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Table de matières
Matières: Page
I. But de l’expérience. 2
II. Introduction générale 2
II.1. La dureté. 2
II.1.1. Méthodes des mesures des duretés. 2
II.1.2. Unités. 2
II.1.3. Types des méthodes. 2
II.2. Calcul d’erreur. 3
II.2.1 Types d’erreurs. 3
II.2.2. Définitions. 3
II.2.3. Calculs statistiques. 4
II.2.4. Incertitude absolue. 4
III. Caractéristiques des matériaux à étudier. 5
III.1. Laiton. 5
III.2. Fonte gris. 5
III.3. Acier trempé. 6
III.4. Aluminium. 6
IV. Essais de dureté Vickers. 6
IV.1. Méthode (explication). 6
V. Méthode de mesure. 7
VI. Essais de dureté Brinell. 7
VI.1. Méthode (explication). 7
VI.2. Méthode de mesure. 7
VII. Tableau des mesures pour les différents essais. 8
VIII. Récapitulation des résultats et Conclusion. 16
I. Buts de l’expérience
II.1.La dureté:
Il existe de nombreuses méthode pour déterminer la dureté d'un matériaux. Les plus
connus sont les essais par pénétration. On caractérise la dureté par la résistance que
présente un matériau à l'enfoncement d'un pénétrateur de forme définie, soumis à une
charge donnée. L'importance de l'empreinte laissée par le pénétrateur à la surface du
matériau après décharge constitue le paramètre pris en compte pour le calcul de la
dureté.
Pour une charge donnée, l’empreinte est d'autant plus petite que le matériau est dur.
L'empreinte est caractérisée soit par sa surface, soit par sa profondeur, selon le type
d'essai.
II.1.2. Unités:
Force appliqué e F
Dureté
Surface
de
l' empreinte S
-l'essai Brinell, qui utilise une bille comme pénétrateur, (d= 2.5 mm, utilisé dans
notre cas);
-l'essai Vickers, qui utilise une pyramide en diamant avec des charges de plusieurs
dizaines de kilo, (utilisé dans notre cas);
-l'essai micro Vickers, qui utilise aussi une pyramide en diamant avec des charges
inférieurs au kilo, (non utilisé dans notre cas);
-l'essai Rockwell cône, qui utilise un cône en diamant comme pénétrateur (non
utilisé dans notre cas).
Aucune mesure quelle que soit ne peut être garantie comme juste au 100%. La
mesure s'accompagne toujours d'un doute, lié à la précision du résultat. Donc on peut
distinguer trois types d'erreur:
- l'erreur accidentelle ou aléatoire, elle n'a aucune cause précise, et aucune raison de
se produire de la même façon dans deux mesures successives et indépendantes.
Précision d'une mesure: exprime l'écart qui existe entre deux mesures du même
événement, faites indépendamment l'une de l'autre. La précision d'un appareil
exprime sa capacité de reproduire une mesure avec une exactitude définie.
Exactitude d'une mesure: exprime l'écart entre la valeur mesurée et une valeur de
référence reconnue comme acceptable. L'exactitude d'un appareil exprime sa capacité
de donner la valeur réelle et la variable mesurée.
Pouvoir de résolution d'un appareil: plus petite différence entre deux indications de
l'échelle ou de l'affichage, lue sans interpolation.
Lorsqu'une mesure peut- être répétée facilement, sa précision pourra être déterminée
par une analyse statistique portant sur l'ensemble des valeurs obtenues. La précision
mesurée tient alors à la fois compte de la dispersion provenant du matériau et de ce
qui vient de la méthode de mesure. Les deux grandeurs fondamentales à calculer
sont:
n
-valeur moyenne: Xi
X i 1
n
n
-l'ecart-type: ( Xi X ) 2
s i 1
n 1
2
1 Xi X
1
S
p(X i ) e 2
s . 2
II.2.4.Incertitude absolue:
L’intégrales de la dernière formule comprise entre les bornes adéquates nous permet
de définir le taux de confiance de cette façon:
III.1.Le laiton:
Alliage de cuivre et zinc ( ~55 à 90% de Cu). L'adjonction de zinc dans le cuivre
améliore les caractéristiques mécaniques.
