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1/ En quoi les deux œuvres Sido et Les Vrilles de la Vigne diffèrent-elles ? Quels points communs ont-elles ?

Trouvez au moins trois éléments de réponse que vous justifierez pour chaque question

Dans "Sido", l'accent semble être mis sur des présages et des éléments naturels associés à la province,
tandis que "Les Vrilles de la Vigne" présente un rossignol pris aux vrilles d'une vigne, créant une atmosphère
plus poétique et symbolique.
"Sido" semble être raconté du point de vue d'un narrateur partageant des souvenirs et des réflexions
personnelles, alors que "Les Vrilles de la Vigne" se concentre sur une histoire plus fantastique et allégorique
impliquant un rossignol.
En ce qui concerne les thèmes, "Sido" explore des sujets liés à la nature, aux présages et à la relation avec
la province, tandis que "Les Vrilles de la Vigne" aborde des thèmes de liberté, de lutte contre les contraintes
et de réveil face à l'adversité.
Cependant, malgré ces différences, les deux œuvres partagent également des similitudes notables. Elles
intègrent toutes deux des éléments de la nature, que ce soit à travers les vignes en fleur dans "Les Vrilles
de la Vigne" ou les références aux baromètres naturels dans "Sido". De plus, les deux textes utilisent une
écriture poétique et évocatrice pour créer des images et des atmosphères riches et suggestives. En outre,
on retrouve dans les deux œuvres des thèmes liés à la liberté, à la lutte contre les contraintes et à l'éveil
face à des situations oppressantes ou contraignantes.
Ainsi, bien que chacune des œuvres possède des caractéristiques distinctes, elles partagent également des
éléments communs qui les relient autour de thématiques telles que la nature, la poésie et la quête de
liberté.
2/ Les Vrilles de la vigne : a. Résumez chaque récit des Vrilles de la vigne. Présentez votre réponse en
notant le titre du récit puis son résumé. Rattachez chaque récit à un genre dont il vous semble proche et
justifiez votre réponse. Par exemple, nous avons vu en classe que le premier récit tient du conte .

LES VRILLES DE LA VIGNE

Ce texte me fait penser à un conte ou à une fable. Il raconte l'histoire d'un rossignol qui, après s'être
retrouvé pris aux vrilles d'une vigne, décide de ne plus dormir et commence à chanter pour rester éveillé.
Cette décision le conduit à découvrir sa voix et à exprimer ses pensées et émotions à travers son chant.
L'ambiance poétique et symbolique, ainsi que les thèmes de liberté, de lutte contre les contraintes et de
réveil face à l'adversité, donnent à cette histoire une dimension morale et allégorique qui rappelle les contes
traditionnels.

RÊVERIE DE NOUVEL AN
Ce texte décrit des souvenirs d'enfance et des réflexions sur le passage du temps et le vieillissement.
L'auteur évoque des moments de joie et d'émerveillement de son enfance, notamment liés aux fêtes et aux
traditions, tout en contrastant avec sa perception actuelle du temps qui passe et des changements qui
surviennent avec l'âge. Les souvenirs de l'auteur sont empreints de nostalgie et de mélancolie, illustrant une
réflexion profonde sur la vie et ses évolutions inévitables.

Ce texte pourrait être rattaché au genre de la littérature autobiographique ou de la mémoire, car il explore les
souvenirs personnels de l'auteur et ses réflexions sur son propre parcours de vie. L'écriture poétique et
introspective utilisée dans le texte renforce cette impression d'introspection et de réminiscence personnelle.

CHANSON DE LA DANSEUSE
Ce texte décrit une narratrice qui est appelée danseuse par un interlocuteur, bien qu'elle affirme ne pas avoir
appris à danser. Elle évoque des moments où ses actions sont interprétées comme des danses par cet
interlocuteur, même si elle-même ne les perçoit pas ainsi. Malgré cela, elle est associée à la danse dans des
contextes sensuels et intimes, notamment lorsqu'elle est nue dans les bras de son partenaire. Elle se
remémore des moments où son mouvement est comparé à une danse, même si elle ne se considère pas
comme une danseuse.

