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INTRODUCTION :
CONCLUSION :
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INTRODUCTION :
Farid responsable de marketing et Ghali chef de département financier ,donc deux
collaborateurs qui travaillent dans la même entreprise .lors d’une réunion à propos de la
préparation d’une campagne publicitaire afin de communiquer le produit fabriqué par
l’entreprise ,Farid a proposé d’augmenter le budget afin d’attirer plus d’audience utile et être
présent sur tous les supports média et hors média tant que le chef de département financier a un
notre avis différent complètement et qui cherche à diminuer le budget au strict minimum, ce qui
a causé un conflit entre les deux et dépasser le faite d’être un conflit de position et des idées à un
conflit personnel .si l’entreprise n’arrive pas à gérer ce genre de conflits et autres et de dégrader
leurs effets ceci peut aller plus loin et affecter sa rentabilité , sa production et la création d’un
climat toxique et défavorable .
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1. LE CONCEPT DU CONFLIT :
A- Définitions
Les conflits peuvent être qualifiés de nombreuses manières suivant les acteurs en présence (leur
nombre, leur âge, leur position hiérarchique…), le sujet du conflit (avantage, pouvoir…),
l’évolution du conflit (déclaré, latent, refoulé).
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● Le conflit déclaré / le conflit latent / le conflit refoulé :
-Le conflit déclaré est mis à jour par les protagonistes qui le souhaitent même parfois clairement
par intérêt.
-Le conflit latent est un conflit « étouffé » pour des raisons multiples (peur du regard des
autres ) et se traduit de différentes façons ( absentéisme ).
-Le conflit refoulé est un ancien conflit qui n’a pas trouvé de solution définitivement acceptable
pour l’une ou l’autre des deux antagonistes et qui risque donc à tout moment de devenir un
conflit déclaré.
● Le malentendu :
C’est le plus fréquent des conflits et le plus facile à résoudre. Il résulte toujours d’une erreur
d’interprétation. Il arrive souvent qu’une personne se retrouve ainsi en conflit à l’insu de l’autre
car l’interprétation ne correspond pas à la signification que celle-ci donnait à son action. Il arrive
aussi très souvent que le conflit soit réciproque.
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Absence de suivi des performances individuelles.
· Dysfonctionnement concernant la rareté des ressources
– Les possibilités des conflits augmentent quand il y a des ressources limitées : espace,
équipement, formation, ressources humaines et financières
· Dysfonctionnement dû à des incompatibilités d’objectifs et les intérêts opposés
– Les membres d’une organisation poursuivent souvent différents objectifs ce qui crée des
possibilités de conflit (exemple : le personnel de vente pourrait penser faire face à la compétition
par des livraisons rapides de marchandises alors que le service de production pourrait trouver
que les productions en petites quantités pourraient aller à l’encontre de ses efforts de réduction
des coûts)
. La psychologie :
Les conflits peuvent trouver leur source dans la personnalité des individus. Ces causes
Les psychologues ont des origines diverses et trouvent bien souvent leur source à l’extérieur de
l’organisation.
Elles se matérialisent sous des formes diverses : émotions ou intentions négatives (jalousie
vengeance, harcèlement,) La violence, l'angoisse, la dépression ou maladie psychiques,
L’agressivité, la frustration... et ont pour point commun la durée assez longue de leurs effets.
· La communication :
- les politiques d’entreprise deviennent sources de conflits d’où tout comportement, volontaire
ou pas, est un élément de communication.
-Les étapes du conflits :
Les étapes évoluent avec le temps passant par différentes étapes d’activité, d'intensité de tension
et de violence.
-Le pré conflit : une période d’incompatibilité d’objectifs entre 2 ou plusieurs groupes, le conflit
est caché Il peut y avoir des tensions entre les parties et /ou le désir de s'éviter.
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-La confrontation : le conflit est devenu ouvert. On sent qu’il Ya un problème, on remarque des
bagarres occasionnelles, des manifestations de violence, des colorisations des parties
Un conflit n’est pas figé, il a une dynamique. Il évolue au fur et à mesure du temps.
La première phase d’un conflit est généralement une accumulation de frustration et de
ressentiments qui peuvent avoir des causes diverses : des mauvaises compréhensions, des
paroles, des gestes ou des faits jugés agaçants.
Ensuite vient une phase dite d’indifférence contrôlée. Elle consiste en un contrôle des
sentiments et des tensions envahissantes. Les protagonistes continuent à se parler mais
sans plaisir.
