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Cycle préparatoire 1 ère Année Matière Chimie 1 (rappel) Enseignant TD : N.R.MOULOUEL
Constantes universelles
Joule J
Énergie cinétique Ec= ½ m.v 2
1 kg. m2.S-2
Définitions
La chimie est la science qui étudie comment se combinent les noyaux et les électrons pour
former les divers éléments et des édifices plus complexes, les molécules.
L'atome est une quantité de matière infiniment petite, l'ordre de grandeur de sa masse est
10-26kg. La dimension de l'atome est de quelques angströms (Å) : l Å=10-8 cm = 10-10 m.
Son noyau est 100000 à 1000000 de fois plus petit que l’atome.
L’unité de masse atomique l’u.m.a équivaut au douzième de la masse d’un atome de carbone 12.
La mole est définit comme un ensemble constitué de NA (atomes, molécules, ions ou autre
espèce microscopique). Les molécules formées d’atomes sont très petite de l’ordre de celui-
ci, il nous faut donc un tres grand nombre de molécules pour que la quantité de matière soit
mesurable.
La masse molaire atomique d'un élément comportant plusieurs isotopes se calcule par une moyenne
pondérée des masses molaires atomiques des isotopes ou les coefficients de pondération sont les
fractions molaires des isotopes. Ceci explique le fait que la masse réelle d’un atome diffère de A.
16 17 18
EX : l’oxygène possède trois isotopes O O O
99,76% 0,04% 0,20%
Mat = 0.9976*16+0.0004*17+0.002*18
La masse atomique de l’oxygène sera égale à 16.0043g au lieu de 16g.
La formation d’un noyau à partir des particules fondamentales donne lieu à la libération d’une
énergie considérable correspondant à une perte de masse (défaut de masse) appelée l’énergie de
cohésion du noyau (∆m).
∆E=∆m.C2
Expérience de MILLICAN :
1- En absence du champ magnétique (Fe= 0) la gouttelette atteint une vitesse limite par conséquent
2- En présence du champ magnétique Fe, dans un sens opposé à la force de son poids, la gouttelette
est freinée pour une valeur de potentiel bien déterminée. On calcule la valeur de q
Remarque : grâce aux travaux de J.J THomson et R.Millikan on a pu calculer la masse de l’électron
- Une déviation de l’ion dans un champ magnétique de force 𝐹 donnant lieu à une trajectoire
circulaire de rayon : R = m. v / q. B
Nous décrivons deux types de spectromètre de masse comme suit :
Spectrographe Bainbridge
∑F=ma
Fm = m.a
Ri= mi.v/q.B
Spectrographe Dempsler
Ec = ½. m.v2 = q.U
v2 = 2.q.U/m ……. 1
On combinant 1 et 2 on aura R
La lumière : les expériences de diffraction et d’interférence impliquent que la lumière est une onde
électromagnétique. Caractérisée par ʎ longueur d’onde et y = y0 sin(ω t – φ) amplitude.
Les phénomènes qui présentent un échange d’énergie ne peuvent s’interpréter que par
l’existence de particules appelées photons.
E=m.c 2 = hυ = hC/ʎ
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Louis De Broglie associe à toute particule en mouvement ayant une masse et une vitesse une
longueur d’onde ʎ tel que :
ʎ= h/m.v
cette hypothèse de De Broglie a pu être vérifiée expérimentalement par Davison et Germer grâ ce
aux phénomènes de diffraction électronique.
L’effet photoélectrique :
Soumis à un flux lumineux, un métal peut émettre des électrons et vis versa. on montre que :
L’émission photoélectrique n’a lieu que si υ>υ0 (υ0 seuil de fréquence et est
caractéristique du métal considéré).
L’énergie cinétique des électrons arrachés (donc la vitesse) ne dépend pas de l’intensité
du rayonnement mais de sa fréquence.
L’intensité de courant produit est liée à l’intensité lumineuse du rayonnement.
U0 = mv2/2.e
Balmer observe un spectre de raies produit par la décharge électrique dans l’hydrogène. Cette série
de raies qui maintenant porte son nom est située dans le visible et le proche U.V.
Bohr après lui a interprété de manière satisfaisante ce spectre de l’atome d’hydrogène en utilisant la
quantification de l’énergie. La théorie de Bohr repose sur trois postulats.
Postulat 2 : lors du passage d’une orbite Postulat 3 : moment cinétique quantifié
d’énergie E1 à une autre orbite d’énergie E2, Pour une orbite circulaire donnée il faut que la
les electrons absorbent ou émettent de longueur totale de la trajectoire (2π r) soit un
l’énergie ∆E=E2-E1= h.υ =h.c/ʎ nombre entier de la longueur d’onde
électronique. Donc : 2π r =n. ʎ= n. h/m.v
L’énergie est quantifiée
m.v.r = n.h/ 2π
Détermination du rayon puis l’énergie des orbites circulaire dans le cas de l’atome d’hydrogène
En égalisant les forces et en élevant le moment cinétique au carré on peut éliminer la vitesse v 2 et on
obtient l’expression du rayon :
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Aspect énergétique
Et= Ec+Ep =1/2 mv2 – z.e2/4πε0 r L’énergie du système noyau électron est égale à
Transition électronique : lorsqu’un électron passe d’un nivaux ni à nivaux finale nf soit en absorbant
(∆E> 0) ou en émettant de l’énergie (∆E< 0) la longueur d’onde correspondant au photon peut être
calculée par la relation :
∆E = Ef-Ei = h.c/ ʎ = -13.6. Z2 [1/nf2 – 1/ ni2] 1/ʎ = -13.6 /h.c. Z2 [ 1/nf2 – 1/ ni2]
1/ʎ = -13.6 /h.c. Z2 [ 1/nf2 – 1/ ni2] on pose RH= 13.6/ h.c = 1.097 107 m-1 constante de Rydberg
Energie d’ionisation : c’est l’énergie à fournir pour faire passer l’électron de l’état fondamental à
l’infini E∞ - E1= 0- (-13.6)=13.6
En = En = -13.6. Z2/n2 ∆E= -13.6 [ 1/nf2- 1/ni2] la vitesse de l’électron autour du noyau
Pour une particule macroscopique il est toujours possible de déterminer à tout instant la position et
la vitesse du mobile. A l’échelle atomique, la position et la quantité de mouvement d’une particule
ne peuvent pas être connues avec certitude.
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Heisenberg a montré que l’incertitude sur la position ∆ x est liée à l’incertitude sur la quantité de
mouvement ∆ p soit
avec
•Le modèle ne peut pas expliquer le dédoublement des raies dans le spectre de l’atome d’hydrogène
obtenu en présence du champ magnétique (effet Zeeman).
•Pour les atomes polyélectroniques, ce modèle ne parvient pas à définir et à calculer l’énergie et la
position des électrons.
Les notions de position de l’électron ou d’orbite ne sont plus adaptées. Seule peut être évaluée
la probabilité de présence dP de l’électron dans un petit volume dV autour d’un point M donné,
sachant que :