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environnement et gestion des

rejets minieres

Préambule
La protection de l’environnement constitue un enjeu majeur pour la société. Depuis
plus d’une trentaine d’années, les gouvernements, les entreprises et la population
débattent des moyens à prendre pour établir un équilibre entre l’exploitation des
ressources disponibles et la protection des systèmes écologiques, et ce afin de
préserver la qualité des milieux de vie pour la flore, la faune et l’humain. Il faut
élaborer des approches afin de satisfaire à la fois le désir légitime des personnes
d’assurer un environnement sain et la nécessité de produire pour ces mêmes personnes
des biens et des services qui répondent à leurs besoins. Cette dualité se retrouve dans
le concept du développement durable, issu des travaux de la commission Brundtland
en 1988. Le rapport qui découle de ces travaux a énoncé un objectif central, soit la
promotion d’un développement économique et social qui répond aux besoins du
présent sans compromettre la capacité des générations futures de répondre aux leurs.
Cet objectif général, qui suppose une minimisation des effets des activités humaines
sur l’environnement, est largement accepté par la société en général, y compris par la
vaste majorité des entreprises. L’objectif sous-tendu par le développement durable est
basé sur l’application du principe des 3R, soit la réduction, la réutilisation et le
recyclage des matières et de l’énergie employées pour fournir les produits et services
(aussi connu comme 3R-V, avec valorisation, ou même comme 4R, avec
récupération). Un élément central de cette approche veut que l’on se préoccupe de
l’ensemble des flux de matière et d’énergie utilisés lors du cycle de vie d’un produit
afin d’évaluer sa charge environnementale, un concept connu sous le vocable « du
berceau à la tombe » (from cradle to grave, en anglais).

La mise en application des principes du développement durable peut engendrer des


difficultés significatives tant pour les personnes que pour les organisations. L’atteinte
des objectifs visés par le développement durable requiert en outre de bonnes
connaissances scientifiques et techniques ainsi qu’une formation adéquate des
personnes qui ont des activités pouvant potentiellement avoir une incidence sur
l’environnement. Une certaine sympathie, ou même empathie, pour les causes
environnementales ne remplace jamais les compétences pour définir les problèmes
correctement, et pour développer et appliquer des solutions efficaces et viables d’un
point de vue technique et économique.

Le domaine de l’environnement, multidisciplinaire s’il en est un, est d’ailleurs


actuellement en plein essor au Canada, comme dans plusieurs autres régions du
monde. Les chiffres colligés par le Conseil canadien des ressources humaines de
l’industrie de l’environnement (CCRHIE) indiquent, par exemple, que le secteur
environnemental canadien employait environ 220 000 personnes en 1998. La moitié
de ces travailleurs seraient des spécialistes diplômés d’une université ou d’un collège.
Quelque 95 000 organisations des secteurs public et privé emploient des spécialistes
du domaine de l’environnement pour des fonctions reliées à la protection et à la
conservation, à l’éducation, aux communications et à la recherche. Le recrutement
dans ce domaine se maintient à un niveau élevé, avec une augmentation de plus de 10
% des ressources humaines entre 1998 et 2001. Pour leur part, les employeurs
soulignent régulièrement le besoin de formation et de perfectionnement pour les
spécialistes qui œuvrent directement ou indirectement en environnement. Ce n’est
donc pas sans raison que l’Ordre des ingénieurs du Québec (OIQ) a fait de
l’environnement et du développement durable des thèmes prioritaires pour la
formation des ingénieurs. Cette importance se retrouve également dans les critères
adoptés par le Bureau canadien d’accréditation des programmes d’ingénierie
(BCAPI), qui évalue le contenu des divers programmes offerts à travers le pays. La
formation dans ce domaine est donc devenue un préalable pour tous les ingénieurs,
comme pour plusieurs autres professionnels d’ailleurs.

Cet essor du domaine de l’environnement s’est fait particulièrement sentir dans le


vaste secteur de la géo-ingénierie et des géo-sciences, qui inclut notamment la
géologie, la géotechnique, l’hydrogéologie, la géochimie et la géophysique. Ainsi, les
professionnels qui se retrouvent en grand nombre dans le domaine de l’exploitation
des ressources minérales sont fortement interpellés par les questions
environnementales.

Mines et environnement

Les entreprises minières, tout comme celles d’autres secteurs industriels, ont
progressivement adopté les principes découlant du développement durable, et ce
même si la transposition de ces principes n’est pas évidente pour un domaine basé sur
l’exploitation de ressources en grande partie non renouvelables. Au cours des
dernières années, les compagnies minières ont consenti des efforts considérables afin
d’ajuster leur pratique à cette vision quelque peu différente de celle qui prévalait
jusqu’alors. Cela a modifié passablement l’approche employée pour développer un
projet minier, avec comme corollaire des coûts additionnels non négligeables. Il faut
dire que le défi est de taille pour les entreprises minières, qui sont susceptibles
d’émettre divers types de contaminants dans l’air, dans l’eau et sur les sols. Les
compagnies minières sont d’ailleurs associées à bon nombre des grands défis
environnementaux auxquels la société fait face, que ce soit les changements
climatiques reliés à l’émission de gaz à effet de serre, l’acidification de l’eau et des
sols, la préservation et l’utilisation responsable des ressources hydriques, abiotiques et
biotiques, et les effets écotoxicologiques de certains éléments libérés par les activités
humaines. En plus de produire des grands volumes de rejets minéraux, l’industrie
minière utilise en abondance des produits chimiques, des biens manufacturés, de l’eau
et de l’énergie.

