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Naima CHABBI-CHEMROUK
PROBLEMATIQUE
ENVIRONNEMENTALE DANS
LE CONTEXTE ALGERIEN
PERSPECTIVES POUR DE NOUVELLES PROSPECTIVES
Editions Al-Djazair
© 2014, Editions Al-Djazair, Algérie
Dépot légal
ISBN :
PROBLEMATIQUE ENVIRONNEMENTALE DANS LE CONTEXTE
ALGERIEN : PERSPECTIVES POUR DE NOUVELLES
PROSPECTIVES
__________________________________________________________________________
Pr. Naima CHABBI-CHEMROUK
Introduction
Alors que la tendance dans beaucoup de pays émergeants est au retour sur les noyaux
existants, le processus de densification, de réhabilitation des tissus existant et de récupération
des espaces interstitiels, la ville algérienne continue de croitre par l’extension38.
Une extension qui se fait surtout sur son littoral. En effet, en Algérie la question de
l’étalement urbain est liée à la problématique de la littoralisation qui caractérise l’ensemble
des pays méditerranéens. Cette préoccupation apparait clairement dans les objectifs du SNAT
203039, qui insiste sur le freinage de la littoralisation tout en veillant à un développement
qualitatif du littoral.
Les conséquences de cette littoralisation ont des répercussions sur les ressources non
renouvelables, comme les terres les plus fertiles et écosystèmes naturels. La bande littorale
qui ne représente que 4% du territoire national, rassemble les deux tiers (2/3) de la population
algérienne40. Par ailleurs, cette bande littorale est très vulnérable et soumise à des risques
naturels majeurs.
Ainsi, en ce cinquantenaire de l’indépendance de l’Algérie, les enjeux environnementaux sont
plus que jamais d’actualité. En effet, de nouveaux plans d’aménagement du littoral algérois
sont en cours de réalisation ; ces projets s’inscrivent dans un programme de transformation
d’Alger à l’horizon 2030, une transformation en éco métropole.
Un passif à assumer: Des processus d’urbanisation conjoncturels basés essentiellement
sur la programmation quantitative et les disponibilités foncières
En Algérie en général et particulièrement à Alger, l’urbanisation effectuée à ce jour a été
caractérisée par l’urgence due à la reconstruction du pays et les rattrapages des besoins
essentiels de la population : Logements, équipements, infrastructures…
De ce fait, l’urbanisme mis en œuvre à travers l’ensemble des instruments d’urbanisme et
d’aménagement, visait essentiellement la quantification des besoins et leurs localisations
spatiales en termes de disponibilités foncières et d’assiettes facilement constructibles.
De grands programmes ont été ainsi réalisés, et dans la plupart des cas ont multiplié
sensiblement la taille de l’agglomération algéroise. Alger, s’est donc faite par extension et
essentiellement par le logement et les activités sans synergie entre les différentes fonctions
urbaines. Un étalement conséquent caractérise aujourd’hui la capitale algérienne, qui souffre
de la fragmentation de son territoire.
38
Il ne s’agit pas ici de privilégier certains « modes » d’intervention sur les tissus existants. En effet, le
« renouvellement urbain » au même titre que « le développement durable » ou la « mixité sociale » est présenté comme la
solution de tous les maux. Aujourd’hui, le renouvellement urbain a pénétré les champs des politiques publiques au point de
devenir un objectif politique. Il est même incorporé à l’arsenal législatif de plusieurs pays et donne son nom à des dispositifs
publics.
39
Loi n° 10-02 du 29 juin 2010 portant approbation du Schéma National d'Aménagement du Territoire.
40
K.Brahiti, l’Algérie face au défi de l’urbanisation, in Habitat et Urbanisme, cinquante ans de réalisation, 2012, pp.18/27
1
Ce modèle de croissance urbaine, volontariste et étatique, a été dédoublé par un phénomène
de croissance informel générant d’importantes zones d’habitat illégal, qui représentent dans
certains cas jusqu’à 50% de l’urbanisation41.
Cette démarche, si elle a permis la résolution de certains besoins de la population en
logements, a produit des problématiques complexes, qui rendent la gestion urbaine assez
aléatoire et très complexe.
