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Année universitaire 2018-2019

Enseignement : Les Métiers de la psychologie


Professeur Farid El Massioui

Document numéros 2

Le psychologue est amené à exercer sa profession avec des populations variées. Cela va de l’enfant
à la personne âgée. Ces populations peuvent être saines ou malades, comme elles peuvent avoir des
besoins spécifiques. Les champs d’intervention du psychologue sont divers : milieu scolaire ou de
loisirs, hospitalier ou professionnel, … etc.
Comme la majorité des professions où l’on a affaire à des personnes, la profession de
‘psychologue’ est régie par une déontologie (http://www.sfpsy.org/IMG/pdf/Code-deonto2012.pdf)
élaborée en 1996 et réactualisée régulièrement.
Dans les professions comme celles de ‘psychologue’, il est nécessaire que le professionnel respecte
certaines règles d’éthique dans sa relation avec le patient ou la personne qui sollicite ses services.
Ces règles qui sont en réalité un code de conduite encadrent et préservent la nature de cette relation.
Le professionnel doit être conscient du bien fondé de son approche, de ses méthodes de travail et/ou
des thérapies qu’il propose. Dans l’exercice de sa profession, le psychologue doit impérativement
veiller au respect total et non négociable de la personne qui sollicite ses services. Il doit en respecter
et préserver l’intégrité physique, psychique et morale. La conformité à la déontologie s’applique au
psychologue professionnel comme elle s’applique également aux stagiaires en psychologie. Les
étudiants qui s’engagent dans les études de psychologie doivent en prendre connaissance, se
renseigner auprès de leurs référents pour se faire expliquer ce qui peut leur échapper. L’analogie
avec le dicton « nul n’est censé ignorer la loi » s’applique dans ce cas aussi.

DEVENIR PSYCHOLOGUE
A l’arrivée à l’université, les étudiants qui choisissent la psychologie ont une représentation souvent
erronée de la profession de psychologue. La majorité des étudiants vise le champ de la psychologie
que l’on pratique en milieu hospitalier en général ou celle que l’on voit se pratiquer sur un divan.
Dès les premières semaines de cours, les étudiants s’aperçoivent qu’il s’agit dans le premier cas de
la psychologie clinique et dans le second de la psychanalyse. Comme souligné précédemment (voir
document 1) la psychanalyse est un cursus indépendant en général de celui de la psychologie. Il est
proposé en tant que tel dans certaines universités seulement. La psychanalyse peut en revanche être
enseignée en tant que matière parmi d’autres dans le cursus de psychologie classique.
La psychologie clinique fait partie des différentes sous-disciplines que l’étudiant va découvrir le
long du cursus. L’analogie qui permet d’illustrer les différentes dimensions de la psychologie est
celle de la médecine. A l’image de la médecine qui comporte différentes spécialités (médecine
générale, cardiologie, ophtalmologie, médecine interne, rhumatologie, … etc.), la psychologie se
décline également sous différentes sous-disciplines. Chacune de ces sous-disciplines correspond à
un champ spécifique. Dans le document 1, nous avons donné un bref aperçu des champs en
questions. La bibliographie à la fin du présent document complétera l’information.

Principaux profils de psychologues en fonction de leurs spécialités :