Les préoccupations de l’industrie minière pour la protection de l’environnement et la


préservation du patrimoine écologique ne datent pas d’hier. Par exemple, on peut en
retrouver des traces historiques dans le fameux livre De Re Metallica de Agricola,
écrit au XVIe siècle, qui énumérait déjà certains effets dommageables comme la
diminution de la diversité biologique dans les lacs et les rivières à proximité des
mines. Ingénieur de mines et géologue avant le terme, Agricola soulignait alors que
l’homme se devait de faire passer sa santé avant ses profits, un principe qui demeure
sans doute valable encore aujourd’hui. Les progrès ont cependant été lents à venir en
ce domaine. La littérature scientifique et technique montre qu’une prise de conscience
plus généralisée ne s’est matérialisée que dans la deuxième moitié du XXe siècle,
avec une progression particulièrement impressionnante dans les années 1970, soit au
moment où les premières législations sont véritablement apparues. Depuis ce temps,
les préoccupations environnementales n’ont cessé de croître, et on a pu assister à un
essor des connaissances pour reconnaître la nature des problèmes et pour élaborer des
mesures de contrôle, de correction et de prévention.

Les préoccupations environnementales associées aux activités minières sont d’abord


reliées aux quantités de rejets produits, qui sont proportionnellement plus grandes que
pour tout autre secteur de l’activité humaine. Par exemple, pour produire 10 grammes
d’or, il faut excaver plus d’une tonne de roche et la traiter avec environ 4 tonnes
d’eau, ce qui engendre un total de près de 5 tonnes de rejets solides et liquides. Ceux-
ci se retrouvent sous forme de rejets de concentrateur (ou d’usinage du minerai), qui
sont souvent entreposés en surface dans des parcs à résidus miniers (on en produit
entre 30 et 40 millions de tonnes par an au Québec), de roches stériles qui sont
empilées dans des haldes (générées à un rythme d’environ 50 à 60 millions de tonnes
par an dans la province), et d’eaux de mines et de traitement qui sont usuellement
confinées dans des bassins de sédimentation et de polissage. Évidemment, ces divers
types de rejets ne sont pas déversés directement dans l’environnement sans
l’application d’un contrôle sévère. L’eau, en particulier, peut être soit réutilisée dans
le procédé de production, ou remise en circulation dans le milieu naturel après avoir
été traitée pour répondre à des exigences strictes établies pour protéger les
écosystèmes environnants. Pour les solides, on voit aussi apparaître certaines
techniques permettant de réutiliser les rejets (comme le remblayage des ouvertures
souterraines, et la construction de routes et de structures de retenue et de confinement)
; on envisage éventuellement de les rentabiliser par une récupération des valeurs ayant
un potentiel commercial mais les progrès à cet égard sont limités (malgré les diverses
initiatives des quinze ou vingt dernières années).

Les questions environnementales reliées aux activités minières sont aujourd’hui d’une
grande importance pour plusieurs pays, et en particulier pour le Canada qui compte
parmi les cinq premiers producteurs mondiaux pour 17 métaux et substances
minérales. Le Québec étant une des trois provinces les plus actives dans le domaine,
l’industrie minière y occupe une place significative. Ainsi, selon des données
produites à l’automne 2002 par le ministère des Ressources naturelles du Québec
(MRNQ), il y aurait à travers la province près de 1000 sites d’extraction, de mise en
valeur et de traitement du minerai. Ces sites ont été créés par plus de 250 ans
d’activités, qui ont débuté par l’exploitation du fer en Mauricie (à partir de 1730
environ), puis de l’or et du cuivre en Beauce et en Estrie (1860), de l’amiante et du
chrome dans les Appalaches (1880), des métaux précieux et de base en Abitibi-
Témiscamingue (1920), du fer et du titane sur la Côte-Nord et des métaux en
Gaspésie (1950), du sel gemme aux Îles-de-la-Madeleine et ainsi de suite.

