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QCM en microbiologie clinique à

discuter

Dr OUKID
Bactériologie fondamentale
1. Le transfert génétique dans le monde bactérien :
cocher la ou les réponses justes

A. Constitue un moyen d’acquisition de nouvelle


information génétique
B. L’expression du facteur F par la bactérie réceptrice est
obligatoire pour établir une conjugaison
C. La transformation est l’absorption un fragment d’ADN
exogène et son intégration dans l’ADN bactérien
D. La présence de récepteur spécifique aux bactériophages
est nécessaire chez toute bactérie confondue
E. La transduction concerne toute les espèces bactériennes.
1. Le transfert génétique dans le monde bactérien :
cocher la ou les réponses justes

A. Constitue un moyen d’acquisition de nouvelle


information génétique
B. L’expression du facteur F par la bactérie réceptrice est
obligatoire pour établir une conjugaison
C. La transformation est l’absorption un fragment d’ADN
exogène et son intégration dans l’ADN bactérien
D. La présence de récepteur spécifique aux bactériophages
est nécessaire chez toute bactérie confondue
E. La transduction concerne toute les espèces bactériennes.
2. Le ou les support(s) de la variabilité génétique chez les
bactéries sont : cocher la ou les réponses justes :

A. Mutation
B. ADN chromosomique bactérien
C. Plasmide
D. Intégrons
E. Transposons
2. Le ou les support(s) de la variabilité génétique chez les
bactéries sont : cocher la ou les réponses justes :

A. Mutation
B. ADN chromosomique bactérien
C. Plasmide
D. Intégrons
E. Transposons
3. La résistance naturelle chez les bactéries : cocher la
ou les réponses fausses :

A. Définit le phénotype de certaines espèces bactériennes


B. Le support génétique n’est pas exclusivement l’ADN
chromosomique circulaire
C. Les bactéries à Gram négatif sont connues pour leur
résistance naturelle aux polymixines
D. Les bactéries à Gram positif sont connues pour leur
résistance naturelle aux glycopeptides
E. La famille des Entérobactéries présentent une
résistance naturelle aux macrolides et à la Pénicilline G
3. La résistance naturelle chez les bactéries : cocher la
ou les réponses fausses :

A. Définit le phénotype de certaines espèces bactériennes


B. Le support génétique n’est pas exclusivement l’ADN
chromosomique circulaire
C. Les bactéries à Gram négatif sont connues pour leur
résistance naturelle aux polymixines
D. Les bactéries à Gram positif sont connues pour leur
résistance naturelle aux glycopeptides
E. La famille des Entérobactéries présentent une
résistance naturelle aux macrolides et à la Pénicilline G
4. Mécanisme de résistance des bactéries aux
antibiotiques sont : cocher la ou les réponses justes :

A. Inactivation enzymatique
B. Diminution de la concentration de
l’antibiotique par efflux
C. Modification de cible de l’antibiotique
D. Acquisition de nouveaux gènes par transfert
de plasmides
E. Imperméabilité de la paroi des bactéries à
Gram positif ou la membrane externe des
bactéries à Gram négatif.
4. Mécanisme de résistance des bactéries aux
antibiotiques sont : cocher la ou les réponses justes :

A. Inactivation enzymatique
B. Diminution de la concentration de
l’antibiotique par efflux
C. Modification de cible de l’antibiotique
D. Acquisition de nouveaux gènes par transfert
de plasmides
E. Imperméabilité de la paroi des bactéries à
Gram positif ou la membrane externe des
bactéries à Gram négatif.
5. Mécanismes de résistance des bactéries aux
Betactamines : cocher la ou les réponses justes

A. Chez le Pneumocoque la résistance à la méthicilline


implique une résistance à toutes les Betalactamines
B. Chez les entérobactéries sécrétrices de carbapénèmases,
toutes les Betalactamines sont actives sauf l’Ertapeneme
C. L’inactivation enzymatique est le mécanisme de résistance
le fréquemment retrouvé chez les bactéries à Gram négatif
D. Pour étudier les PLP modifiées, la mesure des CMI de
l’Ampicilline, Céfotaxime, Pénicilline G et l’Imipenème est
nécessaire chez les Staphylocoques
E. Pseudomonas aeruginosa à une résistance à l’imipenème
par perte de porine.
5. Mécanismes de résistance des bactéries aux
Betactamines : cocher la ou les réponses justes

