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{{Infobox Biographie2|charte=compositeur}}

'''Georges Quertant''' est un praticien de [[neuropédagogie]]<ref>Jean-Gaël Barbara, « Apprendre à


apprendre », revue Esprit, 2020/6 (Juin)</ref>, [[musicothérapie]], musicien et compositeur français,
né le {{date de naissance|22 juillet 1894}} à [[Digne-les-Bains]] et mort à [[Cannes]] le {{date de
décès|8 juillet 1964}}. Il est à l’origine d’une méthode de neuroadapatation par rééducation visuelle
dans le but de traiter un [[trouble de l’humeur]] ou un [[trouble du déficit de l'attention avec ou sans
hyperactivité]], d’une manière qui anticipe certains développements neuroscientifiques actuels et
l’EMDR ([[Intégration neuro-émotionnelle par les mouvements oculaires]])<ref>{{en}} ''Eye
movement desensitization and reprocessing'' (1988)</ref>. Sa méthode de régulation du [[système
nerveux]] utilise la rééquilibration de la fonction visuelle aux moyens d’appareils optiques conçus par
lui-même. Elle fait le lien entre des déséquilibres visuels et la présence de troubles neuro-
fonctionnels tels que des troubles de l’humeur et de l’attention. La technique de Georges Quertant
de rééducation a été développée en France et à l’étranger par sa fille Marguerite Quertant au sein de
Centres Quertant toujours en activité. Georges Quertant s’est efforcé toute sa vie de mettre en
relation ses différents centres d’intérêts, à savoir, la musique, la pédagogie, les sciences et la
médecine. Il crée la rééducation sensorielle et la neuro-pédagogie dans les années 1930. Son œuvre
inclassable est un trait d’union entre les sciences et les arts au service de l’homme, dans un esprit
universaliste et humaniste qui tente une synthèse des connaissances notamment au niveau de la
vision. Esprit profondément rationnel, Georges Quertant fut fortement influencé par les travaux du
physiologiste [[Claude Bernard]] (1813-1878), dont il a lu et médité les leçons de physiologie. Le
travail scientifique de Georges Quertant, qui est celui d’un autodidacte passionné, est cependant
d’une extrême précision et a suscité l’intérêt de nombreux médecins et scientifiques de son époque.
De son vivant, Marguerite, la fille de Georges Quertant, sans descendance, a cédé l’œuvre de son
père ainsi que la marque Quertant déposée à l’[[Institut national de la propriété industrielle|INPI]] à
une société civile particulière S.C.P C.P.S Quertant<ref>Gérante de la société, Madame Brigitte Boni
de Monseignat. Sauf mention contraire, les sources proviennent du [[fonds d'archives]] de SCP CPS
Quertant, Société Civile Particulière – de Culture Psycho-Sensorielle cofondée par Marguerite
Quertant (1923-2011) et Brigitte Boni de Monseignat. Le fonds Quertant est protégé par la marque
déposée Quertant ©. La présentation de Georges Quertant d’après ce fonds est déclarée dans le
respect fidèle des éléments historiques résultants non seulement de la documentation et des
archives personnelles de Georges Quertant mais également de l’expérience scientifique menée à ses
côtés de manière concrète et rigoureuse aussi bien par Marguerite Quertant que par Brigitte Boni de
Monseignat qui depuis 2008 se trouve être légataire et héritière de la Méthode Quertant. Tout
élément contraire à ces développements historiques ne pourrait que s’inscrire dans une œuvre de
travestissement de la vérité</ref>.

