Vous êtes sur la page 1sur 32

Sujet bibliographique

Proposé par

Mr. TAOUFIK BOUFARESS


Mr.
MOUHAMED SOUSSI
Préparé par

AMIRA ABBESSI
Plan
Généralités
Introduction

Caractérisation du
Localisation géographique
réservoir
Contexte structurale
Localisation géographique
Modélisation statique
Analyse sédimentologique

Détermination lithologique
Analyse des fractures
Concept d’électrofaciès
Interprétation pétrophysique Concept d’électroséquence
Corrélations diagraphiques
Cartes de synthèses
Dépôts silico-clastiques
Dépôts carbonatés
Étude des réservoirs et
caractérisation des fluides
Les Diagraphies Différées Généralités
Acquisition
Définition Moyens Problèmes Apports Paramètres
Interprétation
Mesure de
 Le treuil la tension

 Tambour
 Câble
 Les circuits de contrôle et de commande
 Appareils de mesure Câble
 Équipements de traitement de l'information

 Les outils Appareil de contrôle et


d’enregistrement
 Simple électrode
 Outils à plusieurs patins…
 Le système d'enregistrement
 Film ou du papier était synchrone du
déroulement du câble Sonde
 Enregistreur digital est utilisé
Les Diagraphies Différées Généralités
Acquisition
Définition Moyens Problèmes Apports Paramètres
Interprétation
Axe du trou
Formation
 Invasion poreuse et
Mud-cake
perméable
 Fluide de forage Argile
Filtrat
 Tubage et ciment (REau
mf) (R )
 Mobilité w

 Géométrie de l’outil
Boue

Boue
Particules
1. Rm : La résistivité de la boue solides de la boue
Grain
remplissant le trou de forage ;
2. Rmc : La résistivité de mud cake ;
3. Rxo : La résistivité de la zone lavée Rt
(envahie par le filtrat de résistivité Rmf)
4. Rt : La résistivité de la zone vierge
(saturation complète des pores par l'eau Rxo
de formation de résistivité Rw)
5. Ri : La résistivité de la zone envahie
Rmc
s'étendant de la paroi du trou jusqu'à la Schéma expliquant la
limite atteinte par le filtrat formation du mud – cake et la
Rm répartition des résistivités
dans les zones envahies par la
boue de forage
Diamètre d’invasion Ri (O. SERRA, 1979)
Les Diagraphies Différées Généralités
Acquisition
Définition Moyens Problèmes Apports Paramètres
Interprétation

Détermination des profondeurs, cordonnées et


épaisseurs apparentes et même réelles des couches

Détermination de la lithologie : Elles sont plus


représentatives des caractéristiques moyennes de la
roche que les carottes et les déblais qui sont mesurées
dans les conditions de température et de pression qui
régnaient à leur profondeur

Détermination de la nature des fluides présents dans


l’espace poreux

Analyse séquentielle et interprétation des milieux de


dépôts

Reconnaissance de l’évolution dans l’espace de ces


systèmes de dépôts

Établissement de lien entre la géophysique de surface et


la géologie
Les Diagraphies Différées Généralités
Acquisition
Définition Moyens Problèmes Apports Paramètres
Interprétation

Gamma ray
Phénomènes naturels
engendrés spontanément
Potentiel spontané
Récepteur
Diamètre du trou
Densité
Neutron (IH)
Résistivité
Paramètres physiques Sonic Émetteur
obtenus par « excitation » Pendagemétrie Récepteur
Les Diagraphies Différées Généralités
Gamma ray Potentiel spontané Résistivité Sonic Acquisition
Définition Moyens Problèmes Apports Paramètres
Densité Neutron Pendagemétrie Diamètre du trou
Interprétation
Radioactivité naturelle:
la transformation spontanée des Particules  ou , Potassium 40
K
éléments, dans laquelle un
élément ou isotope radioactif, ou
Photons gamma  Thorium 232
Th
Éléments
radioélément, donne naissance à Génération de chaleur Uranium 238
U radioactifs

d’autres corps radioactifs ou non :


« substances filles »
 Les argiles
V  sables, grès ou conglomérats riches en
GR = A
b
GR – GR
V sh   VshGR =
feldspaths potassiques, leminzircon, la
GRsh – GRmin
monazite, les micas, les phosphates et les
minéraux d’uranium.
GR : Radioactivité globale mesurée.  Certains dépôts carbonatés, provenant
 : Densité du minéral ou de l’élément radioactif
V : pourcentage volumique du minéral ou de l’élément des algues qui ont fixé le potassium et
radioactif dans la formation. l’uranium, ou riches en matières organiques.
b: Densité globale de la formation.  Charbons ou lignites, roches ignées
A : facteur de proportionnalité correspondant à l’activité acides ou acido-basiques, schistes
gamma du minéral ou de l’élément radioactif alunifères, sels de potasse, phosphates…

L’unité: API (American Petroleum Institue).


