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LES
Partis Politiques
ESSAI SUR LES TENDANCES OLIGARCHIQUES
DES DÉMOCRATIES
TRA1;U1T PAR
LE D-^ S. JANKELEVITCH
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ERNEST FLAMMAKlOiX, ÉDITEUR
26, RUE RACINE, 26
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AjQBOKflTÏ)
ROBERT MICHELS
PROFESSEUR A l'UNIVERSITÉ DE TURIX
LES
Partis Politiques
ESSAI SUR LES TENDANCES OLIGARCHIQUES
DES DÉMOCRATIES
TRADUIT PAR
LE D S. JANKELEVITCH
PARIS
ERNEST FLAMMARION, ÉDITEUR
26. RUE RACINE, 26
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BS^S^J
L l'KElACE
PREMIERE PARTIE
LES CHEFS DANS LES ORGANISATIONS
DÉMOCRATIQUES
A. — CAUSES DÉTERMINANTES
D'ORDRE TECHNIQUE ET ADMINISTRATIF
CHAPITRE I
mécanique et technique du
Impossibilité
gouvernement direct des masses.
nique, commerciale.
De nos jours déjà les candidats au poste de secré-
taire de syndicat sont soumis à un examen destiné à
établir leurs connaissances juridiques et leurs capa-
cités de correspondants. Les organisations socialistes
IMPOSSIBILITÉ DU GOUVERNEMENT DIRECT DES MASSES 13
I
De nos jours, le fait de la souveraineté populaire a
I
été soumis à une critique approfondie par un groupe
I de savants italiens aux tendances conservatrices. Gae-
•
tano Mosca parle de la « fausseté de la légende parle-
mentaire. » II dit que cette façon de concevoir la
représentation du peuple comme un transfort libre et
spontané de la souveraineté des électeurs (collecti-
vité) à un certain nombre d'élus (minorité) repose
sur une prémisse absurde : elle suppose en elTet que
la minorité peut être rattachée à la volonté de la
collectivité par des liens indissolubles. JRien n'est
plus faux :une fois le geste électoral accompli, le
pouvoir des électeurs sur leurs élus prend fin. Le
délégué se considère comme l'arbitre autorisé de la
situation. Et il l'est en effet. S'il se trouve encore
dans la masse des individus capables d'exercer quel-
que influence sur le représentant du peuple, ils ne
sont jamais bien nombreux : ce sont ceux qu'on
appelle les grands électeurs, les gros bonnets de la
circonscription et du parti local. Ce sont, en d'autres
termes, des individus qui, tout en faisant partie, par
leur situation sociale, de la masse souveraine, n'en
savent pas moins se glisser dans les groupes oligar-
chiques qui tiennent cette masse souveraine sous
leur joug.
Cette critique du système représentatif vaut tout
spécialement pour la vie moderne qui revêt tous les
jours des formes plus complexes. Et à mesure que
ces formes se compliquent, il devient de plus en'plus
absurde de vouloir « représenter » une masse hété-
22 LES PARTIS POLITIQUES
CHAPITRE I
ploi, etc.
L'usage dontil s'agit, s'il est parfois une manifes-
SUPÉRIORITÉ INTELLECTUELLE
DES CHEFS PROFESSIONNELS
INCOMPÉTENCE FORMELLE ET RÉELLE DES MASSES
*pour le peuple.
64 LES PARTIS POLITIQUES
CHAPITRE I
d'elle-même.
En Hollande, les candidatures socialistes au Parle-
LA STABILITÉ DES CHEFS 75
nus de ce
fidèles à leurs syndicats, lesquels ont subi
fait un rapide accroissement, qu'à partir du jour où
les institutions d'assistance mutuelle y ont pris un
grand développement.
Et se maintenant dans le même ordre d'idées, il
continua :« Il est, par exemple, tout à fait caracté-
d'embourgeoisement.
94 LES PARTIS POLITIQUES
9
98 LES PARTIS rOLITIQLES
now^sky.)
