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Énergie du vide
Ne doit pas être confondu avec niveau d'énergie du vide.

Cet article ne cite pas suffisamment ses sources (novembre 2018).


Si vous disposez d'ouvrages ou d'articles de référence ou si vous connaissez des sites web
de qualité traitant du thème abordé ici, merci de compléter l'article en donnant
les références utiles à sa vérifiabilité et en les liant à la section « Notes et références »
En pratique : Quelles sources sont attendues ? Comment ajouter mes sources ?

L'énergie du vide est le cas particulier d'énergie de point zéro d'un système


quantique, où le « système physique » ne contient pas de matière. Cette énergie
correspond à l'énergie du point zéro de tous les champs quantiques de l'espace, ce
qui, pour le modèle standard, inclut le champ électromagnétique, les champs de
jauge et les champs fermioniques, ainsi que le champ de Higgs électrofaible. C'est
l'énergie du vide qui dans la théorie quantique des champs est définie non comme un
espace vide mais comme l'état fondamental des champs. Ceci implique que, même
en l'absence de toute matière, le vide possède une énergie de point zéro, fluctuante,
d'autant plus grande que le volume considéré est petit.
En cosmologie, l'énergie du vide est une explication possible pour la constante
cosmologique.
L'énergie du vide est une énergie sous-jacente qui existe partout dans l'espace, à
travers l'Univers. Une contribution possible à l'énergie du vide, ce sont les particules
virtuelles, définies comme des couples de particules qui apparaissent puis
s'annihilent tout de suite, dans un délai tellement bref qu'on ne peut pas les observer.
Elles seraient ainsi présentes dans l'ensemble de l'Univers. Leur comportement est
codifié dans la relation temps-énergie du principe d'incertitude de Heisenberg.
Cependant, l'effet précis de tels flashs d'énergie est difficile à quantifier.
Toutefois, les effets de l'énergie du vide peuvent être observés expérimentalement
dans plusieurs phénomènes tels que l'émission spontanée, l'effet Casimir, ou
le décalage de Lamb, et sont supposés influencer le comportement de l'Univers à
l'échelle cosmologique.
En se référant à la limite supérieure de la constante cosmologique, l'énergie du vide
a été estimée à 10−9 joules (10−2 ergs) par mètre cube1. Mais selon
l'électrodynamique quantique et l'électrodynamique stochastique, pour être en
cohérence avec le principe d'invariance de Lorentz et la valeur de la constante de
Planck, elle devrait avoir une valeur de l'ordre de 10 113 joules par mètre cube. Cette
énorme divergence a été appelée « catastrophe du vide ».
Sommaire

 1Histoire
 2Description
 3Approche quantitative
o 3.1Energie de point zéro d'oscillateurs harmoniques quantiques
o 3.2Divergence et renormalisation
o 3.3Fréquence de coupure
o 3.4Effet sur la courbure de l'espace-temps
 4Extraire de l'énergie du vide ?
o 4.1Effet Casimir
o 4.2Coût d'extraction d'une énergie
o 4.3Dans la science-fiction
 5Notes et références
 6Voir aussi
o 6.1Articles connexes
o 6.2Liens externes

Histoire[modifier | modifier le code]
En 1934, Georges Lemaître utilisa une équation d'état de gaz parfait inhabituelle
pour interpréter la constante cosmologique comme étant due à l'énergie du vide. En
1948, l'effet Casimir fournit une méthode expérimentale permettant de vérifier
l'existence de l'énergie du vide. Cependant, en 1955, Evgeny Lifshitz proposa une
origine différente[Laquelle ?] pour l'effet Casimir. En 1957, Tsung-Dao Lee et Chen Ning
Yang prouvèrent le concept de brisure de symétrie et de violation de parité, pour
lesquels ils remportèrent le prix Nobel.
En 1973, Edward Tryon proposa l'hypothèse de l'univers à énergie nulle qui énonce
que l'Univers peut être une fluctuation à grande échelle du vide quantique où
une énergie-masse positive est équilibrée par une énergie potentielle
gravitationnelle négative.
Dans les années 80, de nombreuses tentatives ont été menées pour relier les
champs qui génèrent l'énergie du vide à des champs spécifiques prédits par des
tentatives de théorie de Grande Unification et pour utiliser les observations de
l'Univers pour confirmer l'une ou l'autre version. Cependant, la nature exacte des
particules (ou des champs) générant l'énergie du vide, avec une densité identique à
celle requise pour la théorie de l'inflation, reste un mystère.

