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: Cours et exercices de Sciences de la Vie et la Terre, de l’éducation, à

l’environnement, à l’hygiène et la biotechnologie (svteehb) – Programme.

PROGRAMME DE SCIENCES DE LA VIE ET LA TERRE, DE L’ÉDUCATION À L’ENVIRONNEMENT À L’HYGIÈNE

ET LA BIOTECHNOLOGIE (SVTEEHB)

CLASSE DE CINQUIÈME

MODULE I : LE MONDE VIVANT

Chapitre 1 : nécessité de la reproduction dans la pratique de l’élevage
Chapitre 2 : influence du milieu sur la pratique de l’agriculture et de l’élevage
MODULE II : LA MATIÈRE : SES PROPRIÉTÉS ET TRANSFORMATIONS
Chapitre 3 : la transformation de la matière
MODULE III : Énergie : gestion et utilisation
Chapitre 4 : organisation d’un voyage.
MODULE IV : L’ÉDUCATION À LA SANTÉ DE REPRODUCTION ET DE L’ALIMENTATION
Chapitre 5 : comportements émergents
Chapitre 6 : variation de la prévalence VIH/SIDA
Chapitre 7 : maladies par carence et par excès
Chapitre 8 : intoxication alimentaire
MODULE V : L’ÉDUCATION À L’ENVIRONNEMENT ET AU DÉVELOPPEMENT DURABLE
Chapitre 9 : réchauffement climatique et limitation de la destruction de la couche d’ozone
Chapitre 10 : pollution des sols
Chapitre 12 : maintien des équilibres biologiques

Quelques conseils à suivre durant l’année au cours de SVTEEHB

- être attentif en classe ;
- participer activement au cours ;
- avoir l’esprit critique, d’imagination ;
- apprendre les cours ;
- résumer l’essentiel de chaque chapitre.

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CHAPITRE II – AMÉLIORATION DE LA QUALITÉ DES SOLS

Situation-problème

Compétence attendue : à la fin de ce chapitre je serai à mesure d’améliorer la qualité des sols 
Introduction
La production agricole dépend d’un certains nombres des facteurs, parmi lesquels, la qualité du sol
prime. Comment peut-on améliorer les qualités d’un sol quand sont mauvaises ?
I- LES QUALITÉS D’UN BON SOL

Un bon sol en agriculture doit être :

 Riche en sels minéraux pour nourrir les plantes ;
 Meuble (facile à remuer et à labourer) pour le développement des racines ;
 Perméable et hydraté ;
 Dépourvu de parasites ;

La pratique agricole est fonction de la nature du sol et la qualité de la culture.

II- LES PRATIQUES CULTURALES RESPONSABLES

En fonction des espèces de plantes, des types de sol et des saisons, plusieurs techniques
culturales peuvent être pratiquées.

1- La préparation du sol

Pour une bonne production agricole, il faut d’abord défricher la parcelle, abattre les arbres qui peuvent
encombrer l’espace, désherber et brûler les déchets entassés, labourer la parcelle puis semer les
graines choisies.

NB : Il faut toujours nettoyer le champ pour maitriser les mauvaises herbes.

2- La rotation

Elle consiste à changer de produits de cultures chaque année sur un même terrain. Exemple : 1ère
année (maïs), 2ème (arachide), 3ème (manioc), 4ème (mil)…

3- Association de cultures

Dans ce type de technique, sur une même parcelle. On cultive plusieurs variétés ou espèces de
produits en même temps. Exemple : haricot, maïs, manioc…

4- L’irrigation

Elle consiste à l’apport d’eau sur un terrain cultivé en vue de compenser le manque de précipitation.

5- Le drainage

Ici, on procède à l’élimination des excès d’eau ou de sels sur une parcelle agricole pour permettre aux
plantes de bien se développer.

6- La jachère

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C’est le fait de laisser reposer un champ sans le cultiver pendant un ou plusieurs années avant de
reprendre la culture.

7- Culture en terrasse

C’est une culture pratiquée sur des terrains en pente qui sont divisés en paliers horizontaux.

