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Universidad Industrial de Santander

Facultad de Ciencias Humanas


Escuela de Idiomas
Licenciatura en Literatura y Lengua Castellana
Culture et littérature française

Le fabliau: Un analyse de “Le Vilain devenu Médecin”

Tatiana Gómez Reyes

L’origine des fabliaux:

Le fabliau est une petite histoire, ce genre littéraire est humoristique, comique et, principalement,

satirique et didactique, car il parle avec dérision des faiblesses humaines et cherche à faire rire le

lecteur et lui enseignait des valeurs. Les fabliaux partagent un structure concrète en ce majorité,

ils sont écrits en octosyllabes et sont des histoires très courtes et brèves. Son origine remonte à la

France médiévale et, principalement, aux XIIe et XIIIe siècles, étymologiquement est devenu de

la mot “fableau” ou “fabel” de l’ancien francais. Pour sa part, Joseph Bédier (1894) dit que le

fabliau est une conte qui fait rire et est écrit en vers, mais c’est difficile de dire une origine

exacte, il y a beaucoup de discussions autour du thème. La narration est rapide et parle de la

société bourgeoise de l'époque, les personnages sont basés sur des personnes importantes comme

le roi et tout la cour ou les ecclésiastiques, aussi le fabliau est dirigé à deux publiques: le public

lettré (les bourgeois et nobles) et un public illettré (les vilains).

D’autre part, Baptiste (2015) affirme que “le genre a été en interaction avec d’autres genres

comiques plus anciens ou contemporains, comme la chanson, la comédie et le conte, dont il a

subi l’influence”, donc le fabliau a été dans une contexte de richesse et variété littéraire. Le

fabliau a été transmis par les jongleurs, ils étaient les responsables de raconter les histoires et, en

même temps, éduquer le peuple. Mais est nécessaire de spécifier, Brouardelle (2017) affirme que
l'objectif didactique du fabliau est complètement involontaire, en fait, le principale propos est

l'amusement du public.

Analyse interprétative: Le Vilain devenu Médecin

Le fabliau raconte l’histoire d’un vilain avec quelques succès, il avait des chevaux et boeufs,

mais il n’avait pas une femme, donc ces voisins et amis lui cherchent une epouse, ils trouvent la

fille d’un chevailer pauvre, mais très intelligent, donc le vilain et la sage femme se marient, bien

que la fille ne voulait pas. Quand ils sont à la maison du vilain, il a pensé que sa femme elle

n'aurait rien à faire pendant il travil, donc il la froppe de sorte qu’elle pleure tout la journée,

jusqu’à il arrive et s’excuser auprés d’elle pour faire le même la matin suivante. La femme,

fatigué d'être battu, voit l’opportunité d’éloigner son mari d'elle quand deux chavaleurs du roi

arrivent à la maison et ils ont demandé un médecin pour guérir la princesse, elle a dit que son

époux est un médecin, mais il n’aime pas sa, donc les chavaliers devient fropper lui pour le

conduir au roi. Là, avec le roi, il a été battu par les chevaliers et il doit guérir la fille du roi, il le

réussit quand il fait rire elle, donc le roi lui enfermé dans le château pour être le médecin là. Au

fin d’histoire le vilain est libéré et il retourne avec sa femme et ne la frappe plus.

L’ignorance et la crédulité:

Cette fabliau se moque de la crédulité du peuple de du roi même, il y a un moment dans le texte

qu' après guérir la princesse, la gent du peuple va au château et demande à être guérir aussi, donc

“le médecin” dit que c’est nécessaire de brûler la personne la plus malade pour guérir à tous et il

n’y a personne que s’offre pour cette travail, en fait, ils préféraient prétendre être guéri. De la
même manière, le roi croit que le vilain est, vraiment, un médecin seulement parce qu'il a fait rire

sa fille et, naïvement, l'a adulé pour son travail.

La figure des ruses:

Sur l’histoire il y a la figure du tricheur, spécifiquement il ya le vilain qui trompe le roi et le

peuple, mais cette personne représente aussi la violence quand il froppe sa femme sans raison, il

est une personne ruse. D’autre part il y a une figure intéressant, le femme est une personne sage,

intelligent et, surtout, ruse parce qu’elle n'hésite pas à trahir son mari quand elle voit le chance,

avant cette figure féminine Garnier (2023) dit que “En effet, dans la littérature comique, c’est

souvent le propredes rusés d’être les plus faibles physiquement: la force de l’intelligence

compense l’infériorité corporelle” (p. 37-38), le figure femenin et la figure de le vilain sont

faibles physiquement, ainsi sont les plus rusés de l’histoire, pour compenser son debilité.

La violence

Existe une violence notoire sur l’histoire, il y a abus de pouvoir de chavailieur au vilain, mais

aussi de vilan a son épouse, cette violence n’est pas seulement physique, elle est psychologique

quand il ne croit pas que son femme peut faire une chose different a plurer pendant le jour, à ce

sujet Garnier (2023) note que “la réduction des femmes à de simples entités corporelles

irrationnelles peut déjà, à juste titre, être considérée comme un sévice à leur égard, mais une

brutalité plus physique est aussi à l’œuvre dans les fabliaux” (p. 36).
Références

Baptiste, L. (2015) Les “ fabliaux avant la lettre ” de Marie de France et le récit comique aux
XIIe et XIIIe siècles. Le Fablier, (26), p.13-32. https://hal.science/hal-01952050

Bédier, J. (1893). Les Fabliaux : études de littérature populaire et d’histoire littéraire du Moyen
Âge. E. Bouillon, p. 11.

Brouardelle, N. (2017). Des ouvertures soumises au tropisme de la femme dans les fabliaux des
XIIème et XIIIème siècles. [Tesis]. Euskal Herriko Unibertsitatea.

Garnier, N. (2023). Les fabliaux ou le corps féminin bafoué : l’exemple de la Dame escoillée.
Questes, (45), 35-47. https://doi.org/10.4000/questes.6299

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