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Centre sectoriel de formation proffesionelle Denden

Rapport du stage ouvrier


à CHAKIRA CABLE
Réalisé par : Badrouni Rawia

Encadreur : Mr Anis

Année Universities : 2017/2018


A
près avoir réalisé mon stage au sein de la compagnie des faisceaux
tunisiens ,technicien en pilotage de système de production automatisé, je
tiens à remercier tout le personnel qui m’a considéré comme un membre
du groupe , m’a aidé à accomplir un stage dans un climat favorable et qui
m’a fait comprendre le déroulement des opérations et des tâches au niveau
de la société .

Je tiens à remercier M.Frikha le directeur de département maintenance, Mr


Anis qui m’a beaucoup aidé à comprendre tout ce qui m’a parut difficile
avec patience, et tous ceux qui m’ont bien accueillit et qui ont été
compréhensifs et volontaires à me donner toutes les informations utiles.

Enfin j’espère que j’étais au niveau de la tâche qui reflète la réputation des
responsables et que j’étais en bonne conduite durant toute la période de
mon stage.

Introduction …………………………………………………..
Chapitre 1 : Présentation de groupe Elloumi………………..
• Chakira câble…………………………………………..
• Gamme de production ……………………………….
• Présentation de quatre Usine ………………………
Chapitre 2 : Cycle de production et machinerie
• Ebaucheuse……………………………………………
• MM85…………………………………………………….
• Tréfileuse……………………………………………....
• Le recuiseur…………………………………………….
• Le pontin……………………………………………..
• Le bobinoir………………………………………
• Enroleur en file……………………………………….
• La TFM1……………………………………………
• La SAMP…………………………………………
• Tordonnage……………………………………………
• Extrudeuse…………………………………………….
• Tronçonnage………………………………………......
• Dévidoir………………………………………………...
• Assemblage …………………………………………..
• Le gainage et le blindage …………………………..
• Le gainage………………………………………………………..
• Le blindage………………………………………………………
• Le câblage …………………………………………….
• Le tréfilage de files en aluminium(LaM85) ………
• Le robot ……………………………………..
Chapitre4: Appareillage d’un system automates
• Alimentation et ses appareils …………………………..
• Les transformateurs……………………………………………
• Les différents types de transformateur selon leur
utilisation……………………..
• Transformation d’intensité………………………………
• Transformateur de tension……………………………..
• Transformateur triphasé………………………………….
• Les appareils de protection……………………………..
• les disjoncteurs……………………………………………
• le disjoncteur triphasé ……………………………
• Les fusibles……………………………………….
• Type de fusibles ………………………………
• Les appareils de commandes …………………….
• Les variateurs de vitesse ……………………….
• Les actionneurs ………………………….
• Les moteurs à courant continu ……………………
• le moteur asynchrone triphasé ………………………
Chapitre 3 : Service électrique
• Entretien préventif……………………………………
• Entretien curatif………………………………………
• Constitution d’un circuit de chauffage…………………
• Analyse de panne d’un circuit de chauffage ………….
• Atelier Electronique……………………………………

Conclusion……………………………………………….……….....

Être un membre au sein d’une société assez puissante et performante que


CHAKIRA CÂBLE est une réussite sur le plan pratique ainsi que le plan
professionnel.
Pendant la période de mon intégration et ma formation de base qui a
duré un mois s’étalant du 13 janvier au 06 février, en tant que un membre
de département maintenance au sein de CHAKIRA CÂBLE Tunisie, je
propose de constituer à travers ce rapport les éléments les plus importants
avec lesquels j’ai été en contact et les points clés qui font la spécialité de
CHAKIRA CÂBLE .
Dans ce rapport, on a commencé par une représentation de l’entreprise,
son historique, son organigramme, ensuite une représentation complète de
la chaîne de production et la partie concernant l’électricité dans la société.

