Le techno féodalisme est un concept qui fait référence à la tendance des grandes

entreprises numériques à établir des monopoles et des cartels sur les données et les
consommateurs, en s'appuyant sur des technologies de surveillance et de contrôle.
Les critiques du techno féodalisme dénoncent les effets néfastes de cette domination
sur l’innovation, la démocratie, le travail et la société.
Les GAFAM (Google, Amazon, Facebook, Apple et Microsoft) sont les acteurs
majeurs du techno-féodalisme car ils possèdent les plateformes qui captent la
majorité du trafic et des revenus numériques. Ils exploitent les données personnelles
des utilisateurs pour leur fournir des services personnalisés tout en les influençant et
en les fidélisant. Ils bénéficient d’une position dominante qui leur permet de
déterminer les règles du marché et de supprimer la concurrence
Les NATU (Netflix, Airbnb, Tesla et Uber) sont des entreprises innovantes qui ont
connu un succès remarquable dans le domaine numérique, provoquant des
perturbations importantes dans les secteurs conventionnels tels que le
divertissement, l'hôtellerie, l'automobile et les transports. Contrairement aux
GAFAM, ils se distinguent par leur modèle économique davantage axé sur la
génération de valeur ajoutée que sur la seule collecte de données. Cependant, leur
activité dans des secteurs hautement réglementés et à forte intensité de capital les
rend plus vulnérables au contrôle réglementaire et à la concurrence. Il est possible
qu'ils envisagent de s'associer ou d'être rachetés par les GAFAM afin de renforcer
leur position sur le marché.

La notion de techno féodalisme fait référence à la tendance des grandes sociétés

numériques à former des monopoles et des cartels en relation avec les données et les
consommateurs, en utilisant des technologies de surveillance et de contrôle. Les
détracteurs du technoféodalisme condamnent les effets néfastes de cette domination
sur l’innovation, la démocratie, le travail et la société. Les forces dominantes dans le
domaine du techno-féodalisme sont les GAFAM, qui comprennent Google, Amazon,
Facebook, Apple et Microsoft. Ces puissances possèdent les plateformes mêmes qui
attirent la part du lion du trafic numérique et génèrent des revenus substantiels. En
exploitant les informations personnelles des utilisateurs, ils proposent des services
personnalisés, exerçant simultanément une influence et favorisant la fidélité. Leur
position dominante leur confère le pouvoir de dicter les réglementations du marché
et d’étouffer toute concurrence potentielle.
« Il nous faut créer de nouveaux emplois en investissant dans notre indépendance
technologique, numérique, industrielle et agricole par la recherche, la
consolidation. Cette reconstruction doit aussi être sociale et solidaire. » Emanuel
Macron

Cette citation met en avant l’idée de la création de nouveaux emplois pour

renforcer la stabilité politique, économique et sociale. C’est-à-dire, que la France
devrait investir dans le développement du numérique tout en tenant compte du
bien-être de la société.

Au niveau macroéconomique, l'emploi représente l’ensemble du travail fourni au

sein d’une économie nationale, par l’ensemble de la population active qui n’est pas
au chômage.

Dans son sens le plus courant, l'emploi définit l'exercice d'une profession dans le
cadre d'une activité rémunérée par un salaire, un traitement (dans la fonction
publique) ou des honoraires (pour les professions libérales).Le numérique
redessine les manières habituelles de travailler du fait de sa constitution .

L’économie du numérique est constituée des technologies de l’information et de la

communication (TIC) ou (NTIC), nouvelle économie, l’économie digitale, l’économie
électrique et les nouvelles technologiques. Avec l’évolution de la technologique et
du numérique, l’économie du numérique réuni toutes les activités économiques et
sociales à travers des plateformes comme les réseaux internet, les mobiles mais
également le commerce en ligne. Elle contribue sur la croissance des pays via
l’accumulation de capital numérique et aussi le partage ou la diffusion du capital
numérique dans le système productif.