Ce texte pourrait être rattaché au genre de la poésie lyrique ou de la prose poétique en raison de son style
évocateur, de ses descriptions sensorielles et de ses thèmes introspectifs sur l'identité et la perception de
soi. Les images poétiques et les sentiments exprimés à travers les interactions entre la narratrice et son
interlocuteur ajoutent une dimension émotionnelle et symbolique à l'ensemble, ce qui évoque des éléments
caractéristiques de la poésie.

NUIT BLANCHE
Ce texte décrit une scène intime et sensuelle entre deux amants partageant un lit. L'auteur évoque les
sensations et les émotions ressenties lors de cette nuit particulière, mêlant des images poétiques et des
souvenirs de moments passés ensemble. L'atmosphère est à la fois enivrante et paisible, évoquant la
complicité et l'intimité entre les deux personnages.

Ce texte pourrait être rattaché au genre de la littérature romantique, en raison de son exploration des
sentiments profonds et de son langage poétique. Les descriptions détaillées des sensations physiques et
émotionnelles des personnages, ainsi que la mise en avant de l'amour et de la tendresse entre eux, sont des
éléments caractéristiques de la littérature romantique.

JOUR GRIS
Ce texte semble être une prose poétique qui exprime les tourments intérieurs et les souvenirs d'une
narratrice qui se sent malade et méchante, en proie à des émotions intenses face à la mer et au vent. Elle
évoque un pays imaginaire rempli de souvenirs sensoriels et de paysages envoûtants, cherchant à s'évader
de sa réalité présente. La narratrice oscille entre le rejet de son environnement immédiat et le désir de se
reconnecter à son interlocuteur, exprimant un besoin de réconfort et de proximité.

Ce texte pourrait être rattaché au genre de la poésie lyrique ou de la prose poétique, car il explore les
sentiments intimes et les sensations de la narratrice de manière évocatrice et sensorielle. Les descriptions
poétiques des paysages et des émotions intenses créent une atmosphère onirique et introspective, invitant
le lecteur à plonger dans l'univers intérieur de la narratrice et à ressentir avec elle ses tourments et ses
désirs d'évasion.

LE DERNIER FEU

Ce texte décrit avec une grande sensibilité et une nostalgie profonde les changements saisonniers dans un
jardin, évoquant des souvenirs d'enfance et des moments intimes entre les personnages. L'écriture poétique
et descriptive, mettant en avant les sensations et les émotions liées aux saisons et à la nature, rappelle le
genre de la poésie lyrique. Les images évocatrices, les descriptions détaillées des fleurs et des paysages,
ainsi que les réflexions sur le temps qui passe et les souvenirs d'enfance, sont des éléments caractéristiques
de la poésie lyrique. Ce texte invite à la contemplation, à la réflexion sur la beauté éphémère de la nature et
sur les souvenirs qui la traversent, créant ainsi une atmosphère poétique et émotionnelle.

AMOURS

Ce texte semble être une description détaillée et poétique de la relation entre l'auteur et sa chatte, mettant
en lumière les interactions complexes et fascinantes entre l'homme et l'animal. L'auteur exprime son
admiration pour la grâce féline de la chatte, sa curiosité et son intelligence, ainsi que les moments de
complicité et d'observation partagés entre eux.

Ce texte pourrait être rattaché au genre de la littérature naturaliste ou de la poésie animalière, car il explore
les comportements et les émotions des animaux, tout en reflétant les sentiments et les réflexions de l'auteur
sur sa relation avec son animal de compagnie. La description minutieuse des interactions entre l'homme et
la chatte, ainsi que les observations sur la nature et les instincts des animaux, évoquent une approche
naturaliste de l'écriture.

En outre, la sensibilité et la profondeur des sentiments exprimés envers l'animal suggèrent une dimension
poétique qui transcende la simple observation pour atteindre une réflexion plus profonde sur la nature de la
relation entre l'homme et l'animal.

UN RÊVE

Ce texte semble être une réflexion profonde sur la perte, la mémoire et la nostalgie à travers des interactions
imaginaires avec des figures du passé, en l'occurrence des chiens décédés. L'auteur explore les sentiments
de culpabilité, de remords et de recherche de réconfort à travers ces dialogues intérieurs avec les chiens
disparus. Les thèmes de la mort, de la séparation et de la rédemption sont abordés de manière poétique et
émotionnelle.

