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Tutorial Bacteriology MED2/DEN2

May 2023
Apporter les réponses à toutes les questions
NB : Pour des questions à choix multiples, une seule réponse est admise ; encercler-la.
Pour les questions à choix multiple, une seule réponse est acceptée vraie

A. Discuter du rôle des antigène O et H dans le processus d’identification des bactéries

B. Les bactéries pathogènes opportunistes


1. provoquent généralement la maladie chez des sujets immunocompétants
2. ne provoquent généralement pas de maladie chez des sujet immunocompétants
3. peuvent provoquer la maladie chez un hôte lorsque les défenses de ce dernier sont affaiblies par la
malnutrition
4. 2 et 3
5. ne répondent à aucune des propositions ci-dessus

C. Bacteroïdes fragilis se développe dans un environnement où la pression en oxygène est faible. En présence
d’oxygène, les souches sont carrément inhibées dans leur croissance. Des souches qui on un tel comportement
vis-à-vis de l’oxygènes moléculaires sont dites
1. aérobies strictes
2. micro-aérophiles
3. aéro-anaérobies facultatives
4. toutes propositions ci-dessus, cela dépend
5. aucune des propositions ci-dessus

D. La figure ci-après illustre les interactions qui pourraient exister entre un microbe et son hôte. Les lettres A,
B, et C représentent respectivement
1. commensalisme, mutualisme, parasitisme
2. commensalisme, parasitisme, et mutualisme,
3. parasitisme, mutualisme, commensalisme,
4. mutualisme, parasitisme, commensalisme,
5. parasitisme, commensalisme, mutualisme,

E. Une souche bactérienne est isolée d’un prélèvement de pus obtenu de la plaie d’un patient. Le responsable du
laboratoire choisit pour l’antibiogramme une liste d’antibiotiques qui ne contient pas une molécule « A ». Lorsque
son stagiaire lui demande pourquoi cette dernière n’est pas choisie dans la liste, il répond que de nombreuses
souches sont devenues résistantes à cette molécule depuis une dizaine d’années. Cette résistance
1. peut avoir été sélectionnée par l’usage des antibiotiques chez las animaux dans les élevages
2. peut avoir été sélectionnée par l’usage des antibiotiques en médecine humaine et en médecine vétérinaire
3. peut avoir été sélectionnée par l’usage des pesticides dans l’agriculture
4. toutes les propositions ci-dessus
5. aucune des propositions ci-dessus

F. Antoinette est âgée de 17 ans et joue régulièrement avec son neveu de 6 mois. Un examen biologique des
selles des deux révèle la présence d’une souche de l’espèce Klebsiella pneumoniae encapsulée (qui a une capsule).
Cette souche bactérienne
1. Peut envahir les tissus profonds
2. peut plus facilement provoquer la méningite chez Antoinette
3. peut plus facilement être à l’origine de la méningite chez le bébé de six mois
4. est incapable de provoquer une méningite quel que soit l’état physiologique de chacun des deux
5. 1 et 3

G. l’Amoxicilline est une pénicilline utilisée dans le traitement des maladies infectieuses d’étiologie bactérienne.
Cette molécule

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1. a un effet bactéricide
2. a un effet bactériostatique
3. agit plus efficacement au cours de la phase de latence
4. agit plus efficacement en perturbant la synthèse de l’ADN
5. 1 et 4 conviennent

H. L. Les souches de l’espèce Vibrio cholerae sont des agents responsables de cholera dans plusieurs régions à
travers le monde. Pour cause la maladie,
1. ces souches produisent une exotoxine qui agit à distance
2. ces souches produisent une entérotoxine qui agit localement
3. ces souches s’internalisent avant de produire la toxine responsable de l’effet pathogène observé
4. 1 et 2
5. 2 et 3

I. Certaine éruptions cutanées sont causées par des bactéries appartenant aux genres Staphylococcus et Streptococcus
(Cocci à Gram positif). Chez ces derniers
1. la paroi cellulaire est plus épaisse que celles rencontrées les bacilles à Gram négatif
2. la paroi cellulaire est moins épaisse que celles rencontrées les bactéries à Gram négatif
3. les couches de peptidoglycanes sont plus nombreuses que ce qu’on rencontre chez E. coli (bacille à Gram
négatif)
4. la membrane cellulaire est absente
5. les propositions 1, 3 conviennent

J. Le co-tromoxazole appartient au groupe des sulfamides et est peut être utilisée dans la prise en charge des
infections causées par les bactéries. Cette molécule
1. a un effet bactéricide
2. a un effet bactériostatique
3. agit en accélérant la synthèse de l’acide folique
4. agit plus efficacement en perturbant le fonctionnement de la sous-unité 50S du ribosome
5. 1 et 4 conviennent

K. Un enfant de 04 ans souffre d’un épisode de diarrhée aqueuse. Après prélèvement et analyse d’un échantillon
de selles, le diagnostic biologique révèle que l’agent étiologique est une souche bactérienne appartenant au
pathotype Escherichia coli enteropathogène. Pour coloniser sont hôte et provoquer la maladie, cette souche doit
adhérer aux celles épithéliales au niveau de l’intestin grêle à l’aide
1. de la capsule
2. des flagelles ou de la capsule
3. des flagelles et de ses pili
4. 2 et 4
5. Aucune de propositions ci-dessus

L. Les cellules bactériennes résistent mieux à la pression osmotique que les cellules animales. La structure
bactérienne qui confère cette résistance est
1-l’association lipopolysaccharide-phospholipides
2- l’ensemble des polysaccharides
3-l’ensemble des phospholipides
4- La capsule cellulaire
5- autre que celles proposées ci-dessus