III- UTILISATION DES ENGRAIS CHIMIQUES ET ORGANIQUES

1- Les engrais organiques

Ils sont fabriqués à base des produits organiques (herbes, les feuilles ou bois morts, les
déchets de cuisines et d’animaux). On les appelle compost ou fumier :
 Le fumier est formé à partir de la litiere des animaux domestiques melées avec leurs excrements
(fientes des volailles, la bouse des bovins et des caprins ;
 Le compost est un engrais composé de débris organiques et la matière minérale.
2- Les engrais chimiques

Ce sont des fertilisants fabriqués à base des produits chimiques pour aider les plantes à se nourrir.
Exemple : le NPK (azote, phosphore, potassique)

Conclusion
Pour une bonne production agricole l’amélioration du sol est indispensable. L’utilisation des engrais
organiques et chimiques associés aux diverses techniques de cultures sont de meilleurs moyens pour
un bon rendement.

CHAPITRE II – AMÉLIORATION DE LA QUALITÉ ET DE LA QUANTITÉ DES PRODUCTIONS

Compétence attendue : traiter les plantes et les animaux

Introduction
Pour une bonne et grande production, il est indispensable de traiter les animaux et les plantes pour
éviter des pertes dans les productions.
I- LUTTE CONTRE LES PARASITES EXTERNES ET INTERNES DES ANIMAUX

Les animaux sont souvent atteints par des parasitoses (maladies causées par les parasites). Les
parasites sont des êtres vivants qui vivent au dépend des autres êtres tout en les nuisant. Ils sont soit
externes (ectoparasites) soit interne (endoparasites). L’être vivant qui porte le parasite est appelé hôte.
1- Les parasites externes
a- Les puces

Ce sont des insectes sauteurs qui se nourrissent de sang (hématophages).

b- Les tiques

Ce sont des insectes très petits qui parasitent les chiens et les ruminants.
c- Les chiques

C’est une sorte de puces parasitent des animaux.

2- Les parasites internes

Les vers intestinaux sont des petits animaux à corps mou, sans pattes. Ils causent des dommages à
leurs hôtes et peuvent les tuer. Exemple : les ténias, l’ascaris …

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3- Lutte contre les parasites des animaux

Pour lutter contre les parasites qui tuent les animaux. Il est nécessaire de prévenir d’abord en gardant
les lieux d’élevage propre, isoler … mais aussi traiter les animaux en cas de maladies.
II- LUTTES CONTRE LES PARASITES DES VETEGAUX

Les végétaux sont tout le temps menacés par des parasites qui causent des dommages.
 Le gui d’Afrique est une plante parasite qui pousse sur les plantes et cause la mort de ces dernières à la
longue ;
 La moisissure est un champignon microscopique qui parasite des plante sur lesquelles elle vit ;
 Certains insectes se nourrissent des feuilles ou des graines et finissent parfois par ravager toute la
culture (charançons, les criquets ravageurs …) ;
 Les oiseaux ravageurs et les animaux rongeurs détruisent les fruits des cultures.

Pour lutter contre ces dommages on peut utiliser les fongicides avant les semis, choisir des semences
saines, arracher les plantes malades, faire la rotation des cultures, bruler les débris végétaux après
récoltes, épandre les insecticides, confectionner des fausses sentinelles champs, tendre des pièges ;
Conclusion
Pour produire en quantité suffisante, l’application des techniques culturales est nécessaire. Les
parasites, les ennemis des plantes et les animaux sont nombreux. Les méthodes de luttes contre ces
dernières sont fonction de type d’élevage et de culture pratiqué. Il est recommandé d’appliquer
beaucoup plus les mesures préventives que des mesures de traitement.

CHAPITRE III – LES TRANSFORMATIONS PHYSIQUES DE LA MATIÈRES

Compétences : à partir du vécu quotidien et l’exploitation des ressources proposées, l’élève sera
capable de :
 Choisir les biens de consommation de bonne qualité ;
 Assurer une bonne conservation des biens de consommation ;
 Agir en consommateur responsable ;
 Communiquer à l’écrit et à l’oral.

I- QU’EST-CE QU’UNE TRANSFORMATION ?

