CdM Relations fr-de S9

De Gaulle : A la tête GPRF et 58-69. Grandit dans famille conservatrice, et vécu les deux GM. 1899
naissance à Lille. Ecole militaire de Saint-Cyr en 1908, diplômé en 1912. Analyse de la puissance
militaire allemande pour mieux la battre. Défiance envers l’Allemagne dans l’après-guerre+ tentative
d’affaiblir l’Allemagne. Craint la naissance de la RFA et création de toutes organisations
supranationales qui pourrait affaiblir souveraineté Fr. 1958= rencontre entre DG et Adenauer.
Abandonne son discours de domination pour fraternité le 14 septembre 1958, à Colombey. 8 juillet
1962= rencontre à Reims. 1963= Adenauer démission et laisse à Ehrhardt contre la politique français
en octobre 63. Ajd le Conseil des ministres c’est l’organisation qui a le plus grand pouvoir dans l’UE.

Les allemands et DG : vu avec l’appel du 18 juin comme manipulé par les anglais et personnage de
second plan. Crainte lors du D-Day. Français vu comme des vainqueurs sévères et hostiles. Politique
intéressée de la Fr par rapport à ses zones d’occupation. Approche stricte et répressive= fr vu comme
« illégitimes ». 1958= allemands conservateurs qui ne veulent pas de l’Otan et plutôt favorables à la
Fr, et atlantistes qui refuse une collaboration. Passage à Colombey rassure les allemands en 58.
Volonté d’être pivot entre est et ouest= défiance des allemands surtout avec Oder-Neisse. Visite en
Allemagne en septembre 1962= confs et discours devant les masses all. 72% d’opinion favorable à
DG après sa visite. Collaboration politique et culturelle avec traité mais met fin à All unifiée
Opposition all avec la construction euro : la défense, l’atlantisme, sa position avec URSS. Méfiance
avec sa position nationale et grandeur de la France, en 1966 19% de popularité pour DG. 58-63
travail sur Europe. 63-68 lassitude et tendances anti de-Gaulle.

La guerre de 30 ans (DG). Changement brusque ou continuité profonde ? DG tente de s’adapter avec
contextes mais qui débouche d’avantage sur une déclinaison sur la grandeur de la France que sur un
changement. Inflexion mais qui ne modifie pas foncièrement sa pensée. Garde jusqu’au bout le
concept de l’Europe des Nations. Jusqu’en 58 profonde méfiance envers de Gaulle. Avec le GPRF
signe un traité avec Staline vu d’un mauvais œil en All. Clivage des élites all : kontinentaler und
atlantistes. Adenauer parie sur le rapprochement avec DG au vu de la 2GM même si litiges. Pour DG
refus de l’Europe supranational. La Fr n’a pas besoin de l’Europe contrairement à l’ALL. DG accepte
CEE et CECA mais veut des rétributions et pousse à la PAC. Entre 58-63 DG pousse pour un
rapprochement avec m’All pour sortir d’une Europe supranationale et aller vers une Europe des
Nations autoru du couple franco-allemand et cette alliance doit être une troisième voie entre Est et
Ouest. FR= seule puissance nucléaire en 62 et siège à l’ONU= se sent supérieure dans les actions de
l’Europe. Sauf qu’All se rapproche pour renforcer Europe intégrée, faire venir les Angl dans l’Europe.
Fin du malentendu avec traité de l’Elysée car avec vote au Bundestag vide de sens le traité et la vision
atlantistes est remise (sécurité par USA) = début de la Ostpolitik de DG et troisième voie prcq perd
soutien de l’ALL. Rapprochement sur une lecture différente des évènements. Vision atlantiste (la FR
ne peut pas protéger l’All seul les USA car guerre coloniale, et FR est une puissance africaine) très
présente en All qui polarise l’approche à DG. Angl refuse la CEE en 57 et monte la ELE traité de libre
echange avec pays du Nord et veut pas de perte de souveraineté. Sauf que la C anglaise est pas forte
et demande pour entrer. USA refuse un commandement partagé avec FR et UK en 58 (pour l’instant
pas de direction all). Accord de Nassau donne à UK la technologie nucléaire le 21 dec 1962. UK=
cheval de troie des USA. Veto 63 et 67. DG en 58 pas antiaméricain et quitte juste le commandement
intégré en 66. DG refuse la mise en place la majo qualitative veut unanimité dans instances euro=
Compromis du Lux et politique de la chaise vide. Les pays conservent le droit de veto. Parylisie de
l’UE