M. Deux souches bactériennes A et B sont résistantes à l’ampicilline. La souche A présente une résistance
naturelle alors que le phénotype résistant de la souche B est acquis. Parmi les deux, celle qui peut facilement
redevenir sensible à l’ampicilline (c’est-à- dire, perdre le caractère de résistance)
1. est la souche A
2. est la souche B
3. la souche A ou B, cela dépend
4. je ne sais pas, je n’ai pas appris à ce sujet
5. celle dont le matériel génétique est plus stable

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N. Une suspension bactérienne contient deux espèces différentes (A qui est capable de fermenter le lactose alors
que B ne fermente pas ce sucre). Un étudiant met en place des conditions spécifiques qui causent la lyse des
bactéries de l’espèce A, provoquant ainsi la libération de son matériel génétique. Un ensemencement est fait
quelques heures après et on constate qu’effectivement seules les bactéries de l’espèce B poussent et que les
individus peuvent désormais fermenter le lactose. Le gène qui code pour la fermentation du lactose a
certainement été acquis par les souches de l’espèce B à travers le phénomène de
1- de transduction
2- de conjugaison
3- 1 ou 2, cela dépend
4- de translocation
5- Aucun des mécanismes ci-dessus

O. Docteur LOTI, enseignant de Microbiologie à l’Université discute avec ses étudiants au cours des travaux
dirigés sur l’émergence et de la dissémination des phénotypes de résistance au sein du monde bactérien.
Monsieur KOM alors dit que c’est depuis la découverte de la pénicilline que les bactéries sont résistantes
aux antibiotiques appartenant à la famille des bêta-lactamines. A cette réponse
1. il a raison
2. il peut avoir raison s’il ajoute que puisqu’elle a été trop abusivement utilisée
3. il s’est trompé
4. il a raison car la pénicilline appartient à la famille des bêta-lactamines
5. Aucune proposition ci-dessus ne convient entièrement

P. Une souche “A” porte un gène de résistance à l’amoxicilline. Mise ensemble en milieu liquide avec une
souche ‘B » sensible à l’amoxicilline, on se rend compte que la souche « B » a acquis le gène de résistance à
cette molécule et est devenu résistante. Ce mode de transfert
1. est dit transfert horizontal
2. transformation
3. est une transduction
4. est dit transfert vertical
5. 1 et 2

Q. Deux des facteurs qui contribuent à l’acquisition et la dissémination des déterminants de virulence et de
résistance sont
1. est la stabilité des du matériel génétique l’usage abusif des antimicrobiens
2. l’âge de l’utilisateur de l’antibiotique et la flexibilité du matériel génétique
3. est la flexibilité du matériel génétique et l’usage abusif des antimicrobiens
4. 1 et 2
5. aucune des propositions ci-dessus

R. Trois parmi les mécanismes qu’utilisent les bactéries pour résister aux antibiotiques comprennent
1. les efflux actifs, la modification de la cible de l’antibiotique et la production des enzymes qui désactivent
l’antibiotique
2. les efflux actifs, la modification de la cible de l’antibiotique et la perte de l’enzyme qui devrait activer
l’action de l’antibiotique
3. les efflux actifs, la modification de la cible de l’antibiotique et surexpression de la cible de l’antibiotique
4. toutes les combinaisons ci-dessus conviennent
5. aucune des combinaisons ci-dessus n’est admissible

S. L’endotoxine bactérienne est produite


1. uniquement par des bactéries à Gram négatif
2. uniquement par des bactéries à Gram positif

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3. par des bactéries à Gram négatif mais les bactéries à Gram positif peuvent produire des substances qui se
comportent comme des endotoxines
4. produite uniquement par certaines bactéries à Gram négatif

T. Pour causer la maladie à leurs hôtes, les bactéries pathogènes doivent


1. pouvoir adhérer à cet hôte, envahir ce dernier et/ou produire une toxine
2. pouvoir adhérer à cet hôte et toujours envahir ce dernier (s’internaliser)
3. pouvoir adhérer à cet hôte ou produire une toxine
4. s’internaliser sans nécessairement adhérer à l’hôte
5. juste adhérer à l’hôte

A. Monsieur FAKO est footballeur et étudiant de 3ème année Chirurgie Dentaire à l’Université des
Montagnes. C’est un garçon qui prend aussi beaucoup soin de ses dents. Au cours des travaux pratiques de
bactériologie, il se porte volontaire pour qu’un prélèvement obtenu par écouvillonnage de ses gencives
soit utilisé pour la recherche des bactéries. La coloration de Gram sur le frottis révèle la présence de
nombreuses bactéries. La présence de ces bactéries
1. indique que cet étudiant est malade
2. indique que cet étudiant est malade et a besoins de traitement médicamenteux
3. appartiennent en principe à plusieurs espèces différentes (population polymorphe)
4. Ce étudiant est malade si la majorité de ces organismes sont des bactéries à Gram positif
5. Aucune des propositions ci-dessus

B. Dans les environnements différents du milieu extérieurs et de l’organisme humain,


1. on peut retrouver des bactéries d’espèces différentes
2. des bactéries qui y vivent pour de longues années sont toujours les mieux adaptées
3. des milieux stériles sont connus
4. les bactéries pathogènes qu’on y rencontre sont toujours très moins adaptées si elles permettent la
survie de l’hôte pour longtemps (plusieurs années)
5. 2 et 3 sont les meilleures propositions

