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Henri Bosco

écrivain français (1888-1976)

Henri Bosco

Biographie
Naissance16 novembre
Avignon (Fra
Décès 4 mai 1976
Nice (France
Sépulture Cimetière de
Lourmarin
Noms de Fernand Ma
naissance Bosco, ‫فرناند‬
‫ماریوس بوسکو‬
Nationalitéfrançaise
FormationUniversité
Grenoble-Alp
Activité Écrivain
Père Louis Bosco
Conjoint Madeleine B
( ) (de 1930
d

1976)
Autres informations
Genre Roman
artistique
DistinctionGrand prix
national des
Lettres (195
Prix Renaud
(1945)
Prix Louis
Barthou (194
Prix des
Ambassade
Grand prix d
la
Méditerrané
Prix de
l'Académie d
Vaucluse
(1966)
Grand prix d
littérature
(1968)
Œuvres principales
L'Âne Culotte (1937)
L'Enfant et la Rivière
(1945)
Le Mas Théotime
(1945)
Malicroix (1948)
Le Renard dans l'île
(1956)
Fernand Marius Bosco[1], dit Henri Bosco, né le 16 novembre 1888
à Avignon et mort le 4 mai 1976 à Nice, est un romancier français.

Biographie

Plaque sur la maison natale d'Henri


Bosco.

Henri Bosco est issu d'une famille provençale, ligure et


piémontaise, dont les origines les mieux identifiées se trouvent
près de Gênes. Sa famille paternelle est apparentée à don Jean
Bosco, le fondateur des salésiens à Turin. Il est né au no 3 de la
rue Carreterie, entre la place Pignotte et la place des Carmes, à
Avignon, en novembre 1888. À la fin du xixe siècle, il s'agissait du
quartier d'Italiens, qui y avaient leur paroisse. Sa maison natale
est aujourd'hui identifiée par une plaque de marbre.

Son père, Louis Bosco (1847-1927), était originaire de Marseille


où il repose, bien que décédé à Lourmarin. Il était tailleur de pierre,
luthier et chanteur d'opéra, souvent en déplacements. Sa mère,
Louise Falena (1859-1942), née à Nice, est inhumée à Rabat où
son fils était en poste à l'époque de la Seconde Guerre mondiale. Il
est le cinquième enfant, les quatre premiers étant décédés
prématurément.
Il a trois ans quand sa famille quitte le centre-ville pour habiter
une demeure plus vaste et proche de la Durance, le mas du Gage,
à l'extrémité du quartier de Monclar, au quartier de Baigne-Pieds[2].
Sa mère lui enseigne d'abord elle-même la lecture et l'écriture. Il
entre en classe à l'âge de dix ans, rue Bouquerie, à l'école des
Ortolans. Marc Maynègre indique que lors des absences dues aux
engagements de son père, le jeune Henri était accueilli par Julie
Jouve, sa marraine, originaire de Bédoin, devenue concierge du
Conservatoire d'Avignon, ou par la tante Clarisse dont Bosco fera
la tante Martine de ses romans.

Il fait ses humanités grecques et latines dans la cité papale. Il est


pensionnaire au lycée d'Avignon. « Parallèlement, il poursuit
pendant huit ans des études de musique (harmonie et
composition musicale) au Conservatoire d'Avignon, tout en
suivant des cours de violon auprès de M. Maillet, l'organiste de
l'église Saint-Agricol, en face de la librairie Roumanille, célèbre
félibre et ami de Frédéric Mistral. Henri Bosco y fera référence
plus tard dans Antonin »[3]. Bosco obtient, en 1909, sa licence de
lettres et son diplôme d'études supérieures à l'université de
Grenoble, obtenant son diplôme après avoir présenté un mémoire
sur la papauté avignonnaise (un festin papal donné au Palais),
puis il prépare et réussit son agrégation d'italien en 1922[4] à
l'Institut français de Florence.
Mobilisé en Orient

Devenu musicien de talent, Henri Bosco occupe ses loisirs à jouer


et même écrire de la musique. Lors de la Première Guerre
mondiale, il est mobilisé au 4e régiment de zouaves à Salonique.
Devenu sergent-interprète à l'État-major de l'Armée d'Orient, sa
nouvelle fonction ne lui fait pas quitter les rives
méditerranéennes. Il fait campagne aux Dardanelles, en
Macédoine, en Serbie, en Albanie, en Hongrie et en Grèce.