Ona prétendu que les r<'volutions populaires finis-
sent, en général, par détruire leurs chefs. Et on a cité
à ce propos les noms de Cola di Rienzi, de Masaniello,
de Michèle di Lando pour l'Italie, ceux de Danton et
de Robespierre pour la France.
Généralisation à part, cette affirmation repose sur
une observation exacte. Mais c'est une erreur d'ac-
cuser les foules de s'être insurgées contre leurs chefs
et de les rendre responsables de la ruine de ceux-ci.
Ce ne sont pas les masses qui ont dévoré les chefs :
j
nudité, cherchent à se donner les apparences d'un
! désaccord portant sur des questions de principe ou
de tactique.
L'oligarchie issue de la démocratie est menacée
dans son existence par deux graves périls la révolte
:
I
d'irritation, état provoqué par la méfiance réciproque
* des chefs.
Toute oligarchie est soupçonneuse à l'égard de ses
propres aspirants, dans lesquels elle flaire non seule-
ment ses héritiers éventuels, mais aussi des succes-
seurs prêts à la supplanter sans attendre sa mort
naturelle. C'est, pour nous servir d'une expression
y/mkee, une lutte entre les ins et les oufs, entre ceux
qui sont dedans et ceux qui attendent dehors, entre
;
les capitaines ou les aspirants au capitanat.
Ceux-ci déclarent la guerre à ceux-là, au nom de
prétendus principes immortels, mais en réalité pour
des motifs beaucoup moins désintéressés. Aussi se
posent-ils dans les réunions en adversaires théo-
riques, fiers et irréductibles, parlant haut, talking big
tliings, enflant la voix, et cela dans le seul but d'inti-
mider les dirigeants du parti et de les amener à
céder aux camarades turbulents et impatients une
part du butin. Mais souvent les vieux chefs résistent,
tiennent ferme dans ce cas les opposants changent de
;
11.
CHAPITRE VI
CHAPITRE I
participation au pouvoir.
Il est évident que dans une période de proscriptions ^ ^ .
^
et de persécutions de la part de la société et de l'Etat,
( fi>p"P i
L'idéologie bonapartiste.
cratie et autocratie.
Une fois son nom sorti de l'urne électorale, l'élu
ne souffre plus aucune opposition.
Puisqu'il personnifie la majorité du peuple, toute
opposition à son égard est antidémocratique.
Le chef d'une pareille démocratie est irrévocable,
puisque la nation qui a parlé ne saurait se contredire.
Il est, de plus, infaillible en tant que « l'Elu de six
:
14.
QUATRIEME PARTIE
ANALYSE SOCIALE DES CHEFS
CHAPITRE I
bourgeoisie elle-même ».
Mais, sous un autre aspect encore, la bourgeoisie
apparaît comme l'éducatrice, comme le professeur
d'escrime de la classe ouvrière.
Son contact continuel avec le prolétariat a pour
effet de séparer du gros de ses forces une poignée
d'hommes qui mettent leurs connaissances et leurs
nerfs au service des masses travailleuses. Ils se don-
nent pour mission d'encourager celles-ci à la lutte
contre l'ordre de choses existant, de leur faire sentir
et comprendre le défaut d'équilibre du régime éco-
nomique et social en vigueur.
Ces éléments qui se détachent du bloc bourgeois
pour adhérer au prolétariat ne sont jamais, il est
vrai, bien nombreux. Mais ce sont les meilleurs. Les
individus qui arrivent à faire ce pas peuvent être
considérés, jusqu'à un certain point, comme des sur-
LA LUTTE DES CLASSES 165
« mauvais coucheurs ».
cher-
inlluente, socialiste et qui ne
dépounus «"/«'VsjS
de to«iours_2L
'™'f""Xire. (Comme
ri''; -a\iû:-47^^^»'^^-^
CHAPITRE III
un mélange
à l'époque de l'unification de l'Empire,
polychrome de classes, réunies moins par des exi-
gences économiques communes que par des idéo-
logies communes.