• CHAKIRA CABLES:
La présent entreprise est une société anonyme crée en1963
appartenant à un groupe ayant un chiffre d’affaire qui atteint 240millions
d’euro.
CHAKIRA CABEL a connu un important developpement à partir de 1967
avec l’assistance technique de la societé TREFIMETEAUX
(actuellement PIRELLI) dans un primier temps, et avec l’asistancedu
groupe THOMSON (Thomson-jument-cable pour les cable d’energie et
LTT pour les cable telephonique) dans une seconde etape. Au cour de
premiéres années de son activité, l’entreprise a developpé
Une large gamme de ceble d’energie eten 1975 , elle installa la
premiere unite de fabrication de cable telephonique en tunisie ?
• Gamme de production :
Câble d’énergie BT
Cable d’énergie MT
Câble de téléphonique :
• Telephone privé
• Réseaux PTT urbains
• divers
Cable TV
Fils automobiles
Cable spécieux:
• automobile
• informatique
• Tv par satellite
• Balisage d’aéroport
• Mesure et instrumentation
• Différente application spéciale
• Présentation de quatre Usine :
• Usine1
L’usine se divise en deux parties :
• Section Extrusion
Dans cette section s’ection s’effectuent les opération suivantes :
• Assemblage ébarche
• Coronnage
• Extrusion
• Section metal
• Trefilage ebarche
• Trefilage emi finition
• Trefilage fil fin
• Cablage
• Tressage
• Usine 2
L’usine 2 est divisée en deux section :la section d’energie et la section
telephonique.
• Section telehoque :
Dan cette section se fait la producion des cable telephnique
presque tout lesgenres des cables.
• Trefilage fil fin
• Extrusion
• Assemblage
• Quartage
• Remarque : le robot c’est lui qui fait la communication entre
les parties de production de fil téléphonique et les machines
d’assemblages .
• Section d’énergie:
Dans cette section se produisent les câble de genre. Les
opérations sont :
• Assemblage
• Gainage
• Usine3
Dans cette usine on effectue spécialement deux opérations :
• Isolation
• Gainage
• Usine4
On effectue trois opérations :
• Tréfilage
• Tordonnage
• câblage

La production passée essentiellement par quatre phases de production :


ébauchage, tréfilage, tordonnage puis extrusion.
La matière primaire de CHAKIRA CÂBLE est un rouleau de fil de cuivre
de diamètre de 8mm, importé de l’Allemagne, pour obtenir à la fin de la
chaîne des brins de cuivre tordonner et isoler.
• Ebaucheuse :
C’est l’étape initiale du processus de fabrication des câbles automobiles,
elle consiste à ramenée la matière d’œuvre entrante « fil de cuivre de
diamètre de 8mm » par des passages successives à travers des filières
afin d’obtenir un fil de cuivre de diamètre de 1,6mm.
La procédure de fonctionnement est comme suit : le fil passe par un
rouleau de guidage puis par un galet qui guide le fils à travers une filière,
en diamant de forme intérieur conique caractérise par son diamètre,
instantanément le fils est tiré par un cons d’allongement afin de concevoir
un diamètre inférieure au diamètre entrant, sachant que la phase de
tréfilage possède 10 étapes de réduction de diamètre, chacune passe
par « galet du guidage, filière et cons ».
1.6
1.81
2.08
2.39
2.75
3.20
3.77
4.49
5.38
6.5
8

RQ : Le système est bien lubrifié pour faciliter le glissement de fils sur les
cons et pour assurer le refroidissement, en cas de dépassement de
chaleur, la machine s’arrête. Ensuite le fils passe par un éjecteur de
vapeur sous pression avant de sortir vers le frein puis il est stocke dans
des fûts de 80 km.

Réduire le diamètre

Lubrifiant

Fils de diamètre 1.6mm

Fils de diamètre 8mm

déchets, bavure

Ebaucheuse
• La MM85 : (machine qui diminue la section de la file qu’elle
reçoit)
MM85 est une tréfileuse-ébaucheuse qui reçoit à son entré deux files de
cuivre qu’elle traite de la même manière en parallèle

