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FACTEURS EXPLICATIFS DE LA RENTABILITE DES ACTIFS IMMOBILISES


DANS UNE ENTREPRISE COMMERCIALE
CAS DE HYPER PSARO
TWITE OKONGO CHRINOVIC
Licence 3 Finance et Banque

1. CONTEXTE DE L’ETUDE
La RDC est le plus grand pays d’Afrique subsaharienne par sa superficie et jouit d’une position
stratégique, partageant une frontière commune avec neuf pays. Le pays est doté de ressources
naturelles, notamment : des minéraux tels que le cobalt, le cuivre, l’étain et le tungstène ; un
potentiel hydroélectrique ; des terres arables ; une population jeune et nombreuse ; et une immense
biodiversité (Banque mondiale, 2021).

Toutefois, le pays est confronté à plusieurs défis. Il compte la troisième plus grande population de
pauvres au monde, avec environ 60 millions de personnes vivant avec moins de 1,9 dollar par jour
en 2018. L’économie dépend des exportations de minéraux, ce qui la rend vulnérable à la volatilité
des prix internationaux des marchandises. Par exemple, l’économie a connu une croissance
moyenne de 12 % par an pendant le boom des prix des marchandises au cours de la période 2001-
2015, mais a ralenti de 2,1 % à la suite de la baisse des prix des minéraux en 2016-2017.
L’économie de la RDC est également vulnérable aux épidémies, comme cela a été observé lors du
ralentissement de la croissance en 2019 (de 5,8 % à 4,4 %) dans le cadre de l’épidémie de virus
Ebola. La croissance a rebondi en 2018 pour atteindre 5,8 %, mais s’est à nouveau contractée à 4,4
% en 2019.

Néanmoins, l’économie de la RDC a connu une croissance supérieure à celle de ses homologues
d’Afrique subsaharienne (5,6 % contre 1,4 %) en moyenne au cours des cinq dernières années
(2015-2019). Au niveau sectoriel, la contribution la plus élevée (en termes de valeur ajoutée) au
PIB est venue du secteur des services (33,8 %), suivi du secteur manufacturier (18,7 %), au cours
de la même période (Banque mondiale, 2021).

Le commerce a joué un rôle important dans l’économie congolaise et a représenté une part de 43
% du PIB en moyenne par an au cours de la dernière décennie. Ces dernières années, la RDC a été
un exportateur net de biens et un importateur net de services, en particulier avec ses 10 principaux
partenaires commerciaux. En 2019, le total des échanges de biens et de services s’élevait à 24,6
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milliards de dollars (soit 32 % du PIB), mais il a légèrement baissé de 4,0 % à 23,62 milliards de
dollars et a contribué à 37 % du PIB en 2020 dans un contexte de la pandémie.

2. PHÉNOMÈNE OBSERVÉ ET PROBLÈME À ELUCIDER


Une entreprise qui se veut rentable doit savoir faire le choix sur les moyens qu'elle va mettre en
œuvre en fonction des objectifs fixés afin de générer un bénéfice pouvant lui permettre de
maximiser sa valeur et préserver son indépendance financière.

L’environnement économique et financier dans lequel évoluent les entreprises est devenu source
de risque ; Ceci est principalement dû à son caractère d’instabilité, aux mutations accélérées, à la
concurrence accrue dans les différents secteurs, à l’émergence de nouvelles zones économiques,
aux innovations technologiques, etc.

La rentabilité au sens large, évoque l'aptitude de toutes sortes des capitaux à apporter de l'argent
et Au sens strict, la rentabilité comporte deux caractéristiques spécifiques : c'est une capacité, un
potentiel de rendement. C'est donc la mesure de la rémunération des apporteurs des capitaux,
propriétaires de l'entreprise (COLLI, 1996).

Cependant, après que nous ayons consulté les états financiers de la société commerciale HYPER
PSARO de la période allant de 2017 à 2021, il ressort que la rentabilité des actifs présente un
niveau faible durant la période sous étude, ce qui est inférieur à la norme de 5%. Le tableau ci-
dessous démontre cette situation.

