Guide Ultime en Geomodelisation 3D Corrigé Revend Prunelle

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Préface
Le mérite de ce « guide pratique de la géomodélisation » dépasse de

loin les pages de cet opuscule, me suis-je rendu compte après sa lecture. Bien plus
après l’échange que j’ai eu avec son auteur qui cumule les titres de formateur
attitré de la plateforme et concepteur de celle-ci. Ce mérite se cristallise et prend
corps spécialement au-travers la double formation de ce dernier : ingénieur
géologue et ingénieur informaticien, outre sa vision à la fois éclectique et
pragmatique dans ses deux domaines de sa formation. Sans compter sa passion
mise au service de la science, du développement et de ses congénères de par son
sens d’initiative, de créativité et des recherches.
J’invite quiconque s’intéresse de loin ou de près à la géomodélisation, à
la géologie en général, aux richesses géologiques quelle qu’en soit la qualité :
scientifique, bailleur de fond, investisseur, politique et autres, à venir s’en rendre
compte personnellement à suivant la formation de cette plateforme. Il en sortira
selon le cas au terme de celle-ci plus compétitif, mieux éclairé, plus expert et
davantage convaincu pour mieux décider et surtout agir ou réagir.
En effet, la vitesse du progrès technologique en général, des
Nouvelles Technologies de l’Information et de la Communication appliquées dans
n’importe quel domaine de la vie aujourd’hui plus qu’hier astreint quiconque veut
capitaliser sa formation et/ou son capital de se former davantage. Fut-il pour ne pas
être rouler dans la farine par des collaborateurs véreux et peu crédibles présentant
des factures surévaluées. Alors que les progrès de la science en général, la
géomodélisation en particulier dans le cas d’espèce, simplifie les opérations tout en
réduisant les coûts des travaux d’exploration minière garantissant du reste les
résultats.
L’autre mérite de ce « guide pratique de la géomodélisation » est qu’il
est plus qu’une cogitation ou une simple synthèse. Il est aussi un plaidoyer en
faveur d’une expertise locale, africaine francophone particulièrement dans le
domaine de la géomodélisation. Un plaidoyer en vue de combler un vide criant en
termes d’experts en la matière, ressortissants de l’Afrique francophone. Ici, les
gouvernants de ces pays sont directement indexés et interpellés pour des solutions
idoines tandis que les jeunes géologues, ingénieurs en mines, designers et autres
universitaires en herbe, en formation et autre en fonction ressortissants de ces pays,

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invités à parfaire leur compétence. Ceux spécialement de ce plus grand pays

francophone du monde en termes de superficie, de population et même de par ses
richesses géologiques, la R.D. Congo d’où est ressortissant l’auteur de cet opuscule
et son préfacier. La croissance de son économie dans sa politique d’investissement
dans ce domaine en dépend à des proportions considérables.
Rev. Prunelle Willy MALISSO MOMBIDI,

Chairman de l’ONGD « Ecrivains en Herbe et en Ligne ».
Journaliste, écrivain et éditeur.

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Introduction
Aujourd’hui plus que jamais le succès d’une entreprise minière dépend de

sa capacité à numériser les données géologique de leur gisement. Cette
numérisation vise à afficher le gisement en 3 dimensions, l’estimer et déterminer
ses dimensions. Et c’est pour cette raison que la modélisation géologique 3D s’est
de plus en plus développée.
La modélisation géologique 3D, un concept plutôt mieux connu dans le
monde anglo-saxon est plutôt ignoré dans la sphère francophone. Pourtant
francophone ou pas, cette compétence devient de plus en plus indispensable pour
les géologues et ingénieurs de mine.
Il s’en suit une forte demande de ressources éducatives en modélisation
géologique 3D disponible en français. Et c’est l’objet de cet ouvrage.
Il vous donne un aperçu général de la géomodélisation 3D. Vous
trouverez :
 toutes les notions de base pour comprendre la modélisation
géologique.
 une présentation de plus de 8 logiciels de géomodelisation, leurs
avantages et leurs faiblesses.
 Un guide pratique de procédure suivi pour créer un modèle
géologique 3D
 Des conseils pour réussir à geomodeliser un gisement.
Autant dire, cet ouvrage se révèle comme un guide pratique pour tous ceux qui
voudront parfaire leur connaissance en géomodélisation. Il va vous conférer les
concepts du domaine et éclairer votre lanterne y relative pour une compréhension
plus nette. Une panoplie d’images que nous avons conçues y est annexée en vue
d’assurer la visibilité de chaque étape de la géomodélisation 3D.
En réalité, cet opuscule est subdivisé en six sections :
 Généralités,
 Méthodes de géomodélisation 3D,
 Logiciels de géomodélisation,
 Géomodélisation 3D dans un projet minier,
 Etapes de la géomodélisation 3D,

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 Comment se former en géomodélisation 3D.

1. Généralités.
1.1. Définition
La géomodélisation 3D est une simulation en trois dimensions d’un gisement ou

d’un terrain quelconque.
Sur terrain, les gisements représentent des dimensions énormes allant de quelques
kilomètres à des centaines et milliers de kilomètres. Pour être en mesure de bien
l’étudier, l’analyser et le comprendre, des modèles sont créés. Ce modèle
représente ce que serez le gisement mais dans une dimension réduite et observation
à l’œil humain.
Fig. n°1 : Simulation 3D d’un gisement.

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Fig. n°2 : Simulation 3D d’un terrain.
L’échelle d’observation de l’homme étant limitée, il ne peut donc pas

observer certaines réalités sur le gisement. Il ne saurait déterminer sa forme, ses
dimensions et son extension.
La géomodélisation permet d’observer par le biais de l’écran de l’ordinateur la
dimension et la profondeur du gisement au-delà de la capacité humaine et de
décider conséquemment.
1.2. Objectifs
La finalité de la géomodelisation est :

• Faire des observations et analyses susceptibles de motiver une meilleure
prise de décision sur un projet minier.
• Faire une bonne évaluation du gisement.
• Poser les bases pour une bonne analyse géostatistique.
1.3. Buts
La géomodelisation vise à :
• Visualiser un gisement dans ses trois dimensions.
• Déterminer les dimensions d’un gisement : Volume, surface, extension
latérale, extension transversale et sa profondeur.
• Evaluer les réserves d’un gisement : Teneur moyenne, tonnage.
2. Méthode de la géomodelisation 3D
Il existe certainement plusieurs méthodes de géomodelisation 3d. Deux

d’entre elles sont néanmoins les plus connues et donc les plus utilisées ; en
l’occurrence :
• Simulation à partir de sections.
• Simulation à partir de plans de niveaux.
2.1 Simulation à partir de sections.
Une section est une coupe transversale. Elle montre :

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-le gisement en deux dimensions,

-la succession de couche géologique,
-et différentes zones de minéralisation de la surface jusqu’en profondeur.
Fig. n°3 : Illustration d’une section minéralisée.
La méthode de simulation à partir de sections se veut de dresser plusieurs sections

d’un gisement et de relier les zones minéralisées sur chaque section du gisement.
Ce qui va donner surface fermé qui englobe toute la minéralisation. Cette
enveloppe est appelée Corps minéralisé (Ore body).

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Fig. n°4 : Délimitation d’une zone minéralisée sur une section.

