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Ce document contient les normes de présentation pour les travaux rédigés dans le
cadre des cours offerts à la Faculté de pharmacie. Cependant, il est possible que des
professeurs, chargés de cours ou responsables des laboratoires exigent l’utilisation de
normes différentes pour certains travaux. Il importe donc de bien suivre les directives
spécifiques reçues.
LA PAGE COUVERTURE
Par souci pour l’environnement, la page couverture n’est pas obligatoire lors de la
remise d’un travail. Les informations suivantes doivent se retrouver sur la page
couverture ou dans l’en-tête sur la 1re page du travail :
• Nom et matricule des étudiants;
• Numéro de l’équipe, le cas échéant;
• Titre du travail;
• Nom du professeur, du chargé de cours ou du responsable des laboratoires;
• Sigle et nom du cours, ainsi que le programme d’études;
• Faculté de pharmacie, Université de Montréal;
• Date de remise.
LA MISE EN PAGE
Format du document
Le travail doit être rédigé à l’ordinateur selon les caractéristiques suivantes :
• Police : Century Gothic;
• Taille du texte : 11;
• Couleur de l’écriture : Noire;
• Alignement du texte à gauche;
• Espacement des caractères normal;
• Marges : 2,5 cm (1");
• Interligne pour le texte principal : 1,15;
• Interligne simple acceptable pour les notes de bas de page, les tableaux, les
annexes ainsi que les références;
• Numérotation des pages en chiffres arabes (1, 2…) au centre du pied de page.
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Impression
Le travail doit être imprimé sur du papier de format lettre US (8 ½ x 11"). L’impression
recto-verso est acceptée par souci d’environnement.
Abréviations
Seules les abréviations courantes et connues doivent être utilisées. Le terme en entier
précède l’abréviation lors de sa première apparition dans le texte, sauf s’il s’agit d’une
unité de mesure normalisée.
L’utilisation des abréviations latines (p. ex. BID, PRN) est généralement à éviter. On y
aura recours uniquement dans les énoncés sans verbes ni sujets, tels que dans un
tableau, une note SOAP ou une liste de médicaments.
On doit éviter l’utilisation des abréviations à risque contenues dans la liste « Ne pas
utiliser » de ISMP Canada accessible à ce lien :
https://www.ismp-canada.org/fr/dossiers/bulletins/BISMPC2006-04.pdf
LES RÉFÉRENCES
Le but des références est de justifier tout fait énoncé permettant à l’auteur d’identifier
le texte d’autrui. La référence doit être donnée le plus tôt possible après l’énoncé du
fait. La numérotation est la façon privilégiée de signaler une référence dans le texte.
Dans ce cas, les références sont :
• numérotées selon l’ordre d’apparition dans le texte;
• identifiées en chiffres arabes, entre parenthèses;
• placées en milieu de phrase, le plus tôt possible après l’énoncé du fait, ou en fin
de phrase après le point.
D’autres façons de signaler une référence peuvent vous être indiquées par les
professeurs le cas échéant. Par exemple, la mention entre parenthèses de l’auteur suivi
de l’année de publication constitue un mode utilisé dans certains cas.
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Les références sont citées à la fin du travail, plutôt qu’en note de bas de page, selon le
style Vancouver tel que proposé par l'International Committee of Medical Journal
Editors.
Référez-vous au guide Citer selon le style Vancouver pour vérifier comment citer vos
sources, selon que vous rédigez un texte en français ou en anglais :
https://bib.umontreal.ca/citer/vancouver?tab=1004
Vous pouvez y consulter divers exemples de références bibliographiques, notamment
pour des ressources électroniques (incluant quelques ressources pharmaceutiques) et
des sites Web, logiciels et ensembles de données.
Toutes les références doivent être citées dans le texte. Toutefois, le nombre de
références ne doit pas être excessif; il faut conserver uniquement les références
pertinentes et valides et ne citer que les documents lus.
