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Histoire des Grecs Melkites

D'abord, avant de présenter une petit aperçu historique sur l’Eglise melkite, c'est
bien de clarifier son identité et sa mission. Ce petit groupe orthodoxe de tendance
csaholique avait toujours une intention de chercher une solution au déchirement
existant entre l’Eglise d’antioche et l’Eglise de rome sans avoir l’intention de créer
un schisme au sein d’antioche, pour la simple raison que l'Église d’antioche a
gardé depuis longtemps de bonne relation avec tous les patriarcats. Donc, je
peux dire que l'identité de lEglise melkite trouve ses sources dans l'identité meme
de l’Eglise d’antioche. Mais apres a cause de la situation politique des pays sous
l'empire ottoman et la pauvreté et les missions on a fini par precher la foi
catholique aux orthodoxes.

Le patriarcat d'Alexandrie, fondé par Nicaea, fut divisé en deux branches en


raison de la propagation de la monophysis : l'un orthodoxe ou melkite, l'autre
copte. À la fin du XVIIIe siècle, chaque branche se divisa en deux branches : un
patriarcat orthodoxe byzantin avec des fidèles grecs immigrés, une minorité
d'Arabophones, un patriarchat orthodoxe grec-melkite, un patriarchat orthodoxe
copte et un patriarchat catholique copte.
Envoyé en Orient par le pape Grégoire XIII, l'évêque titulaire (latin) de Sidon,
Leonardo Abel, maltais, entre 1583 et 1587 gagna à la foi catholique le vieux
patriarche émérite d'Antioche, Michel VII, démissionnaire en 1582 et retiré à Alep.
Il est très probable qu'à cette mission de l'évêque maltais remonte la constitution
à Alep d'un petit noyau catholique, qui grandit peu à peu en nombre lorsque les
jésuites et les capucins (1625), puis les carmes (1626) ouvrirent des résidences à
Alep. En 1634, le patriarche Euthyme II (Karmé) envoya sa profession de foi
catholique à Rome, mais mourut avant de recevoir la confirmation papale. En
1653, on comptait quelque 7.000 catholiques à Damas. Ceux qui étaient en
communion avec Rome étaient devenus assez nombreux pour que la
Congrégation pour la Propagation de la Foi (de Propaganda Fide) nomme
ouvertement, en 1684, le métropolite de Tyr et de Saïda, Euthyme Saïfi comme
administrateur apostolique des catholiques melkites éparpillés dans tout le
Patriarcat d'Antioche.
En 1724 , les grecs du parti catholique choisissaient cyrille lll tanas comme
patriarche. L'union avec Rome put se propager facilement au Liban et resta
toujours solide à Alep et à Damas, malgré les persécutions parfois violentes ; dans
le reste de la Syrie, l'opposition de la hiérarchie orthodoxe paralysa les efforts,
tandis que les successeurs de Cyrille VI furent tous des melkites autochtones,
ceux du Grec Sylvestre furent tous Grecs jusqu'en 1899, année au cours de
laquelle le parti autochtone, appuyé par la Russie, parvint à exclure les Grecs.
Dans les Patriarcats d'Alexandrie et de Jérusalem, les catholiques melkites,
dispersés et en petit nombre, étaient confiés aux franciscains de la Custodie de
Terre Sainte.
Maximos III (Mazloum), élu en 1833, a préparé l'émancipation civile qu'il obtint de
la Sublime Porte pour son Église en 1848. En 1838, il avait obtenu du pape
Grégoire XVI le privilège personnel de porter, outre celui de patriarche d'Antioche,
les titres de patriarche d'Alexandrie et de Jérusalem. En 1894, le pape Léon XIII
étendit la juridiction du patriarche grec-melkite catholique, au-delà des limites des
trois Patriarcats, à ses fidèles habitant dans tout le reste de l'Empire ottoman.

l’Eglise indienne —----------------------------------------------

Eglise arabophone

Nahda renaissance arabe contestée


par l’ islamophobe….
Cette nahda a des prédécesseurs :
trois protagoniste jeramin farhat et
nichla sayegh qui formaiient un eglise
arabe catho.
Florence a posé cette question d’union
entre cath et orthodoxe , les chaldéens
étaient avant le mouvement des
chrétiens arabes.

1740 armenien
1782 : syriaques unies à Rome.
Ebn aabdlllah al mou5alla3 a travaillé
dans la littérature chrétienne arabe
Jeramanos farhat 1732 a travaillé de la
philologie arabe.
Souleiman al nahawi : grammarien
maronite
1680 des alepins étudiaient l’arabe
sous la direction de souleiman

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