RQ : La préparation de lubrifiant se fait au sein du


CHAKIRA
• Tréfileuse :
Notre point de départ est l’ensemble des fûts, provenant de la phase
d’ébauchage, sur les quelles sont enroulées des câbles en cuivre nu de
diamètre de 1.6mm. Les tréfileuses existantes sont caractérise selon le
nombre de fils entrent donc on distingue trois types de tréfileuses:
• Tréfileuse à 24 brins à l’entrée.
• Tréfileuse à 19 brins à l’entrée.
• Tréfileuse à 16 brins à l’entrée.
Les fils entrants passent par des étapes afin d’obtenir des brins de
diamètre et caractère ajustée selon le cahier de charges
Tout d’abord le fil passe par des poulies, ensuite par des capteurs de
présence de fils, qui lors de la détection de l’absence d’un fil font arrêter
la machine, avant d’entrée dans la tréfileuse multi fil ; c’est l’organe
moteur de la machine dans le quel le câble subit une diminution de
diamètre, le fil venant du défileur est passé à travers des filières en
diamant, instantanément tiré à l’aide d’un cône d’allongement, les filières
sont placés de manière à diminuer progressivement de diamètre.
On remarque que dans ce mécanisme le fil passe par deux parties ;
une première partie est caractérisée par une vitesse lente, c’est à dire
les fils d’entrée qui sont enroulés suivant trois tours sur les cônes
d’allongement passent par une vitesse très lente qui dépend du diamètre
désiré et qui est fixée selon une fiche pilote, cette étape se fait pour éviter
toute usure ou coupure de matériau qui est encore dur et non flexible.
Au fur et à mesure de son passage sur les cônes le fil subit plusieurs
transformations au niveau de son diamètre et cela est dû aux filières qui
diminuent de moins en moins le diamètre et au niveau de son structure à
cause de l’allongement. Et une deuxième partie appelée partie rapide :
caractérisée par une vitesse rapide et seulement deux tours d’enfilage
sur les cônes.
Les deux parties décrites précédemment ne peuvent se faire qu’à
l’intervention de la lubrification, qui se fait par l’intermédiaire des tubes
d’arrosage pour les lubrifiants, qui facilite le glissement du fil sur les
cônes d’allongement et dans les filières, il permet aussi le refroidissement
du fil et la protection du diamant des filières.

Cônes d’allongement + filièreTFM1

RQ : nombre des filières utilisées sont imposé par le diamètre final obtenu,
par exemple :

21 filières Ф = 0,20mm
19 filières Ф = 0,25mm
17 filières Ф = 0,30mm
15 filières Ф = 0, 35mm

À la fin de cette phase, le fil atteint le diamètre, désiré mais il subit


quelques modifications dans sa composition mécanique (influence sur la
résistance à la rupture et le taux d’allongement). Pour ces causes, on fait
subir au câble un choc thermique : le fil passe à travers trois poulies dont
deux sont liées à la masse, celle du milieu est alimenté par une faible
tension mais avec un courant énorme, le fil sera chauffé par effet joule,
puis en le refroidit par l’eau avant de le faire entrer dans une chambre à
vapeur d’Azote pour neutralisée les molécules d’oxygènes, afin d’éviter
son oxydation dans le cas de contact avec le milieu ambiant.
Enfin on obtient un fil malléable et résistant aux conditions de
production et prêt à s’enrouler dans des bobines par l’intermédiaire d’un
système d’enrouleur + tronçonnage.

La matière d’œuvre sortante : Des bobines avec des fiches qui


caractérisent le diamètre et le nombre des brins, près a envoyé vers la
zone de tordonnage.
• Le recuiseur :
Dans le recuiseur, on fait subir un choc thermique.il passe à
travers 3poiliers dont deux sont liées à la masse, celle du
milieu est alimentée par faible tension mais avec un courant
très élevé. Le fil se chauffe par effet joule. On le refoidit
ensuite avec de l’eau avant de le faire passer dans une
chambre à vapeur d’azote pour neutraliser les molécules
d’oxygènes et éviter son oxydation dans le cas de contact
avec le milieu ambiant. On le recuit également à une
température de 500°c pour le protéger de l’humidité.
On obtient ainsi un fil maniable, résistant aux conditions de
production et prêt à être enroulé ou bobiné.
• Le pontin :
Il s’agit d’un adaptateur de vitesse entre la tréfileuse et la
réception
• Le Bobinoir :
C’est système électromécanique constitué principalement de
capteurs : un capteur indiquant présence d’un fil, un autre
détectant la présence d’une bobine et son positionnement …
la bobine est maniée à l’aide d’un levier pour atteindre la
position adéquate et une fois pleine elle est éjectée du
bobinoir.
• Enrouleur en file :
Dans certains cas les files sont enroulées sur une structure
métallique spéciale. Ce cas se presente lorsque le fil obtenu
va être traité par d’autres machines comme la TD5 qui ne
manipule que cette structure.
• La TFM1 : (machine de réassemblage de files) :

La TFM1 principalement pour rôle le rassemblage de files en


paquets de 6,7 jusqu’à 12 files formant des câble plus
résistants.