Évolution de la formation

La diversité et l’ampleur des activités minières posent plusieurs défis de taille aux
ingénieurs et aux autres professionnels qui y travaillent, notamment en ce qui a trait à
la gestion des rejets miniers. La formation de l’ingénieur de mines doit donc
comporter un volet environnemental, mais cet aspect du programme de 1er cycle
universitaire est relativement nouveau (et pas seulement pour l’ingénieur de mines,
pourrait-on ajouter). À cet égard, l’École Polytechnique a fait figure de pionnière
puisqu’un cours dédié à l’environnement minier y existe depuis plus de 30 ans. Un
ancien professeur de l’École Polytechnique, le Dr Gérard Grassmuck, publiait
d’ailleurs en mars 1970 un article précurseur, intitulé « There is no future in mining
unless environment is preserved » (Mining in Canada, p. 30-33), dans lequel il tentait
de convaincre les professionnels et décideurs de l’industrie minière de la nécessité de
minimiser les répercussions de la pollution associée aux mines. Par la suite, le
professeur Pierre Dubé a pris la relève en continuant d’offrir aux étudiants de génie
des mines un enseignement sur les questions environnementales. Toutefois, les
premiers cours sur l’environnement minier offerts à l’École Polytechnique mettaient
surtout l’accent sur les problèmes reliés au milieu de travail, soit sur ce que l’on
appelle maintenant l’hygiène industrielle (bruits, poussières, gaz, astreintes
thermiques, etc.); c’était également le cas dans la plupart des autres programmes
universitaires de génie des mines en Amérique du Nord, en Europe, en Australie et en
Afrique du Sud. Au fil des ans, la composante portant sur «l’effet de l’exploitation
minière sur le milieu environnant » a pris de plus en plus d’ampleur dans
l’enseignement du génie des mines à l’École Polytechnique. Vers la fin des années
1980, lorsque le premier auteur du manuel a pris charge du cours d’environnement
minier, environ 50 % de la matière était consacrée aux questions environnementales
telles qu’on les envisage maintenant. Compte tenu de l’évolution des contraintes et
des connaissances dans le domaine, il est apparu clairement qu’une plus grande place
devait être accordée à cet aspect. Pour satisfaire les besoins de l’industrie, l’ingénieur
se devait d’avoir une bonne connaissance des problèmes environnementaux auxquels
sont confrontées les mines, et il avait besoin d’outils pour aborder cette problématique
selon ses causes, les contraintes légales et opérationnelles, les techniques de contrôle
et de prévention disponibles (et en développement), et les implications pratiques et
financières. C’est en grande partie pour satisfaire ces attentes que le présent manuel a
été élaboré, à partir de 1999.

Objectifs des auteurs

Il y a déjà un assez grand nombre de volumes dédiés aux questions environnementales


touchant l’industrie minière. Plusieurs de ces ouvrages sont d’ailleurs inclus dans la
liste de références que l’on retrouve à la fin du manuel, et ils ont été maintes fois
consultés pour développer l’une ou l’autre des sections du manuel. Toutefois, aucun
des ouvrages connus des auteurs n’aborde l’ensemble des sujets jugés prioritaires
avec suffisamment de détails pour les besoins de formation des futurs ingénieurs de
mines.
Ce manuel a été rédigé afin de répondre, d’abord, aux exigences de la formation des
étudiants inscrits au programme de génie des mines de l’École Polytechnique de
Montréal, qui est conjoint avec le programme de l’université McGill. Le manuel,
présenté sur un support cédérom, présente diverses facettes de la problématique visée
et les principales solutions disponibles, en insistant plus particulièrement sur les
aspects opérationnels et techniques applicables aux mines de métaux en roches dures
que l’on rencontre au Québec et au Canada. Il est le fruit d’une collaboration étroite
entre les trois auteurs, et il a été préparé avec la participation de nombreux
professionnels (que nous nommons plus loin) de diverses disciplines œuvrant dans le
domaine de l’environnement et de la gestion des rejets miniers.

Au total, les auteurs exercent des activités professionnelles dans le domaine de


l’environnement et des mines depuis plus de 40 ans. Leur formation et leur expertise
étant complémentaires, cela a permis de couvrir la problématique de façon
relativement large. Michel Aubertin a une formation de géotechnicien (et d’ingénieur
civil) qui l’a amené à s’intéresser d’abord aux questions de stabilité des ouvrages de
retenue et de confinement, puis aux techniques visant le contrôle de la migration de
l’eau et des gaz. Bruno Bussière est ingénieur de mines avec une expertise en
hydrogéologie, en traitement du minerai, sur les modes de disposition des rejets et sur
la restauration des sites. Louis Bernier est géologue avec une connaissance
approfondie de la géochimie du drainage minier acide, en plus d’avoir développé une
expertise en méthode de caractérisation des rejets solides et liquides. Ensemble, ces
trois chercheurs ont pu assembler une somme d’information qui devrait s’avérer utile
pour les futurs ingénieurs de mines, comme pour d’autres professionnels qui
s’intéressent aux questions environnementales. Le manuel comporte en outre certaines
sections qui vont plus loin que la formation de base de l’ingénieur, et en cela il
pourrait être utile aux professionnels qui travaillent déjà dans le domaine (en
particulier les chapitres 5, 6, 8, et 10 – décrits sommairement ci-après).

Contenu

Le manuel comprend 13 chapitres, un grand nombre de références et une série


d’annexes portant sur les unités (avec tableaux de conversion) et sur certaines
propriétés de base des matériaux naturels (eau, air, sols). On y met l’accent sur les
problèmes associés à la gestion des rejets solides et liquides émis par les opérations
minières. Les quatre premiers chapitres présentent la problématique générale, en
commençant par une présentation sommaire sur des notions d’écologie, sur les
systèmes de management environnemental et sur l’ampleur de la problématique des
aires d’accumulation de rejets miniers au Québec. On aborde ensuite, au chapitre 2,
les aspects législatifs dans un contexte de changements marqués au Québec et au
Canada. On répertorie ensuite, au chapitre 3, les effluents produits avec les principaux
types de rejets (solides, liquides, gazeux) selon leur nature particulière. Nous
présentons spécifiquement au chapitre 4 les incidences environnementales découlant
de la présence de divers contaminants retrouvés dans l’industrie minière.

