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L a v a r i a t i o n du t a u x de c h a n g e du DH J u s t e a v a n t l a

r é f o r m e j u s q u ' a u j o u r d ’ h u i e n t e n a n t c o m p t e de l a
v a r i a t i o n du t a u x d’intér êt et de l a
S i t u a t i o n de l a b a l a n c e c o m m e r c i a l e .
Q u e l en é t a i t l’i m p a c t s u r l e s
E n t r e p r i s e s et s u r l e t r é s o r p u b l i c ?

Introduction
L’histoire de la finance publique toute au long de son existence a connu des
hauts et des bas mais les principaux événements qui l’ont marqué l’ont pas faibli
mais surtout aider cette notion à évoluer et de passer d’une finance classique ;
d’un Etat gendarme ou la seule source de recettes était les impôts allons a une
finance moderne ou contemporaine ; l’ère de l’Etat providence ou l’Etat
interventionne et l’impôt n’est plus la seul sources de recettes puisque le
déséquilibre budgétaire est acceptable ou comme appeler le déficit systématique.
Alors selon cette notion moderne le déséquilibre budgétaire est acceptable et
puis pour financer ce déficit et dans la contrainte d’internationalisation de
l’économie et les liens crée entre les économies l’endettement reste l’une des
deux solutions possible (Endettement et Augmentation/Adition des nouveaux
Impôt).
Malheureusement l’ouverture des économies concrétisées par les accords libres
échanges limitent les Etat à suivre le choix d’imposition pour financer le
déséquilibre budgétaire alors la dette reste la seul solution efficace
Cette situation a donné pour certain état la chance d’y intervenir par la clef de la
politique monétaire afin de créer une force économique monétaire qui crée de la
valeur ajouter.
De même, l'intégration dans l'économie mondiale devient de plus en
plus une nécessité pour atteindre le développement économique. De ce
fait, plusieurs pays annoncent des programmes de libéralisation de
leurs économies (économie de marché) en faveur de la promotion de
l'investissement et de l’attractivité des fonds étrangers. Au fur et à
mesure, les Etats s'efforcent d'aménager une multitude de mesures et
réformes incitatives afin de promouvoir leurs entreprises qui veulent
conquérir de nouveaux marchés.
Cependant, dans le contexte d’une ouverture graduelle, mais continue,du compte de
capital, la Banque centrale du Maroc (BAM) sera amenée à adopter un régime de
change plus flexible, pour atténuer la pression sur les réserves de change comme étant
le seul élément d’ajustement de l’économie, ce qui présente un risque de crise de la
balance de paiement.
De ce fait, la banque des banques serait en
préparation à la migration vers un régime de ciblage d’inflation, pour
faire face aux éventuelles pressions inflationnistes, liées aux
fluctuations du taux de change. Le cadre de ciblage d’inflation,
conjugué avec une flexibilisation du taux de change, serait conçu pour
le renforcement de l’indépendance de la politique monétaire et
compléter l’ouverture du Maroc sur son environnement.
Au total, pour un pays il n’est plus compliqué de se donner un
régime de change jugé optimal. Un régime Fixe, flottant, ou bien une
combinaison, puisque chacun procure des avantages aussi bien des
inconvénients, par conséquent tout est une affaire d’arbitrage qui
s’explique d’une part d’incertitude dans l’option prise, étant entendu
que rien n’est jamais définitivement acquis en ce domaine.
ALORS A QUEL POINT LA VARIATION DU TAUX DE CHANGE A
IMPACTER LECONOMIE ET PARTICULIEREMENT LES ENTREPRISES ET
LE TRESOR PUBLIC ?
Axe I : Analyse du potentiel Monétaire :
Balance commerciale :
Années 2015 2016 2017 2018 2019 2020

Balance extérieure de biens et services


(en Milliards de DHS) -75,06 -102,91 -101,54 -115,51 -102,72 -273,58
Exportations de biens et de services 3,44E+1 3,58E+1 3,96E+1 3,43807E+1
(unités de devises locales courantes) 1 1 1 4,3E+11 4,5E+11 1
Importations de biens et de services 4,19E+1 4,61E+1 4,97E+1 5,45E+1 5,53E+1 5,52934E+1
(unités de devises locales courantes) 1 1 1 1 1 1
Source : FMI : https://data.imf.org/regular.aspx?key=61545855