• La SAMP : (réduit la section de files en étame) : cette


machine effectue les mêmes opérations queMM85 mais elle
ne traite qu’un seul fil à la fois .Elle est surtout utilisée dans
le tréfilage de files en étame dont la étame dont la production
n’est pas aussi importance que ceux en cuivre.

Remarque : les files en étames sont utilisés pour les câbles


spéciaux pour éviter leur oxydation et les protéger des parasites.
• Tordonneuse:
C’est l’étape de fabrication des produits semi-finis, les bobines
tréfilées sont assemblées et t’ordonnées pour former l’âme conductrice
du câble électrique qui est caractérise par :
• Le nombre des brins.
• Le diamètre du brin.
• Le pas du tordonnage.

Le principe du tordonneuse est d’appliquer une torsion aux fils tout en


garantissant une avance convenable ; c'est-à-dire la vitesse de la lyre,
qui tourne au tour d’un axe fixe, et la vitesse de l’enrouleur sont
synchronisés avec le présence du système patin à l’entrée, pour évite le
cassure du fil, et le système du tronçonnage au sortit, pour assurer la
répartition du fil toronné sur la bobine, ont obtient une bobine à fil tréfilé
et toronné avec une fiche qui désigne la section du câble semi fini.
COFICAB dispose de deux types de la tordonneuses :
• Tordonneuse semi automatique : le changement du rapport
entre vitesse du lyre et vitesse de la réception se fait par
l’intervention du machiniste, car il agit sur la boite de vitesse par
changement des roux dentes.
• Tordonneuse automatique : le machiniste donne au CPU le
diamètre et le nombre des brins pour qu’il puisse calculée le pas
du tordonnage puis le rapport de la vitesse.

Corps
interne de la tordonneuse : plate forme+bobine+lyre+système du
tronçonnage

Tordonner
Bobine à fil tréfilé et tordonné
Bobine à fils tréfilé

Non tordonné dechét et bruit

Tordonneuse
La matière d’œuvre sortante est une bobine à fil t’ordonné caractérise par
son section, selon la norme et sur chaque bobine ils leur collent ça fiche
avec toute les caractéristiques pour la traçabilité et l’identification.
• Extrudeuse :
Le fil en cuivre déjà tordonné passe à travers une filière possède deux
rayons concentrique ; le rayon est traversé par le cuivre le deuxième par
la solution fondus du PVC avec un colorant selon les demandes des
clients, formant ainsi la partie isolante du câble avec sa couche isolante
qui sera refroidie dans des goulettes d’eau, et séchée grâce aux
sécheurs et buse d’aire.
Pour détection des anomalies et pour améliore la qualité le fil passe à
travers des appareils de contrôle à base des capteurs telle que :
• Le contrôleur de diamètre :Cette appareil détecte s’il y a une
dépassement supérieur ou inférieur du deux taux de diamètre par
une scrutation de l’objet à mesurer au mayen d’un rayon laser
absolument parallèle qui traverse la zone de mesure de haut en
bas. L’ombre projetée est saisie électriquement et convertie en un
signal électrique puis affiché numériquement.
• Le contrôleur de nœuds : Cette appareil peut contrôler
l’alignement du fil par une méthode fiable; une lampe de
projection spéciale est utilisée comme source de lumière
homogène, le câble à mesurer est éclairé sous deux axe (X, Y)
forment un angle de 90° entre eux, le rayon lumineux converge
sur une diode photo réceptrice, cette quantité de lumière est
transformes en tension et traitée par l’unité électronique pour
détecter les fautes.
• Le spark tester :Cette appareil a pour rôle de détecte les
emplacements nus et les défauts de la couche isolante, il faut
pour cela que le conducteur interne du produit à tester et le spark
tester soient mis à la terre et que le câble passe par une
électrode d’essai à haute tension, en cas de défaut d’isolation,
une tension d’amorçage prend naissance entre l’électrode de
teste et le conducteur interne, alors le spark tester enregistre un
défaut d’isolation.
Enfin, le fil arrive à la partie de réception ou il sera bobiné dans des
bobines plastiques, s’il n’a pas de défaut le produit fini sera stuqué dans le
magasin si non on passe à la partie de dévidoir avec une étiquette qui
montre le type de défaut.
• La filière:
Le rôle principal que doit jouer une filière d’extrusion est de fournir à la
sortie de l’outillage un produit de dimension donnée, parfaitement
uniforme du point de vue des débits et des températures. Cela est
particulièrement important pour les phases qui suivent l’extrusion
proprement dite (étirage, conformation, refroidissement...) pour lesquelles
toute hétérogénéité en sortie de filière ne pourrait qu’être aggravée et
conduire à un produit incorrect.
L’écoulement dans une filière est donc un problème de distribution et
la conception géométrique de ces outillages doit permettre de réaliser
cette distribution au mieux, pour des conditions de débit le plus élevé
possible.
Le câble ou le conducteur à isoler est guidé par le poinçon et se déplace
perpendiculairement à l’extrudeuse, d’où le nom de filière en tête
d’équerre. Le polymère est réparti autour du poinçon, généralement grâce
à un canal de répartition, puis il est cisaillé entre la paroi de la filière et le
conducteur en mouvement.

