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Sémantique

Le signe linguistique se définit comme l’association d’un signifiant et


d’un signifié. Ce signe linguistique n’est signe que s’il y a référence. Celle-ci
est un thème auquel se sont intéressé les philosophes. (Russel, Fregee,
Strawson, Austin), ils l’ont considérée comme un problème
extralinguistique.
Hjelmslev était le premier qui a parlé de référence en tant que signe
linguistique renvoyant à un triangle sémiotique constitué de trois
éléments : signifiant, signifié et un référent.
Le concept de référence est un concept ambigu : c’est le verbe
« référer » qui est au cœur de cette ambiguïté.
1) Chez Ducrot et Searle : référer veut dire : la désignation des
objets particuliers. Ducrot : limite l’application du verbe
référer à la désignation des objets réels.
2) Frege et Strawson étendent le sens du mot référer jusqu’au
concept réel (abstrait et concret).
Il y a plusieurs termes voisins au terme « référence » : dénoter, renvoyer
à, dénommer, identifier.
Benveniste dit que les items lexicaux réfèrent car ils sont des signes.
Recanati postule que : il n’ y a signe et donc item que parce qu’il y a
signe et item lexical de quelque chose.
3- Dénotation et connotation
Définition de la connotation : la connotation est généralement définie
comme une notation qui vient s’ajouter à la dénotation.
1- Robert Martin : « Le système connotatif constitue dans la langue un
système second de signification »
2- Alors que la connotation chez Mill est une notion sémantique
primitive définie en intension « sens » alors que la dénotation est une
définition en extention. « ensemble des référents »

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La dénotation et la connotation sont les deux rapports qui relient les
noms aux choses. Par exemple : blanc dénote tous les objets qui sont
blancs et connote la qualité blancheur.
3- Chez fregee : l’intention / extension : l’usage moderne correspond à
l’opposition : sens / dénotation
Référence virtuelle / actuelle :
1- Selon Strawson : La référence virtuelle : est le premier sens qui
est le même dans toutes les cultures . La référence actuelle :
est le second sens qui varie selon les cultures. Par exemple : la
lune est la marque de beauté selon les occidentaux et le hibou est
la marque de la sagesse selon l’amazigh, la gazelle est la marque
de la beauté selon les marocains
2- Chez Milner : la référence virtuelle correspond au sens
dénotatif. Tandis que, la notion d’actualisation correspond au
passage du virtuel au réel.
3- Charles Bally : pense que « l’actualisation de concept consiste à
les faire passer dans la réalité » ce rôle d’actualisation est
attribué au déterminant appelé « actualisateur » par exemple :
le concept « homme » est actualisé par : l’homme : des hommes.

La catégorisation
Définition : le phénomène de catégorisation est perçu comme essentielle
car il se retrouve dans toutes nos activités qu’elles soient de pensée,
perception ou de parole ainsi que dans nos actions, chaque fois qu’on
perçoit une chose comme une espèce on catégorise : par exemple :
chanter renvoie à la catégorie action.

Le modèle des Conditions Nécessaires et Suffisantes .


Ce modèle est dit classique « hérité d’Aristote » est la catégorisation
se fait sur la base des propriétés communes. Il se base sur l’existence
d’un certain nombre d’attributs en commun. Le faisceau de C.N.S
correspond aussi au sens qui dénomme la catégorie : Exemple :
l’ensemble des C.N.S qui dénomme chien constitue aussi le sens de

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chien. Ce sens est dénotatif ou sens vériconditionnel ou encore
référence virtuelle
➢ Le sens d’un mot est constitué d’un ensemble de traits « les traits
constitutifs » ceux-ci réfèrent au sens dénotatif que possède un
segment de la réalité sans prendre en considération les traits
encyclopédiques qui réfèrent au sens connotatif.

