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À
PRINCEELU27@yahoo.fr
fév 15 à 7h34 AM
De nombreux lecteurs m’écrivent pour me demander si vraiment, un fruit aussi sain que le
pamplemousse peut être dangereux pour la santé.
Les risques du pamplemousse sont majeurs, avec de nombreux médicaments. Les effets
indésirables de ces médicaments peuvent être multipliés par 20 par un simple verre de jus de
pamplemousse, avec des conséquences potentiellement fatales.
Le problème est que le pamplemousse contient des produits actifs appelés furanocoumarines,
qui bloquent de façon irréversible un de nos enzymes, le CYP3A4.
Or, cet enzyme CYP3A4 est précisément celui qui sert à assimiler de nombreux médicaments
contre le cancer, l’hypertension, les problèmes cardiovasculaires, les problèmes urinaires, ainsi
que des médicaments immunodépresseurs (qui affaiblissent le système immunitaire) et des
anti-infectieux, des analgésiques (antidouleur) et des tranquillisants (la liste de ces
médicaments est à la fin du message).
Voici donc ce qui arrive aux personnes qui prennent du pamplemousse en même temps que
ces médicaments :
Leurs médicaments passent dans leur sang et ne sont pas « consommés » comme ils devraient
l’être, (en langage médical, on dit « métabolisés »), parce que l’enzyme est bloqué. La
concentration sanguine en médicament s’élève, jusqu’à atteindre l’overdose, avec des effets
graves incluant « mort subite, blocage rénal aigu, arrêt de la respiration, saignements gastro-
intestinaux, destruction de la moelle osseuse chez les personnes ayant un système immunitaire
affaibli. » (1)
85 médicaments concernés
Malheureusement, il existe de plus en plus de médicaments qui sont métabolisés par l’enzyme
CYP3A4 – et dont la métabolisation est donc bloquée par la consommation de pamplemousse.
Le risque d’accident s’est donc considérablement élevé, et justifie aujourd’hui que chacun
veille à ce que les médicaments qu’il prend ne soient pas incompatibles avec le
pamplemousse.
Ceci est d’autant plus important que l’effet se produit même avec des petites doses, que le
pamplemousse soit consommé tel quel ou sous forme de jus.
Les personnes de plus de 45 ans compensent moins bien les concentrations excessives de
médicaments dans le sang, et sont donc particulièrement vulnérables, surtout que ce sont elles
qui consomment en général le plus de pamplemousses.
Si vous prenez des médicaments, vous n’êtes pas forcément obligé d’arrêter le pamplemousse.
et qui sont métabolisés par l’enzyme CYP3A4, ou cytochrome P450 3A4, ce que vous
pouvez vérifier sur la notice.
Vous trouverez ci-dessous la liste des médicaments principaux concernés : je vous donne les
noms des molécules (génériques), et pour certains le nom commercial.
Bien à vous,
Jean-Marc Dupuis
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Sources :
(1) Étude menée par l’Université Western à London, en Ontario, publiée dans le Journal de
l’Association médicale canadienne
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peuvent être considérées comme des conseils médicaux personnalisés. Aucun traitement ne
devrait être entrepris en se basant uniquement sur le contenu de cette lettre, et il est fortement
recommandé au lecteur de consulter des professionnels de santé dûment homologués auprès
des autorités sanitaires pour toute question relative à leur santé et leur bien-être. L’éditeur
n’est pas un fournisseur de soins médicaux homologués. L’éditeur de cette lettre d'information
ne pratique à aucun titre la médecine lui-même, ni aucune autre profession thérapeutique, et
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Cher lecteur,
Comment vous sentiriez-vous si on vous retirait un organe, et que vous appreniez ensuite que
ce n'était pas nécessaire ? Vous auriez pu traiter le problème avec un remède naturel... mais
personne ne vous l'avait dit.
C'est ce qui arrive chaque année à des milliers de personnes faussement diagnostiquées d'un
cancer du sein ou de la prostate. De même, les maladies résistant aux antibiotiques font de plus
en plus de victimes alors qu'elles peuvent souvent être guéries par des traitements alternatifs
comme l'argent colloïdal ou certaines huiles essentielles.
C'est pour vous éviter ce type de tragédies que nous publions le mensuel Alternatif Bien-Être.
Main dans la main avec l'industrie pharmaceutique, la médecine officielle impose des
protocoles de plus en plus lourds et dangereux. Par contre, elle n'hésite pas à vous cacher –
vous interdire ! – des solutions naturelles, simplement parce qu'elles n'entrent pas dans ses
schémas de pensée :
Ces produits naturels sont sans danger. Mais aujourd'hui, ces mêmes maladies sont traitées
avec :
du Roaccutane, qui dessèche la peau, et tue les fœtus chez les femmes enceintes ;
On déplace les problèmes, sans les résoudre. On fait parfois pire. Et c'est pour revenir à une
médecine naturelle, de bon sens, respectueuse du corps, que je vous propose de vous abonner à
l'essai, pour un an, à Alternatif Bien-Être.
accompagner les maladies graves : ce qu'il faut manger pendant une chimio ; les
micronutriments qui nettoient les artères ; sortir de la dépression sans médicament ; ralentir
Parkinson avec le glutathion... Un dossier complet traite des solutions naturelles aux maladies
lourdes dans chacun de nos numéros ;
vous protéger des sectes et des charlatans : les inventeurs de génie existent ; les escrocs
aussi. Nos experts vous disent la vérité sur les thérapeutes poursuivis par les autorités ;
sélectionner pour vous les bons produits : Internet est une jungle. Nous vous indiquons
les vendeurs fiables de compléments alimentaires, plantes et produits naturels ; vous
économisez de l'argent et guérissez plus vite ;
vous avertir des médicaments inutiles et dangereux avant les grands médias : sur les
dangers des médicaments anti-cholestérol (statines), nos lecteurs ont eu 5 ans d'avance ; sur
les adjuvants dans les vaccins : 12 ans ; sur la pilule : 8 ans ; sur l'aluminium dans les
déodorants : 5 ans. Soyez informé avant qu'il ne soit trop tard ;
découvrir les remèdes des cinq continents : vous avez 95 % de risque de mourir d'une
maladie pour laquelle il existe déjà une solution, quelque part dans le monde. La médecine
moderne est cloisonnée mais nos experts internationaux vous informent des solutions
pratiquées dans toutes les cultures.
Elles peuvent venir d'Amazonie, d'Inde, de Chine, des Etats-Unis... ou d'une équipe de
chercheurs tout près de chez vous.
Votre médecin lui-même n'en sera pas informé avant des années : la procédure d'agrément des
nouvelles thérapies dure aujourd'hui quinze ans en moyenne.
Mais vous pouvez décider aujourd'hui de rejoindre les lecteurs d'Alternatif Bien-Être et vous
aurez accès aux dernières découvertes naturelles pour soigner les maladies cardiaques, le
cancer, le diabète, l'arthrose, les problèmes de prostate, d'incontinence, d'angoisse, de
dépression, de perte de mémoire, de peau, de vue, de cheveux, de sommeil, vous pouvez
continuer la liste !
ils savent que la prévention est le meilleur des médicaments : 4 à 6 gouttes par jour de
vitamine D3 réduiront votre risque de cancer, d'Alzheimer, de dépression et de mort
prématurée ; plus d'oméga-3 et moins d'oméga-6 vous protégeront des maladies cardiaques ;
surveiller la charge glycémique de vos aliments empêcheront l'obésité et le diabète. Ce n'est
en général pas un hasard lorsqu'une personne arrive à cent ans en bonne santé et nous vous
donnons les trucs qui font la différence ;
ils aident leurs enfants, et les personnes qui les entourent, à faire bon usage de la
médecine : pour les urgences, la médecine moderne est plus efficace. Pour les maladies
chroniques (dépression, diabète, arthrose, herpès...), les petits maux du quotidien, les
médecines douces soulagent à long terme. Nous révélons comment ;
ils bénéficient des thérapies pratiquées aux 4 coins du monde : la moule aux orles
vertes préserve les Maoris del'arthrose ; le maté des indiens Guaranis libère de la fatigue,
des maux de tête et des rhumatismes ; lagymnema sylvestris utilisée en médecine
ayurvédique (Inde) supprime les envies de sucre naturellement pour le diabète ;
ils apprennent à se servir des compléments alimentaires, des plantes, des huiles
essentielles, du silicium organique, des probiotiques, de l'argent colloïdal, de la sève de
bouleau, du vinaigre de cidre, de la propolis, du miel manuka et des milliers de produits qu'on
trouve dans la nature et qui ont chacun leurs indications précises.
Quoi qu'en pensent les absolutistes de la m&eacu te;decine moderne, nos ancêtres ont été
soignés pendant des siècles par des personnes qui avaient une habileté à remettre en place les «
nerfs froissés » et les « tendons qui sautent », à « dénouer les muscles », soigner les foulures,
les articulations démises et même les fractures. Cataplasmes, infusions et décoctions étaient
couramment utilisés avec des effets.
Avoir voulu faire table rase de ces savoirs ancestraux a entraîné un gâchis colossal, de même
qu'il est scandaleux d'étouffer les nouvelles réussites de la nutrithérapie, en phytothérapie et en
décodage biologique. C'est condamner des milliers de patients à souffrir alors qu'une solution
naturelle est peut-être à portée de la main.
Et c'est pour lutter contre cette nouvelle forme d'obscurantisme médical qu'Alternatif Bien-
Être existe. Rien que dans notre dernier numéro, nos lecteurs ont pu découvrir des solutions
aussi diverses que :
les liens entre vaccin contre la grippe et risque augmenté de narcolepsie (une maladie
grave et incurable) ;
le nouvel espoir pour les chauves, tenant compte des dernières découvertes sur les
cellules souches ;
Dans ce numéro, nous mettions également en garde nos lecteurs contre des produits courants
qui présentent un danger pour la santé.
Remplacer les produits dangereux qui sont chez vous par des alternatives
saines
Vous avez peut-être remarqué, que, pour remplacer l'aluminium dans les déodorants, les
fabricants proposent des produits à la pierre d'alun. En réalité, la pierre d'alun, toute naturelle
qu'elle soit, contient exactement les mêmes sels d'aluminium, et présente donc les mêmes
dangers pour le cancer du sein !
Nous suivons pour vous les derniers résultats des études de toxicologie. Vous savez ainsi à
quoi vous en tenir sur les additifs alimentaires (colorants, conservateurs...), les plastiques et les
cosmétiques. Le bisphénol A et les parabens sont souvent remplacés par des produits moins
médiatisés, mais plus dangereux pour le corps. Nous vous indiquons lesalternatives saines.
Vous pouvez vous inscrire maintenant et télécharger immédiatement ce dossier, ainsi que le
numéro en cours d'Alternatif Bien-Être, qui vous sont tous deux offerts en plus d'une année
complète d'abonnement (douze numéros).
Si vous vous abonnez depuis la France métropolitaine, vous bénéficiez aussi d'une double
garantie supplémentaire grâce à la nouvelle norme européenne de paiement SEPA :
Le montant de votre abonnement ne sera prélevé qu'à la fin de votre période d'essai,
soit dans 3 mois. Si pour quelque raison que ce soit, vous décidez d'annuler votre
abonnement,vous ne serez pas prélevé du tout, et vous pourrez garder, gratuitement, tous les
numéros que vous aurez reçus ainsi que vos cadeaux de bienvenue.
