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DENDOUM Mhamed
Remerciements
Nos remerciements les plus profonds vont à notre encadrant de notre projet de fin
d’études Monsieur le professeur RACHADI Abdeljalil pour ces conseils et pour sa
présence pendant tous la période de préparation de ce travail, malgré son emplois de
temps très chargé.
Conclusion générale.
Bibliographie.
Introduction générale
Tout matériau contient un très grand nombre d’atomes, chaque atome est composé
d’un noyau autour duquel gravite un certain nombre d’électrons: particules chargées dont le
mouvement crée des moments magnétiques qui sont à l’origine des propriétés magnétiques
des corps. L’apparition d’un moment magnétique provient d’une part des mouvements des
électrons autour du noyau sur leurs orbites et d’autre part de la rotation propre de chaque
électron autour de lui-même.
Les aimants sont partout ! Présents dans la vie courante de tous les jours afin
d’assurer le fonctionnement d’un moteur électrique, les écouteurs de notre baladeur ou le
disque dur d’un ordinateur
le magnétisme joue un rôle important on le retrouve même à l'échelle de notre planète, ce qui
permet de nous protéger des rayons Solaires trop puissants grâce à des manifestations
spectaculaires : aurores boréales
2) Aimants:
Les aimants sont très présents dans notre environnement de tous les jours et leur
existence est connue depuis des siècles.
Les aimants sont des éléments fabriqués dans un matériau magnétique dur, ils possèdent deux
pôles opposés(le Nord et le Sud) qui sont inséparables.
Il existe trois types d’aimants différents : les aimants permanents, supraconducteurs et pulsés.
Les aimants permanents:
Les aimants en néodyme-fer-bore et en alliage ternaire samarium-cobalt sont à ce jour les
aimants permanents les plus forts. Ils peuvent produire des champs magnétiques d’environ 1
tesla – le tesla (T) est l’unité internationale d’induction magnétique : un tesla correspond à 20
000 fois le champ magnétique terrestre Il est constitué d'une structure ferromagnétique qui
produit un champ magnétique permanent Sans consommation d'énergie. Ces aimants,
autrefois très lourds (jusqu'à90 tonnes avec les ferrites), se sont allégés avec l'arrivée des
alliages à base de terre rares (Bore-néodyme-fer). Un aimant de 0,3 T corps entier ne pèse
que 10 tonnes. Un0, 4 T pèse 13 tonnes. Bien que l'on puisse faire des aimants permanents
de 1 T, il est économiquement difficile d'aller beaucoup plus haut que 0,4 tesla. Leurs
avantages principaux sont l'absence de courant de Foucault, une fiabilité exceptionnelle, une
architecture ouverte et un champ vertical perpendiculaire au grand axe du patient, ce qui
améliore les performances des antennes.
Les aimants supraconducteurs :
Les aimants supraconducteurs sont un type d’électroaimant produisant un champ
magnétique grâce à la circulation d’un courant électrique à travers un matériau sans
résistance. Un aimant supraconducteur peut générer des champs magnétiques d’une intensité
supérieure à 20 T. En 2008, c'est le type d'aimant le plus répandu. L'aimant supraconducteur
utilise le Principe de supraconductivité. Lorsque certains métaux ou alliages sont soumis à
des températures proches du zéro absolu, ils perdent leur résistivité si bien que le passage
d'un courant électrique se fait sans perte, donc sans production de chaleur.
Les aimants pulsés:
Enfin, les aimants pulsés peuvent fournir des champs magnétiques encore plus élevés, jusqu’à 72
T, mais leur utilisation n’est encore possible que dans les laboratoires de recherche.
Ces objets magnétiques produisent un champ magnétique, son intensité se mesure en Tesla (T).
Les champs magnétiques peuvent être modélisés par des lignes de champs qui vont du pôle nord
au pôle sud, à l'extérieur du barreau aimanté, et du pôle sud au pôle Nord à l'intérieur. Elles sont
également espacées symétriquement distribuées autour du barreau. Il est très facile mettre en
évidence avec un aimant et de la limaille de fer.
Comme pour l’aimant, les lignes de champ magnétique terrestre pointent vers les deux pôles
magnétiques.