Les difficultés du modèle de C.N.S


➢ se résument dans le problème de fixation de ce modèle : dans le
cas des mots qui renvoient à plusieurs types de référents possibles. :
➢ Si ces types de référents sont disjoints, le problèmes est réglé dans
le cadre homonymique : grève, mer, mère. Et s’il y a un type de
relation entre le type de référent pourtant différent, il serait
impossible de résoudre ce problème dans le cadre de la polysémie :
exemple : veau : animal / veau : viande de cet animal.
➢ Ce modèle manifeste une certaine homogénéité au niveau des
catégories, ses membres sont présentés comme équidistants c’est-à-
dire : ses limites sont floues, elles ne sont pas claires.
Exemple : moineau sera le meilleur exemplaire d’oiseau par rapport à
poussin ou par rapport à autruche alors que ce modèle veut qu’il ait
une homogénéité.

Structuraliste : sème / générativiste : axiome : trait


primitif sémantique : axiome, noème

Définition :
➢ Le sème : les sèmes sont l’ensemble des traits qui constituent le sens
d’un item.
➢ L’axiome : l’ensemble des formules correctes, mais non démontrées
d’un système ou d’une théorie linguistique.
Les sémanticiens générativistes : Lakoff : parlent lors de l’analyse
sémantique des primitifs sémantiques ou noèmes, ils sont des
éléments sémantiques insécables et ultimes c’est-à-dire : des unités
axiomatiques ou prédicats inanalysables. Donc, on dépasse le sème
structuraliste pour arriver aux axiomes.
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Exemple : le tramway par rapport à la métro « sous-sol » : : le terme
de surface permet d’opposer ces deux unités.

Le trait virtuel : connotatif, afférent

Définition : le trait virtuel, sont des traits non distinctifs qui


existent dans la mémoire du locuteur.
Selon Pottier : les traits virtuels correspondent à la dimension connotative
de la langue « intalianité » pour le sémème Pizza, il les désigne par
virtuèmes. Dans sa terminologie « de Pottier » : le virtuème est un
ensemble de sèmes constituants l’élément variable de la signification
d’une unité lexicale. Ces sèmes variables sont connotatifs, c’est-à-dire
qu’ils ne s’actualisent que dans certaines combinaisons données au
discours »
Définition du séme afférent et inhérent
1) Selon Rastier : les traits virtuels sont les composants non distinctifs.
Ces traits non pertinents ou non distinctifs sont aussi des sèmes qu’il
nomme sèmes afférents et qui sont relatifs aux normes socialisées voire
idiolectales. A côté de ceux-ci,
Rastier parle de traits inhérents (dits aussi distinctifs, définitoires et
universels) qu’il relie au système fonctionnel de la langue. Certains auteurs
tels que Cosérieu, Greimas, Orecchionni refusent cette idée de sème
afférent.
N.b : les sèmes afférent sont dits connotatifs, non distinctifs, non
définitoires, non universels.

Peut-on dire que ce sont des sèmes ?

1- Rastier : considère le trait descriptif, non pertinent, c’est-à-dire


connotatif comme des sèmes, des sèmes afférents, qui font partie

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avec les sèmes inhérents du classème (générique) et du
sémantème (trait spécifique), composant le sémème.
Exemple : le trait:/vulgarité/ dans « bagnole » ou dans « flic » qui
prend une valeur distinctive dans la plupart des contextes.
2- En revanche Picoche : distingue les sèmes constitutifs des
sémèmes et les virtièmes, si le sème est du domaine de la valeur,
le virtuème relève de la signification, il concerne certaines
particularités occasionnelles du référent et ne doit pas être
confondu avec le référent.