A. Chez le Pneumocoque la résistance à la méthicilline


implique une résistance à toutes les Betalactamines
B. Chez les entérobactéries sécrétrices de carbapénèmases,
toutes les Betalactamines sont actives sauf l’Ertapeneme
C. L’inactivation enzymatique est le mécanisme de résistance
le fréquemment retrouvé chez les bactéries à Gram négatif
D. Pour étudier les PLP modifiées, la mesure des CMI de
l’Ampicilline, Céfotaxime, Pénicilline G et l’Imipenème est
nécessaire chez les Staphylocoques
E. Pseudomonas aeruginosa à une résistance à l’imipenème
par perte de porine.
6. Facteurs de risque de sélection de mutants
résistants : cocher la ou les réponses fausses :

A. Foyer infectieux avec un inoculum bactérien


bas
B. Présence de bactéries avec des résistances
naturelles dans la flore et l’environnement
C. Prescription abusive de l’Amoxicilline
D. Prescription abusive du Ceftizoxime
E. Prescription abusive de Ciprofloxacine
6. Facteurs de risque de sélection de mutants
résistants : cocher la ou les réponses fausses :

A. Foyer infectieux avec un inoculum bactérien


bas
B. Présence de bactéries avec des résistances
naturelles dans la flore et l’environnement
C. Prescription abusive de l’Amoxicilline
D. Prescription abusive du Ceftizoxime
E. Prescription abusive de Ciprofloxacine
7. BLSE : cocher la ou les réponses justes :

A. Veut dire : BetaLactamine à spectre Elargi


B. Veut dire : Betalactamase à spectre Etendu
C. Enzyme inactive les Pénicilline A, M et
céphalosporine de 1er génération mais pas les
Céphalosporine de 3eme génération
D. Enzyme inactive : l’Amoxicilline, Céfazoline,
Céfotaxime mais pas l’Imipenème et la
Céfoxitine
E. Enzyme inhibée pas l’acide clavulanique
7. BLSE : cocher la ou les réponses justes :

A. Veut dire : BetaLactamine à spectre Elargi


B. Veut dire : Betalactamase à spectre Etendu
C. Enzyme inactive les Pénicilline A, M et
céphalosporine de 1er génération mais pas les
Céphalosporine de 3eme génération
D. Enzyme inactive : l’Amoxicilline, Céfazoline,
Céfotaxime mais pas l’Imipenème et la
Céfoxitine
E. Enzyme inhibée pas l’acide clavulanique
8. Bactéries Multi Résistantes sont : cocher la ou les réponses
justes :

A. PSDP : Pneumocoque de sensibilité diminuée


à la Pénicilline
B. Acinetobacter baumannii resistant à
l’Imipenème
C. Entérobactérie sécrétrice de BLSE
D. Entérobactérie sécrétrice de
Céphalosporinase
E. Entérocoque résistant à la Vancomycine
8. Bactéries Multi Résistantes sont : cocher la ou les réponses
justes :

A. PSDP : Pneumocoque de sensibilité diminuée


à la Pénicilline
B. Acinetobacter baumannii resistant à
l’Imipenème
C. Entérobactérie sécrétrice de BLSE
D. Entérobactérie sécrétrice de
Céphalosporinase
E. Entérocoque résistant à la Vancomycine
9. Prélèvement bactériologique : cocher la ou les
réponses fausses :

A. Doit être fait une heure après la prise de la


première dose d’antibiotique
B. L’urine prélevée par ponction sus pubienne est
un prélèvement poly microbien
C. Le LCR est un prélèvement stérile
D. Une bactérie opportuniste doit dépasser le seuil
physiologique dans un prélèvement stérile pour
être considérée comme pathogène
E. Le sang est un prélèvement polymicrobien
9. Prélèvement bactériologique : cocher la ou les
réponses fausses :

A. Doit être fait une heure après la prise de la


première dose d’antibiotique
B. L’urine prélevée par ponction sus pubienne est
un prélèvement poly microbien
C. Le LCR est un prélèvement stérile
D. Une bactérie opportuniste doit dépasser le seuil
physiologique dans un prélèvement stérile pour
être considérée comme pathogène
E. Le sang est un prélèvement polymicrobien
10. Le diagnostic bactériologique des infections à bactéries non
cultivables se fait : cocher la ou les réponses justes :

