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L’institution d’idéologie

La grande école
La Peacemania

Tél : 97-17-50-25
Commémoration
Vendredi 09 février 1990

Vendredi 09 février 2024

34 ans de cela.
Les peacemanistes rendent hommage à la mémoire des martyrs de l’USN
de la tragédie du 09 février 1990.

Conformément aux principes directeurs de l'USN, parmi tant d'autres, la


commémoration de la date du 09 février 1990 s'en est un et le devoir d'un
militant de l'USN stipule à ce que chaque camarade puisse poser un acte à
travers lequel il va contribuer à la survie et à la bonne marche de cette
glorieuse organisation. Au vu du respect de ce principe, je trouve l'intérêt de
partager avec les militants et militantes de l'USN, de l'UENUN et de la
DGE-FAST de ce qui s'est passé hier le 09 février 1990 dans le camp de l'USN.
C'est pourquoi il y a lieu que chaque scolaire retient en tête et à cœur ceci:

Avant le vendredi de cette boucherie tragique, retenez que le 05 février 1990 il


y avait eu une négociation échouée entre l'USN et le gouvernement
sanguinaire et machiavélique d'Ali Chebou. Suite de cela, le 09 février 1990
les camarades de Haro banda ont décidé de sortir pour une marche pacifique
de protestation. Mais à peine sortis du campus universitaire les scolaires firent
face à un cortège de force de l'ordre et de sécurité bien armée dont les
équipements sont entre autres : 127 armes dont 90 MAS, 36 FAL, 5 PM, des
Kalachnikovs et 1900 balles réelles pour le seul et unique objectif d'empêcher
les scolaires de traverser le Pont Kennedy.
Après juste un temps du décollage de marche, 1600 balles sur 1900 ont été
utilisées contre les pauvres scolaires parce qu'ils ont juste demandé

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l'amélioration des conditions de leur vie scolaire pour bien étudier enfin d'être
parmi les personnes avec qui, un jour ce pays tambourinera la poitrine. Et le
bilan de cette intervention macabre et lugubre était lourd et sans précédent
dans l'histoire de l'USN, car elle a enregistré 3 morts dont 2 étudiants (Aliou
Nahantchi et Maman Sagir) et un élève au nom d'Issaka Kané avec 91 blessés
dont 3 gravement touchés (Souley Oumarou, Adam Maina et un autre) furent
évacués en France qui, d'une manière miraculeuse et par la grâce d'Allah ont
eu la vie sauve. Le lendemain, le 10 février 1990, ces 3 martyrs ont été
enterrés conformément à la tradition islamique au cimetière musulman de
Niamey. Après une journée de discussion du tout genre, le 12 février les
scolaires ont organisé une géante marche et toutes les couches sociales du
pays se sont jointes à l'USN pour généraliser le mouvement et la lutte y
afférente. Et c'est cette dernière marche provoquée par l'impitoyabilité des
individus, qui a engendré presque tous les acquis et les honneurs que
possède l'USN d'aujourd'hui.
Et parmi les possibilités que nous fournissait l'USN, je saisis l'une d'elles c'est
à dire celle de la liberté d'expression et de pensée pour me prononcer sur un
certain nombre des choses qui administrent notre quotidien humain comme
suit :

Sur le plan politique


Une genèse sur le gouffre de la démocratie africaine.
Les déserteurs républicains dans beaucoup de nations, pour une même
destination, pour quel développement ?
A ceux qui disent que la place des militaires est dans les casernes : je dirai que
vous avez absolument raison.
Lorsque vous demandez à un enfant de 10 ans, quelle est la place d’un
médecin : il vous dira que c’est à l’hôpital. Demandez-lui également la place
d’un enseignant : il vous dira que c’est dans les salles de classe. Ou bien,
demandez-lui la place d’un commerçant : il vous dira que c’est dans les
marchés.
En réalité, c’est même un truisme de dire que la place des militaires est dans
les casernes. D’ailleurs, je crois que même les militaires vous le diront. Donc,
nous sommes tous d’accord sur ce point (ou presque).
L’autre point sur lequel, je pense, que nous serons tous d’accord, c’est le fait
que personne ne souhaite un coup d’état dans un pays y compris les militaires
eux-mêmes.