Le psychologue clinicien s’attache à comprendre, la personne dans sa spécificité individuelle. Il
tente de décortiquer le fonctionnement de cette personne en analysant « ses relations
interpersonnelles, son imaginaire, ses émotions et son fonctionnement cognitif » (Angel, 2007 in
Décaudain & Ghiglione, 2013).
Selon la structure et le contexte et la personne en face de lui, le psychologue clinicien peut utiliser
différents outils : l’observation, l’entretien, les tests, les échelles. A côté de ces outils, le
psychologue peut compléter son approches en se formant à d’autres méthodes spécifiques telles que
l’hypnose, la relaxation, les thérapies cognitivo-comportementales (dites TTC) ou autres.
Le neuropsychologue exerce la plupart du temps sa spécialité au sein d’un service de neurologie.
La neuropsychologie est la spécialité de la psychologie qui étudie les perturbations cognitives,
émotionnelles et/ou comportementales liées à des dysfonctionnements des structures cérébrales.
Le neuropsychologue procède souvent à l’évaluation des patients. Pour cette évaluation, il utilise,
suite à l’entretien clinique des batteries de tests selon les perturbations observées, rapportées par le
patient ou par son entourage. Dans son évaluation, le neuropsychologue s’attache à mettre en
évidence les troubles cognitifs, émotionnels et/ou comportementaux pouvant être reliées à des
dysfonctionnements fonctionnels ou lésionnels. Sur la base du bilan neuropsychologique élaboré
par le neuropsychologue, le neurologue pose un diagnostic et prescrit, si nécessaire, un protocole
thérapeutique.
Le neuropsychologue peut exercer également dans d’autres services (psychiatrie, consultation
mémoire, réanimation) ou d’autres structures (centres de soin de suite, centres de rééducation ou de
réadaptation fonctionnelle ou dans des maisons de retraites). Il peut aussi exercer en cabinet libéral.
Le psychologue du développement est comme son nom l’indique spécialisé dans le
développement de l’individu. Il maîtrise les processus du développement affectif, cognitif et social
de l’individu, de la naissance à l’âge adulte. Il est en mesure de détecter les retards ou troubles de ce
développement. Il peut également prédire des attitudes ou comportements en mettant en relief
certaines causes ou raisons de changement(s) dans la vie de l’individu. Il peut examiner les
contextes et les facteurs pouvant provoquer certains comportements et favoriser ou entraver le
développement de l’individu.
Comme souligné dans le document 1, l’augmentation de l’espérance de vie a amené le psychologue
du développement à s’intéresser à l’évolution de l’individu bien au delà de l’âge adulte. Le
troisième et le quatrième âge ont allongé l’étendu de cette évolution. Dans ces dernières tranches de
la vie de l’individu, on assiste souvent à certaines diminutions ; voire pertes de certaines capacités.
C’est une sorte d’image inverse par rapport aux premières tranches de développement de l’individu
où on assiste plutôt à l’éclosion des capacités et à leur consolidation. C’est la raison pour laquelle
on parle de phénomène d’involution opposé à celui d’évolution en début de vie. Comme en
médecine, l’apparition de nouvelles spécialités s’occupant des personnes âgées (gériatrie et
gérontologie), en psychologie on assiste à l’apparition de nouvelles formations et à la spécialisation
de certains professionnels en psychologie du vieillissement ou psycho-gérontologie. L’évolution
des connaissances et la nécessité d’apporter des réponses appropriées et pertinentes a ainsi amené le
développement de nouveaux champs de compétences. C’est la raison pour laquelle on utilise
l’expression développement vie entière ou life span en anglais.
En raison de son large champ de compétences, le psychologue du développement peut exercer dans
les services hospitaliers destinés aux enfants, aux adolescents, ou bien aux personnes âgées. Il peut
également intervenir dans les structures spécialisées dans les différentes tranches de la vie de
l’individu.

Le psychologue cognitiviste travaille dans le champ de la recherche où dans des cabinets où l’on
s’appuie principalement sur la connaissance des processus cognitifs. C’est le cas de bureaux d’étude
où on conçoit de nouveaux dispositifs (machine délivrant les titres de transport par exemple), de
nouveaux logiciels ou la mise en place de signalisations pour le déplacement dans un espace public.
Le psychologue cognitiviste peut aussi apporter son expertise pour la conception de nouveaux
parfums, de nouveaux produits cosmétiques, dans le domaine de la publicité, …etc.

Le psychologue du travail s’occupe du recrutement, de l’orientation professionnelle, de la


formation et du conseil. Il doit veiller théoriquement à préserver le bien être du travailleur tout en
respectant les exigences de la productivité.
Dans le domaine des ressources humaines, le psychologue gère le personnel et les carrières. Il
définit les profils de postes et participe au recrutement. Dans la tâche de recrutement, c’est au
psychologue que revient la responsabilité de veiller à cerner les aptitudes et la personnalité du
candidat. Quand le psychologue s’occupe de l’organisation du travail, doit évaluer les contextes,
identifier les difficultés (mauvaises conditions de travail, conflits latents ou avérés) et les points
forts. Il peut ensuite proposer les changements de nature à améliorer la satisfaction des employés et
garantir la productivité.
Le psychologue spécialisé en psychologie/ergonomie peut travailler dans une entreprise comme il
peut travailler dans un cabinet assurant des prestations pour les entreprises ou pour des collectivités.
Il s’assure que les conditions de sécurité sont réunies dans les postes de travail. Il peut participer à
concevoir des dispositifs de travail, comme il peut être amené à faire des diagnostics sur le
fonctionnement dans un lieu de travail.
Les différentes spécialités de la psychologie sont en réalité des parcours que l’étudiant choisi
au niveau du master. Le titre ‘générique’ délivré au bout des cinq années d’études de
psychologie en France est bien entendu celui de Psychologue.