Votre paiement est encore sécurisé par votre banque. La nouvelle norme de paiement
SEPA a été créée spécialement pour sécuriser les paiements sur Internet. Ainsi, vous avez
aussi la possibilité d'être remboursé, sans frais, par votre banquejusqu'à 8 semaines après le
paiement (en passant par nos services, il n'y a pas de limite pour annuler votre abonnement) ;
Cette norme est déjà déployée par EDF, GDF, et les opérateurs téléphoniques. Enfin,
envous abonnant aujourd'hui,vous bénéficiez d'une réduction exceptionnelle de 50 % par
rapport au prix normal annuel, soit 19 euros au lieu de 38 euros pour la version électronique,
en PDF.
Chaque numéro fait 28 pages. Cela peut donc être long et fatiguant à lire sur écran. L'imprimer
peut coûter cher, à la longue, et il n'est pas toujours facile d'archiver des feuilles volantes.
Nous vous envoyons donc, si vous le souhaitez, vos numéros d'Alternatif Bien-Être en format
papier, reliés, bien exécutés. Ce sera pour vous plus agréable à consulter et plus facile à
conserver.
Toutefois, l'imprimer, le mettre dans une enveloppe adressée à votre nom, et payer le timbre
pour la France nous coûte 1,25 euros par numéro, ce qui nous oblige à vous demander une
participation supplémentaire de 15 euros par an (douze numéros). L'abonnement papier coûte
donc 19 euros (offre spéciale en format électronique), plus 15 euros, soit en tout34 euros par
an.
Dans tous les cas, vous bénéficiez bien sûr aussi de la garantie de remboursement intégrale
pendant trois mois,
PLUS le nouveau numéro d'Alternatif Bien-Être (que vous recevrez sur votre messagerie
immédiatement après vous être abonné)
PLUS le Grand Dossier Anti-Cancer (que vous recevrez aussi immédiatement sur votre
messagerie).
Ceci est à tout point de vue la meilleure offre que nous puissions faire pour accueillir les
nouveaux lecteurs d'Alternatif Bien-Être. Je vous remercie et espère pouvoir vous souhaiter,
dans quelques minutes, la bienvenue parmi les lecteurs d'Alternatif Bien-Être. Je vous
encourage à en profiter aujourd'hui (lien cliquable).
A très vite,
Jean-Marc Dupuis
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L'arnaque du cholestérol
J'ai déclenché un mini-scandale il y a quelques temps en écrivant noir sur blanc dans cette
lettre que les médicaments contre le cholestérol (les « statines ») provoquent une telle cascade
d'effets secondaires qu'elles peuvent carrément aggraver l'état de santé du patient.
Hé oui, ça ne se fait pas souvent que quelqu'un ose écrire une chose pareille. C'est même
considéré comme un délit dans notre système de santé organisé pour vendre un maximum de
médicaments, et je m'attends à des ennuis avec les autorités.
Les statines sont l'exemple type de la pilule chimique « miracle », présentée au public comme
efficace contre les maladies du cœur, alors qu'il n'a jamais été prouvé qu'elles diminuent le
risque de mortalité.
Bien au contraire : les recherches (honnêtes) montrent que les statines diminuent les facteurs
d'énergie musculaire, (1) à commencer par celle du myocarde (muscle du cœur), le comble
pour un médicament donné aux personnes qui ont le cœur fragilisé par un infarctus !!
Quant à la baisse du taux de cholestérol, bien réelle après avoir avalé une pilule de statines, on
s'aperçoit aujourd'hui qu'elle n'entraîne nullement la baisse du risque d'infarctus ni d'attaque
cérébrale. (4)
C'est que le cholestérol ne bouche pas à lui seul les artères, comme des chercheurs en ont fait
l'hypothèse dans les années soixante ; aujourd'hui, on sait que vous pouvez parfaitement avoir
un taux élevé de cholestérol et vous porter comme un charme.
Par contre, les personnes qui ont un faible taux de cholestérol ont un risque de dépression et de
mortalité plus élevé que les autres. Et la raison est simple :
Cependant, depuis les années soixante, la majorité des médecins ont cru que, malgré tous ses
bienfaits pour le corps et l'esprit, le cholestérol posait aussi un danger pour les artères.
Ils avaient en effet imaginé que, tel le calcaire se déposant sur votre robinetterie, le cholestérol
pouvait se déposer le long des artères jusqu'à les boucher et déclencher une embolie (blocage
de la circulation sanguine).
C'était, dans leur imagination, la cause de l'infarctus si l'embolie avait lieu dans la région du
cœur, ou d'un accident vasculaire cérébral (AVC) si elle avait lieu dans le cerveau.
En réalité, 75 % des gens ayant des crises cardiaques ont un taux de cholestérol normal. (5)
Lors d'un récent colloque de la British Medical Association, le Dr Malcom Kendrick a montré
qu'un taux de cholestérol élevé n'entraîne pas de maladie cardiaque. En utilisant les données du
projet MONICA de l'Organisation Mondiale de la Santé dans quinze populations, il a
montré l'absence de relation entre le risque de maladies cardiaques et le taux de cholestérol.
Le problème apparaît lorsque votre sang contient des « molécules carnivores », qui griffent la
paroi de vos artères et y font des trous.
Ces molécules carnivores sont appelées les « radicaux libres ». Elles proviennent de
l'environnement (gaz d'échappement, fumée de cigarette, polluants), de la mauvaise
alimentation, et des déchets naturels dus à la production d'énergie par vos cellules. Ces
radicaux libres rongent les parois de vos artères comme l'oxygène rouille une barre de fer
humide.
Heureusement, au lieu de se laisser attaquer sans rien faire, votre corps réagit en réparant les
fissures dans la paroi de vos artères grâce à un ciment spécial et plus efficace que l'enduit de
rebouchage vendu chez Leroy-Merlin : le cholestérol, mélangé à du calcium et d'autres
substances.
Vous comprenez donc que, au départ, cette réaction de votre corps est non seulement
souhaitable, mais même indispensable à votre survie !
Un problème de santé n'apparaît que si vous laissez ces « molécules carnivores » se multiplier
et attaquer la paroi de vos artères encore et encore. En effet, votre corps va rajouter des
couches de ciment jusqu'à ce que se forme une couche problématique, la plaque artérielle (ou
plaque athéromateuse, dans le vocabulaire médical).
Comment lutter contre ces molécules carnivores (radicaux libres) ? Comment empêcher ces
substances agressives d'apparaître, et les éliminer si elles tentent une offensive ?
Les anti-oxydants sont des composés chimiques qui ont cette capacité remarquable de détruire
les radicaux libres, dès qu'ils sont mis en contact : ils transforment ces molécules carnivores,
qui attaquaient la paroi de vos artères, en des corps inoffensifs et doux comme des moutons,
qui glissent dans le flux sanguin sans plus chercher à griffer ni à faire des trous.
Fruits et légumes frais sont bourrés d'anti-oxydants, surtout lorsqu'ils sont colorés en vert
(épinards, blettes, petits pois), en rouge (poivrons, tomates, cerises, groseilles), en bleu
(myrtilles, mûres, cassis, aubergine avec la peau), mais on en trouve aussi énormément dans le
pamplemousse, le raisin et le vin. Ces anti-oxydants qui parfument et colorent les végétaux
s'appellent des « polyphénols ».
La meilleure façon d'avoir votre dose quotidienne d'anti-oxydants est de manger beaucoup de
fruits et légumes mûrs etfrais, de saison, et si possible au plus proche de leur forme naturelle,
c'est-à-dire peu ou pas cuits ni transformés.
Préférez les fruits et légumes biologiques, cultivés près de chez vous : moins ils auront été
transportés et stockés dans des frigos, plus ils seront riches en anti-oxydants.
Bien entendu, il n'est pas toujours possible, tous les jours, de manger autant de fruits et
légumes frais que nécessaire et c'est pourquoi beaucoup d'entre nous prenons des anti-
oxydants sous forme de jus spéciaux (comme le jus de grenade par exemple) ou de
compléments alimentaires, dont les plus répandus sont la vitamine E et la vitamine C mais il
ne faut jamais oublier qu’aucune pilule ne peut remplacer les bénéfices des fruits et légumes.
De même, à l'intérieur de votre corps, dès que vos anti-oxydants agissent pour détruire des
radicaux libres, ils sont à leur tour oxydés, et ne peuvent plus avoir d'effet.
Pour qu'ils soient à nouveau efficaces, votre corps doit régénérer ces anti-oxydants, et il ne
peut le faire que s'il contient des enzymes recycleurs. Et il est possible d’améliorer le
fonctionnement de ces enzymes recycleurs grâce au co-enzyme Q10, ou CoQ10.
C'est déjà un petit miracle en soi ; mais les vertus pour la santé du CoQ10 ne s'arrêtent pas là :
En lui-même, le CoQ10 est une des plus puissantes substances anti-oxydantes qui existe dans
notre corps.
De plus, le CoQ10 est aussi, littéralement, « l'étincelle de la vie », car il intervient directement
dans le cycle de la production d'énergie cellulaire, au niveau de mini-centrales énergétiques
appelées « mitochondries » qui se trouvent dans vos muscles et qui leur permettent de se
contracter.
C'est donc une substance extraordinaire pour les personnes qui vieillissent et ont l'impression
de perdre de l'énergie.
Le CoQ10 possède en effet la propriété remarquable d'aider les mitochondries à convertir les
graisses et les sucres en adénosine triphosphate (ATP), principale source d'énergie des
muscles, et en particulier du myocarde (muscle du cœur).
A noter que les bienfaits du CoQ10 ne se limitent pas au cœur, loin de là : il est présent dans
tout l'organisme, notamment dans les muqueuses des gencives et de l’estomac, dans les tissus
de tous les organes qui jouent un rôle dans le système immunitaire, dans le foie, les reins et la
prostate. D'où son autre nom d’« ubiquinone » (qui a la même étymologie que le mot «
ubiquité », qui veut dire « omniprésence »).
Ce sont les Japonais qui en ont découvert ses propriétés au début des années 1960. Il est
prescrit au Japon depuis 1974, et des millions de patients en prennent quotidiennement. Mais
la plupart des médecins occidentaux continuent à ignorer superbement le CoQ10, allez savoir
pourquoi.
Peut-être parce que c'est une molécule naturelle, donc non brevetable, et qui n'intéresse donc
pas l'industrie pharmaceutique ?
Sans CoQ10, votre corps ne parvient plus à régénérer vos anti-oxydants (vitamine E et C, ainsi
que les polyphénols). De plus, la production d'énergie cellulaire est fortement entravée.
Pour toutes ces raisons, il peut être nécessaire de prendre du CoQ10 sous forme de
compléments alimentaires. Mais cela est plus vrai encore pour les personnes qui prennent des
statines :
Il pourrait s'agir d'un des plus grands scandales de l'histoire de la pharmacie moderne.
En effet, les statines font baisser le niveau de cholestérol en bloquant sa production dans la
voie métabolique du mévalonate, qui est précisément la voie où est également produit... le
CoQ10 !!
La prise régulière de statines bloque donc la production de CoQ10 en même temps qu'elle
bloque la production de cholestérol ! (6) Cela aboutit à une baisse du niveau de CoQ10 dans
les mitochondries, et donc à une baisse de la production d'énergie cellulaire, avec des effets
évidents sur les muscles, à commencer par le cœur — et une plus grande vulnérabilité aux
radicaux libres.
Prendre du CoQ10 pourrait donc être crucial pour les personnes sous statines, à tel point que
des médecins aux Etats-Unis militent depuis 10 ans pour que la prise de CoQ10 devienne
obligatoire avec les statines ! (7)
Mais savez-vous quelle quantité d'ATP votre organisme produit, chaque jour ?
L'équivalent de votre poids corporel.
Ainsi, si vous faites 65 kg, vos mitochondries doivent fabriquer 65 kg d'ATP par jour, et votre
CoQ10 est donc mobilisé en permanence à cette tâche exténuante. Tous vos muscles ont une
soif inextinguible de CoQ10, en particulier votre muscle cardiaque car son métabolisme est le
plus actif de tous les tissus.