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Mais alors, que s’est-il passé pour que les militaires ne soient plus dans leurs
casernes, comme la logique le voudrait? Pourquoi ils ne sont plus "à leur
place" ?
Parce que beaucoup de personnes ont aussi "quitté leurs places", et ont semé
le désordre dans le pays.
En effet, beaucoup étaient de bons enseignants. Ils ont « quitté leur place » en
jetant la craie et en se retrouvant dans les salons de la république, convertis
en « hommes politiques ».
D’autres étaient de bons médecins et infirmiers : Ils ont aussi « quitté leur
place », en tournant le dos à nos hôpitaux et centres de santé, pour la même
destination.
D’autres étaient de bons ingénieurs : ils ont aussi « quitté leur place », en
tournant le dos à nos entreprises, pour la même destination.
D’autres étaient des commerçants : au lieu de nous créer des marchés dans
leurs domaines d’activités, avec une valorisation régionale voire internationale
de nos produits locaux, ils ont préféré aussi les salons feutrés de la république,
en devenant experts en surfacturation et en monopole injuste et déloyale. En
outre, ils le font en général dans des domaines dans lesquels ils n’ont aucune
compétence. Ils participent énormément au déséquilibre de notre balance
commerciale, si ce n’est pas une mise en danger de la vie d’autrui.
D’autres étaient des entrepreneurs : Au lieu de créer de l’emploi et de
développer des fleurons nationaux dont nous serons tous fiers, ils ont aussi «
quitté leur place », pour préférer la même destination (le jeu politique).
D’autres se disaient "société civile" : Au lieu de jouer le rôle de contre-poids
(entre autres) face au monde politique, lorsqu’ils pensent que les intérêts du
peuple ne sont pas préservés, la plupart d’entre eux ont aussi « quitté leur
place » pour la destination que vous connaissez.
Il y'avait aussi des agronomes: ils ont suivi le même cheminement, au lieu de
rester développer nos techniques culturales pour une agriculture qui assure
notre souveraineté alimentaire.
D’autres encore n’étaient pratiquement rien ni personne. Mais par la force des
mots, ils sont devenus aussi des hommes politiques, puis sont devenus «
importants ». Ils prennent alors des décisions au nom de la nation.

Bref : Presque, tous les acteurs qui géraient la vie de la nation avaient « quitté
leur place » à un moment, pour la destination que vous connaissez. Mais ce
n’est pas cela le problème. Tout celui qui se sent capable peut « quitter sa
place », s’il pense pouvoir être utile dans sa nouvelle destination. C'est un droit

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de chaque citoyen.
Mais ce n’est pas ce qu’ils ont fait. Car, en 30 ans de vie politique, les seuls
dont la vie a véritablement changé ce sont eux-seuls ! Le seul développement
que ces personnes ont su créer pendant toutes ces années, c’est le leur et
celui des leurs, au grand dam de la population et de la nation.
Aujourd’hui, en 2024, chacun connait un tronçon ou une rue qui est
exactement comme elle était depuis qu’il est né. Chacun connait un bâtiment
administratif, ou hospitalier qui est exactement comme il était depuis qu’il est
né. Chacun connait un tronçon qui devient systématiquement impraticable en
saison de pluie, et cela depuis plusieurs dizaines d’années. Ils ont pourtant eu
30 ans, tous ces « déserteurs républicains » !
Ne parlons même pas des scandales à répétition.
Leur succès indéniable, c'est d'avoir réussi à reléguer la compétence, la
probité et l'honnêteté à un rang sans valeur, au profit du PAC (Parent Amis et
Connaissances). Dans le jargon militaire, PAC signifie "Piège A Con"! Ainsi,
"les déserteurs républicains" ont piégé le destin de millions de personnes, pour
leurs réalisations personnelles ou politiques.
Bref, on voit que le bilan des « déserteurs républicains » n’est pas élogieux.
Malgré tout, aujourd’hui, ils s’érigent en chantres de l’ordre républicain, en
insistant sur le fait que les militaires doivent retourner dans les casernes.
J’imagine, que les militaires vont certainement retourner dans leur caserne, un
jour.
Et vous, seriez-vous prêts à retourner aussi à vos places (enseignants,
commerçants, médecins, infirmiers, ingénieurs, entrepreneurs etc.), ou bien
voulez-vous continuer à nous « torturer » pendant encore quelques
décennies ?
Il faut juste vous rappeler ceci : « dans une société, lorsque certains quittent
leurs places pour semer le désordre et la pauvreté, en ne pensant qu’à leurs
intérêts personnels, il va de soi que d’autres quittent aussi leurs places pour
remettre de l’ordre, en sacrifiant leurs intérêts super-personnels ».
Bien qu'il existe des hommes politiques intègres et dévoués. Mais ils sont une
goutte d'eau dans cet océan de "déserteurs républicains."
Ci-joint une description non exhaustive des maux de certaines nations
africaines.

