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DE GESTION ET DE SOCIOLOGIE
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DÉPARTEMENT DE GESTION
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Sous l’encadrement de :
UNIVERSITÉ D’ANTANANARIVO
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DE GESTION ET DE SOCIOLOGIE
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DÉPARTEMENT DE GESTION
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Sous l’encadrement de :
REMERCIEMENTS
SOMMAIRE
INTRODUCTION GÉNÉRALE
1
ELIE COHEN, Dictionnaire de gestion, éd. La découverte, Paris, 1994, p.47
2
Lexique économique, p.201
2
CHAPITRE I :
MATERIELS ET METHODES
Section1: Matériels
Pour rendre ce travail clair et permettre une lecture aisée, et de ce fait, éviter des
interprétations contradictoires, il est indispensable de se baser sur une zone d’études et des
outils théoriques. C’est la base de cette première section.
La « SFEPI » est une société privée de type industriel. C’est une société à
responsabilité limitée (SARL), composée de six (6) associés avec un capital social de
10.000.000 d’Ariary. Elle a été créée en 1989 à Ankaditoho Tsimbazaza Antananarivo
avec un capital social de 1. 000. 000 Ariary. Au début, elle a été composée de trois (3)
actionnaires. A cette époque, elle avait huit (8) employés et ses principaux clients
étaient des particuliers. En 1993, les actionnaires de la SFEPI ont décidé de faire une
augmentation de capital de 9 000 000 d’Ariary pour pouvoir développer son marché.
Ainsi son capital est passé à 10 000 000 d’Ariary actuellement. Depuis cette
augmentation, ses principaux clients sont à la fois des particuliers et surtout des
entreprises. En ce moment, elle est composée de six (6) associés qui sont les héritiers
du promoteur. Elle est donc une société familiale.
GERANTE
COMPTABLE
La SFEPI a onze (11) employés pour assurer sa bonne marche ainsi que sa
pérennité. Chaque employé a ses propres tâches. La gérante assure la direction de
l’entreprise, le suivi et le contrôle de la comptabilité ainsi que la coordination de tous
les services. Elle est aussi le premier responsable du service production : elle donne la
formule à appliquer pour la fabrication d’une commande. Le chef de fabrication et les
ouvriers assurent la production proprement dite. Ils assurent en même temps le contrôle
de la qualité de la fabrication ainsi que l’entretien des machines. Le responsable de
comptabilité s’occupe de la comptabilité de l’entreprise, du secrétariat, de
l’approvisionnement ainsi que des dossiers administratifs du personnel. Le responsable
commercial et vente assure la réception des clients, l’enregistrement des commandes, la
facturation et la vente des produits et des marchandises. Le magasinier est le
responsable de la vérification de l’entrée et la sortie en magasin de stockage de la
commande client et des matières premières. Il participe aussi à la production, et assure
le contrôle de la qualité en l’absence du responsable de production. La femme de
ménage et le jardinier s’occupent de l’hygiène et de la propreté au sein de l’entreprise.
heures l’après midi. Pour le samedi, les employés travaillent uniquement la matinée de 8
heures à 12 heures.
1-2-1 Budgets
3
BERNARD Y et COLLI J.C, Vocabulaire économique et financier ; Paris, du Seuil 1996, p.246.
10
A partir des définitions vues ci-haut, nous pouvons dire que le budget
constitue le cadre de référence qui définit les lignes directrices à court terme par
lesquelles sera apprécié le résultat de décision de gestion de la direction générale de
l'entreprise.
Le budget est aussi la prévision chiffrée de tous les éléments correspondants
1-2-2 Comptabilité
7
Cours Loi comptable, Département Gestion, option finances et comptabilité, année 2010-2011
8
Définition de la « comptabilité » selon le PCG 2005
12
C’est pourquoi, le système comptable est considéré comme outil primordial pour le
contrôle de gestion.
9
KAPLAN Robert S., David P. Norton (2003), Le tableau de bord prospectif, Editions d'Organisation.
10
BOIX Daniel, FEMINIER Bernard (2004), Le tableau de bord facile, Editions d'Organisation.
14
traité. Pour cela, des questions ont été posées pour assurer la fiabilité des informations
et de regrouper tous types d’information nécessaires.
Pour rassembler des données nécessaires à l’analyse, nous avons recouru à
des entretiens pour disposer des informations sur la gestion budgétaire. Les entretiens
ont été réalisés auprès du premier responsable et du personnel au sein de la SFEPI.
L’enquête exhaustive a été procédée parce qu’elle consiste à enquêter une population
tout entière. Dans le cas de notre travail, nous avons procédé à ce type d’enquêtes vu
que les données recueillies exigent l’avis de chaque personnel de la SFEPI.