C. Une bactérie pathogène est reconnue par


1. Leur formes et par la composition chimique de l’enveloppe cellulaire
2. sa présence sur un site infectieux (comme une plaie)
3. La composition de l’enveloppe cellulaire
4. la présence des gènes qui codent pour des phénotypes de pathogénicité
5. 1 et 2 conviennent

D. Pour mieux caractériser les bactéries de la flore normale de la peau, on utilise le terme
1. Commensaux car ces organismes ne tirent rien de l’hôte et lui fournissent rien
2. mutualistes puisque les armes qu’elles développent équilibrent toujours exactement celles de l’hôte
3. parasites puisqu’elles peuvent causer la maladie
4. 1 ou 2 cela dépend
5. Aucune des propositions ci-dessus ne convient vraiment

E. Escherichia coli entéro invasif (ECEI) est un pathotype au sein de l’espèce Escherichia coli. Les
symptômes de la maladie provoquée par l’action de ce pathogène sont semblables à ceux que provoquerait
une souche de Shigella dysenteriae (invasion tissulaire). Les études montrent que le gène d’invasion est
passé de Shigella vers ECEI par l’intermédiaire d’un virus. Ce mode de transfert de matériel génétique est
appelé
1. transfert horizontal
2. transfert vertical
3. translocation
4. transformation
5. mutation ponctuelle

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F. Si un sujet (humain ou animal) entre en contact avec une bactérie pathogène,
1. il développera la maladie
2. il est probable qu’il développe la maladie
3. il peut développer la maladie sous certaines conditions
4. Il peut ne jamais développer la maladie
5. toutes les propositions ci-dessus à l’exception de la proposition N° 1

G. Chez un enfant de 03 mois, on isole dans un prélèvement de gorge une souche de Neisseria.
L’identification montre qu’il s’agit d’une souche de N. menigitidis. Cette souche
1. peut être à l’origine d’une méningite
2. peut être à l’origine de la méningite chez cet enfant si elle s’entoure d’une capsule
3. peut être une souche bactérienne de la flore mutualiste
4. peut y résider avec d’autres organismes bactériens
5. toutes ces propositions ci-dessus

H. Escherichia coli O157 :H7 est un pathotype dont les souches sont très virulentes chez l’espèce humaine
alors que les herbivores servent de réservoirs de contamination. Chez les humains une des manifestations
spectaculaires est l’émission des diarrhées hémorragiques. Pour cet organisme,
1. le but visé est de détruire complètement son hôte
2. les pili servent de structure d’adhésion à la cellule hôte
3. les flagelles servent de structure d’adhésion à la cellule hôte
4. 1 et 2
5. aucune des propositions ci-dessus n’est admissible

I. Les toxines produites par Vibrio cholerae (V. cholerae) et de Clostridium tetanii (C. tetani) sont des exo-
toxines différentes. Une de leur caractéristiques est que
1. celle de V. cholerae a une action locale alors celle de C. tetani a une action à distance
2. celle de V. cholerae a une action à distance alors celle de C. tetani a une action locale
3. les deux ont une action locale
4. les deux ont une action systémique
5. celle de V. cholerae se comporte comme une endotoxine

J. Escherichia coli O157 :H7 est un pathotype dont les souches sont très virulentes chez l’espèce humaine
alors que les herbivores servent de réservoirs de contamination. Chez les humains une des manifestations
spectaculaires est l’émission des diarrhées hémorragiques. Chez ces organismes à Gram négatif,
1. la couche de peptidoglycane est plus épaisse que chez les bactéries à Gram positif
2. la couche de peptidoglycane est plus mince que chez les bactéries à Gram positif
3. la paroi est doublée d’une couche de phospholipides
4. 2 et 3 conviennent
5. aucune des propositions ci-dessus n’est convenable

K. Les bactéries pathogènes


1. Sont caractérisée par la présence dans leur matériel génétique d’un seul gène de pathogénicité pour
chacune d’elles
2. Peuvent causer des pathologies quel que soit le lieu où elles se trouvent dans l’organisme
3. Peuvent posséder plusieurs facteurs qui contribuent à leur virulence
4. sont naturellement inhibées (dominée) dans leur croissance lorsqu’elles se trouvent à l’intérieur du
tube digestif des humains
5. 3 et 4 conviennent

L. Les bactéries à l’origine des maladies infectieuses


1. sont exclusivement des bactéries pathogènes
2. abritent toujours des gènes de virulences bien spécifiés

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3. peuvent être des bactéries de la flore normale (mutualistes)
4. 1 et 2
5. aucune des propositions ci-dessus

Questions ouvertes brièvement commentées


Répondre à toutes les questions (NB : les espacers prevus sont suffisants pour les réponses appropriées)

1. (2 pts) Donner deux caractéristiques majeures qui permettent de distinguer les endotoxines des
exotoxines

2. (3 pts) a. Qu’entend-t-on par inoculum infestant ?


b. Indiquer le mode d’action des deux toxines suivantes : Toxine botulique et toxine tétanique

3. (3 pts) Définir les termes suivants :


a. pathogénicité
b. Virulence
c. Facteur de virulence
II

A. Sur notre peau et sur les muqueuses certians microorganismes vivent en permanence sans causer de domage.
Parmi ces derniers, on retroouve des bactéries appartenant à de nombreuses espèces. A des organismes de cette
catégorie on donne le nom de
1. commensale
2. opportunistes
3. symbiotes
4. mutualiste
5. 3 ou de préférence 4

