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1965
FRANCE : La Nouvelle Vague : Pierrot le Fou de Jean-Luc Godard : Ferdinand Griffon est un homme qui vit avec
sa femme et ses enfants. Il est un peu désabusé, car il vient de perdre son emploi à la télévision. Un soir, alors
qu'il revient d'une désolante soirée mondaine chez ses beaux-parents, il se rend compte que la baby-sitter
venue garder ses enfants est une ancienne amie, Marianne. Il décide de tout quitter et de partir avec elle vers le
sud de la France dans un grand périple où se mêleront trafic d'armes, complots politiques, rencontres
incongrues, mais aussi pauses bucoliques et déchirements amoureux.
Scène finale : https://www.youtube.com/watch?v=CXRuSBdC-y8 (2mn 41)
1966
Une dictature impose l’incultire ? la philosophe Hannah Arendt a dit « l’ignorance est le
début de la barbarie ». Sur ces trois films on remarque que la couleur est utilisée pour des
sujets dramatiques, ce qui est nouveau.
Ababakar Makharam Samb, Et la Neige n’était plus ,Prix de la Louve de Rome au 1 FEMSAN
https://www.youtube.com/watch?v=1TNSLC6t5dg
SENEGAL : La Noire de…de Ousmane Sembene. film franco-sénégalais écrit et réalisé par Ousmane Sembène
avec Mbissine Thérèse Diop. basé sur une nouvelle tirée de l'œuvre d'Ousmane Sembène, Voltaïque1. - Prix
Jean-Vigo2 et Tanit d'or aux premières Journées cinématographiques de Carthage. L’esclavage moderne…
Film entier : https://www.youtube.com/watch?v=rvy-9trb-rE Extrait de 48’09 à 50’04 : La scène du Masque.
1966 suite
ITALIE : Blow-Up est un film britanno-italo-américain de Michelangelo Antonioni, sorti en 1966 et inspiré de la
nouvelle Les Fils de la Vierge (Las babas del diablo)N 1 de Julio Cortázar. À Londres, dans les années 1960 :
Thomas, photographe de mode, après un reportage photo sur les sans-abri, passe la matinée dans un parc et,
attiré par la lumière, prend des clichés. L'endroit est presque désert, sauf un couple qui s'embrasse, que Thomas
photographie de loin. La femme, Jane, s'aperçoit finalement de sa présence et, très contrariée, lui réclame les
négatifs ; mais Thomas s'esquive. Jane le retrouve dans l'après-midi et va jusqu'à s'offrir à lui : Thomas lui
donne une pellicule, mais qui n'est pas celle qu'il vient d'utiliser. Il développe les photographies du parc et
réalise, par agrandissements successifsN 2, qu'il a en fait été le témoin d'un meurtre. Le film obtient la Palme d'or
au Festival de Cannes 1967.
Film entier (pas de st fr) https://www.youtube.com/watch?v=w-xTqpkhZxA : Extrait scène final de 1h46 à 1h50
1967
FRANCE : Jean Luc Godard (Suisse - France)cf La Chinoise avec intervention de Omar Blondin Diop- Extrait :
https://www.youtube.com/watch?v=ZvMHj2YTg4c
Jacques Tati – Play Time. Il vient du théâtre, du music-hall et réalise des films depuis la fin des années 40. Ce
film, plus couteux que prévu va pratiquement le ruiner. Dans ce film, les bruitages ont un rôle prépondérant
dans la narration. Playtime est organisé en six séquences, reliées entre elles grâce à l'utilisation de deux
personnages qui se croiseront au cours du récit : Barbara, une jeune tou riste américaine en visite à Paris, et M.
Hulot, qui a un rendez-vous avec un personnage important.
ANGLETERRE : Le Prisonnier (The Prisoner) est une série télévisée britannique en dix-sept épisodes de 52
minutes, créée par l'écrivain et ancien agent des services secrets1 George Markstein et Patrick McGoohan,
acteur principal, scénariste et producteur délégué de la série. A profondément influencé la production des
programmes de science-fiction, de fantastique, et la culture populaire en général. En version originale, elle a
d'abord été diffusée au Canada à partir du 5 septembre 1967 sur le réseau CTV2, puis au Royaume-Uni du 29
septembre 1967 au 1er février 1968 sur le réseau ITV3. Au Québec, elle a été diffusée à partir du 4 septembre
1967 à la Télévision de Radio-Canada4. Présentée initialement comme un thriller, du même moule que la série
précédente avec Patrick McGoohan, Destination Danger (Danger Man en Angleterre ; Secret Agent en
Amérique du Nord), Le Prisonnier utilise les « ficelles » du roman d'espionnage, teintées de science-fiction,
d'allégorie et de drame psychologique.
1968
Rosemary’s Baby (1968) de Roman Polansky : la scène de l’ascenseur : (références)
https://www.youtube.com/watch?v=YygMaGWJxOM
USA : Faces de John Cassavetes- Femme rôle principal plus profond. U peu avant a réalisé Shadows /Dilemme
racistes. De l’indépendance de Cassavetes.
Shadows Film entier (en anglais) : https://www.youtube.com/watch?v=yIFGhe8ap_k
Extrait : https://www.youtube.com/watch?v=4RJ0KEP6um8
2001 l’Odyssee de l’espace de Stanley Kubrick Résumé : un voyage vers la planète Jupiter puis « au-delà de
l'infini », à la suite d'un signal radio émis par un monolithe découvert sur la Lune. Produit et distribué par le
studio américain Metro-Goldwyn-Mayer, le film est presque entièrement tourné au Royaume-Uni, dans les
studios MGM British (il est, d'ailleurs, l'un des derniers films à utiliser ces locaux) ainsi qu'à Shepperton, du fait
des plateaux de tournage plus vastes que ceux des studios américains. Le long-métrage est coproduit par la
société de production de Stanley Kubrick.
1969
SENEGAL : Contras’ City de Djibril Diop Mambety Utilisation de la couleur. Court métrage, docu-fiction.Voix off
dialogue entre une française et un sénégalais. https://www.youtube.com/watch?v=huXT2RDin3Y
USA : la Blaxploitation (littéralement, l’exploitation du Noir sous toutes ses formes et notamment positives) qui
acquiert la plus grande visibilité avec, notamment, Les Sentiers de la violence (The Learning Tree, 1969),
premier long-métrage réalisé par un Noir à Hollywood, le photographe Gordon Parks.
Reportage : https://www.youtube.com/watch?v=8nlTTlJlssE&t=21s
ITALIE : Médée (Medea) est un péplum ouest-germano-franco-italien réalisé par Pier Paolo Pasolini et sorti en
1969. Il met en vedette Maria Callas dans le rôle-titre. Il s'agit d'une adaptation libre du mythe grec de Médée,
de Jason et des Argonautes et plus particulièrement de la version qu'en a donnée Euripide dans sa Médée en
431 av. J.-C.. Dans Médée, Pasolini met en scène la rencontre de deux cultures dans des paysages
impressionnants. tragédie sanglante. structure narrative fragmentée et à son langage cinématographique
original. Bien qu'il ait reçu un accueil plutôt positif de la part de la critique cinématographique, le film a eu très
peu de succès en salles.