Dans le cas de la Terre elles partent près du pôle sud géographique de la terre,
s’incurvent dans l’espace et convergent près du pôle nord géographique. Pour comprendre le
fait que le pôle nord de l'aiguille d'une boussole s'oriente vers un point fixe de la Terre, il faut
se rendre compte que notre planète se comporte comme un aimant. Le pôle nord terrestre qui
correspond au pôle sud d'un aimant, va donc constamment attirer le pôle nord de l'aiguille de
la boussole. On dit que l’aiguille suit les lignes de champs terrestres. Par conséquent, la
boussole indique le Nord.
2-2) boussoles:
Une boussole est un instrument de navigation constitué d’une aiguille magnétisée qui
s’aligne sur champ magnétique de la terre. Elle indique ainsi le nord magnétique, à distinguer
du pole nord géographique. La différence entre les deux directions en un lieu donné s’appelle
la déclinaison magnétique terrestre. Selon la précision requise, on s'accommode de cette
différence ou on utilise un abaque de compensation. Observé depuis la France (en 2013), les
deux directions sont sensiblement identiques.
Les lignes du champ magnétique terrestre sur lesquelles l'aiguille de la boussole
s'aligne pointent sous terre au niveau des pôles nord et sud (et non pas à la surface). Dans
l'hémisphère nord, l'extrémité nord de la boussole est donc attirée vers le bas. Pour compenser
ce phénomène l'extrémité sud de l'aiguille de la boussole est légèrement lestée.
Une boussole peut être constituée de n’importe quel dispositif utilisant une aiguille
magnétisée tournant librement sur un pivot, afin qu’elle puisse indiquer la direction du nord
magnétique de la Terre. La loi du magnétisme est telle que les pôles opposés s'attirent. Par
choix de convention historique, le pôle Nord d'un aimant est celui qui pointe le Nord de la
Terre. En conséquence, le pôle magnétique de la Terre à proximité du pole nord
géographique (à l'époque de l'homme moderne) est un pôle sud au sens du magnétisme. Ce
pôle est toutefois nommé «pôle Nord magnétique» parce que c'est plus intuitif pour un pôle
qui donne approximativement le Nord géographique.
La boussole est d’origine chinoise mais il y a des désaccords sur la date précise à
laquelle elle fut inventée. La première boussole chinoise n'était probablement pas conçue pour
la navigation, mais consistait en une pierre d’aimant utilisée pour harmoniser l'énergie
environnementale selon les principes géomantique du Feng shui.
fixée sur une paroi verticale pour permettre une lecture par le côté.
placée dans un logement vertical pour permettre une lecture par-dessus.
suspendue au plafond, dite mouchard et lisible par en dessous en position couchée.
Elles se composent généralement d’une capsule remplie d'un liquide qui freine les
oscillations de l'équipage magnétique, c'est-à-dire une rose des vents plate ou en forme de
sphère ou d'hémisphère graduée ; la viscosité du liquide force la rose (ou la sphère graduée) à
s’arrêter rapidement sans osciller de part et d’autre du nord magnétique. Une ligne de foi, qui
peut être une inscription sur la cuvette de boussole ou une petite tige fixe, indique l’axe
longitudinal (direction de la marche) du bateau par rapport au cadran de la boussole.
Boussole électronique :
[2] Boussole de type Bézard (Sté Lufft) de l’Armée Française (la visée s’effectue à travers les encoches du
couvercle).
Chaque corps de métier utilise des boussoles spécifiques car celles-ci doivent satisfaire
à des exigences différentes.
Fantassin :
Le fantassin a besoin d’un modèle compact, léger et d’une solidité à toute épreuve. Ce
sont la plupart du temps des boîtiers métalliques repliables protégeant le verre et bloquant
l’aiguille. La société allemande Luft avait fabriqué dès le début du XXème siècle des versions
évoluées de la boussole de type Bézoard utilisée par les armées de nombreux pays européens
dont la France (photo de gauche). La société suisse Recta (reprise par SUUNTO) avait
développé un dispositif à tiroir particulièrement ergonomique (voir galerie).