A. Par la mise en évidence des Ag


B. Toujours par sérologie
C. Par culture bactériologique
D. Par l’examen microscopique
E. Par technique moléculaire
10. Le diagnostic bactériologique des infections à bactéries non
cultivables se fait : cocher la ou les réponses justes :

A. Par la mise en évidence des Ag


B. par sérologie
C. Par culture bactériologique
D. Par l’examen microscopique
E. Par technique moléculaire
11. Quel l’examen microbiologique de référence dans le
diagnostic microbiologique :

A. L’examen microscopique
B. L’examen macroscopique
C. La sérologie
D. La PCR
E. La culture bactériologique
11. Quel l’examen microbiologique de référence dans le
diagnostic microbiologique :

A. L’examen microscopique
B. L’examen macroscopique
C. La sérologie
D. La PCR
E. La culture bactériologique
12. PCR : cocher la ou les réponses fausses :

A. Veut dire : Polymerase Chain Reaction


B. Veut dire : Polymorphisme Chain Reaction
C. Technique d’hybridation de fragment d’ADN
et ARN
D. Technique d’amplification de fragment d’ADN
et ARN
E. Technique rapide, sensible mais peu
spécifique et couteuse
12. PCR : cocher la ou les réponses fausses :

A. Veut dire : Polymerase Chain Reaction


B. Veut dire : Polymorphisme Chain Reaction
C. Technique d’hybridation de fragment d’ADN
et ARN
D. Technique d’amplification de fragment d’ADN
et ARN
E. Technique rapide, sensible mais peu
spécifique et couteuse
13. L’antibiogramme : cocher la ou les réponses
fausses :

A. Technique interprétative pour étudier la sensibilité


des bactéries aux différents antibiotiques
B. Nécessite un inoculum bactérien de 0.5 McFarland
C. Méthode de diffusion sur milieu Mueller Hinton
liquide ou gélosé
D. La sensibilité ou la résistance in vitro à un
antibiotique donné implique une sensibilité ou une
résistance in vivo
E. L’antibiogramme est une méthode plus précise que la
mesure de la CMI
13. L’antibiogramme : cocher la ou les réponses
fausses :

A. Technique interprétative pour étudier la sensibilité


des bactéries aux différents antibiotiques
B. Nécessite un inoculum bactérien de 0.5 McFarland
C. Méthode de diffusion sur milieu Mueller Hinton
liquide ou gélosé
D. La sensibilité ou la résistance in vitro à un
antibiotique donné implique une sensibilité ou une
résistance in vivo
E. L’antibiogramme est une méthode plus précise que la
mesure de la CMI
14. CMI : cocher la ou les réponses fausses :

A. Veut dire : Concentration Maximale Inhibitrice


B. Veut dire : Concentration Minimale Inhibitrice
C. Se mesure par méthode de diffusion sur Gélose
nutritive au sang
D. Se mesure par des bandelettes imprégnées avec
un gradient décroissant de concentration d’un
antibiotique donné
E. Est nécessaire pour adapter la meilleure
posologie pour chaque patient
14. CMI : cocher la ou les réponses fausses :

A. Veut dire : Concentration Maximale Inhibitrice


B. Veut dire : Concentration Minimale Inhibitrice
C. Se mesure par méthode de diffusion sur Gélose
nutritive au sang
D. Se mesure par des bandelettes imprégnées avec
un gradient décroissant de concentration d’un
antibiotique donné
E. Est nécessaire pour adapter la meilleure
posologie pour chaque patient
Bactériologie systématique
1. Haemophilus influeanzae b : cocher la/LES réponse
fausse:

1. Bactérie intracellulaire obligatoire responsable


de méningite
2. Bacille à Gram négatif capsulé, oxydase positive
3. Bactérie exigeante en facteur X et/ou facteur V
4. La résistance acquise aux Blactamines due à la
synthèse de pénicillinase ou par modification de
PLP
5. Le test de trèfle relève une Pénicillinase en
utilisant un disque de Pénicilline G
1. Haemophilus influeanzae b : cocher la/LES réponse
fausse:

1. Bactérie intracellulaire obligatoire responsable


de méningite
2. Bacille à Gram négatif capsulé, oxydase positive
3. Bactérie exigeante en facteur X et/ou facteur V
4. La résistance acquise aux Blactamines due à la
synthèse de pénicillinase ou par modification de
PLP
5. Le test de trèfle relève une Pénicillinase en
utilisant un disque de Pénicilline G
2. Neisseria meningitidis : cocher la/LES réponse
juste :

1. Cocci à Gram positif en grain de café


2. Bactérie commensale au niveau du nasopharynx
3. Plusieurs serogroupes existent : A C B W et Y
4. Actuellement, le serogroupe A est le plus
répondu en Algérie
5. Le vaccin conjugué anti méningocoque protège
contre tous les serogroupes
2. Neisseria meningitidis : cocher la/LES réponse
juste :

1. Cocci à Gram positif en grain de café


2. Bactérie commensale au niveau du nasopharynx
3. Plusieurs serogroupes existent : A C B W et Y
4. Actuellement, le serogroupe A est le plus
répondu en Algérie
5. Le vaccin conjugué anti méningocoque protège
contre tous les serogroupes
3. Clostridium difficile : cocher la/LES réponse
fausse :
1. Bactérie commensale du tube digestif
2. Bacille à Gram positif sporulé
3. Bactérie exige une atmosphère pauvre en
oxygène
4. Etiologie numéro 1 des diarrhées
nosocomiales
5. Toutes les souches synthétisent les toxines A
et B
3. Clostridium difficile : cocher la/LES réponse
fausse :
1. Bactérie commensale du tube digestif
2. Bacille à Gram positif sporulé
3. Bactérie exige une atmosphère pauvre en
oxygène
4. Etiologie numéro 1 des diarrhées
nosocomiales
5. Toutes les souches synthétisent les toxines A
et B
4. Clostridium tetani: cocher la/LES réponse
fausse :

1. Bactérie tellurique strictement humaine


2. Bacille à Gram positif sporulé
3. Elabore une toxine tétanique qui possède un
pouvoir pathogène et immunogène
4. Responsable d’une infection toxinique tel que
le botulisme
5. Le vaccin anti-tetanique contient la bactérie
et la toxine inactivées
4. Clostridium tetani: cocher la/LES réponse
fausse :

1. Bactérie tellurique strictement humaine


2. Bacille à Gram positif sporulé
3. Elabore une toxine tétanique qui possède un
pouvoir pathogène et immunogène
4. Responsable d’une infection toxinique tel que
le botulisme
5. Le vaccin anti-tetanique contient la bactérie
et la toxine inactivées
5. Etiologie bactérienne d’une pneumonie atypique:
cocher la/LES réponse juste :

1. Mycoplasma pneumoniae
2. Chlamydia trachomatis serovar A
3. Moraxella catarrhalis
4. Legionella pneumophila serougroupe 1
5. Bordetella pertusis
5. Etiologie bactérienne d’une pneumonie atypique:
cocher la/LES réponse juste :

1. Mycoplasma pneumoniae
2. Chlamydia trachomatis serovar A
3. Moraxella catarrhalis
4. Legionella pneumophila serougroupe 1
5. Bordetella pertusis
6. Chlamydia trachomatis serovar L responsable de :
cocher la/LES réponse juste :

1. Uretrite aigue douloureuse


2. Anorectite ulcéreuse
3. Lymphogranulomatose vénérienne
4. Conjonctivite à inclusion
5. Trachome
6. Chlamydia trachomatis serovar L responsable de :
cocher la/LES réponse juste :

1. Uretrite aigue douloureuse


2. Anorectite ulcéreuse
3. Lymphogranulomatose vénérienne
4. Conjonctivite à inclusion
5. Trachome
7. Bactéries intracellulaires obligatoires, sont :
cocher la réponse juste :

1. Mycoplasma homonis
2. Coxiella burnetti
3. Ureaplama urealyticum
4. Chlamydia pneumoniae
5. Rickettsia conorii
7. Bactéries intracellulaires obligatoires, sont :
cocher la réponse juste :

1. Mycoplasma homonis
2. Coxiella burnetti
3. Ureaplama urealyticum
4. Chlamydia pneumoniae
5. Rickettsia conorii
8. Diagnostic bactériologique d’une infection génitale à
mycoplasmes, s’effectue par : cocher la/LES réponse
juste :