Les quatre chapitres suivants traitent des aspects scientifiques et techniques reliés aux
approches disponibles pour affronter les problèmes jugés les plus sérieux pour les
opérations minières typiques en roches dures, telles qu’on en retrouve un grand
nombre au Québec et ailleurs au Canada. Les chapitres 5 et 6 sont consacrés à la
production d’eaux de drainage minier acide (appelées communément le DMA),
abordée sous le jour des mécanismes physicochimiques à la source de sa production.
On y traite notamment des processus géochimiques en jeu, du traitement des eaux
acides et des méthodes de prévention et de contrôle de la production du DMA. Le
chapitre 7 est pour sa part consacré aux contaminants issus des procédés d’extraction
minéralurgique ; on y insiste sur les problèmes posés par les cyanures communément
retrouvés dans les opérations aurifères. Le chapitre 8 traite des méthodes de
disposition des rejets solides, et met l’accent sur les aspects géotechniques et
opérationnels.

Les cinq derniers chapitres permettent d’aborder divers aspects corollaires aux modes
de gestion des rejets présentés au préalable. Le chapitre 9 aborde les questions reliées
à la fermeture et à la restauration des sites miniers, en établissant un lien direct avec la
législation québécoise. Le chapitre 10 traite de l’instrumentation et du suivi des
ouvrages et des mesures adoptées afin de prévenir les problèmes environnementaux.
Le chapitre 11 inclut plusieurs sections relativement courtes, chacune abordant
d’autres problèmes qui ne sont pas rencontrés régulièrement dans la pratique minière
courante au Québec, mais qui se retrouvent ailleurs au pays et dans le monde ; par
exemple, on y traite de rejets radioactifs, des charbonnages, des sables bitumineux,
des fonderies, de la subsidence, etc. Le chapitre 12 est consacré aux outils d’analyse
économique des solutions disponibles, et le chapitre 13 présente plusieurs facettes des
pratiques environnementales telles qu’appliquées sur des sites miniers au Québec.
Malgré la variété des sujets traités, il demeure important de mentionner ici que le
manuel ne prétend pas faire le tour des questions environnementales auxquelles sont
confrontées les entreprises minières. Par exemple, il n’est pas question ici des
problèmes de sols contaminés, de déchets dangereux, de démantèlement des bâtiments
et des infrastructures ainsi que de la sécurisation des ouvertures (toutes des activités
encadrées par la loi).

Le manuel propose de nombreuses références tirées de publications (revues


scientifiques et techniques, conférences, etc.) du domaine public et aussi de certains
rapports techniques et de sites Web. Dans ce dernier cas, les auteurs ont voulu mettre
à la disposition des personnes intéressées des sources d’information récentes,
maintenues à jour de façon dynamique, malgré le risque que ces sites ne soient pas
nécessairement supportés de façon continue ou qu’ils disparaissent (la durée de
certains sites Web étant parfois assez limitée). Le site Web qui accompagne ce
manuel (voir l’adresse plus loin) fera l’objet de mises à jour occasionnelles et
contiendra des liens jugés utiles pour le lecteur intéressé à une vision plus poussée de
certains sujets traités ici.

Contributions

La préparation du manuel a été rendue possible grâce à la participation de plusieurs


personnes. Il nous faut d’abord mentionner Luc St-Arnaud, du Centre de technologie
Noranda, qui était parmi les initiateurs du projet. Bien que ses affectations aient été
modifiées au cours des dernières années, M. St-Arnaud a constamment soutenu les
activités des auteurs dans le domaine de l’environnement et de la gestion des rejets
miniers, et nous voulons ici lui exprimer notre gratitude. Nous devons aussi remercier
plusieurs professionnels du domaine qui ont fourni des documents ayant servi
librement à la rédaction de certaines portions du manuel (textes, figures ou tableaux) ;
par ordre alphabétique :

Gail Amyot, Cambior (anciennement)


Bernard Aubé, Centre de technologie Noranda (anciennement)
Claude Bédard, Journeaux, Bédard et Ass. Inc.
Tikou Belem, Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue
Mostafa Benzaazoua, Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue
Lionel Catalan, Centre de technologie Noranda (anciennement)
Claude Delisle, École Polytechnique de Montréal
Jean Dionne, ministère des Ressources naturelles du Québec
Jean-Baptiste Dromer, École Polytechnique de Montréal
Claude Dufour, ministère des Ressources naturelles du Québec
Omar Fala, École Polytechnique de Montréal
Lise Filiatrault, bibliothécaire
Danielle Gagnon, École Polytechnique de Montréal
Claude Gignac, ministère de l’Environnement du Québec
Michel Julien, Golder Associés
Raymond Juneau, Laboratoire d’Expertise de Québec Ltée
Daniel Lang, La Compagnie Minière Québec Cartier
John Lemieux, Journaux, Bédard et Ass. Inc.
Li Li, École Polytechnique de Montréal
Michael Li, Centre de technologie Noranda
Réal Marcotte, ministère des Ressources naturelles du Québec
Louis Marcoux, ministère des Ressources naturelles du Québec
Mamert Mbonimpa, École Polytechnique de Montréal
Philippe Poirier, SNC-Lavalin
Robert Prairie, Centre de technologie Noranda
Pierre Primeau, Corporation Minière Inmet (anciennement)
Jean-François Ricard, Golder Associés (anciennement)
Jean Roberge, Association minière du Québec (anciennement)
Richard Simon, École Polytechnique de Montréal
Stéphanie Somot, URSTM-UQAT (anciennement)
Gilles Tremblay, MEND/NEDEM – CANMET
André Vachon, Groupe Roche
Serge Vézina, Cambior
Bernard Vigneault, Centre de technologie Noranda (anciennement)
Gérald Zagury, École Polytechnique de Montréal