Logiquement la phase d’après est l’évitement. Les protagonistes vont espacer leurs
rencontres jusqu’à cesser le dialogue.
Une guerre froide commence alors. Chacun des protagonistes va chercher à nouer des
alliances contre l’autre.
La phase ultime du conflit est la guerre ouverte. Le comportement des protagonistes, l’un
envers l’autre, deviennent ouvertement hostiles. Tous les coups sont permis pour
provoquer la défaite de l’autre. Cette dynamique complique la résolution des conflits.
Le conflit qui éclate dans le groupe, dans une classe d'étudiants, dans un service de l'entreprise,
dans la famille, entraîne des situations difficiles pour chacun. Mais lorsque le conflit est résolu,
la situation clarifiée, alors l'équipe de travail, le groupe d'étudiants ou la bande des cousins se
félicitent d'avoir su aller au-delà des difficultés. Chacun se réjouit d'avoir dépassé les rancœurs et
mesure les conséquences productives.
Donc on peut distinguer entre 2 types de conséquences : négatives et positives .
● Perte de temps
On perd du temps dans le temps passé dans des discussions redondantes, inefficaces. La perte de
temps est également liée à la répétition des plaintes à propos de la situation conflictuelle sans
pour cela aller vers une résolution du conflit.
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● Baisse de la productivité
Un conflit dans un groupe peut nous donner des mauvaises conditions de travail entre les
membres qui peut causer un ralentissement de la productivité du travail qui serait synonyme
d'une croissance plus faible, et aurait des conséquences sur l'équilibre du groupe.
L’esprit d’équipe en entreprise, c’est lorsque les membres d’une équipe agissent de manière
conjointe, dans la recherche de l’intérêt commun et non individuel, mais dans le cas d’un conflit,
ce dernier peut détruire cet intérêt.
La participation de chacun dans la réflexion est reconnue, appréciée. Chacun reconnaît chez
l'autre et chez lui-même cette compétence à résoudre un conflit.
La sensation d'importance existe au niveau individuel au sein du groupe. La conséquence est que
chacun se sent davantage responsable dans le groupe. Chaque membre du groupe a pu constater
que son action avait un effet, et que la part de responsabilité était réelle.
Trouver une solution pour sortir du conflit nécessite de faire preuve d'imagination. Chacun
ressent plus de confiance en soi et l'état d'esprit change dans la groupe.
Le groupe retrouve une bonne énergie. Cette stimulation a des effets sur le bien être et sur
l'efficacité de chacun.
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2. LA GESTION DES CONFLITS :
A- Les méthodes de gestion des conflits
Pour éviter qu’un désaccord factuel, purement professionnel, ne dégénère en une affaire
personnelle, il existe des méthodes dans la gestion des conflits au travail, qui se sont avérées
efficaces et pertinentes.
1-Décrire:
Dans cette première étape, il est nécessaire de faire une description détaillée de la situation
conflictuelle tout en mettant l’accent sur ses conséquences afin de mieux comprendre de quoi
s’agit-il.
2-Exprimer:
Cette étape consiste en l’expression des ressentis, émotions et sentiments face au conflit et face à
la personne avec laquelle on a ce conflit.
3-Suggérer:
Il est important de suggérer et de spécifier des solutions qui ont pour but la résolution du conflit.
Chaque personne faisant partie du conflit doit en proposer au moins une solution.
4-Conclure:
Une conclusion positive est toujours souhaitée. Le but de cette étape est de préciser les
conséquences des solutions suggérées dans l’étape précédente et faire en sorte à ce que ce conflit
ne se répète pas.
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Exemple :
Afin de gérer les conflits au milieu professionnel avec intelligence et restaurer un climat de
travail harmonieux, il souhaitable de se baser sur les méthodes de gestion des conflits d’Alex
Febo, qui les a expliquées au niveau de son ouvrage “Les 5 clés pour gérer les conflits au
travail”. Dans cette présentation, nous avons choisit de mettre l’accent sur les 3 méthodes les
plus pertinentes:
1-Comprendre le conflit:
Cette méthode consiste à préciser la source du conflit ainsi que sa nature. Une bonne
compréhension du problème a toujours été à l’origine d’une solution efficace.
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3-Savoir se parler pour dénouer le conflit:
Au niveau de cette méthode il faut prendre en considération 3 choses:
-le lieu de la rencontre qui doit être neutre et confortable.