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Fig. n°6 : Ensemble des strings délimitant l’ensemble de zones minéralisées.
2.2 Simulation à partir de plan de niveau.
Un plan de niveau est une surface de même altitude (cote ou niveau) qui montre les
différents contours géologiques ou zones de minéralisation.
La méthode de simulation par plan de niveau se veut de dresser plusieurs plans de
niveau pour un gisement et de relier ensuite sur ces différents plans de niveau les
zones minéralisées.
Tableau n°6 : Illustration de la géomodélisation par plan de niveau.
Fig. n°6 : Superposition des différents plans de niveaux.
3. Logiciel de Géomodélisation 3D
3.1 Avant l’avènement des logiciels
Jadis la géomodélisation était faite à la main. Plusieurs plans de niveaux

étaient dressés sur un papier calque et superposés les uns sur les autres grâce à des
piliers qui les solidarisent.
Cette méthode présente plusieurs faiblesses :
• Elle est laborieuse et prend beaucoup de temps :

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La grande faiblesse de cette méthode est qu’ici l’on fait manuellement

plusieurs plans de niveaux. Dire qu’un plan de niveau est constitué de moult
courbes de niveaux. Il s’ensuit que pour dresser une courbe de niveau, il faut
générer plusieurs points et altitudes sur la carte de sorte qu’en le reliant on puisse
obtenir une courbe. Et il ne faut pas une seule courbe, il faut plusieurs courbes.
En plus sur cette carte, il faut dessiner une carte géologique sur ce plan afin
d’indiquer les différentes couches géologiques ou les différentes zones
minéralisées.
Ceci exige un travail laborieux ainsi qu’un temps considérable.
• Elle a un faible degré de précision et de fiabilité :
En effet, les calculs de points cotés et d’altitudes se font par l’individu. Il s’ensuit
que ces calculs peuvent être entachés de beaucoup d’erreurs dues à la fatigue de
l’opérateur ou du matériel utilisé (politique d’arrondissement de la calculette
utilisée).
• Le support vulnérable et non flexible :
Les anciens blockmodels étant fait de papiers calques, ces derniers sont vulnérables
à l’humidité. Ils nécessitent qu’on puisse les placer dans un lieu fixe en vue de les
consulter en cas de besoin. Il y a donc difficulté de partage et de diffusion de
résultats.
3.2 Avec l’avènement des logiciels
De nos jours, la simulation géologique 3D est presqu’exclusivement faite

avec les logiciels de géomodelisation 3D.
L’élaboration de modèle géologique avec les logiciels nous a donné les avantages
suivants :
• Degré de précision et fiabilité élevée.
• Support dynamique et diffusable.
• Optimisation du temps de travail et automatisme.
Il existe plusieurs logiciels de géomodelisation 3D ci-dessous énumérés, cette
énumération n’est pas exhaustive.
Voici les différents logiciels de géomodelisation 3D :

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-Surpac,
-Datamine,
-Leapfrog geo,
-Vulcan,
-Geosoft,
-Micromine,
-Arcgis,
-Rockwork,
-GMD Multilayer.

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Surpac Datamine Leapfrog geo
Vulcan Geosoft Micromine
Arcgis Rockwork GMD Multilayer

Fig. n°7: Différents logiciels de Géomodelisation 3D.
3.2.1 Surpac
C’est l’un des logiciels de géomodélisation le plus connu. Surpac est un

logiciel spécialisé de l’industrie minière créé par Surpac Software international en
1982.
Son objet est : -la planification minière,
-la modélisation géologique,
-l’estimation de ressources minérales,
-l’exploitation minière,
-et la réhabilitation du site minier.
Il est à la fois utilisé par des géologues, des topographes, des ingénieurs de mines,
des hydrogéologues, des géotechniciens et des professionnels de la réhabilitation.
Peu après que ce logiciel ait été développé, plus de 4000 licences ont été vendues

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dans plus de 85 pays.

Pourquoi utiliser Surpac ?
À ce jour il existe déjà plus d’une dizaine de logiciels miniers. D’aucuns se

demandent si ça vaut la peine d’utiliser encore ce vieux logiciel de géomodelisation
3D : Surpac.
Nous pensons en notre qualité de formateur dans l’utilisation des logiciels de
mines en général que Surpac en dépit de son ancienneté conserve toujours un
avantage certain sur les récents logiciels miniers. Nous y extirpons quatre bonnes
raisons d’utiliser Surpac ; à savoir :
 Surpac est un logiciel le plus utilisé
Il suffit de taper sur Google : « logiciel de mines le plus populaire » pour se
rendre compte effectivement que Surpac est le logiciel le plus utilisé. Nous nous
sommes attelés à cet exercice, en voici la réplique du Google ci-dessous reproduite.
Vous de même vous pouvez vous y attarder pour certification en cliquant juste sur
le lien suivant pour le vérifier.
Et comme vous pouvez le constater sur l’image ci-dessous, Surpac est le logiciel le
plus utilisé.
Fig. n°8: Capture d’écran logiciel de mine populaire (Google chrome).

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Ci-haut le résultat du navigateur Mozilla tandis qu’en bas celui populaire du

Google chrome.
Fig. n°9: Capture d’écran logiciel de mine populaire (Mozilla).
Il n’y a donc pas de doutes, Surpac est le logiciel le plus populaire du domaine
minier.
En l’utilisant, vous avez les avantages suivants :
o Vous avez de fortes chances que votre entreprise l’utilise,

o Vous pouvez trouver facilement une assistance en cas de difficulté,
o Les résultats de votre travail ne seront pas remis en cause. (Comme
quoi les cadres de l’entreprise n’ont pas confiance en l’outil
d’estimation de réserves utilisé.)
o S’il est autant populaire, c’est qu’il a su convaincre assez de
monde qu’il vaut la peine qu’on l’utilise pour garantir la réussite
de nos projets.
• Surpac est un logiciel complet

Les tâches dans un projet minier sont tellement nombreuses qu’on risquerait
de s’éparpiller s’il fallait un logiciel pour chacune d’elles. C’est pour cette raison
que Surpac demeure un logiciel incontournable dans le domaine minier.

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Il est utilisé par des géologues, par des ingénieurs de mines, par des designers et
par les ingénieurs en construction.
Rien qu’avec Surpac, vous pouvez faire la modélisation géologique, l’analyse
statistique, l’estimation de réserves, le design d’une mine, la topographie ainsi que
planification minière.
• Efficacité et précision
Surpac est certainement l’un de logiciel le plus efficace et le plus précis. Ce
qui lui attire d’ailleurs une forte popularité. Il a acquis cette efficacité et cette
précision de sa facilité d’utilisation, ses puissants outils graphiques et son
automatisation des tâches répétitives.
Vous n’avez pas besoin d’être un surdoué pour maitriser Surpac, toute personne
avec un niveau moyen peut l’apprendre et le maitriser.
• Flexibilité pour tous les gisements et tous les types d’exploitations
Surpac est un logiciel que vous pouvez utiliser pour tous les types des
gisements. Qu’il s’agisse de gisements métalliques ou non métalliques, ou qu’il
s’agisse d’une exploitation de mines à ciel ouvert ou des mines souterrains, Surpac
va vous s’y aider.
Il existe beaucoup d’autres raisons que vous pouvez trouver sur son site internet
Geovia Surpac mais je voulais particulièrement partager avec vous ces quatre
autres raisons pour lesquelles je trouve qu’il est intéressant d’utiliser Surpac.
Ci-dessous, voici l’interface graphique de Surpac.

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Fig. n°9: Interface graphique de Surpac
Si vous désirez vous former en Surpac, sachez que notre plateforme organise 2
modules de formations complètes en Surpac, en Géomodelisation 3D et en
Analyse géostatistique. Vous les découvrirez à travers le lien ci-dessous.
• Formation Géomodélisation 3D avec Surpac.