Le socialisme, au contraire, puise ses matériaux
humains dans la seule et unique classe qui satisfait
aux conditions économiques, sociales et numériques,
nécessaires pour donner à la lutte contre le vieux
monde la plus grande vigueur possible. Bien naïf est
celui qui se creuse le cerveau pour savoir si c'est bien
le prolétariat, la classe des ouvriers salariés, qui
constitue la source à laquelle s'alimente le parti
socialiste allemand. Et cette source est loin d'être
epuisee. />*<& <*^^«w. »^«'<.//i«^ 6w^ *e^*«**» e*,*.*^*
Il faut donc accepter cum grano salis_ l'affirmation
de ceux qui, comme les socialistes anarchistes et les
radicaux bourgeois, dénoncent V « embourgeoise-
mont » du parti, parce qu'on y constate la présence
d'un certain nombre de petits industriels et de petits
commerçants.
I
L'embourgeoisement du parti est un fait certain,
mais il tient à des causes toutes différentes. Et la
principale de ces causes consiste dans la métamor-
phose que subissent ses chefs d'origine ouvrière et,
avec eux, toute l'atmosphère dans laquelle se déroule
l'activité politique du parti.
2° L'organisation ouvrière comme créatrice de nou-
velles couches petites-bourgeoises. —
La lutte de clas-
ses provoque, par l'action des organes à l'aide des-
quels elle s'accomplit, des modifications et des
métamorphoses sociales dans le parti même
qui est
appelé à l'organiser et à la diriger. Grâce à elle, cer-
tains groupes d'individus, numériquement insigni-
fiants,mais d'une importance qualitative très grande,
se trouvent arrachés aux profondeurs de la classe
prolétarienne et élevés à la dignité de bourgeois.
Là, où, comme en Italie, le parti du travail com-
17
194 LES PARTIS POLITIQUES
17.
198 LES PARTIS POLITIQUES
Le besoin de différenciation
dans la classe ouvrière.
20
CHAPITRE VI
humilié, déçu.
En outre, les masses sont très peu capables d'ap-
précier la gravité des sacrifices que s'impose un intel-
lectuel en adhérantau parti socialiste. Lorsque Paul
Gohre eut raconté, au Congrès de Dresde, comment,
par amour de la cause, il a renoncé à sa carrière et à
sa fortune, à la situation sociale qu'il occupait, voire
à sa famille, divers journaux socialistes lui répon-
dirent que tout ceci n'était, pour nous servir d'une
expression courtoise, que du sentimentalisme dont
les ouvriers n'ont que faire, et que si les intellectuels
font des sacrifices, c'est à eux-mêmes qu'ils pensent,
et non à la cause ouvrière. Bref, les camarades se
sont montrés totalement insensibles à la grandeur du
renoncement que Gohre accomplit pour eux. Le fait,
est que sur ce point les intellectuels et les prolétaires!
arriveront difficilement à s'entendre et à se com-^
prendre.
En Allemagne, comme en France, en Italie et jusque
dans quelques pays balkaniques, on a lancé contre
les intellectuels les accusations les plus graves et les
plus terribles.
Il y eut, dans l'histoire de la démocratie socialiste
I
vue Tunité organique qui existe entre les différents
côtés de leur mouvement et le but commun à la réali-
sation duquel ils doivent tous concourir la palingé-
:
i
nésieT sociale. La mission des intellectuels consisterait
l
ainsi à « maintenir présente et vivante la grande fina-
j lité du mouvement ouvrier et à faire naître chez les
j
ouvriers, avec la connaissance des rapports sociaux,
I la certitude de leur prompte victoire ». (F. Mehring.)
Nous ne prendrons pas la défense de l'intelligence
du prolétariat contre ceux qui ne voient dans la mis-
sion des intellectuels une nécessité historique que
parce qu'ils mettent en doute la capacité politique des
ouvriers.
Quiconque a suivi avec un peu d'attention l'his-
toire du mouvement ouvrier international, sait quelle
somme énorme de bonne volonté et d'aptitudes se
trouve précisément chez cette partie du prolétariat
qui, pénétrée de la conscience de classe, a entre-
pris de lutter pour son émancipation par ses propres
forces; il sait rintelligence, le sentiment du devoir,
T'énergie de travail calme et infatigable dont font
preuve les ouvriers de tous les pays.