== Biographie ==

Georges Quertant est le cinquième enfant d’un officier de gendarmerie d’[[Amiens]], officier de la
[[Légion d'honneur]], et d’une mère infirmière d’origine provençale. La famille est installée à [[Digne-
les-Bains]] à la naissance de Georges le 22 juillet 1894. {{refnec|En 1898, la famille déménage à
[[Amiens]] où Georges, déjà passionné par la musique, suit une éducation musicale avec brio. [[Jules
Verne]], alors âgé de 70 ans et voisin de la famille, visite à l’occasion le petit Georges qui se
passionne déjà pour les récits de voyage du célèbre écrivain. Jules Verne décèle très rapidement une
curiosité sans limites et une grande précocité chez ce petit garçon}}. À 16 ans, Georges donne déjà
des leçons d’[[orgue]] et de [[piano]], il est titulaire des grandes orgues de l’[[église Saint-Germain-
l'Écossais d'Amiens]]. Il fonde également une société symphonique, « Le Septuor Quertant » dont il
est le chef d’orchestre et compositeur jusqu’en 1914. À partir de 1910, Georges Quertant et son
Septuor donnent des concerts pour les patients de l’asile départemental de la [[Somme
(département)|Somme]] (de [[Dury (Somme)|Dury]], près d’Amiens), où son frère, le docteur
Maxime Quertant travaille<ref>Maxime Quertant vient de soutenir sa thèse de médecine quelques
années plus tôt. M. Quertant, ''Du traitement des empyèmes chroniques par la décortication du
poumon (opération de Delorme)'', Thèse de médecine, 1906-1907, Paris, 1907.</ref>. Georges
observe diverses réactions chez les patients face aux différentes œuvres musicales interprétées. C’est
ainsi qu’il s’intéresse à la [[musicothérapie]] telle qu’elle commence à se développer au tournant du
XXe siècle dans les milieux hospitaliers. À partir de ses observations, il met en évidence les effets de
la musique sur certains patients et en déduit l’idée que la musique peut devenir un entrainement
cérébral et une technique de neuro-stimulation neuronale qu’il qualifie de « nouvelle gymnastique
sensorielle ». En 1912, il adopte la dénomination de « culture psycho-sensorielle » par analogie à la
culture physique qui se développe en France dans le système éducatif scolaire.

Quertant acquière la conviction que certains troubles nerveux sont dus à des déséquilibres neuro-
visuels et par conséquent neuro-fonctionnels qui peuvent être compensés par une rééducation
appropriée surtout si celle-ci est réalisée dès le plus jeune âge. Pour lui, la culture psycho-sensorielle
précoce chez l’enfant permettrait de diagnostiquer des déséquilibres sensoriels. Pour sa fille,
Marguerite, atteinte d’un fort [[strabisme]], il va établir une technique de rééducation visuelle
appropriée après s’être formé en autodidacte aux sciences et à la médecine auprès de son frère
médecin Maxime. Au fil des années, il élabore sa culture "psycho-sensorielle" sur des bases
scientifiques, alliant les conceptions générales de Claude Bernard sur les régulations nerveuses, les
théories de physiologie cérébrale de [[Jules Bernard Luys]] (1828-1897), ou encore les conceptions
physiologiques de [[Mathias Duval]] (1844-1907) dans le cadre de la théorie du neurone, en lien avec
le concept de plasticité cérébrale<ref>{{Cf.}} la planche de Quertant intitulée "Les neurones et leur
amœboïsme" faisant référence à la théorie histophysiologique du sommeil de Mathias Duval.</ref>.

La [[Première Guerre mondiale]] fut particulièrement tragique pour la famille Quertant dont tous les
membres sont mobilisés. Les parents sont bénévoles à l’hôpital 101 d’Amiens<ref>Le père de
Georges reçoit la médaille de la [[Croix-Rouge française]] avec les palmes, de même que sa mère,
vice-présidente de l’[[Union des femmes de France]], infirmière major à la salle d’opération</ref>.
Georges est lui même gravement blessé à une jambe. Il est réformé ainsi que ses frères, Alfred et
Louis. Les Quertant se réfugient à [[Cannes]] en 1917, où Maxime devient directeur de l’hôpital Gallia
dans l’hôtel du même non transformé pour soigner les grands blessés<ref>Maxime décède en 1921
des suites de son intoxication à l’[[ypérite]], ainsi que son frère Denis.</ref>.

