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X-
400 500 600 700
Où se trouve l’erreur sur cette
image ?
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400 500 600 700
Les différents éléments de la
voiture vont-ils s’accorder?
X-
400 500 600 700
Que coûtent les erreurs ?
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X-
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Qui est concerné ?
Théorie de la couleur
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Quels sont les éléments à réunir
pour analyser la couleur ?
Une source lumineuse, (l’illuminant)
Un récepteur, (l ’œil)
Un objet observé sous la source lumineuse
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Un système à
trois éléments
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La lumière
La lumière est un phénomène électro-
magnétique ondulatoire au même titre
que les rayons Gamma, rayons X ainsi
que les ondes radar, télévision ou radio.
Les unités de mesure sont :
la fréquence exprimée en Hertz
la longueur d ’onde exprimée en nm.
C’est la fréquence de la lumière qui crée
une sensation de couleur
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En 1670...
Isaac Newton -
– démontra que la lumière ‘ blanche ’, diffractée
au travers d’un prisme, est constituée du
mélange de toutes les lumières colorées.
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400 500 600 700
Nanomètres
Les sources lumineuses
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Les sources lumineuses
Sources naturelles :
le soleil
la flamme
Sources artificielles :
la lampe filament
la lampe fluorescente
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Illuminant standard A
Lampe à filament de tungstène
Source lumineuse facilement
reproductible en laboratoire
Température de lumière 2850° Kelvin
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Illuminant standard A
Lampe à incandescence
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Illuminant C
Equivalent de la lumière du soleil
dans un ciel uniformément brumeux
Les filtres chimiques utilisés pour le
reproduire font barrage aux UV
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Illuminant standard C
Lumière du jour
(sans composante UV)
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Illuminant standard D
Equivalent de la lumière du soleil
dans un ciel uniformément brumeux
Les filtres chimiques utilisés pour le
reproduire laissent passer les UV
Décliné en niveaux d’énergie :
D50 (5000° Kelvin ==> énergie aux pôles)
D65 (6500° Kelvin ==> énergie en zone tempérée)
D75 (7500° Kelvin ==> énergie à l’équateur)
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Illuminant standard D65
Lumière du jour
(avec composante UV)
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Illuminants F
Courbe d ’énergie de lampe fluorescente
Il n’y a pas un illuminant fluorescent
standard
Chaque type de lampe fluorescente
possède sa propre courbe d’énergie
Les illuminants F principaux sont
F2, F7, F11, F12
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Illuminant F2
Lampe fluorescente
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L’Oeil
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L’Oeil
L’avant de l’œil est constitué :
– du cristallin :
muscle transparent apte à s’ovaliser ou s’aplatir
très rapidement. Il ajuste la mise au point de
l’image sur le fond de l’œil.
– de l’iris :
muscle opaque circulaire ouvert en
son centre apte à s’ouvrir ou se
refermer lentement. Il
ajuste la quantité de lumière entrant
dans l’œil.
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L’Oeil
L’arrière de l’œil est tapissé de millions de
cellules photo-sensibles,
on l’appelle la rétine.
Ces cellules sont de deux types :
– les cônes
environ 7 millions
situés dans la fovéa
– Les bâtonnets
environ 120 millions
situés sur le reste de la rétine
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Vision Tri-stimulaire
Thomas Young (1896) -
– supposa que notre système visuel humain est tri-
stimulaire, ou cannelé en trois parties.
Les cellules de la fovéa (cônes) sont de 3
types
– sensibles à la composante lumineuse Bleu
– sensibles à la composante lumineuse Verte
– sensibles à la composante lumineuse Rouge
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Les Cônes
20
40
1
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2°
1931... L’observateur 2°
2°
Guild puis Wright
caractérisent la
2°
réponse visuelle
de l’œil humain
2°
2° 2°
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Ecran Blanc
2° Définition de
Rouge
Red
l’observateur
Vert
moyen 2°
2°
Bleu
Observateur
2°
2°
Lampe test colorée
Ecran
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400 500 600 700
Observateur standard 2°
1.8000
z
(bleu)
1.6000
1.4000 y x
1.2000 (vert) (rouge)
1.0000
0.8000
0.6000
0.4000
0.2000
0.0000
400 420 440 460 480 500 520 540 560 580 600 620 640 660 680 700
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X-
400 500 600 700
Quelques Oublis
Les expériences de Guild et Wright...
– incluaient seulement 7 et 10 personnes,
– toutes étaient des hommes,
– le champ visuel était limité à la taille de
la fovéa. Il ne correspond pas au champ
visuel normal.