Quelques-uns des textes du manuel ont été complétés et mis en forme à l’École
Polytechnique par du personnel du département des Génies civil, géologique et des
mines: Louise Comtois, Annick Marchand et Lise Robert. Ces textes avaient d’abord
été préparés durant la période 1999-2002 pour le cours MIN3313, qui était sous la
responsabilité du premier auteur (M.A.) du manuel.

Tous les textes ont été revus et corrigés par Nicole Blanchette, réviseure. Plusieurs
personnes (principalement des collègues chercheurs et étudiants diplômés) ont
également participé à la relecture de portions du manuel, pour aider à corriger
certaines erreurs et inconsistances : Sénami Aurore Apithy, Robert P. Chapuis, Anne-
Marie Dagenais, Isabelle Demers, Jean-Baptiste Dromer, Omar Fala, Jovette
Godbout, Michael James, Darcy Jolette, Li Li, Réal Marcotte, Vincent Martin,
Mamert Mbonimpa, Mariam Ouangrawa, Serge Ouellet, Benoit Plante, Robin Potvin,
Valérie Thériault, Dominic Tremblay, Sandra Trépanier, Mathieu Villeneuve, Gérald
Zagury.

Lucette de Gagné, du département des Génies civil, géologique et des mines de


l’École Polytechnique, a produit ou corrigé un grand nombre de figures ; les auteurs
lui expriment ici leur reconnaissance pour tous les efforts consentis à cette fin. Les
personnes suivantes ont fourni des photos incluses dans le manuel : Mostafa Aachib,
Bernard Aubé, Claude Bédard, Christian Dallaire, Michel Julien, Philippe Poirier,
Stéphanie Somot. La plupart des photos du manuel sont tirées des collections
personnelles des auteurs.

Le cédérom et les pages du site Internet sont une réalisation de Guy Daoust, de la
firme Multimédia Imagémo inc. M. Daoust s’est avéré un collaborateur exceptionnel,
sans qui ce cédérom n’aurait sans doute pas vu le jour.

La diffusion du manuel sur cédérom est assurée en Amérique du nord, par les Presses
internationales Polytechnique et en Europe, Afrique et Asie par Technique et
Documentation - Lavoisier, S.A..

En terminant, les auteurs tiennent à remercier le ministère des Ressources naturelles


du Québec et le service pédagogique de l’École Polytechnique pour leur soutien
financier à ce projet. Les sommes obtenues ont essentiellement servi à l’achèvement
de certaines portions du document, à sa révision et à sa mise en forme électronique.

Des renseignements complémentaires sur le manuel, y compris corrections, ajouts et


mises à jour, sont disponibles sur le site Internet : www3.polymtl.ca/min3313p (mot
de passe disponible sur demande auprès des auteurs).

Complété à Montréal, décembre 2002.

Michel Aubertin, École Polytechnique de Montréal

Bruno Bussière, Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue

Louis Bernier, Géobérex Recherche Inc.

Visitez aussi le site Web de la Chaire industrielle CRSNG Polytechnique-UQAT en


Environnement et gestion des rejets miniers (www.polymtl.ca/enviro-geremi).
Contributions

La préparation du manuel a été rendue possible grâce à la participation de plusieurs


personnes. Il nous faut d’abord mentionner Luc St-Arnaud, du Centre de technologie
Noranda, qui était parmi les initiateurs du projet. Bien que ses affectations aient été
modifiées au cours des dernières années, M. St-Arnaud a constamment soutenu les
activités des auteurs dans le domaine de l’environnement et de la gestion des rejets
miniers, et nous voulons ici lui exprimer notre gratitude. Nous devons aussi remercier
plusieurs professionnels du domaine qui ont fourni des documents ayant servi
librement à la rédaction de certaines portions du manuel (textes, figures ou tableaux) ;
par ordre alphabétique :

Gail Amyot, Cambior (anciennement)


