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…………………………………………………Résumé
4……………………………………………………..L ‘erreur
5…………………………………………………conclusion
INTRODUCTION :
Le besoin de connaître le déphasage entre deux
phénomènes peut apparaître dès que ceux-ci
présentent un caractère de périodicité dans le
temps. Cette notion de déphasage est donc très
générale et peut faire l’objet de mesures dans
des domaines de la physique aussi variés que
l’électricité, l’électronique, l’optique, la
mécanique, l’acoustique... pour n’en citer que
quelques-uns. Les méthodes utilisées pour
étudier ou mesurer ces déphasages sont
généralement spécifiques au domaine
concerné. Néanmoins, il est souvent possible de
transformer, au moyen de capteurs appropriés,
des signaux de nature quelconque en signaux
électriques. Dans ce cas, le problème est
ramené à une mesure de déphasage entre
signaux électriques.
Le présent article se limite strictement
aux mesures de déphasage dans le domaine
électrique. La notion de déphasage y est
précisée ainsi que les conditions auxquelles
doivent satisfaire les signaux pour qu’une telle
mesure ait un sens.
Les méthodes les plus anciennes sont basées
essentiellement sur des procédés purement
analogiques. L’oscilloscope, notamment, est un
outil parfaitement bien adapté lorsque les
incertitudes recherchées restent de l’ordre de
quelques degrés. Les procédés de mesure sont
en effet très simples et un tel matériel est
disponible dans la plupart des laboratoires.
Définition : La mesure de déphasage est utilisée
pour mesurer le décalage temporel entre deux
signaux. Elle peut être exprimée en degrés ou en
radians. Elle est utile dans de nombreuses
applications, notamment en électronique, en
acoustique et en mécanique. Par exemple, dans la
mesure de la qualité du son d'un microphone, la
mesure de déphasage peut être utilisée pour
mesurer la cohérence temporelle entre le son capté
par le microphone et le son original. Dans les
systèmes de contrôle de qualité, la mesure de
déphasage peut être utilisée pour mesurer la
précision de la synchronisation entre des signaux
de contrôle et les processus qu'ils contrôlent.
Pour calculer la mesure de déphasage, il faut
mesurer la différence de temps entre une onde
sinusoïdale en entrée d'un circuit et la même onde
en sortie de ce circuit. Puis, il faut convertir cette
différence de temps en une mesure d'angle en
utilisant la formule suivante :
Résumé
Notre étude concerne la mesure du déphasage optique
non linéaire (NL) d’ordre trois. Deux catégories de
procédés seront abordées : i) la technique
interférométrique à décalage de phase qui permet la
caractérisation de la phase avec une bonne résolution
spatiale, ce qui est crucial pour un faisceau focalisé
dans le milieu non linéaire. Cette technique utilise le
critère des moindres carrés associé à plusieurs
interférogrammes. Mise en œuvre à l'aide d'un
modulateur spatial de lumière, elle fournit un calibrage
pratique pour chaque déphasage considéré. La fiabilité
de la méthode proposée est vérifiée par comparaison
directe avec la méthode de transformation de Fourier ;
ii) les méthodes innovantes de type Z-scan combinées
avec un montage imageur. Elles seront ici appliquées
aux mesures des coefficients NL d’ordre trois et
d’ordres supérieurs. Nous montrerons que la flexibilité
d’emploi d'une caméra CCD permet un meilleur
pointage et suivi en temps réel du faisceau. Enfin nous
nous intéresserons au montage Dark-field Z-scan
bénéficiant des avantages de la microscopie à champ
sombre à fort contraste. Ces améliorations ouvrent
potentiellement un nouveau champ d’exploration
microscopique pour l’investigation et la cartographie
des effets non linéaires.
4 L’erreur :