1. Seuls Mycoplasma hominis et Mycoplasma


genitallium sont recherchés
2. La recherche des mycoplasmes par
dénombrement cellulaire sur gélose
3. Sérologie à la recherche des IgG spécifiques
4. Mise en évidence de l’uréase directement à
partir du prélèvement génital
5. Mise en évidence de l’ADN de Mycoplasma
genitallium
8. Diagnostic bactériologique d’une infection génitale à
mycoplasmes, s’effectue par : cocher la/LES réponse
juste :

1. Seuls Mycoplasma hominis et Mycoplasma


genitallium sont recherchés
2. La recherche des mycoplasmes par
dénombrement cellulaire sur gélose
3. Sérologie à la recherche des IgG spécifiques
4. Mise en évidence de l’uréase directement à
partir du prélèvement génital
5. Mise en évidence de l’ADN de Mycoplasma
genitallium
9. La coloration de Gram d’une culture d’un LCR purulent montre
des Cocci à Gram negatif en grain de café, l’etude biochimique
revele une dégradation de maltose et la présence d’une
GammaGT, l’agglutination avec les anti-serum montre la
présence de l’Ag capsulaire B, il s’agit de: cocher la/LES réponse
juste :
1. Méningite à Streptococcus pneumoniae
serotype B
2. Méningite à Haemophilus influenzae
serotype b
3. Méningite à Neisseria meningitidis
serogroupes B
4. Méningite à Neisseria meningitidis
5. Méningite à Neisseria meningitidis serotype B
9. La coloration de Gram d’une culture d’un LCR purulent montre
des Cocci à Gram negatif en grain de café, l’etude biochimique
revele une dégradation de maltose et la présence d’une
GammaGT, l’agglutination avec les anti-serum montre la
présence de l’Ag capsulaire B, il s’agit de: cocher la/LES réponse
juste :
1. Méningite à Streptococcus pneumoniae
serotype B
2. Méningite à Haemophilus influenzae
serotype b
3. Méningite à Neisseria meningitidis
serogroupes B
4. Méningite à Neisseria meningitidis
5. Méningite à Neisseria meningitidis serotype B
1O. Devant une suspicion d’une légionellose, la
meilleure conduite à tenir est: cocher la/LES réponse
juste

1. Prélèvement du Liquide Brocho-Alveolaire et


mise en culture sur BCYE
2. Prélèvement des eaux de l’environnement à la
recherche d’amibes et de legionelles
3. Recherche d’Ag urinaire par méthode
immunochromatographique
4. Sérologie à la recherche d’une ascension d’IgG
5. Hémoculture au pic fébrile pour rechercher
l’ADN bactérien
1O. Devant une suspicion d’une légionellose, la
meilleure conduite à tenir est: cocher la/LES réponse
juste

1. Prélèvement du Liquide Brocho-Alveolaire et


mise en culture sur BCYE
2. Prélèvement des eaux de l’environnement à la
recherche d’amibes et de legionelles
3. Recherche d’Ag urinaire par méthode
immunochromatographique
4. Sérologie à la recherche d’une ascension d’IgG
5. Hémoculture au pic fébrile pour rechercher
l’ADN bactérien
11. Coccobacille à Gram négatif , oxydase positif, uréase positive,
isolé d’une hémoculture après une incubation des boites de
48H : cocher LA /LES réponse juste :

1. Il s’agit de Coxiella burnetti


2. Il s’agit du genre Brucella sp
3. Il s’agit d’Haemophilus ducreyii
4. L’identification d’espèce s’effectue par la
recherche des caractères biochimiques
5. L’antibiogramme est systématique
11. Coccobacille à Gram négatif , oxydase positif, uréase positive,
isolé d’une hémoculture après une incubation des boites de
48H : cocher LA /LES réponse juste :

1. Il s’agit de Coxiella burnetti


2. Il s’agit du genre Brucella sp
3. Il s’agit d’Haemophilus ducreyii
4. L’identification d’espèce s’effectue par la
recherche des caractères biochimiques
5. L’antibiogramme est systématique
12. La coloration de Gram d’un pus urétral montre des Cocci à
Gram négatif en Grain de Café intra et extracellulaire et plusieurs
polynucléaires intacts et altérés : cocher la /LES réponse juste :