La fin de la Grande Guerre le dirige d'abord à Belgrade, à la Faculté


des Lettres où il enseigne le français, pendant l'année universitaire
1919-1920, en tant que lecteur et assistant du professeur Bogdan
Popović.

Profitant de son affectation militaire, le jeune universitaire recopie


et décrypte nombre d'inscriptions antiques. Il se lie d'amitié avec
Robert Laurent-Vibert, un industriel lyonnais érudit, avec qui, les
hostilités finies, il participe au sauvetage et à la restauration du
château de Lourmarin, dans le Sud du Luberon. Il deviendra en
1941 l’un des administrateurs de la Fondation de Lourmarin
Laurent-Vibert[5], fondée par l’Académie des Sciences Agriculture,
Art et Belles Lettres d’Aix-en-Provence.

Séjour napolitain
La paix revenue, Henri Bosco est détaché à l'Institut français de
Naples où il donne, durant dix ans, des cours publics. Il y a comme
collègue Jean Grenier, ainsi que Max Jacob, de passage sur la
côte amalfitaine. Il y écrit, en 1924, son premier livre, Pierre
Lampédouze, dans lequel il décrit sa ville natale : « Toute la ville
est argentée de métal pur. C'est le dimanche des Rameaux. Saint-
Agricol clame sa joie. Saint-Didier tinte à tous vents. Saint-Pierre a
des battants qui font tourner les cloches. Les Carmes chantent en
patois un vieux cantique de Maillane, toutes les chapelles
s'appellent dans les rues lointaines où fleurissaient, jadis, les
confréries, et les confréries et les couvents qui sont perdus sous
les remparts, font danser leurs petites cloches, et le grand bronze
du bourdon de Notre-Dame des Doms dont dépendent quatre
paroisses, du sommet de sa métropole, jette sa gloire et sa clarté
à travers toute la Provence ».

Son deuxième livre, Irénée, est inspiré d'un premier et grand amour
pour la belle triestine Silvia Fondra sans que s'estompe le souvenir
de sa Provence natale.

Au cours de son séjour à Naples, il se passionne pour les


recherches en cours sur Pompéi et la fameuse Villa des Mystères,
avec un intérêt tout particulier pour l'orphisme.

Il se marie le 16 juillet 1930 à Ollioules, dans le Var, avec la


Gersoise Madeleine Rhodes (1898-1985). Ils n'auront pas d'enfant.
En 1930-31, il écrit le premier roman de la trilogie de Hyacinthe,
L'Âne Culotte.

Œuvre littéraire

En 1931, Henri Bosco rejoint le Maroc où il restera jusqu'en 1955.


En mai 1931, il écrit Le Sanglier, faisant la démonstration que le
roman d'aventures n'a pas forcément besoin d'exotisme, ni
d'escouades policières, pour organiser une chasse à l'homme.

Il va passer une longue partie de sa vie comme professeur au


lycée Gouraud de Rabat et président de l'Alliance Française au
Maroc. À la fin de la guerre, en 1945, il obtient le Prix Renaudot
pour Le Mas Théotime et le prix Louis Barthou en 1947.

En 1953, sa carrière de romancier est couronnée par le Grand prix


national des Lettres.

En 1968, Henri Bosco se voit décerner le grand prix de littérature


de l'Académie française pour l'ensemble de son œuvre[6].

Cette récompense prestigieuse avait été précédée, deux ans


auparavant, par un hommage rendu à Avignon. Le
22 octobre 1966, le romancier, devant un parterre de cinq cents
personnes, fut accueilli dans la salle des fêtes de l'hôtel de ville. Il
se vit honorer du Prix de l'Académie de Vaucluse, récompense
décernée pour la première fois par le Conseil général. Ce prix lui
fut décerné pour « sa remarquable œuvre romanesque et ses
livres de souvenirs ».