Il est donc choquant que la « solution » proposée par la médecine traditionnelle pour guérir des
maladies cardiaques soit de prendre des hypocholestérolémiants, qui font baisser le taux de
CoQ10, ce qui peut effectivement épuiser votre corps.
En fait, des niveaux faibles de CoQ10 dans les tissus et le sang ont été signalés dans un large
éventail de problèmes cardio-vasculaires, par une étude indiquant que plus grande est la
déficience, plus sévères sont les symptômes.
A l'inverse, plusieurs études prouvent que des personnes avec des niveaux élevés de CoQ10
favorisent leurs tissus musculaires, leurs mitochondries et même leur sang, le CoQ10
intervenant dans le fonctionnement des globules rouges (hématies). Ce qui peut provoquer
d'étonnants retournements du destin :
Cinq études contrôlées par placebo, de 1984 à 1991, montrent que l'augmentation du taux de
CoQ10 apporte une amélioration rapide et nette des douleurs à la poitrine, et accroît la capacité
d'exercice physique. L'une de ces études montre que la durée de l'exercice est directement
relative au niveau de CoQ10.
Récupération jusqu'à 90 % plus rapide en cas d'intervention chirurgicale !
De plus, dans une étude spectaculaire publiée en 1983 dans le Journal of Clinical
Investigation, des patients cardiaques ont pris soit un placebo soit du CoQ10 pendant 14 jours
avant la chirurgie et 30 jours après.
Dans le groupe ayant pris du CoQ10, non seulement la circulation sanguine, l'ATP et les
fonctions cardiaques se sont améliorées avant l'intervention chirurgicale, mais leur
récupération a été...
Alors que les patients qui ont reçu le placebo avaient une récupération...
Mais pour être très précis, mon avis est que cela dépend du type de CoQ10 que vous choisissez
:
Vous trouvez sur le marché, trois formes de CoQ10 : la synthétique, la semi-synthétique, et les
molécules naturelles d'extraction.
D'un point de vue moléculaire, les trois formes se ressemblent beaucoup, mais les deux
premières formes sont moins propres, car elles contiennent plus d'impuretés liées aux
molécules.
D'autre part, si vous enquêtez sur les prix, vous vous apercevrez que vous pouvez trouver des
niveaux très variables. Cela s'explique, outre la politique de marge du fournisseur, par l'origine
du CoQ10 qu'ils vendent.
A 25 ou 30 euros la boîte de 60 gélules, ce sera du CoQ10 d'origine indienne. C'est déjà moins
risqué, et tous les lots ne sont pas forcément contaminés, loin de là.
Mais s'il s'agit du corps de mes enfants, de celui de personnes de ma famille, ou du mien, je
préfère payer plus cher et avoir du CoQ10 d'origine des USA ou du Japon, et sous la forme de
molécules naturelles d'extraction (la troisième forme citée ci-dessus). Cela coûte plus cher,
évidemment (40 à 60 euros la boîte).
Encore plus cher, il y a l'ubiquinol, qui est la forme réduite du CoQ10 (ubiquinone). Mais il
s'agit en fait d'une astuce marketing pour des résultats quasi-identiques, qui ne justifient pas à
mon avis la différence de prix. Le seul cas où cela se justifierait serait pour des personnes de
90 ans ou plus, qui ont un système enzymatique très affaibli.
Aucune autre substance n'alimente vos cellules et ne capture les radicaux libres dès leur
apparition — à l'intérieur de la cellule elle-même — tout en travaillant avec d'autres anti-
oxydants pour traquer les inflammations dans tout votre organisme.
Concernant les doses, il est recommandé d'en parler d'abord avec votre thérapeute, mais, d’une
indication à l’autre, il est globalement conseillé de prendre 2 fois 50 mg par jour.
Il vaut mieux prendre les gélules de co-enzyme Q10 au cours d'un repas contenant des lipides,
le CoQ10 étant mieux absorbé en présence d’huile ou de graisse.
Précautions à prendre
Attention, le CoQ10 est tout sauf un produit à « effet placebo », comme voudraient le faire
croire certains. C'est un complément alimentaire qui a réellement un effet, et la preuve en est
qu'il est nécessaire d'abord de consulter votre médecin avant de l'introduire dans votre régime.
Il vous indiquera notamment que :
Le CoQ10 doit être évité chez l'insuffisant hépatique ou la personne porteuse d’une
obstruction des voies biliaires, et chez le diabétique lors de la prescription concomitante de
médicaments hypoglycémiants.
A noter également qu'en cas de complémentation en vitamine E à des taux élevés,
l’augmentation du taux de CoQ10 sera plus lente du fait de la participation de celui-ci à la
régénération de la vitamine E quand elle vient d’être oxydée.
Je ne sais pas ce que je peux faire de plus pour vous encourager à prendre en charge votre
santé cardiaque et préserver vos cellules et votre niveau d'énergie. Il me semble qu'il y a là une
voie phénoménale à explorer, le CoQ10 ayant été désigné comme une des « stars anti-âge »
par le magazine Alternatif Bien-Être (n°66).
A votre santé !
Jean-Marc Dupuis
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Sources :
Golomb BA, McGraw JJ, Evans MA, et al.: Physician response to patient reports of
adverse drug effects: Implications for patient-targeted adverse effect surveillance. Drug Safety
30: 669–675, 2007.
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Cher lecteur,
Aujourd'hui, je vous donne les résultats de mes propres recherches et conclusions sur le
douloureux problème des hémorroïdes, mais je ne prétends pas vous donner toutes les
solutions naturelles.
Si vous souhaitez me faire part de solutions que je n'aurai pas répertoriées, écrivez-moi
àcontact@santenatureinnovation.com.
Les hémorroïdes, qu'elles soient internes ou externes, sont causées par la dilatation et
l'inflammation de veines dans le rectum et sur l'anus.
La principale différence est la douleur : les hémorroïdes internes ne font pas mal parce que les
veines gonflées se trouvent dans la partie haute du rectum, qui n'est pas innervée. Il peut même
n'y avoir aucun symptôme. Mais souvent, vous constaterez que vous avez un peu de sang
rouge dans les selles. Les traces apparaissent sur le papier toilette ou sur la cuve. Le fait que le
sang soit rouge prouve que le saignement a lieu dans la partie inférieure de la voie gastro-
instestinale. S'il a lieu plus haut, dans l'estomac ou l'intestin, il a le temps de coaguler pendant
la digestion et présente une couleur noire.
Les hémorroïdes externes, elles, peuvent faire horriblement mal. Certaines personnes ne
peuvent plus marcher. Non soignées, elles peuvent dégénérer en thrombose, c'est-à-dire
qu'elles deviennent bleu violacées et saignent.
L'origine des hémorroïdes est une pression trop forte dans des veines fragilisées. Cette
pression est provoquée par les problèmes de digestion, causés par une nourriture pauvre en
fibre, la sédentarité (en particulier la vie de bureau), l'obésité. Elle est fréquente également
chez les femmes enceintes mais les hémorroïdes disparaissent après l'accouchement.
Les habitudes aux toilettes peuvent aggraver la situation, provoquant irritations, saignements,
et démangeaisons :
Il est important de ne pas « pousser » aux toilettes. Le mouvement naturel des intestins
doit provoquer l'expulsion des selles sans forcer, le moment venu ; vous pouvez toutefois
exercer une légère pression, jamais plus de quinze secondes de suite, avec vos abdominaux ;
Pour cette raison, il est important de ne pas attendre lorsque vous ressentez l'envie
d'aller aux toilettes. Respectez le rythme naturel de votre digestion ;
Ne restez pas assis plus que cinq minutes d'affilée aux toilettes. Cette position
augmente la pression sur le rectum, ce qui n'est pas exactement le but recherché si vous avez
déjà des veines en train de gonfler et d'éclater. Si nécessaire, levez-vous et aller faire un tour
en attendant que l'envie revienne.
Il ne faut pas frotter de façon excessive avec le papier toilette ; toutefois, la plus grande
propreté est de rigueur, pour éviter inflammation et infections. L'usage d'un robinet d'eau pour
se laver, tel qu'on en trouve dans les pays arabes, explique la moindre prévalence des
hémorroïdes.
La position assise en hauteur sur la cuvette ne favorise pas autant l'expulsion que la
position accroupie, et c'est pourquoi la nécessité de « pousser » peut être d'autant plus forte.
Une étude publiée dans les années 80 avait montré que, chez 18 personnes sur 20, le fait d'aller
aux toilettes en position accroupie avait fait disparaître les hémorroïdes. Je ne suis pas en train
de dire qu'il faut remplacer vos toilettes par un simple trou dans le sol ; mais il est d'autant plus
important d'avoir un système digestif en bonne santé que la position dans laquelle nous avons
l'habitude d'aller aux toilettes n'est pas exactement celle pour laquelle nous avons été conçus.
En effet, ces saignements peuvent avoir d'autres causes, plus graves, dont le cancer colorectal,
qui est une forme répandue de cancer.
A noter que la vitamine D est un des meilleurs moyens de diminuer votre risque de cancer du
côlon. Assurez-vous de prendre votre dose de soleil et de consommer autant de poissons gras
que possible (trois portions par semaine).
Elle peut aussi être causée par l'abus de laxatifs chimiques, le syndrome du côlon irritable, et
l'hypothyroïdie.
Manger une nourriture riche en fibres. Attention, les fibres alimentaires n'ont rien à
voir avec ce qu'on appelle des « fibres » dans le langage courant. Ce n'est pas parce qu'un
aliment est mou, facile à avaler, voir liquide, qu'il ne contient pas de fibres. Il n'y a pas que le
« All Bran ». Par exemple, le jus de poire est exceptionnellement riche en fibres. Les graines
de lins, que vous devez écraser à l'aide d'un moulin à café avant de les consommer, sinon elles
passeront tout rond dans votre système digestif, sont aussi une très bonne source de fibres. Il
existe enfin des graines, originaires d'Inde, qui sont le laxatif naturel par excellence : le
psyllium. Elles étaient déjà utilisées 10 siècles avant Jésus-Christ par les médecins de la
Haute-Egypte et sont toujours aussi efficaces aujourd'hui. Veillez à choisir du psyllium bio.
Allez-y doucement au départ si vous n'êtes pas habitué à manger beaucoup de fibres.
Pour tonifier vos veines, mangez des flavonoïdes. Ce sont les substances qui colorent
les fruits. Vous en trouvez en grande quantité dans les oranges fraîches... mais aussi dans le
vin rouge. En fait, le vin, c'est de l'alcool plus des flavonoïdes en grande quantité. Il semble
également que les populations consommant la moitié de leur graisse sous forme d'huile de
noix de coco vierge aient de meilleures veines, et rarement d'hémorroïdes.
Buvez de l'eau riche en minéraux : la couleur de votre urine vous servira de guide pour
savoir si vous êtes bien hydraté. Elle doit être jaune claire. Si vous prenez des multivitamines,
ne vous étonnez pas cependant d'avoir des urines jaunes éclatantes, résultat de la vitamine B2.
L'eau « Hépar », très riche en calcium, est efficace contre la constipation ;
Consommez des probiotiques de haute qualité. Une bonne flore intestinale ne permet
pas seulement une bonne digestion ; c'est une condition essentielle pour atteindre une santé
optimale.
Enfin, faites en sorte de maintenir votre niveau de stress sous contrôle. Eliminez de
votre existence les sources inutiles d'angoisse, si vous le pouvez. Une vie plus détendue, des
émotions mieux maîtrisées contribueront de façon peut-être décisive à éliminer les problèmes
gastro-intestinaux, et par voie de conséquence les hémorroïdes.