1 g (Ra équivalent / tonne) = 16,5 API.
Les Diagraphies Différées Généralités
Gamma ray Potentiel spontané Résistivité Sonic Acquisition
Densité Neutron Pendagemétrie Diamètre du trou
Interprétation
Le PS correspond à la différence - +
entre le potentiel fixe, d’une Argile
- mV +
électrode de surface et le dispersée
potentiel variable d’une électrode
se déplaçant dans le trou de
sonde Argile
Sable 50 %
Le PS est donc un phénomène propre d’argile
Sable SSP
d’origine électrochimique, se
développant lorsque les deux types M
Argile
de fluides de salinité différente sont
en contact directement ou par Calcaire
Argile
l’intermédiaire de membranes semi- laminée
perméables

Valeur de la déflexion PS - +
(Rmf )e
- k log
(Rw )e - PS +
Rmf > Rw
Argile Boue

Ligne de base des


Facteurs influençant la Argiles
Mu
forme des courbes de PS d- Sable Rmf >> Rw
cak
e

Invasion Di 1
Di 2 Rmf  Rw
Di 1

Argiles Di 2
Faible invasion

Fluides Rmf < Rw


Ligne de base des
argiles
Les Diagraphies Différées Généralités
Gamma ray Potentiel spontané Résistivité Sonic Acquisition
Densité Neutron Pendagemétrie Diamètre du trou
Interprétation
Générateur de courant
La résistivité (R) d’une substance, de
section et longueur unité, est exprimé
(O. et L. SERRA, 2000)
en degré d’opposition au passage du
courant électrique (unité: Ohm-m2/m) B
V- dV F = R00 / Rww F = a / mm
V
Outils de mesure
Formations argileuses
Lignes Sphères
Macrodispositifs de courant
A
équipotentielles F = 0.62 / 2.15
2.15 F  0.81 / 22
normale et latérale
Induction (IL) Rt r Formations carbonatées
Latérologs (LL) Rtt = F . Rww dr F = 1 / mm m = 1.87 + 0.019 / 
Spherically focused log (SFL)

Microdispositifs résistivité R – saturation Sw


m
Microlog (ML) a Rw
Microlatérolog (MLL)
Rxo = Rt . Swn
Proximité-log (PL)
Micro-spherically focused log
(MSFL).
Rxo
xo
= F . Rmf
mf SW 1 a Rw
 Rt

Facteurs géologiques influençant la mesure de la résistivité T1 + 6.77


La quantité de l’eau et sa concentration en sels dissous R2 = R1 T° en (°F)
T2 + 6.77
La nature et la teneur de l’argile + éléments mineurs conducteurs
La texture et la structure de la roche
T1 + 21.5
Pression des couches et compaction R2 = R1 T° en (°C)
La température T la résistivité augmente avec la température T2 + 21.5
Les Diagraphies Différées Généralités
Gamma ray Potentiel spontané Résistivité Sonic Acquisition
Densité Neutron Pendagemétrie Diamètre du trou
Interprétation
Diagraphies acoustiques : Mesure de la vitesse du son
Différence de temps de propagation d’une onde sonore
à au travers des couches de formation.
L’enregistrement indique le temps mis par
Récepteur
l’onde acoustique pour parcourir l’unité de acoustique
distance: t (s/ft)
R2
1  (1 -  ) Vr : vitesse mesurée dans la formation
T2
t    Vf : vitesse dans le fluide remplissant les
Vr Vf Vm pores = 1/tf
Vm : vitesse dans la matrice = 1/tm
Wyllie (1956) R1
t   tf  (1 - ) tm
T1
s  (t - tm)  (tf - tm) formations consolidées

s  (t - tm)  (tf - tm) . 1/ Bcp formations sableuses,


coefficient de compaction Bcp. E
T0
Émetteur
d’onde
Facteurs influençant la mesure acoustique
Principe de fonctionnement
 La nature des minéraux et du ciment de la sonde sonique
 La porosité (D. Chapellier, IFP)

 De La nature des fluides dans les pores


 La texture (arrangement des grains et répartition de la porosité)
Les Diagraphies Différées Généralités
Gamma ray Potentiel spontané Résistivité Sonic Acquisition
Densité Neutron Pendagemétrie Diamètre du trou
Interprétation
Outil de mesure de la masse volumique des
Nombre de
formations par l’intermédiaire de celle de la rayons Gamma Effet photoélectrique N° atomique Z
densité électronique; celle-ci est obtenue à (cps/kev)
Lithologie
partir de l’interaction par effet Compton des
rayons Gamma émis par une source
Effet comptant Densité 
naturelle située dans la sonde et les
électrons des atomes constituant la roche. Porosité
t
outils de mesure utilisés : FDC et LDT san
s
oi
cr
Z
Interprétation
b =  f + (1-) ma b : black density
ma : d. de la matrice Énergie des
D = (ma - b) / (ma - mf) f : d. du fluide0
Fenêtre de
rayons Gamma
(kev)
mesure
Z+ 
Facteurs influençant la mesure