_ Une filière _
Isoler les fil
Fil isolé

PVC

Fil non isolé

Déchet,

chaleur

Extrudeuse

La ligne d’extrusion
• Tronçonnage :
Le tronçonnage est un mouvement linéaire qui assure la répartition du
câble sur la bobine, on affirme donc que la bonne répartition est liée à la
bonne synchronisation de la vitesse linéaire du tronçonnage avec la
vitesse de l’enrouleur, Chaque enrouleur est suivit d’un système de
tronçonnage qui fait des mouvements vas et vient limites par deux
capteur fin de course qui désigne la longueur du bobine ainsi que le
temps de renverser le sens de rotation du moteur.

• Dévidoir:
La matière d’œuvre entrent est une bobine à fil isolé avec une
étiquette ‘STOP’ qui désigne un défaut capté par l’extrudeuse, le rôle de
cette machine est le dévidage de certains Conipack refusées au cour de
la phase d’isolation.
À la cour du fonctionnement normale du dévidoir si l’un du détecteur
de défaut capte ; un dépassement de diamètre, un nœud ou un
claquage, le mécanisme s’arrêt et autorise au
m machiniste de supprimer les défauts en coupant 10mètres dans la
parti défectueuse.
• Assemblage
Les câble de 2à4 files tel que : les lignes téléphoniques, les
câbles paraboles, les câbles spéciaux et réseau sont réalises
en assemblant des files préalablement gainés

Parmi ces machines on peut citer l’AS8 qui assemble 8 paire


files avec un film transparent appelé la lupe, ainsi que la
quarteuse (SETIC) qui comme son nom assemble 4files pour
en faire un fil téléphonique.
• Le gainage et le blindage :
Le gainage consiste en l’enveloppement du fil ou du câble avec
un mélange de plastique, de colorant adéquat et de silane selon
la procédure schématisée ci-après :

Le plastique ainsi que le silane (substance chimique qui


protège le câble contre la chaleur, l’eau, l’humidité…et qui fixe
la plastique sur le fil de cuivre) arrivent parla trémie ; mélangés
au colorant, ils passent par le four pour envelopper le fil.

La température augmente d’un collie au suivant afin que le


plastique froid pousse le plastique chaud à avancer jusqu’au
poinçon et par suite à la filière. Ces deux dernières ont pour
rôle de fixer le fil au centre de l’appareil pour avoir une
répartition uniforme du plastique

Les températures sont fixées par le machiniste selon le type et


l’utilisation du plastique.

Le câble est ensuite refroidi dans une goulotte à eau.

Il existe deux types de graineuses : les BP qui effectuent le


gainage de câbles torsadés.