Tableau 1 Calcul de la rentabilité des actifs

Années Résultats Net en USD Total Actif en USD ROA en %


2017 52 540 1 792 262 2,93%
2018 48 887 1 838 925 2,65%
2019 31 322 2 407 333 1,30%
2020 69 988 2 537 461 2,75%
2021 74 036 1 882 640 3,93%
Source : sur base des états financiers d’HYPER-PSARO

Commentaire : la norme voudrait que la rentabilité des actifs soit supérieur à 5% car il signifie que
l’entreprise utilise efficacement ses actifs pour générer des bénéfices ( (Thibierge, 2021), pourtant
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en observant ce graphique il ressort que la rentabilité des actifs connait une évolution en dent de
scie de la période allant de 2017 à 2021 mais qui demeure faible, ce qui une explique que
l’entreprise à tirer une faible rentabilité dans l’utilisation de ses actifs et de ses ressources.

D’où nous nous posons la question de savoir : qu’est-ce qui expliquerait un niveau faible de
rentabilité des actifs dans une entreprise commerciale ?

3. REVUE DE LITTERATURE
La revue présente les différents concepts qui aident à la compréhension du sujet, d’une manière
approfondie. Elle n’est pas une énumération des différents résultats obtenus par les autres
chercheurs mais une confrontation mais des différents résultats obtenus par les autres chercheurs
dans les études antérieures. Elle rapporte les études théorique et empirique les plus pertinentes et
les plus significatives (Annie, 2017).

3.1. Revue de la littérature théorique


La rentabilité financière permet d’apprécier le taux d’investissement réalisé par le capital à risque.
Elle est mesurée par le rapport entre le résultat net et les fonds propres. Plus le résultat net est
positif et élevé, plus la rentabilité financière est bonne, toutes choses restant égales par ailleurs
(KRHOUZ, 2007).

Pour LOCHARD (1998), le ratio de rentabilité financière fait partie des facteurs de décisions des
banquiers en face de demande d’emprunts ou de crédits.

Selon VERNIMEN & al. (2013), la rentabilité de l’actif économique est égale au rapport du
résultat d’exploitation après Impôt sur l’actif économique. Ce taux est aussi le produit de deux
ratios, la Marge d’exploitation et le taux de rotation de l’actif économique. Ce taux, qui peut être
analysé comme le Taux de Rentabilité des Capitaux propres si l’endettement était nul. Toutefois,
il s’agit d’un taux comptable qui n’intègre donc pas la notion de risque. Son intérêt dans la prise
de décisions financières est donc limité, alors qu’il est très important pour le contrôle de gestion
ou l’analyse financière puisqu’il mesure l’efficacité de l’activité de l’entreprise d’un point de vue
financier. L’équivalent anglais de la rentabilité économique s’appelle (ROCE), c’est-à-dire Return
On Capital Employed.
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3.2. Revue de la littérature empirique

Kalume (2015), La préoccupation de l’auteur est de savoir, si les services de l’hôtel Mont Kahuzi
sont rentables et ainsi porté un jugement sur sa performance de cette entreprise. Pour effectuer
l’analyse de la rentabilité, il a fait recourt aux indicateurs d’activité, des résultats et des différents
ratios. Nous pouvons énumérer entre autres, l’analyse du chiffre d’affaires, de la valeur ajoutée ;
de l’excédent brut d’exploitation ; du ratio de rentabilité financière ; du ratio de rentabilité
économique. Au terme de son analyse il a constaté que les indicateurs d’activité sont positifs et le
compte de gestion font ressortir un résultat significatif pendant toute la période d’étude, il conclut
donc qu’est performante.

Bomba (2019), l’auteur cherche les facteurs qui expliquent à la baisse la rentabilité de la
RAWBANK. Elle conclut que l’endettement ; le fond propre ; total passif net, résultat net ; et la
pression fiscale ont un lien sur la baisse de la rentabilité que ce soit financière ou
économique. L’auteur a mis en évidence le résultat net car il a un effet sur les deux rentabilités.