 L’eau
 Les hydrocarbures Analyse spectrale de l’énergie des rayons gamma (S. BOYER, P. SALVIGNOL (1993) –
Les diagraphies au câble, Edition Technip SCHLUMBERGER – ELF – ESSON).
 Les argiles
bc : densité globale corrigée de l’influence de l’argile
b : densité globale lue sur le log
bc = b + Vsh (ma - sh) Vsh : pourcentage volumétrique de l’argile
ma : densité de la matrice
sh : densité globale de l’argile
Les Diagraphies Différées Généralités
Gamma ray Potentiel spontané Résistivité Sonic Acquisition
Densité Neutron Pendagemétrie Diamètre du trou
Interprétation
Outil de mesure de l’interaction des neutrons émis par
la sonde avec les atomes de la formation.
Les neutrons émis à une énergie de quelque Mev, sont
principalement ralentis par les atomes d’hydrogène
contenus dans les formations traversées, puis sont
captés par les atomes à forte section de capture tels le Autre
Chlore – l’hydrogène se trouve essentiellement dans sonde
les fluides (eau + hydrocarbures)
Détecteur
Outils de mesure : selon le niveau d’énergie des éloigné
neutrons. Écartement
GNT: enregistre les neutrons thermiques et les rayons
Détecteur
gamma de capture (unité: neutron API)
Espacement rapproché
SNP: enregistre les neutrons épithermiques
CNL: enregistre les neutrons thermiques Source

Facteurs influençant la mesure Deux détecteurs


Autre Pour diminuer les
 Éléments composant les roches ou les fluides sonde effets du trou et
les irrégularités
L’Hydrogène : eau et hydrocarbures liquides qui se rencontrent
de la paroi
dans les pores des roches réservoirs.
Dans l’eau pure, IH = 1  Porosité de 100 %
Calcaire sans porosité, IH = 0.
Schéma de la sonde CNL de
 L’argile : Hydrogène dans le réseau cristallin et dans les pores
Schlumberger (O. SERRA, 1975)
 La texture : invasion et rayon d’investigation de la sonde
Les Diagraphies Différées Généralités
Gamma ray Potentiel spontané Résistivité Sonic Acquisition
Densité Neutron Pendagemétrie Diamètre du trou
Interprétation
Outil de mesure de l’angle et l’azimut, Trou de sonde
du pendage des surfaces

Boue
Distribution du courant dans la formation
successives traversées par le Et son retour à l’électrode supérieure
sondage, traduisant un changement Formation (O. et L. SERRA, 2000)
Courant
brusque de paramètres physiques Électrode
supérieure
Procédés de mesure
La sonde: Pendagemètre Isolant
Représentation
Pendage
(dipmeter) 0 10 20 40 60 90°
du pendage
Surfaces
 Un instrument qui enregistre un équipotentielles N
paramètre électrique à haute résolution Angle
Lignes de
suivant trois directions radiales: 3 courant 0 10 20 40 60 90°
génératrices de la paroi du puits
 Instrument de mesure (cartouche
Électrode
d’inclinométrie) : détermine la position inférieure W E
dans l’espace de chaque événement
détecté par le premier instrument. Cette
cartouche mesure l’orientation de la

Profondeur (m)
sonde.
Azimut
Présentation des résultats
Groupement
Log – flèches (Arrow plot)
des pendages
Diagramme de fréquence d’azimut (ou rosace)
Représentation polaire, Interprétation
SODA, SCAT, des structures
Représentation et groupement des pendages
(GILREATH et MARICELLI, 1964)
Les Diagraphies Différées Généralités
Gamma ray Potentiel spontané Résistivité Sonic Acquisition
Densité Neutron Pendagemétrie Diamètre du trou
Interprétation
La mesure en continue du diamètre du trou de forage donne
une information sur le comportement mécanique des roches Tête du câble

et la présence éventuelle de mud-cake relative aux


réservoirs. Centreur

Diamètre Cartouche
nominal diamétreur
du trou

Formation d bit
S’éboulant 13 4

Formation dmc Cartouche


Poreuse inclinomètre
perméable dh
Partie mécanique
Formation Mesure du diamètre
Compacte
Calcul de l’épaisseur du mud – cake
hmc  (dbit - dh) / 2 (O. et L. SERRA, 2000)

Exemple de sonde diamétreur : la sonde BGT


Facteurs géologiques influençant le diamètre du trou de Schlumberger (O. et L. SERRA, 2000)

1. La lithologie: roches sont solubles dans le fluide de forage, d’autres Dispositif de mesure
1. La lithologie: roches sont solubles dans le fluide de forage, d’autres
s’éboulent ou fluent et se rétrécissent : formation de caves
s’éboulent ou fluent et se rétrécissent : formation de caves
contrairement aux roches consolidées.
contrairement aux roches consolidées.
2. La texture et structure qui conditionnent la porosité et la perméabilité
2. La texture et structure qui conditionnent la porosité et la perméabilité
3. Les contraintes tectoniques et la fracturation.
3. Les contraintes tectoniques et la fracturation.
Les Diagraphies Différées Généralités
Reconstitution des environnements de dépôts Acquisition
Détermination lithologique
Concept d’électrofaciès
Interprétation
Concept d’électroséquence
Exemples de détermination de lithologie
Corrélations diagraphiques par rapports graphiques de paramètres
Cartes de synthèses (D.
Chapellier, IFP) MN PLOT POUR
L’IDENTIFICATION DES MINERAUX
Les paramètres enregistrés traduisent la 1.1
45
constitution lithologique et pétrophysique 45

des formations traversées GYPSE


SULFURE 40
40
1.0 SEL
Il est donc possible, en combinant ces logs, 35 L
SE 45
35 OU
d’établir une coupe lithologique verticale Z 40
E
ITPOROSITE 30
30 GA
continue. S