Pour renforcer les veines, le fragon faux houx (Ruscus aculeatus) est votre plante de choix.
Surnommée la « plante des jambes légères », elle contient un glycoside stéroïdien, la
ruscogénine, utilisé dans des pommades pour les hémorroïdes (Ruscorectal) ou les poches sous
les yeux. En effet, sa racine, ou plus exactement son rhizome, a des vertus diurétique et
vasoconstricteur, ce qui signifie qu'elle resserre les veines.
A noter que la ruscogénine est souvent utilisée en association avec la quercétine. C'est un
flavonoïde aux effets anti-inflammatoires qui est souvent associé à la vitamine C, et c'est à elle
que le ginkgo et le millepertuis doivent leurs vertus médicinales. Prendre 200 à 400 mg trois
fois par jour.
Le marron d'Inde (Aesculus hippocastanum) renferme lui aussi des tanins catéchiques, des
flavonoïdes, des dérivés puriques et des saponosides triterpéniques. Ceux-ci constituent
laescine, connue pour des propriétés anti-hémorroïdaires. Il est très utilisé en homéopathie.
En cas d'urgence et si aucune herboristerie ne se trouve à votre portée, vous vous contenterez
de glaçons. Cela n'est efficace évidemment que pour les hémorroïdes externes, et vous
prendrez soin de ne pas appliquer le glaçon directement, mais enveloppé d'un linge pour éviter
de vous brûler la peau avec le froid.
Si vous avez de la crème d'aloe vera, vous pouvez vous en servir pour l'appliquer sur la zone
douloureuse.
Le traitement chirurgical doit être réservé pour les cas graves, en dernier ressort. Il se peut
toutefois qu'il n'y ait pas d'autre solution.
A votre santé !
Jean-Marc Dupuis
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Alors que se multiplient les scandales autour des médicaments chimiques, une petite élite de
personnes bien informées bénéficient, elles, de traitements naturels auxquels le grand public
n'aura pas accès avant des années.
Vous pourriez peut-être faire partie de ce club très fermé, vous aussi. Mais il faut un peu de
temps pour décider. Si vous avez quelques minutes devant vous, rendez-vous sur la page
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En mars 2012, la chaîne ARTE diffusa un reportage intitulé « Le jeûne, une nouvelle
thérapie » qui connut un tel record d'audience qu'il fut rediffusé en septembre 2013. Le
réalisateur, Thierry de Lestrade, publia de plus chez ARTE éditions un livre, du même nom,
avec des témoignages supplémentaires et de nouvelles perspectives.
Pourquoi un tel succès ? Alors que le jeûne est habituellement associé à des pratiques
religieuses (carême des chrétiens, ramadan des musulmans...), il n'était pas du tout question de
Jésus, d'évangiles, ni même de spiritualités. Ce reportage était en effet consacré aux vertus du
jeûne dans le traitement des maladies graves, notamment le cancer, et c'est évidemment cela
qui explique les succès de ce jeûne nouvelle formule.
Il est vrai que de nombreux jeûneurs se lancent dans cette pratique en quête de spiritualité et
d'absolu. Ils contournent la science et se réfugient dans les néo-religions où les gourous de tout
poil sont à la manœuvre.
Toutefois, le sujet intéresse aujourd'hui des scientifiques de haut vol, et même si les
financements (il n'y a rien à vendre…) sont inexistants, les résultats sont tangibles, facilement
reproductibles, et à la portée de chaque malade.
Le jeûne est en effet adapté à l'ensemble des pathologies du « trop » qui délabrent nos
organismes : allergies, rhumatismes, maladies auto-immunes, hypertension, diabète, cancers,
dégénérescence cérébrale… Toutes ces maladies ont un lien direct avec l’alimentation ou
l’exposition à des produits chimiques.
Il faut avoir conscience de cette intoxication délétère pour accepter de se soigner par le vide,
sans écouter les sirènes médicales qui se réfèrent encore à l'obligation vitale d'une alimentation
pluriquotidienne, riche en céréales et en produits laitiers.
Il faut dire que le cadre était propice aux médecines douces. Les médecins « cowboys »
américains faisaient encore plus fort que leurs confrères européens dans l'utilisation de
méthodes fortes pour combattre les maladies. En plus de la saignée, des lavements et des
vomitifs bien connus en Europe, la pharmacie du médecin américain était principalement
composée de produits extrêmement toxiques : alcaloïdes (opium, apomorphine, digitaline) et
sels de métaux tels que le mercure, le plomb, l'arsenic et l'antimoine.
Il ne faut pas s'étonner si c'est là-bas que le public a réagi avec le plus de vivacité aux excès de
la médecine dure. Comme nous l'avons expliqué dans une précédente lettre, c'est aux Etats-
Unis que l'homéopathie connaît le plus grand succès, avec 12 % des médecins qui la pratiquent
au XIXe siècle.
En parallèle, plusieurs médecins s'efforcent de faire connaître les bienfaits du jeûne avec les
méthodes de l'époque. Ainsi le Dr Henry Tanner se met en scène pour un jeûne de 40 jours,
dans un théâtre de Manhattan, sous la surveillance étroite d'une cohorte de médecins
suspicieux qui l'entourent jour et nuit. Son jeûne commence le 28 juin 1880. C'est l'événement
de l'année : de nombreux badauds viennent en permanence encourager le jeûneur, tandis que
les deux journaux leaders New York Times et New York Herald en font une rubrique
quotidienne. Du coup, les journaux de tout le pays embrayent sur cette affaire.
Les lettres d'encouragement affluent de toute la terre, et le jeûne se poursuit sans incident
jusqu'au 7 août, comme convenu. Tanner a perdu 16 kilos, il est vif et bien vivant, et les mises
en garde du corps médical contre les prétendus dangers du jeûne n'effraient plus personne.
Dès lors, et aujourd'hui nous nous retrouvons peut-être dans des circonstances équivalentes, la
voie est libre pour aménager des jeûnes au profit d'une population plus importante. De
nombreux centres de jeûne voient le jour. L'éditeur MacFadden met en place à Chicago un «
Healthatorium », centre de fitness où le jeûne se pratique avec des exercices de sport, des
massages et des saunas. En parallèle s'organisent des réseaux de « drugless physicians », des
médecins qui ne prescrivent aucun médicament et soignent en appliquant homéopathie, jeûne
et manipulations (rappelons que l'ostéopathie fut elle aussi fondée aux Etats-Unis, en 1874, par
A.T. Still).
Mais en quelques dizaines d'années, le corps médical est repris en main. Le savoir est
verrouillé par le système universitaire avec un monopole de fait sur les « bonnes pratiques »,
celles que le « bon » médecin doit appliquer, sans quoi il se met en dehors de la profession, au
civil comme au pénal…
Le jeûne est petit à petit délaissé pour devenir une pratique douteuse exercée par des illuminés
ou des charlatans.
Mais les recherches sur le jeûne se poursuivent, par le plus grand des hasards, de l'autre côté
du Rideau de Fer.
Le médecin Youri Nikolaiev est désigné en 1955 pour soigner l'alcoolisme forcené du fils d'un
dignitaire du Parti, Nicolai Boulganine. C'est un sujet difficile qui a mis en échec de
nombreuses équipes médicales ayant eu recours à la pharmacologie existante. Grâce au jeûne,
il est débarrassé en trois semaines de son addiction, à la grande satisfaction de son père, qui
ouvre la porte de plusieurs services à cette nouvelle thérapie.
Nikolaiev peut alors expérimenter le jeûne auprès d'autres catégories de malades. Il observe
des résultats étonnants chez les dépressifs suicidaires, qui se sentent rejetés et dévalorisés au
sein de leur groupe ou de leur famille. Au bout de deux semaines de jeûne, les voici
généralement moins inquiets et plus intéressés par leur environnement et leur assiette.
Il en est de même des angoissés et des personnes atteintes de TOC (troubles obsessionnels
compulsifs) ou d'enfermement psychique. Gavés de neuroleptiques et vivants dans une bulle,
quelques semaines de jeûne leur permettent de revenir à des rapports sociaux normaux. Les
taux de neuromédiateurs (adrénaline, acétylcholine) se normalisent, ainsi que les rythmes
cérébraux.
Asthme et hypersensibilité
Ces maladies « modernes » étaient déjà bien répandues en URSS dans les années 50. Les
malades, comme en Occident, avaient leur dose de ventoline (bronchodilatateur) et de
corticoïdes. Des médicaments qui soulagent un temps avant de devenir inefficaces, voire
délétères. Or, il y avait de nombreux asthmatiques parmi les patients en psychiatrie et on
s'aperçoit que leur respiration s'améliore encore mieux que leur faiblesse psychique.
Avec la Perestroïka, c'est la fin du système de soins gratuits. Les cures deviennent payantes,
les hôpitaux se doivent d'être rentables, il faut vendre des médicaments – une belle page de la
médecine est tournée.
En Allemagne, cependant, ainsi qu'en Suisse, plusieurs lieux de jeûne en milieu médicalisé
fonctionnent en permanence. C'est le cas de la clinique Buchinger à Überlingen qui a
développé sa propre méthode, à base d'eau, tisanes, jus de fruits, bouillons de légumes, tandis
que d'autres pratiquent le jeûne hydrique (eau uniquement) [2].
Hypertension
Pour l'hypertension, les résultats sont visibles au bout de quelques jours : triglycérides et
cholestérol se normalisent, et la tension se restreint à des normes correctes, ce qui permet
d'arrêter les prises de bétabloquants.
Goutte
Pour les maladies d'accumulation comme la goutte, il en est de même, et les résultats sont
généralement acquis, au prix d'une hygiène de vie très bien acceptée.
Diabète de type 2
Dans le cas du diabète de type 2 (baisse de l'efficacité de l'insuline), la mise en route d'un
jeûne fait immédiatement baisser le taux de glucose du sang, ce qui met au repos le pancréas,
et permet aux cellules de retrouver une sensibilité normale à l'insuline. Là encore, les
médicaments peuvent le plus souvent être mis de côté, avec des principes alimentaires plus
naturels. (la suite ci-dessous)
Annonce spéciale
Dépression
Concernant les « malades de l'humeur », les résultats en Allemagne confirment les études
soviétiques. A condition de les débarrasser de leur carcan chimique, les malades retrouvent un
esprit positif, avec les changements hormonaux correspondant : hausse du cortisol au petit
matin, de la dopamine dans la journée, et de la sérotonine le soir, baisse de l'insuline et des
hormones thyroïdiennes. L’efficacité à long terme dépendra en revanche des causes initiales
de la dépression.
C'est la question à laquelle s'est attelée un chercheur américain désormais célébrissime : Valter
Longo. Il commença par imposer des jeûnes très sévères à de simples levures de raisin et
s'aperçut qu'elles étaient nettement plus vigoureuses lorsque, après quelques mois, elles se
retrouvaient dans un environnement de croissance favorable.
Ils réitéra son expérience en comparant des souris ayant jeûné à des souris bien nourries.
Exposées à des médicaments de chimiothérapie (l'étoposide), le résultat fut sans appel : les
souris ayant jeûné sont à quasi 100 % des survivantes, contre 35 % dans le groupe de contrôle
[3].
Mieux, il constate que le jeûne protège les cellules saines contre les effets délétères de la
chimiothérapie, mais pas les cellules cancéreuses qui, elles, restent sensibles au poison et
continuent à être détruites normalement [4].
Aujourd'hui, les oncologues (médecins spécialistes du cancer) restent arc-boutés sur deux
idées force :
Les malades qui subissent des radio/chimiothérapies sont en état de faiblesse, donc il
faut les nourrir à tout prix ;
Le cancer est dû à une modification structurelle des gènes des tissus tumoraux, sans
retour possible à leur expression normale.
