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aux idiots qui avait missionné nos braves héros. Quelques jours de repos étaient plus
que nécessaire et bien mérité. Suite au derniers évènement Mérigorn avait les idées
claires et savait parfaitement ce il devait faire, il était parfaitement au clair sur sa
faiblesse actuelle et savait comment la compenser même si cela le privait de toutes ses
chances de reposé en paix auprès des siens une fois son heure venue.
Le jour de la grande séparation était donc venu. Il céda tout ce qu’il avait, or, objet etc
a son allié le plus proche et à la personne il était le plus reconnaissant, Aphélius. Il
garda uniquement ses différentes épée (surtout celle du Démon). Après un adieu bref a
ses compagnons Mérigorn se mis en route. Son objectif était clair, se rendre au fin
fond des montagnes d'Aiguilles situé à l’extreme nord-est du continent (une des deux
zones en rouge). Il avait entendu a de nombreuse reprise de la part de son père parler
du légendaire « void dragon », un dragon millénaire solitaire maitre des énergies
dimensionnel qui depuis toujours vivait loin de toute forme de vie. A lui tout seul il
pourrait mettre en déroute toutes les forces armées du continent sans le moindre mal.
/* Rajout MJ */
Au moment ou Merigorn entre dans ce portail, il ne sais pas à quoi s'attendre
exactement, mais il est prêt. Quelques secondes s'écoulent dans l'obscurité, puis le
bout du tunnel. Merigorn sort et se retrouve au milieu d'une tempête de neige, la
toundra vient fouter le visage du sangdragon par de la neige qui ressemble plus à des
lames de rasoirs. Après quelques secondes à analyser le décor qui l'entour, Merigorn
voit une lueur au loin, dans cette nappe blanchatre entrecoupé par les quelques sapins
présents autour de lui. Ses pas se font lourd, puis, se dessine quelques mètres plus loin,
une sorte de cabane en bois, avec une porte fermée et une fenêtre en piteux état,
l'origine de la lueur n'est d'autres qu'un foyer à l'intérieur de cette cabane. Alors qu'il
s'approche de la porte prudemment et lève le poing afin de frapper à la porte, cette
dernière s'ouvre devant lui. Un homme se tient debout devant lui, le visage écorché,
une barbe pas entrenue, un regard d'un bleu profond, froid. Puis un large sourire, et
une voix, qu'il reconnait. "Je t'attendais, mon ami."