Session : FRMUN 2019

Commission : Santé
Thème : “Accès à la droit de l’avortement dans les pays de Tiers Monde”
Pays concernés : Luxembourg, Les Pays-Bas, Danemark, France, Canada, Georgie, Bulgarie,
Argentine, Belgique, Ukraine, Afrique du Sud, Tunisie, Slovénie

Stressant que l’acces au avortement sans risque est beaucoup plus important dans les pays
tiers du monde, où l’éducation sexuel n’est pas suffisant et les gens ne sont pas assez informés
sur leurs droits reproductifs,

En réalisant que malgré l’avortement est un droit natural des femmes dans la majorité
des pays européens, ceci n’est pas le cas pour la resté du monde,

Notant que l'avortement (interruption volontaire de grossesse ou avortement) fait

référence au retrait de l'embryon ou du fœtus de l'utérus lors d'une intervention médicale,

Rappelant les données de l'Organisation Mondiale de la Santé, l'avortement est considéré

comme légal dans 52 pays à travers le monde, à la demande d'une femme enceinte, sans aucune
justification,

Soulignant que l'avortement peut être initié dans deux situations différentes: l'interruption
volontaire (sans raisons médicales)nde grossesse de la mère ou l'interruption de grossesse pour
des raisons médicales),

Reconnaissant que l’avortement ne doit pas être promu comme méthode de planification
familiale,

1. Appelle les états membres à créer un sens d'équilibre entre les nations en établissent une
fondation qui:
a. va se concentrer sur les idéologies différentes des cultures et des religions pour
empêcher les problèmes qui peuvent être produits à cause de divergence
d’opinion,
 b. va mettre en priorité la santé et les droits reproductifs des femmes pour diminuer
les inégalités sexuels;
2. Suggère aux pays membres de signer un pact garantissant la fiabilité des médecins qui
vont exercer l'opération de l’avortement afin d’obtenir une laïcité complete en:
a. séparant les perspectives religieuse ou culturelles des médecins de leurs éthiques
de travailler,
b. créant un sous groupe de médecins impartiaux pour qu’ils puissent détecter et
éliminer les violations possibles du pact;
3. Encourage les hôpitaux et autres établissements de soins de santé pour promouvoir les
soins d'avortement en tant que soins médicaux essentiels en:
a. éliminant les obstacles à la fourniture de soins d'avortement dans ces
contextes
b. préservant la disponibilité de services complets de santé reproductive dans les
communautés subissant des fusions d'hôpitaux;
4. Recommande de garantir le financement de la formation sur l'avortement pour la
formation des étudiants en médecine, des résidents et des cliniciens en pratique avancée:
a. la formation sera systématiquement intégrée,
b. ceux qui ont des objections religieuses ou morales peuvent refuser de
participer,
c. les restrictions gouvernementales sur les programmes de formation et le
financement soient supprimées;
5. Propose une série des activités interactives composées d'éminentes pro-choix activistes
du monde entier pour un projet de sensibilisation directement organisé par l'ONU:
a. il inclurait une série télévisée qui:
i. aurait quelques épisodes interactifs,
ii. où le problème de l'accès à l'avortement serait discuté,
iii. pour les familles qui souhaitent éduquer leurs enfants sur le sujet, une
série d'animation distincte peut être filmée,
b. des exemples concrets de la vie quotidienne seraient donnés,
c. des témoignages de scientifiques et de médecins du monde entier seraient
enregistrés,
 d. généralement, les difficultés de l'accès limité à l'avortement et donc son effet
psychologique sur la femme seront mis en valeur;
6. Demande l'arrêt et l'abrogation des législations qui créent des obstacles à l'accès à
l'avortement et interfère avec la patiente en:
a. s'assurant que le choix de la femme est toujours le premier critère
d'avortement,
b. étant conscient des pratiques religieuses mais laisser le médecin décider si un
avortement serait sain ou non en cas d'avortement tardif;
7. Encourage de formuler des groupes des recherches spécifiques à chaque bloc des pays qui
sont similaires à les uns aux autres en voyant que:
a. la situation que les femmes subissent et les droits dont les femmes ont besoin sont
très spécifiques et différentes pour chaque pays, et,
b. les processus pour améliorer la situation courant des femmes dépend sur la
législation actuelle d’un gouvernement qui est aussi variée entre chaque pays;
8. Propose aux autres comités de Nations Unies de se concentrer sur cette problématique
grave dont on est en train de parler aujourd’hui en disant que:
a. l’avortement et les droits sexuels ne sont pas seulement en rélation avec le Comité
de Santé, mais aussi avec differents comités de NU comme le Comité des Droits
de l’Homme,
b. la problématique qui est définis comme l’accès à l’avortement est très general; en
consequant c’est impossible de trouver des solutions qui sont durables et efficaces
sans se consatrer sur les aspects spefiques du sujet;

9. Adopte une service de santé qui offre les places sanitaires pour l’avortement en soulignant
la necessité de la pris par les etats pour éliminer les obstacles dans la fourniture de services
d’avortement

10. Invite les Etats à étudier la possibilité de permettre aux femmes de consentir aux services
de santé sexuelle et reproductive, y compris l’éducation et le conseil en matière de santé
sexuelle, de contraception et d’avortement sans risque;

11. Encourage les pays de tier monde pour applique la droit de l’avortement:
a. Informer le public à ce sujet,
b. Des articles et des discours devraient être faits pour être conscient des
conséquences négatives de l'avortement illégal,
c. Pour que les femmes de ces pays aient ce droit que les femmes des pays
développés ont, tout le monde doit protester et être conscient.