LA PARAPHRASE
La paraphrase consiste à reprendre en ses propres mots les propos d’un auteur. À cet
effet, il existe également des modalités à respecter. Nous vous invitons à les consulter
en vous rendant à l’adresse suivante : https://integrite.umontreal.ca/methodes-de-
travail/redaction/
LE PLAGIAT
Dans le règlement disciplinaire sur le plagiat ou la fraude concernant les étudiants de
l’Université de Montréal, on peut lire à l’article 1.2 c) : « Constituent notamment un
plagiat, copiage ou fraude (…) l’utilisation totale ou partielle, littérale ou déguisée,
d’un texte d’autrui en le faisant passer pour sien ou sans indication de référence… ».
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L’étudiant doit prendre connaissance de l’ensemble du règlement disciplinaire sur le
plagiat ou la fraude. Le texte de ce règlement se retrouve à l’adresse :
https://integrite.umontreal.ca/reglements/les-reglements-expliques/
L’ORTHOGRAPHE EN FRANÇAIS
Vous pouvez choisir d’utiliser l’orthographe traditionnelle (p. ex. renouvellement) ou
rectifiée (p. ex. renouvèlement); il faut toutefois rester cohérent dans ce choix à travers
tout le travail.
Quelques règles :
• Il faut utiliser une virgule pour séparer les décimales;
• Les guillemets français sont utilisés : « » ;
• Il est préférable d’utiliser le gras, avec parcimonie, afin d’attirer l’attention sur
certains mots ou des titres de sections, tandis que le souligné peut mettre en
valeur du texte d’une phrase déjà mise en valeur par le gras;
• On doit mettre un point à la fin d’une abréviation uniquement si la dernière lettre
du mot abrégé ne se retrouve pas dans l’abréviation (p. ex. « Dr » pour docteur
et « co. » pour comprimé);
• L’abréviation pour les rangs s’écrit ainsi : 1er ou 1re, 2e, 3e, etc.;
• L’abréviation latine die (1 fois par jour) s’écrit en minuscule, tandis que les
abréviations BID-TID-QID-HS-PO s’écrivent en majuscule;
• On utilise le pluriel uniquement avec une quantité ≤ -2 ou ≥ 2 (p. ex. 1,5 litre);
• Les mots en langues étrangères, incluant le latin, s’écrivent en italique;
• On doit mettre un espace, préférablement insécable pour éviter les sauts de
ligne, entre un nombre et son unité (p. ex. 20 mg);
• Le genre des bactéries prend une majuscule, tandis que l’espèce prend une
minuscule (p. ex. Staphylococcus aureus);
• Lorsqu’on répète dans le texte le nom d’un organisme, on peut abréger le genre
(p. ex. S. aureus);
• En français, il n’y a pas de prolifération de la majuscule dans les titres (p. ex.
l’OPQ s’écrit au long sans majuscule pour la lettre p : « Ordre des pharmaciens
du Québec »);
• Si une institution, un service, une faculté ou un département est unique, il faut
une majuscule à la première lettre du premier mot seulement, à moins qu’il y ait
d’autres noms propres (p. ex. Faculté de pharmacie de l’Université de Montréal);
• On doit éviter l’utilisation des anglicismes, tels que guidelines (lignes directrices),
monitoring (suivi, surveillance), switch (substitution), compliance (adhésion).
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Particularités concernant les médicaments :
• Les noms originaux des médicaments prennent une majuscule et ne contiennent
jamais d’accents (p. ex. Seroquel);
• Les noms génériques des médicaments prennent une minuscule et peuvent
contenir des accents (p. ex. quétiapine);
• On peut déterminer le genre des médicaments (masculin ou féminin) en
consultant leur monographie.
En général, pour maintenir la neutralité, les noms génériques des médicaments doivent
être utilisés plutôt que les noms commerciaux.
LES ANNEXES
Dans certains cas, vous pouvez renvoyer à des annexes si vous jugez nécessaire
d’ajouter de l’information complémentaire. On doit vérifier auprès du professeur ce qui
peut être inclus en supplément, ainsi que les limites de longueur prévues. Comme pour
les tableaux et les figures, on doit y référer dans le texte (p. ex. voir annexe IV).
Les annexes sont numérotées en chiffres romains. Elles apparaissent à la fin du travail
après les références et sont paginées.