b DENSITE APPARENTE gm/cc


0.9 RO SECONDAIRE
25 35
PO ES 25 (Vma = 19500 ft/sec)
Lithologie simple 20 G R
CALCITE 30
SILICATE
E
20
AIR (Vma = 18000 ft/sec)
0.8 15
DOLOMITE LC 25
Un seul type minéralogique (quartz, calcite, CA
15
dolomite, anhydrite..) : caractéristiques N 10
20

connues 10 IE
0.7
5 M
ANHYDRITE
5
15 LO
0 DO
10 SULFURE
Lithologie composite 0

SCHLUMBERGER
0.6 APPROX
5 ZONE DE
Le banc est composé deux minéraux en LANGBEINITE POLYHALITE
SHALE
plus de l’argile (à caractéristiques 0 T E
RI
identiques) 0.5 D
HY
Les coefficients de détermination: AN
M = (f - t / b - mf)  0.001 0.3 0 0.4 10 0.5 20 0.6 30 0.7 40 0.8
M
(CNL)COR POROSITE NEUTRON, P.U
N = ( Nf - N / b - mf) (POROSITE APPARENTE CALIBRE CALCAIRE
Les Diagraphies Différées Généralités
Reconstitution des environnements de dépôts Acquisition
Détermination lithologique Un ensemble de réponses
Interprétation
Concept d’électrofaciès diagraphiques qui
Concept d’électroséquence
caractérise un banc et
Corrélations diagraphiques
Cartes de synthèses
permet de le différencier de (O. SERRA, 1979)
ceux qui l’entourent
Les enregistrements diagraphiques Abrupt Contact Contact
supérieur du bancdu banc progressif
supérieur
nombreux, divers, complémentaires Abrupt Progressif
Formes Formes
en cylindre
en entonnoir Formes en œuf
ou en tonneau Formes en cloches
un spectre des caractéristiques de
Abrupt Lisses
la roche :
Progressif

composition chimique,
minéralogique ou atomique,
du banc

Lisse

Lisse
texture, structure, fluides…)
du banc
inférieur

Concave Linéaire Convexe


Banc
inférieur

Concave Linéaire Convexe Concave Linéaire Convexe


Irrégulière

Irrégulière
Contact

Interprétation des formes de PS


Contact

(O. et L. SERRA, 2000 ; adapté


d’après Shell, 1956-57) Granocroissement vertical décroissant

Granocroissement vertical décroissant Cycle

Irrégulières
Les Diagraphies Différées Généralités
Reconstitution des environnements de dépôts Acquisition
Détermination lithologique
Concept d’électrofaciès Un intervalle de profondeur supérieur à la résolution Interprétation
verticale du dispositif de mesure, présentant une
Concept d’électroséquence variation progressive et contenue entre deux valeurs
Corrélations diagraphiques extrêmes du paramètre mesuré, dessinant une rampe
(O. SERRA, 1979)
Cartes de synthèses
PS GAMMA-RAY (API) NEUTRON
100 mV 0 150 Groupement
45 30 15et interprétation
0 des pendages
Séquence : succession - + (GILREATH et MARICELLI, 1964)
Rupture de courbe Sens API mV R IH N b t
verticale des faciès d’augmentation du Pendage
Lechangement
Tout passage graduel % d’argile
de réponse significatif 0 10 20 40 60 N
90° Interprétation S
Passage entre les
s’effectuant sur un intervalle de profondeur n’excédant N séquences très bien
Se la
pas traduit par une
résolution « rampe
verticale » ou
Gradients ou du dispositif dont la courbe Correspond fondamentalement auindividualisé
pendage structural sur les
électroséquence
présente élémentaire,
cette variation. s’il s’étend sur un intervalle long.courbes
Sur un intervalle
de résistivité,
Polarité
décelable sur des courbes
une ou plusieurs
court, il correspond à des laminations parallèles.
d’indice d’hydrogène
 Changement brutal d’auPS,, Positive
moins un des facteurs neutron GR et PS ;
diagraphies à la fois (GR, Rmf > Rw

irrégulière
affectant la réponse de l’outil dont les paramètres témoins de périodes
Fluctuations
T ...) : Zone de d’apparence
transition eau-
Lisse
mesurées sont sensibles à ce SEQUENCE GR PS RESISTIVITE NEUTRON transgressives
DENSITE avant la
SONIC
hydrocarbure
désorganisées ( évolution
selondeleslachangement. reprise
Suivant sa longueur, il peut correspondre à unede séquences
saturation) - + faille, unIH
drapage d’une barre ou récif, un
logs et les types de dépôts.
Origine des variations Négative API mV R N bprogradantes t
remplissage de chenal ou une discordance.