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X-
400 500 600 700
10° 10°
1964... L’observateur 10°
Un panel de 100 personnes est testé
10°
L ’ouverture de l ’écran 10°
est élargie pour couvrir
le champ visuel normal Fovea
+++
10° 10°
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X-
400 500 600 700
Ecran blanc 10° Définition de
Rouge
Red
l’observateur
Vert
10°
10
Lampe test colorée
Ecran
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X-
400 500 600 700
Observateur standard 10°
2.1000
z 10° (CIE 1964)
2° (CIE 1931)
1.8000
1.5000
1.2000 x
y
0.9000
0.6000
0.3000
0.0000
400 420 440 460 480 500 520 540 560 580 600 620 640 660 680 700
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X-
400 500 600 700
2 ° ou 10 °
L’observateur standard 2°
correspond à l’analyse d ’un
objet de petite taille ou avec
un appareil optique
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L’objet
Les objets sont-ils tous
de nature identique ?
Comment obtient-on la
couleur ?
Synthèse soustractive
Synthèse additive
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L’objet
L’objet ‘ matière ’
– les objets absorbent une partie de la lumière
qu’ils reçoivent et diffusent le reste.
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400 500 600 700
L’objet
L’objet ‘ matière ’
– peut être ‘ opaque ’
– on mesure l’énergie réémise par l’objet,
c’est la ‘ réflectance ’
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X-
400 500 600 700
L’objet
L’objet ‘ matière ’
– peut être ‘ transparent ’
– on mesure l’énergie transmise au travers
de l’objet, c’est la ‘ transmitance ’
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X-
400 500 600 700
L’objet
L’objet ‘ matière ’
– peut être ‘ transparent sur opaque ’ (Ex : encre)
– on mesure l’énergie réémise par l’objet
appliqué sur le support, c’est la ‘ réflectance ’
– on perçoit la somme des énergies réémises
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la voiture apparaît rouge car...
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400 500 600 700
le trèfle apparaît vert car...
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400 500 600 700
Les objets sont absorbants
!
Les objets ne créent pas de lumière.
Ils absorbent une partie de celle qui
provient de la source et restituent le
reste.
En résumé:
La lumière est la
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couleur !
X-
400 500 600 700
Synthèse soustractive de la
couleur
Cyan
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X-
400 500 600 700
Synthèse soustractive de la
couleur
Jaune
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X-
400 500 600 700
Synthèse soustractive de la
couleur
Magenta
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X-
400 500 600 700
Synthèse soustractive de la
couleur
Cyan
Jaune
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X-
400 500 600 700
Synthèse soustractive de la
couleur
Magenta
Jaune
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X-
400 500 600 700
Synthèse soustractive de la
couleur
Magenta + Cyan = Bleu
Magenta Cyan
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X-
400 500 600 700
Synthèse soustractive de la
couleur
Magenta + Cyan = Bleu
Magenta Cyan
Jaune
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X-
400 500 600 700
L’objet
L’objet ‘ lumière ’
– les sources lumineuses colorées
s’additionnent pour reproduire la
couleur.
– Principe utilisé pour les projecteurs de
salle de conférence et les écrans couleur
d’ordinateur ou de la télévision.
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X-
400 500 600 700
Synthèse additive de la
couleur
Rouge
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X-
400 500 600 700
Synthèse additive de la
couleur
Bleu
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X-
400 500 600 700
Synthèse additive de la
couleur
Vert
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X-
400 500 600 700
Synthèse additive de la
couleur
Rouge + Bleu = Magenta
Rouge Bleu
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X-
400 500 600 700
Synthèse additive de la
couleur
Bleu
Vert
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X-
400 500 600 700
Synthèse additive de la
couleur
Rouge
Vert
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X-
400 500 600 700
Synthèse additive de la
couleur
Rouge + Bleu = Magenta
Rouge Bleu
Vert
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X-
400 500 600 700
Le cerveau
Fonctionnement du cerveau humain
– les énergies colorées reçues par les cônes
sont transformées en micro courants
électriques,
– les signaux sont transmis au cerveau par
le nerf optique
– le cerveau traite les informations en
synthèse additive
(sommes des énergies colorées)
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Le cerveau
Fonctionnement du cerveau humain
Rouge Vert
Rouge><Vert
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X-
400 500 600 700
Le cerveau
Fonctionnement du cerveau humain
Rouge Vert Bleu
Somme
Rouge><Vert Jaune><Bleu
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X-
400 500 600 700
Le cerveau
Fonctionnement du cerveau humain
Rouge Vert Bleu Blanc Réf
Somme
Somme
X-
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La mesure de la couleur
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X-
400 500 600 700
Les différents appareils utilisés
pour analyser la couleur ?