Résistance à la traction: selon le tables VSM, pour les tubes nous avons 400-450
N/mm^2
III.3.Acier trempé:
Il s'agit d'un acier qui a subit une transformation moléculaire à la suite d'un chauffage
et d'un refroidissement très rapide. La transformation du cube gamma en cube alpha
étant trop rapide, le carbone reste emprisonné dans le cristal alpha. Il s'en suit une
augmentation de dureté notable.
III.4. Aluminium:
IV.1.Explication de la méthode:
Le pénétrateur est une pyramide en diamant à base carrée, d'angle au sommet 136°
entre faces opposées.
Comme l'empreinte laissée par le diamant est assez petite, un état de surface soignée
ainsi qu'un matériau homogène produira de meilleurs résultats.
V.Méthode de mesure:
-Choisir une zone sans défaut, pour garantir une claire définition de l’empreinte et
appliquer une charge de ‘X’ Kg pendant le temps déterminé (la charge de l’essai sera
fonction du l’épaisseur de la pièce et de la netteté de l’empreinte et le temps
d’application ira de 10 à 15s avec la possibilité d’être augmentée dans quelques
matériaux plus mou de 30 à 40s.).
-A l'aide de la réglette graduée incluse dans l'objectif du microscope, mesurer
précisément les diagonales du carré.
-Des tables fournissent directement la valeur en fonction de la charge et de la
grandeur de la diagonale.
D'autre part, le diamètre d de l'empreinte doit être compris entre D/4 et D/2.
Il est a noté que l'essai Brinell ne convient pas pour le pièces minces pour lesquelles
les déformations plastiques sont trop importantes en regard de l’épaisseur de la pièce.
Notation: pour une bille en acier la dureté Brinell se note HBS, précédée de la valeur
numérique de la dureté obtenue. Puis on ajoute le diamètre et la charge d'essai en Kg.
Exemple: 250 HBS 2.5 / 62.5
A continuation et de façon indépendant nous allons étudier chaque essai réalisé, avec
les calcules de dureté et statistique correspondent.
Suite à la série d’essais, nous avons regroupé les résultats de chacun des tableaux de
mesures dans un tableau récapitulatif, avec une appréciation sur la précession des
méthodes pour chaque matériau à partir de la probabilité d’apparition des valeurs
Vickers Brinell
HV Précision HB Précision
Acier Trempé 640.5 moyenne ---------- ---------
Aluminium 123.8 très bonne 113.9 très bonne
Fonte gris 210.2 moyenne 222.7 moyenne
Laiton 119.53 moyenne 102.39 bonne
Constatation
Nous constatons que vis à vis au type de lecture que nous faisons pour l’essais Vikers
comme Brinell, que nos résultats sont bon, car nous pensons que la machine a des
problèmes de définition d’image (de l’imprente )comme conséquence d’une très
basse luminosité et des lentille peut performant.
Aussi la réglette transparent nous conduise à des confusion des trait (aussi à cause de
la luminosité).
Nous constatons que cet types des essai nous permettre d’obtenir rapidement des
résultat assez bon, dans très peut de temps.
Conclusion
Finalement nous sommes convaincu que les deux méthodes ne permettent pas
d’obtenir avec précision de résultats confiscables à un 100%, car l’exactitude de
l’appareil ainsi que la structure de chacun des matériaux et même l’oeil de
l’expérimentateur sont des source d’erreur impossibles à corriger.
La dureté d'un matériau reste donc une valeur très approximative qui peut
varier selon l'appareillage utilisé, l'éprouvette d'essai choisie et les
conditions de l'expérience. La valeur trouvée reste toutefois dans la
plupart des cas suffisamment précise pour qu'elle soit tout à fait utilisable
dans la pratique.
Ngoy Muvumbu.D. Roth H.Daniel