Notre entrevue a été basée sur l’entretien non directif. Cela a pour objet de
poser des questions non dirigées. Les questionnaires utilisés ont été élaborés à l’aide
d’une technique qui est surtout employé dans les cas d’une résolution de problème.
Cette technique consiste à répondre aux questions Qui ? Quoi ? Quand ? Où ?
Comment ? Pourquoi ? La première question qui a été posée était la question «qui ?».
Elle consiste à savoir qui est la personne qui peut fournir des informations sur un tel
sujet.
Au cours des entrevues effectuées auprès des personnes enquêtées, celle-ci a
été adoptée pour apporter le plus d’information sur une situation donnée. Par ailleurs,
ces questions n’en ont pas entièrement permis de recenser de plus amples informations,
en dépit de certaines données qui ne peuvent pas surpasser un certain niveau de
divulgation. L’établissement des questionnaires se réfère aussi sur les différents acteurs
que peuvent apporter plus d’information à travers l’étude. Ils sont établis suivant la
valeur de l’entreprise face aux services offerts et aux recettes, aux dépenses, à la
trésorerie ; c’est à dire à l’ensemble des informations financières du centre. Ces
informations sont recensées pour mettre en place un système de gestion budgétaire dans
la SFEPI.
Les données obtenues, tant sur le plan théorique que sur le plan empirique,
nécessitent une méthode d’exploitation et d’analyse dans le but d’obtenir des résultats
de recherche adéquats. Dans un premier temps, les informations recueillies ont été
triées, classées et traitées à l’aide des logiciels du Microsoft tels que le tableur pour
réaliser tous les calculs et représenter, par la suite, des tableaux et des graphiques. Dans
17
un second temps, nous avons divisé en deux catégories les résultats : élaboration des
budgets et contrôle budgétaire.
Notre étude porte également, du point de vue spatial, sur l’industrie. Il existe
plusieurs industries et PME à Madagascar mais nous avons limité à une seule entité.
Cette entreprise procède tout un tas de données pour son exploitation. Mais toute
l’information ne se coïncide pas forcement à la réalisation de notre étude. Certes, il est
constamment utile d’être en possession de toutes informations pour aboutir à la finalité
de l’étude. Mais il en fait partie de la méthodologie du système d’information de ne
recenser que les informations probantes. Cela a pour but de donner à l’étude, rigueur,
clarté, et pertinence des résultats en considérant les contraintes et les limites temporelles
pendant notre recherche.
La présente recherche est le fruit des sacrifices consentis, aussi bien à l'étape
de recherche qu'à celle de la rédaction. La difficulté majeure à laquelle nous nous
20
sommes heurtés à l'étape de la recherche, c'est l’insuffisance des travaux déjà réalisés
sur notre sujet. Celle -ci apparaît comme une innovation, ce qui nous a coûté trop
d'efforts scientifiques, intellectuels et matériels. Cette période a été aussi émaillée à de
nombreuses contraintes d'ordre social, financier, psychologique et conjoncturel.
L'étape de la rédaction n'a pas été aussi facile. En effet, récolter, interpréter
des données brutes et désordonnées afin d'en donner une forme claire, compréhensible
et acceptable, n'est pas une tâche de n'importe qui.
CHAPITRE II :
RESULTATS DE L’ETUDE
Les résultats de notre étude sont distingués en deux temps. Dans un premier
temps, nous allons montrer les résultats au niveau des budgets établis et dans un
deuxième temps les résultats au niveau du contrôle budgétaire.
22
transmises est assurée.11 Elle est donc un processus par lequel est détaillé le programme
d'actions affectées aux unités des services concernés, les ressources nécessaires pour
réaliser le programme ou la partie du programme qu'ils sont chargés de mettre en œuvre.
La budgétisation est donc l'élaboration des budgets d'une manière progressive.
11
LE CLERC, D., Gestion budgétaire, éd. Eyrolles, Paris, 1984
23
l’AQUAFACADE est une peinture à l’eau plus résistante au climat de la côte. En outre,
le SFEPISOL est une peinture à l’eau ou à l’huile spéciale pour sol et le SFEPITOL
une peinture pour toiture et peinture sous couche. Enfin, il y a le SFEPICINE qui est
une peinture spéciale pour piscine.
Rubriques Montant
Immobilisations incorporelles
Logiciels informatiques et assimilés 2.000.000
Sous-total 1 2.000.000
Immobilisations corporelles
Constructions
80 000 000
Matériels de bureau et informatiques
6 490 000
Installation technique 1.250.000
Sous-total 2
87 740 000
TOTAL
89 740 000
Source : Investigation personnelle (2012)
l’immobilisation qui n’a pas d’existence physique active non monétaire et identifiable.