L’appareil de mesure regroupe :
la source lumineuse et le récepteur
L’objet est placé sous la source lumineuse,
le récepteur mesure la couleur
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X-
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Le densitomètre
• Utilise:
• une source proche du D65
• 3 filtres pour décomposer la
lumière correspondant chacun à
une des couleurs primaire
• Transmet des intensités
lumineuses Capteur Lampe
Affichage
Filtres Optique
A m 1.28 D
ll
Ouverture
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X-
400 500 600 700
Le colorimètre
• Utilise: 2.1000
1.5000
1.2000
0.6000
0.3000
Ouverture
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X-
400 500 600 700
• Utilise:
Le spectrophotomètre
• une source proche du D65
• 16 ou 32 filtres pour décomposer
la lumière
• Transmet des valeurs de
réflectance dont on extrait les
valeurs tri-stimulaires
Capteur Lampe
Affichage
Filtres Optique
Lab D65 2* X = 50.98
Y = 34.56 Z = 5.67
Ouverture
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X-
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Géométries de mesure
Géométrie directe
Eclairage de l’objet à la verticale et observation de l’énergie
réémise à 45°
Eclairage à 45° de l’objet et observation de l’énergie
réémise à la verticale
Géométrie diffuse
Eclairage direct de l’objet et observation de l’énergie
réémise par la paroi d’une sphère d’intégration
Eclairage diffus de l’objet et observation de l’énergie
réémise proche de la verticale
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X-
400 500 600 700
Géométries de mesure
Géométrie directe Géométriedirecte
0/45 45/0
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X-
400 500 600 700
Géométries de mesure
Géométrie diffuse Géométrie diffuse
8/d d/8
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X-
400 500 600 700
Spéculaire Inclus/Exclu
Le rayon spéculaire est lié à l’état de surface
de l’objet mesuré. Il est réémis dans un
angle opposé à celui d’où vient la source
d ’énergie,
Le rayon spéculaire est Exclu dans le cas de
la géométrie directe,
Le rayon spéculaire est généralement Inclus
dans le cas de la géométrie diffuse.
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X-
400 500 600 700
Spéculaire Inclus/Exclu
Spéculaire Inclus Spéculaire Exclu
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X-
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Les échelles
colorimétriques
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X-
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Un pionnier...
Albert H. Munsell
– “Une notation sur la couleur “, publiée en
1905
– “ Un Atlas sur la couleur “, publié en 1915
– Une société de la couleur fondée en 1918
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X-
400 500 600 700
Qui était Munsell ?
Artiste et enseignant :
– il ordonna la colorimétrie,
– développa la première classification
– créa les bases de la colorimétrie
Il a défini la couleur en 3 termes :
– la clarté ‘ value ’,
– la saturation ‘ chroma ’,
– la teinte ‘ hue ’.
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X-
400 500 600 700
Value
X-
400 500 600 700
Clarté
CLARTE
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X-
400 500 600 700
Chroma
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X-
400 500 600 700
Saturatio
n
GRIS
BLEU PUR
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X-
400 500 600 700
hue
La Tonalité selon Munsell
Ils’agit du nom d’une couleur (ou
d’une famille de couleurs)
X-
400 500 600 700
Tonalité
JAUNE
VERT
ROUGE
BLEU
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X-
400 500 600 700
Munsell : l’espace tri-
dimentionnel
cercle
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X-
400 500 600 700
Valeurs mathématiques
Nous disposons des éléments suivants :
– une courbe d’énergie lumineuse,
– les courbes de sensibilité de l’œil,
– la courbe de réflectance de l’objet.
Nouspouvons en extraire des valeurs
mathématiques pour ‘ chiffrer ’ la
couleur de cet objet.
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X-
400 500 600 700
Coordonnées CIE XYZ
Nous disposons de :
l ’illuminant - la sensibilité de l ’oeil - la courbe de réflectance
x x
Z Y X
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X-
400 500 600 700
Echelle CIE Yxy
Les valeurs XYZ ne sont pas très
parlantes pour définir une couleur
un système à trois dimensions est
donc extrait des coordonnées XYZ
– un plan de la couleur xy
x=X/X+Y+Z
y=Y/X+Y+Z
– un axe de la luminance Y
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X-
400 500 600 700
Diagramme de chromaticité
1931
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X-
400 500 600 700
Diagramme de chromaticité
1931
Ce système n’est pas homogène,
Une même différence visuelle constatée ne donne
pas les mêmes écarts mathématiques dans le
plan xy,
Toute valeur mathématique du plan xy ne
correspond pas à une couleur.