• Formation Analyse Géostatistique avec Surpac.
3.2.2 Leapfrog geo
Leapfrog geo est l’un des logiciels de géomodélisation 3D qui cartonne ces
derniers temps. Il est utilisé pour créer des modèles géologiques 3D à partir :
 D’une base de données géologique,

 Des points,
 Des surfaces (Carte géologique, Carte
topographique).
Pourquoi utiliser Leapfrog geo ?
Alors que Surpac convainc déjà le marché, il est légitime de se poser cette
question, pourquoi utiliser Leapfrog geo ?
Ci-dessus, voici quatre bonnes raisons d’utiliser Leapfrog geo :

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 Minimiser les risques et les incertitudes

L'évaluation d'un gisement est l'étape de tous les enjeux lors d'un projet
minier. Un gisement surévalué est un danger pour l'entreprise car il pousse la
société à engager des sommes colossales qui seront perdues. Et un gisement sous-
évalué cause un manque à gagner à l'entreprise, car il empêche l'entreprise de
rentabiliser son budget et consolider sa croissance.
Ceci me rappelle un terme que j'ai appris au près d'un géologue de sélectivité
minière. Il s'agit du terme : BONI & YAYI. Ce dernier concept, YAYI, est,
employé pour designer la surévaluation d'un gisement. Le géologue en charge se
voit relégué, précipité dans un trou infernal et enfin renvoyé. Adieu les bons
salaires, vacances paradisiaques et avantages sociaux!
Le terme BONI, quant à lui est employé pour indiquer une sous-évaluation d'un
gisement. Le géologue en charge se retrouve devant deux situations :
o Soit il l'annonce à ses supérieurs qui finiront à coup sûr par découvrir cette
mauvaise évaluation et décider conséquemment,
o Ou soit il joue le malin en détournant l'excèdent (Et tôt ou tard la réalité le
rattrape : crack dedans).
Le seul moyen d'en sortir gagnant en tant que Géologue en charge, est d'apprendre
Leapfrog geo, un logiciel de géomodélisation qui minimise les risques et
l'incertitude.
 Un logiciel fait par des géologues pour des géologues
Le plus grand problème que nous éprouvons avec les logiciels de
Modélisation géologique 3D est que ces derniers sont conçus par des génies
informaticiens qui n'ont aucune notion de la géologie.
Conséquence.
Les logiciels qu'ils nous éditent sont super lourds à prendre en mains. Ce qui n'est
pas le cas des logiciels Leapfrog geo, conçus par des géologues. Ils présentent les
avantages suivants :
o Un traitement rapide de données en vue de passer plus de

temps à l'interprétation.

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o Flux de travail intuitif.
o Discussions qui motivent les décisions.
o Les outils de modélisation qui intègrent un travail en équipe
 Passer plus de temps sur la géologie et non sur les données.
La plupart des logiciels de modélisation géologique aujourd'hui sont tellement

complexes que l'on passe tout notre temps à configurer nos données de forage
plutôt que de faire ce qui importe vraiment pour un géologue ; à savoir :
‘L’interprétation géologique du modèle de gisement.’
Et les concepteurs de ces logiciels n'y ont jamais pensé, afin jusqu'à ce jour.
Aujourd'hui modéliser un gisement sur Surpac peut vous coûtez assez de temps et
de l'énergie.
o Parce que vous devez tout d'abord créer une structure pour sa base de
données
o Ensuite, importer ces données dans cette structure o Et après les
afficher sous forme de puits de forage
o Afin de créer des sections et digitaliser les zones minéralisées qui
s'y trouvent.
o Et relier ces zones minéralisées pour constituer un solidmodel.
o Ce n'est que lorsque le solidmodel est créé que vous pouvez créer un
blockmodel.
Toutes ces étapes passent pour un parcours de combattant.
Ce parcours de combattant rappelle un discours de Donald Trump qui donnait son

avis sur les crashs d'avions. L’ancien président américain disait : '...Les avions
doivent être facile à piloter, je n'ai pas besoin d'un Newton pour piloter mon
avions'.
En effet, ce qui compte quand on monte dans un avion, c'est de pouvoir arriver à
destination. Ça vaut autant si c'est plus facile pour la personne qui nous y conduit le
fait plus facilement.

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Et c'est pareil pour la Modélisation géologique, le plus important est qu'on arrive à
une bonne interprétation. Et en passant plus du temps à l'interprétation qu'au
paramétrage de données, on optimise notre chance de réussir le projet minier.
Il existe à cet effet un logiciel qui vous donne cet avantage. Un logiciel qui est
optimisé pour réduire le plus possible le temps à passer vos données et vous permet
de capitaliser votre temps sur l'interprétation géologique.
Sa puissance, c'est d'avoir concédé la modélisation géologique aux géologues. En

quelque clic, votre base de données est créée. Vous n'avez ni besoin de créer des
sections, ni besoin de digitaliser, moins encore de créer le solidmodel. Et ce
logiciel, c’est Leapfrog geo.
 Mettre à jour vos projets :

Vous vous êtes déjà demandé ce qui adviendrait si après que vous ayez créé
votre blockmodel, votre équipe d’exploration demande qu’on modifie certaines
valeurs de teneur moyenne ou que l’ajoute d’autre puits de forage pour confirmer
l’extension du gisement.
Dans ce cas, le seul moyen de s’en sortir avec d’autres logiciels de géomodélisation
est de créer un nouveau blockmodel. Ce qui n’est pas fortifiant. Mais avec
Leapfrog geo, vous pouvez apporter toutes sortes de modifications à vos données
et une fois qu’elles sont mises à jour, le blockmodel le sera aussi sur base de ce
changement. En réalité, Leapfrog vous permet d’ajuster les dimensions de
blockmodel, de georéférencer les cartes géologiques, les superposer avec la surface
topographique et l’intégrer dans le blockmodel.
Ci-dessous voici l’interface graphique de Leapfrog geo.

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Fig. n°10: Capture d’écran logiciel de mine populaire (Mozilla).
3.2.3 Datamine
Fig. n°11: Interface graphique de Datamine.
Edité en 1983 par Datamine international dont John Edward Billowits est le PDG
et Stephen Henley, le fondateur (Siege Royaume-Uni), Datamine est un autre
logiciel de l’industrie minière qui a fait ces preuves.

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Au départ basé sur le système de traitement des données géologiques en utilisait un

ancien cadre de base de données relationnelle. Aujourd’hui s’est affirmé comme un
véritable logiciel de mine.
Il permet de faire la modélisation géologique, la simulation d’une mine (fossé
d’une mine), la planification minière, la modélisation des couches géologiques, de
filon ou de veines minéralisées ainsi l’estimation d’un gisement.
Il se distingue des autres logiciels de cette industrie
• Du fait qu’il a intégré une création automatique de fossés d’une mine
(pitdesign) et la possibilité d’adapté et de le mettre à jour.
• Il permet un contrôle détaillé d’une veine modélisé depuis la surface et son
extension en profondeur, avec un ajustement automatique en fonction de
l’espacement des échantillons. Avec une possibilité de restaurer la
manipulation récente.
• Permet de changer la tendance et la résolution de votre modèle structurel
(blockmodel) et permet de contrôler la façon dont les surfaces structurelles
sont générées.
• Optimise l’estimation du gisement grâce à l’intégration d’outils de gestion
des valeurs aberrantes des échantillons. Il permet de limiter ou exclure des
échantillons en fonction de leur teneur, ainsi que pour réduire la visibilité des
échantillons en fonction de la distance par rapport à l’échantillon. Option
d’ajouter des graduations et des marqueurs de profondeur de trou sur les
trous de forage.
• Prise en charge améliorée des modèles de blocs Minesight, Surpac, Leapfrog
etc.
• Des commandes existent également pour définir les domaines géologiques et
attribuer leurs valeurs aux échantillons avant la modélisation structurelle, et
pour générer des échantillons de minerai qui sont optimisés en fonction de la
teneur et des paramètres d’extraction.
• Ecran tactile activé : développées spécifiquement pour travailler avec un
stylet.