Description[modifier | modifier le code]
La densité moyenne d'énergie et de pression engendrée par les fluctuations du vide
quantique, mise en évidence à de très faibles échelles par l'effet Casimir, est parfois
également appelée « énergie du point zéro »2. La densité moyenne d'énergie du vide
sur des échelles cosmologiques, mise en évidence par l'observation de l'accélération
de l'expansion de l'univers, calculée à partir de ces observations (de l'ordre de
10−29 g cm3) est associée à l'énergie sombre, ainsi qu'à la constante cosmologique.
Historiquement, le terme « énergie du vide » est plutôt associé aux fluctuations
quantiques et reste encore très majoritairement employé dans ce sens. Ce n'est
qu'assez récemment (à la fin des années 1990) que ce terme est également employé
pour désigner la densité d'énergie du vide à grande échelle, ce qui entraine des
confusions. C'est pourquoi le concept d'énergie sombre a été forgé, et devrait être
employé préférentiellement à « énergie du vide » pour désigner la densité d'énergie
du vide sur de grandes échelles[réf. nécessaire].
La densité d'énergie moyenne des fluctuations quantiques à grande échelle est en
principe parfaitement nulle. Toutefois, certaines théories[Lesquelles ?] prévoient un effet
résiduel à grande échelle des fluctuations, si certaines particules virtuelles créées
par les fluctuations se stabilisent en condensat de Bose-Einstein. Mais les modèles
théoriques correspondants ne sont pas encore au point, et la possibilité même de
condensats stables à grande échelle n'est pas démontrée.
Avec l'achèvement de la construction du Grand collisionneur de hadrons, et sa mise
en route, les scientifiques espèrent pouvoir en apprendre plus sur cette « énergie du
vide ».

Approche quantitative[modifier | modifier le code]


Energie de point zéro d'oscillateurs harmoniques
quantiques[modifier | modifier le code]
Une manière d'évaluer quantitativement ces fluctuations 3 est de modéliser le vide
comme la superposition d'une infinité (dans l'espace et dans la fréquence ω)
d'oscillateurs harmoniques électromagnétiques minimaux et indépendants placés à
une température de zéro absolu. D'après la théorie des champs4, même au zéro
absolu, l'énergie mécanique quantique minimale de chaque oscillateur est :
( se lit « lambda bar », noté ainsi en réponse au « h-
barre »).
Cette énergie minimale est à l'origine de la fameuse
énergie du point zéro. Chaque oscillateur minimal peut
être visualisé comme occupant un volume de , où k est
un facteur numérique « proche de 1 ». Par exemple,
une onde peut être confinée dans une cavité
réfléchissante d'une demi-longueur d'onde de côté, ce
qui est le quantum minimal permettant à une telle onde
de s'exprimer ; mais elle peut s’accommoder de cavités
représentant des multiples de cette quantité ; pour une
cavité de cette taille, l'amplitude de cette onde est alors
nulle aux parois, et maximale au centre. Puisque nous
ne cherchons qu'un ordre de grandeur, on peut donc
dire que cette onde est confinée dans un volume de
l'ordre de λ3, en éliminant les facteurs numériques
proches de 1. Ceci implique que la densité
d'énergie Uω correspondante pour la fréquence ω est
donc :
Divergence et
renormalisation[modifier | modifier le code]
Quelle est alors la densité d'énergie totale de cette
énergie du point zéro intégrée sur l'ensemble des
fréquences? Lorsque on intègre l'énergie des
oscillateurs ainsi modélisés sur l'ensemble des
fréquences possibles, jusqu'à une fréquence
maximale t, Milonni4 montre que la densité d'énergie
totale (t), du fait que le volume d'intégration varie
avec la fréquence, est égale à
La formule est la même que la précédente, sauf
que maintenant la fréquence prise en compte
varie de zéro à la fréquence maximale ωt.
Maintenant, si l'on suppose que ω n'a aucune
limite physique et qu'une fréquence
électromagnétique peut être infinie, alors quand
ω tend vers l'infini la densité d'énergie du vide
serait également infinie. Cette approche impose
alors une « renormalisation » dans un sens ou
un autre.
Aussi, par renormalisation, sans se préoccuper
trop de la somme totale infinie, on ne calcule
que des variations de cette énergie de point
zéro du vide, observées par l'effet Casimir (qui
devient la force de van der Waals à très courte
distance). Cet effet Casimir peut être décrit
aussi par des échanges virtuels de photons qui,
de fait, sont une description partielle des
fluctuations de mouvement de point zéro du
vide.
Fréquence de coupure[modifier | modifier
le code]
Une manière d'évaluer quantitativement ces
fluctuations5 est de considérer que la fréquence
de Planck est la plus grande fréquence
discernable. En effet, comme deux évènements
distincts ne peuvent pas être séparés par moins
que le temps de Planck tP, la période d'un
phénomène physique ne peut pas être
inférieure à tP, donc sa fréquence ne peut pas
être supérieure à 1/tP.
Lorsque on intègre l'énergie des oscillateurs
ainsi modélisés sur l'ensemble des fréquences
possibles, jusqu'à une fréquence de coupure
valant la fréquence de Planck, l'énergie est
égale à :
La formule est la même que la précédente,
sauf que maintenant la fréquence prise en
compte varie de zéro à la fréquence de
coupure ωp.
La densité d'énergie qui en découle est
alors :
La densité d'énergie du vide est donc
la densité d'énergie de
Planck, 4,633 09 × 10113 pascals.
Effet sur la courbure de
l'espace-temps[modifier | modifie
r le code]
Cette densité d'énergie entraîne en
principe des effets physiques,
mesurables sur la courbure de
l'espace temps. Cependant,
macroscopiquement, en se référant à
la limite supérieure de la constante
cosmologique, l'énergie du vide telle
que physiquement observable a été
estimée à 10−9 joules (10−2 ergs) par
mètre cube6.
Inversement, l'approche théorique
conduit à une énergie énorme,
qu'elle soit infinie ou « simplement »
limitée à la densité d'énergie de
Planck, 4,633 09 × 10113 pascals.
Pour la physique théorique, cet écart,
de l'ordre de 10120 entre la théorie
quantique et l'observation
astronomique, a été qualifié de
« catastrophe du vide » : pourquoi
l'énergie du vide observable ne
correspond-elle pas à la valeur
calculée, avec un écart impensable
d'un facteur 120? Cependant, cet
écart doit être relativisé, la question
paraissant plutôt être « pourquoi la
violence des fluctuations quantiques,
probablement réalisées à l'échelle
quantique, n'est-elle pas observable
à notre échelle? ».
Le problème de la valeur totale de
l'énergie de point zéro du vide
immensément grande reste un des
problèmes fondamentaux non
résolus de la physique7, car il reste à
découvrir les phénomènes physiques
avec une énergie opposée, qui
permettent d'expliquer la valeur faible
observée pour la constante
cosmologique de l'énergie du vide8.