Cependant, certaines thèses comme celui du techno-féodalisme et le paradoxe

viennent s’opposer à cette pensée. La notion de techno féodalisme fait référence à
la tendance des grandes sociétés numériques à former des monopoles et des
cartels en relation avec les données et les consommateurs, en utilisant des
technologies de surveillance et de contrôle. Les détracteurs du technoféodalisme
condamnent les effets néfastes de cette domination sur l’innovation, la démocratie,
le travail et la société. Les forces dominantes dans le domaine du techno-
féodalisme sont les GAFAM, qui comprennent Google, Amazon, Facebook, Apple et
Microsoft. Ces puissances possèdent les plateformes mêmes qui attirent la part du
lion du trafic numérique et génèrent des revenus substantiels. En exploitant les
informations personnelles des utilisateurs, ils proposent des services
personnalisés, exerçant simultanément une influence et favorisant la fidélité. Leur
position dominante leur confère le pouvoir de dicter les réglementations du
marché et d’étouffer toute concurrence potentielle.

Dans quelles mesures ces transformations numériques affectent elles les emplois
et les structures sociales ?

I) L’impact de l’évolution numérique sur la croissance économique

A) L’impact théorique de l’économie numérique sur la croissance :

Selon une étude menée par Coe-Rexecode3, l’économie numérique devrait avoir un
impact deux fois plus important sur la croissance économique. Cet impact est
double : d’une part, par la contribution directe du capital numérique comme
facteur de production, et d’autre part, par la contribution indirecte résultant de
l’effet positif de l’augmentation du capital numérique sur les gains de productivité
globaux de l’économie. L'impact de l'économie numérique sur l'économie globale
peut être constaté à travers son influence directe sur les investissements des
entreprises dans les actifs corporels et incorporels. Cela comprend des
investissements dans des équipements, des matériaux et des logiciels numériques
essentiels à la production. En conséquence, il y a un effet significatif sur la
croissance économique, dans la mesure où l’augmentation du capital productif
entraîne une augmentation de la formation brute de capital fixe (FBCF) et contribue
finalement à la croissance du PIB. Cette relation directe entre l’économie
numérique et l’expansion économique dépend principalement du volume des
investissements réalisés.

Une conséquence supplémentaire est liée à l’augmentation de l’efficacité des

employés. Une formation efficace des membres du personnel à l’utilisation de la
technologie numérique dans le domaine des affaires améliore leur productivité,
principalement grâce à la capacité d’automatiser les tâches. Cette automatisation
se traduit par un gain de temps, une amélioration des processus, une collaboration
accrue et une optimisation organisationnelle. Grâce à cette restructuration, la
productivité du travail est améliorée, ce qui constitue un facteur crucial pour
stimuler la croissance économique. L’utilisation des technologies numériques joue
un rôle important dans l’amélioration de la productivité totale des facteurs (PTF),
apportant ainsi une contribution indirecte. Cependant, la quantification de la PTF
est difficile car elle ne peut être mesurée uniquement par l’augmentation de
l’utilisation des facteurs de production comme le capital et le travail. La PTF
représente l’influence des progrès technologiques sur la croissance économique.

L’utilisation des technologies numériques joue un rôle important dans

l’amélioration de la productivité totale des facteurs (PTF). Cependant, la
quantification de la PTF est difficile car elle ne peut être mesurée uniquement par
l’augmentation de l’utilisation de facteurs de production comme le capital et le
travail. La PTF représente l’influence des progrès technologiques sur la croissance.
L’amélioration de la PTF peut être attribuée à la fois aux secteurs impliqués dans la
production de matériaux numériques et à ceux utilisant les innovations
numériques. Les secteurs producteurs ont connu des gains de productivité
substantiels, entraînant une baisse des prix des biens et services numériques. Cela
affecte à son tour la dynamique des prix et, en fin de compte, l’inflation. À mesure
que les prix baissent, les secteurs utilisateurs sont incités à investir dans des
produits numériques pour améliorer leur propre productivité.

La productivité globale d’une économie est également influencée par l’intégration

généralisée des progrès numériques. L’impact de l’innovation numérique s’étend
au-delà des secteurs individuels, car elle génère des externalités de « réseau ». Plus
les innovations numériques sont largement adoptées et mises en œuvre, plus les
avantages deviennent importants, notamment l’effet d’apprentissage et les
économies d’échelle. Par conséquent, la diffusion de ces innovations permet à tous
les secteurs de l’économie de connaître une croissance à la fois en termes
d’innovation et de productivité.