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3.2.4 Minesight
Fig. n°12: Interface graphique de Minesight.
Minesight 3D est un logiciel minier de grande facture. Il a été développé à l'origine

par Mintec, fondé par l'ingénieur en planification minière Fred Banfield, basé à
Tuscon en Arizona. Il est devenu une solution de premier plan de planification
minière couvrant tous les aspects de la géologie et de la planification minière.
Minesight permet :
• De créer et manipuler des données 2D et 3D pour l'édition
• D’afficher et manipuler tous les types de données géologiques et minières
(carte, blockmodel, pitdesign, puits de forage etc).
• De concevoir des modèles de forage, appliquer des paramètres de
dynamitage aux trous et relier le tir. En assurant une bonne fragmentation de
minerai et déchet et ainsi optimiser le rendement.
• d'afficher de grands nuages de points, modèles et surfaces très rapidement et
en temps réel.
• Diffuse les données en temps réel
• Rotation, panoramique et zoom rapides et fluides
3.2.5 Micromine
Développé par Micromine Pty Ltd en 1986 et dont le siège social se trouve en

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Australie. C’est un logiciel innovant qui couvrent toute l'étendue du cycle minier,
de l'exploration géologique et de la gestion des données à l'estimation des
ressources, à la conception de la mine, à la planification et au contrôle de la
production.
Le succès de Micromine s’explique par sa capacité à
• maximiser la valeur de ses actifs,
• augmenter la productivité et garantie une bonne prise de décisions.
• Faciliter l’utilisation et sa disponibilité dans de nombreuses langues et pris
en charge par des experts locaux.
• Ses outils de partage ou diffusion qui permet la collaboration et la
communication, afin que tout le monde puisse voir les modèles et fournir
des commentaires.
3.2.6 Vulcan (Maptek).
C’est un logiciel minier édité par Maptek Pty Ltd, entreprise fondée en 1981 par K.
Robert Johnson sous le nom de KRJA Systems.
Il intègre les applications comprennent la cartographie et la modélisation
géologiques 3D, la conception de mines, la planification de la mine, l'analyse
géotechnique, la planification et l'optimisation de la mine et la réhabilitation de la
mine. Vulcan est utilisé par les ingénieurs de mine, les géologues et les géomètres
miniers.
• Ses outils intuitifs aident les opérations de tous les types de ressources et les
techniques d'extraction à améliorer la productivité.
• Les outils de géologie permettent aux géologues d'assembler et de visualiser
les données de forage, de définir les zones géologiques, de modéliser avec
précision les gisements et les gisements et de préparer des rapports sur les
ressources.
• Les planificateurs de mines utilisent Vulcan pour concevoir, évaluer et
maintenir les opérations quotidiennes, en tenant compte des paramètres
économiques, techniques et opérationnels.
• Les ingénieurs miniers utilisent un ensemble d'outils dédié à l'exploitation
minière pour concevoir, évaluer et guider les opérations quotidiennes des
mines souterraines.

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3.2.7 Rockwork
Développé pour la première fois en 1985 par RockWare Inc. Rockwork est un
logiciel de l’industrie minière dont l’objet est la visualisation souterraine, la
gestion de bases de données de forage ainsi que la création de grilles, de
modèles solides, de calcul d'analyses volumétriques, etc.
Rockwork est permet de créer des cartes 2D et 3D, des coupes transversales, des
modèles géologiques, des rapports de volume et des diagrammes géologiques pour
les industries environnementale, géotechnique, minière et pétrolière.
Il propose de nombreuses options pour analyser vos données de surface et de sous
surface, et accepte de nombreux types de données différents, tels que la
stratigraphie, la lithologie, la géochimie de fond / géophysique / mesures
géotechniques, les intervalles de couleur, les fractures et les données d'aquifère.
3.2.8 Geosoft
Edité par Geosoft Incorporated, Geosoft est un logiciel de l’industrie minière

spécialisé en Modélisation 3D de la Terre, détection des munitions non explosées
(UXO) souterraines et sous-marines, cartographie SIG intégrée et gestion des
données géo scientifiques.
3.2.9 Arcgis
Notons qu’Arcgis est au départ un logiciel Sig, mais au cours de ces

dernières années, on lui a ajouté certaines extensions qui permettent de faire la
géomodélisation. Il en est de même avec beaucoup d’autres logiciels Sig qui
permettent de dresser un model numérique de terrain.
Parmi les quels nous citons :
• Qgis,
• Surfer,
• Mapinfo pro.

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-
Qgis Surfer Mapinfo pro
4. Géomodélisation 3D dans un projet minier
La modélisation géologique est l’une des étapes indispensable d’un projet

minier. Tout projet minier comprend les étapes suivantes :
 La prospection et la mise en évidence d’un

gisement,
 La modélisation et l’estimation de réserves,
 L’étude de faisabilité et le choix technique.
Comme vous pouvez le constater, la géomodélisation intervient en deuxième
position. C’est une étape charnière entre la découverte d’un gisement et
l’exploitation de ce dernier.
Elle est une étape incontournable en exploration minière car sans elle, toute
entreprise minière ne peut exister. Malheureusement dans nos régions
francophones, les compétences en géomodelisation 3D sont extrêmement rares que
les entreprises minières font souvent appel aux ressources expatriées.
5. Etape de géomodelisation 3D
Un modèle géologique 3D peut être dressé à partir d’un nuage de points

geospatiales, une carte géologique ou une base de données géologique. Les 2
premiers modèles géologiques (points geospatiales & carte géologique) sont des
modèles numériques de terrains, leur objet est restreint à la détermination de
l’allure de terrain ou la variation d’un paramètre donné.

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5.1 Modèle numérique de terrain.
Le modèle numérique de terrain nécessite d’avoir un tableau contenant les

coordonnées géographiques ci-dessous :
 Longitude
X,
 Latitudes
Y,
 Altitude
Z.
Ces données, vous pouvez les acquérir sur terrain par le prélèvement au GPS
(différentiel). Vous pouvez tout autant télécharger sur internet un fichier DEM à
partir de quel vous pouvez extraire ces données avec un logiciel Sig (Arcgis).
5.2 Modèle géologique à partir d’une base de données
Mais le modèle géologique créer à partir d’une base de données géologique est
source de tous les enjeux miniers, et nécessite de parcourir les étapes que nous
présentons dans cet ouvrage lui sont intrinsèques.
En effet, pour modéliser un gisement à partir d’une base de données ou puits
de forage ; vous pouvez parcourir plusieurs étapes. Cela est fonction du logiciel
utilisé. Certains logiciels sont optimisés pour ne pas passer assez de gens sur des
configurations techniques et ne se concentrer que sur l’interprétation et l’analyse de
son modèle géologique créé alors que d’autres logiciels ont une tendance graphique
et nécessitent un fort paramétrage des données avant de dresser un blockmodel.
Cependant, dans cet ouvrage nous présentons toutes les étapes de sorte que vous ne
puissiez être surpris au cas où vous serez confronté à l’application de l’une ou
l’autre étape un jour.
5.2.1 Campagne de forage et récolte de données.
En amont de tout projet de modélisation géologique ce fait une campagne de

forage. Cette étape consiste à planifier, exécuter le forage de puits et de récupérer
ainsi qu’archiver les carottes de forage.

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Puits de forage
Les puits de forage sont de trous forés dans le sol dans le but recouper gisement.
En exploration minière, la campagne de forage est d’une importance capitale car
elle permet d’identifier la limite d’un gisement, déterminer sa limite, son extension
et de ramener à la surface les carottes rocheuses provenant de très grandes
profondeurs et pouvant faire objet d’études au laboratoire.
Planifier une campagne de forage.
Elle consiste à déterminer :

• Quand la campagne va commencer et terminer ?
• Où va-t-on forer ?
• Avec quel angle ?
• Quelle profondeur doit-on atteindre ?etc.
Il s’agit là d’une étape très délicate et nécessite qu’on se munisse d’outils adéquats
pour arriver à cette fin, notamment la carte géologique de l’entité devant faire objet
de cette campagne de forage.
C’est sur la carte géologique que l’on va dessin les tracés qui représentent le puits
de forage. Leurs longueurs, leurs orientations indiquerons aux topographes l’angle
de forage (Azimut), la profondeur à atteindre (Depth) ainsi que la direction de
forage (Dip).
4 éléments vont nous guider pour choisir l’emplacement de puits de forage sur la
carte :
• Recouper la minéralisation : l’une des objectifs de la campagne de forage est

de recouper la minéralisation. Pour optimiser le budget, il est important de
ne passer dessiner les tracés, la ou les couches stériles sont moins épaisses et
le terminer dans une couche minéralisée.
• L’angle de forage : plus l’angle est fort, plus le forage et couteux, ou que le
matériel utilisé doit être de plus en plus performant.
• La profondeur de forage : dans le seul but d’atteindre la minéralisation, il est
possible de programmer des forages de très grandes profondeurs. Il est
important de s’en abstenir car plus la profondeur est grande plus le forage est
couteux et la récupération de carotte est mauvaise.