Cette situation est d’autant plus critique, que les mutations économiques qu’a connues
l’Algérie se traduisent sur le terrain par une urbanisation encore plus accélérée que celle qui a
marqué le pays au lendemain de son indépendance, et des différents exodes qui ont suivi.
En effet, les différents changements introduits ces dernières années au plan économique et
social, semblent avoir largement contribué à l’émergence de nouvelles dynamiques
urbaines42. La satisfaction de ces nouveaux besoins s’est rapidement traduite en une pression
de plus en plus croissante dans l’usage du sol, des services et infrastructures
d’accompagnement. Les projections et les échéances des instruments d’urbanisme se sont
ainsi retrouvées dépassées.43
La mise en œuvre du programme de développement du quinquennal 2010-2014, avec son
million de logements et ses grands projets de transport, risque d’accélérer encore plus ce
processus d’urbanisation, et spécialement celui de la capitale en tant que ville vitrine d’un
pays qui a toujours revendiqué une certaine prospérité et autosuffisance par rapport à ses
voisins maghrébins.
Par ailleurs, la stabilité politique dont se revendique l’Algérie aujourd’hui, semble elle aussi
induire une nouvelle dynamique urbaine. Alger est aujourd’hui un grand chantier. En plus de
la révision des différents instruments aux différentes échelles, un ambitieux programme de
transformation de sa baie et de son littoral est en cours de réalisation.
Au-delà, d’une transformation discutable mais peut-être inévitable, l’intervention sur le
littoral, un territoire déjà très fragilisé et protégé, est-elle une fatalité ?
41
K.Brahiti, Op.Cit
42
L’embellie financière et les nécessités d’une ouverture sur la mondialisation ont incité les différents acteurs en charge de
l’urbanisme de l’agglomération algéroise de revoir fondamentalement les modes et les modalités de l’urbanisme et le
fondement de la démarche d’urbanisation. Les dernières assises nationales de l’urbanisme tenues en Juin dernier (2011)
attestent clairement de cette nouvelle volonté. Dès lors, la question qui se pose est quelle démarche adopter pour
accompagner la croissance urbaine de l’agglomération algéroise face aux nouveaux enjeux économiques et
environnementaux?
43
MUH, « note méthodologique », élaborée par le Ministère de L’urbanisme et de l’Habitat, lors des Assises Nationales de
l’Urbanisme, Alger, Juin 2011.
44
http://www.planbleu.org/publications/4pages_littoral_fr.pdf
2
L'artificialisation du sol progresse à un rythme alarmant : environ 40 % des côtes sont
aujourd'hui bétonnées du fait de l'étalement urbain, des routes, des équipements touristiques et
des ports45.
En termes de biodiversité, la Méditerranée est considérée comme une des mers les plus
menacées de la planète46. A Alger, l'érosion côtière est amplifiée au quotidien par les
extractions massives de sable. Ceci en plus des autres sources de pollutions (Carte 1).
3
Les objectifs du «Rapport National sur l’État et l’Avenir de l’Environnement RNE 2000 »
étaient en effet, non seulement de dresser un état de l’environnement, mais surtout d’exposer
les facteurs de vulnérabilité environnementale d’ordre physique et institutionnel. Le RNE a
ainsi lancé une série d’actions qui ont abouti à:
• un renforcement institutionnel,
• la mise en place d’un cadre législatif et réglementaire devant mettre l’accent
sur la vulnérabilité des différentes composantes du territoire, à savoir : les
terres, les eaux douces, les zones marines et côtières, la diversité biologique,
les forets, l’écosystème steppique, l’écosystème saharien, les zones urbaines et
industrielles, le patrimoine culturel et archéologique.
L’arsenal législatif introduit avait pour but de combler certaines lacunes et incohérences, et se
mettre au diapason des nouvelles données nationales et internationales relevant
essentiellement du domaine de l’environnement49.
Par ailleurs, compte tenu du caractère fragile de la zone littorale, et la pression exercée par
l’urbanisation effrénée, une loi spécifique relative à la protection et à la valorisation du littoral
est venue dès 200250 renforcer l’appareil législatif en matière de gestion du foncier et des
activités d’aménagement, « dans les zones littorales et côtières en particulier, dans le but de
préserver le patrimoine inestimable que constitue le paysage le long de la cote algérienne ».