Romancier du Luberon

Arrivé à l'âge de la retraite de l'Éducation nationale, Henri Bosco


partage sa vie entre Nice et Lourmarin, en compagnie de
Madeleine. En janvier 1955, il achète la Maison Rose, à Cimiez, sur
les hauteurs de Nice[7]. Il séjourne souvent dans son bastidon de
Lourmarin, célébrant le Luberon, terre de paysans et de vignerons
qu'il affectionne, mais surtout de mystère qu'il va chanter avec
des accents homériques.

Au temps des amandiers en fleurs, Lourmarin, la seconde patrie d'Henri Bosco.

En 1955, il est candidat à l'Académie française[8].

Humaniste, Bosco aime cette montagne magique : les hommes


simples depuis la nuit des temps y ont vécu et souffert, au sein
d'une nature généreuse. « Je les connais tous, les sites humains
d'où sont partis les hommes, l'abri du charbonnier, la cuve à vin
creusée dans la paroi du roc, le poste à feu oublié du chasseur et,
quelque part en un lieu hanté de moi seul, perdu dans la
broussaille, cette aire immense avec des talus et quatre grands
fossés mangés par l'herbe. Un vieux peuple, rude et sensé, au
cours d'une migration énergique, avait sans doute établi là, jadis,
son camp à l'ombre de la Terre. »

Dernières volontés

Pierre tombale d'Henri Bosco au


cimetière de Lourmarin.

Le chantre du Luberon désira reposer au cimetière de Lourmarin.


Henri Bosco fit part de ses dernières volontés dans un texte publié
par ses amis d'Alpes de Lumières : « Enfin on chantera tes bêtes :
renards, martres, fouines, blaireaux, nocturnes et le sanglier qui
est peut-être ton dernier dieu (Mais silence, tu me comprends...).
Pour moi, si quelque jour, je dois tomber loin de ta puissance, je
veux qu'on ramène mes cendres à Lourmarin, au nord du fleuve, là
où vécut mon père et où, trop peu de temps, j'ai connu les conseils
de l'Amitié.
Et que l'on creuse alors sur ta paroi, en plein calcaire, là-haut loin
des maisons habitées par les hommes, entre le chêne noir et le
laurier funèbre, un trou, ô Luberon, au fond de ton quartier le plus
sauvage. J'y dormirai.
Et puisse-t-on graver, si toutefois alors quelqu'un prend souci de
mon ombre, sur le roc de ma tombe, malgré ma mort, ce
sanglier »[9].

Il meurt à Nice en 1976 à 87 ans et est enterré à Lourmarin


(Vaucluse). Son épouse est décédée en 1985.

Postérité

Ses romans pour adultes ou pour enfants constituent une


évocation sensible de la vie provençale où une imagination libre et
succulente participe au pouvoir envoûtant de son écriture. De nos
jours, la trilogie L'Âne Culotte - Hyacinthe - Jardin d'Hyacinthe ainsi
que Malicroix, Le Mas Théotime, L'Enfant et la Rivière, L'Habitant de
Sivergues, Le rameau de la nuit, Le récif, entre autres, sont réédités
en de nombreuses langues et constituent des succès de librairie.
L'œuvre d'Henri Bosco a fait l'objet de nombreuses études depuis
les quatre premières thèses de doctorat soutenues du vivant de
l'auteur : Jean Cleo Godin (Une poétique du mystère, Montréal,
1968), Lionel Poitras (La participation au monde, Fribourg, 1971),
Gérard Valin (Henri Bosco et Novalis, deux poètes mystiques, Paris-
Nanterre, 1973), Jean-Pierre Cauvin (La poétique du sacré, 1976).

L'association de l'Amitié Henri Bosco a été créée avec la


participation de l'auteur à Nice en 1973. Ludo van Bogaert,
Madeleine Bosco, Jean Onimus ont animé les premières années
d'activité. Le professeur Claude Girault, germaniste de l'université
de Caen, a pris le relais en donnant une impulsion décisive aux
colloques internationaux et aux Cahiers Henri Bosco ; ces derniers
comportent un grand nombre de ses travaux très inspirés du
romantisme allemand, issus des archives laissées à la
Bibliothèque universitaire de l'université de Nice Sophia Antipolis,
reçues en 1972 par son amie Monique Baréa, responsable des
Amitiés Henri Bosco, directrice de la section Lettres de la
bibliothèque. Claude Girault, ami de l'auteur est devenu à son
décès le légataire de son journal (le diaire).