LES LIEUX D’EXERCICE DU PSYCHOLOGUE

La Protection Maternelle Infantile (PMI)


Les structures de la PMI ont été créés en 1945 au sortir de la guerre. Il fallait lutter contre la
mortalité maternelle et infantile. Leurs missions étaient : i- la protection maternelle avant et après la
naissance ; ii- initier des actions de prévention médico-sociale destinées aux mères ; iii- assurer la
protection infantile pour les enfants de 0 à 6 ans ainsi que le suivi de prévention des enfants
(vaccination, orientation, dépistage des troubles physiques, sensoriels, psychologiques).
Les antennes de la PMI s’occupent également des modes d’accueil des enfants (famille d’accueil,
nourrices, crèches, accueil de loisirs). Elles ont un rôle de conseil dans la planification et la
contraception. Elles enregistrent les déclarations de grossesses et délivrent les certificats de santé
des enfants (8ème jour, 9ème et 24ème mois).
On trouve au sein de ces structures une équipe médico-sociale pluridisciplinaire : un-e médecin
pédiatre, un(e) psychologue, un(e) infirmier(ière) spécialisé(e) en puériculture un(e) ou plusieurs
assistant(es) social(es). L’équipe peut aussi comprendre des auxiliaires de puériculture, une sage
femme, une psychomotricienne, un ou une conseiller (ère) conjugal(e) et des éducatrices de jeunes
enfants. Le rôle du psychologue dans les structures de la PMI est de détecter les troubles précoces
de l’enfant et de proposer selon les cas une prise en charge thérapeutique pour l’enfant, la mère ;
voire pour l’ensemble de la famille. Les antennes de la PMI sont rattachées au conseil général.
CRECHE
Il existe différentes « formules » de crèches. Leur mission est l’accueil et la garde des enfants âgés
de quelques mois à trois ans. Après la famille, c’est le premier lieu de socialisation de l’enfant. Ces
structures font appel à des psychologues qui souvent y exercent à temps partiel. Le psychologue
assure en premier une mission de suivi du développement de l’enfant. A côté de ce type
d’intervention, le psychologue a un rôle dit institutionnel. Il soutient l’équipe dans son travail
auprès des enfants. Il permet aux personnel de la crèche d’exprimer son vécu souvent chargé
émotionnellement (colère, fatigue). Il intervient en cas de difficultés d’adaptation d’enfants à la
structure. Il peut conseiller les parents qui le souhaitent et leur proposer d’être orientés si nécessaire
vers des prises en charge ou structures spécifiques.

MILIEU SCOLAIRE
Psychologue de l’Education Nationale
Une réforme récente impose d’être titulaire d’un master 2 en psychologie pour être psychologue
dans les établissements d’enseignement publique.
Un corps unique regroupe dorénavant les psychologues du premier degré, les Conseillers
d’Orientation Psychologues (COP) et les directeurs de Centres d’Information et d’Orientation
(CIO).
Après le concours, des formations seront proposées dans des centres universitaires spécifiques.
L’affectation à un poste se fera en fonction d’une spécialisation (Education, développement et
apprentissages ; Education, développement et conseil en orientation scolaire et professionnel par
exemple).
A l’école maternelle et ou élémentaire et avec des modalités légèrement différentes dans le
secondaire, le psychologue assure la prévention de l’échec scolaire. Il peut contribuer à
l’élaboration du projet pédagogique de l’école. Il mène la réflexion sur l’orientation des élèves en
difficultés ou en échec. Il s’assure de la collaboration avec l’élève, les enseignants, la famille et de
toute autre personne impliquée dans la prise en charge de l’enfant. Au collège, le psychologue peut
faire des entretiens individuels, des séances d’information. Il peut participer aux conseils de classe
et éventuellement à l’organisation des forums des métiers.