Activité

A Yaourt gardé Une semaine

Yaourt décomposé
dans l’armoire après
 Odeur nauséabonde ;
Yaourt décomposé  Couleur jaune ; transformation chimique
 Goût acide

B Glace 24 heures après eau liquide

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Eau liquide  Couleur blanche ; transformation physique

 Goût reste le même.

La matière est tout ce qui est susceptible de subir une transformation. Il existe deux types de
transformation.
1-1 La transformation chimique

C’est une transformation au cours de laquelle des substances disparaissent tandis que des nouvelles
substances se forment. Exemple : la combustion de la bougie (feu  fumée)
La combustion du bois (boiscendre)
1-2 la transformation physique

C’est une transformation au cours de laquelle il n’y a pas changement de la matière. Exemple : les états
de l’eau (eau liquide  vapeur d’eau gaz)

II- LES TRANSFORMATIONS PHYSIQUES DE L’EAU

L’eau se présente en trois états :

 État liquide ;
 État solide ;
 État gazeux.

La chaleur influence le changement physique de l’eau.

Eau solide Eau liquide

Eau gazeux

III- LES MÉLANGES ET CORPS PURS

1- Les mélanges

Activité
Eau + sel eau salée (solution qui est homogène (solvant).
Eau + cailloux solution (hétérogène).
Une solution est un mélange d’un solvant et d’un soluté. Exemple : mélange eau + sel (solution)
Un solvant est un corps dans lequel se dissout un autre corps. Exemple : L’eau
Un soluté est un corps qui se dissout. Exemple : le sel, le sucre
On distingue deux types de mélanges :
 Le melange homogene c’est un melange dont on ne peut pas distinguer les constituants à l’œil nu.
Exemple : melange liquide – solide eau, Melange liquide – liquide eau + alcool, Melange liquide – gaz
boisson gazeuse ;
 Le mélange hétérogène : c’est un mélange dont on peut distinguer les constituants à l’œil nu. Exemple :
mélange liquide – solide : eau + cailloux, mélange solide – solide : sable + gravier.
2- Les corps purs

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Un corps pur est un corps constitué de particule identique. On distingue :

 Les corps purs simples qui sont constitués d’un seul élément. Exemple : le fer (Fe), le carbone (C) ;
 Les corps composés qui sont constitués de plusieurs éléments. exemple : l’eau distillé (H2O), le gaz
carbonique (CO2).
3- Comment séparer les constituants d’un corps ?

Pour les mélanges hétérogènes, on peut séparer les constituants par les méthodes suivantes :
 La filtration ;
 La décantation ;
 La centrifugation.

Pour les mélanges homogènes, la séparation des constituants se fait par la méthode de distillation.
Conclusion
La matière peut subir soit une transformation physique ou soit une transformation chimique.

CHAPITRE IV – LES COMPORTEMENTS ÉMERGENTS, DÉVIANTS, NÉFASTES À LA SANTÉ DE

REPRODUCTION
Compétences attendues : à partir du vécu quotidien, l’élève doit contribuer à l’abandon ou à la limitation
des comportements émergents néfastes à la santé de reproduction.
INTRODUCTION
De nos jours, on assiste aux pratiques contraires aux valeurs normales de la société
traditionnelles. Ces pratiques qui sont contre nos lois religieuses et traditionnelles ainsi que contre la
santé humaine se propagent dans le monde entier.
I- LA CONSOMMATION EXCESSIVE DES STUPÉFIANTS

Les différents types de stupéfiants sont :

 L’alcool trouble le système nerveux, le système circulatoire, le système digestif (cirrhose de foie) et
l’appareil génital ;
 Le tabac trouble le système respiratoire et d’autres systèmes de l’organisme ;
 Les drogues rendent ivre celui qui les prend, provoques des hallucinations, des pertes de mémoire et
rendent aussi malade. Ces drogues sont : cocaïne, le chanvre indien, l’herpe, l’opium, l’héroïne …

L’alcool, le tabac et les drogues sont des produits dangereux qui provoquent de nombreux dégâts à
l’organisme.
II- LES DÉVIATIONS SEXUELLES

Ce sont des pratiques sexuelles contraires à une sexualité saine et responsable. Ces pratiques
sexuelles déviantes sont :
 L’homosexualité : c’est une sexualité qui s’effectue entre deux individus de même sexe. Exemple :
homme et homme ou femme et femme ;
 La sodomie est le fait d’effectuer des rapports sexuelles à travers l’anus ;
 La pédophilie : c’est lorsque un adulte entretien des relations sexuelles avec un enfant ;
 L’inceste : c’est le fait qu’un individu adulte entretien des relations sexuelles avec un autre individu mais
tous deux sont issus de même parents ;

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 La fellation : c’est le fait de lécher le sexe avec la langue lors du rapport sexuel.