Bernard Aubé, Centre de technologie Noranda (anciennement)
Claude Bédard, Journeaux, Bédard et Ass. Inc.
Tikou Belem, Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue
Mostafa Benzaazoua, Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue
Lionel Catalan, Centre de technologie Noranda (anciennement)
Claude Delisle, École Polytechnique de Montréal
Jean Dionne, ministère des Ressources naturelles du Québec
Jean-Baptiste Dromer, École Polytechnique de Montréal
Claude Dufour, ministère des Ressources naturelles du Québec
Omar Fala, École Polytechnique de Montréal
Lise Filiatrault, bibliothécaire
Danielle Gagnon, École Polytechnique de Montréal
Claude Gignac, ministère de l’Environnement du Québec
Michel Julien, Golder Associés
Raymond Juneau, Laboratoire d’Expertise de Québec Ltée
Daniel Lang, La Compagnie Minière Québec Cartier
John Lemieux, Journaux, Bédard et Ass. Inc.
Li Li, École Polytechnique de Montréal
Michael Li, Centre de technologie Noranda
Réal Marcotte, ministère des Ressources naturelles du Québec
Louis Marcoux, ministère des Ressources naturelles du Québec
Mamert Mbonimpa, École Polytechnique de Montréal
Philippe Poirier, SNC-Lavalin
Robert Prairie, Centre de technologie Noranda
Pierre Primeau, Corporation Minière Inmet (anciennement)
Jean-François Ricard, Golder Associés (anciennement)
Jean Roberge, Association minière du Québec (anciennement)
Richard Simon, École Polytechnique de Montréal
Stéphanie Somot, URSTM-UQAT (anciennement)
Gilles Tremblay, MEND/NEDEM – CANMET
André Vachon, Groupe Roche
Serge Vézina, Cambior
Bernard Vigneault, Centre de technologie Noranda (anciennement)
Gérald Zagury, École Polytechnique de Montréal

Quelques-uns des textes du manuel ont été complétés et mis en forme à l’École
Polytechnique par du personnel du département des Génies civil, géologique et des
mines: Louise Comtois, Annick Marchand et Lise Robert. Ces textes avaient d’abord
été préparés durant la période 1999-2002 pour le cours MIN3313, qui était sous la
responsabilité du premier auteur (M.A.) du manuel.

Tous les textes ont été revus et corrigés par Nicole Blanchette, réviseure. Plusieurs
personnes (principalement des collègues chercheurs et étudiants diplômés) ont
également participé à la relecture de portions du manuel, pour aider à corriger
certaines erreurs et inconsistances : Sénami Aurore Apithy, Robert P. Chapuis, Anne-
Marie Dagenais, Isabelle Demers, Jean-Baptiste Dromer, Omar Fala, Jovette
Godbout, Michael James, Darcy Jolette, Li Li, Réal Marcotte, Vincent Martin,
Mamert Mbonimpa, Mariam Ouangrawa, Serge Ouellet, Benoit Plante, Robin Potvin,
Valérie Thériault, Dominic Tremblay, Sandra Trépanier, Mathieu Villeneuve, Gérald
Zagury.

Lucette de Gagné, du département des Génies civil, géologique et des mines de


l’École Polytechnique, a produit ou corrigé un grand nombre de figures ; les auteurs
lui expriment ici leur reconnaissance pour tous les efforts consentis à cette fin. Les
personnes suivantes ont fourni des photos incluses dans le manuel : Mostafa Aachib,
Bernard Aubé, Claude Bédard, Christian Dallaire, Michel Julien, Philippe Poirier,
Stéphanie Somot. La plupart des photos du manuel sont tirées des collections
personnelles des auteurs.

Le cédérom et les pages du site Internet sont une réalisation de Guy Daoust, de la
firme Multimédia Imagémo inc. M. Daoust s’est avéré un collaborateur exceptionnel,
sans qui ce cédérom n’aurait sans doute pas vu le jour.

La diffusion du manuel sur cédérom est assurée en Amérique du nord, par les Presses
internationales Polytechnique et en Europe, Afrique et Asie par Technique et
Documentation - Lavoisier, S.A..

En terminant, les auteurs tiennent à remercier le ministère des Ressources naturelles


du Québec et le service pédagogique de l’École Polytechnique pour leur soutien
financier à ce projet. Les sommes obtenues ont essentiellement servi à l’achèvement
de certaines portions du document, à sa révision et à sa mise en forme électronique.
Des renseignements complémentaires sur le manuel, y compris corrections, ajouts et
mises à jour, sont disponibles sur le site Internet : www3.polymtl.ca/min3313p (mot
de passe disponible sur demande auprès des auteurs).

Complété à Montréal, décembre 2002.

Michel Aubertin, École Polytechnique de Montréal

Bruno Bussière, Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue

Louis Bernier, Géobérex Recherche Inc.

Visitez aussi le site Web de la Chaire industrielle CRSNG Polytechnique-UQAT en


Environnement et gestion des rejets miniers (www.polymtl.ca/enviro-geremi).
Contributions

La préparation du manuel a été rendue possible grâce à la participation de plusieurs


personnes. Il nous faut d’abord mentionner Luc St-Arnaud, du Centre de technologie
Noranda, qui était parmi les initiateurs du projet. Bien que ses affectations aient été
modifiées au cours des dernières années, M. St-Arnaud a constamment soutenu les
activités des auteurs dans le domaine de l’environnement et de la gestion des rejets
miniers, et nous voulons ici lui exprimer notre gratitude. Nous devons aussi remercier
plusieurs professionnels du domaine qui ont fourni des documents ayant servi
librement à la rédaction de certaines portions du manuel (textes, figures ou tableaux) ;
par ordre alphabétique :

Gail Amyot, Cambior (anciennement)