Décoration

Henri Bosco était commandeur de la Légion d'honneur (1973)[10].

Bosco et Bachelard

Henri Bosco est un des écrivains favoris de Gaston Bachelard[11],


qui le cite fréquemment dans ses œuvres pour commenter ses
images et ses métaphores, notamment dans La Flamme d'une
chandelle. Les deux auteurs ont entretenu une correspondance[12].
La thèse de doctorat en lettres de Gérard Valin s'appuie, sur les
recommandations de Claude Girault et Jean Onimus, sur les
rapprochements de thèmes majeurs communs à Novalis et Henri
Bosco. Bachelard, le philosophe des sciences de la Sorbonne,
explore ces sources d'inspiration dans la seconde partie de son
oeuvre consacrée à la poésie (Psychanalyse du feu, L'eau et les
rêves, L'air et les songes, La flamme d'une chandelle, ...)

Œuvres d'Henri Bosco

Album du Luberon, 1966, colophon.

Pierre Lampédouze, 1925


Eglogues de la mer, 1928
Irénée, 1928
Le Quartier de sagesse, 1929
Le Sanglier, 1932
Le Trestoulas et L'Habitant de Sivergues, 1935
L'Âne Culotte, 1937 ; édition de 1950 avec des illustrations de
Nicolas Eekman
Hyacinthe, 1940
L'Apocalypse de Saint Jean, 1942
Bucoliques de Provence, 1944
Le Jardin d'Hyacinthe, 1945
Le Mas Théotime, 1945
L'Enfant et la Rivière, 1945
Monsieur Carre-Benoît à la campagne, 1947
Sylvius, 1948
Malicroix, 1948
Le Roseau et la Source, 1949
Un Rameau de la nuit, 1950 (Grand Prix national des Lettres,
1953)
Alger, cette ville fabuleuse, 1950
Des sables à la mer. Pages marocaines, 1950
Sites et Mirages, 1950.
Antonin, 1952
L'Antiquaire, 1954
Les Balesta, 1955
La Clef des champs, 1956
Le Renard dans l'île, 1956
Sabinus, 1957
Barboche, 1957
Bargabot, 1958
Bras-de-fer, 1959
Saint Jean Bosco, 1959
Un oubli moins profond, 1961
Le Chemin de Monclar, 1962
L'Épervier, 1963
Le Jardin des Trinitaires, 1966
Album du Luberon (gravures sur cuivre de Michel
Moskovtchenko), 1966
Mon compagnon de songes, 1967
Le Récif, 1971
Tante Martine, 1972
Une ombre, 1978
Des nuages, 1980