1. La coloration de Gram suffit à poser le


diagnostic de Blennoragie
2. Il s’agit d’une urétrite à Neisseria gonorrhoeae
3. La mise en culture du pus est immédiatement
réalisée sur gélose nutritive
4. L’identification biochimique revele une
dégradation du maltose
5. L’antibiotique de choix pour le traitement est
l’Amoxicilline
12. La coloration de Gram d’un pus urétral montre des Cocci à
Gram négatif en Grain de Café intra et extracellulaire et plusieurs
polynucléaires intacts et altérés : cocher la /LES réponse juste :

1. La coloration de Gram suffit à poser le


diagnostic de Blennoragie
2. Il s’agit d’une urétrite à Neisseria gonorrhoeae
3. La mise en culture du pus est immédiatement
réalisée sur gélose nutritive
4. L’identification biochimique revele une
dégradation du maltose
5. L’antibiotique de choix pour le traitement est
l’Amoxicilline
VIROLOGIE
1.Le dépistage d’une infection à VIH se fait : cocher la
réponse juste :

A. Dosage quantitative de l’ARN viral


B. Recherche de l’Ag 24 et les Ac anti VIH1 et Ac anti
VIH2
C. Par deux techniques ELISA confirmées par Western
blot
D. La technique Western blot suffit pour un dépistage
primaire
E. La période d’incubation est de 120 jours
1.Le dépistage d’une infection à VIH se fait : cocher la
réponse juste :

A. Dosage quantitative de l’ARN viral


B. Recherche de l’Ag 24 et les Ac anti VIH1 et Ac anti
VIH2
C. Par deux techniques ELISA confirmées par Western
blot
D. La technique Western blot suffit pour un dépistage
primaire
E. La période d’incubation est de 120 jours
2. La chimiothérapie antirétrovirale : cocher la
réponse juste :

A. Cible l’ADN polymérase viral


B. Cible la Protéase et l’intégrase virales
C. Cible l’ADN proviral
D. Cible la Transcriptase inverse
E. Le suivi thérapeutique se fait par la mesure
de la charge virale et le dosage des LTCD4
2. La chimiothérapie antirétrovirale : cocher la
réponse juste :

A. Cible l’ADN polymérase viral


B. Cible la Protéase et l’intégrase virales
C. Cible l’ADN proviral
D. Cible la Transcriptase inverse
E. Le suivi thérapeutique se fait par la mesure
de la charge virale et le dosage des LTCD4
3.Ces virus sont transmis par voie transplacentaire :
cocher la réponse juste :

A. Coronavirus
B. Parvovirus
C. Treponema pallidum
D. Poliovirus
E. Papillomavirus
3.Ces virus sont transmis par voie transplacentaire :
cocher la réponse juste :

A. Coronavirus
B. Parvovirus
C. Treponema pallidum
D. Poliovirus
E. Papillomavirus
4.Le Myxovirus influenzae type A : cocher la réponse
juste :

A. Virus à ARN segmenté à polarité positive


B. Virus enveloppé orné de glycoproteine
GP120 et GP41
C. Virus à capside conique glycoproteique P18
D. Virus à Capside proteique helicoidale
E. Virus nu transmis par contact direct
4.Le Myxovirus influenzae type A : cocher la réponse
juste :

A. Virus à ARN segmenté à polarité positive


B. Virus enveloppé orné de glycoproteine
GP120 et GP41
C. Virus à capside conique glycoproteique P18
D. Virus à Capside proteique helicoidale
E. Virus nu transmis par contact direct
5.Ces virus sont transmis par voie cutanée :
cocher la réponse juste :
A. Epstein Barr virus
B. Herpes simplex virus
C. Polyomavirus
D. Varicelle Zona virus
E. Virus de la rubéole
5.Ces virus sont transmis par voie cutanée :
cocher la réponse juste :
A. Epstein Barr virus
B. Herpes simplex virus
C. Polyomavirus
D. Varicelle Zona virus
E. Virus de la rubéole
6.Les virus variables : cocher la réponse juste :

A. Virus de la rubéole est variable


B. Possèdent leur propre polymérase
C. Le VIH est génomiquement table
D. Le virus de l’hépatite C est variable
E. Le virus de l’hépatite B est variable
6.Les virus variables : cocher la réponse juste :

A. Virus de la rubéole est variable


B. Possèdent leur propre polymérase
C. Le VIH est génomiquement table
D. Le virus de l’hépatite C est variable
E. Le virus de l’hépatite B est variable

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