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Kouamb’à Charte & présentation de

KOUAMBASORE… ou la Route des Enfants


Palabres Association loi 1901 regroupant les classes qui correspondent
avec des écoles des pays francophones d'Afrique

C’est en 1986 que les premières correspondances se sont


établies entre des classes de Loire-Atlantique et des écoles
d'Afrique de l'Ouest ( Burkina Faso,...)
A la suite de différentes rencontres, au cours de voyages, les
échanges se sont multipliés rapidement. L'association
KOUAMBASORE a été créée en 1988 pour soutenir ces échanges
entre les classes et les développer avec des
objectifs communs. Elle compte actuellement une quarantaine de classes en
Loire-Atlantique.
Parallèlement, les classes des correspondants de la région de Ouahigouya
(Yatenga) de Bobo Dioulasso et de Ouagadougou au Burkina Faso se sont
regroupées au sein de l'association "SANS FRONTIERES".

Ces deux associations sont jumelées officiellement depuis juin 1990.


OBJECTIFS DE "KOUAMBASORE"
et "SANS FRONTIERES"
 permettre une ouverture sur le monde au-delà des murs de nos écoles.
 lutter contre le racisme.
 découvrir d'autres cultures pour une meilleure communication entre les peuples.
 s'enrichir mutuellement de ces découvertes.
 faire naître ainsi le sens de la solidarité et du partage entre les habitants de la planète.
 établir par la correspondance scolaire une communication privilégiée et plus personnelle
entre les enfants de pays différents et un intérêt pour la vie au-delà de nos frontières.
POUR CONCRETISER ET APPROFONDIR LES ECHANGES
KOUAMBASORE collabore autant que faire se peut avec les O.N.G. (Organisations Non
Gouvernementales) locales, comme les AFDI (Agriculteurs Français et Développement
International)qui, travaillant dans des domaines différents (agriculture, commercialisation,…)
défendent les mêmes objectifs que l'association.
II est vite devenu indispensable d’organiser des rencontres entre enseignants des pays
francophones d'Afrique et enseignants de Loire-Atlantique. Depuis 1989, des délégations
africaines ou françaises sont régulièrement accueillies de part et d'autre par les deux
associations.
Ces rencontres ont permis
AUX FRANCAIS
de mieux comprendre la. situation de l'école dans les villes et villages du Burkina Faso:
 classes surchargées aux effectifs allant de 30 à 120 élèves
 conditions matérielles très rudimentaires
 difficulté de commencer l'enseignement du français,
 langue officielle, à des enfants qui ne parlent que le mooré ou le dioula à leur entrée à
l'école.
mais aussi de constater :
 une grande énergie pour réaliser les projets à l'école pour que le village vive.
 la profonde liaison entre l'école et la vie.
 la coopération entre parents d'élèves et enseignants.
 la volonté des villageois de scolariser leurs enfants et de s'alphabétiser eux-mêmes.
 la multiplication des écoles en brousse chaque année.
AUX BURKINABÈ
 de percevoir la diversité des classes en Loire-Atlantique.
 de prendre conscience d'une recherche pédagogique nécessaire pour créer des outils
adaptés.
 de voir comment l'échec scolaire est ressenti et appréhendé en France.
 de constater que les rapports entre l'école et la société sont différents ici et là-bas
 de prendre conscience de la valeur de leur culture.
Les deux associations "KOUAMBASORE" et "SANS FRONTIERES" souhaitent consolider et
poursuivre ces échanges dans des rapports d'égalité, dans le respect des comportements, des
façons de penser, des traditions...
Il est donc nécessaire de bien connaître de part et d'autre le tissu socioculturel. La connaissance
réciproque précise et concrète de nos méthodes et de nos outils enrichit la réflexion pédagogique
autant ici que là-bas.
Financement de nos activités
Les classes de Loire-Atlantique assurent le financement de leurs envois et
aident leurs correspondants à financer les leurs. KOUAMBASORE aide
financièrement au fonctionnement de "SANS FRONTIERES" pour des projets
conçus et étudiés ensemble ( conception, création & mise en place de
bibliothèques pédagogiques là-bas par exemple)
L'association "KOUAMBASORE" prend en charge chaque année une partie des frais de transport
des enseignants burkinabè et français et assure en France l'accueil des délégués burkinabè.
En outre, "KOUAMBASORE" est souvent amenée à proposer aux collègues burkinabè du matériel
et des documents pédagogiques dont l'envoi est très onéreux. L'association bénéficie
actuellement de quelques subventions municipales et organise des spectacles ou autres activités
à des fins lucratives.
Les cotisations des adhérent(e)s couvrent les frais de fonctionnement de l'association.
Kouambasoré bénéficie actuellement de quelques subventions municipales, organise des
spectacles Noires et Blanches, édite et vend cartes postales et recueils de contes traditionnels .