Or, on constate qu'après 48 heures de jeûne, un grand nombre de gènes modifient leur
expression. Certains se mettent en veilleuse, d'autres se mettent en route. On note en
particulier un ralentissement brutal de la machinerie dévolue à la division cellulaire : les
cellules cancéreuses cessent de se multiplier à la même vitesse.
Il est donc particulièrement regrettable que la piste du jeûne ne soit pas suivie avec plus
d'intérêt par la majorité des médecins.
Pour finir, voici quelques précautions à avoir en tête avant de commencer un jeûne :
Pendant le jeûne, l’organisme perd de la masse grasse mais aussi de la masse
musculaire. Or le système immunitaire utilise les protéines des muscles pour créer des cellules
tueuses naturelles qui luttent contre les tumeurs et les virus. Le jeûne est donc déconseillé aux
personnes qui ont trop peu de masse musculaire car elles risquent de voir leurs capacités
immunitaires se réduire.
Les personnes qui souffrent d’une maladie hépatique ou rénale chronique devraient
prendre un avis médical avant de commencer un jeûne.
Et surtout, pour les maladies auto-immunes, le jeûne ne permet pas une guérison à long
terme sans une modification en profondeur des habitudes alimentaires, et en particulier la
suppression des céréales à gluten et des produits laitiers [5].
Face aux réticences de la communauté médicale, je suis convaincu que le changement viendra
par la base, lorsque les patients réclameront massivement de bénéficier des plus récentes
avancées de la médecine, surtout lorsque celles-ci sont… naturelles.
A votre santé !
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Sources :
[3] Le jeûne protège les cellules saines des souris contre la chimiothérapie
[5] Julien Venesson, Gluten, comment le blé moderne nous intoxique, Thierry Souccar
Editions, 2013.
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L'histoire de la vache folle et des « farines animales » a tellement écœuré les populations que
même les poulets sont aujourd'hui étiquetés « élevés au grain », comme si c'était un gage de
qualité.
Mais vous, cher lecteur, qui aviez des grands-parents à la campagne, ou qui avez eu des «
leçons de choses » à l'école primaire, vous savez que le poulet n'a jamais été un animal
végétarien, et encore moins un consommateur de maïs !
Le snack préféré de la poule, c'est un ver de terre dodu. Donnez-lui la couenne de votre
jambon, elle sera au ciel !
Si vous lui en laissez la liberté, votre poule passera sa journée à gratter la terre à la recherche
d'asticots, d'insectes. Si elle n'en trouve pas, elle picorera des herbes, des plantes vertes, des
petites pousses, des racines, et, occasionnellement seulement, des graines.
C'est ce qu'il faut à une poule pour être heureuse, en bonne santé, et faire de bons œufs. Mais
encore faut-il pour cela qu'elle ait l'occasion de sortir !
Poulets d'usine « élevés en plein air »
Tout l'art du marketing est de jouer avec des expressions qui trompent le consommateur, sans
en avoir l'air.
Ainsi, au supermarché, vous avez remarqué que vous pouvez acheter des œufs de poules «
élevées en plein air ». Sur l'emballage, la photo d'une belle cocotte rousse picorant à son aise
dans un pré d'herbe verte et grasse, par temps ensoleillé.
Or, voici ce qu'impose la législation pour avoir droit au label « élevées en plein air » :
« En journée, accès à un parcours extérieur en majeure partie recouvert de végétation (4 m2
de terrain par poule). »
Eh bien je prétends que seul l'expert en marketing détectera le piège caché sous cette formule.
Le débutant lui, même soupçonneux, s'inquiètera de ce que la poule ait droit à un accès, non à
une prairie en herbe, mais à un simple « terrain » recouvert « en majeure partie » de
végétation, le reste pouvant être des gravats ou du béton.
Il aura raison de s'inquiéter de ça. Mais en réalité, le vrai piège se trouve dans l'expression
« accès à un parcours extérieur».
Imaginez un hangar de 150 mètres de long en tôle ondulée, rempli de milliers de poules
serrées comme des sardines. L'odeur est à vomir. Le bruit assourdissant. Les poules sont dans
un état de stress, et d'agressivité tels, qu'elles se battent constamment, s'arrachant les plumes,
se piquant les yeux et se griffant. Certaines ont des membres cassés. Vous ne pouvez vous
aventurer dans ce hangar sans protections spéciales.
Sur le mur de ce hangar, trois plaques amovibles de 40 cm de côté, au ras du sol, qui sont
retirées chaque matin par l'exploitant. Eh bien voilà : cela suffit pour que les poules puissent
être déclarées avoir « accès » à un « parcours extérieur » !!
2 : poules élevées au sol, dans un hangar sans voir le ciel une seule fois de leur
misérable existence. A éviter également.
1 : poules élevées en plein air, nous avons vu ce que cela signifie. A éviter.
0 : œuf bio. Les poules ont pu sortir, elles ont bénéficié d'abris et de végétation sur le
parcours extérieur ; à l'intérieur du hangar, le nombre de poules est limité, avec une densité
plus faible ; enfin, elles ont bénéficié d'une alimentation biologique à 90 % minimum.
Désolé de vous décevoir mais, pour moi, le chiffre 0 ne suffit pas. De plus en plus, se
développent des installations industrielles respectant sur le papier les critères du bio et
produisant les œufs par millions.
On reste très loin de l'élevage traditionnel des poules, seul à même de garantir l'œuf véritable
de nos grands-parents, reconnaissable entre mille dans l'assiette. En 1950, la France comptait
des millions de fermes en activité. Dans chacune d'elles, il y avait un poulailler, avec quelques
dizaines de poules, qui bien souvent pouvaient se promener aux alentours librement. Tous les
œufs consommés dans ce pays étaient produits de cette manière.
La seule bonne manière de produire des œufs est celle-là. Cela signifie pour vous que l'idéal
est d'acheter vos œufs chez un producteur bio que vous connaissez, et qui exploite en effet un
élevage de poule à taille normale. Rendez-vous dans une ferme près de chez vous, si vous
habitez la campagne : le fermier vous fera visiter ses installations avec joie, s'il n'a rien à
cacher.
Un bon éleveur de poules surveillera la nourriture de ses poules, s'assurera qu'elles ont de l'eau
fraîche et propre, assez d'espace, une bonne ventilation dans le poulailler. Celui-ci devra être
nettoyé très régulièrement.
Les poules bien soignées, elles, pondront des œufs dont le jaune est foncé. Grâce à leur bon
système immunitaire, elles ne seront pas infectées par la salmonelle. Plus les œufs sont frais,
plus le blanc est visqueux.
La pire façon de manger des œufs c’est de faire comme dans les films d’action où le héros,
après son entrainement physique à haute intensité, ingurgite rapidement un mélange de blancs
d’œufs crus en se bouchant le nez, comme le fait par exemple Rocky Balboa dans la saga du
même nom.
Rocky ne devait pas avoir été bien conseillé par son nutritionniste car les chercheurs ont
montré depuis bien longtemps que la cuisson du blanc d’œuf (qui provoque une coagulation)
augmentait nettement la biodisponibilité des protéines : en mangeant un blanc d’œuf cru vous
ne digérez que 51% des protéines contre plus de 90% lorsqu’il est cuit ! (1) Mais il faut noter
que c’est la coagulation du blanc, et pas spécifiquement la cuisson, qui augmente la
digestibilité. C’est pourquoi on peut manger sans crainte des blancs montés en neige.
Le blanc d’œuf contient aussi de l’avidine, une protéine qui a la forme d’une pince et qui est
capable d’attraper la vitamine B8 dans l’intestin, l’empêchant ainsi d’être absorbée. Les
personnes qui auraient l’idée saugrenue de ne manger que des blancs d’œufs crus
s’exposeraient alors à un risque très sérieux de déficit en vitamine B8 (2).
Une recette célèbre et généralement très appréciée à base d'œufs crus coagulés est la mousse
au chocolat :
Prenez 6 œufs et 200 grammes de chocolat noir bio. Faites fondre le chocolat tel quel au bain-
marie. Séparez les blancs des jaunes, et montez les blancs en neige. Lorsque le chocolat fondu
a un peu refroidi, mélangez-y les jaunes. Puis ajoutez à ce mélange les œufs en neige,
délicatement, sans les casser. Versez dans des ramequins individuels que vous laisserez une
nuit au frigo. Vous pouvez bien sûr rajouter des fruits secs, mais ni sucre, ni farine, ni beurre
ne sont nécessaires.
Je certifie personnellement que cette recette est diététique, quoi qu'en pensent les terroristes
qui voudraient nous priver de tous les bonheurs de l'existence « pour notre santé ».
es autorités vous conseilleront au contraire de faire attention en manipulant des œufs crus pour
éviter la salmonellose. Mais ce risque concerne surtout les poules élevées dans de mauvaises
conditions et, même dans ce cas, seul un œuf sur 30 000 est contaminé, ce qui fait que votre
risque est vraiment faible.
Pas de quoi justifier de vous priver des bienfaits nutritionnels des œufs crus.
La meilleure manière de les manger est au plat ou à la coque, cuit à faible température (80 °C).
Nul besoin en effet que l'eau soit bouillante, puisque l'œuf coagule entre 70 et 80°C. Suivant la
taille de votre œuf, 4 minutes environ suffiront pour obtenir la texture parfaite : votre blanc
d'œuf doit être crémeux, votre jaune juste chaud et onctueux.
Mais vous pouvez aussi faire des œufs brouillés, au bain-marie. Le résultat final doit être une
crème à peine plus épaisse que la crème Montblanc, et vous pouvez y ajouter toutes sortes
d'ingrédients pour la parfumer : champignons ou épices bien sûr, mais aussi fines herbes et
petits légumes.
Je vous garantis que, après quelques tentatives, cette façon de préparer les œufs brouillés est
un pur délice.
Les œufs bios produits de façon traditionnelle contiennent un tiers de cholestérol en moins, un
quart de graisses saturées en moins, deux tiers de vitamine A en plus, deux fois plus d'oméga-
3, trois fois plus de vitamine E et sept fois plus de béta-carotène que les œufs de poules en
batterie.
De plus :
Les protéines présentes dans un œuf sont des "protéines complètes", car elles
contiennent les huit acides aminés essentiels, c'est-à-dire ceux que l'organisme ne peut
fabriquer lui-même. Les acides aminés essentiels sont en proportions équilibrées (c'est la
raison pour laquelle les œufs sont utilisés comme référence pour l'évaluation de la qualité des
protéines et des teneurs en protéines des autres aliments par la FAO et l’OMS).
N'oubliez pas que le cholestérol n'est pas un poison : chaque cellule de votre corps a besoin de
cholestérol. Il contribue à fabriquer de la membrane cellulaire, des hormones, de la vitamine
D, des acides biliaires pour digérer les graisses. Le cholestérol aide aussi à former des
souvenirs et il est indispensable aux fonctions neurologiques. Le cholestérol de l'alimentation
est votre ami.
De plus, de nombreuses études concluent que les œufs ne font de toute façon pas monter le
taux de cholestérol. Par exemple, des recherches publiées dans le International Journal of
Cardiology (1) ont montré que chez les adultes en bonne santé, manger des œufs tous les jours
ne déclenchait ni d'effets négatifs sur les fonctions endotheliales, ni une hausse des taux de
cholestérol.
C'est donc en toute tranquillité d'esprit que vous pouvez manger six œufs par semaine en
essayant des recettes variées et délicieuses.
A votre santé,
Jean-Marc Dupuis
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(1) Pieter Evenepoel, Benny Geypens, Anja Luypaerts, Martin Hiele, Yvo Ghoos, Paul
Rutgeerts. Digestibility of Cooked and Raw Egg Protein in Humans as Assessed by Stable
Isotope Techniques J. Nutr. 1998 128: 10 1716-1722.
