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I - Définition des concepts
1- Les données
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2- L’information
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3- Le logiciel
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4- Le système
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5- Le système d’information
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o Personnel : sont les utilisateurs, c’est-à-dire des
employés, des cadres, qui pour l’exécution de leur
tâches consomment de l’information produite par le
système ou contribuent à l’acquisition, au stockage,
au traitement ou à la communication d’information,
soit des spécialistes des systèmes d’information
(analystes, programmeurs…) dont la fonction
exclusive consiste à concevoir, implanter, faire
fonctionner un système d’information.
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o Matériel : unités centrales et périphériques, stations
de travail, réseaux de communication, supports
d’informations...
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o Données : sous des formes variées correspondent :
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- à des modèles susceptibles d’être réutilisés
(on utilise un modèle qui à partir de l’état du stock
détecte s’il ya lieu de passer une commande).
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II- La typologie des systèmes d’information
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1- Les systèmes supports d’opérations
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Le système ci-dessus traite les ventes d’un
magasin de détail. Un terminal point de
vente, grâce à un lecteur de codes barres
identifie les produits vendus ; le logiciel
permet la consultation de la base «
produits » qui décrit le produit, en fournit le
prix, etc. il est ainsi possible d’éditer une
facture (document obligatoire pour
matérialiser la transaction). Simultanément
la base « clients », la base « produits » et
la base « ventes » sont mises à jour :
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En effet, l’événement élémentaire concerne un
client ( on note qu’il a acheté..), concerne un
produit (son stock a diminué, il faut mettre la base
à jour) et une vente (on conserve une trace de
toutes les ventes effectuées).
Toutes ces données sont mémorisées ; les différentes
bases peuvent être interrogées à partir d’une
station de travail (exemple de question :
- quel est le stock actuel du produit x ?
- quel chiffre d’affaire a-t- on réalisé avec le client
y?
Pour plus de modèles : Modèles Powerpoint PPT gratuits
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❖ Le système de support et de contrôle des processus
industriels
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❖ Le système de supports des opérations de bureau et
de communication
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2- Les systèmes supports de gestion
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❖ Les systèmes interactifs d’aide à la décision (SIAD)
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❖ Les systèmes experts
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❖ Les systèmes d’information pour dirigeants
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• Les Exécutives Information Systems(EIS): les
tableaux de bord électroniques qui ont pour vocation
de présenter des informations sous forme de
graphiques et de tableaux pour des raisons de suivi et
de contrôle.
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Exemple :
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Savoir lorsqu’un produit ne se vend pas
bien, s’il s’agit d’un problème local ou
général (analyse par région, type de
magasin…)
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III- Les nouvelles tendances des SI
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1- L’échange de données informatisé ou EDI
Les transactions entre organisations reposaient
traditionnellement sur l’échange de documents spécifiques
transmis par voie postale. De ce constat a découlé l’idée
simple de remplacer l’échange de documents par un
échange de messages électroniques, directement
d’ordinateur à ordinateur des partenaires de la transaction.
Cette idée est à la base de l’EDI.
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L’expérience montre que les gains de l’utilisation de l’EDI sont
d’autant plus élevés lorsque :
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EDI, Echange de données informatisées- - EDI (Electronic
Data Interchange)
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A- Caractéristiques de l’EDI :
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L'EDI a été conçu pour remplacer la transmission des
informations sur papier et pour pallier à l'inefficacité des
systèmes manuels.
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L'EDI repose sur le principe que les données originales
ne doivent être entrées qu'une seule fois dans le
système, ensuite elles peuvent être transmises entres
les parties intéressées par voie électronique
uniquement.
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L'EDI est avant tout une procédure d'automatisation des
opérations commerciales. Il ne s’agit pas du tout d'une
messagerie électronique, d'un télécopieur ou d'un système de
transfert des informations sur bande puisque ces trois
systèmes requièrent tous une interface homme machine (à
une extrémité de l'opération, du moins) et que de façon
générale, l'utilisateur doit interpréter et réintroduire les
données échangées.
