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INTRODUCTION......................................................................................................................

I – Généralités sur le système d’arrosage automatique...............................................................3

1. Présentation de système...................................................................................................3

II – La carte Arduino :................................................................................................................5

1- Définition............................................................................................................................5

2- Synthèse des caractéristiques..............................................................................................5

3- Le Principe de fonctionnement :.........................................................................................5

4- Brochage de la carte Uno :.................................................................................................6

5- Le langage Arduino............................................................................................................7

6- Le matériel..........................................................................................................................7

III – Etude d’un système d’arrosage automatique :....................................................................9

1- Présentation de système :....................................................................................................9

2 - Diagramme sagittal............................................................................................................9

3 – Schéma fonctionnel...........................................................................................................9

IV – Réalisation :......................................................................................................................10

1 – Matériels utilisé :.............................................................................................................10

2– Schéma ISIS :...................................................................................................................16

Conclusion................................................................................................................................17
INTRODUCTION
Le système d’arrosage à distance est une technologie innovante qui permet de
contrôler et de gérer l’arrosage des plantes, des jardins et des cultures et des cultures à
distance. Il utilise des capteurs et des dispositifs électroniques connectés pour surveiller et
réguler l’apport en eau de manière automatisée. Ce système offre de nombreux avantages, tels
que des économies d’eau, une commodité accrue et une gestion plus efficace des ressources
hydrides. En utilisant des technologies telles que les capteurs d’humidité du sol et les
minuteries programmables, les utilisateurs peuvent ajuster les horaires et les quantités d’eau
fournies en fonction des besoins spécifiques des plantes. Le système d’arrosage à distance
ouvre de nouvelles perspectives pour une gestion plus durable et intelligente de l’eau dans
l’agriculture et l’aménagement paysager.
I – Généralités sur le système d’arrosage automatique
1. Présentation de système
L’arrosage automatique est un système d’irrigation du jardin sans intervention
humaine. Le moment et la durée de l’arrosage sont programmés au préalable, rendant
l’arrosage possible même durant l’absence des propriétaires. Le système peut d’ailleurs être
piloté à distance avec la technologie des objets connectés. Il est destiné à différents usages,
non seulement en termes d’agriculture ou d’entretien d’espace vert, mais aussi sur les terrains
de sport.

2. Le but de ce projet :
Ce projet consiste à réaliser un dispositif d’arrosage automatique pour des plantes, qui
déclenche une arrivée d’eau seulement en cas de besoin. Utilisable pour une seule plante ou
pour une petite plantation, ce système pourra être éventuellement répliqué à différentes
échelles. Il vous permettra d’entretenir nos plantes en notre absence, ou de gérer la croissance
d’espèces particulièrement sensibles à l’humidité en établissant des réglages fins.

3. La situation indésirable :
 L’arrosage simple gaspille beaucoup d’eau, ça engendre des problèmes sur les plantes qui
ne supportent pas beaucoup d’eau, et aussi engendre la séchasse.
 Si on a un espace vert, on doit assister chaque jour pour l’arroser.
4. La situation désirable :
 L’arrosage automatique nous donne un meilleur rendement des cultures
 Une réduction de l'intervention humaine (coûts, fatigue, disponibilité, inaccessibilité du
lieu, dangerosité du lieu)
 Un équilibre des répartitions d'eau sur une surface.
 Les jardiniers amateurs se voient la possibilité de s’absenter quelques jours sans courir le
risque de voir leurs plantes asséchées.
 Cette méthode offre aussi l’avantage d’économiser de l’eau grâce au contrôle du débit et
de la pression d’eau.

3. Utilisation
L'arrosage automatique est utilisé par divers acteurs :

 Agriculteurs,
 Semenciers,
 Pépiniéristes,
 Jardiniers (professionnels ou amateurs),
 Gestionnaires de terrains de sport,
 Gestionnaires d'espaces verts
 Gestionnaire d'espaces verts de zone d'activité
 Intendants de terrain : responsable de l'entretien d'un terrain de golf,
 Horticulteurs
 Après les grandes tempêtes, on utilise parfois des asperseurs pour maintenir le bois
mouillé, afin de le stocker pour éviter des méventes ou chutes brutales des cours.
 Il est possible d'utiliser parfois également des asperseurs dans certaines zones de travaux
afin de fixer la poussière au sol. De la même façon mais dans un but différent, on utilise
des asperseurs dans les carrières des chevaux pour leur confort.