(2) DURANCE, T. D. Residual Avid in Activity in Cooked Egg White Assayed with
Improved Sensitivity. Journal of Food Science. 56-3. 1750-3841.
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Même les traitements les plus agressifs pour blanchir les dents perdent de leur effet au bout de
six mois. Ils coûtent cher, et ils peuvent abîmer l'émail. Alors voici ce que vous devez savoir
sur la couleur de vos dents.
La couleur naturelle de l'émail varie du jaune au gris clair. C'est cette substance très dure qui
entoure et protège l'ivoire de vos dents, sur la partie de vos dents qui apparaît hors de vos
gencives.
L'ivoire est la partie de la dent qui s'enfonce dans la gencive, et que vous pouvez considérer
comme « l'os » de la dent. L'émail étant à moitié translucide, il laisse apparaître l'ivoire. C'est
donc aussi la couleur de votre ivoire qui va déterminer la teinte de vos dents.
Mais en fait, toutes les nourritures qui tachent la nappe tachent aussi les dents :
Les boissons colorées, comme le café, le thé, le coca-cola, le vin rouge et les jus de
fruits de couleur sombre (jus de raisin, jus de cranberry, canneberge dit-on en français) ;
les aliments de couleur éclatante comme les mûres, les myrtilles, les cerises, la
grenade, les glaces aux fruits rouges, la sauce tomate, la betterave rouge, les sauces au curry,
la réglisse. Tous ces aliments contiennent des pigments qui s'accrochent à l'émail et laissent
des traces.
Ces traces sont d'autant plus durables que votre émail est poreux.
Ce n'est pas la quantité de sucre ingéré, mais la fréquence de l'ingestion de sucre qui ruine le
plus vos dents. Chaque fois que vous mangez du sucre, votre émail se déminéralise et reste
vulnérable pendant 30 minutes environ. Ainsi, manger continuellement de petites quantités de
sucre est bien pire pour les dents qu'une grande quantité en une seule fois.
Vous devez faire particulièrement attention dans les jours qui suivent un traitement
blanchissant des dents. À base d'eau oxygénée (votre dentiste ou le salon qui fait l'opération
vous parlera de solution de peroxyde d'hydrogène pour faire plus sérieux mais c'est la même
chose), ces traitements augmentent la porosité de l'email pendant 48 heures environ.
les pommes, les amandes, les carottes. Ces aliments riches en fibres « solides »
nécessitent d’être bien mâchés et produisent l’effet d’un brossage de dent naturel. De plus ils
stimulent la production de salive qui neutralise les attaques acides des bactéries ;
la rhubarbe, les épinards, les carottes, les crucifères (chou-fleur, brocoli, etc.), le cacao.
Après en avoir mangé, ces aliments laissent généralement une drôle de sensation en bouche.
C’est parce qu’ils sont riches en acide oxalique qui capture le calcium de l’émail et forme une
couche protectrice sur la dent. À éviter si vous souffrez de goutte ou d’insuffisance rénale.
frotter vos dents avec l'intérieur d'une pelure d'orange, autrement dit la partie blanche
qui se trouve entre l'écorce de l'orange et sa partie charnue. En langage scientifique, le blanc
de l'orange s'appelle le mésocarpe et il contient des composés chimiques qui blanchissent les
dents. Frottez pendant 45 secondes vos dents et brossez-les une demi-heure après ;
Certaines personnes affirment par ailleurs que se frotter les dents avec du charbon
végétal ferait aussi blanchir les dents mais je n'ai pas d'avis sur cette question.
À votre santé !
Jean-Marc Dupuis
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L'arthrose est une maladie très répandue qui envoie chaque année 4 millions de patients chez leur
médecin en France.
Pour l'industrie pharmaceutique, c'est une vache à lait qui a été exploitée, et même surexploitée
jusqu'à ce qu'éclate le scandale du Vioxx, un médicament anti-inflammatoire utilisé contre les
douleurs de l'arthrose, et retiré du marché en 2004 à cause de son danger pour le cœur.
Lorsque vous souffrez d'arthrose, une ou plusieurs des articulations de votre corps sont douloureuses,
gonflées, enflammées. Chaque geste vous fait souffrir, et adieu les jeux de ballon, la danse, le ski, le
tennis. Quant à l'athlétisme, le judo et le karaté, ou encore l'haltérophilie, ce n'est bien sûr même pas
la peine d'y penser !
Certains patients ne peuvent plus monter ni descendre un escalier. D'autres sont totalement
immobilisés. Bref, il y a urgence, et c'est pourquoi les patients se sont longtemps tournés
massivement vers les médicaments anti-inflammatoires, la cortisone et les analgésiques chimiques
(anti-douleurs).
Ces médicaments fonctionnent, dans un premier temps. Miracle, vous pouvez à nouveau ouvrir un
pot de confiture, casser des noix, jardiner ! Vous redécouvrez les petits plaisirs de la vie pendant
plusieurs mois, peut-être même quelques années.
Malheureusement, vous avez raison de vous poser la question. L'arthrose est causée par une
inflammation du cartilage, ces coussins qui protègent le bout de vos os, et qui leur permettent de se
frotter l'un contre l'autre en souplesse. En cas d'arthrose, des agents inflammatoires dans vos
articulations détruisent le cartilage, qui se fissure, se craquelle, et peut disparaître complètement,
laissant vos os à nus. Lorsque vous bougez, les bouts de vos os frottent directement l'un contre
l'autre, ce qui fait mal et aggrave encore l'inflammation, et donc le gonflement de vos articulations.
C'est pourquoi ils sont efficaces à court terme. A long terme, leur efficacité baisse, jusqu'à devenir
inexistante lorsque tout votre cartilage a disparu. Et il ne vous reste plus que les effets secondaires,
qui peuvent être graves.
Mais la bonne nouvelle et que les recherches scientifiques récentes montrent que la médecine
naturelle a des solutions très intéressantes à vous proposer contre l'arthrose.
En fait, l'arthrose fait peut-être même partie des maladies conte lesquelles il existe le plus d'espoir.
De nombreux patients sont parvenus à se débarrasser totalement de leurs douleurs, grâce à des
solutions naturelles.
Aujourd'hui, nous allons explorer plusieurs traitements possibles, qui soulageront la plupart des
patients. Si aucune ne marche pour vous, pas d'angoisse. Nous reviendrons très régulièrement
dans Santé Nature Innovation sur le sujet de l'arthrose pour présenter tous les aspects de cette
maladie, ce qui sera l'occasion de proposer de nombreuses autres approches thérapeutiques
efficaces.
Cette plante est en effet récoltée dans les déserts sableux d’Afrique du Sud et de Namibie. Les racines
sont utilisées pour fabriquer des gélules qui renferment les principaux principes actifs : harpagoside,
harpagide, procumboside, procumbide, des substances anti-inflammatoires et analgésiques.
Pour les personnes souffrant de rhumatismes, des cures de cette plante apportent en général un
soulagement rapide et spectaculaire qui peut aider à réduire les doses des médicaments. Beaucoup
disent ne plus pouvoir s'en passer.
Une étude publiée en 2003 montre une forte réduction de la douleur et des symptômes de l’arthrose
chez 75 patients traités avec de l’harpagophytum. La douleur régresse de 25 à 45 % alors que la
mobilité augmente d’autant.(1)
L'harpagophytum serait aussi efficace que des médicaments pour calmer les inflammations et les
douleurs de l’arthrose si l'on en croit l'ensemble des études conduites sur le sujet.
Une étude française très récente a été conduite sur 122 personnes souffrant d'arthrose de la hanche
et du genou. Pendant 4 mois, une partie des volontaires a pris 435 mg d'harpagophytum par jour
pendant que l'autre prenait un médicament anti-inflammatoire appelé diacerhéine. Les douleurs ont
diminué de la même manière dans les deux groupes. Les patients du groupe harpagophytum
utilisaient moins de médicaments anti-douleur à la fin de l'étude. Ils souffraient également moins de
diarrhées que ceux qui suivaient le traitement anti-inflammatoire chimique (26 %). (2)
Une autre étude de 2003 a comparé chez 44 personnes l’efficacité de l’harpagophytum à celle d’un
anti-inflammatoire de dernière génération, le rofecoxib. Les patients pouvaient continuer à suivre en
parallèle leur traitement habituel ou l’interrompre s’ils allaient mieux. Six semaines après le début de
l’étude, 10 patients avaient pu, grâce à l’harpagophytum, suspendre pendant plus de 5 jours leur
traitement habituel. Ils n’étaient que 5 parmi ceux soignés avec le rofecoxib. Pour les autres, la
réduction de la douleur était similaire dans les deux groupes, mais le nombre d’effets indésirables
deux fois plus élevé chez les personnes qui prenaient le rofecoxib.(3)
La médecine ayurvédique décrit le gingembre (Zingiber officinale) comme la plante de référence pour
combattre les inflammations de toutes natures. Des recherches très récentes ont confirmé le
caractère anti-inflammatoire des composés du gingembre. En fait, certains chercheurs estiment que
le gingembre pourrait faire jeu égal avec des médicaments de dernière génération.(4)
C’est en s’appuyant sur son usage ancestral que des chercheurs ont eu l’idée en 1992 de tester de la
poudre de gingembre dans l’arthrose. Après 3 mois d’utilisation, les trois-quarts des patients ont vu
leur état s’améliorer. Certains ont poursuivi le traitement à base de gingembre pendant plus de deux
ans et demi sans aucun effet indésirable notable.(5)
Une étude clinique intéressante a été récemment publiée dans le journal médical de
référence Arthritis and Rheumatism. Les scientifiques ont donné pendant 6 semaines à des personnes
souffrant d’arthrose du genou, soit du gingembre soit un placebo. Les participants pouvaient prendre
un médicament chimique si les douleurs étaient trop fortes. L’étude a été conduite sans que ni les
médecins qui dirigeant l’étude, ni les patients, ne sachent qui prenait le gingembre et qui prenait la
pilule dénuée d’effet (placebo). En science, ces études sont dites « contrôlées, en double aveugle » et
ce sont celles dont les résultats sont les plus fiables.
Les chercheurs ont constaté à l’issue de l’étude que les personnes ayant pris le gingembre, mais pas
celles qui avaient pris le placebo, se déplaçaient avec plus de facilité, que leur douleur était moins
forte et leur articulation moins raide, signe que leur arthrose était grandement améliorée par le
gingembre.(6)
Toutefois, nous n'en sommes qu'au début des études sur le gingembre dans l'arthrose, et il faut
attendre la confirmation de ces résultats avant d'être certain de son efficacité.
Les oméga-3, autre « tarte à la crème » de la médecine naturelle, tant leur efficacité est désormais
incontestable et reconnue même par la médecine conventionnelle, sont une famille d’acides gras
(constituants des graisses) que l’on trouve dans les légumes à feuilles vertes, les noix, les poissons
gras (anchois, hareng, maquereau, sardine, saumon), les graines de lin, les huiles de colza, de noix et
de lin.
Une fois absorbés, ces acides gras donnent naissance à des substances qui ont des propriétés anti-
inflammatoires puissantes.
Depuis 1998, le Dr Bruce Caterson de l’université de Cardiff (Pays de Galles) et son équipe se
passionnent pour les bénéfices potentiels des suppléments d’oméga-3 sur l’arthrose. Après plusieurs
expériences menées en laboratoire sur des tissus de cartilage arthrosique qui se sont avérées
prometteuses, ces chercheurs viennent de publier les résultats de leur première étude chez l’homme.