Notes et références

1. Tel qu'écrit sur son acte de naissance.


2. Marc Maynègre, 2006, p. 6.
3. Marc Maynègre, 2006.
4. « Les agrégés de l'enseignement secondaire. Répertoire
1809-1960 (http://rhe.ish-lyon.cnrs.fr/?q=agregsecondaire_lau
reats&nom=Bosco&annee_op=%3D&annee%5Bvalue%5D=&an
nee%5Bmin%5D=&annee%5Bmax%5D=&periode=All&concours
=All&items_per_page=10) [archive] », sur cnrs.fr (consulté le
23 avril 2023).
5. « Bosco, Henri (1888-1976) (http://bunum.univ-cotedazur.fr/o
meka-s-dev/s/mai_68/item/526#?c=&m=&s=&cv=&xywh=-565,
0,1490,477) [archive] », sur bunum.univ-cotedazur.fr (consulté
le 18 avril 2020)
6. Grand Prix de littérature (http://www.academie-francaise.fr/he
nri-bosco) [archive], Académie française, consulté en ligne le
15 mars 2015.
7. Suzanne Cervera, « Henri Bosco, le campagnard de Cimiez. La
Maison rose, un haut lieu de l'esprit ». (https://www.departeme
nt06.fr/documents/Import/decouvrir-les-am/recherchesregion
ales198-07.pdf) [archive]
8. JACQUELINE PIATIER., « " Jean de la Lune " à l'Académie
française », Le Monde,‎30 mai 1959 (lire en ligne (https://www.
lemonde.fr/archives/article/1959/05/30/jean-de-la-lune-a-l-ac
ademie-francaise_2154126_1819218.html) [archive]).
9. Alpes de Lumières (1972), post-face de Luberon.
10. Notice d'Henri Bosco sur la base d'archives Léonore (https://w
ww.leonore.archives-nationales.culture.gouv.fr/ui/notice/450
58) [archive]. Fiche consultée le 18 août 2023.
11. Comme l'affirme le spécialiste de Bachelard, Thierry Paquot,
« Un philosophe urbain » (http://www.philomag.com/blogs/chr
oniques-urbaines/un-philosophe-urbain) [archive], sur
Philosophie magazine, 5 novembre 2012, consulté le 2 juillet
2016.
12. Cahiers Henri Bosco, n°47-48, 2011-2012, Artois Presses
Université, « Correspondance Gaston Bachelard – Henri
Bosco ».

Bibliographie
Denise Bourdet, Henri Bosco, dans : Encre sympathique, Paris,
Grasset, 1966.
En Provence, sur les pas de Bosco : Album illustré rassemblant
le témoignage intime de Sophie Pacifico Le Guyader et des
photographies de Jean-François Jung.
Jean Cléo-Godin, « Henri Bosco et les prestiges de la nuit »,
Études françaises, vol. 3, n° 4, 1967, p. 371-388 (lire en ligne (htt
ps://www.erudit.org/fr/revues/etudfr/1967-v3-n4-etudfr1744/0
36282ar/) [archive]).
Marc Maynègre, « Henri Bosco, un chantre du Luberon », in La
Fontaine de Pétrarque, Journal de la Société Littéraire,
délégation de Vaucluse, no 17, 2006.
Stefana Squatrito, « Seuils et entre-deux dans l’œuvre d’Henri
Bosco », Études françaises, vol. 56, n° 2, 2020, p. 51-65 (lire en
ligne (https://www.erudit.org/fr/revues/etudfr/2020-v56-n2-etu
dfr05582/1072478ar/) [archive]).
Gérard Valin, Novalis et Henri Bosco, deux poètes mystiques,
thèse de doctorat en lettres, Paris X, 1972
Gérard Valin, Irénée et Pierre, (deux pièces pastiches inspirées
de Pierre Lampédouze et Une Ombre) L'Harmattan, 2021.
Robert Ytier, Henri Bosco ou l’amour de la vie : d’Avignon à
Lourmarin par Marseille, Naples, Rabat et Nice. Souvenirs,
témoignages et entretiens inédits (1965-1976), Éd. Aubanel, Lyon,
1996.
Filmographie

1967 : L'Âne Culotte, série télévisée en 26 épisodes de 13


minutes, créé par Edgar de Bresson, Daniel Goldenberg et
Jacques Rispal diffusé à partir du 27 novembre 1967 sur la
première chaîne de l'ORTF.
1974 : Malicroix, téléfilm de François Gir (réalisation et
adaptation). Interprètes : Jean-Luc Moreau, Robert Dalban,
Jacques Seiler, Thérèse Liotard
1975, Le Renard dans l'île, TF1, de Leila Senati, adaptateur :
Denys de La Patellière, interprètes : Suzanne Flon, Jean-Marie
Bon, Lucien Barjon, Hervé Levy, Marc Geiger, Pierre Humbert
1981 : L'Enfant et la Rivière, téléfilm de Maurice Château.
1995 : Le Mas Théotime, téléfilm écrit et réalisé par Philomène
Esposito pour FR3.
2000 : Henri Bosco, collection « Un siècle d'écrivains », dirigée
par Bernard Rapp, portrait réalisé par Jean-François Jung (50
min), diffusion France 3 le 28 décembre 2000.