28
• La proximité du point d’eau : la plupart de foreuse utilise de l’eau. Il est

donc important de placer ses trous de forage près d’une source d’eau ou une
rivière pour faciliter ces opérations.
La campagne de forage devrait fournir les données suivantes :
• La profondeur maximale (Depth) et les coordonnées géographiques pour
chaque puits de forage (longitude X, latitudes Y et altitude Z)
• L’orientation de chaque puits de forage : Dip (orientation d’un puits par
rapport à la direction Nord, Azimut (orientation d’un puits par rapport à
l’horizontal).
5.2.2 Base de données géologique
5.2.2.1 Définition
Une base de données géologique est un ensemble de données de puits de

forage structurées systématiquement en vue de dresser un modèle géologique 3D.
5.2.2.2 Description
Une base de données géologique est constituée de tables ou tableaux. Il

s’agit d’une grille de données faites des lignes et de colonnes. L’entête de chaque
colonne constitue un attribut tandis que chaque ligne décrit un puits de forage bien
spécifique.
Il existe en générale quatre tables que l’on peut regrouper en deux catégories :
• Tables de description de puits de forage. Tables intervalles.

29
Fig n°13 : Aperçu de différentes tables de base de données géologiques.
Les tables de description sont celles qui fournissent la position et l’orientation de

puits de forage.
Il en existe deux :
• Table Collar : qui décrit la position géographique de puits de forage.
• Table Survey : qui décrit l’orientation de puits de forage.

30
Fig n°14 : Table Collar.
Fig n°15 : Table Survey.
Les tables intervalles sont celles qui renseignent les données géologiques
récoltées, à savoir : La teneur moyenne, la lithologie, l’altération de roche etc.
Il existe 2 tables intervalles :
• Table lithology (Table geology) : renseigne la lithologie de roches décrites
sur le puits de forage.
• Table Assay : qui renseigne la teneur moyenne.

31
Fig n° 16: Table lithology – geology
Fig n° 17: Table assay.
Ces deux tables sont dites tables intervalles parce que la teneur moyenne et
la lithologie qu’elles renseignent sont données selon des intervalles de distances
bien définies.

32
On dira donc de 0 à 10 mètres, la teneur moyenne est de 1,3 ou que le calcaire

intervient à une distance de 10 à 17 mètres.
5.2.2.3 Comment constituer une base de données géologique ?
La constitution de tables de description est relativement simple, car toutes les

données sont fournies par les topographes à la fin de la campagne de forage. Ainsi
un tableau contenant la longitude X, la latitude Y, l’altitude Z ainsi que la
profondeur du puits Depth pour chaque puits de forage ; suffit pour constituer la
table Collar. La table Survey quant à elle sera constituée par un minimum de 3
attributs : l’angle de forage (Azimut), la direction du puits de forage (Dip) ainsi
que la profondeur de forage (Depth).
Mais la constitution des tables intervalles nécessitent d’attendre la description de la
cartothèque et le résultat de laboratoire.
En effet, une fois que les carottes de forage entreposées dans la cartothèque dans
les caisses doivent feront objet de description. Cette description vise à associer :
• A associer pour chaque intervalle de distance une description lithologique
(code lithologique).
• A prélever pour chaque intervalle de distance, un échantillon que l’on va
envoyer au laboratoire pour déterminer la teneur au Metorex, Newton etc.
Par la suite, la table assay sera constituée en renseignant dans le tableau les
intervalles de distances et leurs teneurs correspondantes. Tandis que la table
geology elle sera faites en consignant dans le tableau les différentes intervalles de
distances avec leurs codes lithologiques correspondantes.
Table obligatoire et table optionnelle.
Selon les logiciels, certaines tables sont considérées comme tables obligatoires
tandis que d’autres sont qualifiées d’optionnelles.
Dans Surpac, la table Collar et la table Survey sont des tables obligatoires. Il faut
donc fournir au logiciel au minimum ces deux tables pour que vous puissiez créer
une base de données. La table Assay et Survey sont quant à eux des tables
optionnelles.
Tandis qu’avec Datamine, la table Collar et la table assay sont les tables
obligatoires. De lors que vous importez ces deux tables dans le logiciel, Datamine
va considérer vos puits comme étant verticaux et va générer une base de données.

33
Clef de sa base de données

La création de toute base de données nécessite que vous puissiez définir une clef.
C’est une colonne commune que l’on doit retrouver sur chaque table et qui sert de
joint entre ses 4 tables (assay, lithology, Survey et Collar).
Dans la base de données géologique, cette clef correspond au Hole ID. Il s’agit là
d’une étiquette de forage. C’est le nom qu’on a attribué à chaque puits de forage
lors de la campagne.
D’une manière générale, elle correspond aux initiales ou consonnes de l’entité
faisant objet de la campagne de forage et son numéro hiérarchique.
Par exemple : le premier puits forer à kanfundwa aura comme Hole ID
• KANF0001 : méthode des initiales.
• KNFNDW0001 : méthode des consonnes.
Dans quels fichiers enregistrer ses tables ?
Les différentes tables de la base de données doivent être enregistrées dans les
tableaux Excel. Ils existent plusieurs extensions dans lesquelles vous pouvez
enregistrer un tableau Excel : xlsx, xls, csv etc.
Il est indispensable d’enregistrer vos tables sous l’extension csv. Pour cela il faut
aller sur le menu Ficher puis Enregistrer sous, choisissez dans votre ordinateur
l’emplacement sur laquelle vous voulez enregistrer votre table. Puis dans le champ
Type de fichier, cliquer sur la liste déroulante et choisissez csv séparateur point-
virgule.
Dans le cas où vous avez juste hérité une base de données et vous voulez savoir s’il
est d’extension csv, sélectionnez la table, faites un clic droit et sélectionnez
propriété. Dans la nouvelle fenêtre qui s’ouvre, vous trouverez l’extension de la
table à côté de son nom.
Cependant, il est possible de créer une base de données avec un fichier Access,
SQL ou tout autre fichier issu du logiciel de gestion de base de données. Création
de la base de données géologique
La procédure de création d’une base de données diffère selon le logiciel de
géomodelisation utilisé. D’une manière générale,
• il vous faudrait identifier l’outil de création de base de données

34
• charger chacune de 4 tables

• Correspondre chaque colonne avec le type de caractère qui lui correspond,
les nombres au numérique (float, real etc.) et les lettres au character.
• Définir la structure de la table : la première colonne correspond à quel
attribut par exemple.
• Puis cliquez sur Valider.
Problème de création de base de données.

Beaucoup de gens éprouvent des difficultés lors de la création de la base de
données sur presque la plupart de logiciels de géomodelisation. Ces problèmes sont
liés à 3 raisons :
 Le séparateur décimal : la plupart des logiciels de géomodelisation sont
développé pas des anglais qui considèrent le point comme virgule. Il faudrait
pour ce faire transformer des virgules en points et d’adapter le système
décimale d’Excel.
 Un caractère dans la colonne des numériques : lors que vous importez des
tables dans un logiciel de géomodelisation, il faut vous rassurez que vous
avez dans chaque colonne que de valeurs pour lesquelles vous avez choisi le
paramètre. Dans une colonne de teneur moyenne par exemple, vous ne
pouvez pas avoir une cellule qui contient une lettre.
 Un intrus : seule les lignes et les colonnes que constitue votre base de
données doivent être importé. Si votre table a 4colonnes et 100lignes par
exemple, si une donnée se retrouve par hasard à la dixième colonne ou la
deux-centième ligne la création de la base de données posera problème.
Nettoyez donc votre base de données avant de l’importer.
5.2.3 Affichage de puits de forage
Sur presque tous les logiciels de géomodelisation, une fois que la base de données
est créée, vous pouvez la visualiser sous forme de puits de forage. Il suffit de
double-cliquer sur l’une de table ou sélectionnez l’une de table et la glisser sur
l’espace d’affichage.
L’affichage de puits de forage permet :
• D’avoir une vue générale de nos différents puits de forage.