Ce texte pourrait être rattaché au genre de la littérature introspective ou de la poésie lyrique. La prose
poétique et les dialogues intimes avec des êtres absents évoquent une atmosphère mélancolique et
contemplative, où les souvenirs se mêlent à l'imagination pour créer un univers onirique et émotionnellement
chargé. L'exploration des sentiments de perte et de recherche de sens dans un contexte de deuil donne au
texte une dimension introspective et poétique, proche du genre de la poésie lyrique qui cherche à exprimer
les émotions les plus profondes de l'âme humaine.

NONOCHE
Ce texte décrit une scène de la vie quotidienne d'une chatte nommée Nonoche et de son fils. Nonoche est
dépeinte avec des traits humains, montrant sa maternité, sa beauté, sa sensibilité et ses interactions avec
son environnement. On y voit une atmosphère paisible et familière, avec des détails sur la nature, les
comportements des animaux et les pensées de Nonoche.

Ce texte pourrait être rattaché au genre de la littérature naturaliste ou réaliste, car il met en scène des
personnages animaux avec des caractéristiques humaines, tout en décrivant de manière détaillée et précise
leur environnement et leurs interactions. L'observation minutieuse des comportements des animaux et des
éléments de la nature rappelle les principes du naturalisme qui cherche à représenter la réalité de manière
objective et précise.

TOBY-CHIEN PARLE
Ce récit semble être une scène de dialogue entre deux animaux de compagnie, Kiki-la-Doucette et Toby-
Chien, qui discutent des agissements et des humeurs de leur propriétaire, "Elle". Toby-Chien relate une
scène où "Elle" exprime ses désirs et frustrations, déclarant qu'elle veut faire ce qu'elle veut, même si cela
implique des actions radicales comme danser nue ou se retirer dans une île. Elle exprime également son
amour pour ce qu'elle aime et sa volonté de vivre selon ses propres termes.

Ce récit pourrait être rattaché au genre de la comédie ou du théâtre de l'absurde, car il présente des
dialogues humoristiques entre des animaux anthropomorphisés discutant des comportements et des
excentricités de leur propriétaire. Les échanges entre Kiki-la-Doucette et Toby-Chien sont empreints d'ironie
et de sarcasme, créant une atmosphère légère malgré les thèmes plus sérieux abordés, tels que la quête de
liberté et d'authenticité de "Elle".

DIALOGUE DE BÊTES

Ce récit peut être résumé comme une scène de dialogue entre deux animaux de compagnie, Toby-Chien et
Kiki-la-Doucette, qui discutent de leur maîtresse, Elle, alors qu'ils se trouvent à la campagne. Toby-Chien
exprime son ennui de la vie à la campagne et son désir de travailler, se remémorant avec nostalgie ses
expériences passées aux Folies-Elyséennes. Kiki-la-Doucette, plus philosophe, analyse le comportement et
les pensées d'Elle, soulignant sa relation particulière avec la nature et son attachement à son
environnement. Le texte est empreint de nostalgie, de réflexions sur la vie et la solitude, et de descriptions
poétiques de la nature et des souvenirs passés.

Ce texte pourrait être rattaché au genre de la littérature introspective ou poétique, car il explore les pensées
et les émotions des personnages, tout en offrant des descriptions détaillées de l'environnement et des
sentiments qui les habitent. Les dialogues entre les animaux anthropomorphisés ajoutent une dimension
allégorique à la narration, invitant le lecteur à réfléchir sur des thèmes plus profonds tels que la nostalgie, la
solitude et la recherche de sens dans la vie.

MAQUILLAGES

Ce récit semble appartenir au genre de la littérature féminine ou de la beauté, mettant en lumière les
préoccupations et les pratiques liées au maquillage et à la perception de la beauté à travers les âges.
L'auteur décrit avec une certaine nostalgie les évolutions des techniques de maquillage et des attitudes des
femmes face à celles-ci, tout en soulignant les défis et les plaisirs associés à cet art. Il aborde également la
relation intergénérationnelle entre mères et filles en ce qui concerne les normes de beauté et les pratiques
cosmétiques. Le texte évoque la complexité des sentiments et des réflexions des femmes sur leur
apparence et leur identité à différents stades de leur vie, tout en soulignant l'importance de la confiance en
soi et de l'acceptation de soi.