Voir aussi

Article connexe

Massif du Luberon

Liens externes
Site officiel (http://henribosco.free.fr) [archive]
Archives Henri Bosco, Bibliothèque universitaire Nice Sophia
Antipolis (https://bu.univ-cotedazur.fr/fr/rechercher-et-trouver/c
ollections-remarquables/collection-henri-bosco) [archive]
Site Henri Bosco - Humazur, bibliothèque numérique
d'Université Côte d'Azur (https://humazur.univ-cotedazur.fr/ome
ka-s-dev/s/henri_bosco/page/welcome) [archive]
Notices d'autorité : VIAF (http://viaf.org/viaf/29530641) ·
ISNI (https://isni.oclc.org/cbs/DB=1.2/CMD?ACT=SRCH&IKT=8006&
· BnF (https://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb118930457)
(données (https://data.bnf.fr/ark:/12148/cb118930457) ) ·
IdRef (http://www.idref.fr/026740702) ·
LCCN (http://id.loc.gov/authorities/n80156271) ·
GND (http://d-nb.info/gnd/118662058) ·
Japon (https://id.ndl.go.jp/auth/ndlna/00433922) ·
CiNii (http://ci.nii.ac.jp/author/DA01998238?l=en) ·
Belgique (https://opac.kbr.be/LIBRARY/doc/AUTHORITY/14102230)
· Pays-Bas (http://data.bibliotheken.nl/id/thes/p06920358X) ·
Pologne (https://dbn.bn.org.pl/descriptor-details/981060339030560
·
Israël (http://olduli.nli.org.il/F/?func=find-b&local_base=NLX10&find_
· NUKAT (http://nukat.edu.pl/aut/n%20%2095000727) ·
Catalogne (https://cantic.bnc.cat/registre/981058528366706706)
· Suède (https://libris.kb.se/auth/334267) ·
Vatican (https://opac.vatlib.it/auth/detail/495_106656) ·
Norvège (https://authority.bibsys.no/authority/rest/authorities/html/
· Tchéquie (http://aut.nkp.cz/ola2002153879) ·
WorldCat (https://www.worldcat.org/identities/lccn-n80156271)
Ressources relatives à la littérature : Académie française
(lauréats) (http://www.academie-francaise.fr/henri-bosco) ·
Internet Speculative Fiction Database (http://www.isfdb.org/cgi-
bin/ea.cgi?190739) · NooSFere (https://www.noosfere.org/livr
es/auteur.asp?numauteur=2147187629)
Ressource relative à la bande dessinée : BD Gest' (https://ww
w.bedetheque.com/auteur-25821-BD-.html)
Ressource relative à la musique : Discogs (https://www.disco
gs.com/artist/6756899)
Ressource relative à l'audiovisuel : IMDb (https://tools.wmflab
s.org/wikidata-externalid-url/?p=345&url_prefix=https://www.im
db.com/&id=nm0097829)
Ressource relative aux beaux-arts : AGORHA (https://agorha.i
nha.fr/inhaprod/ark:/54721/002110447)
Notices dans des dictionnaires ou encyclopédies généralistes :
Britannica (https://www.britannica.com/biography/Henri-Bos
co) [archive] · Brockhaus (https://brockhaus.de/ecs/enzy/articl
e/bosco-henri) [archive] · Gran Enciclopèdia Catalana (https://w
ww.enciclopedia.cat/EC-GEC-0011642.xml) [archive] ·
Nationalencyklopedin (https://www.ne.se/uppslagsverk/encyklo
pedi/l%C3%A5ng/henri-bosco) [archive] · Proleksis
enciklopedija (https://proleksis.lzmk.hr/13157) [archive] · Store
norske leksikon (https://snl.no/Henri_Bosco) [archive] ·
Treccani (http://www.treccani.it/enciclopedia/henri-
bosco) [archive] · Universalis (https://www.universalis.fr/encycl
opedie/henri-bosco/) [archive] · Visuotinė lietuvių enciklopedija
(https://www.vle.lt/Straipsnis/henri-bosco) [archive]

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