Cette loi avait donc pour missions fondamentales :
d’éloigner l’extension urbaine du littoral.
de classer les sites à caractère écologique, paysager, culturel et touristique.
de déplacer les installations industrielles vers des sites appropriés.
d’utiliser rationnellement l’espace.
Loi N° 03-10 du 20 juillet 2003 relative a la protection de l’environnement dans le cadre du développement durable
Loi N° 04-09 du 14 aout 2004 relative à la promotion des énergies renouvelables dans le cadre de développement
durable
Loi n° 04-20 du 25 décembre 2004 relative à la prévention des risques majeurs et à la gestion des catastrophes dans
le cadre du développement durable.
Loi n° 06-06 du 20 février 2006 portant loi d'orientation de la ville
Loi n° 07-06 du 13 mai 2007 relative à la gestion, à la protection et au développement des espaces verts.
49
Loi N° 01-20 du 12 décembre 2001 modifiant loi 87 – 03 du 27 janvier 1987 relative à l’aménagement du territoire dans
le cadre du développement durable.
50
Dans le cadre de cette loi (N° 02-02 du 5 février 2002) relative à la protection et à la valorisation du littoral, les activités à
l’intérieur de cette zone sont réglementées par bandes de terres :
La bande des (100) mètres est frappée de servitudes non-aedificandi, cette distance peut être portée à (300) mètres
pour des motifs liés au caractère sensible du milieu côtier.
L’extension de deux agglomérations adjacentes situées sur le littoral est également interdite, à moins que la
distance les séparant soit d’au moins 5km sur le littoral.
51
Ces plans sont soutenus par le Plan d’Action pour la Méditerranée51, dont l’objectif principal est la protection et la mise en
valeur du littoral, tout en assurant une utilisation rationnelle et durable des ressources côtières. L’idée étant d'aider les pays
4
Octobre 2001. Ce programme avait pour objectif d’endiguer le phénomène de littoralisation,
et de limiter la croissance urbaine à la faveur d’une politique de redéploiement de l’excédent
démographique vers des zones situées hors du PAC.
Ainsi, basé sur un ensemble de diagnostics et différents rapports nationaux sur l’état de
l’environnement (RNE), le PAC établi dans le cadre du PAM (Plan d’aménagement
méditerranéen) a donc délimité la zone littorale et préconisé l’encadrement de toutes les
actions d’urbanisme et le freinage de l’artificialisation du littoral. En effet, il s’agissait
d’essayer assez rapidement (dans le court et moyen termes) de maîtriser et de réduire les
retombées négatives du développement sur le littoral et les ressources côtières, et de protéger
le milieu marin.
Un observatoire du littoral a même été institué et existe sur l’organigramme du MATE.
Cependant, en 2007 en même temps que la révision du PDAU, un plan d’aménagement de la
baie d’Alger fût lancé. Ce plan prend-il en considération les recommandations du PAC ?
Par ailleurs, dès 2004, dans une application de l’approche Imagine52 au littoral algérois, une
équipe de chercheurs a testé un processus de gestion durable des zones côtières. Cette
approche est basée sur une réflexion collective de l’ensemble des acteurs concernés aux futurs
possibles et souhaitables. Les résultats attendus de cette réflexion comprennent une
description de ce que serait un futur souhaitable, et des actions à entreprendre pour l'atteindre.
Ils comprennent également un ensemble d'indicateurs de durabilité constituant un tableau de
bord pour suivre les progrès du territoire vers un développement durable. Le projet
d’aménagement de la baie d’Alger relève-t-il d’un choix politique, idéologique ou du choix
d’une collectivité ?
Dans le cas du PAC " zone côtière algéroise ", les indicateurs clés (Tableau 1) positionnés sur
un schéma AMOEBA (Figure 1) permettent de visualiser la non durabilité de la zone en 2003.
Ce schéma montre que la quasi-totalité des indicateurs sont situés en dehors de la zone
d'équilibre (onze indicateurs sont non durables par défaut, neuf par excès et un seul se situe
dans la bande d'équilibre). Ce schéma aide aussi à déterminer les actions urgentes à mettre en
œuvre pour ramener les indicateurs dans la bande d'équilibre, et à estimer les gains en
durabilité les plus immédiats, ou les moins difficiles à atteindre. Le projet d’aménagement de
la baie retenu s’inscrit-il dans cette démarche de recherche d’un équilibre progressif ? Que
propose ce nouveau plan ?
méditerranéens à développer des stratégies et des procédures pour la gestion durable de leurs zones côtières
méditerranéennes. http://www.unepmap.org/html/homeeng.asp.