Cette immobilisation est détenue par la SFEPI pour la production ou la fourniture de
biens ou de services et l’utilisation à des fins administratives. Il s’agit pour notre cas,
de logiciels informatiques et de gestion de commerciale et financière. Sa valeur est
estimée à 2.000.000 Ariary. Le deuxième concerne les acquisitions de biens utilisés
d’une manière durable pour l’exploitation de la société ; ce sont des immobilisations
corporelles contenant les matériels d’exploitation et les constructions d’une valeur de
87 740 000 ariary. La somme de 80 000 000 ariary a été prévue pour les constructions
d’un nouveau bâtiment au profit de la SFEPI.
Le budget des charges présente des dépenses que la SFEPI doit subir pour
son exploitation. Il exprime en termes de valeurs prévisionnelles les achats consommés
les services extérieurs, les impôts et taxes, les charges de personnel, les charges
financières et les dotations aux amortissements ainsi que les impôts sur les revenus.
Il est à noter que la SFEPI dispose deux types de produits. Il s’agit des
produits de peinture et des produits annexes. Le tableau suivant nous montre le calcul
des écarts dans le cadre du chiffre d’affaires.
12
RINA Di Lorio, Bernadette Sebbar et Anne Stosser : « Outils de gestion commerciale », Ed Dominique
DECOBECQ, 1998. pp 178-183.
29
D’après ce tableau, le chiffre d’affaires sur les produits annexes est positif de
820 000 ariary tandis que celui des produits de peinture est négatif de 9 650 000 ariary.
Au total, cela présente un écart négatif de 8 830 000 ariary. Cet écart est défavorable
pour la SFEPI car la réalisation est inférieure à la prévision.
Tous les écarts au niveau des charges sont positifs sauf ceux des achats
consommés et des services extérieurs. Nous pouvons remarquer que ce tableau montre
les écarts des charges sans celui de l’impôt sur les revenus. Nous pouvons le constater
dans le compte de résultats. Par la suite, nous allons voir dans le tableau suivant le
calcul des écarts au niveau des investissements.
Dans le cadre des investissements, tous les écarts négatifs sont affichés au
niveau des logiciels informatiques et les constructions tandis qu’ils sont positifs pour les
matériels et l’installation technique. Un responsable de la SFEPI nous a expliqué au
cours de l’entretien que cette situation est due au montant des constructions car le
31
montant engagé n’atteint que 70 680 000 alors que nous avons prévu de dépenser de
80 000 000 ariary. Cela dégage une différence 9 320 000 ariary.
souvent qualifiés de « favorables » (ce qui est généralement une bonne nouvelle) ou de
« défavorables » (ce qui est généralement une mauvaise nouvelle). Un écart favorable
est constaté lorsque les produits réels sont supérieurs aux produits budgétisés ou -
lorsque les dépenses réelles sont inférieures aux dépenses budgétisées. Un écart
défavorable est constaté lorsque les produits réels sont inférieurs aux produits
budgétisés et lorsque les dépenses réelles dépassent les dépenses budgétisées.
13
M. GERVAIS, Contrôle de gestion, 5e édition, éd. Economica, Paris, 1994, p. 21
33
CHAPITRE III :
DISCUSSIONS ET
RECOMMANDATIONS
Section1 : Discussions
Les points forts et points faibles sont des facteurs internes qui créent la
valeur ou détruisent la valeur. Ils peuvent être mesurés en utilisant des évaluations
internes ou comparer en externes.
1-1 Analyse des points forts et des points à améliorer au niveau du système
budgétaire
Les services assurés par la SFEPI sont beaucoup plus plébiscités par
rapport à ceux de ses concurrents. Ceci est grâce à sa qualité appréciée en raison
de la capacité managériale des dirigeants. L’entreprise se pose toujours comme défi, la
constance de cette qualité.
La qualité de service de la SFEPI est éprouvée par sa pertinence à ne citer
que la gestion de la relation avec sa clientèle. La performance de cette relation chez la
SFEPI est étroitement liée à l’expérience et le savoir-faire du personnel. Cette
relation avec la clientèle s’entrevoit surtout dans deux cas. La performance de
l’entreprise réside dans l’aptitude du personnel à assurer la qualité de leur prestation
notamment dans l’accueil et dans le conseil alloué aux clients. Toutefois, la qualité
de ces prestations dépend de facteurs qui vont au-delà de l’expérience ou du savoir-
faire.