Les demandes de financement de projets coûteux, élaborés au niveau d'une école, doivent faire
l'objet d'un dossier constitué bilatéralement avec l'aval des deux associations pour être déposé
auprès du Ministère de l'Education Nationale. Elles ne seront prises en compte que si elles
s'appuient sur une correspondance effective, fréquente et durable entre les enfants des classes ou
écoles concernées, tout en sachant qu'elles peuvent aussi ne pas être honorées cars les fonds
alloués à ce genre d'actions sont de plus en plus réduits.
Vie de l’association
Des réunions se tiennent régulièrement à notre local
Ecole Anatole de Monzie Rue Léon Buerne 44200 NANTES
où nous faisons le point de nos correspondances, nous échangeons nos
informations, nous construisons nos projets, et mettons au point l’organisation
de spectacles et d’expositions...
En général, nous nous réunissons une fois entre chaque période de vacances scolaires.
Mais pour augmenter l’efficacité de notre association, des commissions ont été créées :
documentation, spectacle, journal….
Un bulletin de liaison est réalisé à raison de deux minimum par an. Il se doit d’être un trait
d’union entre tous les membres et amis de Kouambasoré.
Chacun peut y faire paraître des extraits de sa correspondance et y proposer des articles ou des
informations susceptibles d’intéresser l’association entière.
FICHE CONSEIL POUR LA CORRESPONDANCE SCOLAIRE
*1* RELATIONS ENTRE ENSEIGNANTS
A/ PREPARATION
Dans un premier courrier,
 présenter les établissements (effectifs, conditions matérielles, financières, nombre de
classes, éventuellement les besoins);
 déterminer : - le contenu et la forme des envois,
- la fréquence.
B/ SUIVI
II est souhaitable que les enseignants envoient souvent des nouvelles d'eux-mêmes, du
pays, de la région, et des projets en cours (ce qu'on est en train de préparer, ses difficultés,
...).
La réussite de la correspondance repose pour beaucoup sur la qualité des relations
amicales entre les individus.
*2* ROLE DE L'ENSEIGNANT
Il est important qu'une information soit faite par le maître sur les réalités du pays des
correspondants, en particulier à la réception d'un colis, pour tenir compte des décalages entre les
vécus des enfants.
*3* ASPECTS MATERIELS
La correspondance n'est pas axée sur l'aide matérielle. Toutefois, les besoins ayant trait à la
correspondance elle-même doivent être pris en compte, (coût élevé des envois, matériel
nécessaire en vue de certaines réalisations : photos, dossiers, etc...).
Ce sujet doit être abordé en début d'année scolaire.
*4* CONTENU
Chaque envoi peut être basé sur un ou plusieurs thèmes concernant le pays, la région, les
activités de la classe, de l'école, la vie quotidienne, l'actualité, etc...
Un simple compte-rendu sur un point du programme d'histoire ou de géographie peut parfois
permettre d'envoyer un courrier même si on est limité par le temps.
Il peut contenir :
 une lettre collective,
 un dossier, une enquête:
 des photos, des dessins;
 des cassettes, des jeux;
 des objets fabriqués par les enfants, etc...
Eviter les cadeaux individuels, de même que les demandes de cadeaux, leur préférer les
cadeaux adressés à toute la classe, qui accompagnent un thème du colis.
La correspondance individuelle : elle peut être organisée, à condition qu'elle reste dans le cadre
des envois collectifs à l'école. Elle peut se faire d'un enfant à un enfant, d'un enfant à un groupe,
ou d'un groupe à un groupe.
*5* FREQUENCE
Elle doit être au minimum d'un envoi par trimestre de part et d'autre, plus quand cela est
possible. Si ce minimum n'est pas respecté, la motivation des enfants baisse, il est alors
souhaitable que les enseignants s'écrivent pour exposer leurs difficultés. Si les conditions ne sont
plus réunies, il est préférable de suspendre la correspondance et que l'instituteur souhaitant
continuer s'adresse au bureau de l'association pour démarrer une nouvelle correspondance.
L'interruption d'une correspondance de classe à classe n'empêche jamais les enseignants de
continuer leur correspondance personnelle.
*6* CONTINUITE
Lorsqu'un enseignant quitte une école, il est souhaitable que la correspondance reste celle de
l'école, si celle-ci a eu le temps de s'implanter réellement.
Dans le cas contraire, il peut être préférable qu'elle suive l'enseignant. Chaque cas doit être
envisagé séparément, le moment venu, la "règle d'or" restant la concertation entre les enseignants
concernés.
Compte-rendu de la réunion du 1er octobre 2008
Présents : Jeanine Gillet, Christiane Freyss, Anne-Marie, Annie Jouaud, Fanny Théot,
Jacqueline Eveno, Béatrice Robin, Monique Ramé, Pascal Gillet, Gilles Quentin, Robert Deuff,
Anne-Françoise Daoulas, Philippe Beillevaire, Corinne Regnier
Excusés : Nathalie Agoulon, Roland Botzon, Martine Le Lan, Valérie Danet