B) Les impacts de l’économie numérique observés en France :

En France, l’économie numérique occupe une place importante sur la croissance

économique. En 2013 la valeur ajoutée du numérique ramenée au PIB français
s’élevait à 5.5% soit 113milliard d’euros. Il emploie 3.3% de la population active en
France et crée de manière quasi-équivalente des emploies indirects. Pour les
entreprises, les transactions B2B (c’est-à-dire le commerce inter) entreprise dû à
l’utilisation accrue des canaux numériques) deviennent de plus en plus
importantes. De même, pour les consommateurs, l’usage généralisé d’internet
affecte fortement la communication entre individus (ventes et achats en ligne). En
termes de transaction B2B, le volume des transactions B2B en France est d’environ
400 milliards d’euros, avec plus de 50% des transactions entre particuliers
s’effectuant via internet.

De plus les consommateurs peuvent enregistrer une augmentation de leur pouvoir

d’achat en raison des avantages économiques directes et la baisse des prix des
commerces en ligne et de la déflation qu’il influe sur le commerce traditionnel. De
plus, le développement des échanges de biens et de services entre particuliers
(commerce C2C7) peut conduire à des économies.

En France, on estime que chaque internaute réalise un gain de 20£ par mois. Ces
gains englobent non seulement des avantages directs, mais également des
avantages indirects découlant de l’accès à des services un ligne gratuits, tels que les
réseaux sociaux, les courriels et les informations, ainsi que la possibilité d’explorer
une large gamme de produits et de gagner du temps. Au total, ces gains s’élèvent à
environ 15 milliards d’euros par an en retombées financières pour le pays.

Les avantages non quantifiés dont bénéficient les consommateurs grâce à

l’utilisation de la technologie numérique comprennent la recherche d’emploi en
ligne, l’accès à l’éducation et l’exposition au ressources culturelles. Une partie de
l’augmentation du pouvoir d’achat résultant de ces gains est réinvestie dans
l’économie, générant environ 7,7 milliards d’euros de revenus qui profitent
directement aux entreprises françaises.

II) Les RÔLES DES GAFAM et les NATU SUR L’EMPLOIE ET LA SOCIETE

A) LE RÔLE DES GAFAM SUR L’EMPLOIE

Les GAFAM occupent une place importante dans n’importe quel domaine
aujourd’hui que ça soit dans l’éducation, le travail le loisir la vie quotidienne. C’est
grâce à l’arrivée de nouvelle technologie que les industries aujourd’hui parviennent
à multiplier leur chiffre d’affaires par rapport à celles d’hier. Le commerce en ligne
qui est de plus en plus développer dans le Monde aujourd’hui notamment par les
GAFAM. Ces plateformes numériques contribuent beaucoup dans le quotidien par
exemple sur YouTube, on peut sans pourtant avoir besoin d’un professeur
effectuer des recherches dans n’importe quel domaine. Notamment par ces
différentes applications, les entreprises travaillent plus intelligemment et
productives pour offrir des meilleurs services de qualité à leurs clients. Facebook
est le moyen le plus simple de rencontre avec ses amis, les collègues la famille.
Quant à la livraison des colis, des article amazone est le leader dans le secteur de
logistique et transport partout dans le monde. La distanciation sociale est amplifiée
via l’utilisation de ces réseaux sociaux. Google est le moteur de recherche le plus
utilise au monde qui propose également des nombreux services en ligne comme
Gmail, YouTube et des systèmes d’exploitation comme Maps, Agenda. D’une
manière générale le GAFAM dans n’importe quel domaine créent de l’emploi que ça
soit directement ou indirectement. En France amazon seul plus 1,54 million
d’employés en 2022.Les conséquences environnementales lié par utilisation de ces
réseau sociaux tels que les harcèlements, les arnaques et les mensonges sont des
effets très concret du numérique. Facebook est le moyen le plus simple de
rencontre avec ses amis, les collègues la famille. Les réseaux sociaux comme
Facebook, Instagram, WhatsApp se sont des canaux aujourd’hui qu’on utilise pour
gagner de l’argent par exemple la publicité, des ventes en ligne etc. Ces différentes
plateformes sont les meilleurs moyens aujourd’hui de communiquer de se faire
entendre par plusieurs millions des personnes en quelque seconde.