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Quel devenir pour l'AES hors CEDEAO ou CEDEAO sans l'AES?

Notre victoire est sûre et certaine !!!


Population de l'AES après le retrait de notre communauté digne de l’AES du
syndicat des bandits au service des colons, vous entendrez des individus de
faux analystes occidentaux et africains aboyer sur les médias mensongers et
les réseaux sociaux racontant leur diarrhée verbale. Afin de semer la panique
dans nos cœurs, ils racontent honteusement que ce retrait aura des
conséquences graves sur notre diaspora.
Je vous dis que c'est faux, au contraire c'est le bonheur qui nous attend. Je
vous informe pour ceux qui ne le savent pas que la Mauritanie était sortie de
cette mafia depuis l'année 2000. Auparavant elle avait quitté CFA depuis 1973
pour créer sa propre monnaie qui faisait deux (2) fois le franc CFA et
aujourd'hui cette monnaie surévaluée fait dix (10) fois le franc CFA. A l'heure
où j'écris cette note ce pays est un vrai réservoir pour beaucoup de jeunes
africains qui ont pu réaliser leur rêve. Surtout les Sénégalais et ivoiriens dont
leurs chefs d'état fanfarons font semblant que tout va bien chez eux.

La bonne nouvelle c'est que tous les nigériens, les maliens et les Burkinabés
diront dans peu du temps pourquoi étions nous restés dans cette maudite
organisation toutes ces années ?
Je vous l'informe aujourd'hui que le salaire d'un enseignant mauritanien fait le
double de celui d'un enseignant des pays de la zone CFA. Nous devons savoir
que le début de toute chose est difficile mais ce n'est pas une fin en soi. Nous
sommes non seulement une puissance démographique mais aussi une
puissance en matière du sous-sol.
Nous constituons tous les trois pays une population de plus de 70 millions
d'habitants sur une superficie de 2.782.438 km².
Ne vous faites pas tromper mes chers concitoyens, la CEDEAO n'a jamais été
une zone de libre circulation des personnes et de leurs biens. Les voyageurs
et les transporteurs peuvent vous le confirmer.
N'oubliez pas aussi que le Nigeria, le Ghana, le Liberia, la Gambie et la sierra
Léon sont des membres de la CEDEAO pourtant ils ont leur propre monnaie.
Donc l'AES aura sans difficulté sa monnaie qui sera de loin au-dessus du CFA.
Encore une fois de plus ne vous laissez pas troubler par les médias
mensongers comme RFI, France24 sur lesquels on invite des politiciens
désespérés, désemparés et des négro-africains comme Serge Daniel qui
viennent raconter du blabla pour conserver leur nationalité française.

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Mais une chose reste sur table, nous voudrions à ce que lorsque les membres
du CNSP prendront une décision, qu'il soit qu'il n'existe pas une autre
alternative idoine et fiable pour pallier un tel problème ou une question d'ordre
quelconque. Car non seulement cela va permettre à la population d'avoir plus
de confiance à leur démarche mais surtout nous allons très rapidement à nous
faire sortir de ce gouffre financier et social orchestré à notre mignonne nation
par les associations internationales de mafia parce que nous ne sommes pas
en attendant que notre mouvance idéologique actuellement au profit de la
population sahélienne soit reconnue par la bande d'escrocs et malfaiteurs
dépendants d'ailleurs de nous. Tel est mon optique et message à l'endroit de
ceux qui ont des oreilles d'écoute.
Et que la transition continue jusqu'à l'abolition du chagrin du tout genre
en Afrique si le besoin nous fera l'honnêteté de permission.

Sur le plan éducatif


En 1900, les Français ont fait du Niger un territoire militaire administré à partir
de l'ancien sultanat de Zinder. En 1901, Niamey reçut le convoi d'Eugène
Lenfant. Le Niger devient une colonie française en 1922, la colonie autonome
du Niger. Jules Brévié en est le premier gouverneur.

