2) La connaissances des besoins des espèces cultivée ou élevées

Chaque espèce végétale → optima de rendement pour une certaine concentration du sol en minéraux.
Tests en labos (INRA) → déterminer besoins spés chaque espèce de plante. Culture hors sol → nécessite parfaite maîtrise
de ces concentrations optimales : la plante X possibilité puiser ressources minérales nécessaires croissance dans le sol

3) Conséquences pour l'environnement

Agriculture conventionnelle → impact lourd sur environnement (déséquilibres) :
• Réduction de la biodiversité des écosystèmes naturels qui les
• Lessivage des sols
entourent
• pollutions des eaux de surface et des nappes phréatiques
• accumulation de toxines le long de la chaîne alimentaire
III. L’amélioration des rendements des agrosystèmes
Pratiques culturales → améliorer directement la production primaire / soit à protéger les cultures
a. Les méthodes naturelles
Un agriculteur → nombreuses méthodes « naturelles » pour • Amélioration du sol → apports de calcaire si le sol est trop
augmenter la productivité de sa récolte acide / de tourbe si le sol est trop léger

• Le labourage du sol → augmentation perméabilité et • Rotation des cultures ((Malgré ces méthodes « naturelles » le
capacité de rétention d’eau sol s’épuise peu à peu.))

b. La fertilisation
Utilisation d’engrais
Apports d’engrais compensent exportations massives d’ions minéraux.
Les engrais → éléments compensateurs sol insuffisamment riche en une ou plusieurs substances nécessaires au rendement
qualitatif ou quantitatif attendu. Les engrais contiennent phosphore (P), de l’azote (N), et du potassium (K). Engrais +
utilisés : engrais NPK : présentent ces 3 éléments en proportions variables.
Amendement
L’amendement→ produit ajouté au sol pour améliorer son état physique et son état chimique (structure, pH).
Essentiellement composés organiques (fumiers, lisiers, boue d’épurations, ...) ou calciques. Cette technique → faciliter
germination, dev. Racines, circulation eau et air, assimilation fertilisants.
c. La lutte contre les ravageurs.
Emploi de pesticides de toute nature (fongicides, insecticides, désherbants ou herbicides, etc.)
Les fongicides
Lutter contre champignons/parasites des végétaux ; les plus anciens: sulfate de cuivre, sulfate de fer, soufre, etc. Emploie :
pulvérisations de bouillies sur les organes aériens des végétaux → Pbs liés à accumulation de cuivre dans les terres : limites
leur utilisation.
De nos jours : fongicides complexes, fabriqués par industrie chimique. X phytotoxiques + peuvent être utilisés sur toutes
plantes, dont ils favorisent aussi la végétation.
Les insecticides
insectes nuisibles (+ larves) s’attaquent aux plantes cultivées. 2 groupes :
• Les organochlorés →Tendance à s’accumuler dans les végétaux et les tissus humains
• Les organophosphorés.
Les désherbants ou herbicides
Mauvaises herbes/ plantes adventices sur terre cultivées, vergers, vignes : entravent dév. culture : étouffement plante
cultivée, épuisement/assèchement sol, etc. Herbicides sélectifs/ non sélectifs
Les méthodes biologiques
Méthodes diverses :
• Utilisation ennemis naturels des ravageurs (ex : coccinelles contre • Mise au point de semences génétiquement
pucerons) modifiées avec des plantes résistantes aux insectes,
• Micro-organismes pouvant déclencher des maladies chez les aux agressions.
nuisibles ou entraver leur reproduction • Etc..
Bilan :
L’exploitation des agrosystèmes nécessite un entretien avec des apports d’engrais, de pesticides divers : fongicides,
herbicides et insecticides. Certains produits posent des problèmes de pollution et risquent, à terme, d’être interdits.