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Je ne conçois aucune manière de voyager plus agréable que d’aller à cheval, c’est d’aller à
pied. On part à son moment, on s’arrête à sa volonté, on fait tant et si peu d’exercice qu’on
veut. On observe tout le pays ; on se détourne à droite, à gauche, on examine tout ce qui nous
flatte ; on s’arrête à tous les points de vue. Aperçois-je une rivière, je la côtoie ; un bois
touffu, je vais sous son ombre ; une grotte, je la visite ; une carrière, j’examine les minéraux.
Partout où je me plais, j’y reste. A l’instant que je m’ennuie, je m’en vais. Je ne dépends ni
des chevaux, ni du postillon. Je n’ai pas besoin de choisir des chemins tout faits, des routes
commodes ; je passe partout où un homme peut passer ; je vois tout ce qu’un homme peut
voir ; et, ne dépendant que de moi-même, je jouis de toute la liberté dont un homme peut
jouir…
Combien de plaisirs différents on rassemble par cette agréable manière de voyager !sans
compter la santé qui s’affermit, l’humeur qui s’égaie. J’ai toujours vu ceux qui voyageaient
dans de bonnes voitures bien douces rêveuses, tristes, grondantes, ou souffrantes et les piétons
toujours gais, légers et contents de tout. Combien le cœur rit quand on approche du gite !
combien un repas grossier paraît savoureux ! avec quel plaisir on se repose à table ! quel bon
sommeil on fait dans un mauvais lit ! quand on ne veut qu’arriver, on peut courir en chaise de
poste, mais quand on veut voyager, il faut aller à pied.
Dans toutes les parties du monde, d’importantes modifications se sont produites dans les
interdits sexuels. La nudité a perdu son caractère de tabou ! Pis, l’éducation sexuelle, elle
aussi, est souvent considérée comme un processus intime, parfois dépravant, qui ne peut se
dérouler dans un cercle élargi et en particulier en présence de personnes étrangères. Ceci a
même amené les parents, dans quelques pays, à demander l’exclusion de certains sujets des
programmes scolaires. De la même manière, il a été constaté que même les parents avertis ne
s’occupent pas de l’éducation de leurs enfants, pensant quant à eux, qu’elle devrait se faire
précisément à partir du moment où l’enfant a une activité sexuelle. Or cela est en
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contradiction avec la nécessité d’aborder cette question dès le plus jeune âge. On doit s’en
convaincre, les moyens de communication et d’information de masse (presse écrite, radio,
télévision, cinéma) qui font quotidiennement étalage du sexe, exercent sur les adolescents une
influence plus forte que les adultes. En effet, le peu de solidarité, du sens moral des enfants
les rendent vulnérables aux dangers des films et d’autres font une évaluation morale
incorrecte du comportement des héros et des héroïnes et ils utilisent ceux-ci comme des
modèles. Il importe dès lors que les parents, médecins et enseignants conjuguent leurs efforts
afin de contribuer à former chez l’adolescent, une personnalité capable de comprendre
l’objectif de l’éducation sexuelle.
Docteur D.N ISSAER, Notre santé, n°14,1987.
QUESTIONS
1. Dégagez, sous forme de plan, les idées contenues dans ce texte.
2. Quelle est la thèse de l’auteur ?
3. Résumez ce texte de 258 mots au tiers de son volume initial avec une marge de tolérance de
plus ou moins 10%.
Malgré l’abondance de vivres dans le monde, plus de huit cents millions de personnes
continuent de se coucher le ventre creux. Des milliers d’enfants meurent chaque jour des
conséquences directes ou indirectes de la faim et de la sous-alimentation chronique. Alors que
les richesses accumulées dans le monde permettent tous les espoirs, la même question se
pose : en finira-t-on avec la faim ?
Certes, des points ont été marqués dans la lutte contre ce fléau. Au cours du XXe siècle, la
production vivrière a augmenté à un rythme plus soutenu que celui de la population mondiale,
qui a plus que doublé. Cependant, l’inégal accès à la nourriture et aux moyens de production
continue de priver des millions d’êtres humains du droit le plus fondamental : celui de manger
à sa faim. Et, il reste beaucoup à faire pour assurer à tous une alimentation saine et nutritive.
En novembre 1996, les responsables de cent quatre-vingt six pays, dont cent douze chefs
d’État et de gouvernement, avaient posé un premier jalon lors du sommet mondial de
l’alimentation. Ils s’étaient fixé un objectif à la fois ambitieux et modeste : ramener le nombre
de personnes souffrant de malnutrition de huit cents millions à quatre cents millions d’ici à
2015. Mais, pour atteindre cet objectif, il aurait fallu que ce nombre régresse de vingt-deux
millions chaque année. Or cette diminution n’a pas dépassé six millions par an.