L’économie du numérique propulse davantage dans tous les secteurs notamment

dans l’agriculture, dans l’industrie, le commerce.

Ces technologies numériques nous permettent à l’automatisation des taches et

d’être plus efficace vis-à-vis des clients.

Aujourd’hui les services bancaires sont plus en plus développés grâce aux Gafam ;
par exemple le service de paiement la cryptomonnaie et d’autre service des
paiements en ligne.

Ils développent d’autres service notamment dans les domaines du transport

comme les voitures autonomes, dans le domaine de la santé par exemple Doctolib
etc...

La formation est nécessaire pour manipuler ces outils et augmente aussi la

productivité de l’entreprise. Par exemple une entreprise qui ambition de conquérir
un monopole sur le marché peut l’utiliser le marketing scientifique mais différent
du marketing commercial.

L’économie du numérique l’évolue plus rapidement mais présente à la fois comme

une opportunité et défi pour les individus, le gouvernement et les entreprises.

B) LE ROLE DES NATU SUR L’emploi et la société

Les NATU, crée en 2010.depuis leur création ils ont connu des développements
rapides avec de forts taux de croissance. Ils évoluent dans des secteurs différents
que ceux des GAFAM, leur stratégie est de rompre les modèles économiques déjà
en place afin de faire à la concurrence, diminuer la concurrence, et aussi d’avoir
une rentabilité dans une expectative d’investissements.

Après les GAFA (Google, Apple, Facebook, Amazon), maintenant, nous comptons
sur les NATU (Netflix, Airbnb, Tesla, Uber). Qui sont des entreprises américaines
remarquable par leur acronyme. Souvent dénigré, ces acteurs modernes
révolutionnent le monde de l’économie sur des secteurs dissemblables. Uber,
facilite l’accès aux chauffeur privés sans avoir besoin de prendre le taxi ; Airbnb,
innove la location de logement privé et personnel pour une petite durée sans avoir
besoin d’être dans un hôtel ; Netflix, en révolutionnant le monde des vidéos sans
passer par les programmes télés ou cinéma ; Tesla, en innovant la vente des
automobiles électriques en ligne sans passer par la concession. Leur business
modèles sont complétement opposés des modèles traditionnels. Les NATU ont un
point commun qui est l’exploitation de la digitalisation de l’économie dans le but de
créer de nouveau modèle économique basés sur des innovations de rupture ; telles
que la division du marché et la suggestion d’une expertise de client intensifié et
avec des bénéfices importants.

Les conséquences environnementales lié par utilisation de ces réseau sociaux tels
que les harcèlements, les arnaques et les mensonges sont des effets très concret
du numérique. Facebook est le moyen le plus simple de rencontre avec ses amis,
les collègues la famille. Les réseaux sociaux comme Facebook, Instagram,
WhatsApp se sont des canaux aujourd’hui qu’on utilise pour gagner de l’argent par
exemple la publicité, des ventes en ligne etc. Ces différentes plateformes sont les
meilleurs moyens aujourd’hui de communiquer de se faire entendre par plusieurs
millions des personnes en quelque seconde.