La différence entre les sèmes inhérents et les sèmes


afférents.
La différence se traduit par l’effet que le contexte peut avoir
sur l’interprétation que l’on donne au mot.
Les sèmes afférents socialement normés sont activés
grâce au contexte d’emploi : le sème « rusé », que ce soit
pour qualifier l’animal ou pour qualifier un être humain de
renard.
Exemple d’analyse : compenentialité de sens
//transport// (moyens de transport)

//ferré// //routier//
Métro : /intra-urbain/ Autobus : /intra-urbain/
Train : /extra-urbain/ Autocar : /extra-urbain/

L’opposition spécifique / générique


Les différentes nominations des traits :

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Katz et Fodor Simantics markers Sémantics distinguishers
Pottier Sèmes génériques Sèmes spécifiques
Greimas Classèmes Sèmes nucléaires

Définition
✓ Sème spécifique : élément du sémantème opposant le sémème à
un ou plusieurs sémèmes du taxème auquel il appartient.
✓ Sème générique : élément du classème, marquant l’appartenance
du sémème à une classe sémantique. Il existe trois sortes de
sèmes génériques :
1-Microgénérique (taxème) ; couvert ( cuillère, louche,
fourchettes)
2-sème méso générique (domaine) : alimentation.
3- Sème macrogénérique (dimension, l’indicateur lexicographique) :
concret.
✓ Classème : ensemble des sèmes génériques d’un sémème. Il inclut
les traits génériques communs à tous les éléments de l’ensemble.
✓ Sémantème : est la classe de sèmes spécifique distinctif dans le
cadre d’un ensemble lexical donné, c’est un ensemble de sèmes
constants
✓ Un sémème : c’est l’unité lexicale, c’est-à-dire, l’ensemble des traits
sémantiques dits sèmes. Il se divise en un ensemble de sèmes
spécifiques, c’est-à-dire sémantèmes (spécifiques) et en un ensemble
de sèmes génériques d’un sémème, c’est-à-dire le classème.
✓ Un taxème : est la classe la plus basse, c’est une classe de sémèmes
minimale en langue. Là se trouve défini le sémème le plus faible
généralité de sémèmes. (séme microgénérique (ainsi que les sèmes
sépécifiques).
✓ Voir les illustrations page : 28-29

La distinction entre sèmes spécifiques et sèmes


génériques

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Les sèmes spécifiques permettent d’opposer le sémème à un ou
plusieurs sémèmes du taxème auquel il appartient alors que : les sèmes
génériques marquent l’appartenance de sémème à une classe sémantique.
L’isotopie : la notion d’isotopie
Définition : la notion d’isotopie a été développée par Rastier qui la
définit comme récurrence d’un sème, il distingue une isotopie minimale
et une isotopie générique
L’isotopie en linguistique est la récurrence d’éléments dans un
même texte qui permettent de la comprendre.
On distingue les isotopies génériques et les isotopies spécifiques.
Les isotopies génériques se divisent comme les sèmes en trois
classes sémantiques :
a- les isotopies microgénériques : au niveau du taxème, c’est la
récurrence d’un sème microgénérique. (et l’entrecôte, bleue,
saignante, à point bien cuite ?)
les isotopies microgénériques est constituée à partir de la
récurrence du trait /degré de cuisson/
b- les isotopies mésogénérique, niveau du domaine : c’est la
récurrence d’un sème mésogénérique. (exemple domaine de
navigation ; l’amiral ordonna de carguer les voiles)
c- Les isotopies macrogénériques : niveau de dimension : c’est
la récurrence d’un sème macrogénérique. (le hérisson
insectivore n’est pas de la même famille que le porc : épic),
récurrence du trait /animé/ qui constitue l’isotopie
macrogénérique.
Les isotopies spécifiques : émanent de la récurrence des sèmes
spécifiques, (l’aube allume la source), c’est la récurrence du
trait /inchoatif/ qui constitue l’isotopie spécifique. Rastier.
Les isotopies peuvent être aussi comme les sèmes, inhérents et afférents
La relation entre les sèmes d’un sémème