Dirigeant d'une coopérative, emj)loyé d'un syndicat
professionnel, rédacteur d'un journal socialiste, le
prolétaire apparaît, au point de vue technique, comme
un modèle dont ses collègues bourgeois, exerçant des
fonctions correspondantes, pourraient souvent s'inspi-
I rer. Et si, malgré cela, les partis ouvriers internatio-
t naux s'en remettent dans plus d'une occasion à leurs
\
membres d'origine bourgeoise du soin de traiter et
I
de développer les questions théoriques et de diriger
"
^p^"'
LES PARTIS OUVRIERS ET LES INTELLECTUELS 241
CHAPITRE I
Le référendum.
Le postulat du renoncement.
22
CHAPITRE III
durable.
On a vu des individus devenir puissants et influents,
pour s'être bornés à une simple propagande théorique
en faveur de la grève et de l'action directe. Ils n'eu-
rent plus alors qu'à se hisser sur les épaules de la
masse pour cueillir les pommes dorées de l'arbre de
la vie.
Aristide Briand, né à Nantes d'une modeste famille
de commerrants, entre dans le parti socialiste à Paris
et ne tarde pas à devenir populaire auprès des masses
ouvrières par sa défense de la doctrine de la grève
générale et de la grève militaire. Il finit par acquérir
une célébrité et une autorité telles qu'il lui a fallu
260 LES PARTIS POLITIQUES
k
262 LES PARTIS POLITIQUES
I
Et pourtant le caractère oligarchique du mouve-
I
ment syndicaliste se manifeste dans ce fait qu'il exige
i lui aussi des masses, bien que pour des raisons qui
^
n'ont rien à voir avec la démocratie, l'obéissance
I
absolue aux ordres de l'élite organisée. « Les inditïé-
rents, par le seul fait qu'ils ont négligé de formuler
i leur volonté, n'ont qu'à acquiescer aux décisions
i prises. >)^(E. Pouget.) A l'exemple des syndicats réfor-
mistes de l'Allemagne et de l'Angleterre, les orga-
nisations ouvrières françaises affiliées au syndica-
lisme révolutionnaire maintiennent donc intact le
principe, d'après lequel les organisés auraient le
droit de commander aux non-organisés.
On peut alléguer que les organes suprêmes du
mouvement ouvrier français ne possèdent pas cette
plénitude de pouvoirs dont disposent les grades hié-
rarchiques correspondants dans d'autres pays, en
Allemagne en particulier. Ce fait est exact et tient à
plusieurs causes caractère du peuple, faiblesse de
:
l'organisation, etc.
Mais, même en France, il y a une grande distance
de théorie à la pratique. Et, tout d'abord, les
la
chefs y exercent une forte influence sur les cama-
rades organisés par l'intermédiaire des journaux qui,
chacun le sait, ne sont pas rédigés par les masses.
I
organismes qu'ont fait naître l'évolution historique
et la nécessité. Si l'anarchisme, qui constitue la
vision la plus abstraite et la plus idéaliste de l'ave-
nir,a promis au monde un ordre où toute concen-
trationdu pouvoir serait exclue, il n'a pas su fournir
dans sa théorie les éléments logiques de cet ordre.
SIXIÈME PARTIE
CHAPITRE I
}
les tendances conservatrices inhérentes à toutes les
formes de possession se manifestent également dans
I
le socialisme.
I
•-'V ••
--w.*-^ «A.--^ ^ ,
'I-tr-l^^-\ fMt-
278 LES PARTIS POLITIQUES
parti.
La~Tutte que les socialistes mènent contre les partis
des classes dominantes n'est plus conçue comme une
lutte de principes, mais comme une lutte de concur-
rence. Le parti révolutionnaire jivalJseaye^hLli^iVXlis.
bo u r ge o is3a n s la conquête du pouvoir. Aussi ouvre-
t-il ses rangs à tous les individus qui peuvent lui être
280 LES PARTIS POLITIQUES
;|
citoyens eurent conquis la liberté, ils mirent toute
i| leur ambition à posséder une aristocratie.