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X-
400 500 600 700
Du diagramme à l’espace
Lab
Déformation ‘mathématique’ du diagramme
pour tendre vers une uniformisation des
écarts de couleur,
Définition de l’origine des axes du nouvel
espace sur l’axe des teintes achromatiques,
– axe L : axe de la luminante (clair - foncé),
– axe a : axe rouge - vert,
– axe b : axe jaune - bleu,
Similitude avec la classification de Munsell
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X-
400 500 600 700
Espace Lab de Hunter
1945
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X-
400 500 600 700
Espace C.I.E. L*a*b* 1976
En 1976 la CIE adopte l’espace L*a*b*
– Même principe que l’espace Lab Hunter
– Il prend en compte des corrections dans les
3 dimensions de l’espace des couleurs,
– Il améliore l’uniformisation des couleurs perçues,
– On le différencie du précédent par l’ajout
d’astérisques sur les différentes unités d ’écart,
– Le Delta E* CIE est l’unité d’écart accepté par un
œil non exercé à la couleur.
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X-
400 500 600 700
Espace C.I.E. L*a*b* 1976
v5b30
X-
400 500 600 700
Coordonnées
rectangulaires
Valeurs L*, a*, b*
Pour positionner un point dans un espace :
– on peut utiliser ses coordonnées rectangulaires
sur l’axe rouge - vert on indique sa valeur a*
et on trace sa projection,
sur l’axe jaune - bleu on indique sa valeur b*
et on trace sa projection,
sur l’axe clair - foncé on indique sa valeur L*
et on trace sa projection.
v5b30
X-
400 500 600 700
Ecarts dL*, da*, db*, dE*
Un premier point est mesuré,
L* = 53.27 a* = -43.19
b* = -36.81
v5b30
X-
400 500 600 700
Ecarts dL*, da*, db*, dE*
Un premier point est mesuré,
Un second point est mesuré,
L* = 53.27 a* = -38.45
b* = -33.62
v5b30
X-
400 500 600 700
Ecarts dL*, da*, db*, dE*
Un premier point est mesuré
Un second point est mesuré
Calculons les écarts :
– da* = a*(ech) - a*(std)
– db* = b*(ech) - b*(std)
X-
400 500 600 700
Ecarts dL*, da*, db* dE*
Un premier point est mesuré,
Un second point est mesuré,
Calculons les écarts :
– da* = a*(ech) - a*(std)
– db* = b*(ech) - b*(std)
Les couleurs peuvent être de
luminances différentes,
Calculons l’écart de luminance
– dL* = L*(ech) - L*(std)
X-
400 500 600 700
Ecarts dL*, da*, db*, dE*
Un premier point est mesuré,
Un second point est mesuré,
Calculons les écarts :
– da* = a*(ech) - a*(std)
– db* = b*(ech) - b*(std)
Les couleurs peuvent être de
luminances différentes
Calculons l’écart de luminance
– dL* = L*(ech) - L*(std)
Calculons l’écart global dE*
dE* = dL*²+da*²+db*²
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X-
400 500 600 700
Coordonnées polaires
Valeurs L*, C*, h°
Pour positionner un point dans un espace :
– on peut utiliser ses coordonnées polaires
dans le plan a*, b* on indique :
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X-
400 500 600 700
Ecarts dL*, dC*, dH*, dE*
Un premier point est mesuré,
L* = 53.27 C* = 52.39
h° = 205.80°
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X-
400 500 600 700
Ecarts dL*, dC*, dH*, dE*
Un premier point est mesuré,
Un second point est mesuré,
L* = 53.27 C* = 48.15
h° = 212.40°
v5b30
X-
400 500 600 700
Ecarts dL*, dC*, dH*, dE*
Un premier point est mesuré,
Un second point est mesuré,
Calculons l’écart de saturation
– dC* = C*(ech) - C*(std)
X-
400 500 600 700
Ecarts dL*, dC*, dH*, dE*
Un premier point est mesuré,
Un second point est mesuré,
Calculons l’écart de saturation
– dC* = C*(ech) - C*(std)
Calculons l’écart de teinte
– dH* = dE*²ab - dL*² - dC*²
X-
400 500 600 700
Ecarts dL*, dC*, dH*, dE*
Un premier point est mesuré,
Un second point est mesuré,
Calculons l ’écart de saturation
– dC* = C*(ech) - C*(std)
Calculons l ’écart de teinte
– dH* = dE*²ab - dL*² - dC*²
Les couleurs peuvent être de
luminances différentes,
Calculons l ’écart de luminance
– dL* = L*(ech) - L*(std)
X-
400 500 600 700
Ecarts dL*, dC*, dH*, dE*
Un premier point est mesuré,
Un second point est mesuré,
Calculons l ’écart de saturation
– dC* = C*(ech) - C*(std)
Calculons l ’écart de teinte
– dH* = dE*²ab - dL*² - dC*²
Les couleurs peuvent être de
luminances différentes,
Calculons l ’écart de luminance
– dL* = L*(ech) - L*(std)
L ’écart global dE* reste
dE* = dL*²+da*²+db*²
v5b30
X-
400 500 600 700
Corrélation entre les
systèmes
L*C*h° et L*a*b* .