BELLES-DE-JOUR

Ce récit peut être résumé comme une réflexion profonde sur les normes de beauté et les attentes imposées
aux femmes dans la société. L'auteure décrit une scène où une femme, nommée Valentine, se confie à son
amie après une dispute avec son amant peintre. L'amant reproche à Valentine de ne pas être authentique,
de dissimuler sa véritable apparence derrière des artifices de beauté. Cette confrontation met en lumière les
pressions auxquelles les femmes sont soumises pour correspondre à des standards de beauté irréalistes et
artificiels.

Le récit met en avant les sacrifices que les femmes sont parfois contraintes de faire pour plaire aux hommes,
en altérant leur apparence naturelle pour répondre à des attentes souvent déconnectées de la réalité. Les
autres exemples cités dans le texte illustrent également les différentes façons dont les femmes modifient leur
apparence pour être acceptées ou admirées par les hommes, au détriment parfois de leur propre bien-être
et authenticité.

Ce récit pourrait être rattaché au genre de la littérature féministe ou de la critique sociale, car il soulève des
questions importantes sur la pression exercée sur les femmes pour correspondre à des normes de beauté
inatteignables et les conséquences de cette quête incessante de perfection. Il met en lumière les
contradictions et les injustices auxquelles les femmes sont confrontées dans une société qui valorise
souvent l'apparence au détriment de l'authenticité et de l'estime de soi.

DE QUOI EST-CE QU’ON A L’AIR

Ce récit pourrait être rattaché au genre du réalisme psychologique ou de la fiction intimiste. L'auteur explore
les pensées et les émotions intimes d'un personnage principal, mettant en lumière ses interactions avec une
amie et son environnement. L'accent est mis sur les détails du quotidien, les dialogues subtils et les
réflexions intérieures du narrateur, créant une atmosphère introspective et observatrice. L'analyse des
relations sociales, des normes de la société et des attentes sociales contribue à une exploration profonde
des personnages et de leur psychologie. Le style d'écriture détaillé et nuancé, ainsi que les descriptions des
interactions humaines et des pensées intimes, renforcent l'immersion du lecteur dans l'univers intérieur du
personnage principal.

LA GUERISON
Ce récit peut être rattaché au genre de la littérature sentimentale ou romantique. Il explore les thèmes de
l'amour, de la souffrance, de la guérison émotionnelle et de la recherche d'un nouvel amour. L'histoire met en
scène des personnages tourmentés par des ruptures amoureuses, cherchant à surmonter la douleur et à
trouver un nouveau sens à leur vie. Les descriptions des émotions intenses, des questionnements profonds
et des espoirs renaissants évoquent un univers émotionnel complexe et captivant. L'écriture poétique et
introspective contribue à créer une atmosphère intimiste et touchante, où les personnages se dévoilent avec
sincérité et vulnérabilité.

LE MIROIR

Ce récit pourrait être rattaché au genre de la littérature introspective et psychologique. L'auteur explore les
pensées et les émotions complexes des personnages, en mettant en lumière les conflits intérieurs et les
questionnements sur l'identité et le passé. Les dialogues entre les personnages révèlent des nuances de
sentiments et des réflexions profondes sur la vie et les relations humaines. L'atmosphère crépusculaire et
les descriptions détaillées ajoutent une dimension poétique à l'ensemble, renforçant l'aspect introspectif du
texte.

LA DAME QUI CHANTE

Ce récit présente des éléments d'un monologue intérieur, où le narrateur exprime ses pensées et émotions
vis-à-vis d'une dame qui s'apprête à chanter. Son ressenti est teinté de mépris et de fascination envers la
chanteuse, et ses descriptions sont empreintes d'une intense subjectivité.
Ce récit évoque des aspects du genre de la nouvelle, en raison de sa focalisation sur les pensées intimes
du narrateur et de la mise en lumière des émotions complexes qui l'animent. Le texte offre un regard
profondément subjectif sur la scène décrite, mettant en avant les perceptions et les réactions intérieures du
narrateur face à la chanteuse.
L'approche introspective et l'exploration des sentiments personnels du narrateur font écho aux
caractéristiques de la nouvelle, en offrant une plongée intime dans l'esprit du protagoniste et en mettant en
avant ses réflexions et ses émotions.