Facteur aggravant : le sida se propage à grande vitesse dans les zones rurales des pays en
développement. L’épidémie met en péril la sécurité alimentaire et compromet les capacités
de production. Les chiffres sont terrifiants : la pandémie a déjà emporté quelque sept millions
de travailleurs agricoles depuis 1985 dans les vingt-cinq pays les plus gravement touchés
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d’Afrique et seize autres millions pourraient mourir d’ici à 2020. Certains pays pourraient
ainsi perdre jusqu’au quart de leur main-d’œuvre agricole.
Le combat contre la faim dans le monde n’est pas seulement un impératif d’ordre moral, il
bénéficie à l’économie et contribue à la stabilité et à la sécurité de toutes les sociétés. En effet,
la faim constitue souvent non pas le résultat, mais la source de conflits et de troubles civils,
elle influe directement sur les migrations urbaines et sur l’émigration. Une personne qui a
faim est capable du pire.
Il n’existe pas de panacée dans la lutte contre la faim et la sous-alimentation. Les solutions
ne sont pas simples. Cependant, on peut obtenir des résultats si les États et la communauté
internationale traduisent leurs engagements en actions concrètes. Le combat sera difficile
mais, avec le soutien de l’opinion publique ainsi que des personnes de bonne foi et de bonne
volonté dans le monde, le droit humain le plus élémentaire, celui de manger à sa faim, peut, et
doit, devenir une réalité.
QUESTIONS
Résumez le texte proposé en 150 mots avec une marge de tolérance de ± 10%. Indiquez, à
la fin de votre résumé, le nombre de mots utilisés.
- facteur aggravant ;
- sécurité alimentaire.
Texte n°4 :
Récemment, je me suis permis de mettre en doute l’utilité des ordinateurs dans les classes
du primaire et du secondaire. Eh bien, je me suis fait drôlement gronder. Bon, j’ai reçu un
parquet de lettres me traitant de coincé du disque dur, de handicapé profond du « Rom »,
allant jusqu’à se demander s’il ne faudrait pas envisager ma stérilisation.
Une auditrice de Bruxelles m’écrit même cette belle histoire : « Des petits miracles ont
déjà eu lieu. Comme par exemple l’expérience de ce militant des droits de l’homme en visite
en Corée qui a assisté, depuis la fenêtre de sa chambre d’hôtel, à l’arrestation de l’opposant
avec qui avait rendez-vous. Il a immédiatement diffusé l’info sur le net, et grâce à un réseau
organisé, des messages de protestation ont afflué sur le bureau d’un ministre, avant même
l’arrivée de l’opposant dans les bureaux de la police. Le type a été remâché ». C’est
formidable mais ça n’a rien à voir avec l’enseignement des matières fondamentales… je n’ai
jamais nié qu’un moyen de communication pût servir à communiquer. De même qu’il arrive
parfois que les journaux nous informent, que la télé nous distraie intelligemment, et que la
radio nous tienne compagnie avec talent… Depuis des années, je me sers d’un ordinateur et je
ne nie pas qu’il me rende de grands services comme outil de classement et recherche.
Mais je maintiens que l’achat massif d’ordinateurs pour équiper les écoles et les lycées
n’est une bonne affaire que pour les marchands d’ordinateurs, qu’il y a bien d’autres urgences
et que l’ordinateur n’est qu’un petit accessoire guère plus pertinent qu’un taille-crayon
électronique ou qu’un double-décimètre à vapeur. Si les fabricants de ce matériel
informatique n’étaient pas, accessoirement, parmi les gens les plus riches de la planète, les
dirigeants politiques seraient peut-être moins prompts à devenir leurs représentants de
commerce. Je veux dire par là que si le fabricant du double-décimètre à vapeur était l’homme
de tous les pays riches du monde, il y aurait de fortes chances pour que les ministres de
l’Education nationale de tous les pays nous serinent en chœur : « le double-décimètre à vapeur
est une formidable chance pour notre jeunesse ».
Ce qui est important, dans une salle de classe, tient en deux mots : le professeur, les élèves.
Entre l’élève et le prof, il va se passer quelque chose : indifférence, hostilité, affection,
passion… Outre le savoir transmis, il s’agit là de l’apprentissage d’une sociabilité supposée
enrichissante, d’une indispensable sortie de l’univers familial vers l’univers tout court. Les
philosophes grecs d’avant Platon se méfiaient de l’écrit au point que nous connaissons leur
pensée que par les fragments rapportés par leurs successeurs. Ils tenaient ce que
l’enseignement passe par cette présence du maître et de l’élève.