-l’horaire de la rencontre au niveau duquel il est souhaitable de privilégier le matin plutôt que le
soir, et le début de la semaine plutôt que sa fin car la tolérance diminue avec la fatigue.
-la confiance dans l’équipe.
« La négociation est un processus par lequel deux ou plusieurs personnes ou groupes, qui
poursuivent des objectifs à la fois communs et contradictoires, définissent et analysent des
propositions visant à trouver les termes précis d’un accord possible. »
D’après cette définition, on peut dire qu’une situation de négociation est une situation dans laquelle ; deux
ou plusieurs personnes doivent décider de leurs objectifs combinés, afin de résoudre leur désaccord. Et
aucune méthode ou procédure claire ou établie ne permet de décider.
En milieu organisationnel, où les sujets de désaccord potentiel sont innombrables (échelle
salariale, objectifs de productivité, évaluation du rendement, attribution des tâches ; horaires de
travail, aménagement de l’espace..), la négociation est cruciale.
La négociation est donc la prise en charge du conflit ; c’est une solution pour concilier les points
de vue opposés.
- Elle peut être conflictuelle (gagnant/perdant) : c’est le cas lorsque des préjugés concernant l’un
ou l’autre des individus existent ou lorsque les intérêts semblent totalement opposés.
-La technique des pivots : Elle consiste à obliger l’adversaire à négocier sur des objectifs en fait
secondaires mais formulés de manière exigeante. On cède alors sur ces objectifs secondaires et
en contrepartie on exige des concessions sur l’objectif principal.
-Les techniques de maniement du temps : Elles consistent à jouer en allongeant la durée de la
négociation pour user l’adversaire puis brutalement d’exiger des délais et de fixer des
ultimatums. C’est une sorte de « guerre des nerfs » où les contraintes de temps se superposent
pour déstabiliser l’adversaire.
-La technique « point par point » : Elle consiste à découper la négociation point par point,
thème par thème.
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-La technique des jalons : Consiste à faire admettre des points apparemment sans rapport avec
le thème principal de la négociation pour finalement raccorder tous ces « petits jalons» et mettre
l’adversaire devant le fait accompli.
-La technique des bilans : Consiste à faire établir par l’adversaire la liste des prétentions qu’il
souhaite obtenir en les traduisant immédiatement en termes d’avantages pour lui et
d’inconvénients pour soi. Puis, dans un deuxième temps, on présente des solutions pour
équilibrer ce bilan tout en respectant les intérêts des deux interlocuteurs. les solutions présentées
alors sont les véritables objectifs que l’on poursuivait
-La technique des quatre marches : Il s’agit d’un jeu de repli dans lequel il évoque les solutions
de manière progressive. Il s’agit de présenter d’emblée quatre solutions . La première solution
est au-delà de son propre seuil de rupture, elle est beaucoup trop avantageuse pour l’autre et
dramatique pour soi. La seconde solution est peu avantageuse mais acceptable pour soi et
excellente pour l’autre. La troisième est l’inverse de la seconde, la quatrième est l’inverse de la
première : idéale pour soi et inacceptable pour l’autre. Enfin, il ne reste que les deux dernières
solutions, la troisième apparaissant finalement comme le compromis.
En milieu organisationnel, les gestionnaires et les chefs d’équipe doivent se préparer à prendre
part à au moins quatre types de négociations :
Il faut admettre que le processus de négociation est très complexe, il est caractérisé par les
nombreux risques de confusion liés à l’imprévisibilité de la dynamique des individus et des
groupes. Par conséquent, toute personne engagée dans une négociation doit au moins tâcher d’en
éviter les écueils les plus courants.
Les gens qui participent à une négociation ont tendance à établir leurs positions en partant de
l’hypothèse erronée qu’un gain ne peut s’obtenir qu’en retirant quelque chose à l’autre partie.
Comme les parties entament souvent la négociation avec des exigences extrêmes, il y a un risque
de surenchère irrationnelle. Une fois leurs demandes exprimées, les protagonistes peuvent, en
effet, se sentir liés par elles et hésiter à reculer. L’orgueil et la crainte de perdre la face peuvent
les pousser à refuser de céder du terrain, ce qui risque de compromettre tout espoir de règlement.
Il est donc vital de lutter contre cette tendance.