Industrie 4.0

L’expansion de l’économie numérique et son impact sur l’économie conduiront à

une nouvelle révolution industrielle. Ce qui est important pour l’entreprise a été de
développer de nouvelles méthodes et des idées innovantes pour améliorer les
opérations commerciales, ce qui constitue le processus de production
4.0. L'Industrie 4.0 est l'un des principaux projets de l'initiative de haute technologie
lancée par le gouvernement allemand en 2011 pour promouvoir la transformation
numérique de la production. S'inspirant de ce projet, la France a proposé 34 plans
pour redynamiser l'industrie manufacturière en 2014, dont le plan « Usine du futur
» visant à aider les petites entreprises et les consommateurs à améliorer leur outil
de production. La quatrième révolution industrielle vise à accroître la productivité,
la flexibilité et l’efficacité des infrastructures grâce aux réseaux intelligents
numériques. Cela créera des entreprises, des systèmes et des matériaux
intelligents. Cela conduit à un modèle Industrie 4.0 plus avancé. Cette industrie fait
référence à la transformation complète des processus de production traditionnels,
et l'ensemble du processus de production comprend la technologie électronique et
les processus de production. Le nouveau processus de planification comprend
également la communication entre toutes les parties prenantes à cette étape du
processus. Le nouveau processus de conception est au début de l’usine intelligente.
Il existe parce que l’IoT et les systèmes de production cyber-physiques permettent
aux réseaux virtuels de contrôler des objets physiques. Les entreprises intelligentes
ou « fermes intelligentes » sont appelées ainsi parce qu'elles sont gérées par des
réseaux virtuels. Ils permettent la génération automatique de rapports à distance.
L’entreprise manufacturière du futur peut intégrer un réseau de partenaires et de
clients dans son processus de production. Cela leur permet de personnaliser leurs
produits tout en maintenant des normes de performance élevées. De plus, ces
entreprises peuvent fabriquer d’excellents produits avec peu d’effort. Les logiciels
de simulation intégrés peuvent être utilisés pour créer des lignes de production
modernes très efficaces et des systèmes de formation « virtuels » autour de celles-
ci. Cela permet aux employés d'être formés à l'utilisation du logiciel pour effectuer
de nouvelles tâches. Cela peut être fait avec une vision naturelle, sans avoir besoin
de lunettes. Les systèmes industriels utilisent des réseaux de communication et
d'échange permanents et en temps réel pour coordonner la demande et la
disponibilité des ressources pendant le processus de production. Cela permet aux
entreprises d’améliorer leur productivité en utilisant les ressources plus
efficacement, résolvant ainsi les problèmes d’efficacité énergétique et de
conservation des ressources. Le concept de l'Industrie 4.0 implique de connecter
les données, les programmes et les personnes via des technologies numériques
parfaitement intégrées pour améliorer les processus de gestion et de production
tout au long de la chaîne de valeur de l'entreprise.

III) CRITIQUE DU TECHNO-FEODALISME ET LE PARADOXE DE SOLOW

A) CRITIQUE DU TECHNO-FEODALISME :

En se référant à la thèse du Techno féodalisme qui apporte une critique l’économie

du numérique .Selon Frédéric Durant( l’auteur du livre :Techno féodalisme : critique
sur l’économie du numérique ) il se peut qu’on soit en train d’assister à une
nouvelle forme de féodalisme à l’ère numérique .En effet du fait que les entreprises
qui ont une technologie de haute niveau accumulent de fortes profits ,on assiste à
des inégalités qui ont comme conséquences la disparition des petites entreprises
qui ne seront pas en mesure de faire face à cette situation. De plus avec cette
dépendance qu’ont maintenant la plupart des personnes et entreprises des
services de la technologie peut causer un basculement économique en cas de
perturbations de la technologie. Avec le numérique, les grandes entreprises
technologies comme Google, Facebook, Wikipédia … disposent des moyens de
contrôler les données et la vie privées de chaque personne. Cette pouvoir de
contrôle entraînera des conséquences sur la démocratie car les citoyens auront du
mal à influencer les décisions qui les concernent.

Le numérique est la cause principale de la cybercriminalité car il est possible

maintenant de voler des identités ou de pirater les données personnelles ce qui a
une conséquence majeure. Et le problème est qu’il n’existe pas vraiment une forte
réglementation qui peut réguler les pouvoirs de ces grandes entreprises
technologiques donc ils ont le contrôle sur presque tout ; D’où le sens de la thèse
du techno féodalisme

B) LE PARADOXE DE SOLOW :

Le paradoxe de Solow explique que les inventions Technologiques majeurs, comme

l’électricité ou l’internet peuvent ne pas provoquer d’augmentation de la
productivité dans un pays. En effet Solow met en place une remarque dû aux faites
qu’il y’a une forte présence technologie sur le marché mais qu’on ne voit toujours
pas une augmentation de la productivité dans le pays.