Mais depuis leur pénétration ils ont eu du mal à s'adresser à la population


autochtone car ils ne comprirent pas la langue autochtone et les autochtones
ne comprirent pas la langue française le moment où il a fallu obligatoirement
une langue d'échange. Et au lieu de se mettre à apprendre la langue locale,
ces imbéciles ont obligé les enfants noirs à apprendre la langue française
comme une sorte de civilisation moderne et le fait qu'ils ne comprennent pas
nos langues maternelles il ne s'agit pas pour eux une sorte d'ignorance. Quelle
bêtise !! Ils nous ont installé leur culture pour soi-disant nous faire moderniser
mais en réalité c'est pour leur servir au retour enfin qu'ils puissent avoir des
interprètes et des manipulés parmi nous comme il se constate partout à
travers les réactions des valets locaux. D'où l'idée de la création de la
première école nigérienne en 1902 ce qui fait aujourd'hui 122 ans de cela que
les enfants nigériens se sont mis en concurrence institutionnelle pour servir le
colon sans le savoir car malgré ce nombre d'âges derrière cette nouvelle
ignorance, le Niger ne possède que 4 % du taux de scolarisation et 0% de
ceux qui pensent à changer ce pays à travers ce qu'ils ont étudié durant un
siècle et quart. Le moment où le savoir et la connaissance sont donnés à

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l'homme pour être utile à son prochain mais comme le contraire est l'ami pour
cons, l'observation et la réalité montrent qu'au Niger plus la personne maîtrise
correctement la langue française plus elle devient de plus en plus néfaste pour
les autres nigériens. Mais pourquoi cela ?

La réponse est simple, justifiant que ce qu'ils ont appris n'est pas nigérien et
tout ce qui n'est pas nigérien n'est pas censé être obligé pour servir d'une
manière nigérienne les nigériens. C'est pourquoi si nous pouvons être écouté
au plus haut sommet de la transition nigérienne qui constitue ce dernier temps
la politique nigérienne, nous demandons un arrêt immédiat de toute lutte qui
n'y va pas dans le sens à investir dans le système éducatif pour qu'au retour
qu'il sera au service de la réalité nigérienne enfin que les instruits cessent
d'être une bande des malfaiteurs. Car tout acte révolutionnaire pour un
nigérien doit être éducatif pour permettre à ce pays de former une relève
cultivée et consciente en matière du savoir-faire, du patriotisme et de la
fraternité puisque lorsque le vase est pointu la gourde à grosse tête se tombe
et c'est ce que nous ne souhaitons pas voir après cette transition. A travers cet
écrit nous portons le message de nos mamans et papas de tous les villages de
toutes les contrées du territoire nigérien qui n'ont pas eu la chance d'être
instruits mais qui veulent voir leurs enfants et petits-enfants aller à l'école
nigérienne. Mais très malheureux, la politique nigérienne semble oublier cette
grande partie de la population nigérienne car à peine de trouver deux
enseignants dans un établissement qui est sensé avoir 4 enseignants et le
dommage on ne parle point de la qualité de cet apprentissage dans ces zones
reculées car il existe un manque total du suivi de la part des autorités locales
en charge de l'éducation, ce qui donne la possibilité émergente aux certains
enseignants de se transformer en terroristes étatiques et éducatifs puisqu'en
réalité ils ne font qu'initier les enfants en arrogance et en délinquance avec
leur manque justificatif de la pédagogie en matière d'éducation et leur absence
de savoir ce qu'il faut pour faire arriver un enfant à apprendre et à comprendre.
Mais je ne suis pas sans savoir que tout peut être lié au système lui-même
mais quand même directement lié aux personnes concernées en charge de
l'éducation. Bon je mets le point ici car seule la conférence nationale qui va
rassembler toute la sage population nigérienne peut diagnostiquer ce hiatus
éducatif. Nous parlons ici de la modernisation totale de notre système éducatif.

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Sur le plan syndical
Le monde syndical, un monde mystique et mal compris par certains
syndicalistes nigériens.
Uniquement le terme "syndicat" doit servir à rendre la peur dans l'esprit des
individus injustes mais le voleur ne peut pas crier au rat. À un moment donné,
les hommes se sont mis debout en exposant leur vie pour dénoncer la volonté
anti-panafricaniste des hommes politiques, chose qui leur avait permis d'être
honorés par nous, mais très malheureux la date du 09 février 1990 a marqué
leur arrêt cardiaque pas leur mort, car le mort est celui qui est passé inaperçu.