Bernard Aubé, Centre de technologie Noranda (anciennement)
Claude Bédard, Journeaux, Bédard et Ass. Inc.
Tikou Belem, Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue
Mostafa Benzaazoua, Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue
Lionel Catalan, Centre de technologie Noranda (anciennement)
Claude Delisle, École Polytechnique de Montréal
Jean Dionne, ministère des Ressources naturelles du Québec
Jean-Baptiste Dromer, École Polytechnique de Montréal
Claude Dufour, ministère des Ressources naturelles du Québec
Omar Fala, École Polytechnique de Montréal
Lise Filiatrault, bibliothécaire
Danielle Gagnon, École Polytechnique de Montréal
Claude Gignac, ministère de l’Environnement du Québec
Michel Julien, Golder Associés
Raymond Juneau, Laboratoire d’Expertise de Québec Ltée
Daniel Lang, La Compagnie Minière Québec Cartier
John Lemieux, Journaux, Bédard et Ass. Inc.
Li Li, École Polytechnique de Montréal
Michael Li, Centre de technologie Noranda
Réal Marcotte, ministère des Ressources naturelles du Québec
Louis Marcoux, ministère des Ressources naturelles du Québec
Mamert Mbonimpa, École Polytechnique de Montréal
Philippe Poirier, SNC-Lavalin
Robert Prairie, Centre de technologie Noranda
Pierre Primeau, Corporation Minière Inmet (anciennement)
Jean-François Ricard, Golder Associés (anciennement)
Jean Roberge, Association minière du Québec (anciennement)
Richard Simon, École Polytechnique de Montréal
Stéphanie Somot, URSTM-UQAT (anciennement)
Gilles Tremblay, MEND/NEDEM – CANMET
André Vachon, Groupe Roche
Serge Vézina, Cambior
Bernard Vigneault, Centre de technologie Noranda (anciennement)
Gérald Zagury, École Polytechnique de Montréal

Quelques-uns des textes du manuel ont été complétés et mis en forme à l’École
Polytechnique par du personnel du département des Génies civil, géologique et des
mines: Louise Comtois, Annick Marchand et Lise Robert. Ces textes avaient d’abord
été préparés durant la période 1999-2002 pour le cours MIN3313, qui était sous la
responsabilité du premier auteur (M.A.) du manuel.

Tous les textes ont été revus et corrigés par Nicole Blanchette, réviseure. Plusieurs
personnes (principalement des collègues chercheurs et étudiants diplômés) ont
également participé à la relecture de portions du manuel, pour aider à corriger
certaines erreurs et inconsistances : Sénami Aurore Apithy, Robert P. Chapuis, Anne-
Marie Dagenais, Isabelle Demers, Jean-Baptiste Dromer, Omar Fala, Jovette
Godbout, Michael James, Darcy Jolette, Li Li, Réal Marcotte, Vincent Martin,
Mamert Mbonimpa, Mariam Ouangrawa, Serge Ouellet, Benoit Plante, Robin Potvin,
Valérie Thériault, Dominic Tremblay, Sandra Trépanier, Mathieu Villeneuve, Gérald
Zagury.

Lucette de Gagné, du département des Génies civil, géologique et des mines de


l’École Polytechnique, a produit ou corrigé un grand nombre de figures ; les auteurs
lui expriment ici leur reconnaissance pour tous les efforts consentis à cette fin. Les
personnes suivantes ont fourni des photos incluses dans le manuel : Mostafa Aachib,
Bernard Aubé, Claude Bédard, Christian Dallaire, Michel Julien, Philippe Poirier,
Stéphanie Somot. La plupart des photos du manuel sont tirées des collections
personnelles des auteurs.

Le cédérom et les pages du site Internet sont une réalisation de Guy Daoust, de la
firme Multimédia Imagémo inc. M. Daoust s’est avéré un collaborateur exceptionnel,
sans qui ce cédérom n’aurait sans doute pas vu le jour.

La diffusion du manuel sur cédérom est assurée en Amérique du nord, par les Presses
internationales Polytechnique et en Europe, Afrique et Asie par Technique et
Documentation - Lavoisier, S.A..

En terminant, les auteurs tiennent à remercier le ministère des Ressources naturelles


du Québec et le service pédagogique de l’École Polytechnique pour leur soutien
financier à ce projet. Les sommes obtenues ont essentiellement servi à l’achèvement
de certaines portions du document, à sa révision et à sa mise en forme électronique.

Des renseignements complémentaires sur le manuel, y compris corrections, ajouts et


mises à jour, sont disponibles sur le site Internet : www3.polymtl.ca/min3313p (mot
de passe disponible sur demande auprès des auteurs).

Complété à Montréal, décembre 2002.

Michel Aubertin, École Polytechnique de Montréal

Bruno Bussière, Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue

Louis Bernier, Géobérex Recherche Inc.