(SERRA et SULPICE,
Le passage abrupt
 Changement lithologique majeur
1975)
Toute évolution Weathered
Événements erratiques qui peuvent correspondre
Changement
progressive
Correspond de texture
à unvisible sur
changement Forme Forme en zone
à des stratifications entrecroisées, si il est
observé sur intervalle court.
Sens
Diagenèse
lesde
brutal courbes n’est pas
valeur s’observant cylindrique entonnoir
Profondeur (m)

d’augmentation du
% d’argile Passage
surChangement
une ou de la
plusieurs
forcément le reflet nature des fluides
d’une R >R mf w progressif
Suivant sa longueur, il peut correspondre à
diagraphies
Accident simultanément.
évolution d’origine Érosion
tectonique, une faille, des laminations ou une
discordance.
sédimentaire
Transgression,(gradient de
Discordance Images diagraphiques théoriques de séquences positive et négative
fluides ou de porosité) Contact
(Cas d’un sable plus résistant et moins « poreux » que l’argile) (CSRPPGN, IF ; 1986)
abrupt
Discordances angulaires reconnues par les changements d’azimut du
pendage (Well EvaluationMLL
Conference Iran, 1976, (O. et L. SERRA)
0.2 1 10 0
Les Diagraphies Différées Généralités
Reconstitution des environnements de dépôts Acquisition
Détermination lithologique
Concept d’électrofaciès
Interprétation
Description spatio-temporelle des formations
Concept d’électroséquence
Les diagraphies correspondent à une expression
Corrélations diagraphiques différenciée, détaillée et précise des successions
Cartes de synthèses lithologiques et leurs épaisseurs apparentes et même réelles

 Principe de Causalité :
« les mêmes causes
produisent les mêmes
effets »
HERCYNIAN UNCONFORMITY

Ha
El m
ra
Concept de similitude A
tc
ha
Q
z
Concept de rythmicité El
G
ne
Ss
as
Concept de variabilité si
Sh TA
CO
NIA
latérale N UN
CO
NF
O RM
IT Y

Apports en stratigraphie «H
Discordances, périodes N
ot S
hal


es
»
de non dépôt ou d’ érosion El Franing 2

Faille-flexure El Franing 3 Ha
m
Az
zel
ra S h
Qz
synsédimentaire (subsidence El Franing 1
El A
différentielle) tch
an
Transgression eS
s
Sabria N1 El G
(disparition graduelle de ass
i Sh
Sabria N2
certaines séries) Sabria N3
Suppressions de séries Sabria W1

Corrélation diagraphique (sonic et GR) entre puits dans le Sud tunisien


faisant apparaître plusieurs discordances. (Z.Hmidi et al, ETAP, 1991)
Les Diagraphies Différées Généralités
Reconstitution des environnements de dépôts Acquisition
Détermination lithologique
Concept d’électrofaciès
Interprétation
Concept d’électroséquence
Corrélations diagraphiques
Cartes de synthèses

Niveau réservoir
Puits Épaisseur 

1 43 m 15
2 56 12
3 87 10
4 94 13
5 65 18
6 25 21
7 63 25
8 46 20
9 35 22

Cartes en isobathes et isopaches


Cartes d’isolithes Maximum
Cartes d’électrofaciès. de porosité
Cartes d’iso radioactivité moyenne
Cartes d’iso vitesses moyenne du Carted’isoporosité
Carte en isopaque
son.
Cartes de gradient de PS…
Les Diagraphies Différées Généralités
Reconstitution des environnements de dépôts Acquisition
Dépôts silico-clastiques Dépôts carbonatés
Interprétation
Dans les séries détritiques terrigènes, les électroséquences élémentaires
traduisent généralement des évolutions tout à la fois de la taille des grains et
du pourcentage d’argile ou de minéraux radioactifs (granoclassement inverse
ou normale)

PS 4.5 % NEUTRON 0%
0 -GR10
(API)+ 135 0.2 MLL400 50 Neutron (API) 1200 0° 10° 20° 30° 40° 50°

Gamma – Taille moyenne Faciès


ray (API) des grains (mm)
0.25 0.12 0.04 Prodelta silts
1 2 3 4 5 6 Argile marine
18
Prodelta shale
Transgression
COAL -10 +
19
Fin lit carbonaté
20 40

21 35 Transgressive
Level
Distributary Sable de chenal de
BULK DENSITY (g/cm3)

LIMESTONE
30 ORGANIC SHALE
22
POROSITY
Channel fill marée 1
23 25
2
20 SHALE
24 Mouth bar
3
15 Erosion
25
Ligne de base PS des argiles

FINE SAND Silt radioactif


26 (SHALY) Prodelta silts
SILTY SHALE
5
27
ONSET OF Prodelta shales
0
POROSITY Séquence Argile marine
28
« coarsening –up »
29 Fin lit carbonaté
Silt radioactif
1 : conglomérat argileux
0 10 20 4 : grès30à stratification
40oblique 50
2 : conglomérat gréseux 5 : grès à micro stratifications entrecroisées
CNL NEUTRON
3 : grès à stratifications entrecroisées 6 : argile
POROSITY
8 CALIPER 12
Argile marine
interprétation de la courbe gamma 1 Ohms-m /m 100 2.0 DENSITY / Cm 2.5 DIPMETERS
Localisation des faciès sur un
2 3

ray en termes de taille de grains et


report graphique b vs N 0 N 16  (Ohms m2/m) 20
de faciès. (SERRA, SULPICE, 1975) 0 GR (API) 135
(RAIDER et al., 1979) Exemple de changement de texture dans un sable, décelé sur les courbes de densité,
d’indice d’hydrogène neutron, de résistivité, et à moindre degré sur le gamma ray.
Radioactivité
des argiles(SERRA et SUPLICE, 1975)
Réponses diagraphiques en fonction de la taille des grains
et de la radioactivité (SERRA et SULPICE, 1975)
Les Diagraphies Différées Généralités
Reconstitution des environnements de dépôts Acquisition
Dépôts silico-clastiques Dépôts carbonatés
Interprétation
Dans les séries carbonatées, une électroséquence élémentaire traduit le
plus souvent une évolution de la composition minéralogique
(enrichissement en argile ou en dolomie), plus rarement d’un paramètre
textural (passage d’un grainstone ou packestone à un wackestone ou Gamma Ray (cps) 20
mudstone 30 40 50 GPWM L A R
Dunham texture

Micritic envel.

