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Le fabliau est une petite histoire, ce genre littéraire est humoristique, comique et, principalement,
satirique et didactique, car il parle avec dérision des faiblesses humaines et cherche à faire rire le
lecteur et lui enseignait des valeurs. Les fabliaux partagent un structure concrète en ce majorité,
ils sont écrits en octosyllabes et sont des histoires très courtes et brèves. Son origine remonte à la
France médiévale et, principalement, aux XIIe et XIIIe siècles, étymologiquement est devenu de
la mot “fableau” ou “fabel” de l’ancien francais. Pour sa part, Joseph Bédier (1894) dit que le
fabliau est une conte qui fait rire et est écrit en vers, mais c’est difficile de dire une origine
société bourgeoise de l'époque, les personnages sont basés sur des personnes importantes comme
le roi et tout la cour ou les ecclésiastiques, aussi le fabliau est dirigé à deux publiques: le public
D’autre part, Baptiste (2015) affirme que “le genre a été en interaction avec d’autres genres
subi l’influence”, donc le fabliau a été dans une contexte de richesse et variété littéraire. Le
fabliau a été transmis par les jongleurs, ils étaient les responsables de raconter les histoires et, en
même temps, éduquer le peuple. Mais est nécessaire de spécifier, Brouardelle (2017) affirme que
l'objectif didactique du fabliau est complètement involontaire, en fait, le principale propos est
l'amusement du public.
Le fabliau raconte l’histoire d’un vilain avec quelques succès, il avait des chevaux et boeufs,
mais il n’avait pas une femme, donc ces voisins et amis lui cherchent une epouse, ils trouvent la
fille d’un chevailer pauvre, mais très intelligent, donc le vilain et la sage femme se marient, bien
que la fille ne voulait pas. Quand ils sont à la maison du vilain, il a pensé que sa femme elle
n'aurait rien à faire pendant il travil, donc il la froppe de sorte qu’elle pleure tout la journée,
jusqu’à il arrive et s’excuser auprés d’elle pour faire le même la matin suivante. La femme,
fatigué d'être battu, voit l’opportunité d’éloigner son mari d'elle quand deux chavaleurs du roi
arrivent à la maison et ils ont demandé un médecin pour guérir la princesse, elle a dit que son
époux est un médecin, mais il n’aime pas sa, donc les chavaliers devient fropper lui pour le
conduir au roi. Là, avec le roi, il a été battu par les chevaliers et il doit guérir la fille du roi, il le
réussit quand il fait rire elle, donc le roi lui enfermé dans le château pour être le médecin là. Au
fin d’histoire le vilain est libéré et il retourne avec sa femme et ne la frappe plus.
L’ignorance et la crédulité:
Cette fabliau se moque de la crédulité du peuple de du roi même, il y a un moment dans le texte
qu' après guérir la princesse, la gent du peuple va au château et demande à être guérir aussi, donc
“le médecin” dit que c’est nécessaire de brûler la personne la plus malade pour guérir à tous et il
n’y a personne que s’offre pour cette travail, en fait, ils préféraient prétendre être guéri. De la
même manière, le roi croit que le vilain est, vraiment, un médecin seulement parce qu'il a fait rire
peuple, mais cette personne représente aussi la violence quand il froppe sa femme sans raison, il
est une personne ruse. D’autre part il y a une figure intéressant, le femme est une personne sage,
intelligent et, surtout, ruse parce qu’elle n'hésite pas à trahir son mari quand elle voit le chance,
avant cette figure féminine Garnier (2023) dit que “En effet, dans la littérature comique, c’est
souvent le propredes rusés d’être les plus faibles physiquement: la force de l’intelligence
compense l’infériorité corporelle” (p. 37-38), le figure femenin et la figure de le vilain sont
faibles physiquement, ainsi sont les plus rusés de l’histoire, pour compenser son debilité.
La violence
Existe une violence notoire sur l’histoire, il y a abus de pouvoir de chavailieur au vilain, mais
aussi de vilan a son épouse, cette violence n’est pas seulement physique, elle est psychologique
quand il ne croit pas que son femme peut faire une chose different a plurer pendant le jour, à ce
sujet Garnier (2023) note que “la réduction des femmes à de simples entités corporelles
irrationnelles peut déjà, à juste titre, être considérée comme un sévice à leur égard, mais une
brutalité plus physique est aussi à l’œuvre dans les fabliaux” (p. 36).
Références
Baptiste, L. (2015) Les “ fabliaux avant la lettre ” de Marie de France et le récit comique aux
XIIe et XIIIe siècles. Le Fablier, (26), p.13-32. https://hal.science/hal-01952050
Bédier, J. (1893). Les Fabliaux : études de littérature populaire et d’histoire littéraire du Moyen
Âge. E. Bouillon, p. 11.
Brouardelle, N. (2017). Des ouvertures soumises au tropisme de la femme dans les fabliaux des
XIIème et XIIIème siècles. [Tesis]. Euskal Herriko Unibertsitatea.
Garnier, N. (2023). Les fabliaux ou le corps féminin bafoué : l’exemple de la Dame escoillée.
Questes, (45), 35-47. https://doi.org/10.4000/questes.6299