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Les négociateurs font souvent preuve d’une assurance excessive à l’égard de leur position,
jugeant que c’est la meilleure, sinon la seule possible. Ce manque d’ouverture peut les empêcher
de comprendre les besoins et les intérêts de l’autre partie. Certains négociateurs sont incapables
de voir le bien fondé des arguments de l’autre partie, bien-fondé qui n’échapperait pas à un
observateur impartial. Avec une telle attitude, il devient très difficile de parvenir à une entente
positive et raisonnée.
Aussi, les problèmes de communication peuvent aussi compliquer la négociation, et même la
faire échouer. La négociation doit être un « processus de communication réciproque en vue de
prendre une décision commune ». Ce processus risque d’être freiné par un problème de discours
les parties ne se parlent pas vraiment, n’essaient pas vraiment de bien se faire comprendre ou par
un problème d’écoute, les parties font la sourde oreille ou sont incapables de comprendre ce que
leur dit l’autre partie. Il est certain qu’une négociation raisonnée a plus de chances de réussir si
les protagonistes pratiquent l’écoute active et posent des questions qui clarifient les positions. De
temps à autre, chaque partie doit se mettre à la place de l’autre pour essayer de comprendre la
situation selon son point de vue.
b. La médiation :
Définition :
La deuxième technique de résolution des conflits qu’on a choisi de traiter est : la médiation.
La médiation est le moyen le plus recommandé dans la gestion des conflits au sein d’une
entreprise. La médiation est tout un processus bien structuré coopératif de résolutions amiables
des conflits à l’aide d’une tierce personne qu’on nomme médiateur. Le médiateur est neutre et
sans pouvoir, qui intervient de façon impartiale, libre et sans jugement.
L’intérêt de la médiation :
Souvent dans une discussion conflictuelle, l’un parle et l’autre lui répond, mais une fois dans le
conflit on s’oppose et chacun cherche surtout à faire passer son argument, à avoir raison. Ce type
de discussion mène souvent à un blocage, un silence ou une rupture.
La médiation est une méthode différente, pourqui ?
Parce que tout simplement on parle à un tiers, extérieur, de bonne volonté… et non à son
«ennemie». Le médiateur écoute chacun et le comprends puis joue le rôle d’un traducteur : il
passe de l’un à l’autre et vérifie que chacun ait entendu et compris ce qui s’est passé à l’autre au
lieu de seulement raconter son propre « drame ».
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vous avez fait » alors que dans une médiation, le médiateur demande l’accord de l’un et de
l’autre ou de plusieurs d’autre qu’il ait respect de la personne. On peut tout dire mais sans utiliser
de termes négatifs, blessants, dévalorisants. Le médiateur peut à tout moment interrompre la
médiation si l’une de ces règles n’est pas respectée.
Si les conflits sont assez durs à résoudre c’est parce qu’il y a plein de choses qui se mélangent :
les événements du passé, les craintes pour l’avenir, les éléments factuels mais aussi beaucoup de
ressentis et d’imaginaire.
La roue de Fiutak :
Afin de démêler tout cela, un universitaire et médiateur Américain a construit la Roue de Fiutak.
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Par exemple : Deux personnes sont conflits : le premier a perdu un clients à cause d’un rapport
écrit par cette deuxième personne. L’autre assume que c’est à cause du premier que le rapport
est mal écrit.
Le médiateur va pouvoir dire : qu’est ce qui s’est passé avec votre client suite à ce rapport dans
lequel il a perdu confiance et vous a quitter ?
L’autre dira : «Moi, j’étais très fatigué ce jour-là. J’ai dû rester jusqu’à 21 heures la veille et
après j’ai dû m’occuper de mes enfants en rentrant, donc effectivement ça m’a échappé mais ce
n’est pas de ma faute. »
On va entrer dans les détails qu’on ne dit pas dans la discussion ( parque c’est évident) qui vont
être révélateur de chose qui n’avait pas été dit avant dans la négociation conflictuelle.
Le médiateur il est là pour questionner, pour aller au fond de ce qui s’est passé avec ce monsieur.
Qu’est ce qui a fait qu’il est venu à 21h. Et pourquoi il a dû s’occuper de ces enfants ?
Progressivement, chacun va entrer dans le monde de l’autre.
PHASE 3 :
Ensuite vient la phase de « LIBERATION ». La phase de la reconnaissance réciproque. Cette
phase est un échange sur les besoins et les émotions des deux parties. C’est-à-dire que ce ne soit
pas juste le médiateur qui dise « je comprends vos bonnes raisons » ou « je comprends ce qui
s’est passé avec vous et vos émotions », c’est que chacun puisse dire à l’autre « je ne suis pas
d’accord avec vous mais je vous comprends ». Une fois le médiateur franchit cette étape de
compréhension réciproque entre parties en leur posant des question, il passe à la phase quatre.