B. Salmonella Enteritidis est un agent de gastroentérites chez les humains. Sont identification au laboratoire repose
sur la détection des antigènes flagellaires (H) et de l’antigène somatique (O). Les deux types d’antigènes sont
constitués respectivement
1. d’unités protéiques appelé flagelline et d’unité polysaccharidiques (Ag.O)
2. d’unité polysaccharidiques dit pilin et d’unité protéique (Ag.O)
3. d’unité protéiques appelés bactériocine et d’unité polysaccharidiques (Ag.O)
4. d’unité polysaccharidiques (Ag.O) et d’unité protéiques appelés bactériocine
5. aune des combinaisons ci-après

C. Shigella dysenteriae est une espèce bactérienne dont les souches sont des bactéries à Gram négatif et sont
responsables de diarrhées sanguinolentes chez les humains. Chez cet organisme,
1. la paroi bactérienne est plus épaisse que celles rencontrées les bactéries à Gram positif
2. la paroi bactérienne est moins épaisse que celles rencontrées les bactéries à Gram positif
3. les couches de peptidoglycanes sont moins nombreuses que ce qu’on rencontre chez les Gram positif
4. les propositions 2 et 3 sont vraies
5. aucune des les propositions ci-dessus n’est vraie

D. Pour causer la maladie à leurs hôtes, les bactéries pathogènes doivent


1. pouvoir adhérer à cet hôte, envahir ce dernier et/ou produire une toxine
2. pouvoir adhérer à cet hôte et envahir ce dernier (s’internaliser)
3. pouvoir adhérer à cet hôte ou produire une toxine
4. s’internaliser sans nécessairement adhérer à l’hôte
5. juste adhérer à l’hôte

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E. L’endotoxine bactérienne est produite
1. uniquement par des bactéries à Gram négatif
2. uniquement par des bactéries à Gram positif
3. produite par des bactéries à Gram négatif mais les bactéries à Gram positif peuvent produire des substances
qui se comportent comme des endotoxines
4. produite uniquement par certaines bactéries à Gram négatif
5. produite uniquement par un groupe réduit de bactéries à Gram positif

F. A la différence de celui des cellules animales (eucaryote), le matériel génétique chez la bactérie est
fondamentalement
1. plus stable (moins flexible) et donc moins sujet aux modifications
2. moins stable (plus flexible) et donc plus sujet aux modifications
3. constitué généralement de deux (02) chromosomes enroulés
4. d’une molécule d’ADN chromosomique circulaire
5. les propositions 2 et 4 qui conviennent mieux

G. Les bactéries pathogènes pour l’homme et les animaux connues sont pour la plupart des organismes
1. autotrophes
2. hétérotrophes
3. capables de mener une vie indépendante
4. des organismes de la flore endogène
5. 2 et 4

H. Les entérobactéries sont des organismes à Gram négatif qui portent des flagelles sur tout le pourtour de la
cellule. Monsieur BOUDOU dit de ces organismes qu’ils ont une flagellation monotriche. Il
1. a raison
2. n’a pas raison
3. peut avoir raison s’il ajoute que toutes les bactéries à Gram négatif sont monotriche
4. je ne sais pas
5. peut avoir raison s’il ajoute que toutes les bactéries à Gram positif sont aussi monotriche

I. Le cholera est un problème de santé publique dans de nombreuses régions à travers le monde. Vibrio cholerae
dont les souches (ou les individus) sont responsable de cette maladie produit
1. une endotoxine qui est responsable des diarrhées et vomissements qui caractérisent la maladie
2. une entérotoxine qui est responsable des diarrhées et vomissements qui caractérisent la maladie
3. une exotoxine qui est responsable des diarrhées et vomissements qui caractérisent la maladie
4. 2 et 3
5. 1 et 3

J. Sur la figure représentant les structures bactérienne ci-après les lettres A B et C représentent respectivement
1. la paroi, la membrane cytoplasmique et les flagelles
2. la membrane cytoplasmique, la paroi et la membrane externe
3. la membrane externe, la membrane cytoplasmique et l’enveloppe bactérienne
4. l’enveloppe bactérienne, la membrane cytoplasmique et la paroi
5. aucune des combinaisons ci-dessus

K. Les bactéries pathogènes opportunistes


1. provoquent la maladie chez des sujets immunocompétants
2. ne provoque pas de maladie chez des sujet immunocompétants
3. peuvent provoquer la maladie chez un hôte lorsque les défenses de ce dernier sont affaiblies par la
malnutrition
4. ne causent jamais de maladie chez un hôte
5. ne répondent à aucune des propositions ci-dessus

L. La capsule bactérienne
1. joue un rôle important dans la pathogénèse car elle protège la bactérie contre les défenses de l’hôte
2. est présente chez toutes les bactéries à Gram négatif

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3. constitue un élément de l’enveloppe chez toutes les espèces pathogènes
4. est présente seulement chez les bactéries Gram positif
5. est présente seulement chez les bactéries à Gram négatif

P. Bacteroïdes fragilis se développe dans un environnement où la pression en oxygène est faible. En présence
d’oxygène, les souches sont carrément inhibées dans leur croissance. Des souches qui on un tel comportement
vis-à-vis de l’oxygènes moléculaires sont dites
1. aérobies strictes
2. micro-aérophiles
3. aéro-anaérobies facultatives
4. toutes propositions ci-dessus, cela dépend
5. aucune des propositions ci-dessus

Q. L’endotoxine bactérienne est produite


1. uniquement par des bactéries à Gram négatif
2. uniquement par des bactéries à Gram positif
3. produite par des bactéries à Gram négatif mais les bactéries à Gram positif peuvent produire des substances
qui se comportent comme des endotoxines
4. produite uniquement par certaines bactéries à Gram négatif
5. produite uniquement par un groupe réduit de bactéries à Gram positif