Artillerie:
L’artilleur a besoin de mesurer l’angle du site en plus de l’angle de gisement par
rapport à une cible. Ces boussoles ont un inclinomètre et parfois un ou deux niveaux à bulle.
Certains systèmes à loupe et à prisme permettent de voir la rose du compas grossie
en même temps que l’objet visé.
D'une part sur la création d'un courant électrique induit dans un conducteur placé dans un
champ magnétique tournant. Le conducteur en question est un des barreaux de la cage
d'écureuil ci-dessous constituant le rotor du moteur. L'induction du courant ne peut se faire
que si le conducteur est en court-circuit (c'est le cas puisque les deux bagues latérales relient
tous les barreaux).
D'autre part, sur la création d'une force motrice sur le conducteur considéré (parcouru par
un courant et placé dans un champ magnétique tournant ou variable) dont le sens est donné
par la règle des trois doigts de la main droite.
de la carcasse.
des paliers.
des flasques de palier.
le capot protégeant le ventilateur.
[3] Stators.
Le rotor:
Le rotor est la partie mobile du moteur asynchrone. Couplé mécaniquement à un treuil
d'ascenseur par exemple. Il est composes de :
D'un empilage de disques minces isolés entre eux et clavetés sur l'arbre du rotor afin de
canaliser et de faciliter le passage du flux magnétique.
D'une cage d'écureuil en aluminium coulé dont les barreaux sont de forme trapézoïdale
pour les moteurs asynchrones standards et fermés latéralement par deux "flasques"
conductrices.
[3] Le rotor
RMN :
Résonance magnétique nucléaire (RMN) qui utilise les propriétés quantiques des noyaux
atomique pour la spectroscopie en analyse chimique. L'IRM nécessite un champ magnétique
puissant et stable produit par un aimant supraconducteur. Basée sur le même principe que
l’IRM, la spectroscopie à Résonance Magnétique Nucléaire (RMN) est sans doute la
technique la plus utilisée dans l’industrie chimique et en biotechnologie pour déterminer en
détail la structure de molécules telles que le matériel génétique (l’ADN et l’ARN), ainsi que
d’autres molécules complexes permettant de mettre au point de nouveaux médicaments. Avec
l’avènement de la biologie moléculaire, la demande en spectromètres de résolution toujours
plus élevée ne serait pas satisfaite sans les aimants supraconducteurs.
Pour un matériau soumis à un champ magnétique extérieur H ,il apparait une induction
magnétique B à l’intérieur du matériau , liée au champ magnétique H et à l’aimantation M de
la façon suivant: B= μ0 (⃗
H +⃗
M ¿.
1
S z =mS ℏ=± ℏ
2
μ S , z =−2 mS μ B=∓μ B
On doit donc prendre en compte le moment magnétique atomique total, qui est la somme des
contributions orbitales et des contributions de spin. Celui-ci s'écrit alors:
⃗J = ⃗
L+ ⃗
S
Et est soumis aux mêmes règles de quantification que tout moment cinétique:
J Z=m j ℏ
J 2 = j ( j+1 ) ℏ 2
Le moment magnétique associé s'écrit alors :
μ z =−m j gμ B
Où g, facteur de Landé, est un nombre sans dimension prenant en compte à la fois les effets
de spin et les effets orbitaux.
3) Grandeurs magnétiques:
3-1) Susceptibilité magnétique χ :
La susceptibilité magnétique χ est la faculté d'un matériau à s'aimanter sous l'action
d'une excitation magnétique et elle donne la relation entre l’aimantation ⃗
M et l’excitation
extérieure ⃗
H ; avec: ⃗M = χ .⃗
H
avec :
k = 1.381E-23(J/K), est la constante de Boltzmann (Ludvig Eduard Boltzmann,1844-
1906).
a est une constante exprimée en Vms-1.
La fonction de Langevin £(x) définie par :
La plus grande étape dans la théorie moderne des matériaux ferromagnétiques résulte dans la
prise en considération de l’interaction entre les particules magnétiques. Pierre Weiss (1865-
1940) simulait cette interaction entre les dipôles magnétiques et leurs moments avec une
boucle fermée en modifiant la formulation de Langevin :
[7] :Comparaison simplifiée des perméabilités : ferromagnétiques (µf), paramagnétique (µp), espace libre (µ0) et
diamagnétique (µd).