35
Fig n° 18: Vue générale de Puits de forage.
• Afficher différentes zones minéralisées sur chaque puits en les différentiant

les teneurs par des couleurs distinctes.
Fig n° 19: Puits de forage montrant différentes zones minéralisées.
• Afficher différentes formations géologiques sur chaque puits de forage en

les différentiant par des couleurs distinctes.
• De faire de manipulation dessus :
o Augmenter les diamètres de forage
o Afficher les étiquettes de forage : ce qui permet d’identifier le puits de
forage par leur nom et leur profondeur maximal. Ces étiquetés, vous
pouvez les afficher en haut ou en bas, à gauche, à droite ou centré.
o changer la couleur de puits de forage, ainsi que des teneurs moyennes
avec des diamètres variant pour indiquer les valeurs.
o afficher les diagrammes : histogramme de fréquence, diagramme en
bâtonnet.

36
Diagramme en bâtonnets Histogramme de fréquence

Fig n° 20: différents graphiques de description sur les puits.
o Afficher sur les puits de forage les diamètres variantes par rapport à la
teneur moyenne. Cette variation donne une idée sur l’emplacement de
fortes teneurs moyennes (ayant un diamètre élevé) sur le puits de
forage.
Diamètres variant de teneurs Diamètres variant de teneurs

moyennes moyennes et puits stériles
Fig n° 21: Nos teneurs moyennes avec des diamètres variant.
5.2.4 Section
Les logiciels de Géomodelisation affichent toujours l’ensemble de puits de

forage de votre base de données. Pour avoir une vue en deux dimensions, il faut
s’intéresser uniquement en un alignement spécifique de puits de forage. Cet
alignement de puits de forage constitue ce qu’on appelle une section.
Une section est une coupe transversale qui montre la réalité de ce qui se passe
en profondeur d’un gisement.

37
Il permet:
• De visualiser de prêt la succession de couches géologiques ou de zones
minérales sur les puits de forage.
• D’identifier et dessiner l’enveloppe de cette minéralisation par
digitalisation.
Fig n° 23: Un alignement de puits de forage.
5.2.5 Digitalisation et String
La digitalisation est l’opération par laquelle les zones minéralisées seront

enveloppées pour générer un fichier que l’on va appeler string.

38
Fig n° 24: String généré après digitalisation.
5.2.6 String
Un string est un fichier généré automatiquement ou manuellement par

digitalisation.
En les générant automatiquement le string relie :
• Tous les points devant constituer une Surface topographique, surface
stratigraphique, enveloppe d’une mine [pitdesign] etc.
• Tous les points devant faire objet d’une estimation de réserve. Dans ce cas
précis le string est appelé composite.

39
Fig n° 25: String généré pour constituer le mur d’une strate.
Fig n° 26: String d’une surface topographique.

40
Fig n° 27: String généré par digitalisation.
Fig n° 28: String généré pour un pitdesign.

41
Fig n° 29: String généré pour constituer un composite.
5.2.7 Surfaces
Il existe plusieurs 2 types de surface que vous pouvez créer sur les logiciels de
géomodelisation, la surface topographique et les surfaces stratigraphiques (limites
de couches géologiques). Dans Surpac, chacune de cette surface est créé sur base
de strings générés précédemment.
Fig n° 30: String généré pour constituer le toit et le mur d’un gisement.

42
Fig n° 31: Toit et le mur d’un gisement.
Fig n° 32: Toit et le mur d’un gisement.
Mieux encore, il est possible d’attribuer une couleur bien spécifique à sa surface
stratigraphique afin de mieux l’identifier ou la distinguer des autres.

43
Fig n° 33: Surface stratigraphique d’un gisement.
Mieux encore, il est possible de superposer une carte topographique ou géologique

aux puits de forage.
Fig n° 34: Superposition de la carte topographique au puits de forage.
5.2.7 Solidmodel
Un solidmodel est une surface qui enveloppe tous les strings ou zones
minéralisées de l’ensemble de nos puits de forage. C’est l’un des éléments à partir
duquel sera dressé un blockmodel.

44
Fig n° 35: Illustration d’un solidmodel.
Dans les logiciels de Géomodelisation, il est possible :

• De superposer un solidmodel avec la surface topographique. Ce qui permet
d’identifier les zones ou le gisement affleuré à la surface.
• D’afficher une grille de coordonnées longitude [X], latitude [Y] et altitude
[Z]. Ce qui permet d’identifier nos minerais et bien les décrire.
Fig n° 36: Solidmodel superposé à la surface topographique et dans une grille.
5.2.8 Blockmodel
5.2.8.1 Définition
Un blockmodel est une base de données à référence spatiale qui donne un moyen de
modeler un corps 3-D à partir de données de points et d’intervalles comme des
données d’échantillons de trous de forage.
C’est une méthode d’estimation de volume, de tonnage et de la moyenne de teneur

d’un corps en 3-D à partir de données sporadiques. Les enregistrements de
Blockmodel sont reliés à des blocs.

45
Les blocs sont des partitions cubiques de l’espace modelé. Elles sont créées
dynamiquement selon les opérations effectuées sur les Blockmodel. Chaque bloc
contient des attributs pour chacune des propriétés qui doivent être modelées. Les
propriétés ou les attributs peuvent contenir des valeurs numériques ou des caractères
String.
Fig n° 37: Blockmodel laissant transparaitre les puis est les couches
5.2.8.2 Objets
Un blockmodel est une simulation 3D d’un gisement.

Il permet :
• de visualiser un gisement en trois dimensions,
• de l’estimer,
• et de déterminer son extension.
5.2.8.3 Types de blockmodel
Le blockmodel est l’élément au centre de toute modélisation géologique. Il est

dressé pour modéliser soit un gisement, soit une ou plusieurs formations
géologiques ou soit un filon (fracture minéralisée).
• Modélisation d’un gisement : permet de visualiser un gisement en 3D et la
forme ou la géométrie du gisement.

46
Fig n° 38: Modélisation d’un gisement.
• Modéliser les couches géologiques : Dans ce cas les couches peuvent être
modélisées individuellement ou superposer les unes sur les autres dans un
même blockmodel.
Fig n° 39: Blockmodel fait de différentes couches superposées.

47
Fig n° 40: Blockmodel fait de différentes couches superposées.
• Modélisation d’un filon.

Certains gisements étant encaissés dans un filon, la modélisation géologique de ces
genres de gisements ne va se limiter qu’à la modélisation du filon.
Fig n° 41: Modélisation d’un filon.
Plus intéressant, vous pouvez dresser un blockmodel et le superposer à la surface

topographique qui à son tours est superposée à une carte géologique ou une carte
administrative. Cette opération vise à contraindre le blockmodel de suivre l’allure
de la topographie.

48
Fig n° 42: Modèle 3D superposé à la carte géologique
Fig n° 43: Modèle 3D superposé à la carte administrative
5.2.8.4 Contraintes.
Une contrainte est une règle que l’on applique sur un blockmodel. Elle peut définir
d’afficher sur le blockmodel une couche géologique donnée ou d’intégrer dans le
blockmodel qu’un intervalle de teneur moyenne bien précise et le blockmodel
s’adaptera suite aux règles lui imposé.
Fig n° 44: Modèle 3D soumis à une contrainte

49
Il est possible d’afficher sur ce blockmodel soumise à la contraire une grille de

coordonnées géographiques et cela selon diffèrent plan de vu : vue XZ, vu XY ou
vu YZ.
Fig n° 45: Vu XZ Modèle 3D
Fig n° 46: Vu XY Modèle 3D
5.2.9 Pitdesign
Un pitdesign est le dessin d’une mine à ciel ouvert. C’est une simulation sur
écran d’ordinateur de ce que pourrait être une mine sur terrain. Il est dressé à partir
du blockmodel. Il s’inspire donc de l’extension et la profondeur de celui-ci.
La construction d’un pitdesign offre un énorme avantage de planifier l’exploitation
minière.
Il est possible de prévoir une rampe. Il s’agit là de chemin qui sera parcouru par les
engins pour transporter les minerais déblayés dans la mine.