Après la Grande Guerre, Georges Quertant devient professeur de musique et de chant choral aux
lycées Carnot et Jules-Ferry. Il devient l’un des membres fondateurs de la Société scientifique et
littéraire de Cannes et de l’arrondissement de Grasse, puis vice-président en 1928 et président à
partir de 1934.

Les années 1920 furent pour Georges Quertant des années de composition et il reçut en 1929 le
premier prix de composition musicale aux « Jeux Floraux » et à la « Cigale d’or » de l’Académie
provençale. En 1932, il reconstitue une société symphonique, les « Concerts Symphoniques » avec
des musiciens professionnels cannois chômeurs, société qui devient « l’Orchestre Symphonique
officiel du comité des Fêtes ». Le Quatuor Quertant diffuse des concerts sur la radio TSF
([[Télégraphie sans fil]]) de la [[Côte d’Azur]]. Parallèlement à cette carrière musicale, il publie
l’année suivante les résultats de ses recherches sur la mélothérapie.

Au cours des années 1930, Georges Quertant transforme sa "Culture Psycho-Sensorielle" en une
"Neuro-Somato-Psycho-Biométrie" et une "Neuro-Somato-Psycho-Pédagogie" en créant
progressivement à partir de 1935 ses propres instruments de rééducation neuro-visuels. Il s'inspire
pour cela du diploscope mis au point par le docteur Rémy et perfectionné par le docteur Armbruster.
La méthode est destinée principalement à corriger les troubles des mouvements oculaires souvent
corrélés chez l’enfant à des déficits d’apprentissage et des troubles du comportement. Cette
orientation de Georges Quertant vers la vision et ses troubles est la conséquence directe du
[[strabisme]] convergent sévère bilatéral de sa fille Marguerite à qui il va faire suivre sa méthode. Il
élabore également un instrument d'[[électro-encéphalographie]]<ref>Voir ses planches intitulées
"Technique de l’électroencéphalographie", "Encéphalogrammes – Enfants", et "Ondes bioélectriques
d’animaux".</ref>.

En 1937, il publie son manuel de Culture psycho-sensorielle, ''la Culture cérébro-psychosensorielle,


ses méthodes d’éducation et de rééducation''. La même année, Georges Quertant présente sa
méthode au premier congrès international de psychiatrie infantile de Paris. Ses travaux entrent bien
dans le cadre défini par le docteur [[Georges Heuyer]] (1884-1977), professeur à la faculté de
médecine de Paris, membre de l’[[Académie nationale de médecine|Académie de Médecine]] et
fondateur de la [[pédopsychiatrie]] ; celui-ci dénonce le manque de volonté politique de la prise en
charge des troubles de l’enfant par des pédagogues.

Pendant la [[Seconde Guerre mondiale]], Georges Quertant continue de pratiquer sa méthode de


rééducation souvent bénévolement et sans distinction de religion. Il parvient à avoir de nombreux
soutiens de médecins au vu de ses excellents résultats sur la rééducation des enfants. Il va
progressivement étendre sa méthode aux adultes avec succès.

Les années 1950 sont celles de la reconnaissance pour Quertant et pour son centre de Culture
psycho-sensorielle à Cannes. Le maire de Cannes, Jean-Charles Antoni (voir la [[liste des maires de
Cannes]]), propose Georges Quertant à la [[Légion d'honneur]] qu’il recevra en 1952 au titre du
[[Ministère de l'Éducation nationale (France)|ministère de l’éducation nationale]] et il a également
été fait officier dans l'[[Ordre des Palmes académiques]]. La Méthode Quertant est soutenue par le
neurophysiologiste [[Paul Chauchard]] (1912-2003), directeur honoraire du laboratoire de neuro-
physiologie de l’excitabilité à l’[[École pratique des hautes études]].

Georges Quertant s’éteint le 8 juillet 1964 à Cannes.