(a) (b)
[7] : Paramagnétisme (a) Réseau de spins ; (b) Loi de Curie
- que le champ magnétique local qui agit sur les atomes est le même que le champ
magnétique macroscopique appliqué, puisque l'aimantation des matériaux est supposée faible
χ << 1
( m ).
- Que les moments magnétiques sont suffisamment éloignés pour que l'on puisse négliger
les interactions entre ces moments.
On sait que l'énergie d'interaction entre un moment magnétique et un champ magnétique
extérieur s'écrit:
H=−⃗μ ⃗ B ; avec ⃗μ=g μ B ⃗j le moment magnétique d’un atome.
On pose B //z et les états accessible pour chaque atome est :
J z ¿ m>¿=mℏ ¿ m>¿ ; avec m=−¿j, −¿j +1, …, j −¿1, +j
H¿ m>¿=−¿g μ BB m¿ m>¿
Donc la fonction de partition pour un atome:
m= j
Z= ∑ e
β gμ Bm
B
; on pose: η= β g μ B B
m=− j
Z=
sinh( j+ ( 12 ) η)
η
sinh
2
1 η
C'est-à-dire :η <<1 dans ce cas coth η ≈ +
η 3
donc:
1
( j+ )η
( )
1
coth j+ η≈
2
1
1
( j+ )η
+
3
2
η 2 η
coth = +
2 η 6
g μ B j ( j+1 ) g μ B B
On remplace est on trouve : < μ z> =
3 KT
M = N < μ z> = N
g μ B j ( j+1 ) g μ B B
3 KT
2 2
∂M N g μB J (J +1)
Et la susceptibilité magnétique χ = = ,donc on remarque que la
∂B 3 KT
susceptibilité et dépende de la température et on trouve ainsi la loi de curie :
2 2
N g μB J (J +1) C
Si on pose une constante C = donc χ= ça implique que
3K T
M S = N < μ z> = N g j μ B
En ce qui concerne les matériaux paramagnétiques, cette saturation ne peut être observée qu'à
très basse température et dans des champs très intenses.
Donc à partir de cette étude théorique on démontre que la susceptibilité magnétique est très
petite et positive et inversement proportionnelle à la température.
Les matériaux diamagnétiques sont des solides ayant tous leurs électrons appariés et par
conséquence pas de moment magnétique permanent par atome et ça explique l’absence de
l’aimantation spontanée au niveau du matériau.
L'effet Meissner fait référence au phénomène d'exclusion totale de toute induction magnétique
de l'intérieur d'un supraconducteur quand il est porté à une température inférieure à sa
température critique. Il a été découvert par Walther Meissner et Robert Ochsenfeld en 1933
est souvent appelé diamagnétisme parfait ou l'effet Meissner-Ochsenfeld.
[9] Illustration de l’alignement du moment magnétique atomique dans le réseau d’un matériau
ferromagnétique (a) et évolution de l’aimantation en fonction de l’amplitude du champ magnétique appliqué
(b)et évolution de l’aimantation spontanée pour T < Tc et(c) de la susceptibilité magnétique pour T > Tc
4-3-2) Cycle d’hystérésis et les propriétés magnétiques:
Lorsque on applique un champ extérieur H croissant, les domaines et les parois évoluent
progressivement jusqu’à obtenir un seul domaine (c.-à-d. que tous les domaines sont
alignées) correspondant à valeur critique H s et une induction de de saturation Bs c’est le point
(a)
Lorsqu’on ramène H à 0 la courbe passe de point (a) au point (b) dans cette point il
reste quelque induction s’appelé la aimantation rémanente Br dans les matériaux malgré que
H est nul (car certaines domaines magnétiques restent alignés alors que les autres ne le sont
plus).
Quand le champ magnétique est inversé la courbe atteint le point (c) là ou l’induction
magnétique est nul , c’est le point ou on le champ coercitif H C
On remarque que la courbe ne retourne pas à l’origine car une certaine force est requise pour
supprimer l’aimantation résiduelle.