Ces pratiques sexuelles déviants sont dangereux parce que :

 Elles transmettent des maladies comme les MST et le VIH-SIDA ;
 Elles détruisent les organes génitaux.
III- LA LUTTE CONTRE LES COMPORTEMENTS ÉMERGENTS DÉVIANTS NÉFASTES À LA
SANTE DE REPRODUCTION

Pour lutter contre les comportements déviants, il faut :

 Éviter la consommation abusive des stupéfiants tels que le tabac, l’alcool … ;
 Éviter de consommer toute forme de drogues (héroïne, herpe…) ;
 Éviter les rapports sexuels précoces ;
 Éviter les relations sexuelles malsaines et déviantes comme la sodomie, l’inceste…
 Sensibiliser les publics par rapport aux conséquences néfastes des comportements émergents
déviants ;
 Éviter de fréquenter les milieux à risque comme le bar, le cabaret, l’auberge …

CONCLUSION
Il existe plusieurs comportements émergents déviants à savoir la consommation abusive des
stupéfiants et les relations sexuelles néfastes à la santé de reproduction. De part leurs conséquences
néfastes, il est important de les combattre.

CHAPITRE VII – LE VIH-SIDA

Compétences attendues : à la fin de ce chapitre, l’élève sera à mesure d’agir pour le maintien de sa
santé, de celle de sa famille et sa communauté en matière de VIH-SIDA.

SITUATION-PROBLÈME
INTRODUCTION
I- LE VIH-SIDA : transmission et manifestation

Le SIDA (Syndrome Immuno Défficience Acquise) est une maladie qui mine notre société. Elle est
provoquée par un virus appelé VIH (Virus ImmunoDéficience Humaine). La transmission se fait par :
 Les rapports sexuels non protégés ;
 Voie sanguine directe (usage commun des objets souillés) ou indirecte ;
 De la mère contaminée à l’enfant (délivrance, lait maternel).

La maladie se manifeste selon les phases suivantes :

 La séropositivité : elle dure 2 à 3 semaines et aucun symptôme n’apparait. Seul le test de dépistage
peut relever la séropositivité ;
 La forme mineur : elle se caractérise par la perte de poids, la diarrhée, la fièvre et fatigue persistante ;
 Le sida déclaré : on a le développement des maladies opportunistes (tuberculose…)
II- LUTTE CONTRE LE VIH-SIDA

Pour lutter contre le VIH-SIDA, il faut :

 L’abstinence ;
 Etre fidele à une seule partenaire ;

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 Utiliser les préservatifs en cas des rapports sexuels occasionnels ;

 Faire le test de dépistage afin de connaitre son statut sérologique ;
 Éviter d’utiliser les objets souillés ;
 La prise en charge des personnes séropositives.

CHAPITRE VIII – MALADIES PAR CARENCE ET PAR EXCÈS - INTOXICATION ALIMENTAIRE

Compétences attendues : à la fin de ce chapitre, l’élève sera à mesure de composer des rations
alimentaires équilibrées et d’éviter toute forme d’intoxication alimentaire.
Introduction
Pour une bonne croissance et pour maintenir son organisme en bonne santé, l’homme doit manger les
aliments d’origine animale et végétale. Ainsi la consommation excessive de certains aliments peut
entrainer les maladies par excès et le manque également peut causer les maladies par carence. Raison
pour laquelle avoir une alimentation équilibrée serait très important.
I- LA RATION ALIMENTAIRE ÉQUILIBRÉE
1- Les différentes catégories d’aliments et leurs origines

Les aliments que nous consommons ont deux origines :

 Origine animale : exemple : viande, viande ;
 Origine végétale : exemple : maïs, fruit …