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Il y a une relation d’inclusion ou d’implication entre les sèmes génériques
(classèmes). Les microgénériques impliquent certains mésogénériques
puisque les taxèmes sont impliqués dans les domaines.
✓ Microgénérique : couvert
✓ Mésogénérique domaine : alimenter
✓ Macrogénérique : concret.
La polysémie selon Rastier
Rastier aborde la notion de polysémie selon trois notions : l’emploi,
l’acception et le sens.
a- L’emploi : Rastier le définit comme l’occurrence d’un même sémème.
b- L’acception : deux sémèmes qui différent par un ou plusieurs sèmes
afférents socialement normés « ex : minute »
S1 : partie d’une heure.
S2 : court espace de temps S1 et S2 ne diffèrent que par le sème
/court/, ce sème est le produit d’une afférence socialement normée.
Comme le montrent les combinaisons lexicales « cocotte minute » et
la phrasiologie « en avoir pour une minute », le sème /court/ est
activé dans S2 (afférence socialement normée), cette afférence est
neutralisé dans l’acception scientifique S1.
c- Sens : ensemble des sèmes inhérents et afférents (génériques et
spécifiques) actualisés d’un passage ou dans un texte. Le sens se
détermine relativement au contexte et à la situation, au sein d’une
pratique sociale.
✓ Blaireau S1 : mammifère carnivore.
✓ S2 : pinceau fait de poils de blaireau.
Ce sont deux acceptions en relation métonymiques. (la partie du tout).
Métonymie : procédé de langage qui consiste à renommer quelque chose à
l’aide d’un terme qui désigne un autre ayant avec lequel ayant une relation
logique.
La métaphore
Définition

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La métaphore est traduite traditionnellement comme une comparaison
abrégée ou comme une analogie, elle permet donc d’établir le lien entre
deux concepts et de définir l’un par rapport à l’autre.
1- Pour Gentner : une mise en relation de deux domaines de
connaissance, deux concepts.
2- Lakoff et Johnson, permet de comprendre quelque chose en terme
de quelque chose d’autre.
3- Kleiber, la définit : une déviance catégorisation, et comme
incompatibilité sémantique entre terme métaphorique et le contexte
mais le mécanisme est le même.
Les types de métaphores
La métaphore peut être nominal ou à pivot verbal :
a- La métaphore à pivot verbal ( métaphore in absentia) Tamime : c’est
le verbe qui est l’élément métaphorisant, il s’agit d’une
incompatibilité soit entre le verbe et son sujet soit entre le verbe et
son complément.
b- La métaphore nominale : révèle une certaine instabilité dans la
relation instaurée entre les deux concepts : en disant que cet homme
est un loup. Le point de rapprochement est relatif c’est soit à la
paresse, la sauvagerie, le courage.
c- La métaphore conceptuelle : se structure autour de deux
représentations mentales spécifiques : le domaine source et le
domaine cible : exemple : la santé mentale a volé en éclat
Il s’agit dans cette métaphore de projeter un domaine cible (l’esprit)
vers un domaine source (caractérisant un objet).
d- La métaphore d’orientation : permet de spatialiser.
e- La métaphore ontologique : a pour objet de substantialiser ou de
personnifier.
f- Le troisième type de métaphore : la métaphore structurale de
(Lakoff et Johson) permet d’élaborer un concept selon des principes
diversifiés.
➢ La discussion c’est la guerre. : Il est question ici d’un concept
métaphorique qui rend intelligible le domaine abstrait de la