Interpretation
Coated grains

environement
Gamma – ray – log &

depositional
Intraclastes
Small Sedimentary structures
Reponse

Pélloides

Porosity
Scale

Sorting
C M P G

Shells

Ooids
Cycle
20 (cps) 50
Transition
from
shallox to
deeper
ramp
évolution texturale des

Shallow ramp: oolite shoal complex


carbonates de
« Rublingen quarry » et
réponses caractéristiques
de la GR. (RUF M. &
AIGNER T. 2004)
Transition from deeper
to shallox ramp

Deeper
ramp:
foreshoal

Changement de composition, texture et structure des grainstones oolithiques


et enregistrement GR correspondant (RUF M. & AIGNER T. 2004)
Les Diagraphies Différées Généralités
Reconstitution des environnements de dépôts Acquisition
Dépôts silico-clastiques Dépôts carbonatés
Interprétation

Dissolution
Porosité secondaire (vacuoles)
combinaison densité – neutron et sonique

SPI = ND - S
(SPI)rel =  ND - S / ND.
Cristallisation (perte de porosité)
Détectée par les outils : neutron, densité,
sonique

Stylolithisation (Pression-solution)
Concentration de matériaux insolubles
(argiles, charbon, oxydes de fer…), une
perte de porosité et une augmentation de
la radioactivité, (uranium)

Exemple d’évolution de résistivité Surfaces encroûtées « hard ground »


dans une formation carbonatée
(THEYS et al., 1983)
Surface très cimentée, riche en oxyde de
fer et de manganèse. Se caractérise sur les
L’aspect des courbes de résistivité du pendagemètre qui diagraphies par un très fin pic très
permet de reconnaître le changement de la texture dans résistant et dense, surtout vu par les
une série calcaire (O. SERRA, 1985) microdispositifs (MLL*, ML*, HDT*),
surmonté par un pic de radioactivité
Les Diagraphies Différées Généralités
Reconstitution des environnements de dépôts Acquisition
Dépôts silico-clastiques Dépôts carbonatés
Interprétation
Caractérisation diagraphique des faciès et des milieux de dépôts de la séquence
régressive du Dogger du Bassin de Paris (J. Dumay et T. Kenaan)
GR PS RESISTIVITE NEUTRON Caractéristiques faciologiques et diagraphiques
Discordance : contact abrupt sur les différentes diagraphies. Hard ground
possible parqué par un mince niveau très résistant et compact

MARIN RESTREINT
Lagon interne : basse énergie, calcaire sublithographique de type
Comblanchien, légère radioactivité, pratiquement pas de déflexion de PS,
Séquence « LAGON »

résistivité très élevée, porosité faible ou nulle.


Noter quelques bancs plus poreux et conducteurs pouvant correspondre aux
calcaires à pellets du lagon externe

Lagon externe : moyenne énergie, calcaire à pellets, déflexion PS,


résistivité et porosité moyenne, radioactivité faible à moyenne.
Noter les deux niveaux attribués à la zone d’arrière-barrière : résistants et
compacts, légèrement radioactifs.

BARRIRE : énergie élevée, calcaire oolithique et calcarénites


bioclastiques. Radioactivité la plus basse de la formation, déflexion maximum
de la PS, porosité élevée, résistivité faible liée à la présence d’eau salée.
Séquence « BARRIERE »

Avant barrière : énergie moyenne, calcaire bioclastique et graveleux

ENVIRONNEMENT MARIN
Barrière : noter que si la résistivité et porosité sont voisines de celles des
calcaires argileux, la radioactivité et la PS sont fondamentalement différentes.

OUVERT
Avant barrière : légère radioactivité, résistivité élevée, compacité, légère
déflexion à la PS.

MER OUVERTE : dépôts évoluant de bas en haut des marnes aux


calcaires microcristallins. Diminution progressive de la radioactivité. Pas de
déflexion de PS
Résistivité très basse dans les marnes, augmentant vers le haut.
Index de porosité neutron diminuant vers le haut
Séquence Niveau de transgression marqué souvent par un pic radioactif
négative lié à des dépôts phosphatés
régressive
Les Diagraphies Différées Généralités
Reconstitution des environnements de dépôts Acquisition
Dépôts silico-clastiques Dépôts carbonatés
Interprétation
Modèle de dépôt en rampe, réponse diagraphique et log lithologique dans le champ Thomasville. Les niveaux
siliciclastiques et carbonatés ont un contact graduel. Un changement latéral et vertical correspondant à des
séquences de progradation (les profondeurs en pied) (J.H. BARWIS & al.1995)
0 - GR - 60 100 - SONIC- 50

SUPRARATIDAL

INTERTIDAL

INTER TIDAL

TIDAL INLETS
LAGOON
RAMP

BASIN
SHOAL &
SABKHA
UPPER LOWER

OOID SHOALS

UPPER TO
LOWER
SHOREFACE &
BARS

UPPER TO
LOWER RAMP

LOWER RAMP TO
BASIN
Les Diagraphies Différées Généralités
Reconstitution
Étude des réservoirs
des environnements
et caractérisation
de des
dépôts
fluides Acquisition
Interprétation « Quick Look »
Interprétation
Localisation des zones réservoirs
Détermination de la porosité
Fluides en place