III

A. Une souche bactérienne est isolée d’un prélèvement de pus de plaie d’un patient. Le responsable du
laboratoire choisit pour l’antibiogramme une liste d’antibiotiques qui ne contient pas une molécule « A ».
Lorsque son stagiaire lui demande pourquoi cette dernière n’est pas choisie dans la liste, il répond qu’il est
inutile de tester la sensibilité des souches de cette espèce à cet antibiotique, car elles sont toutes
résistantes. Devant cette situation
1. on sait que les bactéries de l’espèce sont naturellement à cet antibiotique
2. on sait que les bactéries de cette espèce ont acquis la résistance à cette molécule
3. on comprend que certainement le support génétique du gène de virulence est porté par un plasmide
4. on comprend que certainement le support génétique du gène de virulence est porté par le chromosome
5. 1 et 4

B. Une souche bactérienne est isolée d’un prélèvement de pus de plaie d’un patient. Le responsable du
laboratoire choisit pour l’antibiogramme une liste d’antibiotiques qui ne contient pas une molécule « A ».
Lorsque son stagiaire lui demande pourquoi cette dernière n’est pas choisie dans la liste, il répond que de
nombreuses souches sont devenues résistantes à cette molécule depuis une dizaine d’années. Cette
résistance
1. peut avoir été sélectionnée par l’usage des antibiotiques chez las animaux dans les élevages
2. peut avoir été sélectionnée par l’usage des antibiotiques en médecine humaine et en médecine
vétérinaire
3. peut avoir été sélectionnée par l’usage des pesticides dans l’agriculture
4. toutes les propositions ci-dessus
5. aucune des propositions ci-dessus

C. Docteur LOTI, enseignant de Microbiologie à l’Université discute de lors des travaux dirigés qu’i a avec
ses étudiants de l’émergence et de la dissémination des phénotypes de résistance au sein du monde
bactérien. Monsieur KOM dit que c’est depuis la découverte de la pénicilline que les bactéries sont
résistantes à ces molécules. A cette réponse
1. il a raison
2. il n’a pas raison
3. il peut avoir raison s’il ajoute que puisqu’elle a été trop abusivement utilisée
4. il a raison car la pénicilline a été le premier antibiotique utilisé en thérapeutique

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5. Aucune proposition ci-dessus ne convient entièrement

D. Un des facteurs contribuant à l’acquisition et la dissémination des déterminants de virulence


1. est la stabilité des du matériel génétique
2. est la flexibilité du matériel génétique
3. l’âge de l’utilisateur de l’antibiotique comme facteur de sélection
4. 1 et 2
5. aucune des propositions ci-dessus

E. Une souche “A” porte un gène de résistance à l’amoxicilline. Mise ensemble en milieu liquide avec une
souche ‘B » sensible à l’amoxicilline, on se rend compte que la souche « B » a acquis le gène de résistance à
cette molécule et est devenu résistante. Ce mode de transfert
1. est dit transfert horizontal
2. est dit transfert vertical
3. est une transduction
4. transformation
5. 1 et 4

F. trois des mécanismes qu’utilisent les bactéries pour résister aux antibiotiques comprennent
1. les efflux actifs, la modification de la cible de l’antibiotique et la production des enzymes qui désactivent
l’antibiotique
2. les efflux actifs, la modification de la cible de l’antibiotique et la perte de l’enzyme qui devrait activer
l’action de l’antibiotique
3. les efflux actifs, la modification de la cible de l’antibiotique et surexpression de la cible de l’antibiotique
4. toutes les combinaisons ci-dessus conviennent
5. aucune des combinaisons ci-dessus n’est admissible

Tutorial Virology MED2/DEN2


Mai 2022
Lire attentivement et porter dans la grille des réponses en fin de page le numéro de la proposition qui convient mieux.
NB : une seule réponse est admise par QCM

A. Une femme amène son fils âgé de 10 mois qui présente des signes d’érythème faciale et
d’anémie pour consulter dans les services de la pédiatrie de l’hôpital. Le diagnostic biologique
révèle que l’enfant est infecté par une souche de Parviovirus B19. Ce virus
1. peut être transmis par des aérosols des voies respiratoires
2. peut être transmis à la suite d’une transfusion sanguine
3. subit sa réplication dans le noyau de la cellule hôte
4. attaque avec succès les cellules souches des cellules sanguines
5. toutes les propositions ci-dessus

B. Une femme amène son fils âgé de 10 mois qui présente des signes d’érythème facial et
d’anémie pour consulter dans les services de la pédiatrie de l’hôpital. Le diagnostic biologique
révèle que l’enfant est infecté par une souche de Parviovirus B19. Cette souche
1. est surement défective

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2. peut être défective et agir seule
3. attaque avec succès les cellules souches des cellules sanguines
4. 2 et 3 conviennent
5. toutes les propositions ci-dessus, cela dépend

C. Les maladies d’étiologie virale pour lesquelles la particule a des hôtes appartenant à plusieurs
espèces animales
1. Sont faciles à éradiquer
2. sont rares et facile à éradiquer
3. sont généralement plus difficiles à éradiquer
4. utilisent certains hôtes comme des réservoirs
5. 3 et 4