Extraire de l'énergie du
vide ?[modifier | modifier le code]
Néanmoins comme il s'agit de
l'énergie minimum possible, il n'est
pas possible d'extraire de l'énergie
utilisable de ce vide, contrairement à
certaines propositions de science-
fiction. Au mieux on peut stocker de
l'énergie dans des courants
superfluides ou supraconducteurs
perpétuels (qui sont dans leur
énergie de point zéro) et la récupérer
plus tard en les stoppant.
Effet Casimir[modifier | modifier
le code]
Article détaillé : effet Casimir.
L'effet Casimir est l'attraction entre
deux plaques séparées par le vide.
Il est parfois vu comme indice qu'on
pourrait extraire de l'énergie du vide,
mais c'est oublier qu'une énergie ne
se limite pas à une force : c'est le
produit par exemple d'une force
(variable d'intensité) par un
déplacement (variable de position).
La conservation de l'énergie n'est
pas violée dans ce cas. En effet, en
déplaçant les plaques, on modifie les
longueurs d'onde possibles, et donc
l'énergie du vide elle-même va varier.
Le vide doit donc être envisagé
comme un simple milieu, avec lequel
il est possible d'échanger de
l'énergie, modifiant donc son état
d'énergie. Il ne peut fournir
indéfiniment de l'énergie, toutes
choses égales par ailleurs.
De plus, un système cyclique, sur le
modèle d'un moteur à piston,
impliquerait de ramener les plaques à
leurs positions précédentes, et pour
les écarter de nouveau l'existence de
la force de Casimir impliquerait de
dépenser plus d'énergie qu'en son
absence (sauf à faire revenir le
"piston" sans vis-à-vis, et à faire
revenir le vis-à-vis en translation sur
un plan perpendiculaire au
mouvement du piston, ce qui
nécessitera forcément de l'énergie).
Coût d'extraction d'une
énergie[modifier | modifier le code]
Le terme énergie du vide est parfois
utilisé par certains
« scientifiques »[Lesquels ?], affirmant
qu'il est possible d'extraire de
l'énergie - c'est-à-dire du travail
mécanique, de la chaleur… – à partir
du vide, et de disposer ainsi,
idéalement, d'une source d'énergie
gigantesque et virtuellement
inépuisable.
Le problème est cependant moins
d'extraire l'énergie du vide que de
l'extraire sans dépenser plus
d'énergie que l'on ne peut espérer en
récupérer. Dans le cas
du rayonnement de
Hawking des trous noirs, c'est une
masse qui est in fine convertie en
énergie, qu'on n'a donc pas obtenue
« gratuitement ».
Ces différentes hypothèses suscitent
un grand scepticisme chez nombre
de chercheurs, car elles entraînent
une remise en cause d'un principe
admis en physique, jusqu'ici jamais
pris en défaut : la conservation de
l'énergie, conformément (comme
toutes les invariances) au théorème
de Noether. Ce principe, toujours
observé à l'échelle macroscopique,
suggère qu'extraire l'énergie du vide
demanderait au moins autant
d'énergie, voire probablement plus,
que le processus de sa récupération
n'en fournirait. La problématique est
voisine de celle du mouvement
perpétuel, et fondée[C'est-à-dire ?] en tout
cas sur les mêmes espérances.
Dans la science-
fiction[modifier | modifier le code]
L'énergie du vide semble être une
des principales sources d'énergie
utilisée par les Altérans, aussi
appelés Anciens dans les
séries Stargate SG-1 et Stargate
Atlantis. Les générateurs
dits EPPZ ou E2PZ (Extracteur de
Potentiel du Point Zéro) exploitent
l'énergie d'un sous-espace artificiel et
ont par essence une capacité finie.
Les Altérans, via le projet Arcturus9,
tentent de dépasser cette limitation
en décidant d'exploiter l'énergie de
notre propre espace-temps. Mais
cette expérience est un échec, en
raison des fluctuations imprévisibles
inhérentes à l'expansion de notre
univers.
C'est également l'énergie utilisée par
l'humanité dans le roman 3001 :
L'Odyssée finale d'Arthur C. Clarke.
L'utilisation excessive de cette
énergie a provoqué un réchauffement
climatique, auquel l'humanité a
trouvé une solution.