4.Typologie

Il faut distinguer deux types d'arrosage automatique : en surface ou enterré ; les deux
systèmes peuvent être combinés.

Pour les systèmes agricoles, tant en surface qu'en goutte-à-goutte, les pompes sont
beaucoup plus puissantes, et pour des raisons d'économie et d'accessibilité à la ressource, les
prises d'eau se font souvent dans des cours d'eau ou bassins de rétention d'eau. Des systèmes
de crépines et filtres empêchent le bouchage du sprinkler. Le nettoyage du filtre (technique du
« contre-lavage ») peut lui aussi, dans certains cas, être automatisé, que ce soit de façon
autonome, ou dans le cadre du cycle d'arrosage.
D'autres systèmes utilisent la gravité pour amener l'eau jusqu'à des bacs dans lesquels
baignent des pots. L'eau remonte alors par capillarité jusqu'aux racines de la plante mise en
pot. Ce type de système est surtout utilisé pour les cultures d’intérieur de petites dimensions
(serre, appartement...).

II – La carte Arduino :
1- Définition
Une carte Arduino est une petite carte électronique (5,33 x 6,85 cm) équipée d'un
microcontrôleur. Il permet, à partir d'événements détectés par des capteurs, de programmer et
commander des actionneurs ; la carte Arduino est donc une interface programmable.

La carte Arduino la plus utilisée est la carte Arduino Uno.

Le microcontrôleur est donc un véritable petit ordinateur :

Microprocesseur cadencé à 16MHZ mémoire flash ⇔ disque dur mémoire RAM ⇔ mémoire
vive (RAM) Mémoire EEPROM ⇔ mémoire morte (ROM) broches Entrée/Sortie ⇔ ports de
communication.

2- Synthèse des caractéristiques


- Le Principe de fonctionnement :

On conçoit ou on ouvre un programme existant avec le logiciel Arduino.

On vérifie ce programme avec le logiciel Arduino (compilation).

Si des erreurs sont signalées, on modifie le programme.

On charge le programme sur la carte.

On câble le montage électronique.

L’exécution de programme est automatique après quelques secondes.

On alimente la carte soit par le port USB, soit par une source d’alimentation.

Autonome (pile 9 volts par exemple).

On vérifie que notre montage fonctionne.

3- Le Principe de fonctionnement :
- On conçoit ou on ouvre un programme existant avec le logiciel Arduino.
- On vérifie ce programme avec le logiciel Arduino (compilation).
- Si des erreurs sont signalées, on modifie le programme.
- On charge le programme sur la carte.
- On câble le montage électronique.
- L’exécution de programme est automatique après quelques secondes.
- On alimente la carte soit par le port USB, soit par une source d’alimentation.
- Autonome (pile 9 volts par exemple).
- On vérifie que notre montage fonctionne.

4- Brochage de la carte Uno :


Les broches d'alimentation à utiliser sont les suivantes :

5V. La tension régulée utilisée pour faire fonctionner le microcontrôleur et les autres
composants de la carte. Le 5V régulé fourni par cette broche peut donc provenir soit de la
tension d'alimentation VIN via le régulateur de la carte, ou bien de la connexion USB (qui
fournit du 5V régulé) ou de tout autre source d'alimentation régulée.

GND. Broche de masse ou 0V

Broches numériques en entrée OU sortie :

Chacune des 14 broches numériques de la carte UNO (numérotées des 0 à 13) peut
être utilisée soit comme une entrée numérique, soit comme une sortie numérique Il suffit de
les déclarer en début de programme. Certaines interfaces les ont déjà programmées (S4A)
d'autres vous demande de le faire (S2A, ardublock) Ces broches fonctionnent en 5V. Chaque
broche peut fournir ou recevoir un maximum de 40mA d'intensité. De plus, certaines broches
ont des fonctions spécialisées :

Broche 13. Dans la carte est incluse une LED connectée à la broche 13. Lorsque la broche est
au niveau HAUT, la LED est allumée, lorsque la broche est au niveau BAS, la LED est
éteinte.

Broches PWM. Elles pilotent les moteurs à courant continu en vitesse. On peut aussi les
utiliser pour piloter une diode en luminosité.