D. L’Adénovirus et le virus de la varicelle sont deux particules impliquées dans les infections
humaines et peuvent avoir des périodes de latence au cours de leur cycle réplicatif. La latence
1. est caractérisée par une hyperactivité du virus c’est à dire lorsqu’il cause plus de dommages à
l’hôte
2. a lieux dans les ganglions dorsaux pour le virus de la varicelle
3. a lieu dans les ganglions dorsaux pour l’Adénovirus
4. peut être épisomale ou prophagique pour un virus donné
5. 2 et 4

E. Les deux particules suivantes sont enveloppées et ont un génome constitué d’ADN
1. Rotavirus et cytomégalovirus
2. Rotavirus et adénovirus
3. Parvovirus B19 et ‘’Adéno-associated virus’’
4. cytomegalovirus et cowpox virus
5. Influenza A virus et varicella-Zoster virus

F. L’infection par les deux particules suivantes confère une immunité à vie
1. Rotavirus et cytomégalovirus
2. Rotavirus et adénovirus
3. Parvovirus B19 et ‘’Adéno-associated virus’’
4. Varicella-zoster virus et cowpox virus
5. Influenza A virus et varicella-Zoster virus

G. Les deux particules suivantes ont pour cible les cellules épithéliales
1. Human papilloma virus (HPV) et varicella zoster virus
2. Human papilloma virus (HPV) et Influenza A virus
3. Varicella zoster virus Virus de l’Hépatite B
4. 1et 2
5. aucune des combinaisons ci-dessus ne convient

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H. Les vaccins antiviraux
1. peuvent être produits en utilisant la ou les protéines immunogènes isolées de la particule virale
2. ne sont produits qu’à partir des organismes entiers/complets à virulence atténuée
3. peuvent être spécifiques ou non spécifiques
4. 1 et 3
5. 2 et 3

I. Lors d’une campagne de santé en octobre 2014, l’analyse biologique du sérum sanguin de
Madame Sonti révèle la présence des marqueurs de l’hépatite B suivants : Ag-HBs, Ag-HBe, Ac-
HBc alors que les autres que sont l’Ac-HBs et Ac-HBe sont absents. D’autres examens
complémentaires révèlent que la concentration de la transaminase ALT est normale alors que la
concentration en ADN viral est élevée. Elle se souvient aussi que lorsqu’elle voulait faire un don de
sang en février 2013, on n’avait pas collecté son sang parce que l’on y avait détecté la présence de
l’Ag-HBs. On peut conclure que
1. Madame Sonti développe une hépatite chronique dans sa phase réplicative
2. Madame Sonti développe une hépatite chronique dans sa phase inactive
3. Madame Sonti développe une hépatite chronique dans sa phase inflammatoire
4. Madame Sonti développe une hépatite aigüe
5. 1 ou 2, cela dépends

J. Lors d’une campagne de santé en octobre 2014, l’analyse biologique du sérum sanguin de
Madame Sonti révèle la présence des marqueurs de l’hépatite B suivants : Ac-HBs, Ac-HBc. L’on
peut conclure que
1. Madame Sonti développe une hépatite chronique dans sa phase réplicative
2. Madame Sonti est immunisée contre l’hépatite B
3. Madame Sonti avait été infectée par le virus longtemps avant cette campagne
4. Madame Sonti est contaminée par le virus de l’hépatite B
5. 2 et 3

K. Au cours d’une infection par le virus du SIDA (VIH)


1. Les cellules affectées sont exclusivement les lymphocytes T porteurs de marqueurs CD4
2. Le matériel génétique du virus s’insère dans celui de l’hôte sous la forme d’une molécule d’ADN
monocatenaire
3. Le matériel génétique du virus s’insère dans celui de l’hôte sous la forme d’une molécule d’ARN
monocatenaire
4. Le matériel génétique du virus s’insère dans celui de l’hôte sous la forme d’une molécule d’ARN
bicatenaire
5. aucune des propositions ci-dessus ne convient

L. Chez les virus à ARN sens positif


1. Le matériel génétique sert directement pour la synthèse des protéines
2. le matériel génétique passe toujours par un intermédiaire ADN pour servir à la synthèse des
protéines
3. l’enveloppe contient les protéines codées par le génome de la cellule hôte, et les lipides codés
par génome du virus

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4. le génome est toujours bi-caténaire
5. aucune des propositions ci-dessus n’est valable

M. Le virus Ebola est une particule


1. filamenteuse enveloppée à ADN double brin
2. filamenteuse enveloppée à ARN sens-positif
3. filamenteuse enveloppée à ARN sens-négatif
4. 1 ou 2, cela dépend
5. aucune des propositions ci-dessus ne convient

N. Le virus de la rage
1. se multiplie activement au point d’inoculation et est transporté vers le system nerveux central
2. termine son cycle de développement dans les glandes salivaires
3. cause une maladie caractérisée dans sa phase critique par les stupeurs et l’hydrophobie et la
mort
4. peut être transmis par des morsures d’animaux domestiques
5. toutes ces propositions ci-dessus conviennent

O. En virologie le terme ‘virion’


1. désigne un agent infectieux constitué de protéines et de matériel génétique à l’intérieur du
noyau de l’hôte
2. désigne un virus dans le cytoplasme de la cellule hôte
3. est une molécule d’ADN recouverte par un ensemble de protéines complexes
4. 2 ou 3, cela dépend
5. ne répond à aucune des propositions ci-dessus

P. Lors d’une campagne de santé en octobre 2014, l’analyse biologique du sérum sanguin de
Madame Sonti révèle la présence des marqueurs de l’hépatite B suivants : Ag-HBe, Ac-HBc. L’on
peut conclure que
1. avec ce profile, Madame Sonti est plus infectieuse
2. avec ce profile, Madame Sonti n’est pas infectieuse
3. Madame Sonti avait été infectée mais s’est débarrassée du virus il y a longtemps
4. 2 et 3
5. Aucune des propositions ci-dessus ne convient