50
Fig n° 47: Pitdesign avec rampe.
5.2.10 Calcul de volume
Dès lors que vous avez dressé un blockmodel, il est possible de déterminer
de façon automatique le volume de votre gisement.
5.2.11 Estimation de réserves.
La finalité d’une modélisation géologique est d’estimer les réserves de son

gisement. Cette estimation consiste à déterminer :
• La teneur moyenne,
• Le volume,
• Le tonnage.
Ces trois éléments sont déterminables dans un logiciel de Géomodelisation une fois
que vous avez réussi à créer un blockmodel. À partir du moment où ces trois
éléments sont déterminés, on peut donc dire sans crainte de démentis que le
gisement est connu.

51
6. Comment se former en Géomodelisation 3D
Il suffit de contacter notre plateforme Geoguys, quelle que soit votre

formation antérieure. Celle-ci est spécialisée dans la formation en ligne sur la
Géomodelisation 3D, axée essentiellement sur deux logiciels miniers : Surpac et
Leapfrog géo. Néanmoins, les géologues, ingénieurs miniers, designers,
géographes, géomaticien, topographes, hydrogéologues, géotechniciens, sigistes y
débuteront avec une longueur d’avance ; suivis de professionnels de la
réhabilitation.
Il importe de préciser aussi que cette formation se veut une aubaine
certaine pour ceux de l’Afrique francophone dans la mesure où il n’y existe
quasiment pas jusque-là, à notre connaissance, d’institutions qui organise ce genre
de formation en français et à coûts abordables. Pourtant beaucoup des pays de cette
partie du monde, notamment la R.D. Congo, regorgent moult richesses géologiques
qui requièrent des expertises locales censées y travailler au moindre coût
contrairement aux compétences étrangères qui sont souvent sollicitées moyennant
des cachets exorbitants.
Dans nos régions francophones, les compétences en Géomodelisation 3D
sont extrêmement rares. Par conséquent par manque d’expertise interne, les
entreprises minières font souvent appel aux ressources expatriées. Ce qui leur coûte
cher et diminue la valeur de l’expertise francophone. Vous pouvez changer cet état
des choses avec nous et surtout capitaliser cette carence afin de devenir un acteur
incontournable dans tout projet minier.
La plateforme Geoguys vous offre cette opportunité. En effet, nous nous fixons de
construire une classe d’experts en Géomodelisation 3D au service de leurs pays.
6.1 Ce qui advient quand vous suivez nos formations
En souscrivant à nos formations, la plateforme Geoguys renforce vos

capacités, vous rend plus compétitif et donc plus compétent en Géomodelisation 3
D. Au terme de celles-ci vous allez savoir :
• Comprendre l’interface graphique de Surpac, ses barres et ses outils.

• Créer une base de données géologique à partir de données de campagne de
forage
• Afficher et manipuler les puits de forage

52
• Dresser des sections et digitaliser les zones minéralisées

• Créer la surface topographique et les limites de couches géologiques
Créer une enveloppe du corps minéralisé d’un gisement – Création de
solidmodel
• Simuler le modèle 3D d’un gisement – Création d’un blockmodel
• Modéliser les formations géologiques (couches ou strates)
• Créer un pitdesign: Fossé d’une mine
• Simuler une mine à ciel ouvert en 3D (Pitdesign)
• Déterminer les dimensions d’un gisement (Volume & Surface)
À la fin de votre formation, nous vous délivrons un certificat de réussite.
6.2 Que faire pour souscrire à la formation
Pour souscrire à la formation, cliquez sur le lien ci-dessous :

• Formation en Géomodelisation 3D avec Surpac
• Formation en Géomodelisation 3D avec Leapfrog géo
En cas d’une difficulté, vous pouvez également nous contacter sur Geoguys.

53
Conclusion
Ce guide pratique de Géomodelisation ne remplace nullement la formation

que la plateforme Geoguys dispense. Il se veut simplement de susciter,
d’accompagner, de peaufiner et d’éclairer davantage les motivations et la lanterne
Des uns et des autres de sorte à les catéchiser pour la cause noble de la
Géomodelisation 3D en général. Ceux de l’Afrique Francophone sont
particulièrement visés de par la carence criante en termes d’experts dans ce
domaine. La plateforme tient à combler ce vide de par les formations qu’elle
donne.
En effet, en notre époque où tout est informatisé la Géomodelisation est une
compétence incontournable en exploration minière. Il ne suffit plus d’être
géologue, ingénieur de mines ou designer. Faudrait-il encore y joindre à ces
formations, universitaires sont-elles, la maitrise de l’informatique en vue d’être
compétitif. D’où l’avènement de la Géomodelisation, laquelle permet non
seulement de visualiser grâce à l’informatique un gisement en trois dimensions.
Mais encore, elle permet de l’évaluer et de déterminer sa dimension.
Acquérir de la compétence en Géomodelisation est donc de nos jours une nécessité
dont on ne peut s’en passer. Et la plateforme Geoguys est la mieux indiquée pour
vous aider à acquérir cette compétence.
Les enseignements que la plateforme Geoguys donne sont à la fois
théoriques et pratiques comme le renseigne l’intitulé de notre ouvrage. Du reste, ils
font accéder ses récipiendaires dans les méandres des nouvelles technologies de
l’information et de communication suscitant en eux la passion pour des recherches
dans le domaine de la Géomodelisation 3 D. Aussi la plateforme Geoguys invite
ses récipiendaires à acquérir cet opuscule. Bien plus, qu’ils suivent la formation
qu’elle donne avec assiduité. Il importe de préciser que celle-ci est plutôt un
échange théorique et pratique enrichi par les jeux de questions-réponses,
expériences et autres vidéos à visualiser et descente sur les terrains.

54
Table de figure
Fig. n°1 : Simulation 3D d’un gisement. .................................................... 5

Fig. n°2 : Simulation 3D d’un terrain. ........................................................ 6
Fig. n°3 : Illustration d’une section minéralisée. ....................................... 7
Fig. n°4 : Délimitation d’une zone minéralisée sur une section. ............... 8
Fig. n°6 : Ensemble des strings délimitant l’ensemble de zones
minéralisées. ............................................................................................... 9
Fig. n°6 : Superposition des différents plans de niveaux. .......................... 9
Fig. n°7: Différents logiciels de Géomodelisation 3D. ............................ 12
Fig. n°8: Capture d’écran logiciel de mine populaire (Google chrome). . 13
Fig. n°9: Capture d’écran logiciel de mine populaire (Mozilla ............... 14
Fig. n°9: Interface graphique de Surpac ................................................... 16
Fig. n°10: Capture d’écran logiciel de mine populaire (Mozilla). ........... 20
Fig. n°11: Interface graphique de Datamine. ........................................... 20
Fig. n°12: Interface graphique de Minesight. ........................................... 22
Fig n°13 : Aperçu de différentes tables de base de données géologiques 29
Fig n°14 : Table Collar. ............................................................................ 30
Fig n°15 : Table Survey. ........................................................................... 30
Fig n° 16: Table lithology – geology ........................................................ 31
Fig n° 17: Table assay. ............................................................................. 31
Fig n° 18: Vue générale de Puits de forage. ............................................. 35
Fig n° 19: Puits de forage montrant différentes zones minéralisées. ....... 35
Fig n° 20: différents graphiques de description sur les puits. .................. 36
Fig n° 21: Nos teneurs moyennes avec des diamètres variant. ................ 36
Fig n° 23: Un alignement de puits de forage. ........................................... 37

