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2-a
B
On a rot rot E rot
E
0 E 0 0 (0.5 point)
t t t
2
E E
S’écrit grad divE E 0 0 0 Or divE 0 d'où
t 2
t
2 2
E E E 1 E
E 0 00 0 (0.5 point)
t 2 t c 2 t 2
t
1
Avec a 0 et b où c 3 108 m s-1 est la vitesse de la lumière dans le vide.
c 2
b- En notation complexe, on adopte l’écriture :
E E 0 e it k z e y où E 0 est l’amplitude du champ électrique de l’onde.
c2
Si c l’indice n i 1 est un nombre complexe imaginaire pur (0.25 point)
2
4-
2 2
a- Il y a propagation de l’OEM si et seulement si k 2 0 c f fc (0.5 point)
c
c c
La vitesse de propagation de l’onde est sa vitesse de phase v v (0.5 point)
n
c2
1
2
b- Il n’y a pas propagation de l’OEM si et seulement si
2 2 2
k 0 c f fc (0.5 point)
c
2
Si c k 0 k ik" est imaginaire pur. Dans ce cas, l’onde ne se propage pas : il s’agit
d’une onde évanescente (0.25 point)
et le champ de l’onde s’écrit donc :
z
E E0 e i t ik" z E0 e k" z eit E0 e e it (0.5 point)
1
Où la distance est appelée profondeur de pénétration ou épaisseur de peau et fait
k"
référence à la distance caractéristique de la décroissance du champ électromagnétique dans le
métal.
Exercice 2
1- a- La densité des charges de polarisation en volume est nulle car la polarisation est
uniforme :
p divP 0 (1 point)
b- La densité des charges de polarisationP sur la surface s est :
P Pn P cos( ) P cos (0.5 point)
2-a
P ds( r ) P cos ds r
E P
3 3
s 4 0 r s 4 0 r
avec : r rer r(cos e z sin cos e x sin sin e y ) et ds r 2 sin d d .
D’où :
EP
P 2
2
cos sin d d e z
4 0 0 0
(0.5 point)
2 2
Car :
0 0
cos sin cos d d cos sin sin
0 0
d d 0 .
P 2 P cos 3 P P
Soit : E P cos ( d cos )e z ez ez (0.5 point)
2 0 0 2 0 3 3 0 3 0
0
b- On a :
E Ee E s E S (0.5 point)
Or, le champ macroscopique E en O est donné par :
E Ee E S (0.5 point)
où E S est le champ créé par les charges de polarisation de la surface S (puisque p 0 ).
P
D’où : E E E s E (1 point)
3 0
3-a
Si on considère un atome, dans sa représentation sphérique, soumis au champ local
Eoc E , la polarisation électronique induite est due au déplacement du barycentre G+ des
charges positives d’une distance d par rapport à celui des charges négatives G-: il apparait un
moment dipolaire électrique induit pi proportionnel au champ local:
pi E (1 point)
Où le facteur est la polarisabilité de l’atome.
b-
Le noyau est à l’équilibre par conséquent la somme des forces qui lui sont appliquées est nulle
(PFD).
On a forces extérieurs Ze E ZeE 0 E E (0.5 point)
où E est le champ électrique appliqué au noyau créé par les charges négatives.
c-
Calcul de d :
La distance d de déplacement du noyau est déterminée en appliquant le théorème de Gauss,
Q int érieur
E .dS 4d E
2
0 (1 point)
Où est la sphère de centre G- et de rayon d et Qint
érieur
est la charge à l’intérieur de la surface
de Gauss ,
Ze Ze 4 3 d3 4 0 R 3 4 0 R 3
Q int érieur
d d Ze 3 et d E E (0.5 point)
4 4
R 3 R 3 3 R Ze Ze
3 3
Calcul de :
On a p p i E ZeG G p Ze d 4 0 R 3 E p 4 0 R 3 E (0.5 point)
et
4 0 R 3 (0.5 point)
P P
d- On a E E or P NE N E (0.5 point)
3 0 3 0
3 0 N 3 N 3 0 e
D’où : P E 0 e E et e (0.5 point)
3 0 N 3 0 N N( 3 e )
Si on utilise l’expression de la susceptibilité électrique en fonction de la permittivité relative
du diélectrique on obtient une relation entre la polarisabilité et la permittivité relative :
3 ( 1 )
e r 1 0 r (0.5 point)
N( 2 r )
On en déduit l’équation de Clausius-Mossotti :
r 1 N
(1 point)
2 r 3 0
e- On a :
r 1 N
et 4 0 R 3 d’où
2 r 3 0
1
r 1 N N 1 3 3
4 0 R 3 R r
2 r 3 0 3 0 2 r 4N (1 point)