Considérations finales
<K
300 LES PARTIS POLITIQUES
FIN
TABLE DES MATIÈRES
Pages
PRÉFACE 1
PREMIERE PARTIE
C. — FACTEURS INTELLECTUELS
DEUXIÈME PARTIE
LE CARACTÈRE DOMINATEUR DES CHEFS
Pages
Ghap. I. — La stabilité des chefs lio
TROISIÈME PARTIE
L EXERCICE DU POUVOIR ET SES RÉACTIONS
PSYCHOLOGIQUES SUR LES CHEFS
— _ —
chefs 140
\JLb. L'idéologie bonapartiste 147
— m. — Identification du parti et du chef (« Le
Parti, c'est moi») 157
QUATRIÈME PARTIE
ANALYSE SOCIALE DES CHEFS
Chai». 1 . — Introduction La lutte de classes et son
:
CINQUIEME PARTIE
Pages
ESSAI DE LIMITATION DU POUVOIR DES CHEFS
SIXIEME PARTIE
27
PSYCHOLO o|nipD»ti'i9d7!n|-
ET ;A.), directeur de l.ahoraloire A la Sor- LE BON (D'- Gustave^. Les Opinions et les*
ne. L'Ame et le Corps ;9' mille). Croyances (9° milléy^
lET lA). Les Idées modernes sur les LE BON D^ Gustave). La Vie des Vérités
l'!ifits (13' mille). ,7' mille .
'
6). La Naissance de l'Intel- LE DANTEC. L'Athéisme (12' mille).
. i.e (40 ligures, ^(;« mille). LE DANTEC. Science et Conscience (C'a.)
jlTROUX (E.), de l'Insiiiut. Science et LE DANTEC. L'Égoïsme (8' mille).
ligion (14' mille). LE DANTEC. La Science de la Vie. 6' m.;
Organisme ècono-
ISU'i (G. \deriiisiiuii. LEGRAND (D' «.-A.). La Longévité.
que et Désordre social. LOMBROSO. Hypnotisme et Spiritisme
IJET J.\ avocat à la
; d'ap|:cl. La Vie du ("•
(6' mille).
Oit et l'impuissance des Lois (5' m.).. MACH (E.). La Connaissance et l'Erreur
IJZAT lAlbertK docteur es lettres. La Phi- (5' mille).
isophie du Langage. MAXWELL (D"- J.). Le Crime et la Société
1 {Q'G ). Le Rêve et l'Action. (.")' mille).
cRT (C.), cliar^'é de cours à la Sor- PICARD (Edmond). Le Droit pur (6' mille).
L'Evolutlon des Dogmes (G« m.). PIERON (H.),M'deConf«àrKcole des IIi"-Etu-
"OURLET (P.\ directeur de l'Insiiiut de des. L'Evolution de la Mémoire t4' mil.)
-ie. La Genèse des Instincts.
REY (Abel), professeur agrégé de Pliilcsophie.
NQTAJX (Gabriel), de l'Académie lrani;aise. La Philosophie moderne (8' mille).
IDémocratie et le Travail. VASCHIOE (O'i. Le Sommeil et les Rêves
MES (William), de l'Inniuii. Philosophie (5" mille).
>l'Expérience (6' mille). VILLEY (Pierre), professeur agrégé de lUni-
MES .William). Le Pragmatisme {ô' m.). versiié. Le Monde des Aveugles.
HISTOIRE
^ÉbLfcT lOaniîl!, luoi'- h l'iicoie îles S(;ieni;es HOUSSAY (F.), professeur à la Sorbo
lolifi iiprs. L'Évolution de l'Industrie. Nature et Sciences naturelles(7' m
BERGEf (A-), professeur à l'Instiiul ocoaiiogra- JOUBi?* (Dr L.), professeur au Muséum.
phique. LaVieet laMortdu Globe (G' a.). Vie dans les Océans (45rigures) (5° m
BERTIN (L.-E.). de l'Instiiul. La Marine LAUNAY (L. de), de l'insiilui. L'Histoire
Rioaerne (5'i ligures) ^:i' mille). la Terre (10° mille).
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