55
Fig n° 24: String généré après digitalisation. ........................................... 38

Fig n° 25: String généré pour constituer le mur d’une strate. .................. 39
Fig n° 26: String d’une surface topographique. ....................................... 39
Fig n° 27: String généré par digitalisation. .............................................. 40
Fig n° 28: String généré pour un pitdesign .............................................. 40
Fig n° 29: String généré pour constituer un composite. ........................... 41
Fig n° 30: String généré pour constituer le toit et le mur d’un gisement. 41
Fig n° 31: Toit et le mur d’un gisement. .................................................. 42
Fig n° 32: Toit et le mur d’un gisement. .................................................. 42
Fig n° 33: Surface stratigraphique d’un gisement. ................................... 43
Fig n° 34: Superposition de la carte topographique au puits de forage. .. 43
Fig n° 35: Illustration d’un solidmodel. ................................................... 44
Fig n° 36: Solidmodel superposé à la surface topographique et dans une
grille.......................................................................................................... 44
Fig n° 37: Blockmodel laissant transparaitre les puis est les couches ..... 45
Fig n° 38: Modélisation d’un gisement. ................................................... 46
Fig n° 39: Blockmodel fait de différentes couches superposées. ............. 46
Fig n° 40: Blockmodel fait de différentes couches superposées. ............. 47
Fig n° 41: Modélisation d’un filon. .......................................................... 47
Fig n° 42: Modèle 3D superposé à la carte géologique ........................... 48
Fig n° 43: Modèle 3D superposé à la carte administrative ...................... 48
Fig n° 44: Modèle 3D soumis à une contrainte ........................................ 48
Fig n° 45: Vu XZ Modèle 3D................................................................... 49
Fig n° 46: Vu XY Modèle 3D .................................................................. 49
Fig n° 47: Pitdesign avec rampe. .............................................................. 50

56
Bibliographie
www.3ds.com
www.dataminesoftware.com
www.fr.geoguy.org
www.geoguy.org www.geo-
soft.fr/ www.hexagonmining.com
www.linkedin.com
www.micromine.com
www.seequent.com
www.seequent.com
www.wikipedia.org

57
Table matière
Préface ........................................................................................................................ 2
Introduction ................................................................................................................ 4
1. Généralités.............................................................................................................. 5
1.1. Définition......................................................................................................... 5
1.2. Objectifs .......................................................................................................... 6
1.3. Buts .................................................................................................................. 6
2. Méthode de la géomodelisation 3D ....................................................................... 6
2.1 Simulation à partir de sections. ........................................................................ 6
2.2 Simulation à partir de plan de niveau............................................................... 9
3. Logiciel de Géomodélisation 3D ........................................................................... 9
3.1 Avant l’avènement des logiciels ...................................................................... 9
3.2 Avec l’avènement des logiciels ...................................................................... 10
3.2.1 Surpac ...................................................................................................... 12
Pourquoi utiliser Surpac ? ............................................................................ 13
En l’utilisant, vous avez les avantages suivants : ........................................ 14
3.2.2 Leapfrog geo ........................................................................................... 16
Pourquoi utiliser Leapfrog geo ? .................................................................. 16
3.2.3 Datamine ................................................................................................. 20
3.2.4 Minesight................................................................................................. 22
3.2.5 Micromine ............................................................................................... 22
3.2.6 Vulcan (Maptek). .................................................................................... 23
3.2.7 Rockwork ................................................................................................ 24
3.2.8 Geosoft .................................................................................................... 24
3.2.9 Arcgis ...................................................................................................... 24
4. Géomodélisation 3D dans un projet minier ......................................................... 25
5. Etape de géomodelisation 3D .............................................................................. 25
5.1 Modèle numérique de terrain. ........................................................................ 26
5.2 Modèle géologique à partir d’une base de données ....................................... 26
5.2.1 Campagne de forage et récolte de données. ............................................ 26

58
Puits de forage .................................................................................................. 27

Planifier une campagne de forage. ................................................................... 27
5.2.2 Base de données géologique ................................................................... 28
5.2.2.1 Définition ......................................................................................... 28
5.2.2.2 Description ....................................................................................... 28
5.2.2.3 Comment constituer une base de données géologique ?.................. 32
5.2.3 Affichage de puits de forage ................................................................... 34
5.2.4 Section ..................................................................................................... 36
5.2.5 Digitalisation et String ............................................................................ 37
5.2.6 String ....................................................................................................... 38
5.2.7 Surfaces ................................................................................................... 41
5.2.7 Solidmodel .............................................................................................. 43
5.2.8 Blockmodel ............................................................................................. 44
5.2.8.1 Définition ......................................................................................... 44
5.2.8.2 Objets ............................................................................................... 45
5.2.8.3 Types de blockmodel ....................................................................... 45
5.2.8.4 Contraintes. ...................................................................................... 48
5.2.9 Pitdesign .................................................................................................. 49
5.2.10 Calcul de volume................................................................................... 50
5.2.11 Estimation de réserves. ......................................................................... 50
6. Comment se former en Géomodelisation 3D....................................................... 51
6.1 Ce qui advient quand vous suivez nos formations ......................................... 51
6.2 Que faire pour souscrire à la formation.......................................................... 52
Conclusion ................................................................................................................ 53
Table de figure ......................................................................................................... 54
Bibliographie ............................................................................................................ 56
Table matière ............................................................................................................ 57

Guide Ultime en Geomodelisation 3D Corrigé Revend Prunelle

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Mail : contacts@geoguy.org Siteweb : www.geoguy.org Tél : +243893793608

Le mérite de ce « guide pratique de la géomodélisation » dépasse de

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invités à parfaire leur compétence. Ceux spécialement de ce plus grand pays

Rev. Prunelle Willy MALISSO MOMBIDI,

Mail : contacts@geoguy.org Siteweb : www.geoguy.org Tél : +243893793608

Aujourd’hui plus que jamais le succès d’une entreprise minière dépend de

Mail : contacts@geoguy.org Siteweb : www.geoguy.org Tél : +243893793608

 Comment se former en géomodélisation 3D.

La géomodélisation 3D est une simulation en trois dimensions d’un gisement ou

Fig. n°1 : Simulation 3D d’un gisement.

Mail : contacts@geoguy.org Siteweb : www.geoguy.org Tél : +243893793608

Fig. n°2 : Simulation 3D d’un terrain.

L’échelle d’observation de l’homme étant limitée, il ne peut donc pas

La finalité de la géomodelisation est :

Il existe certainement plusieurs méthodes de géomodelisation 3d. Deux

Une section est une coupe transversale. Elle montre :

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-le gisement en deux dimensions,

Fig. n°3 : Illustration d’une section minéralisée.

La méthode de simulation à partir de sections se veut de dresser plusieurs sections

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Fig. n°4 : Délimitation d’une zone minéralisée sur une section.

Mail : contacts@geoguy.org Siteweb : www.geoguy.org Tél : +243893793608

Fig. n°6 : Ensemble des strings délimitant l’ensemble de zones minéralisées.

2.2 Simulation à partir de plan de niveau.

Fig. n°6 : Superposition des différents plans de niveaux.

3.1 Avant l’avènement des logiciels

Jadis la géomodélisation était faite à la main. Plusieurs plans de niveaux

Mail : contacts@geoguy.org Siteweb : www.geoguy.org Tél : +243893793608

La grande faiblesse de cette méthode est qu’ici l’on fait manuellement

3.2 Avec l’avènement des logiciels

De nos jours, la simulation géologique 3D est presqu’exclusivement faite

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Surpac Datamine Leapfrog geo

Vulcan Geosoft Micromine

Arcgis Rockwork GMD Multilayer

C’est l’un des logiciels de géomodélisation le plus connu. Surpac est un

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dans plus de 85 pays.

À ce jour il existe déjà plus d’une dizaine de logiciels miniers. D’aucuns se

Fig. n°8: Capture d’écran logiciel de mine populaire (Google chrome).

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Ci-haut le résultat du navigateur Mozilla tandis qu’en bas celui populaire du

Fig. n°9: Capture d’écran logiciel de mine populaire (Mozilla).

o Vous avez de fortes chances que votre entreprise l’utilise,

• Surpac est un logiciel complet

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Fig. n°9: Interface graphique de Surpac

• Formation Géomodélisation 3D avec Surpac.

3.2.2 Leapfrog geo

 D’une base de données géologique,

Pourquoi utiliser Leapfrog geo ?

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 Minimiser les risques et les incertitudes

o Un traitement rapide de données en vue de passer plus de

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o Flux de travail intuitif.

o Discussions qui motivent les décisions.

o Les outils de modélisation qui intègrent un travail en équipe