Q. Madame Elizabeth MONTHE est une jeune mère qui prend des cours à l'Université. Elle a
emmené sa fille de 6 mois à l'hôpital parce qu'elle souffre d’un épisode de diarrhée aqueuse et
non sanguinolente. Le diagnostic de laboratoire indique que l'agent étiologique (causal) de cette
diarrhée est un virus. La prise en charge est faite et on lui conseille de passez vacciner son bébé
après résolution des symptômes. Le vaccin qui sera administré à cet enfant sera probablement
1. constitué d’organisme actif à virulence atténuée
2. constitué d’organisme inactif/inactivé
3. constitué d’une protéine de ce virus

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4. 1 ou 2, cela dépend
5. 2 ou 3, cela dépend

R. l’épidémiologie des affections causées par les deux particules suivantes est semblable
1. hépatite B et hépatite A
2. influenza A et hépatite A
3. Hépatite B et VIH
4. Cytomégalovirus et Hépatite C
5. Ebola virus et hépatite B

S. L’infection par le virus Ebola


1. est favorisée par la mauvaise hygiène générale
2. conduit à la destruction des vaisseaux sanguins dans sa forme grave
3. perturbe les réactions de coagulation du sang
4. a un taux de mortalité très élevé
5. toutes ces propositions

T. Le matériel génétique d’un virus est constitué


1. d’ADN et d’ARN et parfois de plasmide comme chez les cellules eucaryotes
2. d’ADN seulement contrairement à ce qu’on rencontre chez les bactéries
3. d’ADN ou d’ARN
4. d’ADN et d’ARN messager utile à la synthèse des protéines virales
5. d’ARN seulement

A. A la question de savoir ce que c’est un virus, monsieur Tabo écrit au cours d’un devoir de virologie
que ce sont des êtres vivant très petits (plus petits que les bactéries) qui sont très nombreux dans
l’environnement. Il ajoute aussi ‘tous sont des agents causaux (étiologies) des maladies graves chez
l’homme et chez certains animaux. Il
1. mérite la totalité de la note pour sa réponse
2. ne mérité qu’une fraction de la note pour la question car sa réponse n’est pas complète
3. s’est carrément trompé
4. devrait compléter en ajoutant que leurs ribosomes sont différents de ceux qu’on retrouve chez les
cellules eucaryotes
5. devrait compléter en ajoutant que leurs ribosomes ressemblent à ceux qu’on retrouve chez leurs
cellules hôtes

B. Sur la figure de la particule virale ci-jointe, les éléments A, B, C et D représentent respectivement


1. la membrane plasmique, la membrane nucléaire, le matériel génétique et le virion
2. un capsomère, l’enveloppe, le matériel génétique et le virion
3. l’enveloppe, le virion, le matériel génétique et un capsomère
4. l’enveloppe, le cytosquelette, le matériel génétique et le virion
5. aucune des combinaisons ci-dessus

C. Chez les virus enveloppés,


1. l’enveloppe est dérivée de la membrane de la cellule hôte
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2. la synthèse des lipides de l’enveloppe est codée par des gènes portés par le génome viral
3. les protéines de l’enveloppe sont héritées de la membrane nucléaire de la cellule hôte
3. les unités protéiques constituant la capside sont toutes différentes
4. l’ADN est toujours synthétisé à partir de l’ARN
5. Aucune des propositions ci-dessus ne convient

D. Une infection aigüe par le virus de l’hépatite B peut être reconnue par la détection
1- de l’antigène HBs (HBsAg) pendant moins de 06 mois
2- de l’antigène HBs (HBsAg) pendant plus de 03 mois
3- des anticorps anti HBs (HBsAc) pendant plus de 06 mois
4- des anticorps anti HBs (HBsAc) pendant plus de 03 mois
5- de l’antigène HBc (HBcAg) pendant plus de 03 mois

E. Au cours de la phase réplicative d’une hépatite B chronique,


1. La valeur sérique de l’alanine aminotransferase (ALT) est similaire à la normale attendue dans le
sérum
2. La valeur de l’alanine aminotransferase (ALT) est élevée au dessus de la normale attendue dans le
sérum
3. L’ADN viral est détectable dans le sang
4. 1 et 3 conviennent
5. aucune des propositions ci-dessus

F. Les virus transmissibles par les aliments sont plus probablement


1. des particules enveloppées
2. des particules à ARNm enveloppées
3. des particules non enveloppées
4. des virus enveloppé ou non enveloppé, cela dépend
5. Aucune des propositions ci-dessus

G. Un cycle de réplication viral typique comprend de façon globale les étapes successives suivantes :
1. attachement, pénétration, libération du matériel génétique, multiplication, assemblage et libération
2. multiplication, attachement, libération du matériel génétique, assemblage et libération
3. Pénétration, attachement, libération du matériel génétique, multiplication, assemblage et libération
4. attachement, libération du matériel génétique, multiplication, assemblage et libération
5. attachement, bourgeonnement, libération du matériel génétique, multiplication, assemblage et
libération

H. Tout les virus


1. sont si petits qu’ils ne sont visibles qu’au microscope électronique
2. contiennent les ribosomes nécessaires à leurs synthèses protéiques
3. ont un génome constitué de très nombreux gènes
4. ont une molécule d’ADN bicaténaire/double brins entourée par une capside
5. ne répondent à aucune des propositions ci-dessus