Broches analogiques en entrée :


La carte Uno dispose de 6 entrées analogiques (numérotées de A0 à A5), chacune
pouvant fournir une mesure d'une résolution de 10 bits (c'est à dire sur 1024 niveaux soit de 0
à 1023)

En termes de tension la sensibilité est donc de 5/1024 = 4,88 mV

Différence entre entrée numérique (digital en anglais) et analogique :

Une entrée numérique ne détecte que deux valeurs : 0 (0Volt) et 1 (5Volts)

Une entrée analogique peut détecter 1024 valeurs comprises entre 0 et 5 Volts par saut de 4,88
mV.

5- Le langage Arduino

Le projet Arduino était destiné à l'origine principalement à la programmation


multimédia interactive en vue de spectacle ou d'animations artistiques. C'est une partie de
l'explication de la descendance de son interface de programmation de Procession. Procession
est une librairie java et un environnement de développement libre. Le logiciel fonctionne sur
Macintosh, Windows, Linux, BSD et Android.

Référence :

- Le langage Java.
- Le langage C.
- L'algorithmique.

6- Le matériel

Il s'agit d'une carte électronique basée autour d'un microcontrôleur Atmega du fabricant
Atmel, dont le prix est relativement bas pour l'étendue possible des applications.
Le microcontrôleur :

Il va recevoir le programme et le stocker dans sa mémoire puis l’exécuter.

Alimentation :

Pour fonctionner, la carte a besoin d'une alimentation. Le microcontrôleur


fonctionnant sous 5V, la carte peut être alimentée en 5V par le port USB (en 2) ou bien par
une alimentation externe (en 3) qui est comprise entre 7V et 12V. Cette tension doit être
continue et peut par exemple être fournie par une pile 9V. Un régulateur se charge ensuite de
réduire la tension à 5V pour le bon fonctionnement de la carte.

Visualisation :

Les trois "points blancs" entourés en rouge sont des LED dont la taille est de l'ordre du
millimètre. Ces LED servent à deux choses :

- Celle tout en haut du cadre : elle est connectée à une broche du microcontrôleur et va
servir pour tester le matériel.
- Les deux LED du bas du cadre : servent à visualiser l'activité sur la voie série (une pour
l'émission et l'autre pour la réception). Le téléchargement du programme dans le
microcontrôleur se faisant par cette voie, on peut les voir clignoter lors du chargement.

La connectique :

La carte Arduino ne possédant pas de composants qui peuvent être utilisés pour un
programme, mis a par la LED connectée à la broche 13 du microcontrôleur, il est nécessaire
de les rajouter. Mais pour ce faire, il faut les connecter à la carte (en 5a et 5b). C'est grâce à
cette connectique que la carte est "extensible", car l'on peut y brancher tous types de montages
et modules ! Par exemple, la carte Arduino Uno peut être étendue avec des Shields, comme le
« Shield Ethernet » qui permet de connecter cette dernière à internet.

III – Etude d’un système d’arrosage automatique :


1- Présentation de système :
Ce projet consiste à réaliser un dispositif d’arrosage automatique pour des plantes, qui
déclenche une arrivée d’eau seulement en cas de besoin. Utilisable pour une seule plante ou pour
une petite plantation, ce système pourra être éventuellement répliqué à différentes échelles. Il
vous permettra d’entretenir vos plantes en votre absence, ou de gérer la croissance d’espèces
particulièrement sensibles à l’humidité en établissant des réglages fins.

Ce dispositif d’arrosage automatique offrira l’occasion d’étudier l’utilisation d’un signal


analogique provenant d’un capteur pour activer un actionneur assez puissant (ici une pompe
électrique) à l’aide d’un transistor

2 - Diagramme sagittal
Description des liaisons :

L1 : Permet à l’utilisateur de paramétrer le système d’arrosage (taux d’humidité, heure et temps


d’arrosage...) ainsi que de déclencher l’irrigation.

L2 : Information sur le taux d’humidité, l’heure... et sur les différents modes. L3 : Grandeur
physique de l’humidité du sol.

L4 : Consigne de marche de la pompe et/ou de l’électrovanne pour l’irrigation.

3 – Schéma fonctionnel

IV – Réalisation :
1 – Matériels utilisé :
La pompe :

Les pompes véhiculant des liquides se divisent en deux catégories principales :

Les pompes centrifuges : le mouvement du liquide résulte de l’accroissement


d’énergie qui lui est communiqué par la force centrifuge.
Pompes volumétriques : l’écoulement résulte de la variation d’une capacité occupée
par le liquide.