L*C*h° est directement lié à L*a*b*!
X-
400 500 600 700
L*a*b* ou L*C*h° ?
Le système L*a*b* n ’est pas cohérent
– en fonction de la teinte les écarts da* et db*
auront une signification différente,
L’œil est plus sensible à un écart de teinte
qu ’aux autres écarts,
Consciemment on non, le coloriste raisonne
selon le principe du L*C*h°
v5b30
X-
400 500 600 700
L*a*b* ou L*C*h° ?
Une couleur est constituée de 2 types
de composants :
–les neutres
Blanc (ou transparent) et Noir
–les colorants
Rouge, Bleu, Vert, Jaune, Orange, Violet, etc.
X-
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Notions de Tolérances
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Différences entre
tolérances L*a*b* et
+b* Ellipses
Gris
+a*
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Résultat
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Différence entre les
tolérances L*C*H* et les
+b* ellipses
Gris
+a*
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Tolérances... Différences entre
L*a*b* et L*C*h°
Différences entre
L*a*b* et Ellipses
+b*
Différences entre
L*C*H* et Ellipses
Gray
+b*
+a*
pourquoi? Gray
+a*
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Pour comparer...
Lab Hunter, 1945 75%
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N ’oubliez pas L*C*h° ?
Clarté…Qualité par laquelle nous distinguons
les ombres claires des sombres.
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Tolérances... Différences entre
L*a*b* et L*C*h°
Différence entre
tolérances L*a*b* et
Ellipses Différences entre
tolérances L*C*H* et
+b*
Ellipses
+b*
Gray
+a*
Gray
lesquelles choisir? +a*
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Quel est le meilleur outil pour
analyser la couleur ?
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Regardez le ‘X’
x
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Les limites
Fatigue rétinienne
– Un repos important est
recommandé pour rafraîchir
la rhodopsine de l ’œil
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Les limites
Fatigue rétinienne
Faible mémoire des couleurs
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Ces gris sont
- ils différents
?
Non, ils
sont
identiques!
Ces oranges
sont - ils
identiques?
Les mêmes
oranges!
Limitations
Fatigue rétinienne
Faible mémoire des couleurs
Effets de l’arrière - plan
– tandis que la fovéa voit le
moindre détail, il n’est pas
possible d’arrêter les
informations perçues par le reste
de l’œil.
– Un bon coloriste doit toujours
prendre en compte la totalité de
son champ visuel.
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Les limites
Fatigue rétinienne
Faible mémoire des couleurs
Effets de l’arrière plan
Déficience de la perception
de la couleur (Daltonisme)
– un homme sur 13 souffre de
déficience principalement dans
le rouge et le vert.
– Les femmes sont moins souvent
atteintes…c ’est un problème
génétique.
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Les limites
Fatigue rétinienne
Faible mémoire des couleurs
Effets de l’arrière plan
Déficience de la perception
de la couleur (Daltonisme)
Conditions d’éclairage
– ‘La lumière est la couleur;
un défaut d’éclairage entraîne
souvent de mauvaises
analyses de couleur.
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Les limites
Fatigue rétinienne
Faible mémoire des couleurs
Effets de l’arrière plan
Déficience de la perception
de la couleur (Daltonisme)
Conditions d’éclairage
Jugement
– le stress, l’heure du jour, la fatigue,
les conditions ambiantes…tout ceci
affectera la façon de voir la couleur.
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Les limites
Fatigue rétinienne
Faible mémoire des couleurs
Effets de l’arrière plan
Déficience de la perception
de la couleur (Daltonisme)
Conditions d’éclairage
Jugement
Age
– Avec l’âge, notre réponse
visuelle change.
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