52
Bell S. et E. Coudert, (2006), Guide d'utilisation de Imagine : Analyse systémique et prospective de durabilité, Les Cahiers
du Plan Bleu n°3, Valbonne, 50 pages. Benoit G. et A. Comeau, (dir.), 2005, Méditerranée, Les perspectives du Plan Bleu sur
l'environnement et le développement, Éditions de l'Aube et Plan Bleu, 432 pages.
5
Tableau 1. Les indicateurs clés de durabilité de la zone côtière algéroise (Larid, 2005)
53
Arté Charpentier Architecte, prestigieuse agence française d’architecture et d’urbanisme créée en 1969.
55
Dans un entretien accordé à vie des Ville le président d’Atre Charpentier explique qu’il ont eu à commencer rapidement le
projet d’aménagement de la baie, vu que c’était une condition nécessaire à l’établissement du PDAU qui devait lui prendre
ses projet comme référentiel.
6
comme articulé autour d’enjeux environnementaux et introduit Alger comme une éco
métropole du 21ème siècle. Il définit ainsi (03) trois axes de développement :
1. Axe éco urbain, définissant les projets prioritaires pour revaloriser la façade maritime
et requalifier l’espace urbain. Cet axe facilitera les connexions de la ville à la mer, et
l’accès aux plages.
2. Axe éco développement, mettant en avant de nouvelles polarités avec la création de
pôles d’excellence et la reconquête du port.
3. Axe éco système, qui restaurera la trame verte, stabilisera le cordon des plages et
créera un filtre écologique littoral.
Alger, « éco-métropole de la Méditerranée et ville jardin »
Ce plan répond à une des sept56 (07) ambitions décrétées pour Alger à l’horizon 2031. Ce
projet à l’échelle de toute la baie s’étend sur une cinquantaine de kilomètres (50 km), avec
une épaisseur initiale de 500 m. Le périmètre initial a été étendu vers l’Est pour intégrer le lac
de Reghaia au vu des enjeux environnementaux, de tourisme et de loisirs de cette zone
humide classée57 .
Ce projet qui dénote d’une politique « d’agir vite »58 sur la ville d’Alger et de la volonté
d’interrompre une tradition « d’urbanisme du coup par coup »59, se veut une introduction
d’une nouvelle manière de faire de l’urbanisme. Un urbanisme basé sur une vision globale à
l’échelle de la baie et de la wilaya. En effet, l’articulation du plan autour de projets
structurants, prioritaires, identifiés préalablement est supposée drainer de nouvelles activités,
induire de nouveaux développements et entrainer la transformation positive de certain
secteurs et quartiers60 .
Par ailleurs, un des principes fondamentaux autour duquel ce plan a été élaboré est celui de
rendre la mer à la ville. Le plan proposé considère en effet que :
Le port et les friches industrielles ne facilitent pas l’accessibilité directe à la mer. Le
port lui-même est asphyxié. Le déplacement des activités lourdes du port vers un port
en eaux profondes permettrait, non seulement le développement d’une plateforme
industrialo-portuaire et le développement d’activités importantes, mais libérerait aussi
56
Les ambitions clés pour Alger (PDAU d’Alger, rapport d’orientation, PARQUEXPO, 2011)
57
Lac classé comme zone humide protégé par ma convention de Ramssar juin 2003
58
Des mots mêmes du PDG d’Arte Charpentier in Vie de villes, HS n°3, 2012, P355
59
Ibid
60
Ibid
7
des espaces importants entre la ville et la mer. Ces espaces pourraient être aménagés
en équipements publics.
La perméabilité vers la mer n’est que visuelle et la création d’un Macro maillage
constitué de grandes transversales ou grandes ouvertures, qui aboutiraient jusqu'à la
mer assurerait une meilleure perméabilité physique et visuelle. Ces transversales
seraient ponctuées au niveau de la baie par des équipements. Ceux-ci au vu de la
forme en arc de la baie pourraient constituer des perles (Carte 2).