Ordre du jour : 1) Correspondances


2) Commissions
3) Finances
4) Actions envisagées pour 2008-2009
5) Délégation du Burkina Faso
6) Dates à retenir
1) Correspondances
Il est un peu tôt pour faire le point sur l’état des correspondances de cette année car la rentrée
pour les élèves a lieu le 1er octobre au Burkina Faso, la rentrée des enseignants étant prévue
pour le 15 septembre cette année.
Monique étant en retraite depuis cette rentrée, son correspondant, très motivé, recherche une
classe française. Avis aux amateurs ; qui est intéressé ?
Pour les envois de courrier au Burkina :
- Guy Vergelin( de Thouaré/Loire) part à la Toussaint ; aussi, vous pouvez déposer vos
courriers( maximum 500g SVP) chez Jeannine ou chez Anne-Françoise avant les vacances de
la Toussaint.
- Gilles Quentin part à son tour le 8 février et pourra lui aussi emporter des paquets.

2) Commissions
Voici la composition des commissions pour cette année ( si j’ai bien tout retenu…) , mais vous
pouvez vous rajouter si le cœur vous en dit.
- correspondances : Christine, Philipppe Ménard, Anne-Françoise et Valérie
- bibliothèque : Christiane, Jeannine, Annie, Fanny et Monique
- finances : Philippe Beillevaire, Robert et Roland
- fêtes : Pascal (c’est lui qui connaît toutes les personnes qui peuvent les animer !)
- délégation : Pascal, Patrice, Béatrice et Nathalie
- journal : Pascal, qui attend et espère toujours des articles donnés par les classe faisant de
la correspondance…