Ensuite, les paiements des créances peuvent être réalisés via Mvola, un
système de transfert d’argent pour assurer l’encaissement. Cette situation représente des
points positifs pour les deux parties. D’un coté, ce système garantit pour la SFEPI la
perception de leurs créances. Dans le souci de minimiser les coûts qu’accuseraient
la trésorerie en cas de retard de paiement, le personnel de la SFEPI invitera ses
clients à honorer leurs engagements dans les délais impartis. Ainsi, l’entreprise sera
toujours en mesure de prévoir les fluctuations de sa trésorerie. En effet, pour les
clients, cette disposition leur permet de faciliter leurs tâches notamment pour le
déplacement et les procédures bancaires.
35
Enfin, la plupart des opérations dans la SFEPI est déjà informatisée. Les
actions sont automatisées de telle sorte qu’il y ait minimisation des temps et de ce fait
des coûts.
de gestion qu'ils doivent établir à l'intention de l'autorité dont ils ont reçu délégation et
pour améliorer la fiabilité supérieure de corriger les grandes orientations de gestion de
la SFEPI.
L’absence du tableau de bord n’a pas permis à la SFEPI de synthétiser
l’ensemble des documents retraçant l’unité de gestion de façon périodique en vue d’en
contrôler et de comparer l’évolution des activités pouvant correspondre aux normes ou
objectifs fixés. Cependant, il est utile de prévoir en liaison avec le contrôle budgétaire.
La non-réalisation de tableau de bord budgétaire ne lui permet pas de suivre l’activité
réelle, la situation budgétaire de l’établissement et de mesurer les écarts par rapport aux
objectifs et d’apporter des mesures correctives. A cet effet, la SFEPI ne dispose aucune
information très concise et il y a une augmentation du temps de travail.
changeant qu’il lui faut constamment surveiller et interpréter afin d’y déceler
opportunités et menaces. Elle doit tenir compte de l’évolution de celui-ci et s’adapter
au mieux pour pouvoir survivre dans le monde des affaires. L’environnement
comprend toutes les forces susceptibles d’affecter la capacité de l’entreprise. Ce
sont les éléments non maîtrisables et incontournables. En effet, il existe d’une part,
pour le cas de la SFEPI, les influences positives qu’il considère comme des
opportunités et d’autre part, les menaces qui sont constituées par les influences
négatives de cet environnement.
L’analyse PESTEL permet de donner un éclaircissement à l’égard des
collectes des informations de l’environnement externe du centre plus précisément son
macro environnement. Le macro environnement est l’ensemble des grandes tendances
de la société dans sa globalité. La SFEPI subit le macro environnement mais elle ne
peut pas l’influencer.
La méthode PESTEL a été analysée pour analyser la direction, la stratégie et
le positionnement requis sur le marché de la SFEPI. Elle permet d’anticiper au préalable
les actions menées parmi les décisions stratégiques puisqu’elle consiste à faire
l’évaluation du marché de la potentialité de l’attractivité. Elle se présente sous une
grille qui permet d’appréhender les facteurs de l’environnement de l’entreprise. Elle se
subdivise en six parties principales : politique, économique, socioculturel,
technologique, écologique et légal. L’analyse politique concerne la politique fiscale les
régulations du commerce extérieur les dispositifs de protection sociale la stabilité
gouvernementale.
Section2 : Recommandations
Dans cette section, nous allons proposer une gestion budgétaire spécifique à
la SPEFI. Pour cela, nous décrirons dans un premier temps la conception et dans un
second temps la mise en place d’un système minimal de gestion budgétaire.
14
MEYER Jean, Gestion budgétaire, 7éme édition, Bordas 1976
40
Le processus d’élaboration des budgets est une activité cyclique qui mesure
périodiquement la vie de l'entreprise. Il nécessite, d’un coté, l’intervention de la
direction et la participation des services exécutifs de l’autre coté.
pour l'année à venir en accord avec le contenu du plan stratégique, mais en tenant
compte des infléchissements nécessaires du fait de l'environnement. Elle annonce le
début de la procédure budgétaire et demande aux différents responsables de produire à
la direction un plan d'action détaillée d'évolution des objectifs pour l'année à venir. A
cet effet, il est conseillé d’organiser une première réunion budgétaire pour recueillir les
besoins des différentes directions. Cette réunion est l'occasion de sensibiliser les
responsables opérationnels afin qu'ils s'engagent tous pour atteindre les objectifs de la
SFEPI.