I. Chez un virus enveloppé,


1. les protéines de reconnaissance (ligands) sont codées par des gènes portés par la cellule hôte
2. les protéines de reconnaissance (ligands) sont codées par des gènes portés par le virus
3. les protéines de reconnaissance (ligands) sont toutes identiques
4. 1 et 3 conviennent
5. 2 et 3 conviennent

J. Chez un virus à ARN sens-positif,

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1. l’information portée par le génome doit subir des modifications pour être traduite en protéine
2. l’information portée par le génome est directement traduite en protéine
3. il y a toujours retro-transcription (transcription inverse) dans les processus métaboliques
4. le processus de réplication ne nécessite toujours pas la présence d’une cellule vivante
5. aucune des propositions ci-dessus ne convient

K. Dans les processus de ‘variolation’


1. c’est la souche virale responsable de la forme majeure de la maladie qui était mieux indiquée
2. c’est la souche virale responsable de la forme mineure de la maladie qui était mieux indiquée
3. il existait un risque que les personnes traitées meurent à la suite du traitement
4. les personnes chez qui le traitement réussissait développaient une immunité totale
5. 2, 3 et 4 conviennent

L. Le petit ZONAN, élève de la maternelle à l’Ecole du Centre développe des symptômes


caractéristiques d’une herpes virale causée par le HSV-1. Conduit à l’hôpital, il reçoit un traitement et
recouvre sa santé. Cet enfant
1. ne pourra plus jamais être infecté par ce virus car il a développé une immunité totale
2. pourra être infecté une deuxième voire une troisième fois par le même virus
3. pouvait porter ce virus sans manifester de symptômes de maladie
4. souffre forcément d’une immunodépression sévère
5. 2 et 3 conviennent

M. Le petit ZONAN, élève de la maternelle à l’Ecole du Centre développe des symptômes


caractéristiques d’une varicelle causée par VZV-1. Conduit à l’hôpital, il reçoit un traitement et recouvre
sa santé. Ce virus
1. est une particule à ARN enveloppée
2. est transmis à travers les aérosols (comme la projection de salive)
3. est un rétrovirus de très petite taille
4. causent la maladie (indifféremment) chez les enfants et les adultes à travers le monde
5. subit sa réplication dans le cytoplasme de la cellule hôte

N. Pour produire de nouvelles particules virales (se répliquer), les virus


1. peuvent contaminer les aliments comme la viande (riche en protéines et en calcium) et se multiplier
aisément
2. ne peuvent infecter que des cellules vivantes
3. forment une capsule pour échapper aux stress environnementaux
4. possèdent un mécanisme particulier qui leur permet d’insérer des protéines spéciales à l’intérieur du
génome/matériel génétique de la cellule hôte
5. les propositions 3 et 4 conviennent

O. Un médecin reçoit dans ses services deux patients âgés de 06 et 49 ans chez qui les tests
sérologiques indiquent la présence du virus de l’hépatite B. Un examen des dossiers médicaux indique
que tous deux ont contracté le virus in y a 2 et 4 mois respectivement. Chez le patient de 06 ans
1. la probabilité de se débarrasser du virus dans les mois avenir est plus élevée
2. le risque de développer une hépatite chronique que celui de 49 ans
3. a autant de chance de développer une hépatite chronique que celui de 49 ans
4. toutes les propositions ci-dessus sont admissibles, mais ça dépend
5. aucune des propositions ci-dessus

P. les virus peuvent infecter toutes les formes de vie (humains, animaux, végétaux, bactéries, etc.).

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Ceux des virus qui infectent les bactéries sont appelés
1. bactériophage
2. cytomégalovirus (CMV)
3. virus lytique
4. poliovirus
5. virus à ARN (+)

Q. Le petit Fabou âge de 05 ans présente une fièvre modérée et des lésions au niveau des lèvres ajouté à
un léger mal de gorge. Conduit à l’hôpital par sa mère, les analyses biologiques révèlent qu’il souffre
d’une infection virale causée par un virus à ADN. Ce virus peut également attaquer les gencives, être à
l’origine des conjonctivites et des encéphalites dans les cas les plus compliqués. Ce virus
1. a son étape de latence dans les leucocytes et les cellules rénales
2. A son étape de latence dans les ganglions dorsaux avec le cytomégalovirus
3. a son étape de latence à l’intérieur des ganglions dorsaux
4. Subit sa réplication dans les cellules souches des cellules sanguines
5. 3 et 4 conviennent

R. Citer les atouts qui ont permis d’éradiquer la variole

S. Quels sont les courants d’idées qui essayent d’expliquer l’origine des virus ?

T. Le coronavirus
a. peut être transmis par les animaux domestiques
b. peut être transmis par les animaux sauvages
c. peut être contracté à partir des aliments crus
d. peut être prévenu par la vaccination

U. Immunization is good for the following entities


a. Human
b. Pet animals
c. Human end pet animals
d. human and animal in general, if possible
e. none of the above

V. For coronavirus the following, is true


a. There are four types of immunization preparations
b. people in some age ranges are more vulnerable
c. the virus is an enveloped RNA single Stranded positive sense particle
d. Four genera of coronaviruses have been identified

W. People likely to play crucial role in coronavirus disease prevention are


a. male/man
b. female/women
c. school children
d. Students
e. Health personnel

X. Distinguish HIV seropositivity and AIDS

y. What roles do integrase and retro transcriptase play in HIV infection

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Z. state three characteristics shared and three characteristics that discard the HIV HBV viral particles

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