Notes et
références[modifier | modifier le
code]
(en) Cet article est partiellement ou en totalité issu
de l’article de Wikipédia
en anglais intitulé « Vacuum energy » (voir la liste
des auteurs).

1. ↑ (en) Sean Carroll, Sr Research


Associate - Physics, California Institute
of Technology, June 22, 2006, C-
SPAN broadcast of Cosmology at
Yearly Kos Science Panel, Part 1.
2. ↑ (fr) « L'Énergie du Point Zéro :
Historique et Perspectives par Marc
HERMANS - 2003 » [archive],
sur users.skynet.be (consulté le 1  octobre
er

2010).
3. ↑ D'après The Universe Is Only
Spacetime [archive]. Macken, John.
(2015). 10.13140/RG.2.1.4463.8561, p.
62.
4. ↑ Revenir plus haut en :a et b Milonni, P. W.: The
quantum vacuum: an introduction to
quantum electrodynamics. p. 49
Academic Press Inc., San Diego (1994)
5. ↑ D'après The Universe Is Only
Spacetime [archive]. Macken, John.
(2015). 10.13140/RG.2.1.4463.8561, p.
62.
6. ↑ (en) Sean Carroll, Sr Research
Associate - Physics, California Institute
of Technology, June 22, 2006, C-
SPAN broadcast of Cosmology at
Yearly Kos Science Panel, Part 1.
7. ↑ (en) H Zinkernagel SE Rugh, « The
quantum vacuum and the cosmological
constant problem », Studies in History
and Philosophy of Science Part B:
Studies in History and Philosophy of
Modern
Physics, vol. 33, no 4, 2002, p. 663–705 
(DOI 10.1016/S1355-2198(02)00033-3, lire en
ligne [archive]).
8. ↑ « Communiqué de presse (2003) -
L'énergie du vide est-elle vraiment la
principale composante de la densité de
l'Univers ? » [archive], sur cnes.fr, CNES.
9. ↑ « Project Arcturus » [archive],
sur SGCommand (consulté le 5 août 2020).

Voir aussi[modifier | modifier le
code]
Articles
connexes[modifier | modifier le
code]

 Constante cosmologique
 Effet Casimir
 Énergie du point zéro
 Énergie noire
 Théorie synergétique
 Vide quantique
 Champ de Higgs
 Éther
Liens externes[modifier | modifier
le code]

 « Communiqué de presse (2003)


- L'énergie du vide est-elle
vraiment la principale
composante de la densité de
l'Univers ? » [archive], sur le site
du CNES
 « Le journal du CNRS no 181 -
février 2005 / la physique -
Énergie noire, la grande
inconnue. » [archive], sur le site
du CNRS

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 La dernière modification de cette page a été faite
le 18 août 2020 à 15:19.
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