EN BAIE DE SOMME

Ce récit pourrait être rattaché au genre de la littérature naturaliste. La description minutieuse et détaillée de
la nature, des personnages et des scènes évoquées rappelle les caractéristiques de ce mouvement littéraire.
Les passages mettent en avant les interactions entre l'homme et son environnement naturel, ainsi que les
instincts et comportements humains face à la nature. Les détails sensoriels et les observations précises des
éléments naturels renforcent cette impression naturaliste. De plus, la focalisation sur les scènes de la vie
quotidienne et les interactions entre les personnages et leur environnement renforcent cette association
avec le naturalisme.

PARTIE DE PÊCHE

Ce récit semble appartenir au genre de la littérature réaliste ou naturaliste, avec des éléments de narration
détaillée et des descriptions minutieuses de scènes et de personnages. L'histoire se déroule dans un cadre
familial et met en lumière les interactions entre les membres de la famille, en particulier Marthe, qui semble
être un personnage central avec une personnalité forte et dominante. Les détails sur la sortie à la plage, la
pêche, les interactions entre les personnages et les réactions de Marthe à l'odeur du poisson renforcent
l'aspect réaliste de la narration. Les descriptions des paysages, des actions et des dialogues contribuent à
créer une atmosphère vivante et immersive pour le lecteur.

MUSIC-HALLS

Ce récit semble appartenir au genre du théâtre de l'absurde ou de la comédie satirique. L'auteur utilise une
série de scènes et de dialogues pour dépeindre de manière ironique et exagérée les coulisses d'une
répétition de spectacle. Les personnages, tels que le mime surmené, les danseuses anglaises, les petites
marcheuses et les artistes de la revue, sont présentés de manière caricaturale, mettant en lumière les
aspects comiques et absurdes du monde du spectacle.

Les situations décrites, comme les problèmes techniques, les costumes inadaptés, les interactions entre les
différents personnages et les discussions futiles sur des sujets superficiels, contribuent à créer une
atmosphère burlesque et décalée. L'absurdité des dialogues et des actions des personnages renforce l'idée
d'une critique satirique de l'industrie du divertissement et de la superficialité de certaines préoccupations
sociales.

En somme, ce récit semble se rapprocher du genre de la comédie satirique en raison de son ton
humoristique, de ses personnages excentriques et de sa critique subtile de la société et de ses conventions.

b. Pourquoi peut-on parler de célébration du monde dans cette œuvre ? Trouvez au moins un élément de
justification dans chaque récit et une citation par récit. (Pas trop longue afin de pouvoir la retenir).

Les Vrilles de la Vigne: La célébration du monde est présente avec la délicatesse de Colette pour peindre la
nature et ses interactions avec les personnages. "La vigne, frële et souple, se tend vers l'azur, et ses bras,
en une frénésie douce, la font tressaillir comme une femme qui aime."

Nuit Blanche: Célébration beauté étrange de la nuit et rencontres. "La nuit étendait son manteau sombre sur
la ville, révélant ses secrets aux âmes errantes en quête d'aventure."

Jour Gris: Célébration tranquillité et poésie sur le quotidien. "Sous le ciel gris, le monde se fondait dans une
harmonie apaisante, où même les nuances les plus ternes révélaient leur propre éclat."

Le Dernier Feu: Célébration des souvenirs et de la nostalgie. "Les flammes mourantes dansaient dans la
cheminée, illuminant les visages ridés des anciens, témoins silencieux du temps qui passe."

Nonoche: Célébration de l'amitié, du meilleur ami de l'Homme. "Nonoche, fidèle compagnon aux yeux
brillants, partageait chaque moment de joie et de peine avec son maître. révélant ainsi la véritable nature du
lien qui les unissait."

LA dame qui chante: Célébration de la beauté et de l'art qui passe les frontières du temps. "La voix cristalline
de la dame remplissait l'air de mélodies enchanteresses, faisant vibrer chaque fibre de l'âme de ceux qui
l'écoutaient."

Toby-chien parle Célébration de l'innocence et de la pureté de la perception animale. "A travers les
aboiements joyeux de Toby, on pouvait entendre une sagesse simple mais profonde, révélant ainsi la vérité
cachée derrière le langage des animaux."

Dialogue des bêtes: Célébration de la diversité et de la richesse du monde animal. "Dans ce dialogue
étrange et merveilleux, chaque créature révélait sa propre histoire, tissant ainsi un tapis magique
d'interactions et de liens entre les espèces."