Résultat : dans 86 % des cas du groupe oméga-3, plus aucune trace (ou très peu) des enzymes qui
détruisent le cartilage contre 26 % dans le groupe placebo. D’après le professeur Bruce Caterson qui a
mené l’étude, « concrètement cela signifie qu’une supplémentation en acides gras oméga-3 peut
ralentir voire stopper l’usure du cartilage et réduire l’inflammation ainsi que la douleur qui
accompagne l’arthrose. »
Là encore, on ne dispose encore que d'un petit nombre de travaux, mais ils sont prometteurs.
Dans votre cartilage, vous avez des « molécules-éponge », qui attirent et conservent l'eau, et assurent
ainsi la souplesse et l’élasticité de vos tissus articulaires. Ces molécules s'appellent les protéoglycanes
(inutile de retenir le nom). Sans elles, le cartilage est incapable d’absorber les chocs, il craque, se
fissure et peut s’user complètement.
Pour que les cellules de nos articulations puissent fabriquer des protéoglycanes, elles ont besoin de
deux substances : la glucosamine et la chondroïtine. Normalement, les chondrocytes les synthétisent
à partir du glucose des aliments au terme de plusieurs réactions biochimiques. Mais dans l’arthrose,
les chondrocytes, même bien alimentés en glucose ne parviennent plus à accomplir correctement leur
tâche.
Les chercheurs ont découvert qu’on obtenait de bien meilleurs résultats en apportant directement
aux chondrocytes la glucosamine et la chondroïtine préformées, sous la forme de suppléments par
voie orale. Ces substances peuvent dans certains cas stimuler la production de protéoglycanes et à
normaliser le métabolisme du cartilage. Non seulement ce dernier ne dégénère plus, mais du cartilage
neuf peut alors être reconstruit.
Depuis plus de 20 ans, la majorité des études a conclu à l’efficacité des suppléments de glucosamine
pour soulager les douleurs en cas d’arthrose mineure ou modérée. Cette amélioration apparaît dans
un délai de 2 à 8 semaines et persiste plusieurs semaines après l’arrêt de traitement. Ceci est dû aux
effets anti-inflammatoires de la glucosamine. (7)
Par ailleurs, et c’est là tout son intérêt par rapport aux traitements anti-inflammatoires, la
glucosamine pourrait dans certains cas stabiliser le processus de destruction du cartilage. Deux études
cliniques menées sur des personnes souffrant d’arthrose du genou ont montré que la prise
quotidienne de 1 500 mg de sulfate de glucosamine pendant 3 ans permet de bloquer la progression
de la maladie. (8) (9)
Aucun effet secondaire significatif n’a été rapporté. Il faut pour cela qu’il reste dans l’articulation des
cellules qui fabriquent le cartilage, c’est-à-dire que celui-ci n’ait pas été totalement détruit. D’où
l’importance de se préoccuper de prévention très tôt, par exemple après un traumatisme du genou
(accident de ski…) parce que ce type de traumatisme entraîne immédiatement un processus
inflammatoire qui à terme détruit le cartilage.
Et la chondroïtine ? Même si le dossier scientifique de la chondroïtine n’est pas aussi étoffé que celui
de la glucosamine, les études cliniques dont on dispose laissent penser qu’elle peut soulager la
douleur. Elle peut aussi contribuer à stopper ou ralentir la progression de la maladie.
Dans une étude contrôlée en double aveugle, les chercheurs ont suivi 120 personnes souffrant
d’arthrose du genou. Le traitement étudié par comparaison à un placebo consistait à prendre 800 mg
de sulfate de chondroïtine par jour pendant 3 mois, traitement qui a été renouvelé une fois dans
l’année. Au bout d’un an, les personnes effectivement souffraient moins et les radiographies
montraient que les lésions du cartilage avaient peu évolué. Comme dans le cas de la glucosamine,
l’effet positif de la chondroïtine se prolonge après l’arrêt du traitement. (10)
Des scientifiques ont montré que glucosamine et chondroïtine pourraient agir en synergie pour une
plus grande efficacité.
A votre santé,
Jean-Marc Dupuis
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(1) Wegener T : Treatment of patients with arthrosis of hip or knee with an aqueous extract of Devil's
Claw (Harpagophytum procumbens DC.). Phytother Res 2003, 17(10):1165-1172.
(2) Leblan D : Harpagophytum procumbens in the treatment of knee and hip osteoarthritis. Four-
month results of a prospective, multicenter, double-blind trial versus diacerhein. Joint Bone Spine.
2000, 67(5):462-427.
(3) Chrubasik S : A randomized double-blind pilot study comparing Doloteffin and Vioxx in the
treatment of low back pain. Rheumatology (Oxford). 2003, 42(1):141-148.
(4) Kiuchi F : Inhibition of prostaglandin and leukotriene biosynthesis by gingerols and
diarylheptanoids. Chem Pharm Bull 1992, 40(2):387-391.
(5) Srivastava KC : Ginger (Zingiber officinale) in rheumatism and musculoskeletal disorders. Med
Hypotheses. 1992, 39(4):342-348.
(6) Altman RD : Effects of a ginger extract on knee pain in patients with osteoarthritis. Arthritis Rheum
2001, 44(11):2531-2538.
(7) Vangsness CT Jr, Spiker W, Erickson J. A review of evidence-based medicine for glucosamine and
chondroitin sulfate use in knee osteoarthritis. Arthroscopy. 2009 Jan ; 25(1):86-94. Epub 2008 Sep 30.
Review. PubMed PMID: 19111223.
(8) Reginster JY, Deroisy R, Rovati LC, Lee RL, Lejeune E, Bruyere O, Giacovelli G, Henrotin Y, Dacre JE,
Gossett C. Long-term effects of glucosamine sulphate on osteoarthritis progression: a randomised,
placebo-controlled clinical trial.Lancet 2001 Jan 27;357(9252):251-6.
(9) Pavelka K, Gatterova J, Olejarova M, Machacek S, Giacovelli G, Rovati LC. Glucosamine sulfate use
and delay of progression of knee osteoarthritis: a 3-year, randomized, placebo-controlled, double-
blind study.Arch Intern Med 2002 Oct 14;162(18):2113-23.
(10) Uebelhart D : Intermittent treatment of knee osteoarthritis with oral chondroitin sulfate : a one-
year, randomized, double-blind, multicenter study versus placebo. Osteoarthritis Cartilage. 2004
Apr;12(4):269-76.
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Je me souviens de ma stupeur — et de mon ironie — quand j'ai découvert, il y a huit ans, l'existence
de la « Life Extension Foundation », cette fondation américaine consacrée à la recherche sur le
rallongement de la vie (comme son nom l'indique).
Il s'agit de chercheurs « longévitistes », ou « extensionnistes », qui pensent que des découvertes sur
le rajeunissement des tissus grâce aux cellules souches, à la réparation moléculaire, et au
remplacement d'organes (par transplantation ou par organes artificiels) permettront un jour aux êtres
humains de vivre indéfiniment et en bonne santé, grâce à un rajeunissement complet et continu de
leur corps.
Pour moi, c'était clair : il s'agissait de petits malins exploitant la crédulité d'Américains limite sectaires,
ou alors d'un milliardaire un peu fou finançant des expériences sur la congélation de vieillards, etc.
Il m'a donc fallu beaucoup de temps, et de lectures, pour changer d'avis. Aujourd'hui, je dois bien
reconnaître que des découvertes TRES intrigantes sont faites dans le domaine du « rajeunissement »,
qui peuvent intéresser tout le monde, y compris les personnes qui n'ont pas l'intention de rester
éternellement parmi nous...
Je vais vous parler dans un instant d'une des techniques les plus prometteuses, et au fond simples, de
rajeunissement des cellules de votre corps. Il s'agit de la réactivation de la télomérase.
Peu d'Européens, et encore moins de Français, se doutent de la guerre généralisée, industrialisée, que
les Américains, ou du moins les couches moyennes et supérieures de la population, livrent
actuellement contre le vieillissement.
Dans tous les magasins et distributeurs de nourriture, on trouve des aliments « low-carb » (pauvres
en glucides) avidement consommés par la population. Au restaurant, vous ne vous étonnez pas de
voir vos voisins de table sortir, au début du repas, des sacs de pilules. Ce ne sont pas des
médicaments, mais des suppléments nutritionnels en minéraux, vitamines, acides gras essentiels et
oligo-éléments, qu'ils utilisent de façon ciblée pour maintenir leurs organes en bonne santé.
Sur les plages de Floride et de Californie, vous voyez passer continuellement des groupes de retraités
de 70 à 85 ans, accompagnés de leur « coach ».
Torse nu, en petits shorts, ils enchaînent sprints, séries de pompes, exercices d'abdominaux, roulades
avant et arrière. Ils s'envoient des ballons de gymnastique (lestés), qu'ils font tourner autour d'eux-
mêmes pour développer leurs réflexes, leur rapidité... et leur masse musculaire.
Cette quête de l'éternelle jeunesse peut paraître excessive. Mais tout ce monde est agité en ce
moment par une découverte étonnante. Selon certains scientifiques, elle pourrait permettre de
rajeunir de plusieurs années, sans le moindre effort, et de faire revenir toutes les cellules de votre
corps, y compris celles de vos yeux, de votre cerveau, et de votre cœur, des décennies en arrière.
A partir du moment où vous pouvez faire rajeunir les cellules du corps, cela signifie que vos organes
(cœur, cerveau, poumons, mais aussi peau, yeux, tympans, etc.) peuvent théoriquement se remettre
à fonctionner comme il y a des décennies. Attention, j'ai bien écrit « théoriquement » parce que le
vieillissement de l'être humain ne se limite pas au vieillissement de ses cellules.
Par exemple, les cellules d'une tumeur cancéreuse, qui se reproduisent à toute vitesse, sont toutes
« jeunes » ; mais elles n'en provoquent pas moins le décès si on les laisse proliférer.
Néanmoins, l'expérience a été réussie en laboratoire : des médecins ont traité des souris de telle
sorte qu'elles vieillissent prématurément. Au bout d'un mois, leur fertilité avait diminué et elles
souffraient de maladies liées au vieillissement telles que le diabète, l’ostéoporose ou la
neurodégénération.
Le Dr DePinho et son équipe ont alors donné à ces souris la substance dont je vais vous parler, et qui
fait rajeunir. Les testicules ratatinés sont redevenus normaux et se sont remis à fonctionner comme
auparavant.
D’autres organes, comme la rate, le foie ou les reins, ont été restaurés. Même le cerveau a retrouvé
sa taille normale, alors qu'il avait fortement diminué. Les cellules neurales qui produisent de
nouveaux neurones et entretiennent les cellules cérébrales, se sont remises à fonctionner.
Je vais y venir mais, pour que vous compreniez ce dont il s'agit, je dois revenir à cette histoire de
télomères.
Or, l'ADN est une substance qui a tendance à se coller un peu partout, en particulier lorsque passe à
proximité un autre bout d'ADN, ce qui cause ensuite des problèmes à la cellule qui peut dégénérer et
devenir cancéreuse.
Pour éviter cela, chaque branche du X de vos chromosomes est ornée d'un capuchon protecteur, lui-
même fait également de nucléotides, que l'on appelle « télomère ».
Ces télomères protègent donc votre information génétique, au cœur de vos chromosomes, mais ils
ont aussi une autre fonction importante : ils aident votre ADN à se répliquer plus facilement, pour
permettre la division cellulaire, et donc la naissance d'une nouvelle cellule.
Plus vos télomères sont longs, mieux vos cellules sont protégées contre le risque de cancer, et plus
elles peuvent se reproduire facilement et ainsi régénérer vos organes. C'est ainsi que des scientifiques
ont émis la théorie selon laquelle, plus vous avez des télomères longs, plus vous restez jeune
longtemps, puisque vos organes se renouvellent bien.