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B- Les éléments nécessaires à la mise en place d’un EDI :
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- Plusieurs partenaires commerciaux : Il s’agit en général
d’entités opérant dans une même filière commerciale
(fabrication mécanique, administration & finance, santé,
logistique internationale …) ;
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- Un langage ou format commun : Pour être échangés de
façon optimale, les messages doivent utiliser un langage
informatique commun.
L'utilisation d'un format structuré et assimilable par la machine
permet le transfert des documents d'une application à une
autre située dans un emplacement différent, sans qu'aucune
réintroduction au clavier. Aucune interprétation ni intervention
humaine n’est nécessaire ;
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- Un protocole de transmission : Le protocole standardise
ou normalise les procédures de transmission des
messages à travers le réseau de communication. Il est
choisi en fonction de la nature, du volume, de la fréquence
des échanges et des procédures déterminées avec les
partenaires
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Un réseau. : Qui est constitué :
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- Un accord d’interchange : Cet accord formalise les
moyens et modalités d’échanges entre les partenaires
(messages, protocoles, types de réseaux utilisés,
fréquence des échanges, plan de secours en cas de
difficulté, nomination des personnes en charge de ces
méthodes, etc.…)
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C- Les méthodes de transmission informatique des
données :
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- Réseau à valeur ajoutée (RVA). Les RVA intègrent des
fonctions de sécurité plus performantes et autorisent la
codification d’un message d’un langage à un autre.
Cette méthode de transmission met à la disposition de
l'abonné une boîte aux lettres électronique permettant
l'enregistrement et la retransmission des messages, et un
certain nombres de services supplémentaires
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- Internet. Le réseau Internet constitue une méthode
rapide et peu coûteuse à laquelle on pourrait
éventuellement faire appel pour la livraison des messages
par courrier électronique ou par transfert de fichiers.
Certains aspects de ce réseau sont en étude, notamment
l'authentification, le contrôle de l'accès et l'intégrité et la
confidentialité des données.
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D- Le cycle de l’EDI
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➢ Saisie manuelle et transmission électronique du bon de
commande à un fournisseur ;
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Dans ce processus, la saisie manuelle des données est
opérée une seule fois. Tous les documents sont ensuite
transmis par EDI jusqu’à la fin du cycle. Par principe,
chaque document émis est acheminé d’un ordinateur
émetteur, vers un autre ordinateur récepteur qui interprète,
voire intègre le document à son progiciel de gestion
intégré, à la différence d’une réception par fax qui
nécessiterait une nouvelle saisie par un opérateur.
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2- CRM, Customer Relationship Management :
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o Marketing (ex : fournir aux professionnels du marketing, des
outils de ciblage, de gestion de campagnes marketing) ;
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La CRM se présente sous trois variantes :
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La CRM est une forme d’application intégrée qui se
compose de plusieurs modules dont les principaux sont
la SFA (Sales Force Automation), l’EMA (Entreprise
Marketing Automation) et la CSS (Client Service
Support) qui est dédié au SAV (service après vente).
L’efficacité de la CRM réside dans le partage des
données entre ces modules.
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3- SFA, Sales Force Automation
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L'automatisation de la prise en charge commerciale du
client (ou Sales Force Automation) véhicule entre les
équipes commerciales toute l'information pertinente
pour répondre aux besoins des clients en temps réel.