Toby-chien et la musique: Célébration de la musique et sa puissance sur les émotions. "Sous les notes
mélodieuses, Toby dansait avec une grace enfantine, révélant ainsi la magie intemporelle qui réside dans
chaque harmonie musicale."

Belles-de-jour: Célébration de la beauté éphémère de la nature. "Les fleurs, éclatantes de couleurs vives,
s'épanouissaient dans le jardin comme des étoiles fugaces, rappelant ainsi la fragilité et la splendeur de
chaque instant."

De quoi est-ce qu'on a l'air?: Célébration de l'unique et de la différence. "Chaque visage racontait une
histoire unique, reflétant ainsi la richesse infinie de l'expérience humaine."
La guérison: Célébration de la résilience et de la guérison de l'âme humaine à travers les épreuves. "A
travers chaque épreuve surmontée, l'âme retrouvait peu à peu sa force et sa beauté originelles, révélant
ainsi le pouvoir de la résilience et de la foi."

Le Miroir: Célébration de la vérité intérieure, de son vrai soi. "Dans le miroir, chaque reflet révélait une
facette cachée de l'âme, invitant ainsi à un voyage intérieur vers la découverte de soi- même."

En Marge d'une plage blanche I (en baie de Somme): Célébration du calme et de la beauté de la nature. "Le
vent soufflait doucement sur la plage, caressant les dunes de sable blanc et révélant ainsi la magie
intemporelle de la côte."

En Marge d'une plage blanche II: Célébration de la liberté et de la vue infini, "Face à l'horizon infini, l'esprit
s'élevait dans un silence majestueux, révélant ainsi la puissance apaisante de l'océan."

Partie de Pêche: Célébration de la simplicité et de la nature. "Au bord de l'étang tranquille. les pécheurs
partageaient des moments de calme et de camaraderie, révélant ainsi la beauté simple de la vie au fil de
l'eau."

Musics-Halls: Célébration de l'art. "Dans les salles enfumées, les artistes enjoués offraient des spectacles
éblouissants, révélant ainsi la magie envoûtante des music-halls."
Printemps de la Riviera: Célébration de la renaissance de la nature et de la vie. "Sous le soleil printanier, la
Riviera s'éveillait dans un éclat de couleurs vives, révélant ainsi la magie renouvelée de la saison des
fleurs."

3/ Sido a. Pourquoi peut-on dire que Colette rend hommage à sa mère dans le chapitre I de Sido et
également dans l’ensemble du récit Sido? Justifiez votre réponse.

Colette rend hommage à sa mère dans le chapitre I de Sido et dans l'ensemble du récit en mettant en
lumière la relation profonde et complexe qu'elle entretenait avec sa mère, surnommée "Sido". À travers des
descriptions détaillées et des anecdotes de la vie quotidienne, Colette montre l'influence et l'importance de
sa mère dans sa propre vie. Elle souligne la sensibilité, la force, et la personnalité unique de sa mère,
mettant en avant des moments significatifs de leur relation, comme les échanges de nourrissons entre elles
ou les moments passés ensemble dans le jardin.

Colette évoque également les prodiges météorologiques et les interactions avec la nature qui semblent
symboliser la relation entre elle et sa mère. Les descriptions des phénomènes naturels, comme la neige en
juillet ou les grenouilles apportées par un vent du Sud, reflètent la magie et la poésie qui entouraient la figure
maternelle de "Sido".

En résumé, Colette rend hommage à sa mère en capturant la complexité et la richesse de leur relation à
travers des souvenirs, des anecdotes, et des observations de la nature qui symbolisent l'amour, la force, et
l'influence de sa mère sur sa vie et son œuvre.

b. D’après le chapitre II « Le Capitaine », quel portrait Colette fait-elle de son père ?