== Distinctions ==

* {{déco CLH}} (1952)

* {{déco OOPA}}

== Publications ==

=== Liste des publications ===

* Ouvrages de pédagogie et rééducation Musique humaine et musique mécanique, Extrait des


Annales de la Société scientifique et littéraire de Cannes, Cannes, Cruves et Ca, 1930.

* Musique et médecine. La mélothérapie. Sa synthèse, ses propriétés, sa thérapeutique, sa


posologie, Impr. de Cruvés & Vincent, 1933.

* La Culture cérébro-psychosensorielle. Ses méthodes d'éducation et de rééducation, Paris, J.-J.


Durand, 1937.

* Publications dans les Annales de la Société scientifique et littéraire de Cannes Musique Humaine et
Musique Mécanique, T.II, 1930.

* Histoire de la musique de la Marseillaise, T.IV, 1932.

* Musique et médecine : Mélothérapie, synthèse, propriétés thérapeutiques T.V, 1932-1933. Moyens


employés de 1870 à nos jours pour faire parvenir lettres et objets, T.VII, 1935.

* Le daltonisme, la dyschromatique et la CPS, T.VIII, 1936.

* Nouvelle technique électro-neuro-physiologique de mesure de la réceptivité humaine aux


radiations et influences cosmiques et telluriques, T.VIII, 1936.

* De l’Influence des Sciences physiques sous la forme « Art » sur le sensorium et la pensée humaine
T.IX, 1937-1938. Comment au XXe siècle, le rêve de Platon devient réalité, T.IX, 1937-1938, p. 29.

* Contribution à l’étude du relief, T.XI, 1939-1949, p. 8. Les ondes neuro-bio électriques : « L’Electro-
neuro-sensorioscopie et l’électrencéphalothérapie », T.XI, 1939-1949, p. 12 et 17.

* La lumière de Wood en neuro-psycho biométrie, T.XI, 1939-1949, 1940. La neuro-bio mécanique


avec graphiques, T.XI, 1939-1949, 1942. Contribution à l’éducation générale, T.XI, 1939-1949, 194.

* Contribution à l’étude des problèmes humains : le Nervosisme, T.XI 1939-1949, p. 47, p. 93, 1943,
1946.

* Genèse et processus des techniques et méthodes de la gymnastique nerveuse, T.XI, 1939-1949,


1943 Dissertation sur une leçon de Claude Bernard : « Les Mouvements réflexes » avec graphiques,
T.XI, 1939-1949 p.66, 1944.

* Contribution à l’étude des problèmes humains : facultés visuelles, T.XI, 1939-1949, p. 56, novembre
1943. Pour agir sur l’Homme, cet inconnu (p.82) T.XI, 1939-1949

* La Culture psycho-sensorielle (1940) Vertus climatiques de Cannes et le complexe somato-physique


p.124 T.XI, 1939/49 Vertus climatiques de Cannes et le complexe somato-physique T.XII, 1949-1951
* Hommage à Claude Bernard : Culture psycho-sensorielle et prophylaxie nerveuse, 8 janvier 1949 –
6 février 1949, T.XII 1949-1951

* Réflexions sur la cybernétique (1952) p. 29 ; 7 janvier 1951 T.XII, 1949-1951 Observations sur les
fréquences du chiffre « 7 » dans les sciences : physique, physico-chimique et le somato-psychique.
Ses applications. T.XIV, 1953-1957

* Le complexe somato-psychique T.XV, 1958 Promenade botanique dans le maquis de l’Estérel, T.XV,
1958

=== Autres publications ===

* La culture psycho-sensorielle en psychiatrie infantile, communication présentée au {{1er|Congrès}}


International de Psychiatrie infantile, Paris, 1937.

* ''Nervosisme et culture psycho-sensorielle'', Cannes, Imprimerie Aegitna-Cannes, 1943.

* ''Mémento pratique : La Culture psycho-sensorielle (CPS)'', Cannes, Imprimerie Aegitna-Cannes.