Ndendani (2016), l’auteur s’était posé la question de savoir : quelles est l’impact de la création de
la valeur pour client sur la performance de l’entreprise ? L’auteur s’est plus basé sur la performance
financière et commerciale.il abouti aux résultats selon lequel, la création de valeur pour le client
permet aux entreprises de recouvrer plus de créances, de vendre plus et d’améliorer la performance
financière et commerciale.

Makelele (2014), L’objectif de cette étude était de porter un jugement sur la performance de cette
entreprise étant donné que la bonne gestion dépend de résultats réalisés à une échéance donnée. À
l’issus de ses analyses, elle a trouvé que les indicateurs d’activités avaient une tendance positive.
En 2010, l’hôtel a réalisé une production de 79479,8$ et en 2011 a réalisé une production
de 96517,7. Donc au cours de cette étude, le résultat de l’exercice a été toujours positif et cela
justifie que cet hôtel a été performant

Yav ( 2011), il était partie de deux préoccupation à savoir : l’entreprise Amur est-elle saine
financièrement ? et l’entreprise Amure fait-elle une allocation des ressources en respectant la règle
d’équilibre minimum ? il avait supposé que l’entreprise serai saine financièrement car elle réalisée
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une rentabilité économique et financière suffisante pour financer ses activités. Aussi l’allocation
de ses ressources financières au sein de la société Amur respecter la règle.

Chadadi (2016). Dans ce mémoire l’auteur s’est posé la question suivante quel est l'impact de la
rentabilité sur la performance de l'entreprise ? Il dit qu’une entreprise qui a une structure moins
élevée, qui ne supporte pas beaucoup des charges fixes, à un résultat moins sensible, moins risqué.
Par contre une entreprise qui supporte beaucoup des charges fixe (structure très élevé), à un résultat
plus risqué.

Kaunda (2013), les problèmes qui ne permettent pas à l’entreprise de parvenir à optimiser sa
rentabilité sont entre autres : la mauvaise gestion des charges, l’incompétence du personnel. Tout
dépend du choix portant sur les moyens des ressources.

3.3. Particularité de l’étude


Notre particularité est :

- Sur le plan empirique : nos prédécesseurs ont développé la problématique de rentabilité


des actifs dans le secteur bancaire principalement. Pour notre part, nous pensons l’aborder
dans le secteur de la grande distribution.
- Sur le plan méthodologique : nos prédécesseurs ont étudié les déterminants de la rentabilité
dans une approche financière principalement, nous pensons recourir à des analyses
statistiques

4. PROBLEMATIQUE DE L’ETUDE
La rentabilité des actifs est une mesure financière qui évalue la capacité d’une entreprise à générer
des bénéfices à partir de ses actifs. Cette mesure est importante pour les investisseurs car elle leur
permet de déterminer si une entreprise utilise efficacement ses actifs pour générer des bénéfices.

De ce fait une gestion efficace des actifs s’avère être importante car elle est le reflet de la santé
financière de l’entreprise.

Pour cette étude notre préoccupation portera sur la question de savoir :


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Quels sont les facteurs qui expliquent le niveau faible de la rentabilité des actifs au sein de
HYPER PSARO ?

5. HYPOTHESES DE LA RECHERCHE
L’hypothèse est l’ensemble des propositions de réponses à la question de recherche. Il s’agit d’une
réponse anticipée, une affirmation provisoire qui décrit ou explique un phénomène, selon (Annie,
2017)

En se référant à la théorie des coûts de transactions, pour améliorer la rentabilité de ses actifs,
une entreprise peut chercher à minimiser les coûts de transaction. Cela peut se faire en établissant
des relations à long terme avec ses fournisseurs et clients, en réduisant le nombre de partenaires
commerciaux, en simplifiant les contrats et les procédures de négociation, ou encore en intégrant
verticalement certaines activités pour réduire les coûts de transaction liés à l’externalisation
(Williamson, 1985).

D’où pour notre étude, nous retenons comme hypothèses :

H1 : les charges d’exploitation impactent négativement la rentabilité des actifs ;

H2 : la taille de l’entreprise impacte négativement sur la rentabilité des actifs.