Il est préconisé d’établir des fiches exposant les charges et les produits du
centre. Ces fiches qui sont désignées « fiches de recueil des besoins » préalablement
établies, devraient être ensuite distribuées aux différents services. Avec l'appui de la
direction, ces fiches vont servir de référence aux différents responsables pour
l'élaboration de leur budget.
I. Produits de peintures
Total général
Source : Investigation personnelle (2012)
La présente fiche doit être remplie en premier lieu par les différents
responsables. Ces données serviront de base pour l'établissement des autres fiches. Les
42
Total
Source : Investigation personnelle (2012)
donc une attention extrême car son bon déroulement conditionne deux éléments clés de
la santé financière de l'entreprise : sa structure financière et ses fonds propres et sa
situation de trésorerie.
Services extérieurs
Charges de personnel
Charges financières
2-2-3 Reporting
CONCLUSION GENERALE
concurrents. Développer, c’est faire croître, progresser. Pour y parvenir, elle doit
d’abord comprendre contre qui elle se mesure puis déterminer ses forces, ses faiblesses,
ses opportunités et ses menaces. Ainsi, la partie qui suit sera consacrée à une analyse
de la situation de la société pour voir sa potentialité, ses forces, ses faiblesses, ses
opportunités, ses menaces afin qu’elle puisse s’adapter et adapter ses actions en matière
de gestion budgétaire.
Pour terminer, il est indispensable de préciser que les hypothèses de départ
sont confirmées tant au niveau de l’élaboration des budgets que sur le contrôle
budgétaire. Pour continuer le présent travail, il est nécessaire d’approfondir la recherche
sur le contrôle de gestion tout en utilisant les termes de feuille de route sur la gestion
budgétaire.
V
BIBLIOGRAPHIE
KAPLAN Robert S., David P. Norton (2003), Le tableau de bord prospectif, Editions
d'Organisation.
Cours :
- Loi comptable, cours de quatrième année, option Finances et
Comptabilité de Monsieur RAKOTOSALAMA Lova, année 2010-2011
WEBOGRAPHIE :
- www.memoireonline.com
- www.wikipédia.fr
VII
ANNEXES
Achats consommés
RUBRIQUES Année1 Année2 Année3 Année4 Année5
Achats stockés
Matières premières 73 200 000 73 200 000 73 200 000 73 200 000 73 200 000
Matières consommables 3 750 000 3 750 000 4 125 000 4 125 000 4 125 000
Fournitures consommables 2 400 000 2 400 000 2 400 000 2 400 000 2 400 000
Petits équipements et fournitures 1 500 000 1 500 000 1 500 000 1 500 000 1 500 000
Achats des marchandises 21 320 000 23 452 000 25 584 000 27 716 000 29 848 000
Sous-total1 102 170 000104 302 000106 809 000108 941 000111 073 000
Achats non stockés
Eau et électricité 7 200 000 7 200 000 7 920 000 7 920 000 7 920 000
Fournitures d'entretien de petit matériel 720 000 720 000 720 000 720 000 720 000
Fournitures administratives 750 000 750 000 750 000 750 000 750 000
Autres matières et fournitures 300 000 300 000 300 000 300 000 300 000
Sous-total2 8 970 000 8 970 000 9 690 000 9 690 000 9 690 000
Total 111 140 000113 272 000116 499 000118 631 000120 763 000
Impôt et taxes
Eléments Année1 Année2 Année3 Année4 Année5
Impôts 600 000 600 000 600 000 600 000 600 000
Autres impôts et taxes 0 0 0 0 0
Total 600 000 600 000 600 000 600 000 600 000
Charges de personnel
Eléments Année1 Année2 Année3 Année4 Année5
Rémunérations du personnel 39 240 00051 084 00051 084 00051 084 00051 084 000
Cotisations aux organismes sociaux (CNaPS
et OSIE) 5 101 200 6 640 920 6 640 920 6 640 920 6 640 920
Autres charges de personnel 0 0 0 0 0
Total 44 341 20057 724 92057 724 92057 724 92057 724 920
Charges financières
Eléments Année1 Année2 Année3 Année4 Année5
Charges d'intérêts 12 461 400 10 719 572 8 664 216 6 238 895 3 377 017
Autres charges financières 0 0 0 0 0
Total 12 461 400 10 719 572 8 664 216 6 238 895 3 377 017
REMERCIEMENTS .......................................................................................................... ii
SOMMAIRE ...................................................................................................................... iii
LISTE DES TABLEAUX ET FIGURE............................................................................. iv
LISTE DES ABRÉVIATIONS ........................................................................................... v
INTRODUCTION GÉNÉRALE ........................................................................................ 1
CHAPITRE I : MATERIELS ET METHODES ............................................................. 5