Colette dresse le portrait de son père comme un homme qui était quelque peu distant de ses enfants, surtout
en comparaison de son amour profond et de sa dévotion envers sa femme, appelée "Sido". Il est décrit
comme un homme qui construisait des choses pour ses enfants, chantait, et avait une nature fantasque et
nonchalante. Colette réfléchit sur la relation de son père avec ses enfants, mettant particulièrement en
lumière ses tentatives pour se connecter avec elle en partageant son travail littéraire et en cherchant ses
critiques. Malgré son attitude quelque peu distante, il y a un sentiment d'admiration et de respect pour lui,
surtout en ce qui concerne ses talents poétiques et musicaux.
Le père de Colette est dépeint comme un homme ayant un fort sens de la fierté et un désir d'enseigner,
même s'il n'exprimait pas ouvertement son affection pour ses enfants. Il y a une certaine complexité dans
son caractère, alors qu'il jongle entre son rôle de père et ses propres luttes et désirs personnels. La relation
entre les parents de Colette est également explorée, montrant un lien profond et une compréhension
mutuelle entre eux, malgré des moments de tension et de mésentente.
Dans l'ensemble, le portrait que fait Colette de son père révèle un homme porteur d'un sentiment de
nostalgie et d'aspirations non réalisées, particulièrement dans ses entreprises créatives et sa relation avec
ses enfants. Malgré ses défauts et ses complexités, il y a un sentiment d'admiration et de nostalgie dans les
réflexions de Colette sur son père.
c. Chapitre III« Les sauvages » : quelle relation entretiennent les deux frères entre eux ? Avec leur sœur ?
Quel regard Sido porte-t-elle sur ses enfants ?

les deux frères entretiennent une relation étroite et complexe. Ils participent à des discussions, des débats et
des activités ensemble, démontrant un lien fort entre eux. Ils semblent partager un sens de l'humour et une
nature espiègle, comme en témoignent leurs interactions et la manière dont ils se taquinent de façon
ludique. Malgré leurs différences de personnalité et d'intérêts, ils semblent bien se comprendre et avoir un
lien profond.
Leur relation avec leur sœur, Juliette, est dépeinte comme étant quelque peu distante et tendue. Ils
semblent adopter une attitude protectrice et quelque peu critique à son égard, surtout dans le contexte de
son mariage imminent. Il y a un sentiment de désapprobation et de réticence envers le mariage, reflétant
leur préoccupation pour le bien-être de leur sœur et leur propre sens d'indépendance.
Sido, leur mère, semble avoir une vision complexe et quelque peu contradictoire de ses enfants. Elle est
dépeinte comme une figure forte et opinionnée, exprimant ouvertement ses pensées et ses sentiments. Elle
semble avoir une profonde compréhension de la personnalité et des luttes de ses enfants, et joue un rôle
significatif dans leur vie, les guidant et les soutenant à sa manière.
Dans l'ensemble, les dynamiques relationnelles entre les deux frères et les membres de leur famille, telles
qu'elles sont dépeintes dans les sections fournies, révèlent un mélange de proximité, de tension et de
compréhension mutuelle, reflétant les complexités des relations familiales et des personnalités individuelles.

d. Quelle image de la famille Colette donne-t-elle au travers de Sido ?


La famille Colette est présentée comme étant composée de membres aux personnalités distinctes mais
interconnectées. Sido, la mère, est décrite comme une figure maternelle aimante et attentive aux détails,
notamment en ce qui concerne l'éducation et l'apparence de ses enfants. Elle semble être le pilier de la
famille, veillant sur tous les membres avec dévouement et exigence. Le père, le capitaine Colette, est
dépeint comme un homme fort, musclé et mystérieux, avec un passé militaire glorieux. Malgré son caractère
réservé, il montre de l'affection à sa manière, notamment en jouant avec ses enfants. Les enfants, quant à
eux, sont présentés comme ayant des personnalités variées, chacun réagissant différemment aux situations
familiales et extérieures. En somme, la famille Colette semble être un ensemble complexe mais uni, où les
relations sont marquées par l'amour, l'attention et parfois la jalousie.

4/ Dans quelle mesure les deux œuvres, Sido et Les Vrilles de la vigne vous paraissent-elles célébrer le
monde ?

"Sido" et "Les Vrilles de la vigne" semblent célébrer le monde à travers une exploration poétique et
sensorielle de la nature. Dans "Les Vrilles de la vigne", on observe une attention particulière portée aux
détails de la nature, comme les vignes en fleur, le rossignol et la neige. Ces descriptions évoquent une
certaine fascination pour la beauté et la complexité du monde naturel. De même, dans "Sido", on retrouve
des images évocatrices de la nature, telles que la neige et les animaux, qui semblent être célébrées pour
leur pureté et leur mystère. Les deux œuvres semblent donc partager une sensibilité commune à l'égard de
la nature et exprimer une forme de célébration de sa splendeur et de sa diversité.

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