Vous me suivez jusque-là ? Très bien. Nous arrivons au problème des télomères, puisque, dans la vie,
il y a toujours un os.
Le problème, c'est que, à chaque division cellulaire, vos télomères perdent quelques dizaines ou
quelques centaines d'acides nucléiques. Les télomères humains sont programmés pour se raccourcir
d’environ 100 paires de bases par division cellulaire.
Ce qui veut dire que, lorsque les années passent, vos télomères deviennent de plus en plus courts.
Vos cellules mettent de plus en plus de temps à se diviser, jusqu'à ne plus y parvenir du tout. Elles
entrent « en sénescence », un terme médical poli pour dire qu'elles sont vieilles et rabougries. C'est
alors que vous vous apercevez que vos organes vieillissent rapidement.
De plus, vous avez noté que les télomères ont un rôle protecteur pour vos gènes. Lorsque vos
télomères raccourcissent, votre matériel génétique est de moins en moins bien protégé. Augmente
alors le risque de mutations anarchiques dans vos chromosomes, et le risque de cancer.
On a en outre observé que des télomères courts sont des facteurs de risque d’athérosclérose,
d’hypertension, de maladie cardiovasculaire, d’Alzheimer, d’infections, de diabète, de fibrose, de
syndrome métabolique, de cancers et influent sur la mortalité globale.
La longueur des télomères a été analysée chez 150 personnes âgées de 60 ans et plus. Celles qui
possédaient les télomères les plus courts avaient une probabilité huit fois supérieure de mourir de
maladie infectieuse et trois fois supérieure d’avoir une crise cardiaque. Pourquoi ? Parce que les
cellules immunitaires ne se répliqueraient plus suffisamment vite pour lutter efficacement contre les
infections.
Ils ont introduit dans des cellules de rétine, des cellules de prépuce, et des cellules vasculaires, une
substance qui rallongeait les télomères. Alors que ces cellules meurent habituellement au bout d'un
nombre bien défini de divisions, ces cellules traitées ont été cultivées pendant un an en gardant
toutes les propriétés qu'elles avaient au premier jour. Autrement dit, le vieillissement cellulaire avait
été stoppé. Les cellules étaient devenues immortelles. Oui, j'ai bien écrit I-M-M-O-R-T-E-L-L-E-S.
Ces résultats ont déclenché un vent d'enthousiasme parmi les chercheurs du monde entier, et ont fait
dire au professeur de médecine Michael Fossel, de l'université de l'Etat du Michigan (Etats-Unis) lors
d'une conférence sur la longévité en 2005, ces paroles surprenantes :
« Les chercheurs ont déjà rajeuni des cellules de la peau en laboratoire et nous pouvons renverser
l'ensemble du processus de vieillissement de l'être humain. »
« Ce que nous faisons est reprogrammer des cellules pour les forcer à faire ce qu'elles faisaient quand
elles étaient jeunes. »
« Si nous remettons à l'heure notre horloge interne en rembobinant nos télomères, nous ne savons pas
quelle sera alors la limite. Personnellement, je dirais que cela serait probablement quelques siècles,
mais je n'en sais vraiment rien. »
La découverte du télomérase fut une telle révolution qu'elle valut à Elizabeth Blackburn et Carol
Greider le Prix Nobel de médecine en 2009.
Pour des raisons légales bien françaises (et européennes), il m'est interdit de vous citer les produits
précis sous peine d'être accusé d'en faire la publicité, voire « d'exercice illégal de la médecine » ou de
la pharmacie.
Mais, je vous ai dit l'essentiel : « réactivation de la télomérase ». Il s'agit là d'une des pistes les plus
passionnantes de la recherche actuelle pour ralentir, voire inverser, avec un produit complètement
naturel, la décroissance des télomères.
A votre santé,
Jean-Marc Dupuis
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Sources :
Bodnar A. G. et al., Extension of life span by introduction of telomerase into normal human cells.
Science 1998 ; 279 : 349-52. 7.
Harley Calvin B. et al., A natural product telomerase activator as part of a health maintenance
program. Rejuvenation Research. Online ahead of print: September 7, 2010. Doi:
10.1089/rej.2010.1085. 9.
Jiao Y. et al., Influence of flavonoid of Astragalus membranaceus' system and leaves on the function of
cell mediated immunity in mice, Zhongguo Zhong Xi Yi Jie He Za Zhi, 1999, 19:356-358.
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Alors que nos brillants économistes nous expliquent que nous bénéficions d'une remarquable stabilité
des prix grâce à l'euro, beaucoup de citoyens européens ont une impression différente.
Qui se souvient d'avoir acheté des pêches à 40 francs le kilo ? 40 francs, ou 6 euros, c'est pourtant le
prix que ceux d'entre nous qui en ont les moyens doivent payer, pour goûter à un de ces fruits
devenus défendus. Et je ne parle pas des cerises à 65 francs le kilo (10 euros).
Bien entendu, ce sont des exemples. Des lecteurs de SNI seront sans doute parvenus à s'en procurer
pour 4,50 euros le kilo « seulement ». Il n'empêche : cela représente 30 francs, un prix qui aurait été
jugé scandaleux en 2001.
Et pourtant, la hausse prodigieuse des prix des produits alimentaires n'est pas une excuse pour mal
vous nourrir.
D'abord parce que, si effectivement nous allons vers la catastrophe financière, une bonne santé sera
le bien dont vous aurez le plus besoin. Ensuite parce que, quelle que soit l'évolution des prix, il est
faux de prétendre que la malbouffe soit meilleur marché que la nourriture saine.
Le problème est que bien manger, comme bien écrire, bien chanter, ou bien parler, s'apprend. Et que
dans ce domaine comme dans d'autres, une rupture de transmission s'est produite ces trente
dernières années.
Consacrer du temps
En préparant vos menus à l'avance, vous achetez uniquement le nécessaire.
L'expérience montre qu'il coûte plus cher d'acheter un peu de tout pour improviser ensuite des repas,
que de prévoir à l'avance ses repas puis d'acheter ce qu'il faut pour cuisiner. En préparant à l'avance
des menus équilibrés, vous mangerez juste ce qu'il faut, et vous vous en porterez d'autant mieux. A
noter qu'un repas bien préparé comporte des plats variés, et que l'on est ainsi plus vite rassasié.
Il est probable que l'effet soit le même chez les humains. Manger un peu moins que d'habitude
pourrait vous faire gagner des années de vie en bonne santé, en plus de vous faire économiser.
Cela veut-il dire que les restes de votre gigot de dimanche midi peuvent vous servir de dîner du
vendredi soir suivant ?
Je vais peut-être vous choquer mais le fait que de la nourriture devienne dure, change de couleur,
qu'elle devienne gluante, ou même qu'elle sente mauvais, ne veut quasiment rien dire en terme de
danger pour la santé.
Le goût peut ne pas vous plaire, mais ça ne veut pas dire que vous allez tomber malade. Ceci parce
qu'il existe une grande différence entre les bactéries qui dégradent la nourriture, et celles qui sont
pathogènes, c'est-à-dire causes potentielles de maladie.
Les bactéries qui font pourrir la nourriture forment un film gluant sur la viande, ramollissent les
légumes, et donnent une très mauvaise odeur au poulet. Mais les bactéries pathogènes sont
inodores, incolores, et invisibles.
Dans la mesure où vous ne pouvez pas compter sur votre vue ni sur votre odorat, utilisez la règle de
4 : pas plus de 4 jours à 4 °C.
A 4°C, vous pouvez conserver pendant trois jours entiers du poulet cru et du bœuf haché. Vos restes
de nourriture cuisinés, eux, peuvent être conservés quatre jours.
Redécouvrez la soupe
Non, je ne parle pas d'acheter des briques de soupe au supermarché, ni même les soupes « bio ».
Vous ne ferez aucune économie, et vous ne saurez jamais, au juste, ce qu'il y avait dedans.
Chaque fois que vous êtes en peine de faire un repas, souvenez-vous que virtuellement toutes les
nourritures, tous les ingrédients, peuvent servir de base à fabriquer une soupe. Il suffit de les mettre à
bouillir dans une casserole avec beaucoup d'eau, un oignon, une gousse d'ail, une carotte, quelques
herbes, du sel et du poivre.
Si vous n'avez qu'un seul légume sous la main (quelques carottes rabougries, un vieux chou-fleur),
cela suffit pour faire un potage bon au goût et bon pour votre santé. N'ouvrez pas de paquet de chips.
Ne commandez pas de pizza. S'il vous reste un quignon de pain que vous pouvez réduire en petit
morceaux et faire revenir dans de l'huile d'olive avec de l'ail et du sel dans une poêle, faites-vous des
croutons.
Si la soupe est trop claire, une poignée de riz l'épaissira.
Mangez du chou
Jusqu'à la découverte de l'Amérique, nos aïeuls n'avaient ni haricots, ni maïs, ni tomates. Et la pomme
de terre n'est arrivée en Europe qu'à la fin du XVIIIe siècle.
Le chou, sous toutes ses formes, tenait une place de choix dans leur alimentation.
C'est dommage.
Il existe une grande diversité de choux, et un nombre prodigieux de délicieuses recettes pour les
préparer, de la choucroute à la salade de chou râpé, en passant par le chou farci, le chou braisé et la
soupe au chou.
Le chou est bon marché en toute saison. Il a de grandes vertus détoxifiantes et chélatrices (se lie aux
métaux lourds pour les évacuer de votre corps). Il est bourré de nutriments : vitamine A, C et E anti-
oxydantes qui freinent le vieillissement cellulaire, fibres, potassium et souffre.
Des études récentes ont démontré que le chou a des vertus anti-cancéreuses grâce à son souffre et
ses anti-oxydants. Le brocoli freine le cancer de la prostate.
Vous trouverez sur marmiton.org des centaines de recettes à base de chou. N'oubliez pas le chou de
Bruxelles, le chou chinois, le brocoli et toutes les sortes de chou blanc, vert, rouge, frisé ou pommelé.
Un exemple rapide : ouvrez une boite de conserve de petits pois (inutile qu'ils soient « extra fins »),
versez la dans une casserole, avec le jus, et faites chauffer. Il vous suffit ensuite de mixer, saler,
poivrer, et ajouter une cuillerée de crème fraîche non-allégée, pour faire un délicieux potage.
Le reste du temps, les légumes cités précédemment feront une excellente base de repas, et vous
pourrez manger végétarien sans y penser. Quelques lardons, ou un bout de saucisse fumée suffisent à
accompagner ces plats, si c'est indispensable pour vous. Pour varier les goûts, redécouvrez les épices
et les herbes aromatiques, à commencer par les plus simples et les plus courantes : ail, cerfeuil, noix
de muscade, laurier, cumin...
Les œufs
Enfin, l'aliment parfait pour les petits budgets : l'œuf.
Victime d'une épouvantable erreur judiciaire dans les années 90, lorsque des chercheurs accusèrent
injustement son jaune (le meilleur !!) de faire monter le taux de cholestérol, l'oeuf a été totalement
blanchi ces dernières années, en particulier grâce à une étude de l'Université de Yale. (2)
Nous savons maintenant que deux œufs par jour n'ont aucun effet négatif sur le cholestérol, pour les
personnes en bonne santé. Bien entendu, si vous suivez un régime particulier, prescrit par un
médecin, ne changez rien sans l'avoir consulté.
Sinon, vous n'avez aucune raison de vous priver de cette délicieuse source de protéines de haute
qualité, nourrissante, facilement digérable, et très bon marché. Car même en magasin bio, vous aurez
du mal à trouver des œufs, même enrichis aux oméga-3, à plus de 25 cts l'unité.
A votre santé,
Jean-Marc Dupuis
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