Capteur d’humidité du sol :

Ce capteur d'humidité permet de connaître la concentration d'eau dans la terre. Il est équipé de
deux sorties :

Une sortie analogique qui délivre une valeur analogique précise en fonction de la teneur en
eau.

Une sortie digitale dont on définit le seuil de déclenchement à l'aide d'un potentiomètre.
Humidité de sol : Les différentes techniques de mesure

L’humidité du sol (ou eau contenue dans le sol) détermine de façon essentielle la
variation des caractéristiques de différents matériaux ou sols.

Le taux d’humidité d’un sol en particulier va déterminer les caractéristiques de


diffusion ou de stockage de l’eau dans ce sol.

Ces caractéristiques concernent aussi bien les intrants solides que liquides qui vont pénétrer
dans le sol.

Il existe différentes techniques de mesure de l’humidité d’un sol :

Méthode gravimétrique :

Cette méthode consiste à sécher un échantillon de sol et connaître ensuite par pesée
finale (ramenée à la pesée initiale) le poids d’eau contenu par l’échantillon.

Méthode de référence, mais longue, coûteuse et destructive.

Méthode par sonde à neutrons :

Cette méthode reste particulièrement efficace mais chère et désormais beaucoup trop
réglementée (caractère radioactif du principe de l’appareil) pour être utilisée simplement par
un opérateur.

Méthode par mesure de la conductivité électrique :

Cette méthode très économique est malheureusement très peu précise, et reste
fortement influencée par la nature du sol et la salinité des sols.

Méthode capacimétrique :

Méthode électromagnétique (mesure de la permittivité diélectrique) économique, mais


au volume d’influence limité (1 à 2 cm autour des pointes du capteur) et influencée par le type
de sol, la température et la salinité.

Bien adaptée aux petits volumes de sol et avec un bon rapport prix/performance.

A Propos du capteur :
La sonde Humidité du Sol utilise des condensateurs pour mesurer la permittivité
diélectrique du sol alentour. Le volume d’eau dans le volume total de sol influence
grandement la permittivité diélectrique parce que la permittivité diélectrique de l’eau est bien
plus grande que celle des autres constituants du sol. Ainsi, quand la quantité d’eau change
dans le sol, la sonde va mesurer un changement dans la capacité électrique (à partir du
changement de permittivité diélectrique) qui peut être directement corrélée en changement de
teneur hydrique. Les circuits dans le capteur changent la mesure de capacité électrique en un
signal proportionnel en millivolt. La sonde fait une moyenne de la teneur en volume d’eau sur
la longueur totale de la sonde, avec une zone « d’influence « se situant entre 0 et 2cm autour
de la sonde. La sensibilité est très faible à l’extrémité de la sonde. Le champ

électromagnétique produit par la sonde décroit avec en s’éloignant de la surface de la sonde.

Afficheurs LCD (Afficheur à cristaux liquides) :

Les afficheurs à cristaux liquides sons des modules compacts intelligents et nécessitent peu de
composants externes pour un bon fonctionnement. Il est relativement bons marchés et
s’utilisent avec beaucoup de facilité.

Fiche technique :
La carte Arduino :

Une carte Arduino UNO est une petite (5.33 x 6.85 cm) carte électronique équipée d'un
microcontrôleur. Le microcontrôleur permet de programmer et commander des actionneurs à
partir d'événement détectés par des capteurs

Buzzer :

Le buzzer est un avertisseur sonore On l’utilise pour indiquer le sol et irriguer (la fin
d’irrigation).

Caractéristique :
IV Simulation :
1– Le code Arduino :
2– Schéma ISIS :
Conclusion
L'arrosage automatique des espaces verts et sportifs implique la connaissance approfondie du
matériel à utiliser et la sélection rigoureuse des produits les mieux adaptés à la situation et au
projet. Les programmateurs pour piloter l'ensemble du système d'arrosage selon les besoins,
les électrovannes commandées automatiquement pour alimenter les arroseurs, tuyères et
goutteurs, les turbines, tuyères et réseaux de goutte à goutte pour distribuer l'eau, les
différents accessoires du réseau ou d'amélioration de l'installation telles que les sondes pour
interrompre l'arrosage en cas de pluies.

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