Ils avaient peur que le savoir transmis uniquement par l’écrit soit figé, privé de vie, et que
le doute, instinctivement exprimé dans le dialogue, soit absent d’un enseignement uniquement
livresque, réduisant le savoir à un corpus de connaissances indiscutables. Les sentiments qui
accompagnent la transmission du savoir marqueront pour la vie l’intérêt que l’on portera à
telle ou telle matière. Qui d’entre nous n’a pas eu au moins un professeur qui nous a fait
entrevoir le plaisir qu’il y aurait à devenir savant dans sa discipline ? Or, l’expérience de ces
affinités est sans doute ce qu’il y a de plus important dans la vie. Ce sont elles qui nous
permettent de nous diriger par la suite vers ce qui nous rend heureux, plutôt que vers ce qui
nous rend malheureux. Avancer l’un vers l’autre – la femme vers l’homme, l’ami vers l’ami,
l’élèves vers le professeur, l’adversaire vers l’adversaire en vue d’une paix possible – en
surmontant les obstacles de nos différences, c’est l’apprentissage même de la vie.
S’apprivoiser au savoir commence par s’apprivoiser à l’autre et au savoir qu’il détient. Or,
pour emprunter le langage de la psychanalyse, les conditions pour le transfert s’effectue,
aucune machine ne peut ni ne pourra sérieusement les réunir.
Nombre de 670 mots
Philippe VAL, Socrate ou Bill Gates, fin du siècle en solde, le cherche-midi, 1999
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Questions
1. Quelle est la thèse soutenue par l’auteur ?
2. Expliquez en contexte l’expression : « seraient peut-être moins prompts à devenir leurs
représentants de commerce. »
3. Résumez ce texte au 1/4 de volume initial. Une marge de plus ou moins 10% est tolérée.
En effet, pendant très longtemps, entre les années 1950 et 1970, les pays d’accueil
affichaient une attitude passive parce que le phénomène en question leur était totalement
profitable. Avec la détérioration de l’environnement économique mondial, les pays hôtes ont
changé leur attitude à partir des années 1980. Et ce, malgré l’aggravation de la crise
socioéconomique en Afrique. De la passivité complice, ils sont passés à une attitude active,
voire offensive. Ils ont alors procédé à des études pour mieux comprendre l’importance de ce
flux migratoire afin de mieux en tirer parti. C’est ainsi qu’ils ont mis en place diverses
procédures, qu’il s’agisse de tombola ou de vraie politique gouvernementale de type
immigration choisie dans le but de piéger les ressortissants des pays sous-développés qui
veulent franchir leurs frontières.
Dans son rapport de 1992 sur le développement humain, le PNUD faisait ce constat
éloquent : le Ghana avait perdu 60% de ses médecins formés dans la décennie 80, le Soudan
17% de ses médecins et chirurgiens-dentistes, 20% de ses professeurs d’université, 30% de
ses ingénieurs et 45% de ses géomètres experts. Pour compenser cette perte de personnel
qualifié, l’Afrique est obligée de recruter chaque année plus de 100.000 expatriés non
africains pour un coût de plus de 4 milliards de dollars. Ce montant est directement prélevé
sur l’aide au développement accordé à l’Afrique et vient s’ajouter aux 50% de cette même
aide déjà prévus pour le remboursement des créances antérieures, aggravant ainsi
l’endettement de l’Afrique et ouvrant la porte à une nouvelle vague de départs.
Devant ce phénomène qui prend chaque jour des proportions inquiétantes et compromet
l’avenir de tout un continent, chaque pays africain doit prendre la mesure du retard accumulé
dans son développement, et mettre en place des structures socioéconomiques modernes pour
la formation du personnel nécessaire au fonctionnement de l’Etat et de ses collectivités, pour
la gestion et la planification des ressources et la définition des priorités dans tous les secteurs
de la vie nationale. La première richesse du continent africain n’est ni l’or, ni le coton, ni le
maïs, ni le diamant, ni le coltran, ni le pétrole…c’est l’homme africain ! C’est pour lui, avec
lui et par lui que viendra le développement. Tout autre schéma est illusoire.
QUESTIONS
Résumez le texte proposé en 150 mots avec une marge de tolérance de ± 10%. Vous
indiquerez à la fin du résumé le nombre de mots utilisés.
« C’est pour lui (l’homme africain), avec lui et par lui que viendra le développement. Tout
autre schéma est illusoire. »
Sujet de type 1
2. « La vie des oisifs est la seule qui coûte cher. » Appréciez cette pensée.
3. « J’ai chéri l’idéal de démocratie et d’une société libre dans laquelle les individus
pourraient vivre en harmonie avec égalité de chances », avait déclaré Nelson Mandela lors de
son procès en 1984. Pouvons-nous partager le rêve de Nelson Mandela ?
Sujet de type°2
Sujet de type°3
Paul Valérie a écrit : « La tradition et le progrès sont les grands ennemis du genre humain ».
Discutez ce paradoxe.