* ''Hommage à Claude Bernard, ses leçons « Culture Psycho-Sensorielle et Prophylaxie nerveuse »'',
Cannes, Imprimerie Aegitna-Cannes, 1948.

* Textes conservés aux archives privées de la SCP CPS

* ''Quertant La Culture psycho-sensorielle, ses méthodes d’éducation et de rééducation'', 1935.

* ''L’application des méthodes de rééducation Psycho-Sensorielle (vue, ouïe, tact, phonation) avec
300 graphiques en couleurs)'', 1935. La Psycho-sensorio thérapie, 1935.

* ''La Psycho-sensorio analyse'', 1935.

* ''L’éducation des sens par les Arts'', 1935. ''Ce qu’est la C.P.S.'', 1936. ''Essai sur la psycho-sensorio-
analyse et la culture cérébro-psycho-sensorielle'', 1936.

* ''La CPS (Culture Psycho-sensorielle). Sa genèse, son processus, son rôle, ses buts, ses analogies
avec la culture physique'', 1940.

* ''La C.C.P.S, Culture-cérébro-psycho-sensorielle, sa genèse, son processus, son rôle, ses buts, ses
analogies avec la culture physique'', 1940, sept planches.

* ''Ce qu’est la C.P.S.'', 1940. ''Pourquoi – Comment – Dans quels buts – J’ai réalisé une « Culture
Psycho-Sensorielle » en analogie à la « Culture Physique »'', 1941.

* ''Le réflexe opto-oto-mésencéphalo-bulbo-protubérentiel'', 1942.

* ''Les Principes essentiels de la CPS, avec 30 planches'', 1943.

* ''Son influence sur les fonctions somatiques et neuro-végétatives'', 1943.

* ''Le rôle des Centres Mésendiencéphaliques dans le nervosisme'', 1943.

* ''En marge de la CPS. Réflexions et précisions'', 1944.

* ''Précis de Culture psycho-sensorielle : Techniques et méthodes : Psycho-Sensorio-Analyse.


Gymnastique analytique éducative et corrective nerveuse avec 150 planches en couleurs. Nervosisme
et complexe somato psychiques'', 1944.
* ''Jules Combarieux, musicologue français (1859-1915). Abrégé de culture psycho-sensorielle,
Techniques et méthodes, octobre 1945. Les Principes essentiels de la CPS, avec 30 planches'', 1945.

=== Œuvres musicales et musicologiques ===

* Georges Quertant, Nocturne. N°1. Évocation de la sixième époque de Jocelyn, pour piano, Paris, Ch.
Hayet, 1925.

* Georges Quertant, Nocturnes pour piano. II. Doux Rêve, Paris, Ch. Hayet, 1926.

* Georges Quertant, Près d'un berceau, berceuse, pour piano, Paris, Ch. Hayet, 1928.

* Georges Quertant, Nocturne. N°3. Profondes amours, pour piano, Paris, Ch. Hayet, 1929.

* Georges Quertant, Petites impressions provençales, pièces faciles pour piano, Paris, Ch. Hayet,
1929.

* Georges Quertant, Musique humaine et musique mécanique, Cannes, Cruves et Ca, 1930. Georges
Quertant, L'Histoire de la musique de "La Marseillaise", Impr. de Cruvés & Vincent, 1933.

== Notes et références ==

<references/>

{{Crédit d'auteurs|externe|source=https://plus.wikimonde.com/wiki/Georges_Quertant|
titre=Georges Quertant|auteur=[https://plus.wikimonde.com/ Wikimonde Plus]}}

{{Portail|neurosciences}}

{{CLEDETRI:Quertant, Georges}}

[[Catégorie:Naissance à Digne-les-Bains]]

[[Catégorie:Naissance en juillet 1894]]

[[Catégorie:Décès à Cannes]]

[[Catégorie:Décès en juillet 1964]]

[[Catégorie:Compositeur français du XXe siècle]]

[[Catégorie:Plus:Biographie]]

[[Catégorie:Plus:Musique]]

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