Visitez aussi le site Web de la Chaire industrielle CRSNG Polytechnique-UQAT en
Environnement et gestion des rejets miniers (www.polymtl.ca/enviro-geremi).
Contributions

La préparation du manuel a été rendue possible grâce à la participation de plusieurs


personnes. Il nous faut d’abord mentionner Luc St-Arnaud, du Centre de technologie
Noranda, qui était parmi les initiateurs du projet. Bien que ses affectations aient été
modifiées au cours des dernières années, M. St-Arnaud a constamment soutenu les
activités des auteurs dans le domaine de l’environnement et de la gestion des rejets
miniers, et nous voulons ici lui exprimer notre gratitude. Nous devons aussi remercier
plusieurs professionnels du domaine qui ont fourni des documents ayant servi
librement à la rédaction de certaines portions du manuel (textes, figures ou tableaux) ;
par ordre alphabétique :

Gail Amyot, Cambior (anciennement)


Bernard Aubé, Centre de technologie Noranda (anciennement)
Claude Bédard, Journeaux, Bédard et Ass. Inc.
Tikou Belem, Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue
Mostafa Benzaazoua, Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue
Lionel Catalan, Centre de technologie Noranda (anciennement)
Claude Delisle, École Polytechnique de Montréal
Jean Dionne, ministère des Ressources naturelles du Québec
Jean-Baptiste Dromer, École Polytechnique de Montréal
Claude Dufour, ministère des Ressources naturelles du Québec
Omar Fala, École Polytechnique de Montréal
Lise Filiatrault, bibliothécaire
Danielle Gagnon, École Polytechnique de Montréal
Claude Gignac, ministère de l’Environnement du Québec
Michel Julien, Golder Associés
Raymond Juneau, Laboratoire d’Expertise de Québec Ltée
Daniel Lang, La Compagnie Minière Québec Cartier
John Lemieux, Journaux, Bédard et Ass. Inc.
Li Li, École Polytechnique de Montréal
Michael Li, Centre de technologie Noranda
Réal Marcotte, ministère des Ressources naturelles du Québec
Louis Marcoux, ministère des Ressources naturelles du Québec
Mamert Mbonimpa, École Polytechnique de Montréal
Philippe Poirier, SNC-Lavalin
Robert Prairie, Centre de technologie Noranda
Pierre Primeau, Corporation Minière Inmet (anciennement)
Jean-François Ricard, Golder Associés (anciennement)
Jean Roberge, Association minière du Québec (anciennement)
Richard Simon, École Polytechnique de Montréal
Stéphanie Somot, URSTM-UQAT (anciennement)
Gilles Tremblay, MEND/NEDEM – CANMET
André Vachon, Groupe Roche
Serge Vézina, Cambior
Bernard Vigneault, Centre de technologie Noranda (anciennement)
Gérald Zagury, École Polytechnique de Montréal

Quelques-uns des textes du manuel ont été complétés et mis en forme à l’École
Polytechnique par du personnel du département des Génies civil, géologique et des
mines: Louise Comtois, Annick Marchand et Lise Robert. Ces textes avaient d’abord
été préparés durant la période 1999-2002 pour le cours MIN3313, qui était sous la
responsabilité du premier auteur (M.A.) du manuel.

Tous les textes ont été revus et corrigés par Nicole Blanchette, réviseure. Plusieurs
personnes (principalement des collègues chercheurs et étudiants diplômés) ont
également participé à la relecture de portions du manuel, pour aider à corriger
certaines erreurs et inconsistances : Sénami Aurore Apithy, Robert P. Chapuis, Anne-
Marie Dagenais, Isabelle Demers, Jean-Baptiste Dromer, Omar Fala, Jovette
Godbout, Michael James, Darcy Jolette, Li Li, Réal Marcotte, Vincent Martin,
Mamert Mbonimpa, Mariam Ouangrawa, Serge Ouellet, Benoit Plante, Robin Potvin,
Valérie Thériault, Dominic Tremblay, Sandra Trépanier, Mathieu Villeneuve, Gérald
Zagury.

Lucette de Gagné, du département des Génies civil, géologique et des mines de


l’École Polytechnique, a produit ou corrigé un grand nombre de figures ; les auteurs
lui expriment ici leur reconnaissance pour tous les efforts consentis à cette fin. Les
personnes suivantes ont fourni des photos incluses dans le manuel : Mostafa Aachib,
Bernard Aubé, Claude Bédard, Christian Dallaire, Michel Julien, Philippe Poirier,
Stéphanie Somot. La plupart des photos du manuel sont tirées des collections
personnelles des auteurs.

Le cédérom et les pages du site Internet sont une réalisation de Guy Daoust, de la
firme Multimédia Imagémo inc. M. Daoust s’est avéré un collaborateur exceptionnel,
sans qui ce cédérom n’aurait sans doute pas vu le jour.

La diffusion du manuel sur cédérom est assurée en Amérique du nord, par les Presses
internationales Polytechnique et en Europe, Afrique et Asie par Technique et
Documentation - Lavoisier, S.A..

En terminant, les auteurs tiennent à remercier le ministère des Ressources naturelles


du Québec et le service pédagogique de l’École Polytechnique pour leur soutien
financier à ce projet. Les sommes obtenues ont essentiellement servi à l’achèvement
de certaines portions du document, à sa révision et à sa mise en forme électronique.

Des renseignements complémentaires sur le manuel, y compris corrections, ajouts et


mises à jour, sont disponibles sur le site Internet : www3.polymtl.ca/min3313p (mot
de passe disponible sur demande auprès des auteurs).

Complété à Montréal, décembre 2002.

Michel Aubertin, École Polytechnique de Montréal

Bruno Bussière, Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue

Louis Bernier, Géobérex Recherche Inc.


Visitez aussi le site Web de la Chaire industrielle CRSNG Polytechnique-UQAT en
Environnement et gestion des rejets miniers (www.polymtl.ca/enviro-geremi).

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