Ces aliments contiennent des molécules importantes pour l’organisme. Ce sont les vitamines, les
glucides, les lipides, les protides, l’eau et les sels minéraux.
Une alimentation équilibrée doit contenir le glucide, le lipide, le protide, l’eau, les sels minéraux et les
vitamines.
2- La ration alimentaire

La ration alimentaire est la quantité et la qualité d’aliments qu’un individu doit consommer en un jour
pour se maintenir en bonne santé. Pour être en bonne santé et avoir une bonne croissance, la ration
alimentaire doit être équilibrée. Cette ration varie en fonction de l’age , du sexe, de l’état physiologique
de l’organisme, de l’activité physique. Ainsi, on distingue plusieurs rations alimentaires :
 La ration alimentaire d’un enfant ;
 La ration alimentaire d’un adolescent ;
 La ration alimentaire d’un adulte ;
 La ration alimentaire d’un sportif.
II- LES MALADIES NUTRITIONNELLES
1- Les maladies par carence ou par absence

Ce sont des maladies causées par une absence de certains nutriments dans les aliments. On peut
citer :
 Le kwashiorkor : il est causé par une alimentation riche uniquement
 Le béribéri : il est dû à une absence des aliments riche en vitamine B ;
 Le rachitisme : il est dû à une absence dans les aliments de la vitamine D.
2- Les maladies nutritionnelles par l’excès

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La consommation abusive des aliments trop sucrés, trop salé, et très riche en graine peut
provoquer des maladies appelées maladies cardiovasculaires. On peut citer le diabète,
l’hypertension artérielle, l’artériosclérose.

III- LES RÈGLES D’HYGIÈNE ALIMENTAIRE

 Il faut manger les aliments énergétiques (lipide, glucide) mais pas en excès ;
 Il faut éviter de grignoter entre les repas ;
 Éviter la consommation des aliments trop salés ;
 Il faut pratiquer le sport régulièrement ;
 Il faut respecter les heures de repas.

IV- LA LUTTE CONTRE LES INTOXICATIONS ALIMENTAIRES

Les intoxications alimentaires sont dues à la consommation des aliments salés et riches en microbes.
Elles peuvent causer des maladies graves comme l’hépatite B, la dysenterie amibienne, le cholera, la
salmonellose, l’empoisonnement.
Pour lutter contre ces maladies, il faut :
 Respecter les règles d’hygiène ;
 Éviter de consommer les aliments souillés ;
 Bien conserver les aliments (chauffer au feu).

CONCLUSION
Pour être en bonne santé, il faut consommer les aliments équilibrés et il faut également éviter de
consommer des aliments trop sucrés, salés riche en graisses.

CHAPITRE VIII – EFFET DE SERRE

Compétence : à la fin de ce chapitre je serai à mesure de composer des rations alimentaires équilibrées
et d’informer les parents par rapport à l’importance d’une alimentation équilibrée

I- LES CAUSES DE L’EFFET DE SERRE

L’effet serre est le réchauffement de l’atmosphère sous l’action de certains gaz. Ces gaz à effet de
serre sont : le dioxyde de carbone, le méthane, les vapeurs d’eau, les composés chlorofluorocarbones
(CFC). Ces gaz proviennent :
 Des éruptions volcaniques ;
 De la décomposition des matières organiques ;
 De l’activité humaine ;
 Des feux de brousse ;
 De la restitution du dioxyde de carbone par les océans
II- LES CONSÉQUENCES DE L’EFFET DE SERRE

L’effet de serre a des conséquences néfastes sur l’environnement entrainant des changements
climatiques à l’origine :
 Des perturbations du calendrier agricole ;
 Des inondations qui provoquent la destruction des villes ;
 De la sécheresse qui entraine le desséchement des rivières, des lacs, le dépérissement des animaux ;

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 Des plantes et d’hommes, le ralentissement de la photosynthèse ;

 La modification de la structure des gènes ;
 Entraine les cancers de la peau, l’affaiblissement du système de défense de l’organisme.
III- STRUCTURE ET IMPORTANCE DE LA COUCHE D’OZONE