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4- EMA, Entreprise Marketing Automation
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❑ Elle peut utiliser les prospectus, les mails ou les
SMS (Short Message Service) ;
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Marketing Relationnel Ciblé : C'est un type de
marketing direct utilisant les bases de données
(data mining) pour augmenter la pertinence des
messages suivant les destinataires. On distingue
aussi la démarche ONE TO ONE : C'est un
principe marketing consistant à adapter la relation
commerciale à chaque client ;
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• Elle organise des démarches complexes, comme
l'envoi avancée de messages ou des relances
ciblées. Les modules EMA permettent de générer
automatiquement une action personnalisée
déclenchée par un événement (ex : envoi d'un
courrier de bienvenue suite à un abonnement) ou
en fonction d'une action programmée (exemple :
relance téléphonique suite à une campagne)
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• Enfin elle analyse les résultats en temps
réel et adapte l'outil. L'application est capable
de gérer des règles de gestion complexes afin
d'optimiser l'efficacité des interactions avec le
client (ex : nombre maximum de sollicitation
sur une période donnée, génération
d'échantillons de population test ou témoin,
etc.).
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5- CSS, Client Service Support
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6- Enterprise Resource Planning ou ERP
Définitions.
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Le principe fondateur d'un ERP est de construire des applications
informatiques (paie, comptabilité, gestion de stocks…) de
manière modulaire (modules indépendants entre eux) tout en
partageant une base de données unique et commune. Cela crée
une différence importante avec la situation préexistante (les
applications sur mesure existant avant les ERP) car les données
sont désormais supposées standardisées et partagées, ce qui
élimine les saisies multiples et évite (en théorie) l'ambiguïté des
données multiples de même nature (exemple : société TRUC,
TRUC SA et Sté TRUC…).
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L'autre principe qui caractérise un ERP est l'usage
systématique de ce qu'on appelle un moteur
de workflow (qui n'est pas toujours visible de
l'utilisateur), et qui permet, lorsqu'une donnée
est entrée dans le système d'information, de la
propager dans tous les modules du système
qui en ont besoin, selon une programmation
prédéfinie.
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L’offre ERP.
Une offre ERP est une proposition de solutions de gestion clé
en main que les éditeurs de progiciels font aux
entreprises. Ces éditeurs se chargent d’analyser les
besoins réels de l’entreprise dans toutes ses activités à la
fois afin d’adapter le progiciel à installer au fonctionnement
spécifique de l’entreprise, mais aussi pour s’assurer qu’il
puisse faire croître l’efficacité de celle-ci. Les éditeurs
assurent également la formation du personnel à ce
nouveau type de progiciel de gestion. Enfin un service
clients est parfois inclus dans l’offre ERP. Il consiste en un
suivi du client suite à la vente du progiciel.
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Les éditeurs d’ERP proposent dans leur offre les
modules suivants :
❑ finance et comptabilité.
❑ Trésorerie.
❑ Contrôle de gestion.
❑ Gestion de l’investissement.
❑ Planning de production.
❑ Maintenance.
❑ Ordonnancement.
❑ Gestion de la qualité.
❑ Projet.
❑ Ventes et distribution.
❑ Gestion des ressources humaines.
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La fonction de front-office (vitrine de l’entreprise) est
l’ensemble des activités relevant de la chaîne
commerciale (marketing, vente, service client) autour
d’une base unique de données client. Les activités
de front- office répondent à une stratégie de
fidélisation du client.
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C’est un marché en pleine expansion (50% de
croissance annuelle prévue). La fonction de back-
office (arrière-boutique) a pour objectif d’assurer le
suivi des affaires (ex : expédition des devis), il s’agit
d’optimiser les circuits logistiques globaux de
l’entreprise. Dès lors qu’elle a installé un ERP,
l’entreprise se doit de porter autant d’intérêt à l’une
qu’à l’autre de ces deux fonctions.
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La transaction est un travail avec les bases de
données. C’est un ensemble d’opérations soit
complètement exécutées, soit complètement
abandonnées. Il s’agit d’un traitement
transactionnel qui contribue à la sécurité des
données.
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Dans une conversation en échange dynamique de
données, la transaction est une demande de
données ou de services au départ d’un client
vers un serveur. La décision est un choix
effectué suite à la détection d’informations
significatives nécessaires au pilotage de
l’entreprise, dans un référentiel donné.
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