Le Maroc n’est pas considéré comme un pays exportateur suit a la faiblesse des
produits national mais en plus l’absence de la compétitivité national ou
international ce qui engendre une production couteuse par rapport au concurrents.
Le tissu productif national est constituer de plus de 86% PME ce qui limite la
notion d’ouverture vers le monde entier des produits marocains.
Mais le Maroc est l’un des important importateurs dans le monde entiers ce qui
crée un certain équilibre d’importance stratégique mais déséquilibre commercial
Malgré la politique monétaire qui a pour but de réduire le choc sur la balance mais
la dépréciation selon le tableau continu vers la baisse avec un déficit qui excède les
150 Milliard de DHS.
DH Marocain vs Les monnaies de transaction international :
Le taux de change contre l’Euro et le Dollars
2015 2016 2017 2018 2019 2020
Années
Taux de change : Euro 10,83 10,85 10,93 11,09 10,77 10,82
Taux de change : Dollars 9,77 9,80 9,70 9,38 9,62 9,50
Selon ce tableau On peut remarquer l’année 2018 qui est le pilier du changement
de la politique monétaire ou le taux de change va arrêter son augmentation
haussière ce qui implique une augmentation de valeur de la monnaie marocaine
Pour mieux analyser on va faire recours a la variation du taux de change et la
balance commerciale :
années
graphique 1 2015 2016 2017 2018 2019 2020
taux de change -0,83% 1,68% 1,12% 1,62% 2,46% 1,92%
variation de la balance
commerciale -44,20% 36,50% -0,17% 17,50% -13,20% -18,50%
Graphique 1 :

graphe2
taux de change et variation de la
balance commercial 40.00% 20.00%

20.00% 0.00%

0.00% -20.00%
-0.83% 2016 2017 2018 2019 2020
-20.00% -40.00%

-40.00% -60.00%
Années

balance commerciale taux de change

Alors comme est présenté le taux de change variais selon la variation de la balance
commerciale mais la reforme de 2018 le taux de change ne dépend plus de la
balance commerciale et cela aide l’Etat pour rester dans un emplacement de force
malgré le déséquilibre causé par les transactions des exportations et importations.

Les Investissements
Une politique monétaire ou d’autre part budgétaire n’a pour but que réaliser le
développement et renforcer la rentabilité ou bien évidement la profitabilité des
budgets investis ; on parle dans ce cas de l’investissement étatique pour booster
l’investissement privé afin de libéralisé l’économie.
Alors comme que pour mesurer l’attractivité de l’économie envers les investisseurs on
doit mettre le point sur plusieurs points fort on citant la politique monétaire un Etat
qui a une monnaie libre est un Etat responsable et indépendant économiquement qui
montre résilience contre les crises et qui tiens les transactions mondiales comme une
source de VA.
Parmi ce qui attire les investisseurs ces le besoins de financements des Etats et pour
le cas marocain c’est le Trésor publique

Dettes du trésor
Tout d’abord lorsque on parle du trésor public en parle de deux grande distinction le
faite de s’endetter et endetter c’est pour cela on va analyser les deux comportements.
2015 2016 2017 2018 2019 2020 2021
Années
4,01 3,49 3,83 3,70 3,39 2,88 2,62
Taux de dépôt Obligations d'État

Figure 2

taux directeur 2,50% 2,25% 2,25% 2,25% 2,25% 1,50%

Figure 3
AXE 2 : Alors Quel impact sur le trésor public ?
Depuis la reforme de 2015 la monnaie national connait des hauts et des bas suite a une
ensemble de cause puisque l’année 2018 représente l’année de la mise en œuvre de la
stratégie de flottement de la monnaie ce qui a résulter une diminution du taux
directeur mais en plus la crise qui a aider la situation à s’adapter rapidement cette
stratégie aurai des perspectives néfastes pour d’autre pays mais les situations a été
remarquable et marquer par une stabilité monétaire sur le marché mondiale.
Le faite de baisser les taux directeur sa attire les investisseurs et puis sa valorise la
monnaie. Le Maroc a pu montrer résilience envers ses phénomènes en adoptant une
stratégie fine et claire. On peut dire que la relation entre le taux de change et le trésor
est une relation de causalité car chacun veille que l’autre soit dans un bon équilibre.
AXE 3 : QUEL IMPACT SUR LES ENTREPRISES ?
Entre les deux genres d’entreprises les exportatrices et les national ces premières sont
les plus importantes dans une politique monétaire car se sont les leviers de l’économie
et la seule source de la sacoche du pays en matière de devise alors une baisse de
valeur de devises va engendrer un augmentations des charges importations et
diminutions de valeur de récolte de devise et une augmentation de valeur de monnaie
va résulter une augmentation des charges et au augmentations de valeurs de
marchandises et puis diminution du CA.
Conclusion :
Le Maroc vient de tracer un nouveau chemin au niveau de collecte de
ressources, une stratégie d’arbitrage entre les Impositions et la dette publique
peut aider le tresor à dépasser la crise au niveau du budget de l’état ; le Maroc
sous la contrainte des contrats de libre échange selon son ouverture de
l’économie le seul moyen reste est de booster les entreprises marocaines on
protégeons l’économie se qui vient d’être concrétiser par la nouvelle stratégie de
l’ADII cela va impacter la rentabilité positivement et puis tout le schéma déjà
cité .
La question qui se pose a quel point l’imposition peuvent absorber les couts de
dettes mais en plus les déficits budgétaires ? Et quel est le rôle de la stratégie
monétaire dans la diminution de la dette extérieure publique ?

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