Le blindage consiste en l’enveloppement du câble après le


gainage par une couche de cuivre qui va constituer une armure
le préservant contre les parasites.il est par la suite
<<rengainé>>.
Il existe deux machines effectuant cette opération L’AR1
et L’AR2
• Le câblage :
Le câblage est l’enroulement des câbles dans des bobines
autrement dit le bobinage.
• Le tréfilage de files en aluminium(La M85) :
Les mêmes opérations citées au paravent sont effectuées sur
des files en Aluminium ou en Almélec
• Le robot
Les câbles téléphonique, spéciaux et autre sont rassemblés
selon une combinaison de couleur de couleur spécifiée par le
client. Cette combinaison diffère d’un client à l’autre. Pour
faciliter le changement de combinaisons l’entreprise se sert
d’un robot qui déplace les bobines de couleur adéquate des
rayons de stockage vers la machine en question.
Chaque couleur de fil est stockée dans une case invariante
possédant une adresse connue par le robot qui calcule à
chacune de ses positions la distance qu’il doit parcourir pour
atteindre la case réclamée par l’opérateur. Il transforme ensuite
cette distance calculée en une commande électrique grâce à
un système de décodeur.
• Alimentation et ses Appareils :
• Les transformateurs
Un transformateur électrique (parfois abrégé en transfo) est un
convertisseur permettant de modifier les valeurs de tension et d'intensité
du courant délivrées par une source d'énergie électrique alternative, en
un système de tension et de courant de valeurs différentes, mais de
même fréquence et de même forme. Il effectue cette transformation avec
un excellent rendement. Il est analogue à un engrenage en mécanique
(le couple sur chacune des roues dentées étant l'analogue de la tension
et la vitesse de rotation étant l'analogue du courant).
On distingue les transformateurs statiques et les commutatrices. Dans
un transformateur statique, l'énergie est transférée du primaire au
secondaire par l'intermédiaire du circuit magnétique que constitue la
carcasse du transformateur. Ces deux circuits sont alors magnétiquement
couplés. Ceci permet de réaliser un isolement galvanique entre les deux
circuits. Dans une commutatrice, l'énergie est transmise de manière
mécanique entre une génératrice et un moteur électrique.
• Les différents types de transformateur selon leur
utilisation :
• Transformation d’intensité:
un transformateur de courant est « un transformateur de mesure dans
lequel le courant secondaire est, dans les conditions normales d'emploi,
pratiquement proportionnel au courant primaire et déphasé par rapport à
celui-ci d'un angle voisin de zéro pour un sens approprié des
connexions1 ».
La notion de « transformateur de courant » est un abus de langage,
mais elle a été popularisée dans l'industrie. L'expression « transformateur
d'intensité » est sans doute plus exacte. On utilise fréquemment les
abréviations TC ou TI.
Il se destine à la mesure de courant alternatif à fréquence industrielle,
pour le courant continu ou la haute fréquence il faut utiliser un shunt2.
Ils sont soit montés de manière séparée sur un isolateur propre (voir
photo), soit placés dans les dômes des traversées des transformateurs
de puissance.