En toute honnêteté, la démarche syndicale actuelle ne va jamais permettre à


l'USN de se conformer aux principes directeurs qui la gouvernent. Le moment
où ceux qui prennent la décision la plus importante sont ignorants de ce qu'ils
font et de ce qu'ils veulent de façon dialectique et progressiste. En terme clair
le texte de l'organisation possède des énormes ambiguïtés qui sont toujours
laissées non comprises par certains individus qui se servent de cette lacune
pour éterniser ce cadre dans les mains des égoïstes et personnes non
visionnaires. Parce que l'enseigné et l'enseignant ne doivent pas avoir la
même vision sur la qualité d'apprentissage et si tel est le cas, le Niger est foutu
dans ce domaine précis. Je voudrais ici dire que les camarades qui ont la
possibilité majeure de faire cramponner les membres de l'organe moral de
cette organisation c'est à dire le comité directeur de l'USN sont ceux-là parmi
nous les plus exposés à l'achat et au rachat de conscience, ce qui montre que
si toujours le texte de l'USN demeure en gardant l'égalité des voix
délibératives entre les lycéens-collégiens et les universitaires aux assises du
congrès, sans être imaginaire du malheur que nous ne serons jamais dans un
monde de vraie idéologie syndicale. Mais pour bloquer la minimale pensée
des individus, je ne suis pas en train de condamner nos petits frères mais
plutôt je dénonce l’attitude des individus qui leur instrumentalisent pour leur
marmite du malheur. Et si vous prenez exemple des revendications qui ont été
rejetées en bloc aux assises du 13 -ème congrès statutaire de l’USN ténu à
Maradi, je disais qu'il faut être non scolaires pour les rejeter ou les juger
infirmes mais par l'intervention politique et celle des soi-disant syndicalistes
ratés par l'histoire de leur génération tout ce bien fait jugé nécessaire pour un
nouveau bachelier a été machiavéliquement enterré sans preuve ni raison. Il
faut le noter que tout ce que les scolaires universitaires font lors du congrès
revient au compte de nouveaux bacheliers retenus pour l'année qui suit et non
pour les étudiants déjà calfatés par les mêmes individus mal intentionnés et

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déjà mis au service du mensonge politique à travers le charme populaire.
Mais pour Dieu et pour l'amour de la population rurale, chers syndicalistes
ayons le sens de comprendre que notre comportement d'aujourd'hui peu
importe sa petitesse ou sa grandeur sera le même comportement de ceux qui
auront la conduite de la destinée de ce pays. Du coup il y a lieu de se changer
avant qu'il soit à la veille car à présent il n'est un secret pour personne que
l'image d'un syndicalisme orthodoxe est mise en cause depuis l'apparition des
certains individus sur la scène syndicale. Et c'est pourquoi aujourd'hui
beaucoup de nos luttes syndicales sont étouffées, pas même vouloir à
revendiquer la justice pour le compte de nos vaillants martyrs car moralement
les injustes ne possèdent aucune qualité leur permettant à exiger justice par
rapport un fait commis et juridiquement lorsque les injustes persistent dans la
revendication d'une chose mal faite auprès des juristes injustes, en réalité ils
s'exposent à être poursuivis face à leur crime commis comme le prélèvement
démesuré sur les allocations, bourses et aide sociale des pauvres scolaires, et
les frais qu'ils reçoivent pour bloquer toute sorte de revendication, je parle ici
de ces syndicalistes frelatés qui sont au contrôle du malheur. Mais quelle
attitude doit-elle caractériser les syndicalistes de nos jours pour conserver ou
rescintiller la valeur syndicale ancestrale aux yeux d’un monde réel basé sur
des faits véridiques et réalistes pour enfin obliger les hommes politiques à se
soumettre au service de la population nigérienne ? Cette interrogation marque
la fin de ce message.

Votre ami, frère et camarade de lutte :


Ancien :
DP presse -UENUAZ
DGA-COREP-UENUAZ
DGA-CECD-UENUAZ

DCP-FAST expérimenté 🤣.
Issoufou Maïgari Issa Bahari alias PEACEMAN, étudiant en Master 2
Écologie et gestion durable de la diversité biologique au département de
biologie à la Faculté de Sciences et Techniques de l'université Abdou
Moumouni de Niamey-Niger.

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