L’aide sociale à l’enfance (ASE) est le service départemental qui a pour mission de protéger les
enfants et les adolescents qui sont en danger dans leur famille. La première mission de ce service
est de détecter et d’évaluer les signes de souffrance de l’enfant au sein de sa famille. Le rôle du
psychologue, formée au phénomène de la maltraitance et à ses conséquences sur le développement
de l’enfant est déterminant. Au constat d’une maltraitance et/ou de la souffrance de l’enfant, le
professionnel alerte la justice qui peut ordonner de retirer l’enfant de son milieu familial et de le
placer dans une famille d’accueil ou dans un établissement d’éducation spéciale (foyer de l’ASE par
exemple). C’est le psychologue qui assure l’accompagnement de l’enfant dans son nouvel
environnement de vie. Il peut arriver que l’enfant soit maintenu dans sa famille, mais qu’un suivi
spécifique soit mis en place. Le psychologue exerce ce suivi avec l’aide de travailleurs sociaux dans
le cadre d’associations d’assistance éducative en milieu ouvert (AEMO).

STRUCTURES SPECIALISE DANS L’ACCUEIL DE PERSONNES (ENFANTS OU JEUNES


ADULTES) A BESOINS SPECIFIQUES.

Les centres d’action médico-sociale précoces (CAMSP) sont destinés aux enfants de moins de 6
ans qui présentent des handicaps sensoriels, moteurs et/ou mentaux. C’est le psychologue qui
effectue l’évaluation, la prise en charge de l’enfant et à l’accompagnement des parents. Il s’appuie
dans cette mission sur une équipe pluridisciplinaire.
Les instituts médico-éducatifs (IME) s’adressent aux personnes de 3 et 20 ans souffrant de
déficiences intellectuelles et de polyhandicaps. Les enfants âgés de 3 à 14 ans sont accueillis dans
les Instituts médico-pédagogiques (IPM). Les Instituts médico-professionnels (IMPRO) sont
réservés aux adolescents et les jeunes adultes.

Les centres médico-psycho-pédagogiques (CMPP). Sont accueillis dans ce type de structures des
enfants et des adolescents avec un retard de développement, avec des difficultés d’apprentissage
et/ou des troubles du comportement. Le psychologue prend en charge ces personnes
individuellement ou en groupe. L’accompagnement peut impliquer la famille. Dans les CMPP, on
trouve également des équipes pluridisciplinaires dont le regard multiple assure la réussite de la
prise en charge et de l’accompagnement de l’enfant.

Certains enfants peuvent être pris en charge à leurs domiciles ou dans leurs lieux de vie (crèche,
école, centre de vacances, etc.). Dans ce cas, ce sont les services d’éducation spéciale et de soins à
domicile (SESSAD) qui conseillent et accompagnent les familles. Ils veillent à l'intégration scolaire
et à l’acquisition de l'autonomie des enfants et des adolescents grâce à des moyens médicaux,
paramédicaux, psychosociaux, éducatifs et pédagogiques adaptés. Ces structures peuvent être
spécialisés selon le handicap des enfants. Là aussi, le psychologue travaille en équipe pouvant
comprendre par exemple des ergothérapeutes, des orthophonistes et/ou des kinésithérapeutes.

Les centres médico-psychologiques (CMP) sont des structures rattachées à des structures
hospitalières. Ils sont spécialisés dans les pathologies mentales. Le psychologue qui y exerce fait
partie d’une équipe pluridisciplinaire comprenant cette fois un ou une psychiatre. Il reçoit les
patients seuls ou avec leurs proches et met en place une action thérapeutique.

Les établissements et services d’aide par le travail (ESAT), anciennement appelés centres d’aide
par le travail (CAT), sont destinés aux adultes handicapés qui ne peuvent pas avoir une activité
professionnelle ‘normale’. L’ESAT offre des conditions de travail particulières. Le temps et les
conditions de travail sont adaptés aux capacités des personnes. Il s’agit plus d’offrir aux patients
une possibilité de s’épanouir par le travail que d’exiger d’eux une rentabilité quelconque. Les
personnes sont cependant rémunérées en fonction de leur investissement. Le psychologue assure le
suivi et l’insertion du patient à ce milieu.