PHASE 4 :
Lors de la phase « ET SI ? », chaque partie formule des propositions qui semblent convenir pour
résoudre le conflit. Toutes les solutions sont notées par le médiateur, même celles qui paraissent
irréalisables. Elle pourrait être qu’on va embaucher quelqu’un, que l’on va avoir une garde pour
les enfants, qu’on va faire une nouvelle offre au client ou que la personne qui a commis les
erreurs dans le rapport, écrive elle-même une lettre d’excuse. Et puis le tri viendra dans un
deuxième temps. Le médiateur a pour rôle de stimuler la créativité des partis et non de censurer
les idées.
PHASE 5 :
La phase « COMMENT ? » a pour objectif de parvenir à un accord commun sur une solution.
Cet accord est ensuite décliné en plan d’action.
Ces phases peuvent avoir des durées très différentes. Généralement plus de 70% du temps est
consacré aux événements passés.
Régler des conflits est et restera toujours compliqué mais la roue de Fiutak est un outil puissant,
une sorte de carte qui permet au médiateur de se structurer pour se repérer et régler les conflits
de façon plus efficace.
Les conflits sont des sources de dysfonctionnement des Organisations et ils sont coûteux. Pour
cela, l'entreprise doit faire un effort colossal pour mieux les gérer . et donc À côté des méthodes
et techniques citées auparavant il ya aussi d’autres conseils pour objectif d’apaiser les tensions
au plus vite mais aussi pour tenter de limiter le conflit en entreprise.
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· Communiquez avec vos équipes
Les leaders, les managers, les responsables des équipes doivent communiquer avec leurs
équipes afin de désamorcer un conflit qui passe naturellement par la communication. Il est
essentiel pour les managers de communiquer en permanence, de laisser leurs équipes s'exprimer
plutôt que d'attendre le point de non retour. Le conflit en entreprise doit pouvoir anticiper au
maximum pour éviter un coût psychologique et financier. Il faut informer et communiquer le
changement aux collaborateurs, par exemple une entreprise qui décide d’établir un système
d’évaluation du personnel sans les faire partie de cette décision tout cela peut nous conduire à
un conflit que une note de formation distribué aux collaborateurs peut le limiter
· Améliorez la cohésion
Le conflit en entreprise résulte souvent d'un manque de cohésion. Souder les équipes, les
motiver, voilà la tendance actuelle. Et les solutions ne manquent pas. Organiser des repas entre
collègues, découvrez les bienfaits du team building qui offre la possibilité, dans un cadre
différent, de partager un moment de détente tout en veillant à rapprocher les personnes.
Ciments Calcia une entreprise qui organise chaque année un séjours à ses collaborateurs et ses
partenaire comme cela elle améliore l’intimité et la cohésion entre eux
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Les conflits ont un coût réel pour l'entreprise. Lorsque les tensions augmentent, les salariés n'ont
pas envie de se rendre au travail. Absence pour maladie, travail bâclé, voilà ce que ces conflits
peuvent engendrer. Le rôle du manager est d'intervenir de suite pour régler les problèmes au sein
de l'entreprise.
Et après on a une méthode ou un outils qui va vraiment nous aidions à gérer les conflits c
de le prévenir on avant
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En définissant ces règles, on évite les incertitudes, les questionnements et donc les doutes qui
peuvent être à la base des tensions qui vont se transformer en conflits.chacun va savoir ses droits
ses devoirs et ses limite aussi
CONCLUSION :
Le conflit peut se présenter dans toute organisation qui oppose minimalement deux parties
(individus ou groupes). Sa présence n’est pas un problème en soi, mais son ignorance totale, oui.
Le déséquilibre provoqué par le conflit est source de changement éventuel s’il est géré
adéquatement. Après chaque crise revient habituellement un nouvel équilibre.
Le conflit peut être traité différemment selon ses causes et son type. Il n’y a pas qu’une seule
façon de l’aborder. La communication facilitante demeure une compétence interpersonnelle
essentielle pour un gestionnaire dans la gestion des conflits au travail.
« Dans tout conflit, aucune solution n’est possible si chacun des adversaires est incapable de
prendre sérieusement en considération le point de vue de l’autre. » Bruno Bettelheim (1903-
1990)
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