3)Finances
Roland avait envoyé à tous un bilan financier en mai.
L’apport d’argent par le Conseil Général (1000 euro par an ) a permis de financer du matériel
vidéo pour la bibliothèque de Ouahigouya ; l’argent a été remis à Harouna.
Le 14 septembre 08 a eu lieu Muses en troc au Landreau, vide grenier et spectacles divers.
Dans ce cadre les bibliothèques de district ont organisé une vente de livres au profit d'associations
humanitaires. Dominique avait demandé si Kouambasoré pouvait encore en bénéficier cette
année. Cela a été accepté et le bénéfice de la vente sera partagé entre 2 associations,
Kouambasoré et Matan Gobé, soit environ 700 euro pour chaque association.
Cet argent sera remis en octobre ou novembre à Barbechat ; Christiane souhaite que d’autres
membres de l’association se joignent à elle ce jour-là. Chrisitiane a préparé des panneaux sur les
bibliothèques du Burkina mais souhaite récupérer d’autres photos pour les illustrer.
Les 700 euro sont destinés à financer l’achat et l’envoi de littérature africaine au Burkina.
4) Actions envisagées pour l’année 2008-2009
A) participation de Kouambasoré et de Sidasasoré ( exposition ; pas de ventes)
- les 4 et 5 octobre, à Rezé, quai Léon Sécher ; prévoir des tables avec des objets, des
graines
- planning : - samedi : Fanny et Monique Anne-Françoise et Jeannine
-dimanche : Robert et Anne-Marie Christiane
B) la quinzaine des solidarités internationales à la maison des projets à Rezé :
- Thème : la solidarité en image et la question alimentaire : exposition et marché
- Les 20, 21 et 22 novembre
Sont prévus 2 panneaux sur Kouambasoré et la nourriture
Planning :
Jeudi 20 : Monique et Philippe
Vendredi 21 : Robert, Annie et Anne-Marie
Samedi 22 : 10h-13h : K-Loup / 11h-14h30 : Fanny + les Deuff et Beillevaire
en plus, marché africain à l’extérieur avec vente d’artisanat et dégustation, chaque
association apportant de quoi faire goûter ( frais pris en charge par l’organisation), le bissap
pour Kambouasoré
- Qui a d’autres idées pour la dégustation au marché ?
- Qui peut encore donner un coup de main ? Roland ? les Grenapin ?
C) la tombola
La tombola ayant bien marché l’an dernier, cette action est reconduite en décembre ; cette année
, on inclut les vacances de Noël pour avoir plus de temps pour vendre les billets qui sont vendus 1
euro pièce .Le tirage aura lieu fin janvier , avec une remise des lots le 25 février.
D) les 20 ans de Kouambasoré
le mercredi soir 20 mai , veille de l’Ascension mais les enseignants font classe toute la journée
du mercredi (la soirée prévue le 18 octobre est annulée et donc reportée en mai)
Ce serait une soirée « contes » de 19h à 23h, Chemin Bleu, à la salle de la Blordière, avec des
grillades ; nous aurons peut-être aussi la yourte.
Ce sera également une soirée « historique », joyeuse et festive : seront invités tous les
enseignants ayant été membres de Kouambasoré depuis sa création.
5) Délégation du Burkina Faso
Une délégation de 3 personnes (une par secteur) devrait venir en mai.
A ce jour, nous ne connaissons qu’un nom, pour le secteur de Ouagadougou : Sawadogo Nikiema
Sylvie Viviane (qui serait la correspondante de Valérie Danet)
6) Dates de réunions :
Pour tous, rue Léon Buerne :
- le mercredi 25 février
- le mercredi 13 mai (Assemblée
Générale)