Les établissements d’hébergement pour personnes âgées (EHPAD) sont réservés aux personnes
âgées qui, en raison d’une perte d’autonomie physique ou psychique, ne peuvent plus rester chez
elles. L’une des conséquences de l’allongement de l’espérance de vie fait que la population des ces
établissement relève plutôt de ce qu’on appelle maintenant le ‘grand âge’, c’est-à-dire au delà de 75
ans. Cela conduit dans certains cas à avoir des établissements qui se trouvent spécialisés dans
l’accueil de personnes souffrant de maladies neurodégénératives telles que la maladie d’Alzheimer
ou la maladie de Parkinson. Ces maladies sont des pathologies liées au vieillissement. Dans tous ces
établissements on trouve maintenant des psychologues. Ils prennent en charge les patients, les
accompagnent dans ce processus de deuil de leur vie d’avant et dans leur adaptation à un nouveau
mode de vie. Le psychologue met en place des ateliers de type ‘atelier mémoire’ afin de retarder les
déficits mnésiques en activant le processus de réminiscence. Il joue également un rôle institutionnel
dans le sens où il apporte un soutien au personnel et aux familles des résidents.

Les centres de rééducation


Après des accidents domestiques ou de la circulation comme après un accident vasculaire cérébral,
le patient se trouve souvent orienté vers des structures appelées ‘centres de soins de suite et de
réadaptation (CSSR). Ces centres ont pour mission d’apporter au patient les soins nécessaires pour
se relever d’un traumatisme ou d’une intervention chirurgicale. C’est en général une équipe
pluridisciplinaire qui prend le patient en charge. Cette prise en charge est souvent intensive afin de
permettre au patient de récupérer au maximum ses capacités d’avant. Cela se traduit souvent par
une démarche active de rééducation fonctionnelle, le but étant que le patient retrouve ses capacités
cognitives, motrices et psychique pour espérer retrouver son fonctionnement d’avant. Le
psychologue et le neuropsychologue ont un rôle particulièrement déterminant dans ce type de
structures.
Pour aller plus loin :
Ouvrages
Ballouard, C. (2009). L'aide-mémoire du psychologue : métier, pratiques, enjeux, les fondements
de la discipline, les métiers de la psychologie, les domaines d'intervention. Paris : Dunod.
Bourguignon, O. (2012). Éthique et pratique psychologique. Wavre : Editions Mardaga.
Bourguignon, O., & Pédinielli, J-L. (2009). La déontologie des psychologues. Paris : Armand Colin.
Chéneau, S., & Ourlin B. (2009). Les métiers de la psychologie : le guide 2010-2011. Paris :
L’Etudiant.
Décaudain, M., & Ghiglione, R. (2013). Les métiers de la psychologie. Paris : Dunod. - Mareau, C.,
Vanek , A., & Vigny, A. (2010). Les métiers de la psychologie. Levallois-Perret : Studyrama.
Clément, C., & Demont ; E. (2013). La psychologie du développement en 20 grandes notions. Paris :
Dunod.
Delourme, A., & Marc ; E. (2014). Pratiquer la psychothérapie. Paris : Dunod.
Duflot, C. (1999). L'expertise psychologique : procédures et méthodes. Paris : Dunod.
Fischer, G-N. (2010). Les concepts fondamentaux de la psychologie sociale. Paris : Dunod.
Fua, D. (2002). Le métier de psychologue clinicien. Paris : Nathan.
Kédia, M., & Sabouraud-Séguin, A. (2013). L'aide-mémoire de psycho-traumatologie. Paris : Dunod.
Lemoine, C. (2012). Psychologie du travail et des organisations : domaines de recherches et
d'interventions. Paris : Dunod.
Lieury, A. (2011). Psychologie cognitive. Paris : Dunod.
Mialaret, G. (2010). Psychologie de l'éducation. Paris : P.U.F.
Siksou, M. (2012). Introduction à la neuropsychologie clinique. Paris : Dunod.

Ressources électroniques :
http://www.sfpsy.org/
http://www.legifrance.gouv.fr/eli/decret/2010/5/20/SASP1011132D/jo/texte
http://www.ars.iledefrance.sante.fr/Usage-du-titre-de-psychotherap.107809.0.html
http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=LEGITEXT000006075598http://www.sf
psy.org/IMG/pdf/Code-deonto2012.pdf
http://drees.solidarites-sante.gouv.fr/etudes-et-statistiques/open-data/aide-et-action-sociale/la-
protection-maternelle-et-infantile-pmi/article/la-protection-maternelle-et-infantile-pmi
http://www.afpen.fr/spip.php?article623
http://www.afpen.fr/spip.php?article681

N.B. Les documents transmis dans le cadre du présent cours sont


exclusivement réservés à l’usage du cours. Ils ne peuvent être exploités
en dehors de ce cadre. Par conséquent, ils ne peuvent être reproduits,
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