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NOM………………………………………… Date : …………………..

PRÉNOM………………………………….
Score : /40

Devoir de connaissances

Repérer, nommer, analyser des figures de style

Exercice 1 /4pts
Pour chacune de ces comparaisons, soulignez le comparé en vert, entourez le comparant en bleu, et encadrez l’outil de
liaison en rouge. Puis, expliquez quel est le point de rapprochement entre le comparant et le comparé.

1. La fée resplendissait, éblouissante comme un soleil.


à Point de rapprochement. : La lumière qu’émet la fée et celle du soleil……………………………………………………
2. Les cheveux du petit prince brillaient sur sa tête à la façon d'une couronne d'or.
à Point de rapprochement. : ………………………………………………………………..……………………………………………………
3. L'ogre mange une tarte grosse comme une roue.
à Point de rapprochement. : ………………………………………………………………..……………………………………………………
4. Le sable de la plage était doux ; on aurait dit un tapis de soie.
à Point de rapprochement. : ………………………………………………………………..……………………………………………………

Exercice 2 /6pts
A. Transformer ces comparaisons en métaphores.

Exemple : Ses yeux sont comme des agates è L’agate de ses yeux brillait

1. Pierre est muet comme une tombe.

2. Les navires neufs qui avançaient sur l’océan semblaient des îlots de verdure.

3. L’eau, pure comme du cristal, s’échappe de la cascade.

4. Ses yeux, verts comme des émeraudes me fascinaient.

5. La mer brille comme un miroir.

B. À votre tour créez une comparaison puis transformez-là en métaphore.

Comparaison : ………………………………………………………………………………………………………...………………………

Métaphore :………………………………………………………………………………………………………………………………………
Exercice 3

Cochez la bonne case du tableau : M = métaphore / C = comparaison /4pts

Phrase M C
1) Mon dos ressemble à une montagne sacrée, courbée d’avoir aimé tant
de fois
2) La maison est semblable à un décor de théâtre qui risque de s’envoler
au moindre souffle de vent.
3) malhabile, je me heurte à tous les cadres de porte, j’entre dans le monde
telle une étoile dans un carré
4) Tes yeux sont un océan dans lequel je me perds
5) Je me suis baigné dans le poème de la mer
6) Je ressemblais à un survivaliste, retranché dans le sous-sol d’un
bungalow avec mes trente sacs de vidange
7) Et je m'en vais au vent mauvais qui m'emporte, pareil à la feuille morte.
8) Mon existence est un casse-tête

Exercice 4 /5 pts
Soulignez les métonymies et expliquez-les :

1. Je bois un verre. ………………………………………………………………………………………………………………………….


2. La Maison Blanche pense qu’il faut agir. ………………………………………………………………………………………
3. Je lis un Agatha Christie. …………………………………………………………………………………………………………….
4. Il a écouté Mozart toute la soirée…………….…………………………………………………………………………………….
5. Mes souliers ont beaucoup voyagé. ……………………………………………………………………………………………….

Exercice 5 /3pts
Ces phrases comportent-elles une allégorie ou une personnification ?

1. La lumière du soleil est furieuse et les pluies de l'automne, douloureuses


2. L’automne souriait à l’enfant malade
3. France, Mère des arts, des armes et des lois. Tu m'as nourri longtemps de ta mamelle.
4. Je vis cette Faucheuse, noir squelette laissant passer le crépuscule.
5. Les arbres fuyaient sur ma route.
6. Ô Mort, vieux capitaine, il est temps ! Levons l'ancre.

Exercice 6 /15 pts


Pour chaque phrase, souligner la figure de style et nommez-la.

Ce restaurant sert vraiment de grosses assiettes.

Les parents apprennent aux enfants des connaissances,


mais les enfants apprennent aux parents la vérité.
Je pense que tes plantes ont soif.

Retomber en enfance
Le ballon bleu bondit
On bloque, on botte
Jambes qui ballottent
Mais le cœur bien comblé
Il est triste, déprimé, abattu.
Elle a parlé si fort qu'elle m'a perforé les tympans.
Il pleut des clous.
Il y a beaucoup de têtes dans ce restaurant
On rêve de mettre le pied sur l'astre de la nuit
Elle n’est pas mauvaise cette pomme.
À vaincre sans péril, on triomphe sans gloire
J'ai chaud extrême en endurant froidure.
Un silence assourdissant résonna dans la nuit
La mémoire vacille
Les pupilles s’animent
Les lumières scintillent
On ne peut pas ordonner à des gens sans domicile fixe de
rester à domicile.

Exercice 7 /3pts
Relevez trois figures de style différentes dans ce texte : surlignez-les et nommez-les en dessous.

Tout à coup il se sentit saisir le bras.

Ce qu’il éprouva en ce moment, c’est l’horreur indescriptible.

Quelque chose qui était mince, âpre, plat, glacé, gluant et vivant venait de se tordre dans l’ombre autour de

son bras nu. Cela lui montait vers la poitrine. C’était la pression d’une courroie et la poussée d’une vrille. En

moins d’une seconde, on ne sait quelle spirale lui avait envahi le poignet et le coude et touchait l’épaule. La

pointe fouillait sous son aisselle.

Gilliat se rejeta en arrière, mais put à peine remuer. Il était comme cloué. De sa main gauche restée libre il prit

son couteau qu’il avait entre ses dents, et de cette main, tenant le couteau, s’arc-bouta au rocher, avec un effort

désespéré pour retirer son bras. Il ne réussit qu’à inquiéter un peu la ligature, qui se resserra. Elle était souple

comme le cuir, solide comme l’acier, froide comme la nuit.

Victor Hugo, Les Travailleurs de la mer, 1866.

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