de cas de violence et de négligence envers les enfants,
Rapport final , 2003
How punishment can affect health, article publié en juin 2009 sur le site Project NoSpank de l'association américaine PTAVE
(Parents and Teachers Against Violent Education).
Toxic Stress: The Facts, Center on the Developing Child, Harvard University ; American Academy of Pediatrics Calls for Action
to Address Toxic Stress (appel lancé par l’association des pédiatres américains pour des mesures de prévention du stress
toxique dû à la violence éducative, en particulier chez les jeunes enfants).
Christine M. Heim, Helen S. Mayberg, Tanja Mletzko, Charles B. Nemeroff, Jens C. Pruessner, université québécoise McGill et
hôpital universitaire de la Charité de Berlin, étude parue le 1er juin 2013 dans The American Journal of Psychiatry (vol 170
n°6).
12
Besoin d’un coach familial? Pour nos formations en ligne :
SOSNANCY.COM INSTITUTCOACHINGFAMILIAL.COM

GfFEM9dpQDapXwILp8Y0 - Doc Accompagnement Sos - Nancy Un Mot de Trop

Transféré par

Informations du document

Titre original

Copyright

Formats disponibles

Partager ce document

Partager ou intégrer le document

Options de partage

Avez-vous trouvé ce document utile ?

Ce contenu est-il inapproprié ?

Droits d'auteur :

Formats disponibles

GfFEM9dpQDapXwILp8Y0 - Doc Accompagnement Sos - Nancy Un Mot de Trop

Transféré par

Droits d'auteur :

Formats disponibles

DOCUMENT D'ACCOMPAGNEMENT

ÉCHELLE DE LA VIOLENCE ÉDUCATIVE

pas assez sévère juste milieu trop sévère

TABLEAU DES IMPACTS DE LA VIOLENCE ÉDUCATIVE

interventions parentales résultats possibles chez l'enfant

Ne pas répondre adéquatement aux besoins

Acheter la paix en cédant aux demandes de

TABLEAU DES IMPACTS DE LA VIOLENCE ÉDUCATIVE

interventions parentales résultats possibles chez l'enfant

« MOLESSE » (SURPROTECTION, CADRE INSUFFISANT)

TABLEAU DES IMPACTS DE LA VIOLENCE ÉDUCATIVE

interventions parentales résultats possibles chez l'enfant

L’enfant se sent aimé, accueilli, respecté et le climat

Expliquer calmement nos attentes.

S’informer sur le pourquoi du comportement.

À éviter quand? L’attitude de douceur n’est

Dans ces cas, l’enfant aura généralement besoin

TABLEAU DES IMPACTS DE LA VIOLENCE ÉDUCATIVE

interventions parentales résultats possibles chez l'enfant

FERMETÉ BIENVEILLANTE : C’est le « juste milieu » en intervention. Cette attitude

À éviter quand? Quand ce n’est pas nécessaire parce

TABLEAU DES IMPACTS DE LA VIOLENCE ÉDUCATIVE

interventions parentales résultats possibles chez l'enfant

TABLEAU DES IMPACTS DE LA VIOLENCE ÉDUCATIVE

interventions parentales résultats possibles chez l'enfant

L’enfant risque de répliquer sur le même ton, ce qui

À la longue, il va possiblement adopter le même type

L’enfant pourrait aussi développer une perception

Si l’attitude est récurrente, il pourrait se sentir

Rappelons qu’il arrive à tous les parents d’être irrités.

TABLEAU DES IMPACTS DE LA VIOLENCE ÉDUCATIVE

interventions parentales résultats possibles chez l'enfant

Crier. Fuir: L’enfant pourra soit carrément se sauver ou se cacher, mentir

TABLEAU DES IMPACTS DE LA VIOLENCE ÉDUCATIVE

interventions parentales résultats possibles chez l'enfant

L’enfant se met vite à douter de lui-même et de sa valeur. Il

TABLEAU DES IMPACTS DE LA VIOLENCE ÉDUCATIVE

interventions parentales résultats possibles chez l'enfant

VIOLENCE : attaquer ou fuir.

TABLEAU DES IMPACTS DE LA VIOLENCE ÉDUCATIVE

interventions parentales résultats possibles chez l'enfant

Les recherches ont démontré que les enfants ayant

Délinquance, consommation de drogue ou d’alcool.

Priver régulièrement l’enfant de nourriture. Auto-mutilation.

Attacher l’enfant. Agressivité et violence.

Secouer ou pousser l’enfant. Anxiété, dépression et replis sur soi.

Vous aimerez peut-être aussi