 L’étude concerne plus particulièrement les réservoirs forés en boue à l’eau ;


elle est limitée aux formations propres (sans argiles), ou supposées telles.
 Les saturations en eau sont estimées à partir de la formule d’Archie (n = 2)
 Une formule empirique reliée à la saturation de l’eau de la zone lavée à celle
de la zone vierge
 Les échelles de la densité et neutrons doivent être compatibles
 Les résistivités doivent être en échelles logarithmique

1. Résistivités dans la zone vierge  courbe de résistivité


profonde (LLd ou ILd).
2. Résistivité dans la zone lavée  courbe de résistivité à
très faible profondeur d’investigation (MLL ; MSFL).
Les Diagraphies Différées Généralités
Reconstitution
Étude des réservoirs
des environnements
et caractérisation
de des
dépôts
fluides Acquisition
Interprétation « Quick Look »
Interprétation
Localisation des zones réservoirs
Détermination de la porosité Localisation des zones réservoirs à l’aide de la PS, GR,
du diamétreur et du microlog. (SERRA, 1985)
Fluides en place
MICROLOG (Ohms – m2/m)
Les mesures diagraphiques au niveau des réservoirs

Lithologie
10 MICROINVERSE 11 0
Gamma ray (API)
sont influencées par : 150
10 MICRONORMALE 2 0
 Les caractéristiques des minéraux et la texture. 0
 La saturation en fluides (eau et hydrocarbures) PS
6 MICRODIAMETREUR 16
10 mV
en fonction de la porosité.

Déflexion de la courbe de PS par rapport à la ligne de


base des argiles (sauf si le contraste de salinité entre
l’eau de formation et le filtrat de boue est trop faible)

La GR est généralement faible, sauf si des éléments


détritiques radioactifs sont présents.

Une diminution de la valeur de diamétreur par rapport


au diamètre de l’outil de forage qui est un indice de
formation de mud-cake suite à une invasion.

Le micronormale et le microinverse du microlog


présentent le plus souvent une séparation positive.
Les Diagraphies Différées Généralités
Reconstitution
Étude des réservoirs
des environnements
et caractérisation
de des
dépôts
fluides Acquisition
Interprétation « Quick Look »
Interprétation
Localisation des zones réservoirs  Sonique Porosité matricielle
Détermination de la porosité  Densité
Porosité totale
 Neutron
Fluides en place Porosity Evaluation from Sonic
Sonique (BHC/LSS/SDT)
f 1.0
t   tf  (1 - ) tm 30
1.1

formations consolidées 1.2 1.1

)
ite

ite

e)
s  (t - tm)  (tf - tm) m e

m
on e
1.2
lo

n
83
lo
o t

e)
to
2.
es
1.3

o
D n

on
es
=
(d
formations sableuses, coefficient de compaction Bcp. m sto 1.4

a
i

st
87

L
nd 1.5

(li

nd
30

2.
s  (t - tm)  (tf - tm) . 1/ Bcp a
D Porosité (pu)

81
S 1.6

a
=

(s
2.
a
20

85

=
 Porosité (pu)

2.
Litho – densité (LDT) Bcp

a
m

=
a
m

b =  f + (1-) ma 20

68
2.
D = (ma - b) / (ma - mf)

=a
m

10
b : black density; ma : d. de la matrice
10
f : d. du fluide0

Neutron compensé (CNL)


L’enregistrement est donné directement en
« Unité de Porosité » (P.U.) en combinaison 00
avec le LDT avec des échelles compatibles 40 2.8 60 2.6 80 2.4 2.2
100 2.0
120
bInterval
black Density
transit (g/cc or Mg/m )
time (µs/ft 3
Les Diagraphies Différées Généralités
Reconstitution
Étude des réservoirs
des environnements
et caractérisation
de des
dépôts
fluides Acquisition
Interprétation « Quick Look »
Interprétation
Localisation des zones réservoirs
Détermination de la porosité
ZONE PROPRE A EAU OU
Fluides en place
HYDROCARBURES DENSES
2.2 b 2.7 2.15 b 2.65

30 N© densité
Compatibilité des échelles
0 et neutron30 N G
en matrice calcaire
0
2.2 b 2.7 2.15 b 2.65
Grès 0.5 g/cm3 0.5 g/cm3

30  N
©
0 30 N G
0
Calcaire 30 % 30 %

Le standard primaire de calibration des


outils est une série de blocs rocheux, à
Houston Texas : Calcaires aquifères dont la
Dolomie porosité est connue de façon très précise.
S. BOYER, P. SALVIGNOL (1993) – Les
diagraphies au câble, Edition Technip
SCHLUMBERGER – ELF – ESSON.
Les Diagraphies Différées Généralités
Reconstitution
Étude des réservoirs
des environnements
et caractérisation
de des
dépôts
fluides Acquisition
Interprétation « Quick Look »
Interprétation
Localisation des zones réservoirs
Détermination de la porosité
Fluides en place Comparaison des courbes Rt (LLd ou ILd) et Rxo (MLL ou MSFL)