• Transformateur de tension
Un transformateur de tension est un « transformateur de mesure dans
lequel la tension secondaire est, dans les conditions normales d'emploi,
pratiquement proportionnelle à la tension primaire et déphasée par
rapport à celle-ci d'un angle voisin de zéro, pour un sens approprié des
connexions »1.
Il s'agit donc d'un appareil utilisé pour la mesure de fortes tensions
électriques. Il sert à faire l'adaptation entre la tension élevée d'un réseau
électrique HTA ou HTB (jusqu'à quelques centaines de kilovolts) et
l'appareil de mesure (voltmètre, ou wattmètre par exemple) ou le relais
de protection, qui eux sont prévus pour mesurer des tensions de l'ordre
de la centaine de volts.
• Transformateur triphasé
Dans les réseaux électriques triphasés, on pourrait parfaitement
envisager d'utiliser 3 transformateurs, un par phase. Dans la pratique,
l'utilisation de transformateurs triphasés (un seul appareil regroupe les 3
phases) est généralisée : cette solution permet la conception de
transformateurs bien moins coûteux, avec en particulier des économies
au niveau du circuit magnétique. Les transformateurs monophasés ne
sont en fait guère utilisés, sauf pour de très grosses puissances
apparentes (typiquement supérieures à 500 MVA), où le transport d'un
gros transformateur triphasé est problématique et incite à l'utilisation de 3
unités physiquement indépendantes.
• Les appareils de protection :
• les disjoncteurs
Un disjoncteur est un dispositif électromécanique, voire
électronique, de protection dont la fonction est d'interrompre le
courant électrique en cas d'incident sur un circuit électrique. Il est
capable d'interrompre un courant de surcharge ou un courant de
court-circuit dans une installation. Suivant sa conception, il peut
surveiller un ou plusieurs paramètres d'une ligne électrique. Sa
principale caractéristique par rapport au fusible est qu'il est
réarmable (il est prévu pour ne subir aucune avarie lors de son
fonctionnement).
• Le disjoncteur triphasé :
disjoncteur d’alimentation à trois bornes) sépare l’automate de
l’alimentation afin de protéger l’automate.
Le disjoncteur triphasé est lié mécaniquement à in contact de
sécurité. Ce contact de sécurité fait partie du circuit de
commande contrairement au disjoncteur.
Lorsque le disjoncteur saute, le contact de sécurité qui y est lié
en parallèle commande la machine à l’arrêt. Cette liaison assure
donc une meilleure protection des appareils de la machine.
Les disjoncteurs utilisés dans les machines sont de type
thermique. Leur principe de fonctionnement est le suivant :
Le courant traverse le disjoncteur où des spires de fil chauffent
par effet joule un bilame, si l’échauffement devient suffisamment
important, le bilame se déclenche interrompant ainsi le courant.
La protection thermique a pour principale fonction la protection
des conducteurs coutre les échauffements dus aux surcharges
prolongées de l’installation.
• Les fusibles
Un fusibles est un organe de sécurité dont le rôle est
d’interrompre le courant électrique dans le circuit électrique qu’il
protège en cas de défaut .son nom vient de fait qu’il fonctionne
par fusion d’un filament.
Il est, en effet principalement constitué d’une bande de métal qui
fond à une température donnée.
• Type de fusibles :
Il existe principalement types de fusibles :
Le fusible à usage général (fusible gG) offrant une protection
contre les surcharges et les courts –circuits le plus courant en
domestique
Le fusible accompagnement moteur (fusible Am) qui est utilisé
pour la protection contre les courts circuits uniquement (souvent
associé à un autre élément protégeant contre les surcharges),
utilisé principalement dans l’industrie pour la protection des
charges à fort courant de pointe (moteurs, primaires de
transformateurs entre autres)
Le fusible à fusion ultra –rapide pour la protection des semi-
conducteurs (de manière que le fusible protège le semi-
conducteur et non l’inverse)
• Les appareils de commandes :
• Les variateurs de vitesse
lorsque une application demande une adoption du couple ou de la
vitesse ;un contrôle lors d une phase d’accélération et de
décélération ;moteur et associé a un variateur de vitesse est un
équipement électrotechnique alimentant un moteur électrique de façon à
pouvoir faire varier sa vitesse de manière continue de l’arrêt jusqu’ a sa
vitesse nominale .la vitesse peut être proportionnelle a une valeur
analogique fournie par un potentiomètre, ou par une commande
externe :un signal de commande analogique ou numérique issue d’une
unité de contrôle .
• Les actionneurs :
• Les moteurs à courant continu :
Principe de fonctionnement du moteur à courant continu :
Le moteur à courant continu comprend deux parties :
-l’armature fixe (appelée stator ou inducteur ) constituée par un
enroulement parcouru par un courant ll ou par un aimant
permanent créant le champ d’excitation bs .
L’armateur mobile (appelée rotor ou induit )comporte des
conducteurs parcourus par un courant 12 continu .l’alimentation
est faite par l’intermédiaire d’un collecteur sur lequel glissent
les balais .sous l’action du champ bs, ces conducteurs sont
soumis à une force créant le couple moteur.
Le rôle du collecteur
le collecteur est sort d’interrupteur qui modifie
La direction du courant dans le bobinage en rotation, le courant
se déplace de source au moteur qui retourne à la source
toujours dans même sens.
Avantage
• La variation de vitesse et facile.
• Son couple est important abaisse vitesse et contrôler