Chaque commission fixe ses propres


dates.
Ayons la mémoire longue !
1980 Adama Grand Passage actuellement président de tous les groupements NAAM
au Burkina Faso est reçu en France par l'AFDI (Agriculteurs Français pour le
Développement International).
1983 Christiane Freyss participe à un voyage rencontre de l'AFDI. Elle entre en
contact avec l'école de Bimbilin à Ouahigouya.
1985 Un essai de correspondance est réalisé durant cette année scolaire.
1986 Ali Sawadogo visite la classe de Jean Paul Boyer à Vertou.
Jean Paul Boyer, dans le cadre de l'ICEM International, est en contact avec
l'école de Bogoya.
1987 Christiane Freyss se rend à Ouahigouya, elle remet à Sadou Maïga un colis de
la part de Jean Paul Boyer.
1987-88 A la rentrée, Sadou Maïga est nommé à l'école de Basnéré. Dominique
Bamongo arrive à Bogoya. Jean Paul «suit» son correspondant. La collègue
Frédérique Salmon et lui continuent d'écrire à Sadou.
1988-89 L'association Kouambasoré est créée en France. Christiane Freyss et Mireille
Gabaret se rendent au Burkina. L'association Sans Frontières est créée au
Burkina Faso.
1989-90 Le nombre de classes qui participent à la correspondance augmente.
Au cours du séjour de Sadou Maïga et Dominique Bamongo sont signés les
actes du jumelage des deux associations : Kouambasoré et Sans Frontières.
Kouambasoré se structure pour assurer le suivi des correspondances et
faciliter es relations avec Sans Frontières. L'association trouve dans un
premier temps un local à Vertou. Actuellement le local se situe à Nantes. Un
premier journal paraît en Novembre 90 (5 à 6 numéros par an sont publiés).
1991 Une délégation de Kouambasoré (Bertrand Daniel et Odile Hervy, Pascal et
Jeannine Gillet) est reçue au Burkina.
1992 Deux institutrices burkinabè (Suzanne Zongo et Bernadette Tao) sont
accueillies à Nantes.
1993 Une nouvelle délégation française se rend au Burkina (Jeannine Gillet,
Nathalie Pérut, Anne-Marie Quimerc’h et Sophie Dubé) La première assure
la continuité, étant déjà venue en délégation antérieurement.
1994 Alice Diagbouga et Francis Ouédraogo représentent Sans Frontières à
Nantes.
1995 Gilles Quentin, Nathalie Pérut, Anne Moré et Marie-Claude Lucas passent
trois semaines à Ouahigouya.
1996 Salmata Ouédraogo, Marie-Thérèse Quéré et Sayouba Ouédraogo sont en
France.
1997 Nathalie Pérut, Jeannine Gillet, Françoise Banes, Robert Deuff et Nadège
Guilbaud sont la délégation Kouambasoré de l’année. Daniel et Bernadette
Grenapin, Pascal Gillet et Hervé Le Cavorzin complètent l’équipe.
1998 Pour éviter le FESPACO qui a lieu à Ouagadougou tous les deux ans,
Kouambasoré propose de changer le cycle biennal. Une délégation 1998 voit
le jour : Gilles Quentin, Marie-Claude Lucas, Martine Lelan, Philippe
Beillevaire en sont. Marie-Claude Beillevaire, Nicole Tournabien,
Dominique Couvrand et Anne-Françoise Pillet complètent l’équipe en visite
au Burkina Faso.
1998 Aimé K Sawadogo, Lassané Ouédraogo et Issouf Sawadogo forment la
délégation Sans Frontières en France.
1999 Adama Traoré (Ouahigouya), Issouf Traoré et Siaka Traoré (Bobo Dioulasso)
découvrent la Loire-Atlantique.
2000 Valérie Louis, Yves & Pascale Fradin visitent le Burkina Faso en délégation
Kouambasoré.
2001 Mariam Dembélé (Bobo Dioulasso), Mandiou Ouattara (Bérégadougou) et
Zakaria Téné (Ouahigouya) font partie de la délégation Sans Frontières et
découvrent les classes de correspondants de la région.
2002 Pas de délégation (!!!) Kouambasoré au Burkina Faso (après la cessation
d’activités des compagnies Air Afrique et Sabena, seule Air France assure des
liaisons aériennes avec Ouagadougou mais à des tarifs hors de notre
portée!!!)
2003 Les étudiant(e)s de l’IUFM passent sept semaines au Burkina entre
Ouagadougou, Bobo Dioulasso et Ouahigouya
Sidibé Siéka (Bobo), Etienne Compaoré (Ouaga) et Rebecca Tiendrébéogo
Sagnon (Ouahigouya)forment la délégation burkinabè et vivent un mois
français au rythme des mouvements sociaux autour des retraites et de la
décentralisation…
2004 Christine Lefeuvre et Annie Jouaud sont de l’expédition Kouambasoré en
février trois semaines trop courtes pour visiter tous les secteurs
2005 Denise Kaboré (Banfora), Clément Tapsoba (Ouagadougou), Joseph Siéza
(Bobo Dioulasso) et Dramane Ouédraogo (Ouahigouya) sont du cru 2005 !
2006 4 étudiantes de l’IUFM de Nantes passent un mois dans la classe de Siaka
Taroré à Bobo Dioulasso en février mars
Patrice Jounot, Béatrice Robin et Martine Le Lan partent à la rencontre des
amis de Sans Frontières : les trois secteurs seront au programme chargé !
2007 Marthe Bambara (Ouagadougou) Harouna Kiemdé (Ouahigouya) et
Véronique Nagalo (BoBo Dioulasso) passent un mois en France
2008 Anne-Françoise Daoulas et Fanny Théot représentent Kouambasoré au
Burkina en février de cette année-là (Daniel Daoulas complète l’expédition)

Et pour 2009, bienvenue à nos amis burkinabè et anticipons leur venue


pour fêter joyeusement et avec eux, les… 20 ans de l’association !

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