Zone à eau Rt Rw

Zone à hydrocarbures
= 1 10 100
Rt et Rxo parallèles Rxo Rmf
Rt : courbe de résistivité correspondant à la plus grande SW
profondeur d’investigation latérale (zone vierge)

NIVEAU RESERVOIR
Rxo: courbe de résistivité correspondant à la
plus faible profondeur d’investigation latérale (zone lavée)

Zone à hydrocarbure Contact


Superposition des courbes Rt et Rxo
Eau - hydrocarbures
dans la zone à eau (Rt à droite de Rxo)
l’écart entre les deux courbes représente
Rt Rxo

Zone à eau
la quantité d’hydrocarbures contenue
La saturation en eau peut être estimée à
l’aide d’une échelle logarithmique (réglette
Rt
Rw = Rmf .
5/8) Rxo
S. BOYER, P. SALVIGNOL (1993) – Les
diagraphies au câble, Edition Technip
SCHLUMBERGER – ELF – ESSON.
Les Diagraphies Différées Généralités
Reconstitution
Étude des réservoirs
des environnements
et caractérisation
de des
dépôts
fluides Acquisition
Interprétation « Quick Look »
Interprétation
Localisation des zones réservoirs
Détermination de la porosité
Porosity
FLUID Rxo LOG
Fluides en place FDC
0 (ohm.m) 50 30 PU 0

Formation
Invaded
30 CNL 0

zone
0 EATT 1000
30 EPT
0
Comparaison de la porosité déduite

WATER
FRESH
ACCORDING TO
d’un outil EPT à celles provenant DIAMETER OF
d’un outil neutron (CNL) et d’un GAS INVASION AND Rmf

outil de mesure de densité (FDC).


Les schémas de la figure expliquent WATER ACCORDING TO
FRESH

DIAMETER OF
comment différencier tout à la fois INVASION, RESIDUAL
OIL OIL SATURATION
les zones à hydrocarbures et la AND Rmf

nature des hydrocarbures.


WATER
FRESH
WATER
FRESH

SHALES

EPT quick – look : schémas expliquant


comment reconnaître les différents types HIGH
SALT ATTENUATION
de fluides présents dans un réservoir WATER FOR LOW Rmf
(O. SERRA, 1985) VALUES
Les Diagraphies Différées Généralités
Reconstitution
Étude des réservoirs
des environnements
et caractérisation
de des
dépôts
fluides Acquisition
Interprétation « Quick Look »
Interprétation
Localisation des zones réservoirs
Détermination de la porosité
DENSITE (g/cm3)
Fluides en place 1.85 2.35 2.85

Profondeurs
Exemple de superposition des courbes de RESISTIVITE Ohms-m²/m
densité et d’indice d’hydrogène-neutron 0.1 1 Normale 10 100
GAMMA RAY INDEX DE POROSITE
(en échelle compatibles) permettant de (API) NEUTRON
détecter un réservoir à gaz 0.1 1 Induction 10 100
Equivalent calcaire
(O. SERRA, 1985) 0 120 60 45 30 15 0

2100
NIVEAU RESERVOIR

GAZ
O.W.C

EAU 2300
Bibliographie
CHAPELLIER D. et BARON L. – Diagraphie
aquifère et Principes de base (cours en ligne de
géophysique, Université de Lausanne, IFP)
CHAPELLIER D – Prospection électrique de surface
(cours en ligne de géophysique, Université de
Lausanne, IFP)

M E R C I
CHAMBRE SYNDICALE DE LA RECHERCHE ET DE
LA PRODUCTION DU PETROLE ET DU GAZ
NATUREL (1986) – Corps sédimentaires : exemples
sismiques et diagraphiques, Edition Technip.

Pour votre attention CHAMBRE SYNDICALE DE LA RECHERCHE ET DE


LA PRODUCTION DU PETROLE ET DU GAZ
NATUREL (O. SERRA et al., 1975) – Interprétation
rapide sur chantier des diagraphies différées en
trou ouvert, Edition Technip.
JOHN H. BARWIS, JOHN G. Mc PHERSON, JOSEPH
R.J. STUDLICK (1995) – Sandstone petroleum
reservoirs.
RUF M. & AIGNER T. (2004) – Facies and poroperm
characteristics of a carbonate shoal (Muschelkalk,
south German basin): a reservoir analogue
investigation – Journal of petroleum geology, Vol.
27 (pp 215-239).
SELLEY RICHARDC. (1998) – Elements of petroleum
geology
SERRA O. (1985) - Diagraphies différées. Bases de
l’interprétation. Tome 2 : Interprétation des données
Proposé par diagraphiques. Mémoire 7 du Bulletin des Centres
de Recherche Exploration Production Elf-Aquitaine.
Mr. MOURAD BEDIR SERRA O. et SERRA L. (2000) - Diagraphies,
acquisition et applications.
Mr. MOUHAMED SCHLUMBERGER (1993) – Séminaire
d’interprétation des diagraphies, révisé par
SOUSSI K.F.Witchtl (Janvier, 1990) et traduit par J.Suau
(1992).
Préparé par S. BOYER, P. SALVIGNOL (1993) – Les diagraphies
au câble, Edition Technip SCHLUMBERGER – ELF.

Vous aimerez peut-être aussi