Inconvénients
• Son cout est moyen ou élevé.
• Son échauffement est important.
• Le poids de l’ensemble moteur-variateur-self est important.
• le moteur asynchrone triphasé
Le moteur asynchrone triphasé, qui est le récepteur de puissance
des installations industrielles, est formé d'un :
Stator : la partie fixe du moteur. Il comporte trois bobinages (ou
enroulements) qui peuvent être couplés en étoile Y ou en triangle
∆ selon le réseau d'alimentation.
Rotor : la partie tournante du moteur. Cylindrique, il porte soit un
bobinage (d'ordinaire triphasé comme le stator) accessible par
trois bagues et trois balais, soit une cage d'écureuil non
accessible, à base de barres conductrices en aluminium.
Branchement du moteur asynchrone triphasé

Le service électrique s’occupe de la maintenance des machines


de Production et Assure la gestion et L’entretien électrique et
électronique afin d’optimiser L’état de fonctionnement des
équipements et de leur mise à disposition.
Informer le BTM des travaux effectués et de la mise à jour des
plans.
Participer au contrôle des appareils en cours de montage aux
essais de démarrage ainsi qu’à leur réception. Pour réduire le
taux dépannages
• L’entretiens préventif ( Tavaux programmés)
L’entretiens sont programmés par un logiciel GMAO (gestion de
maintenance assistée par ordinateur) Il concerne à titre
d’exemple le contrôle des moteurs à C.C :
Nettoyage et soufflage à l’air comprimé sec.
Libre mouvement des balais : la différence entre le long des deux
balais dépasse 5 mn informer de BTM.
Etat de collecteur : nettoyage des traces de graisse sur le
collecteur avec un chiffon propre et sec contrôle usage)
Porte balais : Les balais doivent être libres pour assurer Le bon
contrat entre collecteur et les balais
Changement de filtre
Nettoyage du ventilateur.
Compteur horaire : élever la valeur du compteur horaire au
moment de chaque contrôle.
• L’entretien curatif (Dépannage)
Le dépannage se fait toujours à travers un D.T.E. (demande de
travail d’entretien) qui et rempli par le service demandé
(production où autre)
• Constitution d’un circuit de chauffage :
• Un circuit de chauffage et constitué de :
• Régulateur de chauffage (température)
• Relais statiques
• Eléments de chauffe
• Thermocouple
• Ventilateur
• Eléments de protection (fusible disjoncteurs…)
• Connections (câbles, fiches)

• Analyse de panne d’un circuit de chauffage :


• les différentes anomalies :
• fusible mal choisi
• Mauvaise raccordement du thermocouple
• Mauvais contact du thermocouple avec le corps

• Atelier Electronique:
Le Laboratoire électronique et équipé de matériels et des appareils
sophistiqués pour la réparation des cartes électroniques d’un ensemble ou
sous ensemble électroniques des machines de la société ou du groupe
CHAKIRA.
• Fonctionnement Atelier Electronique:
• Réparer toutes les cartes électroniques.
• Assurer l’utilisation correcte des appareils de mesure.
• Faire le suivi de stock des composants électroniques.
• Faire l’étalonnage des appareils de contrôle montés sur machines
• Prendre toutes les mesures nécessaires de sécurité afin d’éviter
les accidents.
• Demande de travail et Rapport de réparation électronique:
Toute carte électronique transmise au laboratoire électronique. Pour
réparation devrait faire l’objet d’une demande de travail pour le
laboratoire (DTL). Cette demande est enregistrée sur le registre
d’ordonnancement.
La carte électronique est identifiée par une étiquette comprenant (N°
DTL/ année) Et à la suite de chaque intervention sur un carte
électronique le Technicien de Laboratoire rempli un rapport de
Réparation Electronique

Conclusion
CHAKIRA KABLE est l’une des entreprises les plus
potentielles sur le plan international dans la fabrication des
câbles . Ainsi, la réalisation d’un stage au sein de cette structure
hiérarchique m’a permet d’acquérir une meilleur adaptation à la
vie professionnelle.
Ce stage m’a initié au monde de la vie pratique et il m’a donné
l’opportunité de gérer mon savoir faire pour des meilleures
résultats au sein de l’entreprise. C’était pour moi la meilleure
occasion pour l’approfondissement de mes connaissances
technique tout en bénéficiant d’un équipement professionnel très
développé ainsi que d’un encadrement instructif de haut niveau.
Enfin, j’espère vraiment que les autres stagiaires auront la même
occasion pour découvrir une telle entreprise pour une meilleure
application de leurs connaissances théoriques de base.

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