En analysant la critique du techno féodalisme et le paradoxe de Solow nous

pouvons dire qu’effectivement le numérique ne présente pas que des effets positifs
mais également nous ne pouvons pas nier les bienfaits que cette avancement
technologique a porter à la société, à la production …En comparant notre société
d’avant à celle d’aujourd’hui nous pouvons dire qu’il y’a une grande avancement du
fait technologique .Par exemple au par avant le moyen de communication n’étai
pas aussi facile qu’aujourd’hui .

Solow souligne cette constat du fait que le progrès technique ne fait pas trop
augmenter la productivité est du fait que les entreprises veulent intégrer des
nouveaux machines technologiques sans pour autant former leurs personnels à
pouvoir s’adapter et maîtriser l’utilisation de ses machines .ce qui ralenti le système
de production .Pour que ces machines technologiques puissent bénéficier aux
entreprises ,il faudrait au préalable la mise en place de formation fourni par des
experts de manipulation de ses machines pour mieux les maîtriser .

En se référent au livre de Erik Brynjolfsson & Adam Saunders intitulé « Wired for
innovation ( conçu pour l’innovation ) » dont Cécile Chamaret en a fait un résumé
de son article qu’elle a intitulé « En finir avec le paradoxe de Solow ».Selon cette
article le paradoxe de Solow se penchait sur un constat d’une forte présence de
machines technologique pendant une période mais qu’il n’Ya toujours pas une
augmentation de la productivité .Cependant ce paradoxe est résolu depuis 1995
aux Etats Unis car on constate une forte croissance au niveau de la productivités dû
à l’avancé de la technologie et Robert Solow a admis lui-même que cette assertion
n’est plus vrai .La mesure du PIB étant imparfaite ne prend pas en compte la
mesure du temps passer sur internet .L’importance ici serait de savoir comment
valoriser le temps passer sur internet c’est-à-dire les activités de la technologie de
l’information pour pouvoir l’intégrer dans le calcul des richesses créés (PIB).Le livre
montre également l’application de sept pratiques qui pourraient s’accompagner à
une forte augmentation de la productivité sils sont bien appliqués (« passer du
papier au numérique ;ouvrir l’accès à l’information ;donner du pouvoir aux
employés afin que ceux qui prennent des décisions soient ceux qui détiennent les
informations ;utiliser des incitations liées à la performance ;investir dans la cuture
d’entreprise ;recruter des bonnes personnes ; investir dans le capital ).Si ces sept
conditions sont bien appliqués il pourrait y avoir forcément un résultat satisfaisant .

De toute les façon revenir en arrière c’est-à-dire nous remettre à vivre dans un
monde où il n’ y a plus de technologique nous sera difficile voire impossible de
nous y adaptés car nous avons pris l’habitude d’une accès à l’information très facile
dû à l’abondance des téléphones portables , des ordinateurs , des smartphones …
où les services d’internet facilite maintenant la créations d’emplois du fait qu’il y’a
maintenant la possibilité de faire des ventes en ligne pour les commerçants , la
dispense des cours en ligne que ça soit sur l’éducation ou sur d’autres aspects . ..

La solution pourrait être donc de limiter le temps que passe les jeunes mineurs sur
certains sites comme TIKTOK, Instagramme, Snap… pour qu’ils se concentrer sur
leur éducation au lieu de passer tout une journée à surfer sur internet .. .et de leur
créer des sites où ils ne puissent que réviser leurs cours tout en épanouissant .

En résumé, nous pouvons dire que l’économie numérique pourrait être le moteur
principal de la croissance économique dans le futur car elle permet une forte
augmentation de la productivité des entreprises. Cependant avec la critique de la
thèse du techno féodalisme et la remarque de Solow, nous pouvons voir que
l’économie du numérique n’a pas que des effets positifs mais également des effets
négatifs que ça soit sur les emplois et sur la société dû à des difficultés de
régulation du pouvoir des grandes entreprises technologiques. La solution serait de
mettre en place des plateformes concurrentiels pour diminuer le pouvoir des
GAFAM.