Partant de la théorie du pecking order, lorsqu’une entreprise utilise trop de dette pour financer
ses investissements, elle peut rencontrer des difficultés à rembourser ses dettes et peut être
contrainte de vendre des actifs pour y parvenir. Cela peut entrainer une diminution de la rentabilité
des actifs, car la vente forcée des actifs peut entrainer des pertes importantes.

En outre, un niveau élevé d’endettement peut également augmenter le coût du capital de


l’entreprise, car les investisseurs exigent un rendement plus élevé pour compenser le risque
supplémentaire associé à l’endettement. Ce qui qui conduirait à une diminution de la rentabilité
des actifs, car l’entreprise doit payer des intérêts plus élevés sur sa dette (Donaldson, 1961).

Ce qui nous amène à formuler l’hypothèse ci-après :

H3 : le niveau d’endettement impacte négativement sur la rentabilité des actifs.


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Figure 1 MODELISATION DES VARIABLES

Variables explicatives Variable expliquée

• Les charges d’exploitation


• La taille de l’entreprise Rentabilité des actifs
• Niveau d’endettement immobilisés
Source : sur base des hypothèses

Partant de différentes théories soulevées dans notre étude, nous sommes parvenus à établir ce
modèle qui met en évidence une relation directe entre nos variables, c’est-à-dire la rentabilité des
actifs qui est fonction des charges d’exploitation, de la taille de l’entreprise et du niveau
d’endettement.

Tableau 2 OPERATIONNALISATION DES VARIABLES

VARIABLES EXPLICATIVES INDICATEURS

Les charges d’exploitation Ratio des charges d’exploitation= Charges


d’exploitation/Chiffre d’affaires
La taille de l’entreprise Total actif

Le niveau d’endettement Dépendance financière=Total dettes/Total Passif

VARIABLE EXPLIQUÉE INDICATEUR


La rentabilité des actifs (ROA) Le R.O.A= Résultat net/Total actif*100

Source : sur base des hypothèses

6. CADRE MÉTHODOLOGIQUE
Toute recherche scientifique liée à la gestion doit avoir un canal approprié que nous appelons
méthodes, en vue de lui donner un caractère scientifique (Annie, 2017).
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6.1. Approche méthodologique


• Approche quantitative
Cette approche vise à recueillir les données observables et quantifiables. Elle consiste à décrire, à
expliquer, à contrôler et à prédire en se fondant sur l’observation de faits et évènements existant
indépendamment du chercheur, des faits objectifs.
Avec cette approche, nous ferons des analyses de statistiques, des analyses de corrélations entre
les variables afin de voir l’impact que pourrait avoir les variables explicatives relevés sur la
variable dépendante (rentabilité des actifs).

6.2. Méthodes et techniques de collecte des données


6.2.1. Méthode de collecte de données
Pour notre étude, nous allons recourir à la méthode d’observation indirecte

• La méthode d’observation indirecte

La méthode d’observation consiste…

6.2.2. Technique de collecte de données


Pour cette étude, nous avons recouru à la technique documentaire

• La technique documentaire

La technique documentaire permet de réaliser une collecte des données à partir des documents et
rapports qui seront mis à notre disposition par l’entreprise sous étude.

6.3. Méthodes et techniques de traitement des données


6.3.1. Méthodes de traitement des données
Nous allons recourir aux méthodes de traitement ci-après :

• Méthode d’Analyse financière

La méthode d’analyse financière permettra d’évaluer la santé financière de l’entreprise, nous allons
analyser le ratio financier (ROA) pour déterminer si l’entreprise est efficace dans la gestion de ses
actifs.

• Méthode statistique et économétrique


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Elle nous permettra de quantifier et de faciliter la compréhension des résultats de la recherche en


les présentant sous forme des tableaux et graphiques.
6.3.2. Technique de traitement des données
Nous allons recourir aux techniques d’analyse suivantes :
6.3.2.1. Technique d’analyse des ratios financiers
L’analyse des ratios est une technique financière qui nous a permis d’analyser les ratios financiers
(ROA) pour déterminer si l’entreprise est performante.