L’ozone se forme par combinaison de l’oxygène moléculaire ou dioxygène avec l’oxygène atomique
issu du rayonnement solaire. C’est une réaction photochimique.
L’ozone protège les êtres vivants contre les rayonnements ultraviolets nocifs. Le réchauffement
climatique de nos jours, provoque la destruction de la couche d’ozone car elle s’amincit vers les pôles
et présentent des trous.
IV- LUTTE CONTRE L’EFFET DE SERRE

Pour limiter le réchauffement climatique et la destruction de la couche d’ozone, il faut :

 Faire le reboisement ;
 Éviter les feux de brousse ;
 Éviter la déforestation ;
 Limiter le nombre de véhicule pour diminuer le taux de gaz carbonique ;
 Privilège le transport en commun, à vélo ou même à pieds afin de diminuer le taux du CO2 ;
 Sensibiliser les populations par rapport aux effets néfastes du réchauffement climatique.

CHAPITRE IX – LA POLLUTION DES SOLS

SITUATION PB

I- LES POLLUANTS DES SOLS

Les polluants rejeté par les cheminés des industries ont des effets nocifs sur l’environnement. Ils
provoquent des pluies acides. Certaines substances sont dégradées par les microorganismes. La
pollution du sol est la conséquence des précipitations acides et des matières plastiques contenues dans
les ordures ménagères. Les polluants du sol sont :
 Les pluies acides ;
 Les pesticides ;
 Les matières en plastiques ;
 Les bouteilles en verre ;
 Les huiles de vidange ;
 Les boues d épuration ;
 Les eaux usées.
II- LES CONSÉQUENCES DE LA POLLUTION DU SOL ET LUTTE
1- Conséquences

Les pluies acides, Les détergents et les pesticides polluent le sol. Les sols deviennent stériles et la
production végétale baisse
2- Lutte contre la pollution des sols

Pour lutter contre la pollution des sols, il faut :

 Trier les ordures et retirer les déchets non biodégradable ;
 Limiter les rejets des polluants dans l’atmosphère par les industries ;
 Éviter l’utilisation abusive des engrais ;

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 Utiliser les matières biodégradable pour les emballages ;

 Recycler les matières organiques des ordures ménagères ;
 Pratiquer la déforestation pour limiter les pluies acides.

CHAPITRE X – LE MAINTIEN DES ÉQUILIBRES BIOLOGIQUES

I- LA NOTION DE BIODIVERSITÉ

La biodiversité est la diversité du monde vivant animal et végétal sur notre planète.
Un écosystème est l’ensemble des être vivants et leurs milieux de vie. On retrouve des écosystèmes
variés et très diversifié sur la terre, dans l’eau et dans les sols. On peut citer la foret, la savane, les lacs,
les rivières, la steppe, la mangrove, le désert, les zones polaires… l’ensemble des écosystèmes de la
planète constitue la biosphère qui est le domaine de la vie. Les écosystèmes présentent une
organisation spatiale et une organisation fonctionnelle.
La vie est régie par des facteurs écologiques (facteurs climatiques, facteurs biologiques et facteurs
édaphiques). Les êtres vivants établissent plusieurs relations au sein d’un écosystème. Lorsque ces
relations sont de type alimentaire, alors il se crée une chaine alimentaire. L’équilibre relatif dans un
écosystème dépend des relations alimentaires et des facteurs du milieu. Le maintien de la vie dépend
de l’équilibre biologique.

II- CONSÉQUENCES DES GRANDS TRAVAUX SUR LA BIODIVERSITÉ

La pratique de l’agriculture intensive, les grands travaux de génie civil et l’exploitation forestière
provoquent la destruction de la biodiversité. L’homme est le principal responsable de la destruction de
biodiversité. L’agriculture moderne par l’utilisation des pesticides et des machines contribue à la
pollution du sol et affecte la biodiversité du sol.
III- LA PROTECTION DE LA BIODIVERSITÉ

Pour protéger la biodiversité, il faut :

 Retirer et recycler les substances non biodégradables ;
 Limiter les pollutions de l’air et sol ;
 Créer des réserves et des parcs pour protéger les animaux ;
 Créer les jardins botaniques ;
 Limiter la déforestation.

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