Sujet de type 4
1. La drogue
2. La démocratie ivoirienne
3. Le harcèlement sexuel
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Sujet de type 5
1. Démocratie et développement
2. Guerre et développement
GRAMMAIRE ET LINGUISTIQUE
Exercice 4 : Des deux phrases suivantes, laquelle correspond au sens de il est mort de
mort naturelle ?
(A) Il est mort naturellement.
(B) Il est mort, naturellement.
Exercice 5 : Dans l’une des deux phrases suivantes, il manque en tout deux virgules.
Mettez-les à la bonne place.
Exercice 6 : Chacune des deux phrases suivantes se décompose en deux parties notées (1)
et (2). A quelle partie se rapporte le point d’interrogation ? Encadrez la bonne réponse.
1. La venue de mon amie était-elle certaine (1), comme je me l’étais imaginé (2) ?
Le point porte sur (1) – sur (2).
2. Savez-vous (1) comment je me suis imaginé sa venue (2) ?
Le point porte sur (1) – sur (2).
Exercice 7 : Vous direz s’il manque ou non des guillemets aux expressions en italique.
Exercice 10 : Réécrivez les phrases suivantes et faites la concordance des temps verbaux.
Personne ne me demanda qui je suis, d’où je viens (F.R. DE CHATEAU-BRIAND). Pourquoi
donc avez-vous souffert qu’elle déjeune avec nous ? (H. DE BALZAC). Je ne me rappelais
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plus si j’aime Brahams (F. SAGAN). Je ne sais si je me fais bien comprendre. Mon frère me
disait que des pyromanes ont incendié le marché de Bouaké. Akissi demanda à sa mère où elle
a acheté la robe. Ne pouvant recommencer ses visites avant quelques jours, il se demanda quel
jour il le pourra (A DE MUSSET). Voulez-vous que je vais avec vous ? (H DE
BORDEAUX). Je ne doute point que les yeux de ma mère ne m’ont cherché à son dernier
instant (D. DIDEROT). Si j’avais de l’argent, je t’en donne. Si vous réservez vos places, vous
n’ (avoir) pas besoin d’arriver en avance.
Exercice 11 : Copiez les phrases en écrivant les verbes en gras au présent de l’indicatif
ou au présent du subjonctif, selon le sens.
Surpris par le déclenchement de l’alarme, le voleur (s’enfuir).
Le gibier échappera aux chasseurs pour peu qu’il (s’enfuir).
On admet que ce billet à prix réduit (exclure) tout échange.
Il est possible que l’arbitre (exclure) le joueur indiscipliné.
Tu es certain que ton petit cousin (croire) encore au Père Noël.
Je regrette vraiment que Jean-Bernard ne me (croire) pas.
Exercice 14 : Accordez, s’il y a lieu, les participes passés conjugués avec avoir ; justifiez
cette orthographe.
On dirait que cette œuvre qu’ils ont (payé) de leurs deniers, ils l’ont (créé) [R. ROLLAND]. –
Vous lui prêtez des sentiments de sollicitude qu’il ne m’a guère (prodigué) jusqu’à présent
(M. AYME). – Les conférences dont je vous ai (parlé) ci-dessus se terminaient assez souvent
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par des promenades (Cal DE RETZ). – Choses de mon enfance, quelle impression vous
m’avez (laissé)… [A. DAUDET].- Aux ouvriers avaient (succédé) les ouvrières (E. ZOLA). –
Décembre, cantonnier nocturne, avait (brûlé) les herbes folles (M. PAGNOL). – Aller chez un
simple particulier ! C’était une chose que ni son père ni lui n’avaient jamais (fait)
[STENDHAL]. – Ils ont (quitté) leurs chapeaux. Jaume a (posé) sa pipe sur le buffet (J.
GIONO). – Oh ! par les lourds soleils de juillet, les bonnes haltes que j’ai (fait) au bord de ce
chemin (A. DAUDET). –Quel vent a donc (passé), qui vous a (changé) ainsi tous les deux ?
(J. VALLES).
Exercice 16 : Copiez ces phrases en écrivant les verbes en gras au passé composé.
P13. Les comédiennes que Sidiki Vacaba (laisser) jouer sont formidables.
P14. Elle (repartir) satisfaire.
P15. Je (trouver) la porte ouvrir.
P16. Combien de femmes Don Juan (séduire) ?
P17. N’est-ce pas la femme que je (voir) monter dans la voiture ?
P18. Les musiciennes que je (entendre) chanter sont remarquables.
P19. N’est-ce pas la femme que je (voir) emmener dans une ambulance ?
P20. Les chansons que je (entendre) chanter sont mélodieuses.
P21. Imaginez les sommes que cet article (coûter).
P22. Les quatre heures que la séance (durer) ont été enrichissantes.
P23. Les dangers que l’enfant (courir) en empruntant seul cette voie.