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discussion. Ce domaine abstrait peut être concrétisé sous la
forme d’un conflit.
Dans ce sens Lakoff et Johnson en parle ainsi : la guerre est domaine
source permettant de comprendre le domaine cible discussion.
g- La métaphore minimale : lorsqu’elle s’étend sur deux sémèmes (peut
s’étendre sur un paragraphe ou même un texte.
Selon Rastier : les isotopie génériques sont responsables de l’impression
référentielle, elles peuvent être unique et appartenir à un seul domaine.
Exemple : Toutes même la plus laide a fait souffrir son amant.
L’isotopie générique dans cet énoncé consiste selon Rastier en la
récurrence du sème générique /amour/ de façon inhérente (amant) ou
de façon afférente (laide).
Exemple de la métaphore minimale
Isotopie 1 : la campagne : bergère, troupeau, bêle
Isotopie 2 : la ville : Eiffel, les ponts…voir la page 77
Dans ce cas, il est question d’une métaphore qui est une connexion
particulière entre deux isotopie génériques : il y a une incompatibilité
entre les deux au moins un des traits de leur classème (veille)
h- La métaphore filée ou étendue : c’est métaphore qui s’étale sur un
ensemble plus ou moins grande de mots (elle est reprise tout au long
du texte). Voir l’exemple de la page 79 : il s’agit d’une métaphore où
les affaires financières sont associées à des batailles meurtrières.
✓ La Bourse est donc un champ de bataille, les spéculateurs sont
des soldats et ceux qui sont ruinés sont des soldats morts.
Ainsi, la Méchain (personnage du Roman assoiffé d’argent et de
gain) est assimilée à un corbeau. Cette métaphore est reprise
tout au long du texte, ce qui en fait une métaphore filée.
✓ Parfois on a une seule isotopie de guerre par exemple : voir la
page 80.
✓ Il y a une métaphore filée, développée tout au long de la
strophe, elle renforce la comparaison, celle-ci se développe à
l’aide d’une suite d’images qui insiste sur la ressemblance entre
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l’empereur et un arbre( ce géant, grandeur, ses branches, chêne
vivant)
11- La métaphore conventionnelle , conceptuelle générique,
quotidienne: est l’opposée de la métaphore filée, elle structure le
système conceptuel ordinaire de notre culture qui est reflété dans
notre langage quotidien, autrement dit, elle est comprise à partir
de connaissances encyclopédiques et l’on fait le rapprochement.
✓ Exemple : cette pièce est une porcherie.
✓ La porcherie est sale et désordonnée, ainsi la chambre est
sale ou sent mauvaise par implication la personne qui s’y
trouve.
✓ Exemple 2 : image prototypique : la colère étant rapprochée
à un liquide chaud, à la folie, au feu, à un fardeau
✓ La métaphore conceptuelle se divise en :
✓ Métaphore générique : elle est la plus répandue.
✓ Métaphore spécifique : elle est définie culturellement.
La métaphore conceptuelle est un ensemble de correspondances
entre éléments ou deux domaines où la source est notion concrète (la
guerre, et la cible est plus abstraite (la discussion) : la discussion
(domaine cible) c’est la guerre (source).

La métonymie conceptuelle
La personne ou le nom Je ne suis pas sur la liste des admis
Le possesseur pour l’objet Mon pneu est crevé
possédé
L’auteur pour le livre J’aime lire Zola
L’endroit pour les habitants. Mon quartier est actif
Le producteur pour le produit Mon nouveau Samsung est génial
Le contenant pour le contenu Il a bu un verre.
Dans les exemples au-dessus : La conceptualisation est orientée vers
la généralisation
Dans les exemples au-dessous : la conceptualisation est orientée vers
la spécialisation :

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✓ Mon nom n’est pas dans la liste des admis.
✓ J’aime lire les romans de Zola.
✓ Les habitants de mon quartier sont actifs.
✓ Mon nouveau téléphone portable est génial.
✓ Il a bu un jus qui était dans le verre.

La métaphore assume plusieurs fonctions


Elle peut instaurer :
✓ La personnification d’un inanimé ou d’une abstraction. : Berlin, Vienne,
étaient ses maitresse » les villes sont personnifiées.
✓ Avoir une valeur hyperbolique ou une valeur de litote : la rouille
attaque le fer.
✓ Une fonction stylistique, ornementale, embellir le réel
✓ Une fonction argumentative et persuasive
✓ Concrétiser l’abstrait. Les autoroutes de l’information.
✓ De personnifier : les autoroutes rugissent dans les nuits sauvages.
✓ D’animaliser les objets : Les autoroutes rugissent dans les nuits
sauvages.
✓ Inhumaniliser l’humain : le camionneur rugit sur les autoroutes qui
traversent les nuits rurales.
✓ Une fonction cognitive : la métaphore touche l’affectivité et la
sensibilité humaine
Les connotations qui sont développées sont valorisantes ou dévalorisantes,
elles ont une valeur argumentative.

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