L’érosion a diminué le nombre de plages et qu’il s’agirait d’en reconstituer un
maximum sur la baie, tout en aménagement des espaces publics qui pourraient eux-
mêmes être exploités pour de nouvelles constructions.
Carte 2. La baie et la métaphore du collier de perles – les projets et équipements structurants- qui
aboutissent sur la baie (HS, Vie de villes, 2012)
8
Figure 2. Graphiques de la durabilité à 2015 dans le PAC " Zone côtière algéroise " (Larid, 2005)
En conclusion :
Après cinquante années de réalisations et de projets, il est clair que les réponses ponctuelles à
l’urgence étaient peut-être inévitables, répondaient à des problèmes certes identifiés, mais
étaient-elles mêmes conjoncturelles, sans vision anticipatrice.
Des politiques urbaines définies en amont et à long terme, et s’adressant à l’exploration des
futurs possibles des territoires pourraient devenir des alternatives plus pérennes.
Par ailleurs, s’il est normal et même souhaitable que les démarches urbaines et territoriales
soient multiples, elles gagneraient cependant, à s’articuler autour de deux dimensions
essentielles de la prospective territoriale : cognitive et participative. Il s’agirait ainsi de :
- d’approfondir les connaissances, locales et externes, indispensables pour mieux comprendre
les phénomènes, comparer et situer les territoires, pour réduire les facteurs d’incertitude par
un décloisonnement des approches, des savoirs et des points de vue.
- d’introduire le débat le plus en amont possible, de rechercher la confrontation des points de
vue, au lieu de l’éviter avec approfondissement des termes d’un conflit63.
Références bibliographiques :
- BELL S. et E. COUDERT, (2006), Guide d'utilisation de Imagine : Analyse
systémique et prospective de durabilité, Les Cahiers du Plan Bleu n°3, Valbonne, 50
pages. Benoit G. et A. COMEAU, (dir.), 2005, Méditerranée, Les perspectives du
Plan Bleu sur l'environnement et le développement, Éditions de l'Aube et Plan Bleu,
432 pages.
63
C.SPOHR et G.LOINGER, « Prospective et planifications territoriales », in Séminaire Prospective – Info La prospective
territoriale, outil d’aide à la planification spatiale. La prospective territoriale, outil de la gouvernance ?, Septembre 2003
9
- BOUTAUD A. (2003), « Du rêve d’écologie urbaine à la réalité de la ville sur
moderne: la territorialisation du développement durable, une nouvelle forme
d’appropriation du développement durable ? » Rapport à l’ADEME n. 4, ADEME –
Ecole des Mines de Saint-Etienne.
- CLUZET A. (2007), « Ville libérale, ville durable ? Répondre à l’urgence
environnementale », L’aube, Condé-sur-Noireau.
- COUDERT E et LARID M, « IMAGINE : un ensemble de méthodes et d'outils pour
contribuer à la gestion intégrée des zones côtières en Méditerranée », Vertigo - la
revue électronique en sciences de l'environnement [En ligne], Volume 7 Numéro
3 | décembre 2006, mis en ligne le 15 décembre 2006, consulté le 13 octobre 2012.
URL : http://vertigo.revues.org/9059 ; DOI : 10.4000/vertigo.9059
- DESTATTE P et DURANCE, P (2009), « Les mots-clés de la prospective
territoriale », Diact, La Documentation française, col. Travaux, n°10, Paris.
- DURANCE, P., GODET, M., MIRENOWICZ, P., PACINI, V. (2007), « La
prospective territoriale. Pour quoi faire? Comment faire? », Cahiers du LIPSOR, série
«Recherche n° 7», Paris.
- LARID M., 2004, Analyse de durabilité dans le cadre du PAC " Zone côtière
algéroise " (Algérie), Rapport du 4e atelier, Alger, 16-17 mai 2004, Plan Bleu, Sophia-
Antipolis, 37 pages. [en ligne :http://www.planbleu.org/publications/littoral.html ]
- LARID M., 2005, Analyse de durabilité dans le cadre du PAC " Zone côtière
algéroise " (Algérie), Rapport final, Plan Bleu, Sophia-Antipolis, 71 pages. [en
ligne :http://www.planbleu.org/publications/littoral.html
10
Comité de lecture
Dr DJELAL Nadia-EPAU-Alger
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