6.3.2.2. Analyses descriptives et corrélation


Elle nous permettra de décrire et résumer les données collectées afin de fournir une compréhension
approfondie des caractéristiques et des tendances des variables retenues ainsi que d’identifier les
relations entre les différentes variables.
6.3.2.3. Régression linéaire multiple
C’est une méthode de régression mathématique étendant la régression linéaire simple pour décrire
les variations d’une variable endogène associée aux variations de plusieurs variables exogènes.
• Analyse des données
Nous allons recourir à la méthode de Moindre Carré Ordinaire (MCO), qui consiste à minimiser
la somme des carrés des écarts, écarts pondérés dans le cas multidimensionnel, entre chaque point
du nuage de régression et son projeté, parallèlement à l’axe des ordonnées sur la droite de
régression.
• Tests statistiques de validation
Nous utilisons le coefficient de détermination (R2), les coefficients de régression bêta (β), le test
de Student et le test de Fischer pour vérifier la significativité du modèle.
- Le R2 indique la variation de la variable dépendante expliquée par la variable indépendante.
Si R2 est faible ou égal à 0, cela voudra dire qu’il existe l'absence d'une relation linéaire
entre les variables du modèle.
- Le coefficient β représente le poids de chaque variable utilisé dans le modèle. Il indique si
la relation entre les variables indépendantes et la variable dépendante est négative ou
positive (Si β est égal à 0, il n'y a aucune relation linéaire entre les deux variables).
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- Le test de Student est un test de significativité individuel des variables, nous allons nous
référé à la probabilité critique avec une marge d’erreur de 5% afin de voir si l’impact de
nos est significatif.
- Pour le test de Fisher qui est un test de significativité globale du modèle, nous allons nous
référé à la probabilité critique avec une marge d’erreur de 5%.
6.3.3. Outil de traitement des données
Nous avons utilisé le logiciel STATA pour traiter nos données. Ce logiciel permet d’effectuer le
traitement des données, de manière à établir la relation entre notre variable expliquée ou problème
et la variable explicative.
Le logiciel Excel nous permettra aussi d’effectuer certain calcul.

7. OBJECTIF DE LA RECHERCHE
L’objectif dans cette étude réside dans le fait d’expliquer l’efficacité dans la gestion des actifs. La
recherche tentera de cibler les facteurs qui influencent cette dernière à la baisse, proposé des
solutions qui vont améliorer la situation financière de celle-ci, qui ensuite garantira la pérennité du
cycle exploitation, et au final permettra à celle-ci d’atteindre les objectifs lui assigner.

8. MOTIVATION DE L’ETUDE
Ce choix est fondé sur trois intérêts essentiellement orientés sur le plan scientifique, personnel et
managérial.

 Sur le plan Scientifique : Nous souhaitons que ce travail une source d’inspiration pour
tous ceux qui voudront étudier, comprendre la même thématique que le nôtre.
 Sur le plan personnel : Ce sujet nous permettra d’améliorer nos connaissances acquises
en Sciences économiques et Management d’une manière générale, afin de concilier les
théories apprises dans notre domaine de prédilection, qui est la finance et la banque en
particulier ;
 Sur le plan managérial : la conclusion de cette étude pourrait être un guide pour les
entreprises à pouvoir recadrer leur gestion financière.

9. PLAN PROVISOIRE DU TRAVAIL


Notre travail sera structuré de la manière suivante en dehors de l’introduction générale et de la
conclusion générale :
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Le premier chapitre portera sur le cadre conceptuel et théorique, ce chapitre s’étalera sur les
définitions relatives aux concepts fondamentaux utilisés dans notre travail et les différentes
théories se rapprochant à l’objet de notre recherche.

Le deuxième chapitre portera sur la description du cadre empirique de notre étude.

Le troisième chapitre présentera les données de l’étude et les résultats pertinents. La discussion
des résultats et les propositions de solutions à notre problématique seront par ailleurs abordées.
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BIBLIOGRAPHIE SELECTIVE

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