Matériaux durs : possède un champ coercitif important donc aussi une aimantation
rémanente très grande et un cycle d’hystérésis très large :
Quelques exemples:
Ni : Hc = 150 A/m.
CoPtCr (matériau d'enregistrement utilisé dans les disques durs) : Hc = 1700 A/m.
NdFeB : Hc = 10000 A/m.
Fe48Pt52 : Hc > 12300 A/m.
SmCo5 : Hc = 40000 A/m.
Matériaux doux : possède un champ coercitif faible donc une aimantation de rémanente
facile à s’annuler et son cycle d’hystérésis très
étroit.
[12] : Cycle d’hystérésis d’un matériau doux
Quelques exemples :
Supermalloy (fer, nickel, molybdène, etc.) : Hc = 0,16 A/m ; Br = 1,2 T (l'un des plus doux).
Fer + 3 % de Silicium, grains orientés : Hc = 8 A/m; Br = 1,0 T.
Certains alliages métalliques amorphes à base de fer.
Les matériaux magnétiques doux sont utilisés pour réaliser des électroaimants (leur
aimantation doit pouvoir facilement être annulée) ou des circuits magnétiques fonctionnant en
régime alternatif (machines électriques, transformateurs), car ce phénomène d'hystérésis est
responsable de pertes d'énergie.
Le tableau suivant illustre une comparaison entre les différentes caractéristiques des
matériaux doux et les matériaux durs.
les interactions entre moments magnétiques sont supposées isotropes et caractérisé par un
facteur de couplage J identique pour tous les paires (i , j) l’énergie d’ échange principalement
due aux interactions entre moments voisins l’ équation devient :
L’énergie du spin S au site i dans le champ moyen de ses voisins est donc (en
remplaçant les Sj par e pour les voisins de i dans le Hamiltonien de Ising)
He(S) = −(2DJ e + B) S , S = ±1
(la température est absorbée dans J et B, si bien que T = 1). Les valeur moyenne de
l’aimantation S et de l’énergie par site ε sont:
<S> = tanh(2DJe + B) , ε = (DJe + B)<S>
Noter le facteur D au lieu de 2D qui vient du fait que l’énergie −JSiSj d’un lien est partagée
entre les sites i et j. La condition d’auto-cohérence est que l’aimantation moyenne m soit
égale à e:
m =<S>= e → m = tanh(2DJm + B)
#include<stdio.h>
#include<conio.h>
#include<math.h>
int main(){
float T,J,m0,m;
int z;
z=4;
J=1;
FILE *f;
f=fopen("mf.txt","w");
m0=0.1;
for(T=0.01;T<5;T+=0.01){
do{
m=tanh((J/T)*z*m0);
if(m0==m){
break;
}
else {
m0=m;
}
}while(m0);
fprintf(f,"\n%f\t%f",T,m);}
fclose(f);}
La courbe de l’aimantation en fonction de la température
Conclusion générale
Dans le cadre de cette étude nous avons traité dans la deuxieme partie
quelques points concernent le comportement de quelques matériaux
magnétiques et leurs propriétés importants à être utilisable dans les différents
domaines d’applications, ces propriétés sont la perméabilité et la susceptibilité
magnétique, les différents énergies qui donne pour chaque matériau ses
propriétés spécifique par rapport les autres matériaux et aussi le champ
coercitif, le champ rémanente.
Bibliographie
[3] Réal-Paul Bouchard, Guy Olivier, "Conception de moteurs asynchrones triphasés", 1997
[12] C. Kittel, "On the Theory of Ferromagnetic Resonance Absorption",Phys. Rev. 73,
pp155–161
[13] M. D. Pozar, "Microwave Engineering", 1998 second edition, by John Wiley & Sons,
Inc.
[14] François David Service de physique théorique CEA-Saclay 91191 Gif –Sur-Yvette
Cedex,France 13 Novembre 2006.
[15] Abed Benabou, contribution à la caractérisation et à la modélisation de matériaux magnétiques,
pour obtenir le grade de docteur, université Lille 1, page 16, 2002.